sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Jeudi 28 septembre 2006 à 23:49


Finalement, elle aimait vraiment bien ça, tirer sur un pet, dans son jean et son marcel, sans sous-vétement. Puis l'ecrire sur un dépotoir de  conneries, les doigts chevrolants se baladant avec peine sur le clavier. Frigorifiés et trop nerveux, mais libérés d'eux-mêmes. Comme une sensation de pouvoir sur son inconscient, et garder tout son crachat vénimeux pour son ancéphale embrumé.
Le goût du vieux shit sur la langue. Demande qu'à embrasser. Ce goût de âpre et amer, douceureux et écoeurant. Juste ce qu'il faut pour être bien et mal penser, tout ce qu'il faut pour être mal et bien penser. Une complétude.
Elle l'avait obtenue, aussi, cette compréhension. Au bout de ses doigts. Doigts de "fée" qui ne demande qu'un piano électronique ou un corps d'homme.

P-80, libére-moi de mes mots. Si perspecace, si efficace sur un son de piano.
Toucher dur, si doux. Baiser avec l'instrument. Osmose totale, ne faire plus qu'un et laisser son cerveau gérer son organisme. Métacarpes joueurs, en manque permanent. Tout est si simple dans la musique. Tout est si compliqué...

Jeudi 28 septembre 2006 à 23:21



Pfff... Ne plus jamais rien précipiter... Ne plus jamais rien précipiter. Mouais, je sais pas. Plus. La Boite Noire, fin comme un cheveux sur la soupe, incongrue et saugrenue. Fin simple et claire, tellement logique au final... Surprise. Faut lire...
Complétement ailleurs. Envie de voir la mort sur un joli pet. De rien du tout. Plouf. Le danger, quel danger ? Hahah, je me ris du danger. Rien qu'un clown dont les ficelles ne peuvent que casser. Jolie figuration, sac d'os. Abats les masque. Abats-là. T'expliquerai. Voufrais être une autre.
Taille-moi les hanches à la hâches, je suis la femme-chocolat. Mange, croque ma taille.Déhanche-toi autour de moi. Yes, you can cry, "It's easy of you try" (Lennon, je t'aime). Rain of tears all this years. Forget and fly away. We have our game to play... We'll go. UK. Don't forget this aim. Forever united. Two. XX.
Style scriptorial.
Menteuse, croqueuse, et plein de mots en [-euse]
Juste se con-centrer. Se défoncer la gueule. Oublier tout ce qui ressort. Qui ressort encore. Comme la graisse. Ne plus rien penser, aller se faire foutre. Ne plus savoir. Ne plus vouloir utiliser les expressions normales. Tout qui va mieux, tout qui va pire. Du pareil au même. Ne plus vouloir savoir. C'est peut-être une overdose d'overdose.
Pas bavarde ? Je sais plus. Voilà, tout est dit.

Sauter une ligne, flèche en dessous du verrouillage des majuscules et entrer en même temps. Tuyau. Arrosage de mauvaises pensées.
Va te faire foutre, Fat Man. Ugly.

Ugly. Insomnie, pseudo jeune, pseudo dégueulage. Des crampes et des carences, le cerveau pas assez irrigué pour réfléchir bien comme il faut. Il leur en faut peu. Au lycée, Lui, Eux, tous autant qu'ils sont. Prenne comme je suis, c'est n'importe quoi. Trop de défauts, s'intéressent qu'au bien. Auront vite fait le tour, lycée génialissime, mais lycée de merde.
Catin qui veut disparaitre sous ses os. Des progrès a  faire, bibendum. Difficile d'assmer un corps de bonhomme, se sentir toute exposée aux dangers. Inapte. Nue, a tuer. Trop laide. Bah ouais, j'ai maigri, j'en ai besoin. Trop grosse encore. Un jour, bientot. J'y crois. Toute façon, ça donne la gerbe. Perte de temps, ironie et paroxysme du plaisir que la douleur du jeûne. Se donner des ailes. Mouahaha, même pas tout dégueuler, se haïr. Sans se donner des ailes. Et oui, " génération d'auto-destruction"...
Tu l'as dit, Snoopy !

Mardi 26 septembre 2006 à 23:39


Conclusion. Faire quelque chose. Sentir le vent venir. "C'est sympa mon Gribou Gnagnganaganagan" T'emmerde. Vexée. Toutes des salopes, c'est bien connu. Alors, j'en serai une. Suis. Pourquoi tout rejeter ainsi ? (Hé, putain de connasse de merde, arrête de violenter verbalement pour rien, parle normalement. Calme.)  Comment annoncer. A ptêt remarqué que je ne lui dis plus "Je t'aime" 10 fois par heure, 50 h par jour dans le creux de l'oreille ou en me tordant de rire. Mais peut-être pas. Un "je t'aime" de moins ou de plus.. Et plus du tout, tu le remarques ? Même pas. Pose toi un peu de questions, juste un peu. La vie n'est pas un long fleuve tranquille. (Et toi, impulsion de merde, ta gueule, un peu de respectenvers les gens qui en ont à ton égard -et qui t'aiment)
Un entrainement. Juste une piste d'essais. Pour tester mon potentiel. Mais bientôt je m'envolerai. Peut-être. Comment tout gâcher en faisant un minimum de dégâts, pour que tout aille bien ? Ou presque, mais on ne s'attarde pas à ce genre de détails. Juste naturellement. Arrête de devenir patient. Remets-toi en colère, stoppe  les efforts, tu vois pas que j'en fiche maintenant ? Contrebranle. Peut-être qu'on ne lit bien à travers les gens que lorsqu'on ne les connait que peu ou très peu. En tout cas, plus la peine. On a pris le train d'avant, trop excités par le lendemain, tant pis pour nous. NE PLUS JAMAIS RIEN PRECIPITER !
D'autres centres d'intérêts. Un autre centre d'intérêt. Envie de voir du monde. Envie de voir un monde. Un. C'est con. Non ? Si, et même se taire et se terrer. Se terrer, s'enterrer. "La teuhon quoi !" Mouhahah ! Tu m'étonnes ! Agressivité à ne pas renier, finalement. Laisser sortir ce qui peut s'échapper même si la fumée est nauséabonde. Ne pas étouffer. Réapprendre. Mieux vaut faire pitié que envie. Ou les deux. Non ? Non, pas d'envie. Pas envie d'avoir envie. Voulais pas en fait. J'ai l'air de quoi ? Merde déambulante. Pff. Même pas vrai en plus... C'est que je fais vraiment euh... pitié ? Trop de compréhension est déroutant. Pas les mains.  Mouais, c'est le monde à l'envers toute cette histoire. Une lenteur libérative. Soulageante, se sentir. Juste. Vivre. Ne savais plus. Compréhension. Bizarre. Je comprends plus et c'est tant mieux. Aime.
Finalement, j''ai plein d'envies et j'en veux encore plus.
 
