sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Jeudi 29 octobre 2009 à 0:41




 
La MOLESSE, ça vous évoque quoi ?


Pour vous, la molesse, c'est quoi , comment ?
A quelles matières vous l'associez ? 
A quelles couleurs ? Quel son ? Quels mots ?
 
Vous pouvez répondre en un mot, ou en dix lignes.
En métaphores, en expressions françaises, en trucs déjantés, en prose, en vers.
En illustrations, en représentations. Une scène qui vous vient à l'esprit ?

Des associations d'idées ?
Et Dieu sait qui vous passera par la tête.
A propos de la molesse.








S'il vous plait.
(Je sèche et j'ai besoin d'aide. Peut-être deviens-je molle ?)

Dimanche 25 octobre 2009 à 22:01



Ludovico Einaudi. Il m'a dit : "Non, change pas de style." J'ai du mal à rassembler mes esprits. Je veux tenir et avoir la force de m'y tenir. D'y consacrer du temps et de rattraper retard en reprenant l'avance nécessaire pour ne pas se perdre. Que C. Me coupe les cheveux. Que j'ai la force. Que je fasse tout. J'ai le dos scindé de mes hanches, les biceps gargarisés. Et même plus. Il faut y croire. Sinon.



Mardi 13 octobre 2009 à 0:41


 
 
" En même temps il m'avait semblé qu'elle connaissait la vie, ou plutôt qu'elle connaissait de la vie quelque chose qui faisait peur."

" Parfois il me semble qu'à l'intérieur de moi quelque chose fait défaut, un fil inversé, une pièce défectueuse, une erreur de fabrication, non pas quelque chose en plus, comme on pourrait le croire, mais quelque chose qui manque."

" On est capable d'envoyer des avions supersoniques et des fusées dans l'espace, d'identifier un criminel à partir d'un cheveu ou d'une minuscule particule de peau, de créer une tomate qui reste trois semaines au réfrigérateur sans prendre une ride, de faire tenir dans une puce microscopique des milliards d'informations. On est capable de laisser mourir des gens dans la rue."

" Noël est un mensonge qui réunit les familles autour d'un arbre mort recouvert de lumières, un mensonge tissé de conversations insipides, enfoui sous des kilos de crème au beurre, un mensonge auquel personne ne croit. "

" Moi je sais que parfois il vaut mieux rester comme ça, à l'intérieur de soi, renfermé. Car il suffit d'un regard pour vaciller, il suffit que quelqu'un tende sa main pour qu'on sente soudain combien on est fragile, vulnérable, et que tout s'écroule."

 

Mardi 6 octobre 2009 à 23:23



Samedi, achat impulsif sur les linéaires des caisses de la Fnac. Un bouquin intitulé No et moi et écrit par Delphine De Vigan. Parce que le côté "les Delphine sont partout" a eu raison de moi, et bien je l'ai pris. Malgrè mon manque cruel d'argent actuellement [beau creux rouge]. Et bien sûr, le lendemain matin, il était fini. Les mots me rendent dépendantes. C'est plus fort que moi. Et cette plume révolté, comme incomprise, m'a séduite. Parce que narrateur en pleine crise existentielle, bien conscient d'un monde beaucoup trop complexe, injuste. Oui : "la vie est injuste." Et des problème beaucoup trop grands pour un si petit être. Un petit coup de coeur quoi.


Dimanche 27 septembre 2009 à 23:39



Comme une Mamy, elle se préparait sa soupe. Sa soupe, à l'oignon je veux dire. Parce que c'est tellement meilleur avec de l'oignon partout. Puis remettre sa dégustation à demain. Après tout, on a le temps de manger. Tout le temps. Puis le sommeil atteint sa cible. Rien ne sert de courir. Même pour aller au lit, quand le Bibou rougeoit, que le ciel bleuoit, et que Barb(i)e Brune égorgera, ou décapitera C. De la publicité mensongère, je vous l'assure. Mais elle avait quand même tout mis en place pour préparer son grand retour sur la scène capitonnée du théâtre de la vie. Vie morbide, je l'accorde. Mais ce n'est que la vie. Et nous le savons tous, la vie tue. Comme le tort. Mais des oignons, ça met quand même une demi-heure à cuire dans une soupe.

