sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Dimanche 26 février 2023 à 12:54



J'avais très envie d'envoyer un message de gratitude inconditionnelle à toutes ces personnes qui m'inspirent.

 

Des gros cailloux, celleux qui restent, s'empilent les unes sur les autres, qui immuables dans le sol de mon jardin affectif, créent une falaise d'où ma vision s''élèvent. Le team spirit.

Et avec pas mal de ces personnes, effacer peu à peu les challenges d'être face à soi-même en évoluant dans ses postures. Mais c'est être encore un peu chamboulé.e.s par le fait de découvrir des nouveaux "ce n'était pas okay" et de devoir les processer. Poser ses limites est un travail qui demande de se sonder. Alors essayer tant bien que mal d'organiser ce bordel, d'entrevoir les patterns, de foudre du sable dans les engrenages toxiques. Ou plutôt mettre de la graisse pour que ça roule mieux, que ça frotte moins et faire en sorte de devenir une/des personne/s meilleure/s chaque jour. 

De ces inspirations humaines qui permettent de structurer le dawa interne.

Hier j'ai pu exprimer la colère. Il est temps que j'exprime mieux. Je me réconcilie doucement avec toutes mes émotions. Gros enjeu sur le sommeil. A prioriser. Gros enjeu sur les tensions kiff et taf. Sur le chill et la spontanéité. L'orga et la displicine. 

Et prioriser. 


 

Mercredi 19 octobre 2022 à 0:35



Toi, que tu sois bien, ça me fait gerber.
Et toi, que tu n'ailles pas bien, ça me fait gerber aussi.

C'est pas juste. J'en ai marre de vous soutenir. Marre de vous voir autour de moi. Et c'est clair que c'est pas juste ce que je dis. Tant mieux si y'en a qui s'en sorte. Tant mieux si tu préfères t'isoler. T'es mieux ailleurs qu'à me faire subir tes débordements émotionnels. Assez de faire mon maximum pendant que tu te laisses aller. Assez de tes humeurs, et que tu ne prennes pas soin de toi. Assez de faire le job analytique pour tous ces groupes ingérables, de prendre sur moi, de nuancer, de prendre de la hauteur, de faire un pas de côté, expliquer, être patiente et reformuler. Allez vous faire foutre. Va te faire foutre, empathie de mes deux, et dégage.

J'essaie de mettre des trucs en place. Pas super douée pour le suivi, mais peut-être qu'encore c'est ce putain de perfectionnisme qui prend la parole. L'esprit interrogateur. Plus envie de vous parler, juste envie de vous insulter. Et vos jolis mots mielleux, et obséquiosité de mes deux, allez vous les mettre au cul, torchez-vous avec. C'est Gilles de la Tourette qui s'exprime pour moi. Allez vous faire foutre.

Je vous aime. Une partie de moi vous aime. Ca, c'est ce que je crois. Une partie de moi vous regarde avec condescendance, par votre manque de résilience. Une partie de moi vous en veut de me demander autant d'énergie. Une partie de moi s'insurge contre vos comportements. Parce que vous n'écoutez pas, parce que vous me minimisez. Parce que vous êtes là, toujours. Et parce que vous ne comprenez pas, et ce autant que vous me comprenez parfaitement.
Et je ne m'aide pas, là. J'en ai conscience. 

Allez voir ailleurs si j'y suis, mais moi je veux être seul.e.


 

Samedi 8 octobre 2022 à 12:21



Se souvenir que c'était la peur qui gouvernait cette maison de 400m². Elle régnait en maîtresse indéfectible, et annihilait toute spontanéité de joie et d'enthousiasme. L'over-compensation qui s'en est ensuivit. Car, ne nous mentons pas, si chercher le kiffe dans chaque petit instant du quotidien est existant, c'est bien parce que ça a été travaillé, puis acquis. Alors se poser l'incroyable questionnement de la peur et de sa gestion au quotidien. Parce qu'en fait, cette peur n'a aucune putain de place dans ma vie actuelle, par des principes de vie qui semble plutôt sain en vérité, mais le sont-ils vraiment ? Donc hier soir, sous une énième douche brulante, j'interrogeais la place de cette émotion et la conclusion s'est imposée assez simplement : non, je ne laisse pas la place à la peurdans mon quotidien. Et, si on veut nuancer un peu, parce que bon, okay, c'est bien mimi tout ça, des appréhensions y'en a, et des appréhensions, c'est des expression minimaliste de la peur, non ? Solution forwarded. Bon, ouais, arrêtons de se mentir un peu. Des peurs y'en a et y'en a eu, mais on met bien des stratégie d'évitement pour les affronter. Est-ce que c'est sain ? A quel point ça ne l'est plus ? Quand on se met en danger ? En conséquence : à quels endroits se manifeste la peur, et elle est gérée comment ? Et à quel niveau ? J'ai décidé d'y songer plus tard, ébauche de réflexion à creuser. Dommage fromage, ce sera pas maintenant.

