sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Dimanche 2 août 2009 à 23:54



C'est la fin des haricots. Week-end d'empiffrage. Ce genre de compulsion impossible à maitriser. Mais il faut tenir. Demain ne meurt jamais. Il s'agira de tenir : 1C, 1S, 2P, 4G. Acheter un pack d'eau pour les séances de cardio. En rajouter une pour le midi. Donc mes vacances du lundi au vendredi :

6h : réveil.
6h05 : toilette.
6h10 : habillage.
6h13 : vérification des affaires, trucs et bidules.
6h30 : départ en vélo.
6h45 : arrivée à la boîte.
7h : début du taf.

12h : coupure.
12h03 : départ de la boîte en vélo.
12h10 : arrivée à la salle.
12h15 : début de la séance : 10' semi-allongé.
12h25 : 10' elliptique.
12h35 : douche.
12h42 : départ de la salle en vélo.
12h50 : arrivée à la boîte et mangeage.
13h : reprise du taf.

19h : fin du taf.
19h03 : départ de la boîte en vélo.
19h10 : arrivée à la salle.
19h15 : début de la séance : 30' semi-allongé.
19h47 : 30' elliptique.
20h19 : 30' stepper.
20h50 : dorsaux - triceps.
21h : change.
21h05 : départ de la salle en vélo.

21h20 : arrivée à la maison.
21h35 : douche.
21h55 : mangeage.
22h15 : glandouillage.
22h30 : dodo.

Soit : 45' vélo, 11h de taf, 40' semi-allongé, 40' elliptique, 30' stepper, 7h30 de sommeil.
Soit : un traitement du mal par le mal. Je pête un plomb entourée de tous ces abrutis, et le sport est une drogue. Je crois que ça fait deux semaines que j'ai fumé et 3 jours pour la 32ème. Je dois y arriver. Quand on VEUT, on PEUT.



Vendredi 24 juillet 2009 à 0:41



J'en conclus donc que je suis irrécupérable. La fatigue harassante, les muscles solllicités, la muscu bientôt en oeuvre. Forger, façonner, décimer, masser, avaler les gélules et les comprimés. Ne pas chercher à savoir. Le poid, la masse, la graisse. Contracter, féminiser, décontracter, acheminer, boire de l'eau. Un monaco, un chocolat. A bannir, pain et chocolat. Les concombres, encore les concombres. Fructivore. Tu crois que ça m'amuse ? Je tombe bien bas. Mais que veux-tu, vieux brigand, je ne suis qu'une petite conne. Tu comprendras le jour où tu sauras. D'ici là, je crée un atelier. Le plastique, c'est fantastique, ça cartonne. Crise, crise. Pas de contrôle, sauf la fin. Les réflexes vieillissants, les automatismes fous. Ce comportement n'est pas vraiment normal, ça cloche. La question est de savoir comment, pourquoi. Sortie roller demain. Travail. Physique, modelisme. J'erre quelque part et ça ne mène nul part. Le même état d'esprit qu'Avant. Il suffit de peu pour y retourner. Et hop, les chiffres, les comptes, les métabolismes, les exercices. La sueur, l'investissement, la marche et la connerie. Y parvenir. Force et courage. Ne pas disparaître.
Ne pas oublier d'arroser les plantes et d'envoyer un texto de malheur. Ma mère revient mercredi et cautionne ses envies. Sa fête aujourd'hui. Je commence à comprendre. Malade que je suis.

Babypuppe, sauve-moi. Il faut tenir le coup. Je reviens sur JA au moins d'août. Orgie All. Désespérant.


Mercredi 15 juillet 2009 à 23:53



J'ai beau dire ce que je veux. Dès que j'entends "viol" ou "attouchement", je frémis, pâlis et deviens une huître. Il ne compte en rien. La tête perd au change, les souvenirs remontent à la surface et les plaies e ré-ouvrent, saignent paisiblement. Alors encore. Encore simuler. Faire comme si. Et le plus grand détachement possible voilant le pétage de câble interne. Je suis une putain de pute. Grosse et lâche.
Je ne saurai pas prendre cette décision. Je ne sais pas quoi faire. Je ne sais pas quoi faire. Je ne sais pas quoi faire. Ni comment m'y prendre. Comment m'y prendre ? Je ne sais pas quoi faire. Que faire ?
Il faut se remettre dans l'ambiance, année-3. Jeûne et viser le 41. Juste 41. Je peux. JE PEUX LE FAIRE. Let's go. Demain roller, vendredi soirée hamburger et samedi LR. Ca va promettre. Je suis une DIPLODOCUS FEMELLE. HELP.


Lundi 6 avril 2009 à 18:50



Sur la Vire, on s'éclate. Satisfaction personnelle. Se concentrer ailleurs que sur son petit nombril.
Me retournant tel un pantin foudroyé. Je la veux. Je la veux. Mais le roi dit. Ta gueule mademoiselle, tu fais chier. Accords publics, un genre, un nombre. Comptons avec nos doigts. Je cherche les mots. Enrichissement du vocabulaire, mot code. Tu m'aides, dis ? La foire aux blagues de merde, tu m'entends ? Revoir le Kiki, Titine, les ca*ste*lrena*udais, les gens de Tours. En manque de Tours. Reconnaître qu'il a TOUJOURS raison. Contre la vie des ouistitis. Le 'ion a une cervelle beaucoup trop développée pour la connerie humaine des ouistitis tapageurs.  Mais c'est ça qu'est bon.
Comme envie de fuir Paris à toutes jambes et retourner dans un endroit calme et serein où tout est beaucoup plus simple et les conso moins chères. Comme envie de se tirer de là. Plus que quatre ans les cocos ! Ca me rappelle qu'à partir de mes 15 ans, je comptais le nombre de jours qu'i me restait à vivre avec mes parents. Hem. Bref. 4 ans et 4 mois. Voire un peu moins. Nous voirons. En attendant, ruminer en simulant. Sourire bêtement et s'autoconvaincre que Paris, c'est trop chouette de la mort qui tue les vieux et les méchants. Mais même pas en vrai les enfants. Je vous assure que ce n'est que par production d'ego et de fierté que je continue. Histoire de dire et montrer que je peux. Parce que moi, je suis comme ça. EGO EGO EGO. Et pardonnez-moi, mais j'ai vraiment besoin de voir ma Moman toute les semaines et d'entendre la voix de mon Popa.
Elle, je l'aime autant que je la dénigre. Que je voudrais ne pas t'aimer autant. Désolée Poupée, je t'ai dans la peau. JA avril 2009. Et les crises alimentaires qui vont avec.
Non Maman, je n'ai besoin de rien. Alors finalement, j'erre. Je me balade de salle en salle, comme un poisson rouge dans son bocal, poisson rouge qui veut découvrir la vie. Mais fuck you. Alors tant pis, 4 ans, ce n'est pas grand chose. Puis, plus tard, j'en serai satisfaite, majeur levé et sourcils froncés. Ca doit me rassurer point d'interrogation (?) Hum ...
File, chenapan.


Mardi 31 mars 2009 à 10:06



Je me demande ce que ca ferait si je disparaissais. Et pouf, elle a disparu. Les fumées sauvent des pensées nauséabondes. Les amplifient. Il existerait un monde imaginaire. Sans fille. Aucune. Juste la chambre 12 au complet, de 18h à 8h. Et le reste. Je m'interroge sur la fonction de l'Homme. De chacun. La mienne. Laquelle. A quoi bon ? J'écris ton nom. Liberté. Death. L'heure qu'il est, pourquoi ? Les connexions s'épuisent. Je n'existe. Alors cours, vole et nous venge ? Les avant-bras. Le piano salvateur et la corde de mi aigüe disparue, quelle injustice. Alors les notes s'envolent. M'enveloppent d'Indifférence. C'est l'heure. De ne plus être.

Demain, je ne viendrai pas non plus et je verrai pour la suite. Grève des organes, greffe de moignons. Du repos alors que j'hiberne à chaque nuit. C'est prescrit. Je n'existe plus. Pauvre petite chose qui ne sait pas voler.