"Tu serai pas un peu givrée comme fille ?"
Comme ça qu'on m'aime Connard. Va chercher ta norme chez les putes.

Et puis ... Hein ? Avec des principes comme ça, on n'est pas prêts d'avancer...
MOUAHAHAHA. Je progresse, c'est moins pire. HIhIHihIhIHihIhiIHihIi !
Bon dégueulage Poupée. Et arrête tes conneries, parce que ca serait pas un déclic ? Non ? A voir. Cherry. Je veux pas crever, moi.  
Pas sans toi.
Ventre qui gémit. HA ! Sagem !

Lundi 25 septembre 2006 à 22:49


Pourquoi ?
Pourquoi le mois de septembre est toujours un mois de merde ?
Pourquoi je change rien à rien ? Pourquoi ?
Faille, coûte que coûte. Ne pas s'en sortir.
Ne pas  saisir les mains au passage.
Envie de se raper les poignets avec une lime à ongles.
Oui ...
Ptet trop vite.
Se poser et réfléchir encore et toujours.

Encore et toujours, c'est bien ça le problème.
Tu le vois ?

Dimanche 24 septembre 2006 à 16:46


40

Un jour, je créverai d'une crise cardiaque et on fera la chouille.
Envie de faire du mal et d'être détestée par tout le monde.
Pour se donner une raison de mourir.  

Chialer, fumer, dégueuler...
Plus rien ne me soulage.
Même plus la musique.
Toujours mincir.
Eléphante qui enfante.
Incapacités à s'exprimer.

Seul désir, crever.


GROS BAD.

Dimanche 24 septembre 2006 à 11:39


J'ai bouffé devant eux. Me suis remplie la gueule comme une boulimique. Et j'ai gerbé dans les chiottes du lycée. Tout, tout. Sans possibilité de fuir son destin. Ou si... Mais. Se rejetter des fautes qui n'en sont pas. Se rejetter tout court. Auto-auto. Matique. Comme les mathé. Vaux pas, veux pas. Impossible, impossible. Non non, non non non, non. Putain de psychotie. Je dois faire quoi dans tout ça. Peux pas laisser tomber. Peux pas. Veux pas. Ou je passe à coté d'une vie.

Pas manger. S'emplir le corps de merde. Dégueuler deux fois vendredi, dégueuler deux fois samedi. Mais c'est quoi mes conneries ? Pas juste. Nulle que je suis. Que dalle aujourd'hui. Un pomme. Inquiétude de la gynéco.
"Ah non Delphine (voix de désespérée)... Vous pesiez 48 kilos il y a un peu plus de deux ans, je l'ai vu en vous apercevant dans la salle d'attente ... Faut que vous mangiez plus ... C'est des soucis d'argent ? "
Eh non ! Juste que maintenant, plus une seule crise sans flirter avec le chiotte Poupée. Juste que c'est un moyen d'être moins mal. De pouvoir gerber une rage interne. Un court-circuit trop long. Mais ça, m'dame, ca me regarde. J te le dirais pas. Juste bonne à aller voir un psy. C'est p'tet finalement une solution. Arriver sur un fauteuil et payer 30 euros pour s'endormir dessus. Ne rien dire, car auto-analyses.

Puis la déveine... Non mais ooooooooooooooh ! Nettoyer le congélo après avoir jeter pas mal de bouffe, évier bouché. Tout ça a cause d'EDF ! Je décline toute responsabilité pour une fois. C'est bon, y'en a ras-la-bol. Déjà que je suis pas très doué si ils en rajoutent. Putain de merde.
Il me sauve, lui. Plein d 'envies.Renaître. Echappatoire, penser qu'une vie de rêve peut exister. Illusion ? Ne pas trop rêver, mettre du noir dans tout ce qui peut m'éclairer. Mais non. Bien réel. Pince-moi, mords-moi. Oui, mords-vivante ? Juste que je sais ce qu'il se passe. Que j'aimerai que ça continue. Que je sais plus pourquoi je sais plus. Que tout allait bien. Que tout va bien. Que je gâche tout peut-être. Que j'aime ça. Être avec. Juste l'impression d'exister pour quelque chose. Pas rien. Pas vide, pas creuse. Vide et creuse. Pas assez bien, pas assez tout. Mérite mieux, mérite mieux. Pas juste. Tu veux me tuer ? Tue-moi à la hache. Bouffe moi avec du sel. Oui, je le veux.