Hier, les colocs ont dit "on y va deux heures et on rentre", il n'en fallait pas plus pour faire une seule voiture et se mettre bien. Y'avait du beau monde au banquet. Les orga ZUT, les camarades, les copaines qui revenaient de leur périple en vélo, les gens de LHF. Du coup, causerie avec la soeurcière bien-aimée et sa disponibilité sans faille. Entendre que c'est aller à la rencontre l'enfant d'avant et de l'écouter, ellui. Et lui faire des gros calins. Bah ouais, mon p'tit, mais j'ai cru un moment que je l'avais tué.e, laissé.e sur le chemin. Ha bah ouais, en fait, c'est ptêt ça le truc, retourner là où on l'a abandonné.e, lea prendre par la main et lui dire que ça va aller. Je sais pas si je sais faire. Steph et son clin d'oeil "J'aime beaucoup c'que vous faîtes". Elle a rencontré une thérapeuthe qui faisait de la maïeusthésie en Ardèche, ça avait été magique pour elle aussi. On a échangé des adresses.

Donc bien-sûr, boulimie de flammeukueche. Parce que bordel, pourquoi pas. Boulimie, vraiment ? Hm. Manger compulsivement des trucs super bons parce que t'es pas à l'aise ? Bref, c'était pas excessif en vérité, regarder avec de la hauteur. Sans laisser des mécanismes à gerber (haha) s'installer paisiblement, observer que lâcher du leste sur les notions de bouffe, ça fait du bien en ce moment. Là, on entend à grand pas vrombir l'autre côté de soi qui dit que non, en fait, bien manger, c'est ça qui fait du bien et pas autre chose. Okay, merci pour ta participation. C'est entendu, merci les petites voix. Vous êtes mimis à vouloir prendre soin de nous. Rappelons ici qu'on se kiffe toutes, et qu'on a tous.te.s les mêmes objectifs : tenir la barre, mais pas trop haut non plus. Okay ? Allez, câlin co ! Hop hop hop !



Juste avant de partir, réception un SMS de AMVH qui m'a répondu. Ca m'a fait plaisir et j'ai aucune énergie pour répondre à son message. AH LA PEUR ! HAHAHA, ah là, ça fait moins le malin dans les gradins ! Je me fais marrer très fort parfois.

Bon, reclarifier ses objectifs des prochains mois :

1/ Mise en place d'une hygiène de vie impeccable mais faillible parce qu'on est humain et que errare humanum est kaj mi estas humano do mi estas erareble. Syllogisme powa.
- Méditation, yoga, faire de ces pratiques une habitude (> les associer aux brossages de dents ?)
- Se reposer, faire des trucs qui font du bien au corps : shibari, tissu, zic.
- Voir AMVH
- Rappeler SOS-IVS et voir si je peux avoir un suivi par un.e de leur professionnel. Donc aller à Nantes régulièrement ? 
- Aller aux cercles MINT de la Commune
- Trouver des axes graphiques pour se remettre aux pinceaux, refaire de la lino et des bafouilles de papier, des carnets, loisirs créatifs
- Prendre soin des collectifs et des aimé.e.s en passant du temps avec elleux quand on a l'énergie
- Caser 2 semaines de résidence tarot et se mettre au vert avec Piou
- Envie de passer du temps à NDDL, la Cluzad et à la ZAP. Voir comment ça s'articule et voir si le moral est assez en béton (haha)
- WE esperanto ?
- Couture de tous les machins que j'ai à coudre et me faire plus de shorty !!!

2/ Finir les trucs en cours (pour booster sa confiance en soi en faisant les choses bien)
- Finir d'organiser ce chantier yourterihl22, l'animer
- Finir la yourte de Simsim
- Faire les bilans RIHL, soin et orga, taper les CR
- Faire les comptes HLEP pour la yourte RIHL22
- Réorienter les copaines et leurs yourtes non finies vers des personnes en capacité d'animer les chantiers et faire un tuilage (Rha bordel de piano à queue, y'en encore du pain sur la planche)
- Faire les livraisons LHF puis trouver quelqu'un.e prenne le relai pour 2023 ou en profiter pour aller voir AMVH à Poitiers ?

3/ Repartir sur d'autres trucs qui font sens sans créer trop de pression
 TRAVAIL

- Participer plus (ou moins) activement aux activités de la Scévolline
- Faire du tri dans sa to-do
- Faire le lien entre les réseaux de soutien des groupes dysfonctionnels avec les réseaux soins existants
- Voir si on est chaud pour la pratique du CNT ou pas encore. Se poser la question du comment on va, comment on peut aider, comment sustain son énergie dans le soin en ce moment ? Sans se crâmer.
- Finir la com pour le CNT
- Réfléchir à cette question de convoi de manière littérée, et pas seulement avec les guts
- Animation du chantier Poëlito pour voir les copaines de l'atelier du Zéphyr ?


