sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Lundi 28 juillet 2008 à 22:20



Etrange. Bizarre. What do you think ? What do you want  ? Don't understand. Help me. Just. Ou FUCK OFF. La vie. So ténébreuse. Ils verront bien, tous autant qu'ils sont. Reviens-moi petit lapin. Fourchette me plaisait et le général aussi. Parfois oui, j'ai des regrets. Forget, forget. Faut voir. Faut. Faux.



Dimanche 27 juillet 2008 à 15:08




Le Tux en papier, PoingoinOinOin ! Imprimé, coupé et partiellement plié par  Monsieur Le bébé'Ion. Et finalement plié, collé, scotché, assemblé par Le Sir Ouistitruffe-taupe-dragon-mule-fée. Perdu l'unique lentille qui me permettait de voir la réalité à peu près bien. Nécessite une mise au point sévère, correction à revoir. Le monde défoncé et mal au crâne sans le verre de contact. La barre frontale, le flou gaussien ou pas qui envahit la vue. Des taches de couleurs distinguées seulement grâce à des contrastes bien agencés. Bénéfiques. Mais pas toujours, la nuit est une ennemie dans ces cas-là. Le premier RDV placeplumerien qui fait retrouver un Toudou finalement très impulsif, un Titine qui fond au soleil et qui est vraiment sur la même lambda. Un nouveau magasin de zic a ouvert pas loin de Music Paradise. Capodastre pour guitare classique à 22 euros et le vendeur qui m'prend pour une grosse conne. Va t'faire foutre connard. La prochaine fois, je verrai à en acheter un ailleurs. Enfin bon. Et puis, finalement hésitation fatale entre Monaco et NectarBananien. Finalement, la bière grenadine-limonadée qui gagne le défi. Et puis Kebab. Ouaip, ca fait mal à la gueule sans nunette. L'air réveur, absent, sûrement. M'a fait bien plaisir de revoir le Titine. Ah et y'a eu le Seib. Le second RDV rueduCommercien aussi avec les melju, Elo, Soph, Titi, Oliv' et Alex et M'dame X. Un menu vapeur, que ça de vrai. Et miam, beignet de banane. Le Jet 27 est écoeurant et les jeux à la con engendre l'euphorie. Atout, à la vôtre, même couleur, à la mienne. On va au jeux ? Vous venez jouer avec moi ? Ca tourne et ça fait les bras. Le toga pas mal mais cramé au fond et Titi qui était à Besançon en BTS CV option GEP. Je veuuuuux ! 

Regain de motivation au niveau plastique. En fait, today pas restau, mauvaise langue. Mais présence d'Elle. Habituel débat sans queue ni tête sur la macro et micro économie. Pas des parents communistes. Trop ailleurs, trop utopistes, pas réalistes sur le monde. Oui pourri et comment le changer ? Discussion stérile. Et toutes ces putains de généralités. Rha. Mais j'vous jure que parfois, j'me dis que y'a toute une éducation à refaire sur le monde, sur les sources, sur la curiosité. Ouvrez les yeux, âmes ahuries, la télévision ne dit pas que la vérité ! Vous êtes conditionnés ! Les rédactions journalistiques vous désinforment, oubliez ce qu'elles vous ont confié. Formatez, formatez ! Libérez-vous de cette emprise néfaste ! Je vous en prie, que ce flot de conneries dégouline de vos oreilles... Je rêve, car la connerie est là. Le reset est impossible,  il faut se résigner petite citrouille. Oui, je suis une citrouille. Qui sais, ptêt qu'un jour je me transformerai en carosse... Apocalyptique.

Tu peux faire le hamster ? Napo dort maintenant tout seul comme un grand bébé cochon tout mou. Pompe à vélo et craquage de slip par Moman-vélocipède. J'aime Tours et le plus mimi Gribou du monde qui va venir sur Paris et qui va en alternance. Rhoooo Nouuuuute ! Ce cher Noute. Suis fière de l'avoir eu un instant et d'avoir occuper son esprit et son coeur pendant un moment. Suis fière qu'on s'en soit sortis comme ça et qu'on soit ce qu'on est. Sourire béat et satisfait. Avec le regard myope. J'ressemble à mon Papa et j'en suis fière aussi :)

Parfois, c'est si simple. Parfois, je respire mieux. Ca ressource. Un de ces week-end avec le pot de départ de SmounGribouponque. Et retrouvailles cafétériennes et ptêt anniversaire d'Elodie. Passé en commun ? Parfois quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir. Dis, dessine-moi un mouton.
Mais j'manque quand même de sommeil. On verra plus tard.



Samedi 26 juillet 2008 à 11:24




Dans ce monde, tout est binaire, on est soit 0, soit 1. Soit vivant, soit mort.
Ah s'asseoir sur unbanc, cinq minutes avec toi et regarder la vie tant qu'y'en a. Ou ailleurs. A la terrasse d'un café ou sur la banquette de ton salon. Il était une fois un jeune padawann qui jouait aux fléchettes. Il était une fois un gribou qui allait peut-être sur Paris. Il était cette même fois, l'autre gribou qui s'en allait au pays des Grands Féroces, au pays imaginaire. Ce gribou-là, on n ele reverrai pas de si tôt. Mais un autre arrivera pour nous dire des nouvelles d'un qui reviendra dans un an ou deux, puis qu'il est heureux, on s'endormira. On achètera des billets pour la capitale du Hardcore, aussi enneigée soit-elle, aussi combinaisondeskié faudra t-il être afflubé pour faire pointer le bout de son nez sur la place du village. D'ailleurs, il passera inaperçu dans toute cette fosse de Village People, trashounet. J'irai bien, loin. Non, juste en Belgique. Ou en Angleterre. Ou en Australie. Ou au Canada, ou aux Etats-Unis. Histoire de parler bien. Complexe futile. Je profiterai de ce week-end, même si j'ai les doigts engourdis. Et toc. Une cure de sommeil dimanche. Une cure de gens today. Et un cake chocolat-banane.

