sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Jeudi 8 juin 2006 à 17:34


S'arracher la peau de nos ongles excités comme des mammifères en chaleur sentir la violence de l'acte pris de court tous les deux humides en sueur jusqu'à la moëlle osseuse lubrifiants naturels. Faire du bien en faisant user nos corps dans la douleur, faire pleuvoir la chaleur des coups sur la nudité affamés de nous-mêmes devenir chien devenir chienne devenir chatte en chaleur s'encastrer comme des legos jeu sexuel et ne plus pouvoir se détacher des liens trop serrés bondages en folie bandage et bandage occulaire s'aimer à feu à sang le faire remonter sur la pâleur des nos épidermes déjà à vif ressentir jusqu'au bout des entrailles la vibration vitale du vit et ses vas-et-viens dans une nuit sombre.
Contracter muscles, ne plus faire qu'un emboités dans une danse macabre et rauque dominé dominant rapport sado-masochiste douleur physique avantageux plaisir sournois et fantasmes réalisables.
Aimer le mal dans la profondeur exigüe de la complicité saigner les chairs faire grincer les os mordre d'envie tirer les cheveux pour relever la tête mordre redresser le bassin tendre l'intimité coups secs et frappants sucions déterminés un instants tâchés. Sublimation de tous les sens dans tous les sens. Mettre en valeur nos côtés caché dévoiler sa pudeur noyée dans les liquides corporels besoins naturels assouvis désirs machistes de chacun de nous dominer. Brûler les codes brûler les corps et la graisse l'agresser verbalement chaudes insultes aimer par-dessus tout l'ardeur des acteurs du soir ou du matin dans leur propre rôle. Fantasmagorique. Autre Soi.

Bouffie, gonflée. Adipeuse charpente, enflée. Hier premier passage dont décompte totalement anglophone, que ce soit locuteur ou interlocuteur. Chiffres révisés. A la baisse. Betteraves seulement ou jeûne total. Plutôt deux fois qu'une.
Le mariage n'est au final que l'ouverture d'un carte de fidélité dont le principal avantage est une réduction fiscale.

Mercredi 7 juin 2006 à 20:59


Aujourd'hui est jour de collection de déveine et couilles en tout genre. Poisseuse désespérée. Chocolat out. Pommes-chocolat. Glaces à la fraise. Haricots verts. Pain. Finalement, finissement fini. Un peu d'hari-choc. Plus rien, vide. Savent pas lire. S'éclater les kentos. Ne plus rien supporter. Sauf les week-end. Explosion des paquets de yahourts. Hier, capellini en perte, tombée du poids lourd. Devoir tout nettoyer. Plus de valeurs. Plus de valeurs, plus de patience. Vouloir que ça s'arrête. Se plaindre. Je ne fais que ça. Zone rouge. Se répéter spectaculairement. Défoulement. Fatiguée, exténuée.
Avoir envie de baiser. Avec violence. Chienne en chaleur. Clarifier les motivations. Les exposer grandement. Etre une autre. Penser au but. Visage déformé. Visible. Creuser une tombe. Toujours le sourire. Rentrer et se poser. En manque de cul. En manque tout court. Fumer. Fumer. Voir la basse. Cernes flagrantes. Le médiator de fou furieux. Médiator violet. Bella, bella bassa. 
Envie de cerises. Cracher les noyaux comme du venin empoisonné. Ebay toujours suivi. Constations. Stoïque face aux remarques. Forceps intellectuels. Reprendre les cours, en manque aussi. Est-ce que tu l'as, toi aussi, cette cicatrice des dents de la main ?

Puis il n'y eut plus rien. Le temps s'était arrêté. Elle se retint de lui foutre un poing dans la gueule. Retenir sa haine, sa rancoeur. Tutoyer la grosse vache parce qu'elle avait commencé  à la tutoyer. Faire comme. La prendre pour une conne, ironiquement. Ravaler sa salive, ses larmes et ses envies meurtrières. Matinée qui commença fort bien mal. L'après-midi fut de même ampleur. Moins de pêche. Il n'y avait plus rien.