Truc chiant à prendre en compte pour 2023 :
- Réfléchir au mémoire de shiatsu. Retour au point de départ : la question de comment la shiatsu peut accompagner la pratique militantiste (question de burn out, émotions liées à la gestion de groupes, cf travail avec le groupe dysfonctionnel et FauxlaMontagne). Ptêt que ça peut faire l'objet d'un zine rigolo au final.



WOW. Concluons que y'a quand même des difficultés à ne rien faire. Que c'est se leurrer de penser que je me complais dans l'oisiveté. Donc comment agencer toutes ces envies sans brûler sa carcasse. Timer le temps qu'on donne aux choses
Bon, bah on va pas se laisser tomber.
Que le patriarchat aille se faire foutre par lui-même.



 

Mercredi 24 novembre 2021 à 21:17


Là, je comprends comment on peut devenir fou et perdre ses moyens sous la douleur. Ecrire et écouter de la musique semble complexe. TOUT semble difficile. Résoudre un sudoku, la logique est allée se faire foutre. L'ocytine et l'endorphine sont, ou parties en vacances, ou elles pagaillent dans la semoule. Jouer à un jeu simple requiert un effort sans prédécédent, lire un article de presse un peu complet, un papier médical, ça devient la mort. Aligner 5 mots dans l'ordre, c'est un miracle. Dessiner aussi n'est pas simple.

Le mental a foutu le camp. Le placebo de la mort est décédé sous la douleur, juste écrasé, écrabouillé, détruit en miettes. Okay, le dire, ça n'aide pas à être constructive vers du mieux. Je fais ce que je peux, je vais pas auto-flageler mes sensations maintenant. Je suis déjà assez en colère pour rajouter ça. Et j'essaye de modérer toute violence interne parce que non, ça va pas non plus créer quelque chose d'aidant dans la guérison. Rester immobile est une torture bourrée d'ennui. Même regarder un film devient la mer à boire, faut faire une sieste au milieu. La vie devient maladroite, voire dangeureuse, la gravité gagne sur mes réflexes, sur ma préhension, ça se casse la gueule. Se cramer en utilisant un briquet, manquer de vigilance.
La yourte ressemblait à un appartement d'étudiant faignassou. Crade, tout à portée de main.

Alors j'appelle mes parents. Assez rare pour être noté. J'avais oublié comme c'est chouette. Alors je me sens un peu stupide aussi ici. 

Tout semble aller très vite parce que je suis d'une lenteur notable. Odeur de gaz... Je pensais l'avoir éteins tout à l'heure quand j'ai cru oublier de fermer la bouteille ? WOW. Dur. Nan, je délire olfactivement peut-être XD

Et puis cette sensation étrange d'être dégoutée par la bouffe. Et sentir que ce n'est pas bon non plus. Quand les signaux qu'on t'envoie ne t'envoient pas vers du positif et que tu le sais. Aller bien, c'est juste dans la tête. Faudrait que je dorme plus. Se concentrer sur cette tâche-là. Le sommeil, meilleur allier du système immunitaire. Avec la bouffe que tu fous dans ton corps. LOL. Okay, demain creveer l'abcès et aller à l'hôpital avec Lulu.

Mais le Jojo n'est pas Havard de caresses. Ni de ronrons. C'est une bonne bête.
Douceur, bouillotte de poils. Arrêter le temps ensemble. Le chat, animal merveilleux. MagicJo en particulier. Buddy.

CA VA ALLER. MAINTENANT.
On peut etre down une minute lorsque l'on se sent ses capacités cognitives se relâcher.
Prendre une autre attitude. Trouver d'autres distractions plus simples, et s'endormir en route si besoin. C'est okay. Ca va bien se passer, parce qu'on a tous.tes les protéines qu'il faut en interne. La somatostatine. Belle découverte.

OUI.
MAINTENANT.
J'ai même pu aligner au moins 5 mots dans cet article. Avec 10.000 interromptions calinales du chat roublanc. C'est dire. Magic D-jo <3




 

Lundi 29 octobre 2018 à 14:35




La tête en feu,
Le pubis inflamé,  
Les nerfs enflammés,
Brûlent les capacités de concentration,
Cautérisent le coeur.

Dans la fissure des émotions,
Une ombre furtive, jalousie, et sa soeur distance s'échaudent.
L'impression de s'être trompée d'espace-temps,
Dans une faille spatio-temporelle
Être à mille lieux de sa propre carcasse.
Observer les dynamiques.
Se blâmer d'être là, pas à sa place.
En trop. 

Devenir une ombre de soi 
Dans l'ébullition de son propre sang :
L'utérus cramé,
Faire l'impasse dans la lutte.