Trip basse. Faire celle qu'est pas douée. Savoir qu'on a des capacités. Ne pas en faitre plus. S'auto-démotiver. Pourquoi ? Ptet pour le décourager. Pourtant tiens bon face à ma gueule défaite, ma volonté inexistante. Juste que pas envie de leur faire plaisir. Jouer pour eux. Ne pas être une Ondes Corrosives. Petite fréquence de merde. Ils verront cependant. MOUHAHAH. Et ouais Chéri, j'ai sûrement des putains de capacités. En tout cas, j'apprends vite.

Je sais plus. Rien à dire, juste écrire. Ces mots qui m'égorge, qui ne veulent pas sortir. There's a Duck in myself. He makes me fly. Make me real. Dreams of lullaby. Juste quelques lettres. Même si j'explose ... C'est comme ça. Peut-être que c'est même. J'ose ? Always not enouhts, not enought strong. Love. No, too. Too. Is it wrong ? Nous, hamac, mains, effleurement. Transparent. Délire à la con. J'y crois. 
 Pas toi ?

Dimanche 24 septembre 2006 à 10:50


Blablablablablabla ...  ...   ...    ...    Blablablablabla ...
Silence, silence, silence. Arrivée en silence. Pas un mot. Music. Sad music, sad messages. Sad, bad, sad. Sad thoughts, sad bad mind. Fumage en musique. Montée des marches en silence. Installation en musique. Pas une paroles, pas un regard. In my world. Rassur même pas. Impression de semer le trouble et le malheur un peu partout. Que j'aille me faire foutre, avec mes idées saugrenues. In a big mess, big mist, grind.

Blablablabla, bandes de cons. Hurle en silence. En veux à la Terre entière. Tout foutre en l'air, finir crucifiée. Tout qui s'effondre et partir loin. Comme ça. C'est pourtant si simple. Si complexe... Incapable de savoir dire quelque chose. Les mots qui restent bloquées au fond de la gorge, pas de médiator pour gratter un de mes deux cordes vocales. Mots bloqués, bloquée. Tout briser. Tout lâcher. Good solution Baby ? Lâcher tout le monde et se barrer. Loin. United Kingdom, I 'm here. Ne rien dire à personne. Cheffield, Chelsea, Londres, Liverpool. Le ville des Scarabées. Beatles-aéroport, retourner à sa pauvre jeunesse de merde. Ouais, dégager de là. Se faire une nouvelle peau, une nouvelle vie. Toute neuve, sans questionnement. TO FORGET. Improvisation totale et immédiate. Pouvoir, ne pas pouvoir. Cervelle de merde.

Envie de violence, passer sous un bus. Refaire la peinture. ROUGE, rouge nerveux, rouge sang.Ballonée entre deux extrèmes. Deux poids, deux mesures. Incomparable. Envie de beaucoup de choses incompréhensibles. Nie tout en bloc. Accepter quand un bonheur me saute dessus ? Amertume ... Je sais ce que je ressens, ça me suffit. Ca me suffit ? Pas.
Fuck myself.

Une chanson belle, qui claque.

Vendredi 22 septembre 2006 à 18:40






http://perso.orange.fr/ondes.corrosives/cariboost1/


Mardi 19 septembre 2006 à 20:14


Poudre de perlinpinpin. Je me sens biennnnnn. BIEN. Envie d'écrire. Toi, lui, nous, vous, ils. Hihihi. Asana guruff. Petits papiers de non-dits qui s'amoncèlent. Exemples :

Il était une fois, un ptit garcon qui aimait bien se promener dans la prairie. Un jour, il alla voir les marécages. Là où le sol pleure sur les branches, l'air est tout mouillé. Et la mousse qui descend des cyprès ressemble à un monstre à l'oeil maussade.
Juste un endroit où vivent des grenouilles. Alors le ptit garcon, il s'assoit sur le tronc d'arbre, et il écoute les grenouilles. D'abord, elle ne parle que le langage des grenouilles. Puis il ferme les yeux pour mieux entendre, [...] et il découvre que ... Les grenouilles ne parlent plus le langage des grenouilles, non pas du tout ... Elles parlent le langage  DES GENS ! (Steve Warning)

Blop, humeur mitigée. Plus mieux à rien. Mais là vivante. Thre is a game we used to play. Doit-on résister à sa propre volonté ou doit-on la satisfaire ?

Mardi 19 septembre 2006 à 19:38


Saisie. D'emblée. Aucune maitrise. Estomaquée. Chamboulée. Moui. Se mettre à penser, en pensées. Indéchiffrable abstraction, figurative. Oui retrouvée, retournée, statufiée. Ca te le fait ? NooooooooooooooN. Juste un peu ébranlée. Coté affectif de merde. Prendre. Bras. Dans. Belle. Voilà. Sad music badante. Prends les mots, laisse les maux, dans une incompréhension magistrale. Chaotique chahut intérieur. Le B.A-BA du mélange. Encyclopédie de l'iconicité.  Représentation figurative mais trop dans l'exactitude, tu vois ce que je veux dire ? Expérientation. Trop sensible. Tu ressens ? La musique est.
Saigner. Un coup de blanco passé sur la mémoire. Transparent ? Chimiquement impossible à transformer. Beaucoup trop de ressemblances, partage, ca amène à réfléchir. Se réfléchir. Bizarre, bizarre. Comme. Moui. Complice. Ca. Je ne sais pas, me trompe. Flagrante. Raisonnement con peut-être. Se sentir bien. Logique mathématique, un Truc. Un Timidée. Trop, trop. Plarler de rien, mais est-ce qu'un jour, j'aurai des choses intéressantes à dire ? Ouais, épatant cette façade de merde. Quelque chose d'étonnant, quelqu'un de détonant. Oui.

