sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Mardi 31 mars 2009 à 10:06



Je me demande ce que ca ferait si je disparaissais. Et pouf, elle a disparu. Les fumées sauvent des pensées nauséabondes. Les amplifient. Il existerait un monde imaginaire. Sans fille. Aucune. Juste la chambre 12 au complet, de 18h à 8h. Et le reste. Je m'interroge sur la fonction de l'Homme. De chacun. La mienne. Laquelle. A quoi bon ? J'écris ton nom. Liberté. Death. L'heure qu'il est, pourquoi ? Les connexions s'épuisent. Je n'existe. Alors cours, vole et nous venge ? Les avant-bras. Le piano salvateur et la corde de mi aigüe disparue, quelle injustice. Alors les notes s'envolent. M'enveloppent d'Indifférence. C'est l'heure. De ne plus être.

Demain, je ne viendrai pas non plus et je verrai pour la suite. Grève des organes, greffe de moignons. Du repos alors que j'hiberne à chaque nuit. C'est prescrit. Je n'existe plus. Pauvre petite chose qui ne sait pas voler.

Est-ce que j'arrête bêtement la MAN, à deux mois de la fin des cours ? Est ce que j'arrête bêtement ? Est-ce que j'arrête ? Est-ce que j'ai ENVIE de continuer ? Est ce que ça me plait ? Est-ce que c'est fait pour moi ? Est-ce que j'ai envie de rester à ConD ? Est ce que j'ai envie de faire de la com ? Est -ce que j'aime ?
En tout cas, redémarrer ses études à un point mort, ça me fait grave chier, rester à ConD aussi, continuer la Man pareil. La dégression. La différence avec vous, c'est qu'en n'étant pas créative, je m'en sors un peu quand même. La différence avec vous, c'est que ça ne durera pas encore 2 ou 4 ans.
Alors peut-être que jeudi et vendredi, je serai absente. C'est ça, crucifie moi, batarde.



Vendredi 27 mars 2009 à 15:27

 


Mouais, le silence est d'or. Craquage total, maquette. Contrôle de maths. Pierre, Xavier, Matthieu. Lax, Grand bassiste poilu. Et truc. Indica, PAIN, NIGHTWISH. Métalleux de merde. Kiff astral ou pas loin. Fumer. Courir, trottiner. Courbatures légères. Mac Do, journée de la courtoisie. Contrôle d'anglais et glaise grise. Annulation de cours et collage. SANDWICH.

Et les heures passent. Le musée d'art moderne. Un bout de shit dans la boîte. Du travail en retard, démotivé, de l'attente. Vivement la fin. Vivement le BTS, puis le master. Les études ne sont définitivement pas faites pour moi. Alors tatons. Ramons, observons, croquis. Fuck et self incontrol. Laisse moi ne pas te dire. Tu tiens ? La chandelle. Voin on the night. Des pelles, de l'aviron, des courbatures et de la fatigue. La vague. Harvey Milk.
Tout va bien, ne t'en fais pas. L'électron dans l'univers se balance dans un bol de vinaigrette assagie. A part ça, bonne continuation. T'aime pour ce que je ne suis pas. Good. Flex.