Ne pas savoir comment se battre, acide et acerbe, muette.
Choisir la fatigue et la solitude, à l'intérieur, pour se protéger.
Prendre le fouet et s'auto-flageller.
Se mortifier dans le froid,
Essayer sans succès de sortir ses masques.
Les vieux travers ressortent parce tu enfanteras dans la douleur.
Les autres aussi. 

Atteindre l'état second dans l'intensité des émotions. Et ne plus rien comprendre. 
Le mal-être physique disparaissant aussitôt, ne reste que les émotions embrouillantes. 
Mais c'est déjà ça, ça soulage le corps. 
Et les esprits - sur le moment. 
Merci aux peaux chaudes qui se frictionnent.
Et mater encore et en corps.

Alors dans le gris du lundi,
Se réfugier dans le travail ardu et les futilités :
Éviter de se retrouver seule face à ses pensées. 

Note pour soi-même :
Le sommeil est père de longévité. 
Ordre à soi-même :
Deux paquets de clopes et on arrête le désastre. 

Et songer à aller à Lyon voir les essentiels.
Alors s'organiser parce que le temps nous file entre les doigts. 
Ninou, Toon, Cam et Domi. Rendre son tee-shirt à Tibo.

Koalamour salvateur. 
Compter les heures, les jours. 
Poster la carte en retard, encore.



Dimanche 29 novembre 2015 à 20:51

 

Du blue, c'est juste un coup de bleu qui pointe son nez. Le froid revient dans les coeurs. Les regrets de chair et d'os qui datent, et des fouilles approfondies qui trouvent ton palpitant arrêté. Tu sais, j'étais en colère. Ca me faisait mal de te voir sourire pendant qu'à l'intérieur, j'épuisais mes larmes.
Alors j'ai fait ce que je fais de mieux un jour de peine. Au lieu de la partager et libérer la douleur, de te permettre de m'écouter, de me rassurer éventuellement et de me prendre dans tes bras, au lieu de trouver du réconfort, de m'ouvrir à toi. Nous détruire, ce que je fais le mieux, je t'ai poussé vers la porte de notre maison. Et j'ai pleuré encore plus. J'en pleure parfois encore. J'ai donné S. à un gamin un jour, un peu après ça. Il était triste avec moi, comme moi, sans toi, lourd et paisible, il attendait un adieu et m'a arraché des larmes et le reste de notre nous.

Puis des années après, c'est la même musique, c'est celle de la goutte qui tombe lentement sur ton tee-shirt.
Les regrets de l'handicap sentimental. Tu sais, je m'ennuyais de toi, si seule, si loin. Je pensais te perdre mais c'est moi, la cause perdue. Maintenant qu'on en parle au passé tu as toujours un place dans mon coeur, large et enviable, grande comme un amour jamais fini.

Sache-le : je t'attends.
Si tu te sens seul et que tu veux de moi, je serai là. Fais moi juste un signe de la main, je comprendrai. 


 

Lundi 1er septembre 2014 à 15:34



 

Listen, you're your own puppet. It's too surrealistic for me. You're a sketch of yourself, lost in your own foggy mess. This puzzle of your life is unfinished. Balance missing: eternally inchoate. Coarse words uncouthly thrown to my ears. Crude overreactions launched by your low self esteem, cease those reproaches, cruelty isn't needed in your speeches. No need for passive aggression. Find another victim to care about your issues, maybe a therapist. You rape my joy, you raped my hopes. Us is a continuous joke and brevity is source of wit. Get it!

Don't you play the emotional manipulator! Don't you try to make me feel guilty about everything? Don't even try again, because I'm not that stupid, and the match isn't going in your favor. I can see through you being so limpid. I can even see it in the dark. This role is pathetic and doesn't suit you though. You're not definitely the one I used to know: your brain has been killed, assassinated by your insane depression. That swoons us and drain my emotions: too much drugs, too fool.I refuse to be a puppet or part of the game any more. I'm too rational for your thrills.

I used to run on my sufferings, they now disappeared: you took over. Inertia breaks, stopped on the roads of pretended liberty. Our presumed freedom fucked our security up, it teared us apart. Your blinding insecurities became mine destroying my own at the same time. That wasn't my choice and in a way, thanks for that: I do feel better about myself. Unfortunately, you're losing a game, and that takes me down as well. But I was used to myself so I'm used to worse. It doesn't mean I haven't had enough you saying I don't get them. Just try to loosen your strangling struggles. I understand.

You're severely navigating on the wrong seas, against the tide. I'm not you're mermaid not your maid, your man or your mother. Certainly not. Hire a new butler, get a strong one. You're allergic to folding my cloth but not to offering me premenstrual period pills. What is the actual fuck, you don't even know when I'm on my periods! Crossing the lines of respect brings chaos, don't you know? Collapse isn't that far. I might misfire. Don't let me go on the board, miscarried. Aborting, muddling our mornings won't wind up our night. I don't want to fail, foundering so I'm still grounding. On the top of your mind abuses, your dazzled selfishness, on top of us. Reason will triumph.

