sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Mercredi 29 septembre 2010 à 11:20
Juste une semaine en fait. Mal partie, mal barrée. Ca finira forcément bien. Mais c'est pas la Raison. Structure pas pour les cons, et moi j'suis con.
Samedi 18 septembre 2010 à 15:35
J'appelle, je débarque, 4 ans sans nouvelle. Avant, un anniversaire, 3 gr, un gâteau, ne pas finir beauX, probablement. Si longtemps. Une semaine sans fumer, une semaine sans retard, ni absence. Cette année, l'assurer. A l'heure, dans le temps, dans l'ère. A la page. Il ne suffit pas d'y croire, il faut s'y mettre. Je m'y mets, planifie, organise et ça fait du bien.
Vendredi 17 septembre 2010 à 23:00
Effet piano. Doucement, ne pas se laisser happer par les remous moralisateur de ta propre conscience. Pas tranquille parce que pas à jour en ces jours, dans nos nuits, rien foutu et temps perdu. Notre bon Lavoisier a tort sur ce point-là. Une sorte de tortue, une morte de tordue, une horde de morues, un corps de mordu. J'erre dans l'espectative, le je-ne-sais-quoi du que-dalle. Je roule, essaie de rentrer dans un moule de normalité, aspirant à la tranquilité, allitée. Touriste, toujours été, rixe d'avoir été. Changer la donne. Assurer, pour se la jouer à la L. J'irai caresser, les mains froides, comme toujours, les ondulations de tes muscles chauds. En choeur. La lumière qui clignote au dessus de ta couche, le projo au dessus des prolos, spectatrice de notre louche, douche. L'esprit déjà mort à la seule pensée de pouvoir se donner les moyens. Simplement du soutien. Apprendre. Les chèques. Encore oublié de prendre RDV pour le prêt. J'y vais, courant à la perte de mes cheveux.
Un logal. Allez, allez, allez ! So faisible. J'aimerai bien rouler sur un rail de jus d'orange. Un crayon cocaïné, parfois, juste pour tester les mouvements de la dérision atmosphérique. Mais je ne suis pas JLD et 150 gr par mois, moi. Et qu'on le laisse tranquille un peu, plus à plaindre qu'à blâmer et cloison nasale en inox. Somme nawak, no malak, no prozac, home attak. Je divague encore, l'esprit fatigué par mes rondelets abcès de tétraïte. Dormir, mais pas ce soir. Ce soir, j'ai piscine, et rencard avec mon papier, le carnet de recherche trop soucieux. Comprends moi juste : je ne suis qu'une terne façade qui s'effondre dans un romantique tsunami. Ce soir, il fait nuit chez nous, uniquement chez nous, car le soleil brille pour la Terre en tiers. La mise en friche de sa cervelle. J'arrête un peu la fumée, désosser les manies toximaniaques. Try et treilli pour le gala en chocolat blanc.
Un logal. Allez, allez, allez ! So faisible. J'aimerai bien rouler sur un rail de jus d'orange. Un crayon cocaïné, parfois, juste pour tester les mouvements de la dérision atmosphérique. Mais je ne suis pas JLD et 150 gr par mois, moi. Et qu'on le laisse tranquille un peu, plus à plaindre qu'à blâmer et cloison nasale en inox. Somme nawak, no malak, no prozac, home attak. Je divague encore, l'esprit fatigué par mes rondelets abcès de tétraïte. Dormir, mais pas ce soir. Ce soir, j'ai piscine, et rencard avec mon papier, le carnet de recherche trop soucieux. Comprends moi juste : je ne suis qu'une terne façade qui s'effondre dans un romantique tsunami. Ce soir, il fait nuit chez nous, uniquement chez nous, car le soleil brille pour la Terre en tiers. La mise en friche de sa cervelle. J'arrête un peu la fumée, désosser les manies toximaniaques. Try et treilli pour le gala en chocolat blanc.
Jeudi 16 septembre 2010 à 10:38
Start again. Nan, impossible de se motiver sans mur. Impossible de bosser quand j'ai quelqu'un à mater sous les yeux. Bref, trouver une solution. Contruire des murs plus proches ? Amochiser le quelqu'un ? Ne plus payer Orange ? Casser des écrans ? Une solution, y'en a des centaines et c'est tant mieux. Juste dormir fast et efficace, puis en cours dès 8h. Que je sois moins exigente, plus rapide, moins-trop-quoi-tu-vois. En fait, juste assurer les délais et l'avance. Quand le dos est emmuré, je cours plus vite, pas une raison. Juste que ce week-end, faut pas que je loupe le train en route et le soir non plus. Hier, je serai un warrior. HAHA, quelle con. Ne t'en fais pas, tout va bien. Ca roule, faut juste pas défaillir, et morder sévère dans la vie comme dans les cours, des choses. Un an et après, projet. Le panard, mon canard. 25 semaines à caféiner les nuits, les rendre créatives, cloper clopes éclopée. Ca se tente ? Pas le choix les copains, faut s'y remettre, à donf, à donf. La suivre et s'y coller en se la collant un peu. Glu.H.U, je suis un électron libre avec une petite mine, c'est juste que j'aime pas la pub, question juste de confiance. Mais demain, j'ai assuré, j'en étais certaine. 2h30 pour finir 3 pré-maquettes et le rapport. Gausse-toi, je suis pareille. Ca sera fait. Dans l'étang presque, sans couler glue.
Oui, de bonne humeur dès le matin. Je t'ai sorti des tartines. Sale fille chieuse = plaies aux nasmes. Je suis une fille, je vous l'avoue, désolée. Je surkiffe la Blatte. BAH.