Dimanche 22 mars 2009 à 1:49



Ce soir, j'ai bu. Qui je connaissais ? Monsieur Pilla.. ? Non, même pas. Je ne l'ai pas en prof. Et son pote Guillaume ? Non plus, même s'il a vendu une oeuvre de ce "cher" prof d'EP 13000 euros. Tous les deux morts de chez morts. Bourrés de chez bourrés. Seule représentante de la MANAA7. Et toi, t'es à Condé ? Dans quelle classe ? ET ça va, tu t'éclates ? Et autre. Du top fun. Du vin blanc. Du vin blanc. Du muscat. Miss Zèbre. Beaucoup de connaissances. De liens tissés. Et mon collant de filé. Du trip. Du "je te rassure parce que tu es bourré", du "Je suis là, je comprends, je suis pas à ta place, mais bon, pour réconforter, parfois, je peux le  faire" Alors tisser les liens. Avec des CV, des DE, des DME. C'était chouette. Vraiment chouette. Pourtant, cette journée avait mal commencé à finir. Mais. J'aime. Finalement, voir des profs bourrés aux extrèmes, l'administration rédoter devant des tubercules de l'alcool... Et bien, j'ai ri. J'ai discuté. Compris la démarche. Et j'aime.
Surtout qu'aujourd'hui, c'est l'anniversaire de VoinVoin. Alors happy birthday, baby'ion. Haha. Y le quiero so much...
Bref, la vie reprend peu à peu tout son sens. Même si c'est toujours le bordel à l'intérieur. Mais je les aime. Et j'aime mon école. J'ai presque trop bu. Ou presque pas ssez. Je ne sais. On n'est pas là pour enculer les mouches comme dirait l'autre. Savane roll.



Vendredi 20 mars 2009 à 8:45



Je n'aime ni les opportunistes, ni les faux-semblants. Il n'y a pas de faire la gueule ou pas. Oui la distance, oui ridicule. Oui déception. Oui, je dis oui à tout. I'm alone in the dark, avec la grenouille affolée. Oui.
Mercredi sous le signe de l'accrochage. Jusqu'à 19h30, avec M'dame EP. Puis tac-tac au japonais, puis un barbu au vin. Quatre filles HS et Sophie et moi survivant dans la cuisine. Alors footing le mercredi et peut-être le vendredi. Puis l'appartement endormi, avec les six gonzesses. Enfin, deux qui ne dorment pas, et moi qui lit un hors-série de Le Point sur la psychanalyse. Merci Moman. Je la vois samedi. Mange together.
J'ai d'ailleurs révé. Deux ou trois rêves. Le premier avec un chien ou un chat que tout le monde voulait attraper dans la maison de Chateau. Pourquoi, don't know. Oublié. Second rêve chelou. Appartement boulonnais, mes deux parents, ma mère enceinte, mon père s'énervant à installer un dérouleur de sopalin au niveau du plafond, pour la mezzanine pas encore arrivée. Et une tierce personne qui l'aidait. Bizarre l'énervement, la remise en couple, le chat, les deux maisons cultes. De la sigbification du rêve ? Merci Freud et Lacan.
Aujourd'hui pique-nique. Avec qui ? J'apporte quoi ? Ma fucking bonne humeur ? Désolée, elle a déteint. Vais ptêt me mettre à ranger ce bordel et taffer un poco. N'est-il pas ? Leave me alone, girls, je digère.




Mardi 17 mars 2009 à 0:06




Anorchidéa, merci de tes mots, mais la détermination, je crois qu'elle est touchée par la crise.
Athéna... Tiens le coup ^^


Ceci est le 300ème article. Il y a 3 ans se vivait en direct a real beautiful virtual love story avec ma putain de jolie pétasse aux cheveux verts. Et nos deux bonhommes. Les temps ont changé. Les regrets sont oubliés, le passé est assumé et l'histoire continue .... Les quatre griboux aux quatre coins de la map monde. Le Smoun, ô grand ami, dans sa Suède enneigée. ChérieGirl dans ses concerts rennois, je l'espère. Loute, dans sa Normandie entre bovins et moteurs de fusée. Et que deviens la truffe ? La truffe devient. Chérie, come on. J'aime tes mots alors putain. Be mine. Après tout, on s'en fout.

Y'a Fred, entraineur compétitif au téléphone. Delphine ? It's a surprise ? Who am I ? Freeeeeeeeed ! Héhé ! Et Didier, ô cher Didier, revenu de et qui gère le club de hand ! Mais voilà de quoi revenir en Touraine. Chateau-Renault ! Ville maudite, mais ces têtes qui te forçaient à aimer la vie sous les encouragements. Voir ces anciens qui nous ont mené aux championnats, malgré les petites pattes. Le moral d'acier. J'ai hâte de refaire du sport. Oui, parce que sans musique, sans sport, à quoi bon la vie ? Peut-être ce qui raccroche à tout ça. Même plus le dessin, j'avais tant de projets de créa... Oubliés et brulés.