Le retour dans les canalisations. Taire le sujet et lutter contre. Enfin, du mieux que l'on peut, comme toujours. Ce ne sont pas des modèles, mais elle le sont quand même. Alors calcule bien ton coup. Pas d'échec, comme plus de maths. Tu les sens cuire, et parfumer ta casserole ? Uh huh her reste de la musique pop. De lesbiennes, mais alors ? Si on commence à classer la musique selon la sexualité alors on n'a pas fini. Rentrer dans une case, sans pouvoir un jour en sortir, et avoir l'image de. Non mais. Trop bavards. Ecoutez simplement ce qu'elles ont dans le froc, c'est tout. Faîtes preuve d'un peu de discernement. Pour une fois. Mais tu fumes trop, petite vermine ! Ca chauffe, ça cuit. Cui. Comme les oiseaux d'Einstein et de Hitchcock. C'est cela, oui, je boue.


Dimanche 27 septembre 2009 à 14:34



FNAC.
Dalbe.
Fleux.
Mona lisait.
Gibert Jeune.



Samedi 26 septembre 2009 à 1:34



On joue les lesbiennes en chaleur ? Et bien oui. La fille du métro. Un ralenti de fou. Le genre de fille qui fait détourner les regards de toute une rame. Hétéro et homo. Alors matage en toute discrétion et se régaler les yeux. Se dire qu'un jour, peut-être. Brest le 9. Ca commençait à me rendre malade. Tout ça. Un grand vide. Et puis tout revient. On se retrouve. Resto burger ce soir. Nuit de 4 heures donc j'espère être opérationnelle demain. Il le faudra. Regain de motivation pour les cours après une très difficile mise en marche. Ce weekend se devra d'être efficace.

Que je mette au propre les travaux d'Edition et et de Graphisme.
Que je mette à jour et imprime mon CV.
Que je finisse le devoir de Graphisme.
Que je fasse les recherches des exposés de tech de réa.
Que je fasse une mise en page.
Puis celle d'AVA, et de graphisme.
Puis aussi que je fasse le carnet de recherche en EP et le story-board de Pubicité.
Puis la dissertation de tech de com.
Rien que ça.

Alors tenir le bon bout et s'investir. On y va. Section NIKTOU.
Uh huh her... Pfiou...



Vendredi 18 septembre 2009 à 21:43



Concentration. Objectif. Correction. Comptage. Maitrise. Assiduité. Ponctualité. Courir. Danser. Travailler. Rouler. Tenir la distance. Rattraper. Ne pas sauter du train. Choisir. Ne pas chercher. Chercher. Repecter. Planning. Corps. Devoir. Sport. Choix. Assurance. Grâce. Endurance. Distance. Souplesse. Entrainement. Vitesse. Dessin. Feutres. Culture générale. Artistiques. Projets professionnels. Cadeaux. Banquette. Rangement. Tri. Vêtement. Fruits. Légumes. Concombres. Tomates. Haricots verts. Gerlinéa. Pommes. Pas de monnaie. No viennois. No monaco. Reprise de soi. Choisir. Casser la pulsion. Et s'il le faut. Ne pas abuser de la connexion. Se tenir en place. Séduction de soi. Les filles. Coin. Sortir. Appeler. Prendre des nouvelles. Famille. Objectif. Danse. Travail. Rigueur. Emploi du temps. Concordance. Y croire et s'en donner les moyens.
Papiers impôts 2008. Bureau. Décathlon. Chéquier. Banque. Chèque 18 Aarco. Chèque 198 EDC. Chèque 6450 EDC. Livret de famille. 2 photos d'identité. Freebox. Bouquins. Tri. Travail. Rigueur. Danse. CAP. Assiduité. Ponctualité.


Assiduité. Ponctualité. Cuture. CAP. Barre au sol. A plein REGIME !



Jeudi 3 septembre 2009 à 15:48



Aller au forum des associations dimanche.
Prendre une licence d'athlétisme de l'ACBB ou m'inscrire au club Moving.
Prendre RDV chez le médecin pour la pilule et l'autorisation de pratique d'athlé.
Faire les 150 croquis, le mémoire et la brochure de 60 pages que je dois rendre dans 2 semaines.
Arrêter mes conneries alimentaires et me prendre en main.
Acheter le CD à mon Popa et un bouquin sur la CAP.
Ranger l'appart et tout changer à l'intérieur.
Faire le ménage.
Changer les musiques de mon Ipod.

Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, on retrouve les goudoux dès ce soir. Putain c'que ça va faire du bien. Les chéries, vous m'avez manquées.


Dimanche 23 août 2009 à 22:54



Je me suis réconciliée avec la bouffe. Enfin, avec modération surtout. Puis les 450-500 calories des 1h30 de cardio, ça aide à supporter. Alors non, en un moins, pas d'amaigrissement. Pas de perte de poids non plus. Du raffermissement, de la cellulite en moins. Et tant mieux parce que dixit la mère : "Ah ouais, t'en as plus que moi !" Bref. Je prends soin de mon corps. De mon coeur, de mes poumons. Et retrouve les sensation de la course à pied et les ambitions d'il y a 8 ans.
Alors noter les entrainements : parcours, temps, kilométrage, séance, observations. Je rêve à reprendre une licence pour m'entrainer pour le marathon de Paris 2011 et la Parisienne 2010. Et voir pour d'autres courses cette année. Je veux être au top. Alors se renseigner sur les clubs ACVV, ACBB, et autres du coin.
Sur l'île Saint Germain, le week-end vers 11h, plein de coureurs. Plein de lièvres. Pleins de corps à mater. Ces femmes pleines de volonté, qui s'accrochent, toute en sueur. Et en faire partie. Avec fierté, arriver et tenir. Donc courbatures, mais avec joie.
Alors je m'y tiendrai. L'aviron fera le gainage, l'athlé les entrainements, les défis, les progressions. Et le roller fera la vitesse pour gagner du temps pour aller en cours. Et les fesses et les cuisses n'auront qu'à bien se tenir. Les courbatures marquent le fait qu'un travail est fait. 
Pesée du jour, première depuis des mois et des moins. Ce dont je me doutais, so habituel. Bref, je me muscle et le poids est raisonnable. Cest le poids maximum toléré, mais toléré. En plus, plus de muscle donc positif. Ne nous plaignons pas. Mais ne montons pas au dessus. Il faut sécher, courir, cardio, courir, cardio.

A Montreuil, on est comme en vacances, alors y squatter. Pleins de soirées prévues en septembre. Pas de nouvelles de, bonnes nouvelles de. Je suis ce que je suis et j'assume. Malgré les doutes. Alors dans 8 ans, oui. Ou avant. Et on verra. Moi, je me demande ce que tu en penses, puisque ça semble te tarauder un peu. Tu sais, je joue bien la comédie. Et je connais un peu tes limites. Et ton jeu. Je ne rentre qu'à moitié. Me trahis moi-même. Mais en tout bien, tout honneur, je me respecte. Et les autres aussi. Alors, je n'espère rien, j'en ai la certitude moi aussi. Juste que de le dire, ce serait de trahir. Stupide bête. Sale gosse, sale môme, rebelle de canapé. Couarde, veule, pleutre, poltronne, chiffe, demi-sel, embusquée, froussarde, lavette, lopette. Et je n'ose assumer. On verra.

Il ou elle, elle ou il. Who am I ? Suis-je ou pas ? De quel côté de la force ? Même si je me doute. Laissons les barrières ouvertes, le meilleur moyen de ne pas se perdre, c'est de laisser toutes les portes de sorties à disposition, au cas où. Allons mon enfant.



