sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Mardi 29 juin 2010 à 23:38
Je ne savais pas quoi faire. Alors je l'ai mangée. Liquide, livide. Obsessionnelle.
Mardi 22 juin 2010 à 19:50
Je perds mon temps. J'ai faim, j'ai froid. C'est l'été et je nage dans une pâquerette en sucre. J'espérais mieux qu'une poignée. Une pauvre poignée.
Mardi 22 juin 2010 à 1:14
L'osmose platonique. Comme dans une bulle chacun de notre coté. L'impression que l'on s'. Peut-être qu'un simple moment. Pas besoin de tous ces compliments. Peut-être la timidité. Pudeur. "Je ne rêve pas quand je suis avec toi. Tout est blanc." Le néant entre nous, mec. Parce que tu pourrais être un autre que ce serait la même. Il faut imaginer Sisyphe heureux. Juste baiser et fumer, pas d'attachement à d'autres détails. C'est si simple, que parfois on ne comprend plus l'équation. La quintessence du graphiste. Et rager. Juste un instant. C'est bon de ne pas se prendre la tête. Et d'accepter le temps. Si bon. Le jeu de l'ignorance mutuelle. Ne nous le cachons plus.
J'aimerai te revoir. Plus souvent. Beaucoup plus souvent. Le travail. Juste le travail.
J'aimerai te revoir. Plus souvent. Beaucoup plus souvent. Le travail. Juste le travail.
Dimanche 20 juin 2010 à 5:07
C'est juste que j'ai compris ce qu'était l'électro, le vent dans la rue du Chat que Pêche, les taxis d'appoint, la ligne H et des flics tous les 50 mètres. Donc les bédos difficiles à rouler et le "bon pissou". Parce que ça valait son pesant de simplicité. Des week-end comme j'aimerais en avoir à chaque fin de semaine. Et ça ne tient qu'à moi. Avec Le Dune. C'est si simple quand on y pense. Pourquoi ne l'avais-je pas compris plus tôt. ? Je dis une bêtise, c'était compris. Mais une parisienne qui vit à Paris. Aussi, réaliser : j'assume mieux la carcasse, collants opaques, jupes courtes, débardeurs et chemises noires. Avec des docs pour garder mes vrais pieds. Un peu rock and roll, mais pas rebelle à deux balles. C'est simplement bon de respirer. De respirer. Tu ne t'en rends pas assez compte et je voudrais te montrer comme ça se passe. Que l'imprévu et le zen resteront les meilleures armes de la soirée. Caisse du samedi. Pas grosse, pas claire, avec des basses comme il en faut, du son. Des idées pour le sujets d'EP. Et une nouvelle illustration, bien-sûr. C'est tellement bon de reprendre le crayon. Tellement bon.
Tout a été numérisé, scanné, sauvegardé, prêt à être modifié.
Alors souris.
Tout a été numérisé, scanné, sauvegardé, prêt à être modifié.
Alors souris.
Samedi 19 juin 2010 à 19:44
Lazouave. Ahlala. ce fut une soirée comme je les aime. La caisse du vendredi. Et M. que j'ai retournée par des retouches de malades. Il fallait pas me provoquer. Au moins, ils auront compris. Je ne suis pas qu'une naze, mon petit.
Jeudi 17 juin 2010 à 0:52
"Comme une petite fille qui se serait négligée". HAHA, ça, c'était drôle. Le reste, ça l'est moins. Je veux dire, je sais pas si tu te crois drôle, mais ça me fait pas rire. A dire vrai, c'est sûrement plus drôle si ça ne l'est pas. Va tant comprendre... Je ne demande rien d'autre. Moi j'suis con, moi. L'heure tourne, tu as raison. Et toi aussi.
Vendredi 11 juin 2010 à 20:35
Et je reste à côté. Sur le bord de la route. Une brebis égarée. Qui ne rentre pas dans ton moule. Dommage. J'ai du mal à comprendre. J'ai dû mal comprendre. Encore. Et j'y ai cru, comme un oiseau qui s'envole de son nid, paré de certitudes. Bien-sûr. Paul Arden est mon ami. Ma seule conviction est ce qu'il vient d'enseigner à ma graine un peu fade. Je retombe, tombe et tombe encore. La pauvre truc. Sérieux, tu peux rire. Tu peux t'esclaffer. J'ai juste simplement compris. C'était tout bêtement une grosse arnaque. Un petit jeu de courte durée. Je t'appelle, on en parle dans le week-end. OK.
