sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Samedi 23 mai 2009 à 14:41




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C'est simple, il souriait et ça m'a intrigué. "Tu mates plus les filles que moi". Humhum. Comme c'est bizarre. Libertinage. J'essaye de garder le rythme pour retrouver ma forme d'antan. J'ai 5 kilos à perdre. Ca peut se faire en un mois quand même. Puis Fred qui est opé pour cet été, août sur, juillet à voir. A voir.

Si tu veux, on pourra aller au Troisième Lieu/Cantine des Ginettes Armées. "J'aime quand tu me parles comme ça". Alors oui, mater. Apprécier une mousse, un rhum arrangé, des paroles hilarantes, des regards en coin et des dates de concerts à noter. Puis offrir du feu et parler dehors, clope au bec, comme des grandes. 

Comme ça, tu as l'impression de gérer. Musique classique en fond sonore. téléchargelent massif, ça t'apprendra à me bloquer la connexion. Et puis finalement rangement, mettre les pièces en ordre, les idées,  les projets, et les priorités. Une bonne épine d'arracher. "Une rose sans épine, ce n'est plus une rose" Ok connasse, je me la garde pour moi. Je suis une grande, responsable et tout. Qui s'amuse et profite de sa jeunesse. Les soirées shooting, les chocolat viennois, les tickets restaurants, les livres sur l'illustration, la pub, le design, l'art, l'histoire de l'art.
 
http://sidvicious.cowblog.fr/images/Affiche2copie-copie-2.jpgTout est là, tous les ingrédients. Passer ses nuits à psychanalyser les potes, faire des expos, des musées, encore des expos, encore des musées. L'argent aide. Puis une fois rassasié de culture, se réfugier une fois encore dans un bar plus ou mloins douteux et profiter du moment, un peu gay, un peu lâche. Se balader dans la ville, à courir les rues, joyeuses. Fumer de quoi tenir le sourire et les illusions et revenir dans son chez-soi niquel, le coeur aimé, le coeur aimant. Légère et libre. Alors s'endormir dans une tranquilité enviable, loin des insomnies envahissantes, le silence vaporeux berçant ton édredon.

Vous savez, le bonheur ne tient pas à grand-chose. Il faut se le permettre, et fermer les yeux bêtement à l'avenir en se laissant aller au grè. Du vent ? La détremination est là, pas besoin de plus, je sais ce que je suis, je sais où je veux aller et le chemin que je prends. Pour une fois, j'y vais sereinement malgrè la conscience des obstacles. Je pose ma garde, la conserve. Je peux le faire.

10 km en moins d'une heure.

 


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Projet de communication visuelle :
3 affiches pour la lutte contre le Sida.

Lundi 18 mai 2009 à 13:44



 Fatigue et courbatures, do you see ? Bref. C'est tout. Effort. Poursuis ta quête, jeune padawan.


Lundi 18 mai 2009 à 13:41



Hier, la loi française a reconnu que les transgenres et transexuels ne sont pas atteints de maladie pschiatrique. 20 ans après l'homosexualité. Nous sommes les premiers.

Je ne suis pas morte. Je suis abonnée aux demi-baguettes. 2,5 kilos en deux semaines. Encore 5,5. Un mois sera suffisant. La faim disparait, la gourmandise vient, mais seulement ce qu'il faut. Les calories ne sont pas comptées, ça ne sert à rien. Juste que la satiété est de plus en plus rapide, et les envies maîtrisées. Nouvelles fringues, nouvelle gueule. Le corps et l'apparence, marre d'être une clocharde.
Au bout du voyage. Carnet. Moleskine. L'expression par excellence, sans. 
Je reprends ma vie en main. Ca commence par chez soi. Le taf. A jour. La fin. Se reprendre, confiance, revenir aux liens. Chérie et Jolie. Vie sociale. Sortir, boire. Manger liquide, fumer les chrysalides. Je t'envoie mes images. Remets à jour mon humeur, mes rêves et mes projets. Profite de chaque doux instants avec le 'ion. Vider les batteries. Dort paisiblement et envoie au diable ces années d'insomnies. Ailleurs le stress et les doutes. Parce que tout change quand on sait ce qu'on veut, ce qu'on est. Ces deux derniers mois difficiles. Mais une réponse et la sensation de comprendre.
Vous savez, notre vie ne tient qu'à un fil. On peut tous mourir demain. Si tu crois un jour que tu m'aimes, viens me retrouver.
Musique classique en fond, le dessein de s'épanouir, découvrir, apprendre, expos, expos, musées, musées, croquis. Je me sens vivante que je m'enrichis. Ma pauvreté intellectuelle me perdra. Lire les news par les journaux trouvés par terre. Actualiser mes informations. Prendre sa vie en main. Se dépenser. Aviron, marche.