En fait, il m'insupporte. direct, dès qu'il ouvre la bouche. L'année sera difficile, se revoir de même. Quand ils ne seront pas un, ils seront deux, même si j'aime le coté houleux de la grammaire de mes phrase. Juste celle-ci. Cette brulure-là, je l'aime. Et j'ai pas envie d'être avec lui aujourd'hui, ni demain. Pourtant, squattage. Et non intimité. Réflexion de merde et les occulter. Ni de manger au Mc Do. J'parie qu'on y va demain. Ou comment se racheter et acheter les gens. Basse manipulation, et conneries d'associabilité et de sale caractère. Non, et si j'avais pas envie ? Quoi, ah oui, on ne me demande pas mon avis. Point. Pouet.

2 bananes, 20 cl de jus d'orange, une compote de pomme (??), 300 gr de farine, 100 gr de sucre de canne, 1 sachet de levure, un oeuf, un blanc d'oeuf, 40 gr de chocolat au lait, 50 min au four à 180° (term 6)



Jeudi 24 juillet 2008 à 22:53



Ah c'Fredo ! Dysidrose palmo-plantaire et beurk, gratt gratt. Ma mère voit mal et hallucine. Parce qu'elle a perdu deux kilos, j'en aurai perdu autant. Vu ce que je bouffe en ce moment !!! Ahlala. Les chéloïdes et ele a rien vu. Alors bon. Puis encore 12 heures supp et c'est ok. Ca va être dans la pocket. I hope. Et j'pense à rien. Rien rien rien. J'attends leur putaind e chèque, la moitié du loyer et la caution. Sinon, j'sors le calumet d'la guerre. Non mais. Moi j'suis con aussi. J'suis vannée et j'ai mal. J'aime ma gratte et Le pénitencier. Et ma mère est. Je ressemble à mon père. Certes. J'aimerai savoir ce que l'autre devient. Et me le faire. Vrombissement éloquent, boire et un râle choquant. Il aime. Et moi aussi. C'est bizarre la vie. J'vois plus rien et ça m'angoisse. Être entreprenant. Et faire les corvées. Résolutions. Révolutions.



Jeudi 24 juillet 2008 à 0:14



Révolte intérieure contre ce monde. Révolte exprimée. Modérée. Converser, ou monologuer con ello. El Toudou. La pression monte encore d'un cran, j'ai la cervelle en bouillie et j'compredns que dalle à ce monde. Non Maman, c'est pas psychologique. L'effet jupe était à prévoir. Le Loulou de l'atelier qui confond libido et vidéo et le tout tourne partout en moins de dix minutes. Le Loulou qui a un coeur gros comme le monde, mais un handicap ptêt aussi large. Mais si gentil malgré sa niaiserie. Bref, des abdos en béton par la rigolade de l'après-midi. S'attacher au patron. Et vendredi, déjeûner avec la tata chérie que j'aime. Rire un peu et la rassurer de mon sort. J'pête un câble à en tirer toutes ces conclusions. J'me cherche, j'me trouve, insatisfaite, je recommence. La drogue est un fléau, l'humain est un fléau. La connerie aussi. Pourquoi est-elle tombé si bas ? L'égoïsme, l'argent, le pouvoir. En fait si, ça m'déprime de trop, sale gamine que je suis. Folle à lier. Niaise de connasse, exactement. Et puis, des cartons, décartage, des comptages, recomptages. Aie. Je miam n'importe comment, culpabilise devant ces kilos repris, et ces muscles nouveaux qui pèsent. Ouais, genre, j'suis musclée. La question principale n'est ni "pourquoi", ni "quand". Ici, c'est "comment", mec ! Mais t'es con, alors reste avec tes certitudes illusoires. Connard.
Le chant des filmeuses, les railleries des encarteuses, les raillements des margeurs, le soufflement de la soufflerie, son aspiration, les sifflements de l'air dans les machines, l'essoufflement des vieilles turbines, les cris du massicots, les piaillements de l'empaqueteuse  (oui, analogisme), les grincements des macaniques et le claquement des plieuses... Rien que ça. Parmi d'autres.
Yamama. APX 6N. Au moins une décennie. Nouvelle venue parmi les vivantes. La grattouner chaque soir, véritable coup de foudre. Manche fin et caisse aussi pour un plaisir manuel et vocal. J'aime cette sensation.
Me sens à côté. J'ai du mal à tout distinguer et je deviens folle. Des rêves d'illuminés, illusions et papillusion. Un soir, c'est une lettre d'amour écrite à Soeur Anne sur le plafond avec du rouge à lèvre. Qu'a t'on fait la veille ? La chouille. Tellement bourrées que monter les étages à quatre pattes. Je repars l'aprèm et j'me souviens de la lettre écrite au plafond. Rêve zarb. L'autre avec Eloïse et Nana. Une soirée avec tout Chateau. J'dois être en manque. Gniiiii. Retrouvailles et encore. J'sais plus. Et l'autre, bien avant, où j'étais un super-héros. La putain de sensations de s'envoler, et d 'avoir de la force à gogo. J'deviens tarée et ma soeur m'aime. Je l'aime. Paris me maussadise. Portable récupéré. Et peur peur, peur. Enfin même pas. J'veux mes gros cailloux, mes caféterriens, ces gens que j'aime. J'veux m'prendre des cuites et faire des calins à tout le monde. J'veux des déclaration d'amour et m'sentir aimée. J'me sens aimée et j'suis égoïste. Et aujourd'hui, 45ème heure supp. J'me déprime toute seule. Et j'adore Blackmore's Night.
J'avais oublié des détails sur ma détention parentale. C'était pie que je le pensais, j'ai vraiment occulté beaucoup de mon passé chez moi. C'est fou. Et l'internat... Comme envie d'y retourner, l'espace d'un soir. Mouahah. Le sauna des filmeuses. Et la commandes à la con. J'en ai marre d'être gentille. Je suis un dragon après tout. Un ouistimule. Et leurs lois stupides sur le téléchargement. J'en ai mal au dos. Ambigu. Et j'ai envie de plusieurs. Et si ?
Qu'ils aillent tous pourrir en enfer. Tous autant qu'ils sont. Même le pigeon mort sous le pont. Tomates du jardin, patates du jardin, salade du jardin, vinaigrette du jardin. Pyramide de la chèvrerie, et pain de la boulangère de Chateau mutée à Déols. Hasard de fou furieux. J'aimerai me voir, ubiscuité transparente. Et puis je verrai, la honte. BOUH. Faut qu'j'arrête. Le mur des lamentations est-il totalement taggué ? J'vais m'y mettre.
Tu crois que le cerveau explose si on ? Tu crois que j'ai un problème ? Ca fait du bien d'écrire des conneries. Soulagement. Et banalités. Are you satisfied ? Parfois et même souvent, j'voudrais lui faire un gros calin. Et lui montrer, ce que je sais faire. Un jour ?