Jeudi 30 juillet 2009 à 0:13



Muscu : séance de cardio, encore mais en 25' - 25' - 25'. 400 calories, des tonnes de sueur. Tee-shirt totalement mouillé, des perles sur les bras, le visage, cheveux imbibés, mains glissantes et tout. J'avale : chocolat chaud - 5 biscuits au sésame - salade de crudités (+ pain) - pomme - 5 biscuits au sésame - pomme. Et free-style le soir. Avec beaucoup d'eau. 
Les retrouvailles ratées. Venir me chercher à la muscu, ça a été oublié, mais ça, je m'en foutais, ça m'a arrangée. Puis me presser pour la douche et le restau. Chinois. Puis me faire engueuler parce que j'aurai maigri. Gnagnagna, faut manger. J'ai bouffé comme quatre et demi ce soir. Hallucinant. Prises de tête pour que dalle, c'était pas comme ça avant. Alors : faut manger, faut manger. Tu vas perdre un os. Genre. Je sais qu'elle dit ça parce qu'elle a grossi et que ça la fait chier de ne plus pouvoir perdre comme quand elle était plus jeune. Mais moi j'y suis pour rien. Alors fuck. Elle voudrait presque que j'arrête le sport. Alors que sans ça, actuellement, c'est la mort de l'art. Bref, qu'est-ce qu'elle peut y comprendre, elle ? 
Puis l'argent lui monte à la tête. Deceiving.

Alors s'accrocher à cete putain d'amitié qui se tisse de plus en plus fort. Et y croire. Points communs et échanges, communication. Réaction, analysé et réflexion. Je pense que c'est sincère. On forme un beau binome. Et les autres, qu'ils pensent ce qu'ils veulent. Nous, on est clean.


Mercredi 29 juillet 2009 à 1:01



Aucune victoire de l'esprit sur le corps. Ou l'inverse. Alors se faire des séances de cardio. Etre rougeoyante, plus d'une heure durant, sur des machines infernales, après 11h de travail sur d'autres machines infernales. La salle de muscu permet de faire le vide, de respirer, de gouter, de transpirer, de muter et de se sentir fatiguée. Quelle chance. 20 minutes de vélo, 20 minutes d'elliptique, 20 minutes de stepper. Cardio, dorsaux. Forgeons, forgeons.
Demain, elles reviennent. Les crises BV et insomnie finiront enfin. I need to sleep. To be fit.



Mercredi 22 juillet 2009 à 23:22



Je n'aimerai pas être de ces bestioles qu'on force à visiter nos tuyaux de canalisation. Elle n'est pas de mon goût quoiqu'elle pourrait être une grande amie. Mais j'aime la fermeté. Et son doigté. Doucexcitée. Alors sûrement que. Mais une chose est sûre. La guerre contre la sinusite. Des crèmes, de gelules. Puis la réconciliation des doigts, et le fructivorage. Alors je continue à bosser comme une dingue. 7h-19h tous les jours sauf le samedi qui est matin et le dimanche qui est chômé. Voilà. Mais la paye. La fierté du travail bien fait, de l'investissement et de la réponse aux esponsabilités qu'on me laisse. Malgré la fatigue, les 2h de sommeil. Le corps qui s'épuise, qui sue au moindre détail. Et le roller. L'appréhension. J'ai hâte. Il faudrait se faire les jambes pour qu'elles soient musclées. Cuisse hard.


Vendredi 17 juillet 2009 à 22:04



Alors d'abord, je dors peu. Trop peu. Aussi, ce n'est pas une raison pour me réveiller encore plus tôt. Et puis, criser bêtement. Parler cul cul cul bite chatte poil toute la journée avec les filles, avec les vieux et mon gros cul. "C'est dangeureux ce que tu fais" Bande de connards. J'irai leur donner raison. Un jour, promis. Et puis on enchainera. Vieille vérité avec le roller. Et finalement ma mère qui se barre chez mn père avec ma p'tite soeur alors que je ne l'ai vue qu'une soirée. Toxico. Je fume de trop. Et je me sens vraiment énorme. Help me Babe. Aujourd'hui tout allait mal. Je suis vraiment dans un autre monde, trop conne. Et pas assez. Si tu avais une solution. Hein ? Play me hard BabyP. J'ai envie qu'on danse avec des roues.
Hinhin. Je suis sonnée. Des chez.

Mardi 7 juillet 2009 à 23:19



D'abord, je suis grosse. Chez ma mère. Au boulot de 7h à 19h tous les jours de la semaine sauf samedi de 7h à 12h. Le mercredi soir, vouinvouinesque. Je ne supporte plus le reflet du miroir et ces pensées étriquantes. J'ai des responsabilités, la confiance de F. et du travail à distribuer quand je suis sur les machines. De la bonne humeur, des chocolats au lait, avec 2 points de sucre. Des clopes à rembourser, un paquet à acheter. Des devoirs à faire et des carnets de croquis à remplir. Puis une idée de génie à façonner.