 There isn't prude happiness but faded and rough love, strengthening but true. Let's color it again. I believe I was right about you as much as I believe in us. You are amazing. Your eyes, your spirituality, your ease are shining. You smell love, sparkles in the night, illuminates rainy days. Can't you see how beautiful we are? Can you? Please do. If not for you, then for the relics of this love we still share. For those projects we'll never do that make our futur brighter. You'll always live in the deepest cells of my body. I'll find you in hell where we, us, have fun, where we drove our togetherness. Fighting others. Us against the rest of the world. I still love you and I'll always will. Don't break me. 

And please, don't push me away. Protect me from you to preserve us. We do deserve better than tempers and waste. I loved our sky, this soft, fragile and reinsuring haven. Hold me tight please. Disperse those gray clouds from our shelter, we'll learn to smile again, safe, if you want to. Please don't let my feelings crumble, we're too high to crash down. Fabricate us some wings, we'd fly again. You're the only one that can rescue this world. You may find an exit in this devilish cave where we're both prisoner of but I'm not asking for a fairy tale castle: they're too ugly for us. Just sort you out. We're almost there if you chose to. Otherwise, we'll overwhelm, shrink and sink. 


Samedi 23 août 2014 à 1:14

 

Opportunité unique: chance d'une vie, métier avec peu d'élus            
Renommée à petite échelle donc clientèle 
Piercing pour couvrir les frais 
Possibilités d'aller en France en fins de mois pour se financer       
Travail pas trop stressant / Pas de pression
Possibilités de bosser sur mes propres projets 
Flexibilité horaire                     
Tarifs horaires intéressants     
Heures travaillées convenables 
Garantie d'un poste de tatoueur protégé par les bikers
Reconnaissance sociale et satisfaction personnelle. 

MAIS 

Possibilités d'en faire un hobby lucratif  
Statut de self-employed donc pas de congés payés 
Développement difficile et lente de la réputation du studio et de ma propre clientèle                     
Dan désorganisé et contre les nouveaux outils de com
Pas de suivi sérieux donc formation encore plus longue                
Charge de travail faible, ennui 
Salaire très variable                  
Studio à refaire
Equipement à renouveler                               
Samedis travaillés. 

ET 

Sécurité de l'emploi
Salaire fixe et satisfaisant
Congés payés                          
3 weekends libres par mois                    
Formation payée                   
En centre-ville                         
Expérience sur CV                
Pratique du français                
Bon esprit d'équipe             
Shifts convenables                  
Possibilités de bosser un peu a PNN, de changer les shifts et de prendre des vacances pour tatouer.

MAIS

Difficulté à changer les shifts 
Travail répétitif et ennuyeux
Service client par téléphone et emails 
Un we/pm travaillé                  
Horaires à respecter                 
Employé en dessous d'une hiérarchie                  
Ralentissemt du développement à PNN
Risque de se détacher définitivement du tattoo          
Fatigue due au cumul des deux activités
Organisation personnelle difficile car pas de temps pour moi
Satisfaction de réalisation personnelle moindre.


Que faire?  
Prendre un risque en en diminuant un autre? Which side? Sacrifice and risks can be scary but focus and patience are going to sort me out. Tricky question although the decision is already taken. Hm. Yeah perseverance is the keyword. I am and I will be.
Strive to excellence. Do not get too dispersed though.

Found a bit of Lozzy Bacon. Who's offering the package "B&B" with the pancakes option. Gonna live just next door and that sounds lush. So many big changes in my close future. It feels exciting and assumed. Liberating and freeing. A bit like I give myself all chances to get where I want to. A bit like I don't give a damned fly because everything is under control, or at least meeting my expectations. I want to live this way. Safe and secure. For myself and eventually my bank account. I'm on the correct way mate.
So rad dude.




 

Mardi 29 juillet 2014 à 19:13

 

Voilà, la question fatidique est revenue. Je consulte les offres d'emploi et réécris mon CV. En francais dans le texte. A Tours sur une carte. Ou ailleurs. Mais plus là, plus avec eux. Ma famille. Ma langue. Recommencer à zéro avec les anciens, avec les nouveaux. Laisser tous ces efforts pour des retrouvailles sur Bristol, des concerts avec les punks. 

Et je flippe ma race de me retrouver dans cette position. De refaire mes cartons. De revoir ces souvenirs. D'affronter ce que je suis devenue et de l'emporter avec moi. Alors j'attends. Peut-être que pour l'instant, ça va aller, je vais me contenir. Les livres, en attendant, sont mes amis. En français dans le texte. J'ai peur. Peur. Ils ont dit que je pourrais prendre la chambre d'amis. Vivre avec eux, elle est tellement positive. Me trouver une femme que j'aime et qui m'aime, et faire ma vie avec elle. J'ai peur, tu sais, tellement peur.