 

Mardi 6 juin 2006 à 12:27


Veille fatale. Même pas tout dégueulifier. Sentir l'estomac travailler. Se dire qu'il est presque trop tard. Devoir insister. Devoir insister. Voir que tout ne retourne pas à l'envoyeur. Enfin presque tout quand même. 41,5. Echec brûlant. Plus de pesée. Plus de craquage le soir, plus rien dans le froid tentateur. Accumulation des tics. Linéarité du temps. J'ai dix jours et quatre kilos. Faisable. Mais la volonté est faiblarde. Agrouuu !
Appart brillant de propreté. Continuer les efforts. L'espagnol compris par les autres. Faire le solo pour le 17. Mettre la barre très haut. Appeler pour le BTS, surveiller la boîte au lettre. Vouloir savoir. Continuité ambigüe. Prendre des nouvelles car incapables d'en donner. Ca se disait amis tout ça. Enculés, vendeurs de rêves. Déception même si on voyait le coup se faire. Organisa-tueurs de soirs. Trop occupés. Fictive réalité de la vie. Bouirg. S'improviser jardinière. Planter la pelouse pour respirer la nature.
J'aime les glaces au chocolat, le chocolat des chocos et les glaces à la fraise.


D - Bonjour !
D - Regarde Loute : un étui rigide à 69 euros !
V - Bonjour. Ah ! bah je viens de receoir votre basse. Il y a deux minutes. J'allais vous appeler.
Sourire décontenu !
D - Je vais prendre l'étui pour basse. Le stagg.
V - Je vous le fais à 60 euros.
D - Merci.

Puis après, 3h de basse, Sweet Dreams et Zombie en entier dans les doigts.   "Ca te va bien la basse"    Merki Noute. Ne t'aime. Pelouse achetée. On essayera même sur moi. Qu'on se marre comme des canards... Ahhh ! J'ai peur pour eux ! Qu'on extermine les cons. Piscine avec pirhanas. Vol en parachute sans parachute dans l'Atlantique à 200 km des côtes. Virus qui assassine la mort qui tue. Stage de plongée sans bouteille d'oxygène. Mièvrerie et niais. Désopilant ! Je me poile. Le soeur qui imprime mon mail. Déifiée sur le pan d'un mur. Faire plaisir avec des mots. Ironie du sort. Dangeurosité. Basse. Déjà accro...

Petits pois-glace-pomme-pizza (1/8) --> 500 cal max

Lundi 5 juin 2006 à 13:07


Anniversaire de la soeur. Ne pas céder aux demandes externes. Mon exutoire. Rester telle que. Certes un pococito amphigourique. Mystère et boule de gomme. Ouais. Je ne changerai pas. Invisible et motivée. Asticot grouillant. Assumer ses conneries. Toujours cacher le rejet. Traîtrise. Warkkk !

Marre de ces connards qui n'assument pas leurs propres conneries. De des connards qui stressent pour un rien. De ces connasses qui se sentent supérieures. Que nenni. S'écraser un peu. "Repasser ta chemise à la cabine" Connasse. Eurk ! Allez vous faire foutre. Acheter de la teinture pour planter la pelouse. Sa faire chier au taf. Les haïr. Tenir trois mois si possible. Motivation Basse ! Juste pour me faire tenir. Bandes de connards. Ne pas avoir suffisamment de cran et de patience pour rester stable humeurement. Lunatisme. Ras le bol. Hypocritement gagnée cette tune. Vivement le 17. Qu'il se bouffe les doigts de rage et d'impuissance. Se sentir Nul et ne plus toucher ni aux grattes, ni aux poupées russes. Passer du bon temps avec les doubles. Faire l'unisson. Comme d'habitude, comme des cons que nous sommes. Teindre un tantinet. Vouloir hacher du macho. Scie circulaire. Crépusculaire. Camper. Ou pas. Suspens. Voir les éléments dans leurs éléments. Niquer verbalement du connards primitif mal personnifié en junky. Même pas à sa cheville. Caisse claire et cymbales. Caisse claire et préamp. Pédale de distortion. Teinture et papier cul. Rira bien qui rira le dernier. Lui, le premier à gueuler. Savoir ce qu'il pense sans mettre de mots. Lui laisser l'aisance de le faire. Approuver. Juste être d'accord. Et dire son avis. Non-influençable. Se faire narguer par un gratteux doué. L'envier mais se dire qu'on a la motiv' de le faire se pisser dessus. Jouer trois heures par jour si possible. Faire kiffer les solos. S'exprimer par les Ondes. Jeter Internet aux chiottes. Jeter les spaghettis, cacahuètes, glaces, pomme, boudoirs et ice tea. Et faire bisquer ceux-là. Inconsciemment. Régler le souci. Mettre le miroir devant leurs gueules appeurées. Ne rien dire. Subir. Tenir. Et avoir le courage de tout ça. Rajouter des mots aux dicos, trop pauvre de sens ce bouquins.
Gneuh ! Oublié encore de souhaiter l'anniv' de la soeur.... J'y aurai pensé... Et merde !