Je vois clair, pour une fois. Tu sais, c'est beaucoup plus simple pour tout le monde. Au moins, je sais à quoi m'en tenir. Il ne faut plus aller si vite. Plus aller si vite. Les aiguilleurs auraient pu nous permettre de s'envoler, finalement, on s'est écrasés comme des merdes. Des sous-merde.
Vendredi 11 juin 2010 à 0:11
Je comprends. Il veut que j'ai l'ambition. Je comprends. Il veut. Juste pour moi.
De l'autre côté, il pleut. Dans mon jardin, la lumière s'éteint. C'est déjà tout vu. Facilitons la tâche, lançons des serviettes sur la marmelade. J'ai froid. C'est vraiment si stupide. Le PCF des TechMu. Ou la naïveté du grand chelem, je vous envoie des fleurs, bien pâteusement. C'est le don de trouver des excuses. De parler meuf. De bouger asticot. D'être un extra-terrestre. Un machin oxydé par les touches d'un clavier. Je déteste ça. Tu comprends que dalle à ton aveuglement. Je comprends que dalle à rien. On est sur une orgie de pensées confuses, d'événements bizarres. Tu sais, deux mois, c'est un poil long. Un poil seulement. A toi de saisir. J'ai perdu une roue en chemin, il a dit qu'il changerait de camp. Peut-être que moi aussi, mais plus par dépit que par intérêt. Si tu savais comme je la déteste. On est perdus. Dans un canyon, tu n'essaieras pas ta corde. Y'a du pillon pour vérifier cette vérité.
De l'autre côté, il pleut. Dans mon jardin, la lumière s'éteint. C'est déjà tout vu. Facilitons la tâche, lançons des serviettes sur la marmelade. J'ai froid. C'est vraiment si stupide. Le PCF des TechMu. Ou la naïveté du grand chelem, je vous envoie des fleurs, bien pâteusement. C'est le don de trouver des excuses. De parler meuf. De bouger asticot. D'être un extra-terrestre. Un machin oxydé par les touches d'un clavier. Je déteste ça. Tu comprends que dalle à ton aveuglement. Je comprends que dalle à rien. On est sur une orgie de pensées confuses, d'événements bizarres. Tu sais, deux mois, c'est un poil long. Un poil seulement. A toi de saisir. J'ai perdu une roue en chemin, il a dit qu'il changerait de camp. Peut-être que moi aussi, mais plus par dépit que par intérêt. Si tu savais comme je la déteste. On est perdus. Dans un canyon, tu n'essaieras pas ta corde. Y'a du pillon pour vérifier cette vérité.
Lundi 7 juin 2010 à 20:40
HAHA. Y'a rien d'autre à ajouter pour ce coup-là. Qu'il faut se donner les moyens et que tout roule. Tout est trop lié à l'affectif et la commande de B. a été expédiée.
Dimanche 6 juin 2010 à 22:07
Tu sais que ça m'énerve, ces revirements de situation ? C'est vraiment agaçant. Ce n'est pas une finalité en soit. Rien à espérer. Rien à chercher, rien à voir, rien à attendre. Retourne chez toi. Le mieux, c'est ici, dans ta sphère, dans ton cadre. J'ai pas envie d'aller voir ailleurs, pas envie de rester coincée. Je ne comprends pas comment faire autrement. Un peu sous le choc de tes émotions. Un peu surprise. Mais qu'est-ce que je croyais ? On joue, on joue, on perd. Qui perd gagne. J'ai tout gagné. Ce n'est pas un échec. L'échec permet d'avancer. Soit. A voir. Il est plus simple de tous les voir, de passer du temps avec eux. De rire au bout de la nuit, quand la tour Eiffel s'éveille, depuis le Trocadéro. Fais tourner ta garrot, à l'indienne, c'est la dernière. A rêver qu'on est tous ensemble, que tout est plus simple.
J'irai simplement craché sur ta tombe, comme un bison volant. Un bisou volé. Ou l'inverse, qu'en sais-je ? Une ballade en pleine nuit. Se retrouver au fond de soi. Comme au tout début. Simplement sans but. J'espère trouver, un jour, ce que je cherche. Que ce soit loin ou pas. J'ignore tout ce qui est là. Il est certain que je n'aime pas attendre. Pas comme ça. Ca ne tient qu'à moi. Peut-être aussi. Je n'en sais foutrement plus rien.