J'aime me soeur tellement fort. "Tu as pu le faire dans un sens, tu sauras le faire dans l'autre" Et je sais qu'elle a raison.



Mardi 20 mai 2014 à 0:04

 

Marteau, clous, entailles, fissure. Ennuyeux, triste, ennuyant. Routine blême et coriace. Et le lundi... Ce lundi. L'appel, le manque. Se retrouver derrière ce masque de déceptions. Les murs craquèlent. Infection du nez. Le vernis pète. Tout rouille et c'est presque le branle-bas de combat,. L'écroulement, dévasté. Il n'y a rien, ni passion. Paillasson sombre et sali. Flou et insure. Du mal aux mots. Tordu et faible. Je te déteste autant qu'eux. Tous. Et rien ne sera jamais assez clair. 

Et c'est tout ce que j'aime le plus au monde entier. Mon égoiste de chat.
Ma mère, ma soeur, mon père, mes soeurs. 

 

Samedi 15 mars 2014 à 22:18

 

La petite mélodie, triste et sournoise, qui s'immisce entre tes deux oreilles, et qui s'incruste avec passion pour te pousser un commettre un crime. Tuer les mots. Mélo. Méli. Médolie, mélodie, méli, mélo, mes mots. Tout s'embrouille et devient flou à cet instant précis du récit. Le doute amer et coupable, la mère-appréhension dansante, les genoux hauts. Et un tabac. L'excellence, mon enfant. Se réveiller perdue entre les sirènes pleurantes, les chansons chargées de souvenirs se baladant dans ta mémoire.

Aujourd'hui, il pleut. Un de ces soirs ou les nuages nous arrosent de la beauté du ciel azur Barbie. J'ai froid de toi. J'ai peur de m'immobiliser, de tomber dans un trou, de ne plus jamais en sortir. Etre muette serait la solution. Ne jamais plus pouvoir décoller tes baskets collées dans la gadoue avec de la SuperGlue. Un interprétation illusoire et du thé à la menthe religieuse. On m'a perdue sous la banquette et c'étaut tant mieux pour moi. Trop d'excès t'auraient achevée. Mais l'ami-clavier, celui qui réconforte, celui qui écoute le toucher. La frustation balancée comme de la poudre d'or sur ta poitrine. J'ai mal dans ton coeur, la morale dans ses chaussons, balèze. Le poids de tes responsabilités d'enfant envolé, l'abjection universelle. Et Saint-Ex dans tout ça?

Et puis il y a ton sourire que tu épèles merveilleusement bien. Un bouquet de vies entre tes mains. Une tache d'encre dans un pot-de-vin. Des rassurantes harassées. C'est te dire à quel point le silence est d'or ou de safran, à crocus. Ne me pousse pas dans la mer, j'ai pied et pas seulement. Rengaine agaçante et macabre, il serait temps de soulever mes paupières, quand tu auras un moment. 


 

Jeudi 31 octobre 2013 à 21:03

 

Tu me regardais, m'observais. Un oiseau de tendresse. L'ambiance autour semblait métallique, un festival de science fiction. Nous, on était purs et doux. On sentait nous. On se lançait des regards à faire palir Venus et Aphrodite. On était d'une beauté sans nom. 
Tu manques. Du coup, j'ai réécouté Joe Dassin. J'ai pleuré.

 

Lundi 19 août 2013 à 23:22

 

Comme un trop plein de j'ai à faire. Administrer la maison, les finances incluant les leurs, les siennes, Tu le prends trop personnellement. J'avais déjà remarqué ca. Indiquer les accents sur ce clavier qwerty,c'est méga chiant. J'ai une liste énorme de choses à faire. Les photos de ses palettes, les photos de mes bagues. mon logo, mes cartes de visite, ses cartes de visite. Une ligne sans aucun accent. Et continuer avec la mise en ligne de son site internet, Créer le mien. Fabriquer le trolley qui servira à présenter les bagues. Donner une preuve d'adresse à HSBC. Modifier les photos sur Photoshop en incluent le logo et pourquoi pas un contour facon polaroid, Les uploader sur les sites de ventes. Créer une bannière. Prendre une douche.  

Je ne connais ni le code ALT+number pour le c cédille, ni pour le i tréma. Faire preuve de démotivation.

Mon tatouage sur les doigts n'est pas homogène, je vas devoir en repasser une troisième couche. Pas maintenant, Certaines parties sont pourtant bien noire, Rassurer les alentours use beaucoup trop de mon énergie, de ma bonne humeur. Je suis entourée de gens qui me sapent le moral, et plus trop d'énergie à offrer. Un week-end bien calme. S. va passer le week-end prochain. 