Vieilles chansons de merde retrouvées. Et bosser ses cours pendant l'heure du repas, ou s'occuper. Avancer dans son taff et être actif à l'oral. Les materai.
Propos tangible extensibles. Vouloir revoir. Cool, coulée à pic. Dans sa propre flaque. L'éclater. Pas beau corps, bas laid, balais. Moche, gros bras. Trop flasque. J'te jure.

Lundi 18 septembre 2006 à 23:13


Non, même plus de questions, même plus chercher des réponses longues comme une encyclopédie avec thèse, anti-thèse, réfutation, reformulation et tutti quanti. C'est bon, ça suffit. Juste se laisser vivre et prendre le bon.
Tu te rends compte de ce que je dis espèce de cervelle déglinguée ? Oui je t'emmerde conscience de merde, principes cons et barrières psychologiques. Je m'aime mieux. Un peu. Un tout petit peu. Enfin non, je pense pas à moi. Et c'est là dessus que je te baise, petit pois. Je profite. PROFITE.

18 en anglais auourd'hui, on se croirait au lycée ou en 2nde, même si la 2nde ets inclus dans le lycée. Enfin merde, meilleure note de la classe, je surpasse, je montrerai ce que je vaux. Si je peux. Ne pas s'éloigner de cet objectif ridicule.
Balance dans quelques jours, avoir peur de ce qu'elle va dire. Mangeage du soir, difficile à passer. Pas besoin de manger pour vivre. Juste profiter du moment présent. Carpe Diem.

Son odeur, mes avant-bras. Ne pas se laver.   Héhéh   :) Week-end de rêve, même pas imaginé tellement ... Cliché ? Difficile à croire quand on regarde les films. Non, non. Ne pas s'en faire. Arrêter de penser et fumer. Je m'en roulerai un tout à l'heure. Après un doux passage par les chiottes. Tartiflette pas faite avec amour. Fc. Je sais pas ou je suis. Perdue.

Samedi 16 septembre 2006 à 15:06


" Révulsion réveillée, à l'instinct et depuis toujours elle faisait ça comme ça, tout son extérieur  était souriant, amoureux et paisible . Ca restait dedans son envie de vomir, et cet étonnement  à chaque fois : comment peut-on croire des visages quand ils masquent si maladroitement ? "
Seulement tout allait bien entre eux. Alors elle ne voulait rien savoir. Rien devoir changer. "
Lun comme l'autre, se lançant en pleine tête des choses qui auraient dû rester secrêtes. "
Et il aime se lover tout contre leur bizarrerie. "


J'aime tous ces mots qu'elle écrit.
J'aime tes lettres Cherry. TRop moi, trop double. Injuste, ne mérites pas ce que tu subis ... Ta lettre ... Tu es vraiment double. Soeur. Finalement oui, la soeur que je n'aurais jamais eu. Un soeur dont l'amour est réciproque et de même amplitude.

Mais putain, il y a de ces mots en ce moment, que j'en fondrais. Les Siens, les lis, en perds les miens. Jamais assez. Toujours Trop. Morte d'appréhension, prête.

Hum, verrai. Cherry, je suis là, toujours, TOUJOURS. A toi. Bientot nous serons réunis. Nous aurons notre propre moule. Le notre.

Samedi 16 septembre 2006 à 2:41


Non, non. Simon qui me demande à moi, comment t'aider. Alors que je joue le même cirque que toi au lycée, que je dégueule le diner comme toi, que mon monde me tombe dessus comme la peste en 1642.
Que je ne pige rien à nos situations.

Tirer sur un pet pour tout dire clairenemt.

Quand j'étais petite, si j'ai  grandis, j'imaginais qu'une fille vivait la même vie que moi sur un autre hémisphère. Jamais je n'aurais pensé que c'était toi. Je ne voualis pas que quelqu'un vive ça !! Excuse-moi Mimi-Cherry. Je ne souhaiterai ça à personne. Surtout toi.
 Aussi, je voyais la fille avec ma gueule de monstre. Toi, t'es une reine, parfaite comme je voudrais l'être. Ce qui est affolant, c'est nos vies. Pourquoi vit-on la même chose ? Pourquoi, vit-on ? Pourquoi toi et moi ? Pourquoi nous deux ? j'aimerai qu'on dorme dans le même lit, qu'on se protège toutes les deux. Rien de sexuel en soi, du sexe si on veut, de quoi boire, oublier ce qu'on est, d'oublier tout et de rire dans notre monde. Ou de pleurer sur une de nos épaules, l'une dans les bras de l'autre. Et nous rassurer, tant bien que mal, que ça fait du bien de chialer, y croyant autant qu'a Dieu et la poudre de perlinpinpin. Un jour. Oui Cherry, un jour, nous nous sortirons de cette merde.

Modératrice du forum O.C.

CRAAaaaaaquee ...
Larmitude intérieur constante
De l'anglais.
Mal caché.
The end of this chapter.
Sourire faussement esquissé.
Détestant ma solitude comme je hais le monde autour.
Préférant la musique et la solitude.
Accepter le gros bordel.
Mes doigts ont du mal. Tout mouvement au ralenti, c'est saccadant. Dé.
Fête de l'huma. Pas été, pourtant rien qui me retenais ici. Devoirs fais a midi et récrés, solitude cultivée. Se déssocialise, toute seule ce week-end. Fumer comme une conne toute seule. La tête lourde, les mots rangés, les autres explosant au fond de moi. Comment rester ainsi ? Continuer.