Est-ce que j'arrête bêtement la MAN, à deux mois de la fin des cours ? Est ce que j'arrête bêtement ? Est-ce que j'arrête ? Est-ce que j'ai ENVIE de continuer ? Est ce que ça me plait ? Est-ce que c'est fait pour moi ? Est-ce que j'ai envie de rester à ConD ? Est ce que j'ai envie de faire de la com ? Est -ce que j'aime ?
En tout cas, redémarrer ses études à un point mort, ça me fait grave chier, rester à ConD aussi, continuer la Man pareil. La dégression. La différence avec vous, c'est qu'en n'étant pas créative, je m'en sors un peu quand même. La différence avec vous, c'est que ça ne durera pas encore 2 ou 4 ans.
Alors peut-être que jeudi et vendredi, je serai absente. C'est ça, crucifie moi, batarde.



Mercredi 28 janvier 2009 à 0:12



Cinquième fois. Un peu trashounette. Je fais une fixette sur les dents et les touches de mon clavier sont pitoyables. "Phinou, t'es un super canon ! "
Il faudra se remettre aux figures de style. Le fractionnement des phrases est incompréhensible. Désolée ou pas. Plus de merde dans le paquet de tabac. Ca sent le réinvestissement proche. Ou pas. Les chiffres sont maudis. Et moi encore plus. Quelle cruauté.

Le 24 février, soirée open bar chez les goulous. Invitation VIP. Lorenzo et Sylvain, à connaître, à découvrir. Et la C qui flottera, baptème de l'air. Faut que j'apprenne à mettre la bouche en coeur, pour la classe internationale. Puis voir. Camionner. Ne pas faire le coiffeur et les frisettes s'installent.
Interros d'ATC et de français ou la récurrence. Alors s'y mettre comme on peut. Arrache moi les viscères, j'aurai l'air mince. Et tranche l'arrière. Pas de si avec les ré, il faudra lui répéter encore et encore. Many angels.
Un week-end à Tours et les larmes qui reviennent encore. Crise d'expression. Alors Laurence G. prof de mode en pleine compréhension. Un laché de ballons ou brûler un cierge, parce que la conscience me court après. Ou un autre symbole, on l'aurait appelé Truc. Ou Chose. Mais ce ne sont pas des prénoms courants. Pas en marche, se reprendre et se consacrer au travail, concentration extrème et tester, s'investir. Je comtemple les cernes, les cercles et m'interroge. Est-ce si difficile ? C'est une aide au sommeil.
Je ne craquerai pas. Parce que je vaux mieux que ça. Encore deux ans et demi à fond. Puis plus tard, la même. Le solo au clavier est plutot ouf. Ca donne envie. Une sonateau clair de lune fraîchement et franchement interprétée. Je voudrais reprendre la musique, ou faire l'art martial. Les yeux troubles. Je divague  l'extrème, savoure l'amitié et la complicité. Et ne pas se savoir seule. Quoi qu'il arrive. Même si on est toujours seul face à son miroir, c'est une chose d'assurée. La couleur de la pluie et l'odeur du soleil. La brulûre si souple, ravivant les flammes.
Je retourne à Tours samedi. Voir le 'ion. Pour en profiter réellement. Nous savoir ensemble et partager l'instant, les retrouvailles. Si ce n'est un beau moment, que serait-ce. Ou bien. Bien.
Le menton. Menteur. Mater. Or, un pas est un pas Il y aura toujours un bouc émissaire, tant que la tête change et que les boutons s'actionnent. Les mots commencent à sortir, pour qu'on s'améliorent socialement. Et en apprendre sur soi. Ouvrons les oreilles, les yeux et l'esprit. Ce qui compte au final, ce n'est que tout ça, dans son immense complexité, mais si passionante. Voyeur averti de sa propre vie ou engagé dans l'évolutiion. Ne stagnons pas et au progrès. Je sais ce que je suis. Je sais ce que je ne suis pas. Et comment ils me voient, comment tu me vois, comment on se voit, et bien... Faudra m'en dire un peu plus. Que je saisisse et agisse. Sérieusement, il le faut. Merci mes inconnus d'amis. Camarade. (Je veux un tee-shirt des Sex Pistols le jaune pochette Never Mind The Bollock. Euroshima, vos slogans font effet. Avorter, c'est résister sur la poitrine et voir leur gueule en le voyant, ce serait drôle. Piqure de rappel. "Le salaire, ce n'est que l'esclavage prolongé", Chateaubriand.

Hors-la -vie.
Un sexe-un-cerveau-deux-raisons-de-se-suicider.
La vie n'est pas désespérante, elle est ridicule.
Le-pouvoir-d'achat-c'est-choisir-ses-chaines.
Choisis-tes-chaines-la-télé-commande.
Aussi fataliste et pessimiste, j'ai pas trouvé. Mais outre le pathétique, et oui, c'est drôle, comique. Alors rions. Parce que j'ai la pêche. Malgré le manque de repos. Y remédier tout de suite.




Lundi 12 janvier 2009 à 0:51




Ce lieu n'est pas beau, ni bien écrit, ni obligatoirement commentable : chacun dit ce qu'il veut quand il  veut. SIlences acceptés, parlotte aussi.. Et j'écoute. En rien ce n'est un exercice de style. Un chiotte virtuel. Un bedo virtuel.
Merci Anne, Anorchidea, Athena_, Lyli. Merci. :)

http://sidvicious.cowblog.fr/images/Aufond6.jpgAu fond, dessin n°6, par Gaëlle Chotard, ma prof de dessin académique et modèle vivant.



Sexed up. Je crois ne pas pouvoir m'en passer. Ou plutôt si. Mais pas vraiment.
Petits secrets. Be. Not to say. Under the skin. Je pense. Joue avec la Yam. Day after day. Slowly. What about ? A better way. Je n'aurais aucune raison de me plaindre. Ca me blase de ne pas avoir de raison de me plaindre. Aussi stupide soit-ce.
Le travail avance doucement. Cette semaine geekesque va laisser passe à la studient. Mode, produit, couleur, EP en retard. Mais bon, un peu de travail. Les rêves intéressants.
Et JE deviens inintéressante. Trop changé. Le dynamisme s'est tassé, la dégénrescence est partie. Je suis sérieuse, discrête. Gentille, confiante. Ordonnée, organisée. Fataliste et optimiste ? Ce n'est pas moi tout ça ? Plus de rage, de moteur. Ma nature anhilisée par l'Art, le vrai, l'Appliqué. Je suis ce que je voulais. C'est ça être grand ? Le je m'enfoutisme le plus total : impossible de me faire chier. Je fais ce que j'ai à faire : bosser, faire des recherches, boire des chocolat en terrasse en parlant avec des Suricates. Je suis ce que je voulais être. Et ça me fait tellement bizarre.
Même les TCAs. Ce n'est pas un "ça me manque". C'est bizarre de ne plus vomir, de ne plus (trop) compter, ni jeûner. De ne pas faire attention, en se disant que c'est la vie mon p'tit, c'est pas dramatique et vaut mieux faire envie que pitié. Mouais. Le corps est graisseux et l'anniv de Chachou dans 2 semaines. Des améliorations, mais pas assez. Je perdrai petit à petit. Comme il faut. Puis rester à un IMC de 18,5. En faisant du sport.
Le pire, c'est que là encore, je ne m'en fais pas. La pluie tombe chez le voisin. La vie passe, le temps se perd et je reste sans émotion. Juste la fierté de bien travailler et d'avoir un début de vie sociale par ces retrouvaillES et trouvaillE d'amis. La sensation est bizarre. On me voit comme avant. Juste que. Je sens la différence. Où est-elle ? Je me sens jaune et terne.  Pas aigri, cornichon. Guérie ? L'impression d'être grande et que rien ne pourra m'empêcher d'avancer et d'être ce que j'ai voulu être. L'impression d'être indifférente aux obstacles. De prendre note. Sans s'offusquer. Et ne rien ressentir. Forte. Sens neutre, dans un monde fourmillant, en pleine éruption. Et de vivre individuellement. C'est ça être adulte ? Comme dans une forteresse où rien ne peut m'atteindre. Volontaire. Et peut-être. Je ne sais quoi dire. Je suis bien. Et pas encore à l'aise. Je m'impressionne, j'assume ce que j'étais, j'assume ce que je suis. Mais il faut que j'ingère. J'aime cette sensation de ne pas se laisser aller à des pulsions, des faiblesses et des flemmes. Je maîtrise, remplis les corvées sans broncher, comme si. Je me suis fait une raison sur la vie. ZEN. Suis BIEN. Mais ce soir, cet état est choquant. Heureuse ou satisfaite ? La brume de psyché m'empêche de voir... D'habitude, c'est la serenité qui me berce. C'est doux comme le calin d'une Maman.