Alchniar Rule Aldemy Astrodoff Caremy.
Nibd Noxur.


Dimanche 4 juin 2006 à 1:51




FUCKIN' YOU.


Samedi 3 juin 2006 à 13:03


Oubliés. L'anniversaire de Mad. La fête de Blandine. Beaucoup de pensées même pas retransmises. Massage. Oubliées les cuisses, les hanches et les fesses. Oubliés. Mais remédier aux oubliettes. Passer un bac L en candidat libre. Pas maintenant. Peut-être l'année prochaine. Ou après le BTS. Ne pas s'inquiéter de ses capacités, vouloir y croire... Appeler Thévenet pour donner le bon numéro. Puis attendre, c'est pour bientôt. Cacher la Roberte pour voir si la motivation et les résultats sont plus éloquents. Se sentir mieux.
Carte culture de 20 euros à dépenser en bouquins et caisse claire à emballer. Virements faits, ne plus toucher au CJ. 1600 euros de côté. Le reste pour vivre. Et garder les tunes des vacances. Penser au déménagement tout le temps car prisonniers dans cet appartement et allures de camp de réfugié luxueux.

Là tout n'est qu'ordre et beauté,
luxe calme et volupté.

<Ne pas aimer les conclusions. Ne pas conclure par un point.>



Les cuisses qui s'entrechoquent. Usure du pantalon.38 flottant. 36 trop grand. Pantalons déchirés en bas puis les cuisses aussi. Membre encombrant. Motivée à perdre. Etre bien à 37 parce qu'à 41 mieux. La tête bien arrivée à terme. Sans poste, parce qu'on a tous à y gagner. Merci mossieur Batteur. Réceptionneur d'un après-midi. Neuve, belle. Engin mimi. Rage de jouer. Impatience contenue. On en reparlera quand il y aura les baffles.
Bonne, ils ont dit qu'il voulait de la bonne ! Et ils sont passés à la mienne. Connard. "Unique, vous êtes unique." Espèce de cons.

Vendredi 2 juin 2006 à 21:21


Prime de progrès. Surprise. Caisse claire. Blindage du CJ.
Indifférence. Me faire sentir osseuse sous les caresses. Désinvolture. Accomodation des yeux  dans la noirceur de la nuit. Juste illuminés par ce voyeur de réveil. Quartz qui observe les faits et gestes. Dégoulinante. Essuyer l'entre-cuisse. Fontaine de lait gélatineux. S'endormir avec sérénité. Rassurée au creux de ta chaleur contagieuse.
Joie passagère de la découverte monnayeuse. Compter le temps toute la journée. Libération à 19h. Pain, pain. Chocolat. 41. Rester zen devant l'échec. Pêter les plombs quand même. Ne rien afficher. Laisser comme si c'était naturel. Le bord des limites. Se sentir enfermée en soi. Vouloir exploser sur les murs. Le piano ne survivrait pas.
Merde général !

 Retrouver Elo comme avant. Désir de lui parler. Passer du temps. Se vider le coeur. Tout avouer honteusement.
Briller ardemment sous le soleil mentholé. Menthe au lait. Menthe à l'eau. Siroter son corps. Cigarette mentholée qui te prend aux trippes. Se défoncer la gueule aux psychotropes. Se défoncer la gueule carrément. Même pas métaphorique. Fumer, fumer jusqu'à le que le cerveau soit trop enfumé pour comprendre sa douleur. Fumer jusqu'à l'évanescence de nos pensées. Fumer. J'aime. J'aime. Défonce. Défonce. Psychédélisme.


(Plus du tout incitée le soir. Rentré dans les moeurs. Normal.)