Dimanche 20 juillet 2008 à 22:15



C'est pas moi qui l'ait dit. Le problème du "li". Tu yoyottes du poirot ma p'tite. J'hiberne en septembre et je veux voir mes soeurs. Internet est une vraie mine d'or pour celui qui cherche à tomber dedans. Spirale infernale. Wikipedia inciterait presque à consommer du LSD. Presque. J'ai enfin vu quelqu'une comme moi. J'me rends pas compte. Et j'aime pas ma gueule. Mais bon.

La fatigue s'accumule et j'irai dormir tôt. Toujours rien rangé et ça me turlupine. Porcupine tree. Yellow tree. Citronnesque, citronnelle. Elmer, le dernier éléphant. A la recherche du temps perdu. D'un nouveau bouquin à lire et surtout du livre de recette de l'anarchiste. Histoire de voir et de pouvoir le brûler sous mes yeux pleurant. La gorge est sèche, nouée, serrée. Et on sent que le corps peine. Que l'enfer pointe sous la façade. Qu'il faut se reposer la tête. Et le corps. Se ménager l'organisme. Et nourrir. Courir. Nathalie, chef sioux de l'atelier des Nobles Vergon qui semble m'idolâtrer. Qui veut lire "Superstars" parce que ça a l'air bien et qui veut les mêmes Alpine. Oui, aussi formidable que je veux bien le montrer. A quel jeu joue-je ? Allitération spontanée.  Je flâne intérieurement et ma cervelle est en pause. Me sens comme séparée de mon corps. En quête de synesthésie, comme pour un cake de l'espace. Partir loin. Trip far far away. Voudrais gérer l'anglais mais l'herbe est toujours plus rouge sur le balcon du voisin. Un nain de balcon. C'était l'arme du crime de ce serial tektonik killer : une main de jardin. Bouarf. J'ai eu un souci. Les grosses têtes. Je perds vraiment pied et me soumets à un silence ostentatoire. Si vous saviez comme j'aime me taire durant ces heures, aspirée par un livre. Portable d'équerre dès demain. L'Héroïne Endormie sera nouvellement modifiée. Incessamment sous peu. Pour rendre plus réaliste cette irritable histoire et modifier les détails impossibles. Ces... Pas anachronismes, ni uchronisme...  Anomalies ? Improbabilités ? Parce qu'illogique, pas tenable. Sujet pas maîtrisé au moment de l'écriture. Mais bon. Grâce à tout ce que j'ai pu lire. Tout ce qu'on m'en a dit. Toute cette merde de merde de merde de merde. Même si le meth est dix mille fois pire. En France peut-être déjà. Aieaieaie. Une autre façon d'éradiquer un peuple. Un peu peuple. Pueblo. Malgache à Madagascar. Scar comme le méchant 'Ion. Mimi dragonounet, il a dit OinOin. On l'prend comment. Comprends comment. J'aimerai bien m'accepter mieux et avoir un regard plus réaliste sur mon état. Les tas, c'est moi. Suis-je si atteinte ? A quel point ?



Samedi 19 juillet 2008 à 23:49



Elle se demandait si l'autre était retombée. Dans la poudre blanche, ou dans la pire. Recherches sur tout ce qui touche à cette merde. Le comment chimique, naturel, biologique. Des véritables recettes gratuites. Et que fait l'ASUD ? Elle offre à chacun la possibilité d'obtenir des réponses simplespour mieux e détruire. Ou les divagations d'un forum. Mais où était-elle ? Dans un monde parallèle, entre deux fix, deux lignes ? Perchée ou en manque ? Peut-être en plein bad, ou en plein trip. Héro, coco, MDMA ? L'alcool a toujours été un problème pour cette petite. Elle s'en voulait de ne pas avoir réussi à la faire sortir de cet enfer et en voulait au monde entier que tous ces Subutex et autres substitus rendent les toxico encore plus dépendant. La Stéribox2 est en vente à un euros. Ca lui faisait peur. Peur pour tous ces gens. Et peur pour tous ces. Toutes ces recettes libres sur le net pour avoir la cocaïne du pauvre directement dans ta cuisine. Pas encore en France ? J'en doute sévère...

Un gros dragon qui crache du feu en rentrant du taf. Parce que. Encore du fric foutu en l'air. Aurait dû être plus clair.J'aimerai dormir un jour et ne pas à devoir aider les gens alors que j'ai qu'un seul jour de congé entier. Fuck. Be brutal and subversif, he said.



Vendredi 18 juillet 2008 à 22:35



Tu sais ce que j'aime le soir ? Les plieuses qui se sont tues, incessant brouhaha qui fatigue sans discontinuité. Le vacarme est claquant, celui des machines à plis qui laissent place peu à peu au ronronnement gonflant des encarteuses et aux soufflements d'un massicot. C'est mon esprit qui s'essoufle, qui s'étouffe. Les oreilles ne sont jamais au repos ici. C'est le bagne auditif. Alors pour oublier tout ce bruit, je chante. Dans ma tête ou tout, j'm'en fous. Je chantonne. T'façon, aevc toute cette pollution sonore, personne ne peut m'entendre. Puis après, relaxer l'ouie par 40 minutes de musique ... Le long de la N20, heure de pointe. Un enfer pour les cages à mielet ma tête embrumée des rejets des pots d'échappement et des râles des moteurs - quand ça ne klaxonne pas... Pollution tout court. Ennui latéral et frontal, le temps ne passe cependant pas vite du tout.