Et de calins, c'est peut-être de ça que je manque. Juste qu'on me prenne dans les bras et qu'on me console. Non, rien à consoler, juste qu'on me prenne dans les bras en silence. Sans raison particulière. Juste comme ça. Par affection. Sincère. Je... Ne sais pas. [??] Il faudrait que je boive. en soirée. Et que je m'exprime. Comme. Comme... Rien du tout. J'ai besoin de ma Maman et de VoinVoin. Je veux un calin tout chaud. Ou des rires contagieux. S'il vous plait. S'il vous plait. Cette nuit est bizarre. Blizzard. Hum...



Vendredi 2 janvier 2009 à 10:13




En fait, que dalle. Je suis pas grosse. Juste des rondeurs de femmes, le genre de truc qui plait aux mecs : des fesses prononcées (et un cambrements pour bien le montrer xD), et un petit bourrelet sur les hanches (qui va disparaître (d'ici bientôt). Se reprendre, ça veut dire avant tout positiver. Ventre plutôt plat malgré la peau d'orange qui elle sera banni à coup de litre d'eau et de sport régulier et quotidien. Voilà. Rien de dramatique, je ne suis plus vraiment une baleine. C'est juste que la peau d'orange, beurk et ventre plat plus autant mais tout à fait normal. En plus, j'ai des seins, que demander de plus. Merci Pilulle.
Rien de neuf. Bon, ne plus traînasser. Préparer les papiers pour la B. Aller à la bibli avec les papiers et y faire des photocop de PP. RDV à la banque, puis retrouver Clairounette à Vanves, direction Marché Saint-Pierre pour dépenser toutes nos étrennes en tissus pour the fashion project. Exposé travaillé sur Mossieur Pierre Paulin, présentation sur feuilles comprises. Se motiver.
2009. Tout un programme ! Ca sera déjà pas mal si je fais tout ça... 2009 : je suis grande et prends ma vie en main très sérieusement. On a le bonheur qu'on se donne. Et je suis heureuse. Suffit d'y croire. Au moins pour tout ceux qui sont malheureux. Et puis j'ai la santé. Des amis. (Soeur Anne, je t'aime). Un amour de 'ion. Un toit très large. Des études qui me plaisent. Non, pas à me plaindre. Je vous souhaite une bonne année. Sincèrement. Retrouver l'esprit positif, la santé surtout. L'envie d'avancer et la rage de vaincre. La gaieté. Et tout.


Mes résolutions :
- Faire mon travail au fur et à mesure et en avance. Pour la bonne conscience et pour la réglométrie avec moi-même.
- Faire de l'aviron à Tours avec mon 'ion.
- Aller à la salle une heure tous les jours.
- Bien manger. Et des légumes !!
- Ne plus traînasser sur Internet.
(Voir les blogs fétiches et pas plus d'égarements.)
- Sortir : développer ma vie sociale à Paris.
- Appeler mes amis régulièrement, ou leur donner des nouvelles par d'autres moyens.
Leur dire que je les aime.
- Faire deux musées/expo par mois.

- Réaliser mes projets de peintures, dessin. ( Au moins une quinzaine qui flottent dans ma tête)
- Ne pas me couper les cheveux pour avoir devenir Barbie Chevelure de Rêve.
- Ne plus fumer systématiquement un stick serré le soir quand je suis toute seule comme une ado en crise.
- Apprendre à vraiment bien jouer de la guitare.
- Apprendre à gérer ma respiration en chantant et surtout à développer une puissance de voix. (Et faire chier les voisins).
- Mettre des chemises et vouer un culte à Vivienne Westwood.
(ça commence à partir en live et à devenir compltement débile ce que je dis, j'arrête là !)


Mes acquisitions de 2009 :
- un aspirateur                                          (OK. Très bientôt  !)
- une machine à coudre de base            (OK. Très bientôt !)
- une machine à laver
- de l'alginate chromatique
- de la résine Poly-glass ou cristallée
- un sèche-cheveux                                      (OK. Merci VoinVoin)
- Histoire de l'Art par Gombrich.            (Cadeau de Papa, argent à mettre à la banque)
- un escabeau
- deux-trois pantalons neufs                              (Bientôt, ô soldes !)

Mes buts :
- 13 de moyenne générale et les félicitations du CC au 2ème trimestre.
- 14 de moyenne générale et les félicitations du CC au 3ème trimestre.
- Pouvoir payer ma 1ère année de BTS Communication Visuelle à Condé sans prêt, ni aide des parents.
- Trouver un taf pour juin, du 15 au 31.
- Trouver un taf pour cet été
(deux mois de façonnage chez Noblet = 4500 à 60h par semaine)
- Continuer à ranger l'appart. (Ca c'est ok, peux pas bosser dans le bordel.)



Dimanche 23 novembre 2008 à 10:49





Il n'aura pas eu trois mois. Il m'aura fait prendre au moins 5 kilos. Il m'aura donné un bide de tarée. Un bide de "femme enceinte". On ne peut rien contre sa condition naturelle. Tomber en cloque, c'est le lot de toutes les chattes. Désolée Poupée, mais t'es pas une exception. Tiens d'ailleurs, on ne dit jamais "fille enceinte" Je suis femme !! ?? C'est une question. Bien-sûr que non. J'ai reçu le RadioHead de Dad. Le genre de truc où tu te suicides. Pas le moment. Alors 56h. Il avait dit, pas 48h avant l'anesthésie générale. Alors c'est bon. Un petit stick. Pour la forme du cerveau. Non, je en fume pas beaucoup. Plus la clope, même en soirée. Juste ce qu'il faut pour les soirées, agrémenter l'esprit de la liberté. Alors j'ai dessiné sur mon carnet de bord. Encore. Un foetus sanguinolant, parce que c'est so dark. Je pense faire mon projet pro du BTS là-dessus, l'année prochaine. Le foetus, le développement humain. Mes recherches avancent. Hier, rien foutu. Pas bien, pas bien. Alors que tout était planifié, écrit, répété, casé dans un emploi du temps. A 18h, Mifégyne.

Le 25 novembre, c'est la Sainte Catherine. Alors je l'appelerai Kate. Comme Katie-Jane Garside de Queen Adreena. Comme Catherine de 12:06. HAHA, quelle rigolote celle-là. Cf bashfr. Comme Marie-Kate Olsen le milliardaire jumellée, Big Nose Kate la pute du Far West, Kate Bush la pote de Gilmour, Kate Austin l'anarcho, comme Cathie Freeman la coureuse combinaisée, comme Philipe Catherine la chose, comme Katie Melua la britannique, comme Deneuve, Lara, Laborde, Ioutchenko, ou Cook... KATE MOSS. Et tant d'autres. Tu seras reine en Pologne, en  Russie, en Italie, en Egypte, en Suède, en France, en Allemagne. Tu seras femme et maitresse de tsar, de roi, même en Angleterre. Tu seras princesse. La princesse déchue. Un prénom so origénial.  Génital.
Mais Théodore ou Armistice, ça te va bien aussi.

Le 26 novembre, c'est la Sainte-Delphine. Comme moi. A croire que c'était prévu par le calendrier. Bah tu vois Bébé, tu m'auras fait ma fête en meêm temps que j'aurai fait la tienne. Meurtrie, hier. Et oui. Il y a des choses comme ça. Je leur ferai un gateau pour qu'ils me foutent la paix. Ils seront à mes basques. Et puis je ne sais pas. Ptêt que mardi, mon coeur s'arrêtera et je mourrai. Comme tout le monde. 