Jeudi 1er juin 2006 à 21:35


Te mérite autant que toi. Réciprocité. Gamine en crise, faille ponctuelle pas dramatique. L'évolution qui t'aliène. Souffler de la soupape. Chacun est fier des performaces. Combattivité, augmentée. Force, augmentée. Tous le monde le sait. Elle devient toi.
Remonter vers le haut. Revenir à zéro. Repartir du bon pied. Juin favorable. 2 lettres. 2 semaines pour le top. Plus douée que moi. Jalousie maladive amicale. Fière de toi. La rage contre ce putain de solide est bien ancrée, là. Tu dévergondises le problème.Extermination de la porte. Flaque. Le morceau dans le cul, oui. Devenir ce que tu es déjà. Parfait Anis.
Coup de soleil capillaire. Un mois. Exhiber la différence sous les yeux révoltés. Provoquer une dernière fois. Distinction. Rage de l'enfer. Convertion de l'énergie potentielle. Trop de watts en soi. Gérer. Ou essayer. Asticot jovial. En manque de défoulement. Ou d'autre chose. Basse. Fréquence. Concentration...
Kôhl, mascara. Noir. Masque à rats. Cernée. Yeux piégée par la non-couleur. Essai de féminité. Ré-essai. Pour continuer à lui plaire. Du renouveau pour tenter l'acceptation par moi.  Jouer à la femme. S'étaler les gels contre l'adipeuse substance. Voir les plis de la peau. Le gloussement des pores. Frotter les cellules chargée jusqu'au sang. Orange. Pas carotte. Peau d'orange. Visqueuse. Flasque. Coulante. Moisi. Simplement en cours de délabrement des tissus. Destruction musculaire. Masser, palper. A feu, à sang. Le mettre aux poudres. A la chair abimée. Fortuite. Gratin de conneries associées. Se monter des films. Squelette trop rassasié. Grasse. Une énormité d'huile sur le feu. Je boue. L'explication incertaine. Compréhension face à la même. Incompréhension compatissante. Limite de la compassion atteinte. Passé difficile. Neutre. Ne plus y penser. L'intégrer voire le rejetter de sa pauvre vie ratée du début. E faire comme si en pensant à sa renaissance. Neutralité rageante. Flagrante animosité cérébrale. Fragilité dégradée. Arc-en-ciel noir et rouge. Extrème nuance. Dégouliner de sueur. Tout ramener à ça. Films à la con. Niquer du condé.

Profiter du fric. BASSE POWER. Impatience non-maîtrisée. Asticot explosif plutôt. Envier. Envier. Envier. Te montrer à toi et à tes sales manies que je Peux. Vouloir le Pouvoir. Ces solos en 8 mois, tiens... Même avant. Possibilité dépucelée. Preuve, les faire. Ooozooboolzoo ! Craquage. Trop insouciant. Pas compte. Inerte. Passif. Pire encore. Amélioration. Richissime. Blindée. Certir le pacte de diamants. Lui couper les tifs. Pacte de sang infaisable. Comprends pas. Solitude de l'esprit face à la rationnalité incarnée. Dans une bulle. Juste liés par le sentiments. Divergence des avis. Radicalisme omniprésent. Construction d'un mur. Insatisfait. Déçu peut-être. Inconnu. Soldat inconnu. Normalité intégrée. Fataliste exacerbé. Inquiètudes gardées autarciquement. Nerfs à vif de mon côté. Putain ! Tu penses à quoi ? Il se passe quoi dans ta putain de caboche ? Etranger, étrangère. Préoccupations. Stoïques face au destin ? Jamais, ce n'est pas une raison. Pas de destinée, libre arbitre. Création de notre propre chemin. Se bâtir soi-même est un droit. Sans se dégueuler l'âme. Se dégueuler tout court. Audacieuse démarche. Fantasmagoriques aspirations. Alternatives choisie et assumées depuis peu. Accélération de l'ostentation. Etre ou ne pas être. Ne pas se biler. Fatidique missive. Putain d'attente. File. Dans la file. A quoi bon ? Pas de "tant pis". Frustration normalement égoïste. Osmose presque totale. Le presque génant. La force est la patience. Résignation conseillée. Invisible. Imagination. Distance branlable. Raviver constamment la flamme. Bagues aux doigts. Toujours. Avoir l'assurance. Fuck'ng The Machine. Ne pas sauter, mouton. Facheuse manie. Quittance. Trop d'un coup. Impression bizarre. Garder tout pour soi. Secret. Plus de contacts épidermiques. Frissons buboniques. Tu crois qu'en labourant toute cette merde dans ma tête, ça va arranger la mienne ? Donner la rage et l'avoir, certes. La rage en surface. Neutralité impartiale sous la croûte. Mais le derme blessé. Plus envie d'associer. Pas de notion. Laisse-moi du temps que je me reprenne. Remuer le couteau dans la plaie a des conséquences. Pas terrible. Stade dépassé. Haut-délà de la douleur. En-deça de la fin. Même plus psychologique. Le passé ne m'appartient plus... Pardonne-moi ce blocage ponctuel. Y remédier très rapidement. Passer au dessus. Au dessus de tout. Nous-en faire. Rouge en vue, abstinence. On y est bientôt, mon beau. Tenir à. Vivre avec. Voir par. Admirer. Abuser de. Baiser avec.
Arborer ses plus belles couleurs sans variations de température. Deux chocolats chauds, c'est meilleur qu'un seul.