Ne supporte plus le bus, claustrophobie aigue dès qu'un vétement me frôle.  Sensation d'étouffement, de perte de tout contrôle. Enfermée dans sa propre carcasse, et dans ce bordel en polymère truqué avec la chaleur suffocante, les odeurs mélangées qui saisissent les neurones. JE VIENS DE ME SOUVENIR. NE PAS OUBLIER DE LUI DIRE.timifd PARLER DU CANARD DU LYCEE !! J HAIS le bus et tout ce qu'il représente.

Je veux changer. Etre bien.
Mercredi.
Samedi.
Dimanche.
Lundi.
Marci.
MERCREDI.
Moui, timide, chuis trop. Gache tout avec mes conneries. Etre normal si je sais encore l'être. Etre ce que je suis pour qu'il sache. Pas peur j'espère. C'est tout...

Jeudi 14 septembre 2006 à 20:24


Cette merde ambiante.
Ces reproches injustifiés.
Ce stress.
Cette impatience.
Si t'es insatisfait, tu dégages.
DEGAGE.
Pour une fois, c'est pas moi qui fout tout en l'air.
JE T'EMMERDE CONNARD

Mais PUTAIN.
Veux pas lutter sur tous les fronts.
Craquage, ne plus parler.

Jeudi 14 septembre 2006 à 8:33


Cherry, faut que je te parle. Tout, on est en retard d'une semaine. Tous les niveaux qui débordent d'interrogations.  

T'as bouffé quoi, t'as vomi quoi ? T'as bu combien, tu pèses combien ? Tu te restiens, est-ce que tu tiens ? Ouais, et ça c'est un détail. Moi je bouffe ni le matin, ni le midi. Une ou deux pommes avec une ou deux galettes de riz à 18h. Puis ça dégénère. Depuis peu. Après ou avnt les repas du soir. Genre semoule-jambon. 
Hier, crise de l'apéro, se retenir. Vas-y, salade de tomates-pas grand chose, m'e serait suffit, (bon mais vraiment pas glop, culpabilité quand je bouffe de la viande t'imagines pas, pauv bébète...) un peu de porc avec une demi tomate aillée et salée. Une petite art de gateau-mousse au chocolat avec je-ne -sais-quoi-miam. Et UN SEUL morceau de pain. Yeah. Avec de telles choses, ça aurait pu être vraiment l'horreur.
Enfin maintenant ... C'est bizarre de gerber.

Non, merci, j'essaie d'arrêter ... An Hard Drug.

Voilà. Curieux messages. Tu m'envois celui que je n'osais écrire. Les mots ont du mal à se poser sur ce qui se passe. Envie d'en parler, sentiment de culpabilité, d'excitation, de joie et de déprime. Le big mélange. Se poser les mauvaises questions. Après, se demander si "l'amour dure 3 ans". Non, Frédéric Beigbeder s'est trompé en escrivant son bouquin. L'amour, c'est con. Et j'aurais même pas envie d'argumenter. Juste que j'ai envie que tous me déteste sauf toi. Qu'on se mette des races et qu'on dégage d'ici, qu'on baise ensemble s'il le faut. Il le faudra. Ouais. Qu'on monte un groupe de super-nanas associables et qu'on les baise tous finalement. Quon aille à Londres et qu'on se la pête dans une grande ville qui nous englobe sans qu'on s'en rende compte.
Tu te souviens de la première fois où on s'est parlé au tél ? C'était à mon apogée d ela cafét, fille sociable et rieuse qui oublie son passé sans le faire exprès. Je t'ai parlé de tout. Tout ce que l'on peut cacher aux autres. Ca fait bien 2 ans et demi. Après, on s'est écrit. T'es devenu ma soeur plus tard. Parce que finalement, on a découvert qu'on était pareil et que ça fait du bien quelqu'un qui approuve les conneries monumentales de l'autre. Wow. je m'emporte. Je suis en manque d'une fille. Toutes des connasses

Puis finalement, en faire beaucoup chez moi. Du grand n'imp. Ce matin, Drap rabattu sur moi, geste paternel. Non, c'ets ça un geste paternel. Je t'assure. Un ptit mot doux au passage. Comme hier. C'est con à dire. Répond bien à mes besoins physiquement. C'est un ange. Même si on ne se comprend plus. Il est paumé. Je sais ce que je suis pour lui. Ne pas pousser au suicide un être cher.

SE RESIGNER. Putain ! Encore et encore. Retenir ses pulsions. Ca devient difficile de guérir. Ouais. T'es con ma pauvre fille.
Hier aux infos, une fille violée avec un cintres par d'autres filles. Ils rigolaient comme des cons à table. D'autres plaignaient la fille. Je souriais, j'avais les os en miettes, prête à fondre, ne tenant plus sur ma colonne vertébrale. Ouais c'est drôle ça, qu'on viole toutes les filles après tout. C'est pas grave hein.