Ai pensé à la crême hydratante pour les mimines. Takaminemacopine me manque. j'veux une acoustique. Rue de Douai. Total music, rue Sébastopol, à cinq minutes à papattes de Chatelet. TOMMY EMMANUEL en concert à Paris dimanche, 33 euros.

Perte dangereuse, le jeu de la balance. Sentir les creux qui reviennent, les côtés et milieux flasques se dissoudre dans le temps. Dans l'énergie. La tête compte. REcompte. RE-REcompte. Le petit os de la main qui veut tout dire. Encore un truc d'ano. Truc débile. Petite force de la nature. Petite vicime. Vieil engrenage de merde. Je crois que. Calcul. Produit en croix, règle de trois. Comment ne pas connaître. Hallelujah de Jeff Buckley. En un mois, ptêt maxi deux fois. Les doigts n'ont plus de stigmates. A part celles du façonnage. Là, ça m'échappe, je m'échappe. Le taf me tue. J'pense qu'à ça. J'pête un câble. Personne n'entend. Personne ne voit. J'm'en fous. Et c'ets mauvais quand je dis ça. Mes amis me manquent. PUTAIN LES CAILLOUX ! Putain de bordel de couilles. J'suis trop perdue. J'en ai marre, ras l'bol, assez, putain. Et la compensation ? Me parle pas Abou , t'as déjà quatre femmes, me fais pas chier !! Mais putain. Putain. J'afis plus gaffe, les pensées se détachent, se compriment, se disloquent, se mélangent, fusionnent. Dyslexie ancéphalique. Hé ! Là-haut ! On se réveille ! Bordel, on se réveille ! Oui, demain je serai là. Oui, oui. Oui, les filles de la campagne, elles en veulent. Et je vous emmerde. Oui, la phrase facile quand on n'a pas d'argumentation. Nan, tiraillée entre un monde faux et l'autre brutal. Ou l'inverse. Ivresse de la limite. Illimité. Illlimité. Ma connerie tend vers plus l'infini. Putain de bordel. Reprends-toi merde. J'ai fumé une cigarette aujourd'hui. Une samedi. Et deux lundi y'a une semaine et demi. Soit 4 en deux semaines. J'veux un pet. J'peux ? Où sont mes putains de feuilles ? Où sont ces putains de feuilles ? Les désillutions, et ces illusions que tout ira mieux. Non non non.
Faut pas rêver.  Connasse. Crêve, c'est ça, on s'en balance, on s'en contrebranle, on s'essuie avec. P'tain debout à 6h demain. Pour se remonter le moral. Prise de note sur les calculs effectués de 18h à 19h.

x-  Heure normale nette : 6,74
x-  + 33 %, les deux premières heures : 8,96
x-  + 50 %, les deux suivantes : 10,10
x-  + 100 %, celles d'après : 13,48
x-  47, 18 par journée pour un forfait de 35h
x-  Semaine de 4 jours, soit 28h : 188, 72
x-  Semaine de 5 jours, soit 35h : 235,90

x-  2 semaines de 4 jours en juillet + 2 semaines de 5 jours
x-  25h sup à 33% (224)
x-  10h sup à 50 % (101,01)
x-   1h sup à 100% (13,50)
x-  127h à Noblet.
x-  951,85
x-  (+ 235,90 + 188,72/2)


La seule chose qui puisse me "remonter le moral". Que j'perds pas seulemnt mon temps. Enfin, à quel prix. Putain. J'pensais que le temps, ça valait plus cher que ça. Voir mes putains de cailloux une heure, ça vaut plus que le SMIC, j'vous l'jure. Même pas quantifiable. Mais putain, j'pête grave le casque du ciboulot. J'en ai marre de tout ce cirque. J'crois que j'prends feu là-haut. J'veux fumer, mais faut pas. Siyouplé. A bas les papattes. Juste un peu de compréhension. Ils me manquent les tourangeaux. Ils me manquent. Il me manquent. Qu'est-ce que j'ai fait encore, comme connerie... J'suis vraiment pas possible. Et éternellement insatisfaite. Mon estomac gronde et j'ai mal. Faudrait que j'arrête de faire tout un plat de rien du tout et que j'sois contente. C'est vrai après tout, c'est pas grave ;(
J'ai l'impression que les Griboux s'en foutent. Que chacun fait sa vie, et que c'est pas grave, on repousse le moment pour se voir. Mais non. Fais chier de pas prendre en compte. Fias grave chier. Et j'en ai la haine de tout ce tintamarre. Marre d'Abou. Même si c'est gratuit et que j'le montre pas.
Ne pas s'inquiéter et penser à sa future grattoune pour chanter du Moustaki à la chandelle. Motivation quelqu'une. Unique. Et ma cervelle fond avec. (Cette catégorie, c'est mauvais)