Pense à moi. Juste ça. Que j'existe. Tout change, rien n'est immuable. Et l'évolution est frappante. Tout ne change pas. Il disait : "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme" Vous comprendrez que ça va. Que j'ai l'espoir, même si la certitude d'être à la hauteur n'est pas dans les moeurs. Mais vous savez, on verra. Carpe diem. Je joue mes délires. Et ris de tout. Aussi, ça ne sert à rien, je n'aime ni le black métal, ni le death, ni le metalcore. Mais si tu veux écouter VV, sans souci.

Tu te souviens, il y a 3 ans. La discussion avec Simon : les radiateurs, "t'a d s t p ?", les tombes, les amoureux transis en pleurs, les crises, les efforts vains, la perte, les solutions inexistantes. Leur patience, la folie, le punk, la bière, les cuites, la musique, les regards en coin, suicides latents, les études foireuses. Mais regarde où nous en sommes à présent. Malgrè la prise de poids. Fais le bilan.



Lundi 11 mai 2009 à 21:45





Chantons à présent !
Ceci est une Ode à la Vie. Une ôde à la connerie humaine. Une ôde paranoïaque. Une ôde à l'audace, la DASS. Je vous demande d'accueillir comme il se doit (doigtdoigtdoigt doigtdoigt) sous vos applaudissements (mainmainmain mainmain) : MachinTruc et sa superbe "Caritative Song et les Grenouilles Dansent dans le Lavabo"

Corps n'est plus moi. Moimoimoi moimoi.
Il faut se ressaisir. Gnagnagna gnagna.
Ca va virer à l'obsession.  Plupluplus pluplus.
Un organisme étranger. Ca colle pas Papa.
Rejet de la greffe, tu vois ? Moimoimoi moimoi
Des petits bons hommes en fil d'étain. Déteint, des teints.
Qui vont s'amasser, pendus. Dégouts et des couleuuuurs.
Depuis une feuille de carton mousse. Des goûts et des couleuuuuurs.
Tu sais mon p'tit bonhomme, je ne peux rien pour toi. Rien pour vouuuuuuuuuuus.
Mais ne sois pas malheureux. Soyez pas malheureuuuuuux.
Est-ce que ça dépend vraiment de moi ? Moimoimoi moimoi.


Regardez la richesse de ces rimes, la profondeur des paroles, ces choeurs battants jusque dans votre poitrine, cette solennité qui se dégage violemment de la beauté de cette pieuse pauvre oeuvre à roulettes. Non, y'a pas de code secret là-dedans, c'est juste ma gique à moi (moimoimoi moimoi). Vais essayer le thé de ChérieChérie. Petit chien et footing. Lutte contre les kilos. C'est tipar Gaspard. Papapapapar.
(Souriez, vous êtes filmés !)



Jeudi 7 mai 2009 à 23:25



Deux jours à tuer est un film magnifique. Simple et réaliste. Mui, c'est tout. Bien-sûr, il faut suivre les conseil suivant (je cite) : "Le regarde pas un soir où tu baddes". Cherbourg. De la marche, île Saint-Germain, des souvenirs. La vieille statue qui fait peur. 1h de marche. "C'est pas bon de courir en ville et en journée" Oui, en journée, plantes et CO2, Ok. Courir en ville, alimenter les muscles en gaz carbonique. Certes. Alors les amis,changeons ! Dormons le jour, vivons la nuit (dans un sens, ça m'arrangerait) On serait à Hiroshima, Nagazaki ou Tchernobyl, à la rigueur. Un jour de pic de pollution aussi. Mais bon, HS, hors contexte, inepties. Je suis sourde et incompréhensive. 

Pelouse. Je te veux . Il faut que je devienne belle. 8 kilos bordel. 2 mois ? 2 mois ? Suivre le conseil de Mummy. C'est presqu'un défi, pour le coup. Moman hier, instant essentiel. Echange, complicité. Oui, on est seul. Mais quand même. Dénégativisme ambiant face à la fin. Au chiotte le C-A-om. Ne pas prendre de risque et rester condéenne. Cogito ergo sum. Je ne sais où je vais. Mais j'y vais. L'avenir nous le dira. Ne soyons pas pressés. 
Taille-moi les hanches à la hâche.