Seuls les résultats scolaires me tiennent, certaines matières n'ont pas été assurées. J'ai chié dans la colle en Design de Prod, j'espère sa clémence. Bref. Je suis faite comme une rate. Et je susi très con. L'EP est à avancer, la couleur aussi. Pas le faire au dernier moment. Rha putain. Today is important. Il faut taffer bordel. Alors oui. Allons. Prouvons-leur. Parce qu'ils ne se rendent pas compte que je n'ai que ça. Des chiffres sur un papier et des critiques de profs. C'est mon but ultime. Et ils verront. A moins que ce soit à moi que je prouve tout ça. Je susi désespéremment conne. Vive le clafouti, va.


http://sidvicious.cowblog.fr/images/CdB081122Meurtriere-copie-1.jpg


Et. Ma mère me saoule grave. L'impression d'avoir une gamine à côté de soi. J'ai vraiment besoin de solitude. BESOIN. Être seule et qu'on ne me parle pas. Fais chier à la faim. Vivement que je déménage. Ah et puis, son JMM. Mais rien dans le crâne celui-là. Des préjugés, des idées toute façonnées par TF1 et France Télévision. Que répondre à ça ? Va acheter des bouquins, fais toi ton propre avis, mais bordel, bordel, pense par toi-même !! C'est vraiment fou d'avoir des oeillères si puissantes. Aveugle. Ils sont tous aveugles et ça me désespère... Ca pourra pas tenir leur couple. C'est ptêt chouette de bricoler, de faire des balades, mais merde, qu'est ce que les discussions sont platoniques ! Elle se fera chier. C'est clair. La solution de facilité, quelle connerie. Ca me fait chier. Alors, ok, j'me la ferme. Dans une semaine, elle me redira les mêmes trucs qu'il y a deux semaines. Pitoyable.
Et puis non, j'ai pas envie que tu viennes me chercher à l'hosto. Je t'en parle ok, mais j'ai jamais eu besoin de quelqu'un pour faire ma vie. C'est bon. C'est pas parce que je squatte qu'on va faire comme si. Je m'en sors très bien. Et je te l'aurai pas dit, t'aurais rien su. Alors sois contente. Oui, c'est hardos, mais sois contente et tais-toi. J'ai raison et je sais que c'est ridicule. Alors oui, sois vexée. J'm'en fous au final. C'est juste que ça me fait pitié. Je suis une grande maintenant. Et oui. Curieux constat fait avec mon gribouponque d'ailleurs. On rattrapera le temps perdu, t'inquiète la glinguette. Nous sommes comme avant. Sans pudeur, dénudé et à 10000 kms les uns des autres. Faudra appeler Loute, Kiki et Ouchach. Ces Griboux me manquent. Hâte de revoir les cailloux aussi, et les caféterriens. Vivement le week-end du 6. A moi la liberté !!! Redevenir quelqu'un de moi. Comme avant. MOUAHAHAHAH. D'ici là, je serai redevenue comme telle. Pour repartir du bon pied. Quel soulagement, t'imagines pas. HAHA.

AAAHHhh, je comprends enfin ! La V3 de Cowblog avait modifié l'autorisation de poster des commentaires. Vous êtes désormais libres de vous exprimer ici ou dans mon domaine Suri.sidien. Désolée pour le dérangement.



Jeudi 23 octobre 2008 à 1:38



Ce que j'aime, en fait, c'est pouvoir me dire que si j'ai envie de gerber, je n'ai pas à attendre qu'elle ne dorme. Oui, je ne gerbe plus. Et puis ? Question d'habitude. C'est génant de vivre avec quelqu'un parce que le partage des chiottes, ça me pèse autant que les chiffres sur la balance. Et je déteste quand le bloc est vide ou infonctionnel. Comme ici. Puis tout se passe bien. Mais. Parce que, comme toujours, ce putain de mais. Alors qu'elle soit derrière moi quand je me fais de la bouffe, quand je prépare un truc. Quand je bosse. Les "Tu fais quoi ?" "C'est pour quoi ?" "Et pourquoi ?" Ca me saoûle. Je n'ai pas çà justifer mon travail. Et quand je suis concentrée, je ne parle pas. C'est la même situation que lorsque quelqu'un lit ma lecture par dessus mon épaule ou qu'il zieute le crayonnage que je suis en train de réaliser périlleusement. "Tu me fais un bisou ?" Parfois, ses réactions sont dignes de celle d'une gamine. Aussi lunatique que moi. Non et puis, le relâchement. En fait, c'est ça qui me tue. On m'a fait chier pendant des années pour des détails à la con que j'ai appliqué même toute seule. Et là, non. NON.
Alors j'ai envie d'hurler que c'est de la connerie, que tromper son monde selon sa situation, c'est bien facile. Comme l'histoire avec Jean-Michel. Je crois que c'est sa joie de vivre qui me tue. Et puis, là encore, c'est la solution de facilité. 15 ans d'écart. L'amour s'en fout, certes. Mais d'un point de vue pratique, sexuel, testostéronique, et physique, dans moins de 10 ans, y'aura des soucis. Et même, à court terme. Passivité et inculture.Sort d'un monde formaté par la télévision. Rien n'est réel. Sauf la nature. Enfin bref. Je me demande si c'est nécessaire. Chacun ses choix. Mais c'est vrai que plus vite je m'en irai, plus vite, il pourra s'installer. Il fallait juste le dire avant. C'est ça qui m'énerve. Le reste ne me regarde pas d'ailleurs. Les détails pratiques comme le tarot, les soirées chez Joyce. Elle verra en temps voulu. Après tout, je n'ai rien à dire moi. Mais fallait que ça sorte. Je dois être jalouse de ne pas L'avoir auprès de moi. C'est tout. LUNDI !!


Et puis ça m'agace. Je ne m'investis pas assez. Suis partie du mauvais pied ce trimestre. Un 8-1 en CV alors que. Bien-sûr, si je n'avais pas étét absente, ç'aurait été plus facile puisque j'aurais compris le sujet et que je n'aurais pas eu -1. 8 en HS, c'est pas mal. Mais bon, je vais le refaire, ce sujet.

Rendus (échecs) : cette semaine et celle d'avant.
En DME, j'ai rendu des échantillons textiles baclés, moches. Points en moins pour l'absence ?
En DE, dossier pas mal, mais l'idée de maquette toute nazeborken. Points en moins pour l'absence ?
En CV, les points étaient ok, le 40% et le 0% des lignes étaient sur un autre papier. Et ma Marylin correcte. La moyenne de justesse ou un peu moins. Des points en moins pour cette absence encore ? Putain j'le paye cher, ce mal de bide. Entre 8 et 11 sans la pénalité.
En CV, les dominos, étaient cracras. Les textures pas mal mais j'vais me faire alignées sur la propreté. Des points en moins pour la (re)dite-absence ? Entre 5 et 8 sans la pénalité.
En couleur, mon cercle chromatique était bon en couleurs, bon en aplat, mais l'utilisation du scotch bof et les traits qui dépassent à quelques endroits seront fatals aussi. Mon gris semblait bien par contre. Pas loin de la moyenne.
En EP, mon sujet libre était pas mal, et mes matières non plus. La moyenne de justesse ou pas loin.
En CV hier, ce n'était pas pire. Mais ce n'était pas un carton non plus. Encore. Et ça ne rattrapera pas le 7. Entre 7 et 10
En DP, j'ai rendu un dossier merdique, imprésentable, sur 2 objets au lieu de 3. Entre 5 et 9
En français, le devoir était correct, je pense m'en être sortie. Entre 10 et 15.
En maths, c'est ok. Entre 15 et 20.

Pour cette fin de semaine.
En EP, ma dégradation est fidèle. Les couleurs, les matières. A retoucher : le rose-beige trop rouge.
En couleur, mon contraste de la couleur en soi devrait aller, je le refais de ce pas.
En anglais, j'ai participé. Au pire... Toute façon, j'ai compris les textes. 3 résumés à faire. Selon el plan donné en cours.

Agenda.
En Histoire de l'art, ça va être chaud. Analyse d'oeuvre à rendre pour le jeudi.
Couleur : contraste des couleurs complémentaires à rendre. Nuancier. Pour jeudi.
Dessin Aca : 15 pieds, 15 mains, 15 portraits. (Mon retard a une croissance exponentielle à chaque heure de cours supplémentaire : 10 pieds, 10 mains, 10 ensembles de natures mortes, 30 portraits, 15 natures mortes à réaliser). Carnet de croquis ramassé. Pour jeudi.
Expression Plastique : finir la dégradation puis commencer le détail-objet de dégradation. Chercher une photo d'alteration avec contexte et faire une dizaine de recherches sur le moyen de les traiter. Vendredi.
En Design d'Espace, le sujet n°2 sur la fonctionnalité d'un espace. Pour lundi.
En Design de Mode, d'abord sur un A3, l'endroit d'un vêtement sur un cintre. Puis l'envers. Et customisation d'un accessoire. Photos à l'appui pour chaque étape du processus. Pour lundi.
En Com Visu, refaire le sujet raté de la compo. Mardi.
En Design de Produit, utilisation d'une des 3 idées et développement. Pour mardi.
En Français, deux résumés de textes et explications de vocabulaire. Pour mercredi.