Mercredi 16 juillet 2008 à 22:54



Tiens, si y'a bien quelquelchose qui m'énerve, c'est qu'on rajoute sans gouter, sel, ketchup ou autre ingrédient à une sauce ou un plat savamment étudié pour qu'il plaise. C'est histoire de dire que c'est pas parfait, qu'il manque un truc, un truc à redire. Ah lala..... Me font chier tous les deux. L'un à intolérer l'autre et l'autre à être con et égoïste. Voilà. Et ses manies de se prendre pour le centre du monde. J'ai des tendances médisante quand je suis ainsi.
Sous mes airs sociables et gentille se cachent une associabilité aigüe et une méchanceté sans nom. Comment dire ça ? Je tiens à ma solitude. C'est pour ça que je fais onze bornes aller-retour pour ensuite rester debout entre sept et dix heures... Me fais chier de me dire que dès que je suis chez moi, y'a des gens. Même si j'aime le OinOin jusque dans le moindre recoin de mon hémoglobine, et même si ça veut rien dire, ca m'fait chier qu'on se voit tout le temps. Sauf le matin. De 6h50 à 7h10, le temps de me préparer pour partir. Et de 7h10 à 7h50 le temps de parcourir mes cinq kilomètres et demi à pattes. Puis après, jusqu'à midi, j'me coltine les collègues, plus ou moins lourds, inintéressants, lassants, gentils, cools, drôles. Ou pas. Et là, je lis. Je lis. Je marche un quart d'heure histoire de promener mes pattounes. Et puis rebelote à 13h. Taf jusqu'à 18 ou 19h. Pour les statistique, j'ai fini :
1 fois à 16h.
1 fois à 17h.
4 fois à 18h.
6 fois à 19h.
Soit 25 heures supp depuis le 1er juillet.
Bon, après je rentre à pied. Et c'est le pied. 40 minutes avec personne pour me faire chier. Personne, sauf le bruit des moteurs sur la Nationale 20 en pleine heure de pointe... Enfin, j'ai ma musique. Puis en rentrant, y'a Coin. Et Fat. Et ma mère. Alors jusqu'à 10 heures, à moins de lire ou de jouer du nopia, faire bonne figure alors que non, j'ai pas DU TOUT envie de parler. Ma journée ? Que dalle, des dialogues imaginaires dans ma tête, des comptage de paye, de calories, de secondes, d'élastiques à enfiler encore jusqu'à ce que l'heure se finisse, de nombre de paquets à la minutes, de nombres d'heures à faire pour arriver à une paye de telle somme, de calories dépensées, ingurgitées, de jours avant de voir mes cailloux. Puis des histoires, des nouvelles, des récits, des idées. De dessin, d'écriture. Puis des envies de chanter tout haut. ET QUE LE VACARME DES PLIEUSES CESSE S'IL VOUS PLAIT !! Que je puisse penser en paix. Vulgaire rythme lassant. Accadencé. Et que je serai plus rapide que celui ou celle qui bosse devant moi. Et qu'il faut que je bosse pour pas me faire chier, ne pas prendre de pause. Et Dieu que je me fais chier. Voilà à quoi je pense quand je bosse. Je pense à Simon qui ose, qui ose, QUI OSE user de la vie de bohème, sans contrainte, sans montre, sans obligation de moyen ou de résultat. Sans rien à prouver. Ouais, j'bosse pour gagner des tunes. Mais j'ai plus de vie. J'arrive, j'suis trop morte pour écrire, trop énervée d'avoir perdu du temps pour écouter des co-habitants, trop naze pour réfléchir, trop pas nette pour ne pas être maladroite et dire des conneries. Trop nul de taffer comme une conne pour perdre autant de temps. Alors qu'à gagner moins, j'en profiterais plus. En profitant juste du temps qui passe... Voilà pourquoi j'ai la rage. Parce que j'aimerais arrêter les études et je sais pas, être... Factrice. Guide touristique ? Jardinière ? Musicienne ? Artiste-peintre ? T'façon, rentrer en marchant, ça fait travailler les muscles et le coeur aussi. Alors... Dans la poche.

J'débloque sévère. J'me dis qu'elle s'est bien jouée de moi. Qu'on y a cru. Et que la fleur est trop fanée à mes yeux. Morte asphyxiée par ses propres rejets de C02. Tu t'étouffes ? A trop vouloir t'immiscer et faire la lèche-botte, t'étais devenue indispensable. Ce qu'on pouvait penser. Mais, pauvre caricature de toi-même. Que dalle. Tout le monde t'aura oublier ici. La vie se fait tout aussi légère.
Toutes les filles sont bi ? Tu rêves. Mais ptêt que. Ca t'dit un plan à trois CoinCoin ? En ce moment, j'ai envie d'essayer l'amour avec une nénette. Je fantasme. "Si tu me le dis, c'est pas tromper" Oui tu peux participer. Gni. T'façon, elle sera lesb. Na. J'me sens retombée. Dans l'trou. Pas sécuritaire. Dépenses supérieures à la recette caloréfique. Et plat gras, mais préparé avec amur. Amur, amur.

Bosser avec le patron. La côte qui. J'ai du mal à penser. Je cogite à tout ce que je devrais écrire. Tous ces bouts de livres. D'histoire. Réaliser qu'on est né en même temps que l'informatique. Je veux écrire un roman. Un roman. Il y aura ce personnage doux, au regard vif, un brin charmeur et malicieux. Fraternel et protecteur. Puis celui-ci. Intelligent comme pas deux, cartésien, compréhensif, terre-à-terre, réfléchi. Puis lui, philosophe, doué, dans son monde. Et celle-ci, la brise coeur. Qui s'émancipe de ton coeur sans que tu ne puisses rien faire. Connasse. Et d'autres, indispensable au bon déroulement. Pour te tenir les épaules petite héroïne. Tu ne t'endormiras pas cette fois. Tu te lèveras, et le majeur avec. (Margeur ?) Subversifs. Le monde, tu lui donneras une pichenette. Tu vivras ta vie, celle que je te façonnerai à l'atelier. MOuahahah. J'aime mes jeux de mots. Ca me rappelle Loute et "J'ai gardé tes jeux de mots débiles. Et ça les fait rire quand je les case..." Ou un truc du genre. J'ai toujours "fantasmé" sur les Simons. Beau prénom. Si, j'ai un mec, ça sera Simon. Le prénom bien-sûr. Enlevons la connotation ou pas. Quelle définition...