De tes nouvelles. Ca enlève toute motivation, cette situation. Grâce à toi, record battu. Je te félicite de tous mes ovaires. Je vais marcher, ça m'aidera probablement plus.
Jeudi 3 juin 2010 à 0:04
Il est clair que je ne vais pas tenir ce rythme tout le temps. 9h30-19h30, 1h30 de pause. Stage, bonne équipe, boulot, réflexion. Remise en question des idées, de la créativité. De l'effet des psycho sur l'esprit, la vivacité et la créativité. Le soir est vraiment léger. Beaucoup trop, et ce n'est pas forcément que je n'ai pas faim. On s'en souvient, ça commence toujours comme ça. On croit maîtriser, revenir à la normale, qu'un regard peut tout changer. Mais ça ne suffit pas. C'est une drogue, ce n'est pas doux, courroux douceureux qui s'abat sur ta gueule d'amour et revenir en trombe. Un pied dans la tombe. Juste un doigt de pied, mais c'est le début. Les chiffres du compte n'arrangent rien, les tendances environnantes non plus : dépenses exigées, être in. Mais je n'ai plus de monnaie depuis une semaine, donc le frigo est presque vide. Reste crème fraîche, beurre, et gruyère rapé. Sourions alors. Mais quand t'as pas un euros pour t'acheter un paquet de pâtes, ça revient au même. Que dis-je, c'est pire. Le placard est vide, plus que des épices, du thé, du chocolat en poudre. Alors j'ai trouvé la solution : une gorgée de crème, une fourchette de gruyère, puis un doigt de ketchup. La théine est quand même salvatrice, les deux sucres rechargent la batterie. Les arlequins de Am pour remettre les pendules à l'heure. Histoire de tenir.
C'est vraiment la merde. Alors comment je paye l'école, ce n'est plus une question de vie, c'est une question de mort. Je sais que l'année prochaine ne sera pas crêmefraîchisé et me demande comment troquer ma crême légère liquide contre des féculents, des légumes ou des fruits. Plaie d'argent n'est pas mortelle, il parait. Mais c'est un peu dur aujourd'hui. C'est un peu dur depuis une semaine. C'est même impossible. Qu'on m'explique comment faire. Impossible de bosser cet été. A moins de caser un taf le soir. Entre 20h et 9h du mat. La question, c'est quoi, et comment tenir. Je ne vais pas tenir un tel rythme longtemps. Je ne sais pas comment je vais pouvoir assurer trois mois entiers à ce tarif.
Dire que c'est une question de mort, c'est exagéré, OK. Mais c'est pas simple et c'est de pis en pis. Si si, la famille. Reste le téléphone, ces conversations courtes qui ravigotent. C'est déjà ça. Merci toi. Et merci de me retrouver au Dune : pas de dépense, mais de la chaleur humaine. Je mise ma motivation dans ces choses-là. L'avenir est dans tes mains. Dans les miennes. Le moral est plutôt bon, mais ce soir, Sugar, j'ai le cafar. Un bleu Klein, mirabelle, mirador : tu me manques.
C'est vraiment la merde. Alors comment je paye l'école, ce n'est plus une question de vie, c'est une question de mort. Je sais que l'année prochaine ne sera pas crêmefraîchisé et me demande comment troquer ma crême légère liquide contre des féculents, des légumes ou des fruits. Plaie d'argent n'est pas mortelle, il parait. Mais c'est un peu dur aujourd'hui. C'est un peu dur depuis une semaine. C'est même impossible. Qu'on m'explique comment faire. Impossible de bosser cet été. A moins de caser un taf le soir. Entre 20h et 9h du mat. La question, c'est quoi, et comment tenir. Je ne vais pas tenir un tel rythme longtemps. Je ne sais pas comment je vais pouvoir assurer trois mois entiers à ce tarif.
Dire que c'est une question de mort, c'est exagéré, OK. Mais c'est pas simple et c'est de pis en pis. Si si, la famille. Reste le téléphone, ces conversations courtes qui ravigotent. C'est déjà ça. Merci toi. Et merci de me retrouver au Dune : pas de dépense, mais de la chaleur humaine. Je mise ma motivation dans ces choses-là. L'avenir est dans tes mains. Dans les miennes. Le moral est plutôt bon, mais ce soir, Sugar, j'ai le cafar. Un bleu Klein, mirabelle, mirador : tu me manques.