S'AVANCER !! Bordel, il faut que je m'organise. Que je m'en aille retrouver l'appart de l'enfance. Liberté, sur les marges de mon cahier, j'écris ton nom. J'ai honte de ce que je rends aux profs. J'ai honte de mon travail et du temps que je perds. S'y lancer à fond. A FOND. Conasse. Les endorphines m'aident. C'est ptêt pas si bien. Tant pis. On se remotive ? D'abord, cette nuit : les bubbles parfaites ! Et l'anglais. Avaler le tube de vitamine et tout le guarana s'il le faut. Il faut que je me ratrappe au moins dans les matières de fin de semaine. Le sport me sauvera. Enfin, sport... L'entretien. Enfin bon. Au moins, je dépense 40 minutes de mon temps à me bouger les fesses et ça fait du bien. Je sais pas si ça sera conséquent sur les formes. Mais je me sens mieux comme ça. Puis paye ton style. Alors. J'assume totalement.
Marthy, je l'aime. Alissa, c'est ma coupine. Alice est très mimi. Et Cam très cool. Batav un peu sûr. Maris un peu zarb mais sympa. Nous sommes tous des membres de la Suricate Crew. Et ça, ça réchauffe le coeur. Vraiment. Ca fait du bien. :)


Dimanche 19 octobre 2008 à 21:39



Putain, j'arrive à rien ! J'fais que de la MERDE. Ras le bol. Putain. C'est vraiment relou, j'vous jure. Putain. Mais il faut quoi pour y arriver ? Il faut quoi heiN ? J'en putain de marre de recommencer à faire ces trucs de merde, moches moches et remoches. J'perds mon temps. On va dire qu'on dormira que la semaine prochaine, pendant les vacances. Donc, j'ai jusqu'à 8h demain matin pour faire 7 nus, 5 échantillons de tissus, et 5 modèle habillés. C'est du suicide. Du suicide. Alors une clope, avant de mourir. En plus, v'là le week-end. Rien de réjouissant. Vacances expo. Je suis fauchée. Ras le bol. Même les ultra bonnes nouvelles sont fades. J'ai vraiment 'impressiond e me planter partout. IL FAUT QUE JE PASSE EN BTS. Déjà marre.


Dimanche 12 octobre 2008 à 22:42







L'esprit ne suis plus. Le corps non plus. On m'avait prévenu. La cervelle cogite tellement que je ressens la faim. Que je mange. Je crée, développe mon imagination, mes moyens de création, mes supports, mes outils, je me lâche. On obtient tout juste la moyenne ainsi. Mais j'ai la foi. Ou presque. Avouons que la forme n'est pas au RDV ce soir, et ce n'est ni Jeff Buckley, ni Radiohead qui pourront me sortir de cette torpeur mentale. Je veux voir mes cailloux. Je veux fumer des pétards sinon.
Puis ce week-end qui m'incite à. Entre bouffer après, pour 6 minutes de retard. Supporter des bruits de bouche alors que déjà se forcer. Notre fils, cet ilustre inconnu : non, je n'ai pas cette capacité de me foutre des oeillères, je suis réactive. Et je rentre dans ce piège. Je me torture. Matins esseulés. J'hésite à descendre tous les quinze jours. Je prends du retard dans mes cours et finalement, j'en rentre complètement vidée, complètement sourde, hyperacoustie, intolérante et impatiente. J'en rentre dégouttée, verte, jaune er orange à la fois. Que le cercle chromatique m'empoisonne. Alors oui, je gère plutôt bien. Mais ce soir, c'est la fin des haricots en boîte. C'est la fin. J'en ai ras-le bol et j'ai envie de tous vous foutre une balle. Tous. Oui, ce serait trop facile de m'en prendre à moi-même.
J'en peux plus en fait. Ouais, c'est cool les cours, on fait ce qu'on veut, on bosse ou pas, on s'amuse ou pas. Moi je bosse. Le soir, j'ai du mal à m'y mettre, mais pourtant je m'y plonge. Je suis lente. J'ai de bonnes idées, des concepts. J'ai du mal. Je me sens mal à l'aise. Mal, à l'aide. Mais à quoi je m'attendais ?
Cette nuit sera blanche. Je le sais pertinemment. Parce que j'avias pas tout le matos ce week-end. Le seconde trousse oubliée. Et parce que j'arrive pas à bosser sur mon carton à dessin. C'est con, mais une table, ça m'est essentiel pour m'y mettre. Ouais, très con. Alors je ne fous rien, ou le stricte minimum. Et je fais une nuit blanche pour rattraper tout ça. Non, les week-end à Tours n'ont de bons que les retrouvailles avec VV, avec les coupains et avec Tours, la présence du VV. Sinon, tout le reste, c'est de la merde. Pas besoin de chercher d'autres mots. Mouahaha. J'irai CAMPER sur vos tombes. A même le sol. Mais ça fait moins mal au dos alors bon. J'aime cette proximité, dormir peau contre peau ou ne pas dormir. Je déteste ce cynisme. Et j'en ai marre. Alors ouais. C'est pas une question de dormir par terre. C'est une question de partager du temps. Je viens pour ça. Pour faire des trucs, me blottir contre lui. Au moins la nuit ? Et bah non, allons nous faire foutre. Le deal, c'est soit dormir lits séparés, soit ne pas dormir du tout ou mal. Donc être vanné lundi. Et puis sinon, je le perds ce précieux temps. Finalement, ça serait revenu au même. Je serai fatiguée lundi. Je ne tiendrai pas un an dans ces conditions. Il se peut que je ne vienne plus autant que si peu sur Tours. Un week-end sur trois, ou sur quatre. Je dis ça, mais le manque me forcera à ne pas remplir cette promesse. A priori, je ne vaux pas 2 heures de sacrifice de rame et de vélo par mois. J'exagère, mais j'me dis que heureusement que je pratique pas l'athlé. Avec un peu d'organisation et surtout mes week-end à Pairs, ce serait pourtant possible. Question de choix. Chacun les siens. Alors oui, je suis affaiblie et malade. Je suis multicolore. Help me please. Les larmes coulent sans retenue. Enfin, avec beaucoup trop de retenue. Encore. Me trimballer jusqu'à là-bas. Puis. Finalement non, je ne vais pas perturber tes plans. Cours, rame, et joue. On s'éclate comme on peut. Et moi ça m'éclate le coeur. Alors ouais, j'sors les grands mots. J'dis rien. Mais j'aviserai. Pour l'instant, réussir ma MANAA reste l'objectif principal. Et rien ne m'arrêtera. Il faut juste que ce soit clair. OK ?


Mercredi 1er octobre 2008 à 22:35




On était comme deux cons à chialer devant nos écrans interposés. Le barbare et moi. Il est allée à son enterrement pour accompagner le cheveulu. Toute la classe, la claque. Une C, cardiaque, 50 ans. Le père de Tit. Alors j'ai repensé à tout ça. A l'état de Loute quand il a perdu son père. A Saez et ses jours étranges. Qu'"on" a été en deuil pendant au moins une bonne année. Que je n'écoute plus du tout Saez. Au fait que la seule pensée d'une larme  de Titine, ça fait bien lâcher des litres et des litres de lacrymales. J'm'en souviens comme d'hier. Tout ça. Les cauchemars, les réveils, la terminale. Rien que d'y penser. Et puis. Et puis tout ça. Que je sais pas quoi lui dire. Et puis merde, c'est pas juste. C'est dégueulasse. J'ai la tête à que dalle. J'ai envie d'hurler. Et là, plus que tout j'aimerai fumer. Pour ne pas comprendre. Toutes nos larmes ne seront jamais à la hauteur de sa tristesse. N'importe quoi. Je sais même pas pourquoi on est comme deux cons comme ça. Pitoyable.  Pour Titine ? Par projection ? Pour nous ? La tension ? Nerveux, la rage ? La rage. Le éCe monde est pourri, pourquoi toujours comme ça ? Qu'on arrête de me faire chier avec le BON Dieu. Si y'en avait un, merde. MERDE. BORDEL" C'est la montagne qui s'écroule. Y'a des images et des moments qu'on n'oublie jamais. Alors le son qu'il émet me détruit l'intérieur. C'est la semaine du bleu, de l'associabilité et de la tristesse. Putain. Heureseument que le barbare et moi avons un surdino pour nous remonter le moral. 3ème fois que je chiale devant une conversation MSN, stupide hobbit joufflu. FUCK. Je deviens insensible. 