Désolée, honteuse et confuse, toute rouge. Y'a des tempêtes destructrices. Qu'elle nous laisse entières. Envoi du texto-réponse au mauvais destinataire. Tout le monde, mais pas Lui. Et là, vouloir s'enterrer à coup de pelle. Ouragan intérieur, pestant contre oi-même et contre tout ce que je fais. Tu vois, ,j'aime bien e que je ressens, autanbt que je le déplore. Mais ça, alors ça, je ne maitrise pas. C'est chouette de se sentir bien avec quelqu'un. Chouette, mot pas assez fort, mais incapable de sortir ou de se l'avouer. Se cacher, parce que se justifier et montrer faille béante. Il ne vaut mieux pas me connaitre. C afait mal au final.
Puis finalement, la nuit remplissant la chambre, ça calme. Utiliser la technique, j'me mets en boule, plus de force, endormissage tout de suite. Je dors ien en ce moment. Soit je suis claquée, soit c'est autre chose. J'ai du mal à dire. Mettre des maux. J'ai le sourire, c'ets déjà ça.
J'ai aussi remarqué comment je canalise mon énergie en ce moment. Même plus de sport (pour être belle en gnaganganaganafganafganafgna), plus de paroles inutiles.
Ceux de ma classe me voit comme quelqu'un d'ouvert, d'originale, de sensible, d'intelligent avec un peu d'humour. Maitre de ses émotions, investie, qui gère tout court. MOUAHAHHA, jolie façade de la fille à qui tout réussi. Maitrise totale de leur petite cervelle. Y'a cependant des gentilles, des barves, des intelligentes, cultivées. J eles compare au Green-Gribou-Pelouse, alors rien. Je ne leur parle pas. Je bosse mes cours à chaque récré entre Midi-et-deux. Sentiment de puissance pour ne pas me laisser le temps de penser.

Envie de jouer du piano : c'est difficile de ressentir toutes ces choses. J'ai l'inspiration. Un jour ça sortira. Faut juste pas oublier. Faire le tri dans ce qu'on oublie. Un jour, j'irai loin. Je me sens bien. Je me sens bien. Pas du tout aussi, intermittance. Ni boire ni fumer pendant quelques jours prescrirait le médecin. Ok alors. Je suis bien, pas besoin de ça. Pas encore. Je me contredis ? Oui, un joint ca me ferait du bien.
Ptet que je sais pas ce que pense mais j'ai l'impression vraiment que c'ets vrai. C'est con.

LA MUSIQUE NOUS SAUVERA.


Sinon ca sent l'acide des bananes qui pourrissent chez moi.  Loute déteste, pas habitué à l'acide. Un jour, nous n'aurons plus ni dents, ni cheveux, ni ongles, plus de potassium dans le corps. Aménorhée : règles grâce à la pilule. Crise cardiaque. On fera la fête au paradis. Yeah.

Mardi 12 septembre 2006 à 21:17


Juste confuse, honteuse et mélangée. Ne sais plus où se mettre partout. Où se situer, good question. Difficile. Même longueur d'onde. 
[Sigma] = [V. T ]
Mouais, ça devait être quelque chose comme ça.  Même pas besoin de parler, ça passerait. Pitié autonome. Les grands esprits se rencontrent. Feu-mes-parents-feu-mes-parents. Feu, le mot du jour. Commencé les Jolies Choses, amoureuse de l'écriture de Despentes, vraiment dedans, se reconnaître dans chacun des perso, c'est fou, fou fou. Accroc quoi.
Proportionnalité. Un trou. Vouloir tout dire mais se taire et parler du vent. Ouais. C'est ça. Ca l'a toujours été. Que ce soit les griboux ou les cailloux, impossible d'aligner ces mots-là. Un jour. Peut-être. Me demande si ce que je veux est possible.

Arrête de dégueuler ton coeur, dégueuler n'arrange rien. Exprimer en silence. Moui. Se retenir. Se restreintre. Ne plus penser, clopiot au bec.
Complexe d'Oeudipe ?

Lundi 11 septembre 2006 à 21:14



jpourrais te dessiner comme napoléeon :D oui ou Loius 14
ou staline
le regard vers l'est
porteur de sauvergarde
la petite mère des peuples :)
Tu te fosu encore de ma gueule ?
non
Parce que "mère" c'est pas...
Enfin si tu vois ca comme ca.
ba tu a une stature, un impérialisme profond
malgré le fait que tu possède aussi un coté faible
faut quand meme mettre le point sur
je c pas
ta prestence
?
je c pas si c le terme

ccharisme ?
oui c sa :)
merci
sa fait de toi une dirigeante a la main de fer
comme notre staline
Main de fer je sais pas
une dictatrice
c mon souvenir de toi a la cafet' :D

A la cafèt'
ouep

Et ailleurs
?
hum je me souviens aussi de toi chez ton beau pere
le seule endroit ou tu récupérai un peu de ta personnalité cafétienne c t dans ta chambre
et encore
on te sentait plus "soumise" moins vivante

t'es allé dans ma chabre ?
oui
ah me rappelle plus !
:) on a balancer par la fenêtre un lecteur cd 
c'est vrai !!
 jl'avais oublié lui !
:D
:D
pas moi
et jme souviens aussi d'une delphine en soirée super simpa super pas pareil pas aggressive pas vexante ne cherchant pas a prouver quoi que se soit :)
alors c difficile de te dessiner

en soirée ?
j'ai définitivement pas de mémoire

la derniere des cailloux
on a fait un after

ah !!
on était ché noemie
ouais
mais j'étis défoncée...

lol c une de t facettes
voila comment on pourait te dessiner

en fait une page blanche irait très bien
suggestion
moi je me suis basée sur quelques adjectif que j'associe à ma petite personne :
jaune, molle, pleine, vide, transparent
avec une base sur ce dessin
un calque jaunie au crayon de couleur
lol pate a modeler
tu te vois jaune?
jte vois pas jaune

ui jaune
sa te vas pas le jaune
je trouve qu ca me va bien
je suis jaune
non ?

