sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Samedi 23 juin 2012 à 19:25

 

Du speed, du MD, un truc qui booste. Un truc qui défonce la tête et  les neurones. Une grosse douille de beuh, ou un space-yahourt. Il est venu ce temps où j'en veux, là maintenant. 



Vendredi 22 juin 2012 à 13:46

 
 
La gravure est ridicule.
Commencer à se pencher sérieusement sur les possibilités et se frayer un chemin parmi les roturiers. NON NON NON. Ce n'est pas une évolution, on ira droit devant, des bouquets de fleurs à la dérobade et des appels au sentimentalisme dans des sauts de romantisme. Se donner les moyens, et la satisfaction. Puis retranscrire tous les textes les uns après les autres pour des mises en page typographiques, il faut s'y mettre, y croire et devancer la phase de projet. Je suis devenue à mes dépens ce que je voulais être. Maintenant, cela reste à être appliqué pour les choix professionnels. J'avais oublié que je peux y contribuer. Et m'y lancer à corps perdu.

Retrouver la morue et commencer à ranger ses affaires. Chez soi. Le symbolisme des actes et des mots n'a pas de prix. Alors plonger dans le bonheur, ne pas faire fît de tout ce qui bouille là-haut dans le cerveau et se noyer de ces émotions sacrées. Le corps prend cher parfois, puis est épargné. Je me soignerai un jour. Peut-être même que j'irai voir un psy, vois ici une sorte d'ironie désespérée. 

Je devrais continuer à lire en anglais, je me sens régresser. Tu m'apprends tant et beaucoup mais j'ai besoin de plus pour m'exprimer maintenant, pour te dire tout ce qu'il se passe à l'intérieur de mes fibres musculaires, de mon sang tiède depuis mes connections nerveuses et ma peau pâlissante à ton toucher.


 

Mardi 19 juin 2012 à 21:24

 

I q; in your shqdoz, Stop lying to yourself, You knoz itm I knoz it qs zell, I4; dying, You cqn4 see it, I cqn4t express it qnd you cqn4t understqnd it, I q; in your shqdoz, don4t lie to ;e, I knoz it, Stop trying to hide it,
I zqnnq feel the blqde, I zqnnq feel blood, I zqnnq feel it, Q nez one eqch ti;e, On eqch pqrt of ;y body, Becquse I feel lonely qnd lozm like q aueen zho is ;ocked by the zhole cour knozing the hqre;, But never;indm I4ll succeed to live zithm or zithout if you let ;e kill this pqin inside ;e, Love zon4t never destroy ;e becquse love i illusivem illusion, love is bollocks in box, so 3lovely3 ;etqphore

YOU DON'T NEED TO.
UNDER YOUR SKIN, THERE'S ONLY VOID.

MINE.
 I JUST NEED SOME HELP.


 

Mardi 19 juin 2012 à 20:01

 

Ce n'est pas de la paranoïa. La réalité mon enfant. Ouvre les yeux sur tes inaptitudes. Doucement, être une conne dans un zoo. Être le zoo à soi-seul. Ne plus exister. N'être qu'une miette de gâteau avec un arrière goût de passé amer. Tes désirs, tes envies de t'ouvrir les chairs. De voir le sang couler, de sentir que tu t'enfuis. Besoin de MD. Besoin de planer loin, de pleurer sur son épaule et que dire ? Ton incompréhension et tes cogitations. Perds, perdue, irrationnelle, peines perdues. EN VAIN. Tout n'est qu'hypocrisie dans un monde sans couleur. La tonalité est mono. Un enceinte, celle de ton corps, une prison réductrice, affreuse. Le mal de ressentir, à fleur de peau, comme une lame qui effleure sans couper, sans effet, blanche. Le rouge est de rigueur quand on broie du noir. Distinguer le brouillard alors qu'on est en plein dedans. Un petit-déjeûner en plein après-midi. Un plan à trois et des projets retardés. Du provisoire. Comme nous. Comme rien, comme tout. Tout est éphémère. Et te réserver une place dans le lit conjugal parce qu'il Te Le veut, ô déesse étourdissante éclairant les fantasmes d'hommes-esclaves insoumis. Tu gagnes, tu as déjà gagné. Inclinaison. Ovation dans l'hémicycle. Tu es un os. Et tes tétons en or. Vert et Rouge. Meurs de peur : à mort l'amour. De l'amour à la mort. C'est gnan-gnan à souhait et tu le sais. Seule encore. Car tu le mérites pour tes pêchés de folies. Et bipolarités, et insécurité.


 

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