Tout va bien pour moi, sinon. Il faut que j'entende sa voix. Musique.



Mardi 2 septembre 2008 à 18:12



Mes idéaux s'amaigrissent. Mes pensées s'assombrissent. Le lion sort de la savane. Il plane. Passe par-dessus tout obstacle et foonce vers son but. Avironesque. Les week-end sont donc occupés. Les semaines aussi. Le ouistiti doit voler. Le ouistiti est un animal voyageur. Fatigant aussi. Un animal en mal de patience. En mal de mer. Une léthargie. Des cervicales qui souffrent, des sinus qui ont du mal. Et des bruits de tracteurs.
Et je replonge. Tu ne comprends pas que sans toi, c'est fini ? Et notre groupe sans nom ? Et nos textos idiots ? Et nos tranhisons chatouillesques ? Et nos caninous roudoudoux à poils doux ? Ouistiti contre 'ion, pelage contre robe, truffe contre museau ? Le ouistitruffe se sent partir loin. Loin. Aa l'autre bout du monde. Et mes rêves de fuite ? Nothing Else Matters  ? Forever trust where we are. Nos grattes, ma voix posée sur tes mélodies. Gruik and grou power ! Comme si tout allait s'envoler avec ton silence pesant. Tes intérêts trop pointilleux, et mon intelligence qui ne suit pas. Je me sens autre, jalouse et possessive. Tout ça à cause de. C'est la peur. Je vous hais. Tous autant que vous êtes. Et c'est le chien de Marie-France qui s'était suicidé. Le fils de Fred est à l'internat. MOUHAHHA. Ouais, je débloque grave. En hypersynesthésie. Samedi était enfumé, endormie par le gros son de Fattydicks, ma cervelle embrouillée, mes pensées confuses.
Je mange comme quatre. Je connais l'issue de cette situation. Je connais les débordements. Je mange gras gras. Et dégueux. Coin ne viendra pas sur Paris. Je me sens  seule parfois. Egoïste. Ce n'est pas se sous-estimer, c'est réaliser. Je sais ce que je vaux. LA PEUR ! J'ai peur de moi. Je sais qu'à Paris, je retomberai bas. Parce que plus ça va, moins ça va. Moins ça va, moins j'aime mon corps. Moins j'aime mon corps, plus je le maltraite. Plus je le maltraite, plus ça va. Et puis après, ça va plus. Non, tout va bien pour l'instant. La balance m'a tuée. 44 kilos. Quoi ? C'est stupide d'écrire qu'on est gros à 44 kilos ? Oui, encore plus que de le penser. Non je le pense pas. J'avais envie. Si j'le pense. J'me sens pas bien. J'ai juste peur. Peur peur peur  ? Mais bordel ! TU VAS PARLER UN PEU ? C'est pas possible à la fin ? Non, je ne m'énerve pas, j'ai pas d'argumentation. Je grandis et j'en ai marre. J'en ai marre d'avoir cet air si déterminé. Déterminé à me casser la gueule, je sais. Je vous emmerde putain.
J'suis sacrément en manque de cailloux. Faut que je vois Manon, No'm, Soeur Anne la courageuse, Gwen, Clémence, Zouzous, Simon bien sur, s'il est là. Respire Del. J'vais m'arranger poru faire de la coloc cette année. Rien que d'en parler, le métro me file des boutons. Bouh. Je ne suis pas fatiguée. Le travail évite de penser. Et c'est sûrement mieux. Pétage de câble. Me calme. Pfiouuuuuuuuuuuuu.
J'veux jouer du piano et fumer. J'veux fumer. Encore. Partir. En fait, j'm'en fous de la distance. On y arrivera. Et puis, on est pas si con. Je suis juste une idiote qui réfléchit mal parfois. Pouik ?

Pour les master : Lyon, Toulouse II, Paris Sorbonne, Ecole Francaise de la Presse, IUP Toulouse, Toulon, Condé ou Rennes...
J'aime Mandriva. Définitivement. Je crois que pour 850 euros, j' aurai un très bon PC apte au travail de graphiste. Avec Mandriva quand le disque sera partitionné. Je veux. J'attendrai un an. Juste un an si mon portable me lâche pas avant. Les logiciels libres vainqueront ! Linux vainquera ! Le liberté, mes petits !!



Dimanche 24 août 2008 à 21:43



34 à 33% : 309,06
34 à 50% : 348,84
11 à 100% : 150,48
Normale : 766,08

The last one. Derrière semaine. Dernière ligne droite. Objectif 2000. On a marché sur la lune. De beaux mots, de beaux mots, enveloppés bien-sûr de superbes rubans multicolors. Un peu féérique, un peu utopique. On y croirait presque. MAIS. Evidemment, se coince ici un "mais". Un ravin qui sépare les points de vue. Ou une rivière. La peur de la noyade, se jeter de si haut. Si élevé. Finalement, remettre en question les bases. C'est le temps qui fait ça. Le temps, oui petit. Mal retranscrit. On se cogne aux murs. On fonce, pourtant tête levée et sens en éveil. On se cherche, on se suit, se colle, s'accroche. Comme si c'était les derniers instants à partager. Ne pas se lâcher. Et finalement, je redoute cette année. Non, j'ai besoin de le dire. Je sais bien que ça va rende les retrouvailles plus épicées, plus condensée. Appréciables moments à vivre. Et puis se sentir loin. Avec Untel et UneTelle ici et X et Y là-bas. Pas de visage sur tous ces prénoms. Pas de voix. Rien que des mots. Des mondes à part. Je sais que rien ne changera. Mais que sais-je ? QUE SAIS-JE ?
Je me sens seule. Bien con ici. Monde stressé, des bulles savonneuses. L'odeur ambiante du métro, les pas précipités, ses bousculades, ses contacts épidermiques insupportables. Ces sourires d'inconnus, ces regards perdus ou concentrés au fond d'un journal. Soyons tous observés avec curiosité, pitié et envie.
J'ai perdu la tête, le nom de cette figure de style et mon petit harmonica. Un zeugme ?
Je sais ce que je redoute. Je me sens mieux en moi. S'assumer,  grandissante. Egarée dans la faune urbaine et ses cataclysmes. Se raccrocher à ces rêves inexistants. Que veux-je ? Vers quoi ? Devenir ? Pas le moment. Penser à la guitare. Voin qui a craqué pour l'une. Pas pu résister à lui offrir. Je suis bel et bien une conne. Last Night Thoughts. Last tears. Salées comme l'Atlantique. C'est le moral qui ne tient plus. Le corps qui fatigue. La crise hebdomadaire qui te rappelle que finalement, non, tu n'es pas capable de tenir. Incapable de s'en sortir. Incapable tout court. Bien que non. NON. Appréhension extrême de ces prochaines semaines. J'ai besoin d'un guide.De voir mes amis. Voir leurs sourires et entendre leurs voix. J'en peux plus. Oui, c'est de la fatigue. Ca va tout le temps. Qu'est ce que ça fait maintenant ? C'est pour ça que je ne prends pas le temps de penser. Eviter la malade imaginaire qui me snobe intérieurement et l'hypocondriaque de la vie qui se cache plus loin. Musique salvatrice. Une princesse.



Lundi 28 juillet 2008 à 22:20



Etrange. Bizarre. What do you think ? What do you want  ? Don't understand. Help me. Just. Ou FUCK OFF. La vie. So ténébreuse. Ils verront bien, tous autant qu'ils sont. Reviens-moi petit lapin. Fourchette me plaisait et le général aussi. Parfois oui, j'ai des regrets. Forget, forget. Faut voir. Faut. Faux.