:D
non

plus rouge
et noir

une couleur ?
marron aussi
t plus automne qu'été

Ouais c'ets possible
C'est pas con$
enfin moi jvois sa parce que tu maurrais de tecrire je taurais ecris en automne
Ako
o fait
pk ako ?
d'akord
ako
ok
:D
j'avais l'intention de faire sortit des montrescoulantes de dali toute sali de mon cerveau
okay=ako

dali te va bien jsui daccord
ako :)

avec un calque dessus
jaune
cela di marron noir crado c'ets pas mal avec des traces de doigts
ba tu vois moi si j'avai a te dessiner je dessinerai ton corps flou nori marron crade et ton visage a l'encre de chine bien dessiné bourré de détail et tou
pour souligner ta personnalité ingénieuse
mais pour caractériser tes complexes un corps flou
avec le regard franc
a la staline
voila
sa yest
je t en visu

en quoi ?
en quoi quoi
visu
moi chuis con
bah ui en visu enfin jte vois dans ma tete comment jte dessinerais 
Ah ui !
lol
pfiou
:D
alors ma déscription te convient?

EUH OUAIS
c'est pas du tout comme ca que je le vois par contre
lol on ne peut se juger soi meme
c'est une grande question
ou une grande réponse
Je ne sais ^pas laquelle ets la lu gde
la plus grande question ?
hum
n'est ce pas celle-ci ?

Hum...
mouahahahah je me sens philosophe se soir
:D


Lundi 11 septembre 2006 à 19:41

Complexe. Oui, c'est complexe. Très voire trop. Pourquoi ?  Parce que, Madame ! Arrête de poser des questions inutiles ou essaie d'y répondre. (Mon amablité me sidère, elle en deviendrait obséquieuse...) Transparente parmi 90% de mecs, ce fût pas mal. 4 pétasses ensemble et associales. Peur des individus du sexe masculin peut-être ? Une fille normale avec tout le monde - en arts plastiques, d'où complexe in my head - et une bizarre toute seule avec ses bouteilles et les watts. Trip dansant mosh. Petite taille qui fait que tout homme est un nounours.  Connue des Sciences de l'Ingénieur et appréciée car mi-homme, mi-femme. Ying-yang. Etre avec eux, comme eux, sans complexe, sans problème. Pas bête de foire. Ou presque, juste des apparences trompeuses. Choquante.
Bulle, belle et rebelle. Trois supers-nanas. (Bulle ?)
Dimanche, jour du seigneur, du saigneur. NE RIEN FOUTRE ! S'exprimer stomacalement ;(    lire, écrire un poco, carte d'identité visuelle zarb but finished. Les Jolies Choses à commencer. Discutage.

Groupe de niveau en anglais, ne pas être chez les faibles et faire ses preuves royalement !
Maudoux, c'est une connasse fermée, qui se la pête et qui n'a confiance qu'en elle. Imbue d'elle-même. Stratégie de communication, matière pourtant à la base de toute réflexion. Psycho-rigide, mais moyen de trouver une faille.
Pas dans leur clan, toutes des putes. Ne pas prendre partie, c'est se faire jeter. Je hais les filles et leur mentalité à la con. Ca pourrait pas être plus simple ? Seulement que vous arrêtiez de juger et de trouver des noeuds partout ...
Je suis une fille. Malheur !


Se trompent. L'image. Tout est question d'image. Celle donnée est loin de la réalité, de MA perception. Carte d'identité visuelle qui me revient ne tête. Se trompent royalement. Sale, impûre, cassée, morte et machiavélique. A trop jouer avec une poupée on peut la briser définitivement. Point. Pas ça, même pas vrai. Du mal à se définir, se trouver une place, trouver ce qu'on est.
"On", c'est "moi". Différencier le "je" du "elle".  Moi. moi. Parce que, que de ça ici. Du moi, en veux-tu, en voilà même si t'en veux pas. Et de la connerie : seule pûreté. Et encore : ironie glaciale et dérision glauque, psychédélisme primaire.  Babillage des détails. Focalisée sur le moche-laid et le noir profond. C'est pour ça que. Suis conne mais subtilement consciente. Pas que du négatif au fond.
Et j'aimerai m'en foutre. Comme toi, comme lui, comme eux, comme tous. Pas possible intantannément, gros comme une maison, ce travail sur soi, en cours cependant. Tomber pour mieux remonter. Mais en p[l]eine. Impossible d'atteindre perfection. Vivre ainsi, la tête ailleurs. Changer. Bon opinion, non ? Beautiful thoughts of you. Try, try, try. Cry, cry, cry. Cry Baby.
Callypige affolant. Déchéance perturbatrice. Paranoïa vicieuse. Ne pas regarder. La comparaison fait mal alors. Bon STOP IT. Don't be afraid. Quoi ? Je lui fais peur ? Fausses réalisations, une création un peu fade. Soi, le Soi, le Rien, Vide. La politique du tout ou rien. Perforée et authentiquement. Moi ch'uis comme ça, moi ch'uis con. Tu te rends compte ? Envie de sortir le coeur de la carcasse. Enveloppe corporelle jaune à brûler. Idem pour l'âme. Comme inexistante, l'éscrabouiller. Pas un malaise, pas un mal-être. Rien, juste une vie. Je ne détiens pas la Vérité.
Le passé peut juste tuer. Tuer un quelque chose. Ouais, je sais que tu sais aussi. Connasse de cervelle. L'inconscient est vraiment con. Tu veux pas oublier un peu ?