Je me sens vraiment seule ce soir. Je voudrais que tu me prennes dans tes bras.
Merci.


(Félicitation, il avait raison d'y croire)

Jeudi 1er juin 2006 à 18:50


A moitié. Tout refiler encore. S'enfoncer le plus naturellement possible les doigts au fond de la gorge. Sentir l'acide et s'arrêter. Pomme fermentée. Fond de l'estomac délabré. Réflexe toilettes. L'après. Sans réflexion, chiottes et vidange. Sale habitude. Carnage. Ignominie du personnage.  Penaud. Toujours penaud. Je ne Peux pas. Non. Pas le soir. Le midi pour ne pas te décevoir davantage. Pour l'instant, un gros fuck au soir. Quand je serai prête. Selon mes forces.
Récompense méritée. Tous les haïr, ces connards. Connards de merde. Irrespect. Trois mois à tirer dans ce creux. Puis juste les vacances. Blinder le livret. Remplir l'autre. Boulimie. Un peu de côté. S'assurer un avenir financier. Un temps ou deux. Compter sur les autres. Vivre sur leur dos. Profiter du système. Mal foutu, je te le répète ! Abusivement. Profit écoeurant.
Asticot jovial. Soulagé. Rassuré. Relâchement. Tensions artérielle normalisé. Stress amenuisé. Humeur stabilisée. Sauf impatience avec ces fils de Satan. Tout à 1 euro. Cinq briquets. Manger un peu ce midi. Chocolat chaud. Liquéfier. Harry Potter en chemise de nuit. Noir, la classe. Faire bosser les parties de grenouilles. Fatiguée de l'allergie. Ne pas se jeter d'une falaise. Quoi qu'il arrive.
L'asticot. Ouais et avec une basse ? Non ? Tu vibreras. Bouge tes doigts, muscle-les, agite-les sur le manche. Agilité forcée. J'aurai du niveau. je ne vais pas vous le baisser en plus. Tu rêves, mec ! Une heure par jour ? Minimum assuré. Entends-tu ? Dans huit mois... Compte le nombre d'heures... Compte le temps, compte les temps. Tous à fond dedans. T'imagines même pas. De la motivation, de la rage, de la hargne... Même pas. C'est à tuer le temps ! Pas de maux, tu comprends déjà.


Et toi, ma Sucette à l'Anis... Tu crois en nous ? Je crois en toi. Je crois en nous. Je crois en vous. Je suis confiante. Pas de falaise, pas de fadaise. Tu es forte psychologiquement, et libre. Tu le sais. Tu fais et feras tes preuves devant nos yeux toujours si incrédules.
Sur le front encore et toujours. A combattre sa propre normalité. La normalité qui t'observe ébahie. Tu assures. Assumes. Provoques. Aimes ça. Deux ans... Pour être plus qu'une forteresse. Capable de bien des choses. Personne n'a jamais dit le contraire. Ne pas nous faire mentir. Facile à dire... Penses-tu ! La solitude physique renforce. Solitude seulement physique. Pas seule sur Terre. On est déjà deux contre nous-mêmes. Et beaucoup plus si tu le comptes, Lui. Survivre, ne serait-ce que pour ça. Même si la vie n'est pas rose. Ni violette. On y croit. Négation interdite. Affirmation. Je crois. Point. Tout court
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