Puis discussion avec Alissa. Record non battu, 1h30. Mais Cocotte, distance, ne pas fragiliser votre couple, aussi ambigüe soit-il. C. va, même si personne ne le souhaite. Je le sens à quelques semaines, à quelques mois, ou quelques années. Leurs histoires. Aussi, on ne peut combattre tous les fronts en même temps. C'est la règle. Une fois que tu partitionnes ta vie, forcément, tu n'accordes plus la même teneur à chaque. Les équilibres se font, heureux ou malheureux pourcentages. Puis les vexations pour des conneries. C, ta gueule parfois bordel. C'est fou comment les nanas peuvent foutre la merde sans s'en rendre compte. Alors tout ça mis à plat. Et bien oui. Je ne me mèlerai pas de vous. Assumez ou pas. Moi je suis en dehors de tout ça. Les histoires de filles, ça finit toujours mal, et je n'ai pas besoin de ça. Do you understand ? Je fume de plus en plus. C'est mal. Puis après tout, je ne suis pas là pour faire copain-copine. Les groupes se forment se déforment. Moi j'ai juste l'impression d'être spectatrice, de ne pouvoir interagir, et que ma maladresse fait mouche (Bzzzz) et ma franchise pas mieux. Je suid définitivement violente et injuste. Comme ce monde. Moi ch'suis con. Mais tu sais, c'est incurable alors faisons avec.

J'ai besoin de revoir le punk. Suède, rends le moi ! De refaire des concerts rock and roll comme avec Medecine. Même toute seule. De revoir ces têtes tourangelles qui me rassasient en sourires. De pouvoir boire un monaco ou une kriek, avec le soleil, les bords de Loire, les fumeurs et dealers du coin. Et les : on se rejoint Place Plum' ? Alors ouais. Tout ça, c'est tout ça qui me manque et je ne pensais pas m'attacher autant à ces futilités. Mais je sais désormais que. J'irai loin. A pétaouchnok. C'est en Russie. Vodkaaaaa. Play me hard darling. J'ai une cerveau écervellé. Et j'ai toujours détesté qu'on m'aime. Il faut être aveugle pour apprécier des êtres détestables. Myspace supprimé, suri.sid aussi et facebook bientôt. Je ne serai bientôt plus qu'existante qu'ici sur la toile. Et le mot de passe. Rigole, tant que tu as une bouche. Moi en attendant, je me gausse.



Lundi 16 mars 2009 à 21:20



Et ça, j'le vis mal. Le sucre au yahourt. Tu m'manques bébé'ion, ouais, tu m'manques. Patti Smith et son You belong to me. Si tu savais Chérie. Alors, désolée, j'arrive plus à rester zen. C'est le brouillard. Les rides qui s'enchainent. Je masque. Je ne masque plus. Plus envie de rire, plus d'espoir. Quoi, bah ouais, j'ai plus rien. Rien à dire, rien à exprimer, juste taper, se vider, passer sous un métro. Arrache moi le coeur avec une corde.
Mais j'ai BESOIN de toi, tu comprends pas. Crier, juste crier hurler, dire de la merde. Partir, se casser loin de là. Loin de ce putain de zoo ambulant. Marre de faire semblant, de sourire comme une conne, de dire des conneries. Vous y avez cru, ne serait-ce qu'une seconde ? Mais bordel, enfermez moi dans un hôpital psy ! Je comprends que dalle. Et je n'ai plus envie de rien. Ecouter cette merde ambiante, ces chamailleries simiesques. Ces oeillades incompréhensibles.
Oui, on est toujours tout seul dans la vie. Tout seul dans sa tête, dans son putain de corps. La seule chose qui me rassure, c'est que chaque jour nous rapproche de la fin. C'est une chose positive non-négligeable. Par contre, si y'a un volontaire, tu peux utiliser ton sniper. J'habite pas loin.
T'as pas une clope ? Du bédo ? Une cuite toute seule, ce serait pathétique. Mais vous savez, je suis pathétique. Et j'ai encore ouffer comme une vache aujourd'hui. Destroy me. I miss you. Si vous avez un remède contre les larmes., je suis preneuse. Si vous avez du temps, je vous embauche à titre gratuit pour faire tous mes projets en retard. Moi aussi. C'est cela.