Samedi 26 juillet 2008 à 11:24




Dans ce monde, tout est binaire, on est soit 0, soit 1. Soit vivant, soit mort.
Ah s'asseoir sur unbanc, cinq minutes avec toi et regarder la vie tant qu'y'en a. Ou ailleurs. A la terrasse d'un café ou sur la banquette de ton salon. Il était une fois un jeune padawann qui jouait aux fléchettes. Il était une fois un gribou qui allait peut-être sur Paris. Il était cette même fois, l'autre gribou qui s'en allait au pays des Grands Féroces, au pays imaginaire. Ce gribou-là, on n ele reverrai pas de si tôt. Mais un autre arrivera pour nous dire des nouvelles d'un qui reviendra dans un an ou deux, puis qu'il est heureux, on s'endormira. On achètera des billets pour la capitale du Hardcore, aussi enneigée soit-elle, aussi combinaisondeskié faudra t-il être afflubé pour faire pointer le bout de son nez sur la place du village. D'ailleurs, il passera inaperçu dans toute cette fosse de Village People, trashounet. J'irai bien, loin. Non, juste en Belgique. Ou en Angleterre. Ou en Australie. Ou au Canada, ou aux Etats-Unis. Histoire de parler bien. Complexe futile. Je profiterai de ce week-end, même si j'ai les doigts engourdis. Et toc. Une cure de sommeil dimanche. Une cure de gens today. Et un cake chocolat-banane.

En fait, il m'insupporte. direct, dès qu'il ouvre la bouche. L'année sera difficile, se revoir de même. Quand ils ne seront pas un, ils seront deux, même si j'aime le coté houleux de la grammaire de mes phrase. Juste celle-ci. Cette brulure-là, je l'aime. Et j'ai pas envie d'être avec lui aujourd'hui, ni demain. Pourtant, squattage. Et non intimité. Réflexion de merde et les occulter. Ni de manger au Mc Do. J'parie qu'on y va demain. Ou comment se racheter et acheter les gens. Basse manipulation, et conneries d'associabilité et de sale caractère. Non, et si j'avais pas envie ? Quoi, ah oui, on ne me demande pas mon avis. Point. Pouet.

2 bananes, 20 cl de jus d'orange, une compote de pomme (??), 300 gr de farine, 100 gr de sucre de canne, 1 sachet de levure, un oeuf, un blanc d'oeuf, 40 gr de chocolat au lait, 50 min au four à 180° (term 6)



Jeudi 24 juillet 2008 à 0:14



Révolte intérieure contre ce monde. Révolte exprimée. Modérée. Converser, ou monologuer con ello. El Toudou. La pression monte encore d'un cran, j'ai la cervelle en bouillie et j'compredns que dalle à ce monde. Non Maman, c'est pas psychologique. L'effet jupe était à prévoir. Le Loulou de l'atelier qui confond libido et vidéo et le tout tourne partout en moins de dix minutes. Le Loulou qui a un coeur gros comme le monde, mais un handicap ptêt aussi large. Mais si gentil malgré sa niaiserie. Bref, des abdos en béton par la rigolade de l'après-midi. S'attacher au patron. Et vendredi, déjeûner avec la tata chérie que j'aime. Rire un peu et la rassurer de mon sort. J'pête un câble à en tirer toutes ces conclusions. J'me cherche, j'me trouve, insatisfaite, je recommence. La drogue est un fléau, l'humain est un fléau. La connerie aussi. Pourquoi est-elle tombé si bas ? L'égoïsme, l'argent, le pouvoir. En fait si, ça m'déprime de trop, sale gamine que je suis. Folle à lier. Niaise de connasse, exactement. Et puis, des cartons, décartage, des comptages, recomptages. Aie. Je miam n'importe comment, culpabilise devant ces kilos repris, et ces muscles nouveaux qui pèsent. Ouais, genre, j'suis musclée. La question principale n'est ni "pourquoi", ni "quand". Ici, c'est "comment", mec ! Mais t'es con, alors reste avec tes certitudes illusoires. Connard.
Le chant des filmeuses, les railleries des encarteuses, les raillements des margeurs, le soufflement de la soufflerie, son aspiration, les sifflements de l'air dans les machines, l'essoufflement des vieilles turbines, les cris du massicots, les piaillements de l'empaqueteuse  (oui, analogisme), les grincements des macaniques et le claquement des plieuses... Rien que ça. Parmi d'autres.
Yamama. APX 6N. Au moins une décennie. Nouvelle venue parmi les vivantes. La grattouner chaque soir, véritable coup de foudre. Manche fin et caisse aussi pour un plaisir manuel et vocal. J'aime cette sensation.
Me sens à côté. J'ai du mal à tout distinguer et je deviens folle. Des rêves d'illuminés, illusions et papillusion. Un soir, c'est une lettre d'amour écrite à Soeur Anne sur le plafond avec du rouge à lèvre. Qu'a t'on fait la veille ? La chouille. Tellement bourrées que monter les étages à quatre pattes. Je repars l'aprèm et j'me souviens de la lettre écrite au plafond. Rêve zarb. L'autre avec Eloïse et Nana. Une soirée avec tout Chateau. J'dois être en manque. Gniiiii. Retrouvailles et encore. J'sais plus. Et l'autre, bien avant, où j'étais un super-héros. La putain de sensations de s'envoler, et d 'avoir de la force à gogo. J'deviens tarée et ma soeur m'aime. Je l'aime. Paris me maussadise. Portable récupéré. Et peur peur, peur. Enfin même pas. J'veux mes gros cailloux, mes caféterriens, ces gens que j'aime. J'veux m'prendre des cuites et faire des calins à tout le monde. J'veux des déclaration d'amour et m'sentir aimée. J'me sens aimée et j'suis égoïste. Et aujourd'hui, 45ème heure supp. J'me déprime toute seule. Et j'adore Blackmore's Night.
J'avais oublié des détails sur ma détention parentale. C'était pie que je le pensais, j'ai vraiment occulté beaucoup de mon passé chez moi. C'est fou. Et l'internat... Comme envie d'y retourner, l'espace d'un soir. Mouahah. Le sauna des filmeuses. Et la commandes à la con. J'en ai marre d'être gentille. Je suis un dragon après tout. Un ouistimule. Et leurs lois stupides sur le téléchargement. J'en ai mal au dos. Ambigu. Et j'ai envie de plusieurs. Et si ?
Qu'ils aillent tous pourrir en enfer. Tous autant qu'ils sont. Même le pigeon mort sous le pont. Tomates du jardin, patates du jardin, salade du jardin, vinaigrette du jardin. Pyramide de la chèvrerie, et pain de la boulangère de Chateau mutée à Déols. Hasard de fou furieux. J'aimerai me voir, ubiscuité transparente. Et puis je verrai, la honte. BOUH. Faut qu'j'arrête. Le mur des lamentations est-il totalement taggué ? J'vais m'y mettre.
Tu crois que le cerveau explose si on ? Tu crois que j'ai un problème ? Ca fait du bien d'écrire des conneries. Soulagement. Et banalités. Are you satisfied ? Parfois et même souvent, j'voudrais lui faire un gros calin. Et lui montrer, ce que je sais faire. Un jour ?



Vendredi 18 juillet 2008 à 22:35



Tu sais ce que j'aime le soir ? Les plieuses qui se sont tues, incessant brouhaha qui fatigue sans discontinuité. Le vacarme est claquant, celui des machines à plis qui laissent place peu à peu au ronronnement gonflant des encarteuses et aux soufflements d'un massicot. C'est mon esprit qui s'essoufle, qui s'étouffe. Les oreilles ne sont jamais au repos ici. C'est le bagne auditif. Alors pour oublier tout ce bruit, je chante. Dans ma tête ou tout, j'm'en fous. Je chantonne. T'façon, aevc toute cette pollution sonore, personne ne peut m'entendre. Puis après, relaxer l'ouie par 40 minutes de musique ... Le long de la N20, heure de pointe. Un enfer pour les cages à mielet ma tête embrumée des rejets des pots d'échappement et des râles des moteurs - quand ça ne klaxonne pas... Pollution tout court. Ennui latéral et frontal, le temps ne passe cependant pas vite du tout.

Ai pensé à la crême hydratante pour les mimines. Takaminemacopine me manque. j'veux une acoustique. Rue de Douai. Total music, rue Sébastopol, à cinq minutes à papattes de Chatelet. TOMMY EMMANUEL en concert à Paris dimanche, 33 euros.

