sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Jeudi 31 août 2006 à 23:36

Toujours les mêmes réflexions. Dire à l'écrit ce qu'on pense.

"Je me dégoute."
Ptet que seuls les chromosomes XX sont capables de se dégouter pour de vrai. Des conneries de féministes à la con ? Oui, un peu, surtout du narcissisme, mais on aime après tout.

Voilà. Encore un commentaire inutile polluant ton blog.
HAHA.

Oui, je suis con.
Oui, je me dégoute.
Oui, je me gerbe.
Oui, je me taille.
Oui, je m'ennivre.
Oui, je ne comprends pas.
Oui, je n'ai pas à comprendre.
Oui, je dis beaucoup de conneries.
Oui, je suis tout à fait d'accord.
Oui, tu as raison.
Oui, je suis folle.
Oui, oui, oui. Rien d'autrre à dire.
Oui, tu peux m'appeler Narcisse.


Désolée pour le message. J'avais envie. Donc je. Ego, ego, ego. Tu m'en veux ?
A vrai dire, ma vie n'en dépend pas.
C'est juste con. Oui. J'avais envie de positiver. J'aime le OUI. Pour cette fois seulement.
                          ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
J'en suis une. Une gens[e]. Une gars[e]...
Mais "Je sais que je ne sais pas." Contrairement à beaucoup de "béciles" et de "normaux".

Cela amène à d'autres questions ...
Qu'est ce que la norme, si elle existe ? Existe t'elle ? Puis-je m'autoriser de me considérer "anormal" ? Est ce une prétention ? Est ce normal d'être anormal ?
Qu'est ce qu'un imbéciles ? Somme nous TOUS des béciles ? N'y a t'il qu'un bécile ? Suis un[e] bécile ?

N'est-ce point très relatif tout cela ? Au point que chacune de ces question mérite une thèse encyclopédique à elle seule ?

Je sais que je ne sais pas.
Les mots ne sont que vent. Les maux ne le sont peut-être pas.
Les maux ne sont que vent. Voire tempête. Les mots ne le sont pas.
Ou l'inverse ...
Tout est trop relatif.
Tout est faux, car tout est perception.

Voilà pour ce soir.
Le reste c'est dans ma tête. Peut-être même dans la tienne...
Je n'en douterai pas une seconde.
                            ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Etre ou ne pas être. Jugements de valeur après tout ...

On ne connait des autres que ce qu'ils montrent. Lorsque que l'on montre la Vérité de son soi : la spontanéité, la Chianlie (je sais de quoi je parle dans ce cas-là), la sale gueule de déprimé (quoi ?), le lunatisme, les réponses au tac-au-tac, une vexation quelconque, une tristesse, une mimique et que sais-je d'autres... Toutes ces choses qui ne sont pas jouées, qui sont impossible à maitriser, comme par exemple un regard...
Je me demande si je suis pas vraiment très con...
Là, à ce moment-là, si l'interlocuteur ou le voyeur qui se trouve en face de cette personne Vraie arrive à déceler ce qu'il y a entre les deux oreilles, il peut avoir plusieurs sentiments très compréhensibles : la peur devant tant de complexité (Quoiqu'on peut se demander si toutes les têtes sont compliquées à comprendre parfois), l'amour (du genre coup de foudre : personnalité trop attachante pour être de ... ), l'amitié (se reconnaîte en l'Autre plus ou moins,, ça crée des liens. En tout orgueil bien-sûr, car on se sent souvent moins que cex qu'on Aime; d'Amitié ou d'Amour ), la compréhension, ou l'incompréhension, la pitié, la peine pour la personne pour tel trait de son caractère ainsi trouvé ... Et que sais-je, encore.
Mais vraiment. Pourquoi ?
Les réactions peuvent être aussi variées : attachement direct réciproque ou non, amitié partagées ou non, amour dans un sens ou pas, haine audacieuse, pitié toujours là (qui est plus ou moins cachée, plus ou moins découverte aussi), ignorance ou non, intéressement ... La liste ets exhaustive.
D'où des conversation qui restent, d'autres non ; des liens qui se font, ou pas ; des rapports qui coexistent, ou disparaissent ; un intérêt qui s'amenuise, ou qui s'accroit ... J'en passe.
MOUAHAHAH !
Le mieux dans tout cela, que ce soit haine ou amour, amitié ou pitié, quelle que soit l'impression, le sentiment, ou la sensation laissée ; l'important, j'en reste persuadée, c'est la réciprocité. Quand chacun éprouve pour l'Un, l'exacte ressenti de l'Autre. Là, c'est magique. Et ce, dans la haine ou l'amour. Car c'est par là que tout existe, persiste et excite. Que ce soit l'envie de faire du mal ou de faire du bien.

Car la réprocité implique forcément complicité : Lachez deux ennemis sur une île déserte, ils deviendront forcément amis. Nous ne prenons pas en compte les diverses autressentiments mélés à tout ce grabuge humain.
Nous n'existons de toute façon que de par le regard des Autres. Ce qui peut gacher une vie, ou la rendre heureuse. Il faut savoir prendre en compte sa propre vision des choses et parfois l'oublier, l'atténuer.

Cela dit, ce propos est tout à fait inutile. Des questions sur l'utilité des commentaires, des blogs, des relations humaines et nous pourrions nous écarter très loin du sujet. Comme je l'ai sûrement fait à travers ces quelques paragraphes... Allons donc à l'essentiel (parfois, un de mes travers) :
" Bravo pour cette complicité, cet attachement. Et cette réprocité, si elle existe. Et si non, qu'elle se forme comme une forteresse, impénétrable et indestructible (comme les Voies du Seigneur parait-il).
Bonne continuation, bonne route sur vos propres voies (même si ce ne sont pas celles du Seigneur). "
J'ai des problème à la cervelle.
Ce n'ets pas grave, hein ?

PS : si quelqu'un a tout lu, bravo, et merci pour l'attention utilisée et la compréhension, peut-être. Aussi, tout ce blabla est à nuancer, à compléter, je ne prétends pas avoir science et conscience. Bonne réflexion si telle est déclenchée par cette petite lecture. (Et dans ce dernier cas, MERCI !)
Qu'est ce qu'on peut en penser ? Hien je me demande ?
Faire le tri entre l'important et l'urgent, c'est le minimum pour y arriver.
TU Y CROIS TOI ?
TU Y ARRIVES ?

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