Mercredi 11 mars 2009 à 22:27




I failed. Mon paquet de clopes n'aura duré que jusqu'à demain. L'une sur l'autre. Alors je fume. J'ai 10h pour faire 30 planches et 5 collages.
L'allumette électronique décapite une oreille sulfurisée.
Encouragements. Et saloperie en prévision. Ca t'étonne ? Entends mon appel. A tarte. Grosse vache en mini-jupe. Jamais, si je ne dissolue pas, la crasse ambiante, elle ne m'aimera plus, dans de beaux rêves idylliques et foireux. Pronto.



Lundi 9 mars 2009 à 23:03



Don't leave me now en fond musical. En vrai, c'est fou. Peut-être le sein. Plo 1. Or not. I'll see. Vide, creuse, grosse, chiante, impatiente, insatisfaite. Je vous encule comme de gros rats. J'ai pas envie d'aller à l'école, j'ai pas envie de devoir bosser, et ec n'est pas en me branlant la nouille devant des photos de Victoria Beckam et son tatouage sympathique que j'avancerai. Je suis définitivement ujne petite conne qui vous emmerde. Qui mate des ano en pensant qu'un jour, elle sera une rock star.
Pourquoi tant de haine ? Parce que, bande de moules. J'en ai marre de jouer, marre de casser, marre de faire semblanet d'être gentille, marre d'être méchante, marre de leur parler à tous autant qu'ils sont. Marre de faire dans la compassion, marre de rester à regarder tout ça. A quand la révolution bordel. J'en ai MARRE, MARRE MARRE. Do you understand. Putain d'injustice de mes deux. Si j'étais un bouquin, je serai vierge, juste pour vous faire chier. Ou mal imprimé. Marre de toutes ces différences. L'humain est à exterminer.
Ouais, la gamine vous tape sa petite crise d'ado. J'ai pas envie de faire la chouille demain. J'ai juste envie de me foutre une grosse défonce, toute seule, ou loin de là. Aller en Chine tiens. Ou en Somalie, c'est hipe, non ? Ouais, j'dis d'la merde. Et puis ? Ca va vous empêcher de dormir ? Faites pas chier plus que ça, s'il vous plait. Je ne demande qu'une peu de répit. Me tirer de là, être transparenet et me foutre une balle entre les deux yeux, l'espace d'un moment. Histoire de ne pas penser, de ne pas réfléchir.
Genre je suis lunatique. OUI. NON NON NON NON WIZZ WIZZ WIZZ. Ca ne sert à RIEN. Jouons aux cons, j'excelle dans cet art-là. Enfin un endroit où. M'appelle plus jamais comme ça Connard, c'est tes couilles qui sont en jeu. Allez, fucking bubble, parce que les cons vainqueront  et que j'ai plus DU TOUT envie de lutter contre quoi que soi. Bernard, c'est moi. BV, je t'aime. Je kiffe mes chiottes, parce que ca te rape. Dis, tu m'éffrittes les bras avec un économe ? Ca me manque, vivement la rame. Ouais, vivement la rame. Chéri, come back, ca va plus sans toi. Tu l'entendrais ? Y'a pas de solutions aux équations paranormales ce soir. Alors, reste plus qu'à enterrer le chien et sortir la puce électronique. Branlez vous la cervelle tant que vous le pouvez. Moi je jette les ponges. Le jour, où, alors oui, je.
C'était pourtant simple. Pas la peine d'aller plus loin, demain, ils me feront chier, je devrais leur répeter de la merde, supporter le Moij et faire bonne figure. Je me disais bien que c'était louche. J'ai des soucis au cervelet, respectez le silence approprié. MOUAHAHAH, ouais je me gausse. Suicidons nous TOUS, c'est la meilleure solution. Exterminons nous. Au moins, l'homme aura fait quelque chose de bien dans son évolution. FUCK.