Perte dangereuse, le jeu de la balance. Sentir les creux qui reviennent, les côtés et milieux flasques se dissoudre dans le temps. Dans l'énergie. La tête compte. REcompte. RE-REcompte. Le petit os de la main qui veut tout dire. Encore un truc d'ano. Truc débile. Petite force de la nature. Petite vicime. Vieil engrenage de merde. Je crois que. Calcul. Produit en croix, règle de trois. Comment ne pas connaître. Hallelujah de Jeff Buckley. En un mois, ptêt maxi deux fois. Les doigts n'ont plus de stigmates. A part celles du façonnage. Là, ça m'échappe, je m'échappe. Le taf me tue. J'pense qu'à ça. J'pête un câble. Personne n'entend. Personne ne voit. J'm'en fous. Et c'ets mauvais quand je dis ça. Mes amis me manquent. PUTAIN LES CAILLOUX ! Putain de bordel de couilles. J'suis trop perdue. J'en ai marre, ras l'bol, assez, putain. Et la compensation ? Me parle pas Abou , t'as déjà quatre femmes, me fais pas chier !! Mais putain. Putain. J'afis plus gaffe, les pensées se détachent, se compriment, se disloquent, se mélangent, fusionnent. Dyslexie ancéphalique. Hé ! Là-haut ! On se réveille ! Bordel, on se réveille ! Oui, demain je serai là. Oui, oui. Oui, les filles de la campagne, elles en veulent. Et je vous emmerde. Oui, la phrase facile quand on n'a pas d'argumentation. Nan, tiraillée entre un monde faux et l'autre brutal. Ou l'inverse. Ivresse de la limite. Illimité. Illlimité. Ma connerie tend vers plus l'infini. Putain de bordel. Reprends-toi merde. J'ai fumé une cigarette aujourd'hui. Une samedi. Et deux lundi y'a une semaine et demi. Soit 4 en deux semaines. J'veux un pet. J'peux ? Où sont mes putains de feuilles ? Où sont ces putains de feuilles ? Les désillutions, et ces illusions que tout ira mieux. Non non non.
Faut pas rêver.  Connasse. Crêve, c'est ça, on s'en balance, on s'en contrebranle, on s'essuie avec. P'tain debout à 6h demain. Pour se remonter le moral. Prise de note sur les calculs effectués de 18h à 19h.

x-  Heure normale nette : 6,74
x-  + 33 %, les deux premières heures : 8,96
x-  + 50 %, les deux suivantes : 10,10
x-  + 100 %, celles d'après : 13,48
x-  47, 18 par journée pour un forfait de 35h
x-  Semaine de 4 jours, soit 28h : 188, 72
x-  Semaine de 5 jours, soit 35h : 235,90

x-  2 semaines de 4 jours en juillet + 2 semaines de 5 jours
x-  25h sup à 33% (224)
x-  10h sup à 50 % (101,01)
x-   1h sup à 100% (13,50)
x-  127h à Noblet.
x-  951,85
x-  (+ 235,90 + 188,72/2)


La seule chose qui puisse me "remonter le moral". Que j'perds pas seulemnt mon temps. Enfin, à quel prix. Putain. J'pensais que le temps, ça valait plus cher que ça. Voir mes putains de cailloux une heure, ça vaut plus que le SMIC, j'vous l'jure. Même pas quantifiable. Mais putain, j'pête grave le casque du ciboulot. J'en ai marre de tout ce cirque. J'crois que j'prends feu là-haut. J'veux fumer, mais faut pas. Siyouplé. A bas les papattes. Juste un peu de compréhension. Ils me manquent les tourangeaux. Ils me manquent. Il me manquent. Qu'est-ce que j'ai fait encore, comme connerie... J'suis vraiment pas possible. Et éternellement insatisfaite. Mon estomac gronde et j'ai mal. Faudrait que j'arrête de faire tout un plat de rien du tout et que j'sois contente. C'est vrai après tout, c'est pas grave ;(
J'ai l'impression que les Griboux s'en foutent. Que chacun fait sa vie, et que c'est pas grave, on repousse le moment pour se voir. Mais non. Fais chier de pas prendre en compte. Fias grave chier. Et j'en ai la haine de tout ce tintamarre. Marre d'Abou. Même si c'est gratuit et que j'le montre pas.
Ne pas s'inquiéter et penser à sa future grattoune pour chanter du Moustaki à la chandelle. Motivation quelqu'une. Unique. Et ma cervelle fond avec. (Cette catégorie, c'est mauvais)



Dimanche 13 juillet 2008 à 12:55




Parfois tout me ramène à un passé que je souhaite oublier. Parfois, j'ai du mal à parler et surtout quand langue gonflée. Elle avait 17 ans. Elle arrivait comme un cheveu sur la soupe avec son air insolent et sa nonchalance. Mépris d'une adolescente et certitudes absolues, les vacances n'allaient être de tout repos ni pour la nouvelle recrue, ni pour ses collègues. J'ai parfois du mal avec les Mac, mais je veux bien de, l'iBook G4 de OinOin. Pendant qu'il étaient au concert de Dynamophonic et Mass Hysteria, moi j'écoutais Une somme de détail en marchant dans l'avenue Grandmont.
Jolie en sous-jacence. Supertramp, un TGV, sauf quand on oublie le gadget chez soi. Apprentissage d'Inspecteur Gadget au nopia. Et les Tiersen aussi. Bourdonnement du voyage et retour à l'enfance. Nathalie Sarraute. "Tu notes tes horaires hein  ?"" Pas d'inquiètude à avoir. 15 heures sup à 33 et 4 à 50%. Les zozor s dans les Alpine, le s protéger des aggressions mécaniques. A bas les plieuses ! Sebum estivale ou fausse-couche. Le nopia, défouloir. Miam à tort et à travers. Création deviantartesque version anagrammique. Pour Fanshu.N'ose pas publier un tas de torchons scribouillés, de peur de les offrir sur un plateau au dégoût des utilisateurs égarés sur ma page. Et d'autres virtualités. "Un look à bosser dans la mode. Ou dans la peinture. tu vois dans l'art quoi !" Mouai, si vous l'dîtes. quand j'leur dis que j'écoute des vieilleries et du rock and roll, ils ne me voient plus en petite punkette qui fait pas son âge, qui es une reblle de la life. Ils  me voient comme une étidante en école d'art, sans avenir. Je ne sais pas ce qu'ils pensent et j'm'en fous, parce que je fais bien mon taf. En fait oui, y'a des mâles en rute à l'atelier. CONNARD DE PUTAIN DE DIEU EN CULOTTE COURTE. Obsédé. Alors se contenir et répondre poliment des conneries, histoire de semer le trouble sur ma personnalités. En rigolant pour bien ne pas être cernée. est ce qu'elle est sérieuse ? Je me dis que je dois être over motivée. Pour avoir envie de faire un doctorat.... et puis pour bosser dans cette usine à papier. Comme disait le nabot : "travailler plus pour gagner plus" Seule motivation, Condé et pouvoir la payer, même si c'est en bossant très hypocritement et surtout même si ça donne raison eà ce connard de président et que ça fait fonctionner le système. M'enf ous, je joue l'égoîste, j'ai besoin de cette tune et de ne rien devoir à personne. Tiens et puis esprit d'iunitiatives qui paye, rien à) redire, sauf des compliments sur ce que je fais. Donc je suis contente.M'en faut pas p lus.
BTS OK. Une ligne de plus sur le CV. Pas fière, juste soulagée de ne pas avoir patienter deux ans pour rien. Pas de mention au BTS, assez bien. Cohabitation difficile du fait de cractères lunatique et de mon esprit solitaire. Saoulage matyernel, plus l'habitude. Ses histoire de cul, d'amants et d'amour. Aujourd'hui, je suis une abeille, pendant toutes les vacances. Oreilles qui ne sifflent pas le soir, pas d'acouphène. bourdonnement des macinas la journée, pas le bourdon, prends pas la mouche. Me fais juste piquer par des araignées et autres bébétes malicieuses et belliqueuses.Patience et liberté. Ladybird. BIceps et triceps qui se développent et autres muscles inconnus. Musculation payée par NOblet, c'est chouette aussi le taf parfois. Pouvoir ne pas penser et réfléchir à rien d'autres que ce qu'on aspire.Phrase qui veut rine dire encore, mais j'me comprends et j'avais envie. J'passe ma semaine à galérer, à attendre le week end alors hein que je prenne un peu de liberté. Le boulon débouDes gouts et des couleurs. décalage, comme à côté. Mes pompes et la fatigue corporelle. Swet inopiné, tee-shirt tête de mort corsica. Or. Indépendant.
Curieux momnet et bonne découverte. Apprivoiser l'inconnu, écouter échanger palabres en vrac. Tout, tout. Provocation, moui, coup de fouet avec le ressort. le bordel des sacs des filles. Oublié la lecture du manuscrit. NTD. J'dis ça, mais c'est une bonne boite quand même.



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