Ca fait du bien de lâcher ses doigts sur un clavier. Quel qu'il soit. Ce week-end, se lancer pour la nouvelle nouvelle. Y croire. Tenter de nouvelles expériences. Et acheter une cervelle. Je ne deale pas. Et parfois j'aimerai coker. Même pas vrai. Je suis stupide. Trop destructeur, pas d'occasion et pas envie. Juste un ptit pet quand j'pourrai. J'ai envie d'une fille. Expérimenté. Si t'es tentée... Samedi, à Pigalle pour les Alpine de Nathalie. Et Samedi d'après, anniversaire de Marj. Retour sur Tours. Contre le ToursBlue. Et voir Guizm. Et NikoToudou. Ce serait cool. Ouais, cooooool. Gnégné. Ta gueule Delphine. Ta gueule Delphine. Gnougnou. Pfiou.



Lundi 14 juillet 2008 à 17:36




Relan d'Eludril et de cône au chocolat. Le Quick qui passe mal. Frites Mac Do, frites maison et frites Quick, la totale. en trois jours. Soit environ 1200 calories par jour minimum. Sans sport. Ou une petite heure de marche cada dia. Mercury Messenger et j'adopte la liberté.

Elle aimait se trimballer sans soutif, comme si elle avait un brin féminisme, arborant sa poitrine, petite mais fière, et surtout légère. Ca semblait bizarre qu'elle l'assume si bien, mais l'essentiel n'était que chacun de seins tiennent dans une main. Jouets destressants.

Là où j'ai encore ri violemment de la conneire humaine, de ces gens qui profitent de chacune de moindres failles pour se faire de l'argent sur le dos de la population entière sans s'en rendre compte. Exemple d'aujourd'hui : une madame qui refuse de payer l'amende d'absence de tickets de parcmètre sous prétexte qu'aucune loi oblige à payer le parcmètre. Ou va t'on ? Deux solutions, soit cette dame n'a pas payé les frais de procédure de tribunaux parce qu'elle n'en a les moyens et qu'elle a eu un commis de justice (donc c'est les impots de tout le monde qui ont payé le dit-commis), soit elle s'es tfait remboursée des dommages et intérêts dûs à la procédure et là, c'est le Trésor Public qui lui rembourse (soit les impots de tout le monde) car le TP est la partie attaquée. Voilà. Et ça me révolte qu'on ait de tel comportement ! La meuf peut pas payer comme tout le monde. Mais flute de zut de crotte de bique, la législation est fondée sur des sources de droits qui peuvent être d'usage comme les moeurs et coutumes (qui souvent, nous arrangent pas mal), sur des textes de loi, genre directives, recommandations, propositions de loi, conventions, Constitution, et autres code civil ou code du travail... Bref, tous les gens qui ont payé le parking ce jour-là n'ont pas contribuer au réinvestissemnt dans la rénovation de voie ou dans l'implanatation d'un feu rouge mais bien dans le remboursemnet de frais de procédure de tribunal. Bravo bravo, clap clap, on applaudit tous ! OUI, ça fait chier les parcmètres, OUI, cet argent ne tombe pas dans les fouilles d'un politicien arnaqueur, OUI, c'est cool pour la fille, puisqu'elle s'est fait des tunes et a soulevé un problème de législation, OUI c'est cool pour l'avocat ou le commis, puisque sa réputation est faite maintenant et qu'il va devenir riche. OUI, bravo, on va se voir lire bientôt des nouvelles lois sur les parcmètres dans le bulletin officiel et tout le monde sera contente, OUI, comme ça, les députés devront se réveiller deux minutes pour voter pour ou contre la loi, OUI, il ne seront pas payé à rien faire pendant deux minutes, bravo clapclap.
L'argent est maître de ce monde, et ça me fait mal. Ca me fait mal de voir que les gens soient tellement dans le besoin, éternellement insatisfaits de ce qu'ils ont, qu'ils vont chercher des poux dans la Craz tête d'autrui pour pouvoir s'en faire et qu'ils balancent des procès à tout bout d'champ pour s'en faire encore et encore et que gnagnagnan, j'ai même plus les mots dans mon indignation, ma compréhsion, mon incompréhension, ma pitié et ma compassion. Mais ça m'brise le coeur de voir tout ça, ces comportements bizarres, compréhensibles, et incompréhensibles. J'oserais pas.
Parenthèse finie.

Tous les DBZ téléchargés. MOUAHAHAH. Crazy factory, ça me plait. Et j'aime pas la télé. On lui manque à ce petit chou à la crême ? Pfff. Maïlys a eu son bac. Et Napo est dans le coma, notre pauvre petit cochon. La baignoire est crados et je suis un mimi ouistit-dragonounet parce que : "Arrête de piaffer" Sèchement. Je ne supporte pas les piaffements. D'un parce qu'on m'engueulait quand je piaffais quand j'étais petite : donc simple règle de politesse, fermer la bouche quand on mange et pas faire des bruits d'évier et de deux, parce que voilà, j'ai tout dit dans le un.  Enfin, ouistiti avec une truffe, alors hein. Et j'aime quand tu me le dis, Bébé'Ion. Papi'Ion s'est rangé du côté de la Force Obscure. Insupporté par le Oin, by me aussi. En ce moment. Même pas drôle.
Ouistitruffe, Ouistiti, Truffe, Dragonounet, Fée, agrémenté de petite, mimi ou pas.

C'est pas poilant mais bon. J'ai retrouvé mes bouquins, vais en mettre en vente sur Amazone. Au cas où. Pleins de choses à dire, écrire, sortir. Mais les ras-l'bol affaiblissent. Dessiner fait oublier, bulle, j'ai des bulles. Une bulle. Tintamarre, tintamarra, tintamarre mare mare. Marabout, marabout, marabout boutbout. Boutd'ficelle, selle de ch'val, ch'val de course, course à pied, pied à terre, terre de feu, feufolet, lait de vache, vache de ferme, ferme ta gueule, gueule de loup, loup des bois, boite à lettres, lettre de Troie, trois p'tits chats, chapeu d'paille, paillasson, somnanbule, bulletin, tintamarre. Marre, marre. Et autres variantes.

On joue à la marelle ? Ma soeur, petite asana guruff  trop bavarde ? Non, j'suis sûre. Je l'aime. je les aime. Toutes autant qu'elles sont.