Pas l'envie de retourner à Tours. Envie de ramer, de s'inscrire, de ranger l'appart, marquer les lieux, mettre en ordre le lieu pour mieux s'y sentir. Se poser chez soi et inviter les potesses. Aller à Rennes en septembre. Une semaine. Se poser des questions et comprendre pourquoi tout a si bien fonctionné entre nous. Le trio. Et revoir les Grib'. Parce que. Les scientifists. Aors vouloir se reprendre en main. Ils ont donné beaucoup trop de taf pour les vacances. Travaille de trop sûrement aussi, mais, se faire 500 euros par semaine n'est pas donné à tout le monde. J'espère pouvoir payer Condé entièrement. Manquera normalement entre 0 et 1500 euros. Plus vers le zéro. Mais bon. Maternelle qui veut jouer sa carte du ayudate. Alors ? 

J'ai surtout du mal avec Corps. Elle me manque. Et puis. Je n'aime pas la savoir comme ça. Mon cerveau fond et je me Louloutise. Les élastiques, le rêve du vendredi soir. Les Ben Simons bavardes et l'écriture légère. J'aimerais que tu comprennes. Alors je ne me pose plus de questions et j'attends. Membres des extrémités asséchés, usés, moustiques voraces et coupures avant-brassesques. Comme au bout vieux temps, sauf que cette fois, c'est les cartons ondulés, le papier et l'acier des machines qui s'en chargent. Alors observer, écouter, acquiéser. Et se taire. Se taire toujours. C'est ce changement qui fait tout. Le silence est la réponse aux abrutis. J'en use et abuse dans cet atelier de fous. Niveau pitoyable, solitude à partager. Mais où suis-je, reclue dans l'Essonne ? Ailleurs. Pas de vacances idylliques, le son de l'air comprimé, le bruits des mécaniques, le claquement des lames, le grincement des machines, le tressaillement des massicots. L'ouie en pleine agonie. Et se faire plaisir sur NanoPote. Alors souffleret imaginer. Rêver longuement.

Bref, tout va bien dans le meilleur des mondes. Croquis, carnet de bord, idées, réflexion. Travail et thunes. C'est tout. Mais à bientôt, promis. Pour elle.
Se reprendre. Tu as compris ?
TLW S4E10. N20PR18.



Mercredi 17 juin 2009 à 11:58



Le week-end. Une semaine et demi pour voir Adrana et Kells en concert, mes sisters et mes potes de Chateau, les cailloux, les zizis, le Futuroscope, le lac d'Hommes, les avirons et le Cher. Sortir deux heures sur le lac, ramer, apprécier le calme, le silence, le bruit de l'eau, le soleil, la verdure. Loin de tout ça. Et lorgner les ondes. Simon revient ce week-end. Faut que je le croise lui aussi. Tous les griboux de retour en France. L'incertitude Noblet, la certitude gaminale. Sylvain repéché lui aussi. Ca mérite une lapdanse ou une danse de l'oeufs, ô femelles de l'espace. Bref, reste Nico et on arrêtera de se bouffer les moignons. Hemhum.
Je suis une palpitation médiocre.



Mardi 16 juin 2009 à 1:25



A la chasse au sticmou. Les bars de Tours : Ailleurs, La p'tite Chose, L'Equivoque. A Rennes, le quai 45. A Paris : Le 3ème Lieu, 3W. L Word : Saison 3, épisode 4. Jus de banane, goyave. Le week-end de fous dans deux semaines. Baby-sitting accepté parce que Maman dans la créa : Mailys, 4 ans, et Mattéo, 2 ans.
*


Samedi 23 mai 2009 à 14:41




http://sidvicious.cowblog.fr/images/Affiche1copie.jpg
C'est simple, il souriait et ça m'a intrigué. "Tu mates plus les filles que moi". Humhum. Comme c'est bizarre. Libertinage. J'essaye de garder le rythme pour retrouver ma forme d'antan. J'ai 5 kilos à perdre. Ca peut se faire en un mois quand même. Puis Fred qui est opé pour cet été, août sur, juillet à voir. A voir.