Jeudi 7 mai 2009 à 19:05



Je suis une fille ringarde. Oui. Qui doit perdre des kilos.
Il est temps de se prendre en main. De compter.
Il est temps aussi de mettre les choses au clair. Même si c'est ringard : engaged et fidèle, oui, cherche même pas à renverser la vapeur. "On en parlera en tête-à-tête, tu veux ?".

Découverte de l'électro par SMD et Yuksek. Passer le pas du du torrent et télécharger veugra. 10 Go de musique classique. Ringarde, je suis, je sais, j'assume. Puis de l'électro, du rock. De ces trucs qu'on dit qu'on téléchargera un jour, faut que j'y pense. Et voilà.  2 Go de musique de films. Et les comédies musicales : Hair et Grease. Ainsi que bien-sûr : 2 jours à tuer et Slumdog Millionnaire. Bref, plaisir égoïste.
Il est temps de se prendre en main j'ai dit, alors. Le faire. Let's go.
On courra à Cherbourg, puis piscine, histoire de visiter.

" And you're my obsession, I love you to the bones. And Ana wrecks your life, Like an anorexia life " BabySidPuppe. Good name.



Mardi 5 mai 2009 à 1:19




Ce soir était la réunion de MANAA 7. Des smacks d'hétéro inter-hombres. Des langues baladeuses. Des rappels du temps du squat. Stone sour. Ca ne sert à rien de nier, je ne suis pas une putain d'associable. Si y'a des gens que je déteste, c'est juste Coprs et Esprit. Mouahaha. Mais un jour, je serai. Promis, juré, chérie. Promis, je serai une fille bien. Qui nettoye les chiottes après y avoir gerbé les quelques gateaux de la journée. Ang I got to go. Mais tu sais, je sais bien que ce n'est pas une gerbe qui nous arrêtera. J'ai parfois envie d'y penser si fort. Que. Mais. Comment ? C'est une double vie qu'il nous faudrait. Alors je me dis que plus tard. Quand tout cela sera fini. Qu'on saura profiter de chaque instant, pour un apéro, une soirée, une défonce, un suicide latent, juste pour profiter. Hain. Il ne faut pas être intransigeant. Pas autant. Et ne pas rejetter sur aurui le dégout qu'on porte pour soi-même. Alors abtinence.
I'm still afraid. Parce que je sais ce qu'il se passe dans ma tête. Et qu'heureusement que j'en ai conscience. Parce que. Parce que. Parce que. Les soufflettes de Cam et Sylvain sont particulièrement attirantes vers les nébuleuses assoiffées. Alors "Sylvain, t'es un beau gosse" devient un gage. Et complimenons nous tant qu'on. "Des qualités à dire sur toi, j'en ai des tas" C'est merveilleux d'avoir une classe comme celle-ci. What am I suppose to do ? Cette vie me plait. Et parfois, oui parfois, j'ai l'impression d'avoir plus d'une raison d'être sur cette putain de Terre agonisante. L'agonie, non, pas pour moi. Il n'est rien. Et c'est bizarre de voir l'acceptation de l'alcool par le corps. Et de voir la vie so rose after drinking. Excuse me Baby'lion.

Hin. Je ne sais que faire de ce week-end. Mais refuser serait malpoli. Et dommage. Et y aller, pas raisonnable. Alors jeudi, gueule de bois mais travail, vendredi idem et dimanche, bouchées doubles. Juste une semaine à s'y mettre. Puis faire acte de présence. Exister.
J'abolierai les impôts, l'argent. Communistes, rouge. Nous serons. Idéalistes. Réveurs. I have a dream. Today. Restons ainsi. A mi me gusta. Si tu savais comme je t'aime 'Ion et que les mots, hin. Et Chérie-Chérie-Lys. Un jour. Vous verrez bien. J'assume mon amour pour les bêtes à poils. Félins amoureux et ouistiti à poils gris. Thanks à toi, marin d'eau douce dans ton bateau en carbone.

"J'ai déjà vu les Twin Towers en vrai, vous buvez tous. Et oui..."