Lundi 14 juillet 2008 à 13:26




45 kilos. En passant devant ces immeubles, je trouvais que j'avais un corps moins moche avec ces miroirs déformants. Taille affinée, cuisses potable, cachée sous la robe de toute façon. Puis ces déformations n'étaient en fait bien que la réalité. Je suis donc bien ? Je me sens bien en tout cas, malgré les chiffres. Et encore, faudrait que je m'en défasse. Sont une galère pour bouffer. De la salive partout dans la bouche quand on parle. Parait que le calvaire dure une semaine à un mois. Hum hum. Le week-end du 9, Gwen, les cailloux, NTD, Seibi et les jumelles. Impossible à tout caser. Fait chier. Déjà que j'ai loupé les deux tourteraux à Fondettes. C'est pas juste. C'est pas juste. Me manquent.

Penser à ne  plus s'apitoyer sur soi et à apprécier le fait d'être logée à titre gracieux, chez sa Môman chérie pour poursuivre des études qu'on aime. Mouais. Faut que je trouve le temps de faire un BTS IG entre les autres diplômes. Histoire de pouvoir être technicienne en informatique aussi. C'est l'avenir. Suis trop à côté, dans ma bulle, à bosser H24. Pour rentrer, je mets 28 minutes pour la première moitié avant le pont et 12 minutes pour après le pont, seconde moitié. No comment, la moitié.

J'ai envie d'éclater. Envie de dire à tout le monde que non la vie est pas belle, que je bosse histoire d'avoir des tunes, que c'est plus qu'hypocrite et que ça me bouffe le moral de répéter lassablement pendant des journées durant des gestes, afin de répondre, avec le sourire, aux demandes de ce système. Et de pouvoir prouver à Mossieur Taylor et son OST mieilleuse qu'il a eu raison, puisqu'une foiis encore, c'est appliqué. Bravo encore, Mr Sarkozy pour ces heures supplémentaires de merde, seconde démonstration de réussite. Bosser 10 heures par jour et puis ne plus avoir de vie. Tout ça pour quoi ? Pour quoi ? Moi j'vais ou l'dire, plus tard, mes gosses feront les études qu'ils veulent et vivront sans souci de quel boulot de merde ils devront faire pour essayer d'effleurer l'espoir de pouvoiur toucher du bout des doigts un de leurs rêves d'orientation. NON, la vie n'est pas belle, j'vois pas mes amis, ils me manquent. Y'a la misère partout, qu'elle soit intellectuelle, sociale ou que sais-je ? Non, c'est pas la joie ici, c'est le gros bordel sur cette Terre et ça donne même pas envie d'avoir des gosses pour leur offrir un monde pareil. Et en plus , s'il se retrouve avec un peu de ma gueule, c'ets fini pour eux. Non, j'en ai marre de me voiler la face, de me dire que je vais mieux donc le monde va mieux. Je vais mieux parce que si ce n'était pas le cas, je culpabiliserai de ne pas répondre à ce putain de luxe dans lequel je vis. Et encore, y'a pire, y'a mieux, comme luxe. J'veux dire, l'école gratuite et obligatoire... Oui, à moins de ne pas vouloir suivre une formation dite normale et pas du tout marginale. Le coût de la culture  ? Mais putain, ouvrons les yeux ! C'est quoi toutes ces conneries ? Et après on s'étonne qu'il y ait des classes sociales ? Le moindre petit livre à 5 euros ! Faut les avoir ! Et bien va à la bibliothèque connasse ! Ouais, c'est ça. C'est quand même dégueulasse. Quand on dit que les hackers sont des pirates, ça me fait bien rire. Des gens qui militent pour le partage universel (et je mets des redondances, oui) de l'information, des moyens. Tous ces soit disant pirates qui créent des logiciels libres pour que chacun y accèdent sansdevoir payer un Windows qui plante à 150 euros pour une version familiale. C'est Tux qui l'a dit - ce cher pingoin : "Goodmorning Mr Gates, I'll be your server today." Je suis heureuse que Mozilla Firefox gagne du terrain sur  IE. Je suis heureuse que la suite d'Open Office se développe et que les logiciels libres comme OpenCanvas ou The>Gims permettent aux apprentis graphistes de pouvoir faire des prouesses sur Illustrator ou Photoshop mais sans devoir payer 700 euros leurs logiciels. Je susi contente que tous ces dits-pirates fassent partager leurs cracks pour qu'on puisse utiliser gratuiitement des logiciels destiné à une minorité fortunée.Et tout comme je déplore tous ces serveurs d'E-mule qui sont dépistés. Mais j'ai la foi en tous ces SP, les Sioupeuw-Pwogreummeuw, qui vont faire que la culture et l'information sur le net seront libres ! Mais, à quand dans la réalité ? A quand ? Ca m'dégoute.

Et je ne parle pas de tous ces fanatiques, ces extrémistes, ces violents, ces délinquants, ces arnaqueurs, et toutes la véritable racaille qui pollue la beauté du monde. Oauis, j'm'emporte mais bon y'a tant de belles valeurs sur cette putain de Terre, et tant de choses magnifiques. On détruit tout, on s'entretue, on s'écartèle les cervelles. Mais putain, rien de plus inhumain que l'homme. La pire des bêtes, c'est bien nous. Et oui, j'me plains alors que j'ai pas de raison. Oui, j'me prostitue pas pour faire marcher le tourisme de mon pays, je ne travaille pas depuis l'âge de 4 ans, je vais à l'école, je peux travailler, j'ai des droits, j'ai droit à l'information (et la désinformation), à la liberté de penser, de m'exprimer, de créer, de manifester, de VOTER. Oui. "Ne pas choisir est un choix", j'crois que c'ets Paul Eluard qui l'a dit. Certes. Mais je constate. Je constate que même à notre échelle, des gens crèvent parce qu'ils n'ont pas les moyens de se soigner, beaucoup n'ont pas de logis, pas de quoi bouffer normalement. Tous ces gens qui sont dépressifs, hypocondriaques, addicted à n'importe quoi, café, anti-dep, calmants, coke, marijeanne. Tous ces gens qui ne sont pas capables de penser par eux-mêmes et qui répètent bêtement tout ce qu'on leur inculque. Tout ce foutoir administratif.  La vie m'indigne, même si j'aime la mienne avec le travail en moins. J'veux me réincarner en fourmi.
Même si le dernier Werber est pourrite et que ce dernier ne répond jamais à ses mails. "Le Papillon des Ètoiles" 7,5 euros. Les mêmes idées que dans la trilogie des Fourmis, des Thanatonautes, "Le père de nos pères", la saga des Dieux et "L'ultime secret". Son nom écrit plus gros que le titre de ses bouquins. J'ai honte. La chute est pourrite. Non plutot: j'ai pas aimé, je suis déçue. Voilà. Point.