Il y a 5 ans et deux mois, je passais devant les Twin Towers en me jurant d'y monter la fois prochaine, quand je ferais mes études sur le continent américain ...
5 ans après, pas l'intention d'aller aux U.S. Just finish my studies in U.K. : Chelsea or London.  Ouais ... "On" change. Un peu. Mais pas trop.



Dimanche 10 septembre 2006 à 15:10


Fixée à 36-37. Seul moyen de l'atteindre : l'écrire. Et plein de verbes en "ir".  Se cacher, bad trip pas top. Ne rien exprimer à personne. Garder pour soi un malaise. Vouloir déballer son sac à MGV. Ne rien dire, vouloir être avec elle. Le téléphone, juste bon à se créer des illusions. Besoin de dégueuler rage, bouffe fermentée dans l'alcool, graisse, aggressivité, hargne, méchanceté, dégoùt et tant d'autres choses. Même pas possible. Infectée par son Soi, affectée par tout, partout.

Doc, remarquée. Fuck. Ampoules.
36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36
37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37
Hein ? Tout de suite, dans un mois et demi.



" Il y avait au moins une chose que je savais faire, une seule chose que la vie m'avait appris à réussir : serrer les gens contre moi, en plein désastre, faire semblant de ne pas avoir peur, rester debout quand tout s'effondre et faire semblant de rien, croire qu'on va s'en tirer. "
Teen Spirit, Virginie Despentes

Samedi 9 septembre 2006 à 14:05


Je L'ai vue en photo. Je L'envie. Vraiment belle. Beaux. Maigre, ça se voit à peu. Elle, Elle y parvient. Elle.

Concert d'hier, toujours ce pauvre mec, rué de coups par tout le monde. Accroche les vêtement, donne des coups de boule, renverse les binouzes de tout le monde... Pauvre mec, tu fais pitié et inspires la haine de chacun. Les griboux qui jouent du coude sur lui, punkette aussi. Puis après le Canadian Bar, le Gaz, "offre un coup aux amoureux ! " Un gens friqué ou bourré (attendri par notre complicité ou ma connasse de jupe, qui sait ? Putain, ca devrait pas exister de tels paradoxes de merde. Regarde ailleurs connard, on a vu assez d'horreurs pendant la guerre. Bref, ce mec...) qui nous paye une conso qu'on a du mal à boire. Merci quand même, Man.
Le bassiste de TNR et son batteur pas indifférent.

Mangeage norme hier. Tout gardé. Ce matin : part de gateau choco, un yahourt aux fruit. Raté. Ratée je suis, ratée je resterai. Tombée au fond du puit noir, désapprobation des certitudes. Quoi, qui, quand, comment, pourquoi ? Ou trop de questions. Trop d'analyses, de points de vue. Tu ne me saisis plus de toute façon. Je le sais. La folle maladroite mal à droite, maladroite, mal tout court. Désespérante, vraiemnt désespérante et amusante. Fatigante surtout. Se sentir comme à côté, dans un bulle, incomprise. Un monde à part où les paradoxes s'accumulent à foison, se contredisent. Hurle, hurle, hurle. Enfermée à double tour dans ma chambre. Coton hydrophile. Crachas. S'auto, auto, auto, auto. Autoautoautoautoautoautoautomonde.
Putain endiablée? Bizarrerie tuméfiée. Hémorragie interne. Court-circuitée. Crêve, chère connasse. Merci, oui. Mentale, et déifiée sur un mur sans connaître, religion de merde. Normale et directionnelle. Girouette décalée, mal placée, gesticulante. Insatisfaction notoire. LOBOTOMIE, hystérectomie nécessaire. Comme une oie à Jard. Gravée, gavée délavée.Un canari aux ailes trempées. Sueurs froides dans le do. Fuck Myself. Laisse moi être un garçon. Sudifiée. Caporal dénichée, en prend pour son grade. Guildy. Crois-moi, tue-moi. Crêve. C'est dû au prénom, c'est pour la vie, ratée. Les yeux vides ravagés. Vive les prémices d'une vie à vouloir recracher son poumon ventral et le réduire à néant.

"T'es bien, ni grosse, ni maigre. T'es normale quoi."
Putain, mais elles se passent le mot, ces grognasses ! Va te faire enculer.

Non envoyés :
En phase du plus profond dégoût de moi-même depuis plusieurs mois. Supporte plus les miroirs, vitrines, flasques d'eau et autres reflets. Plus envie de ma battre, reste plus que le jeûne total pour se rassurer. Et encore, dîners trop copieux. Tout gardé, beurk. 30/07
Rechercher la maigreur. Devenir un amas d'os inapétissant. Susciter rancoeur et admiration de la part des regards malades et lobotomisés : qu'est ce que je m'en tape ! Je préfère être transparente, n'ai pas envie d'exister par la bite obsédée des passants ou l'envie jalousive de femelles complexées. Avancer dans une foule aveugle de moi, beuglante et leur balancer du 320 Watt, l'air de rien, sourire aux lèvres. 14/08
Un désir morbide de se réduire à néant, aini tu pourras traîner ton squelette où tu veux. Auto-destructuion programmée, tu aimes ça, hein ? Non t'aimes pas, tu souffres au centuple, je sais. Cependant ma douleur est amoindrie par le soulagement recherché, elle en devient inexistante et seul l'échec compte avec "le maintenant". Conception presque impossible à imaginer, pourtant réelle. Ne pas s'en faire pour un cerveau ennivré de dégout et de volonté par intermittance. La loi des os est indéniable , inoxydable indéchirable et inconsciente. Elle est maître, saillante et bénéfique au fond de l'esprit qui l'aime. 20/08



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