Dimanche 3 mai 2009 à 13:08



Ainsi la tête tournait. Et l'effet du lendemain. Quand la fumée laisse la cervelle un peu abasourdie. Le JA qui déménage de Facebook. Zizi était complètement fait, son extrem blast bossé pendant deux heures, bu sans mangé, volonté absurde de se la mettre. Au moins, hein. Il est mimi, Zizi.  Il m'étonneront toujours, ces batteurs de merde.
Tours. Marcher plus vite que les tourangeaux, ça a toujours été ainsi. Pas besoin d'attendre d'être à Paris. Revu Gabi. C'est fou de ne se voir qu'à Tours alors qu'on est à côté depuis 7 mois et qu'on s'est vu une seule fois. Jouons, avec Mike, ses énigmes. Et match perdu contre Gabi, pas la tête à ça. Le fameux monaco en terrasse de La Cabane, avec le chanteur de Médecine qui vient nous servir. Alors aller au match de handbAll. Voir mike, castelrenaudais, se prendre une taulée par les Chambraisiens. Oh ma patrie. Nico content de voir que je viens à son match, sa copine is. Et supporter, donc, les deux équipes. Je devais être sacrément "rébou" (comme ils disent) à l'anniv de Nico l'année dernière, parce que je n'avais aucun souvenir de sa tête, à "Anne-sophie" (? Ni de son nom d'ailleurs) Bref, c'était bien marrant et le 23, anniv du Nico. Revu Marco et d'autre handballeurs chambraisiens, ceux du soir de Martin Solveig et les Frantz Ferdinand. Ou non, je n'étais pas vraiment belle non plus. Hinhin. No comment.
Et puis le footing de la mort qui te dit que oui, tu n'es qu'une grosse merde et que c'est normal que tu sois si grosse puisque t'as tant de mal à bouger ton gros cul. Salope. Bref, une jolie ampoule et le coté abimé par ce putain de flip qui ressurgit. Genre, et ouais, j'ai fait du skate.

Fin très drôle. Je ne fais de cauchemars que lorsque je suis à Tours, cauchemars qui se finissent bizarrement bien. Ce qui est paradoxale pour un cauchemars. Mais toujours la même, mort ou suicide, et la sensation que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Quand je serai grande, j'essaierai.

Le 180 recette fromagère est, oui, une tuerie pour les papilles. (Et pour les hanches)
Après tant d'amusements et de auto-foutage de gueule, je vais passer aux choses sérieuses. Ca ne peut plus continuer ainsi. Mater la rebellion, le trop plein. C'est faisable. Passer en mode extrème. Comme le blast. Ouais, nous on est con. C'est un affront. Not yet possible. Donc, commencer dès maintenant. Va y avoir du sport ! Hinhin. Comme dirait-il. Avancer, baisser, tenir les comptes, tenir la distance, le programme. Et tout. J'ai trop souvent l'impression d'être là sans y être. Juste voir ma vie défiler sans faire le moindre geste pour la rendre vivante. Enfin, pour la rendre vivante pour moi. Rester spectatrice et ne rien faire, en ce moment, ça pèse. Toujours la même sensation lorsque je n'ai pas travaillé depuis un bout de temps. Pourtant, j'ai les idées. Trop. Et ma cerveau veut pas, je sais pas assez bien maitriser les traits pour réaliser ce que je veux. Ca devrait être une motivation. Mais je suis trop. A abattre, je suis. Kill me and I'll love you.

Zizi qui fiat chier avec Gwen. Si je savais ce qu'il s'est passé ce soir-là, ça m'arrangerait. HAHA. Et pour le reste, qu'ils croient tous ce qu'il veulent. A croire que je sens la bi à 30 bornes. Pouah, m'en fous, j'assume ma sexualité, et la fidélité que je voue à celui que j'aime et ceux que j'ai aimé. Alors, que chacun pense ce qu'ils veulent, si ils veulent, les frasques fantasques, ou fantasmagoriques, se dérouleront demain soir à 7h06 (6h66). Tu me scarifieras une étoile dans le dos. Non, pas de pentacle. Ah, ce qui est fou, c'est d'y croire. Malgrè l'incompatibilité avec ma tête et ma vie. Enfin, rêvons Chérie : oui, nous aurons notre groupe de métalleuse-grungeuse, en vinyl sur scène, jupe plus courte que courte. Complètement sur pile. Blague de cul entre deux chansons. Et nos corps. Décharnés, arnachés, attachés l'un lautre. Les fanstasmes, beaux et recroquevillés par le vin, aussi glauques soient-ils, aussi implulsifs que. Haha. "I'm ugly and I don't know why" Love. Si, je t'assure. Nous sommes so dark. Et nous finirons par nous détruire. Dans les films, ca se passe comme ça. Un jour, quand je saurais dessiner, je t'en ferai un BD. Ou je scènariserai Marthou. Oui, pour toi BabyBabyLove. On fera une BD. Et on sera bonne. T'as perdu un os. Et j'ai toujours la chanson que tu m'avais écrite. Si. Stand by me.



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