J'ai un projet d'illustration. Un style à développer. Moins de 5 clopes ce week-end. Record. Associabilisation. Les punks me manquent. Les mots aussi. Je me sens bien assez nulle part, Je suis un peu paumée. Paumée dans ma mauvaise humeur. J'en ai marre de dépenser tout ce que je gagne pour des trous que je n'ai pas fait. Sauver le navire, Je ne sais pas si j'en ai la force. Des sacrifices. Je stresse, mange saucissions secs et fromages francais, Un délice. Ils détestent l'odeur, tous. Je suis la seule à m'en baffrer. Et j'aime ca, J'ai un projet d'illustration à développer et j'en ai besoin de plus de 60 pour l'élaboration de ce livret, Je ressens ce besoin d'écrire. Je n'ai pourtant rien à dire. Le moral dans les chaussettes. Des chaussettes probablement puantes. Alors fumer une clope à 10h, dehors, dans le frais et la nuit noire. Loin de la vie chaleureuse et chaude au coeur, Je ne sais pas si c'est bon. Le pain vient d'être sorti du four, il sent extrèmement bon. J'ai un projet d'illustration.

Je n'ai pas envie de regarder de film ce soir. J'ai juste envie de lire un livre de Murakami. Un autre. J'ai besoin de vacances. De sortir. De me remuer les fesses pour un peu plus de positivité car mon sourire devient fade. Penser à ces illustrations. ILLUSTRATIONS. Ca va être fantastiaue si je m'y mets bien. Et ca, c'est vraiment motivant. Je vais me chercher une feuille blanche dès ce soir. Needed. Continuer le carnet. Ce serait une bonne idée. En fait, je suis pleine d'espoir et beaucoup plus motivée que je ne le pensais.

 

Il fallait juste l'écrire. C'est parti, je peux le faire. AH et ne pas oublier d'aller au yoga cette semaine, ca fait tellement de bien...
J'ai un projet d'illustration.

Jeudi 4 octobre 2012 à 19:59




Ok. Par ou commencer. Dans un bain brulant. Le cerveau endommage et vide. Respirer. Respirer profondement. Fluide aqueux froid sur pied droit. S'effacer. S'effacer un peu plus. Disparaitre. Les muscles du dos ont grande peine. La communication restreinte. Se taire un peu plus. La brulure sur le bois. Un pied dans l'evasion. Je reste dans la realite. 57h et 45h. J'ai oublie la notion de 35h. Me noie d'ennui et de sommeil. Je divague dans la sourderie. Je contemple ceux qui agissent. Ceux qui vivent. Ceux qui sont. Je suis juste une eponge. Besoin de pleurer. De m'MDiser. Censure. Encore encore. Etat general deplorable. Cigarettes et idees. Je ne sais pas quoi faire. J'ai besoin de P80 pour pleurer de mes doigts des notes stridentes. J'ai besoin d'air et j'en ai deja trop. You right? Cette question n'a de reponse que dans la tonalite ou elle est posee. J'ai besoin de m'ennivrer. Dans les bras d'une femme.


 

Dimanche 8 juillet 2012 à 2:03

 

It doesn't help. Could you considerate the question? I feel alone but don't matter just give me a rope. NO BO DY. Silly piece of shit, stinking, idiot and stupid polluted by your own ADDICTION(s). Nothing to do here. YES YES YES. I fucking hate myself, SO MUCH, can't help. Help. Everything, fucking need some support.I'm seriously thinking about consulting a psychologist, then ask for antidepressant and smile to life like a zombie because I can't pretend to be able to do it anymore. I still have NOW fucking problems. Fucking problems. Revealed each time I feel insecure. Adolescents, teens. I wanna so much. just once. OVER and fly. Again.
Ta gueule D. ferme-la.



Samedi 23 juin 2012 à 19:25

 

Du speed, du MD, un truc qui booste. Un truc qui défonce la tête et  les neurones. Une grosse douille de beuh, ou un space-yahourt. Il est venu ce temps où j'en veux, là maintenant. 



Mardi 19 juin 2012 à 20:01

 

Ce n'est pas de la paranoïa. La réalité mon enfant. Ouvre les yeux sur tes inaptitudes. Doucement, être une conne dans un zoo. Être le zoo à soi-seul. Ne plus exister. N'être qu'une miette de gâteau avec un arrière goût de passé amer. Tes désirs, tes envies de t'ouvrir les chairs. De voir le sang couler, de sentir que tu t'enfuis. Besoin de MD. Besoin de planer loin, de pleurer sur son épaule et que dire ? Ton incompréhension et tes cogitations. Perds, perdue, irrationnelle, peines perdues. EN VAIN. Tout n'est qu'hypocrisie dans un monde sans couleur. La tonalité est mono. Un enceinte, celle de ton corps, une prison réductrice, affreuse. Le mal de ressentir, à fleur de peau, comme une lame qui effleure sans couper, sans effet, blanche. Le rouge est de rigueur quand on broie du noir. Distinguer le brouillard alors qu'on est en plein dedans. Un petit-déjeûner en plein après-midi. Un plan à trois et des projets retardés. Du provisoire. Comme nous. Comme rien, comme tout. Tout est éphémère. Et te réserver une place dans le lit conjugal parce qu'il Te Le veut, ô déesse étourdissante éclairant les fantasmes d'hommes-esclaves insoumis. Tu gagnes, tu as déjà gagné. Inclinaison. Ovation dans l'hémicycle. Tu es un os. Et tes tétons en or. Vert et Rouge. Meurs de peur : à mort l'amour. De l'amour à la mort. C'est gnan-gnan à souhait et tu le sais. Seule encore. Car tu le mérites pour tes pêchés de folies. Et bipolarités, et insécurité.