Samedi 7 mars 2009 à 12:23



La conseil de classe approche. Ma moyenne restera à 12. Je n'aurai sûrement pas les félicitations. J'aurais sûrement l'avis favorable pour aller en BTS com visu. Peut-être Très Favorable. Je l'espère. Je remplace Camille en tant que déléguée.

Bref, je stagne. En ce moment, j'ai envie de tout lâcher. Je sais que je peux tenir. Je sais que ça m'en coutera psychologiquement. Qu'il faut que j'assure. Je ne suis pas satisfaite. Je m'en fous de faire partie des meilleurs. Ca ne change rien au fait que taffer des nuits et des jours pour tout devoir recommencer, ça troue le cul. Je me sens stagner comme si je ne taffer pas. J'ai des notes qui se tiennent alors que dans les matière d'arts A je fous pas grand chose. A part en Communication Visuelle, bien-sûr. Mais je ne suis pas satisfaite, grosse feignasse. Je ne vois pas de progression dans mon dessin. J'ai l'impression de vraiment être bof. Je ne suis pas satisfaite.

C'est dans des moments comme ça que j'ai envie de tout lâcher. Je sais ce qu'elle veut en EP. J'ai compris, mais j'ai passé ma nuit à m'éclater comme une folle, à mettre au point un projet de fou sur le sang pour m'entendre dire : "mais plastiquement, on ne comprend pas !" Bref, il aurait fallu que je reste sur la première idée, plus simple, moins contemporaine. Plus terre-à-terre. L'envolée lyrique, c'était pas fun. Bref, en deux jours, je suis tombée. Je me reprends en taffant ce week-end. Je suis motivée, je sais ce que je veux et j'aurai les félicitations au troisième trimestre.

Puis. MAIS PAAAARLE ! Parle bordel ! Ca m'énerve le silence. L'impression d'être seule, de ne pas partager la vie à deux alors que. C'est chiant. Etre tendre, mimi, attentionné et tout. Mais y'a des moments où j'ai vraiment BESOIN de quelqu'un sui soit là. Qui me rassure. Alors ça m'a blasée encore plus. Je n'ai pas envie d'etre rigolote. On est toujours tout seul dans la vie.
Notre nouveau prof de français est ouf.
Bref. Du taf encore pour ce week-end. C'est le bordel dans ma tête. Me sens grosse et moche. Faut se reprendre. Le jus de banane-pêche nous sauvera.




Mardi 3 mars 2009 à 0:21



Je reviens. Attends une minute. Les cours me rendent lunatique. Je suis lunatique. Impatiente et possessive. Je susi heureuse de lire ses messages. Même par Facebook. Comme envie de lui dire : CherryGirl, ma si-Rennes, marions-nous ! Faisons le tour du monde avec nos guitares à jouer du Guns, du Crucufied Barbara et du Téléphone sur le même set. Avec un peu de Sonata Arctica si on a les doigts. Au pire, on s'entraine. Je l'ai retrouvée. e t'avoue Poupée, je suis une putain de fan et ça me fait grave plaisir, notre dépendance. Parce qu'au final, même avec le temps, rien ne changera. Magie, tiens.
Je suis niaise de penser à Elle et d'y penser si fort. Ca me ferait plaisir de te revoir, juste histoire de se prendr une cuite et délirer en mini-jupe à comparer nos bourrelets imaginaires. Imaginaires. Disparutes. Nous serons des reines. Parce sur scène. Parce que tout ça. Ca se passe de mots au final.

Je me remotive. J'ai perdu ma perspective dans un coin de l'infiniment petit. C'est con, hein la globule ? Mais 20 croquis et une maquette, c'est faisable d'ici 8h. Et les 19 autres... Oui, c'est faisable aussi. Il suffit d'y croire non ? 
Je m'y remets, faut que j'assure. Surtout que je les aurai en face de moi. Don't be afraid Poupée, we'll be.



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