Si tu veux, on pourra aller au Troisième Lieu/Cantine des Ginettes Armées. "J'aime quand tu me parles comme ça". Alors oui, mater. Apprécier une mousse, un rhum arrangé, des paroles hilarantes, des regards en coin et des dates de concerts à noter. Puis offrir du feu et parler dehors, clope au bec, comme des grandes. 

Comme ça, tu as l'impression de gérer. Musique classique en fond sonore. téléchargelent massif, ça t'apprendra à me bloquer la connexion. Et puis finalement rangement, mettre les pièces en ordre, les idées,  les projets, et les priorités. Une bonne épine d'arracher. "Une rose sans épine, ce n'est plus une rose" Ok connasse, je me la garde pour moi. Je suis une grande, responsable et tout. Qui s'amuse et profite de sa jeunesse. Les soirées shooting, les chocolat viennois, les tickets restaurants, les livres sur l'illustration, la pub, le design, l'art, l'histoire de l'art.
 
http://sidvicious.cowblog.fr/images/Affiche2copie-copie-2.jpgTout est là, tous les ingrédients. Passer ses nuits à psychanalyser les potes, faire des expos, des musées, encore des expos, encore des musées. L'argent aide. Puis une fois rassasié de culture, se réfugier une fois encore dans un bar plus ou mloins douteux et profiter du moment, un peu gay, un peu lâche. Se balader dans la ville, à courir les rues, joyeuses. Fumer de quoi tenir le sourire et les illusions et revenir dans son chez-soi niquel, le coeur aimé, le coeur aimant. Légère et libre. Alors s'endormir dans une tranquilité enviable, loin des insomnies envahissantes, le silence vaporeux berçant ton édredon.

Vous savez, le bonheur ne tient pas à grand-chose. Il faut se le permettre, et fermer les yeux bêtement à l'avenir en se laissant aller au grè. Du vent ? La détremination est là, pas besoin de plus, je sais ce que je suis, je sais où je veux aller et le chemin que je prends. Pour une fois, j'y vais sereinement malgrè la conscience des obstacles. Je pose ma garde, la conserve. Je peux le faire.

10 km en moins d'une heure.

 


http://sidvicious.cowblog.fr/images/Affiche3copie-copie-1.jpg





Projet de communication visuelle :
3 affiches pour la lutte contre le Sida.

Lundi 18 mai 2009 à 13:44



 Fatigue et courbatures, do you see ? Bref. C'est tout. Effort. Poursuis ta quête, jeune padawan.


Lundi 11 mai 2009 à 21:45





Chantons à présent !
Ceci est une Ode à la Vie. Une ôde à la connerie humaine. Une ôde paranoïaque. Une ôde à l'audace, la DASS. Je vous demande d'accueillir comme il se doit (doigtdoigtdoigt doigtdoigt) sous vos applaudissements (mainmainmain mainmain) : MachinTruc et sa superbe "Caritative Song et les Grenouilles Dansent dans le Lavabo"

Corps n'est plus moi. Moimoimoi moimoi.
Il faut se ressaisir. Gnagnagna gnagna.
Ca va virer à l'obsession.  Plupluplus pluplus.
Un organisme étranger. Ca colle pas Papa.
Rejet de la greffe, tu vois ? Moimoimoi moimoi
Des petits bons hommes en fil d'étain. Déteint, des teints.
Qui vont s'amasser, pendus. Dégouts et des couleuuuurs.
Depuis une feuille de carton mousse. Des goûts et des couleuuuuurs.
Tu sais mon p'tit bonhomme, je ne peux rien pour toi. Rien pour vouuuuuuuuuuus.
Mais ne sois pas malheureux. Soyez pas malheureuuuuuux.
Est-ce que ça dépend vraiment de moi ? Moimoimoi moimoi.


Regardez la richesse de ces rimes, la profondeur des paroles, ces choeurs battants jusque dans votre poitrine, cette solennité qui se dégage violemment de la beauté de cette pieuse pauvre oeuvre à roulettes. Non, y'a pas de code secret là-dedans, c'est juste ma gique à moi (moimoimoi moimoi). Vais essayer le thé de ChérieChérie. Petit chien et footing. Lutte contre les kilos. C'est tipar Gaspard. Papapapapar.
(Souriez, vous êtes filmés !)



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