Oui, c'est un coup de gueule. Parce que. Voilà c'est tout. Maintenant, on donne le bac et les BTS, on surnote et c'est génial pour tout le monde. 12,25 qui n'en valait que 10 ou 11, et bien, messieurs les correcteurs, je ne félicite ni votre clémence, ni votre laxisme.  Ca c'est fait. Ca devait sortir aussi.
J'aime l'iBook G4 et j'ai fortement peur que CoinCoin soit plus matérialiste qu'il n'y paraisse. Très fortement. Parce que "je veux pouvoir ne pas priver mes enfants comme je l'ai été". Ok. Ils ne seront pas privés, si jamais j'en ai.



Dimanche 13 juillet 2008 à 12:55




Parfois tout me ramène à un passé que je souhaite oublier. Parfois, j'ai du mal à parler et surtout quand langue gonflée. Elle avait 17 ans. Elle arrivait comme un cheveu sur la soupe avec son air insolent et sa nonchalance. Mépris d'une adolescente et certitudes absolues, les vacances n'allaient être de tout repos ni pour la nouvelle recrue, ni pour ses collègues. J'ai parfois du mal avec les Mac, mais je veux bien de, l'iBook G4 de OinOin. Pendant qu'il étaient au concert de Dynamophonic et Mass Hysteria, moi j'écoutais Une somme de détail en marchant dans l'avenue Grandmont.
Jolie en sous-jacence. Supertramp, un TGV, sauf quand on oublie le gadget chez soi. Apprentissage d'Inspecteur Gadget au nopia. Et les Tiersen aussi. Bourdonnement du voyage et retour à l'enfance. Nathalie Sarraute. "Tu notes tes horaires hein  ?"" Pas d'inquiètude à avoir. 15 heures sup à 33 et 4 à 50%. Les zozor s dans les Alpine, le s protéger des aggressions mécaniques. A bas les plieuses ! Sebum estivale ou fausse-couche. Le nopia, défouloir. Miam à tort et à travers. Création deviantartesque version anagrammique. Pour Fanshu.N'ose pas publier un tas de torchons scribouillés, de peur de les offrir sur un plateau au dégoût des utilisateurs égarés sur ma page. Et d'autres virtualités. "Un look à bosser dans la mode. Ou dans la peinture. tu vois dans l'art quoi !" Mouai, si vous l'dîtes. quand j'leur dis que j'écoute des vieilleries et du rock and roll, ils ne me voient plus en petite punkette qui fait pas son âge, qui es une reblle de la life. Ils  me voient comme une étidante en école d'art, sans avenir. Je ne sais pas ce qu'ils pensent et j'm'en fous, parce que je fais bien mon taf. En fait oui, y'a des mâles en rute à l'atelier. CONNARD DE PUTAIN DE DIEU EN CULOTTE COURTE. Obsédé. Alors se contenir et répondre poliment des conneries, histoire de semer le trouble sur ma personnalités. En rigolant pour bien ne pas être cernée. est ce qu'elle est sérieuse ? Je me dis que je dois être over motivée. Pour avoir envie de faire un doctorat.... et puis pour bosser dans cette usine à papier. Comme disait le nabot : "travailler plus pour gagner plus" Seule motivation, Condé et pouvoir la payer, même si c'est en bossant très hypocritement et surtout même si ça donne raison eà ce connard de président et que ça fait fonctionner le système. M'enf ous, je joue l'égoîste, j'ai besoin de cette tune et de ne rien devoir à personne. Tiens et puis esprit d'iunitiatives qui paye, rien à) redire, sauf des compliments sur ce que je fais. Donc je suis contente.M'en faut pas p lus.
BTS OK. Une ligne de plus sur le CV. Pas fière, juste soulagée de ne pas avoir patienter deux ans pour rien. Pas de mention au BTS, assez bien. Cohabitation difficile du fait de cractères lunatique et de mon esprit solitaire. Saoulage matyernel, plus l'habitude. Ses histoire de cul, d'amants et d'amour. Aujourd'hui, je suis une abeille, pendant toutes les vacances. Oreilles qui ne sifflent pas le soir, pas d'acouphène. bourdonnement des macinas la journée, pas le bourdon, prends pas la mouche. Me fais juste piquer par des araignées et autres bébétes malicieuses et belliqueuses.Patience et liberté. Ladybird. BIceps et triceps qui se développent et autres muscles inconnus. Musculation payée par NOblet, c'est chouette aussi le taf parfois. Pouvoir ne pas penser et réfléchir à rien d'autres que ce qu'on aspire.Phrase qui veut rine dire encore, mais j'me comprends et j'avais envie. J'passe ma semaine à galérer, à attendre le week end alors hein que je prenne un peu de liberté. Le boulon débouDes gouts et des couleurs. décalage, comme à côté. Mes pompes et la fatigue corporelle. Swet inopiné, tee-shirt tête de mort corsica. Or. Indépendant.
Curieux momnet et bonne découverte. Apprivoiser l'inconnu, écouter échanger palabres en vrac. Tout, tout. Provocation, moui, coup de fouet avec le ressort. le bordel des sacs des filles. Oublié la lecture du manuscrit. NTD. J'dis ça, mais c'est une bonne boite quand même.



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