 

Mardi 24 avril 2012 à 1:04

 

Demain, on va fêter les 5 ans qu'il me reste à vivre. Demain, je sais pas si je sors, me bourre la gueule à coup de tequila bien grossièrement ou si je vais me branler le cerveau à marcher toute seule dans un parc. Mes amis redoutent mon comportement imprévisible. Tout le monde a peur de mes ractions et chacun fuit. Personne ne me connait, ni même moi et je me fais peur. J'ai peur, tu sais. J'ai besoin de trouver une chambre car mon cerveau bouille et ça devient très dangereux et aujourd'hui j'ai bouffé pour 4. J'ai pleuré toute la journée en jurant de ne plus jamais toucher à du MD. Mais je sais que j'en reprendrai vendredi, et samedi aussi. J'ai mal au dos, je pèse entre 6,8 et 6,9 stones et ça me fait plaisir. J'ai du mal à gérer mes humeurs, et ça allait mieux avant. Je suis down, je suis done, je suis gone. J'ai juste envie de tuer toute votre capital sympathie à coup de pioche, de scie circulaire et de me pendre à un roseau. Toute la journée, ils ont dit: "Don't mess with her today" "She looks like having a lot in her mind". Et autre vérités de merde, monumentales conneries reflétant mon humeur et ma patience. J'ai besoin de sommeil, définitivement. Et d'une chambre. UNE CHAMBRE. ET PEINDRE. NOT TO PAINT. SHUT UP SHUT UP SHUT UP. 
Vos regards de connivence m'ont tuée. J'avais juste envie de vous étrangler aussi. Je suis putain de paranoïaque. Tout autour de toi me tue encore et toujours. Je pense redevenir indépendante. Et trouver comment développer l'idée de thème sur le sophisme et les meufs désespérées par ces hard english girls, mais après mes rock stars. Je suis en manque, EN MANQUE. Ca fait mal. Tu m'as eue, et puis plus rien. Alors, comme les autres ?


 

Dimanche 1er avril 2012 à 19:23

 

Few times a day. Every day. Eat eateateateat. 
Falling again. More and more. No control.
Dry skin. Scared hand.  Neck and chicks. 
Marks, mask, lie, leak, weak. Acid, acid, acid.
Psycho or not psycho? Borderline?
Antidepressants? Painting? 
Too many questions. 


 

Mercredi 28 mars 2012 à 10:57

 

Combats verbaux vains, destructeurs et inutiles. L'alcool les rend de plus en plus violents. Dans une demesure improbable du genre: "I drink because of you". Cette merde en fait dire de plus belles. Il est temps de calmer le jeu, d'eteindre le feu ardent de cette putain de decadence. Hier encore, comme d'habitude, le silence etait ma reponse. Il debitait tout d'une traite, decousu. Puis, ma resistance a disparu, repondre avec la meme rage, plus sarcastique et ironique parce que le brouhaha des lamentations m'empechait de dormir et que ma patience s'amenuisait. Le sommeil est si salvateur, si doux, une fuite de la realite. Apres 5 minutes d'explications, j'ai capitule sur les landes des harangues blessantes, j'ai laisse le silence reprendre sa place. Ce n'est definitivement pas ma tasse de the de hausser le ton pour si peu d'enjeux. Il a fini par l'avouer lui-meme au milieu de la nuit et fondre en larmes et en excuses. Encore. Je ne sais pas combien de temps ce cirque va restait en place.

Alors que maintenant je me noie dans ce nouveau projet. Je vais voir en grand, me lancer, ne plus hesiter et commencer avant meme l'emmenagement, car c'est actuellement mon seul exutoire, ma seule issue de secours dans cette impasse dangeureuse.

Elle a dit 45kg, 1m545, suite de l'episode demain.
J'ai cauchemarde pendant deux heures apres la dispute. Elle mourrait sous mes yeux, et j'etais impuissante. Le second reve, le meme, m'a permis de la sauver, mes parents se marriaient et j'avais un chalet a la montagne. Je ne l'analyserai pas.


 

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