Me faire du bien toute seule sur toi ? Tu as fumé... Oui. Ce n'est pas une barrière psychologique, elle, je l'ai éventrée bien avant. Non, je ne pense qu'à moi, tu te trompes là-dessus. Egoïste, sauf sexuellement, certes. Tout n'est pas perdu. Baiser tout seul à deux... Mais eh ! Hallucinant. C'est comme ça qu'on casse une barrière ? Vraiment ? Ca ne marche pas. Ne pas désirer de plaisir. Rester sobre. Le plaisir d'en donner.
Pour moi ? Non, pas de profit pour me faire du bien, juste avec ton corps, t'utiliser comme un simple objet ! Non ! Je n'envisage pas le non-partage, l'orgasme désunifié.Autant légaliser le viol. Devenir des bêtes à deux. Pour nous deux. Composer l'union. Ne pas rester égoïstement chacun de notre côté, à penser à son propre plaisir. Ou je n'ai pas tout compris. Je ne dois pas tout comprendre, oui.
"Fais toi du bien" [...] Interrogations. Est-ce que je Veux Me faire du bien moi-même ? Impossible, désolée. Mais essayons. Un jour.
Fumer le reste de pet pour mieux y réfléchir après. Cogitation. Nuit plus facile. Toux grasse.
Puis encore l'abus malgré les encouragements. Je ne tiens pas mes engagements. Mais j'ai eu paye. Très bonne. Mieux que je ne le pensais. Près du double. Donner la feuille aux impôts avant que le centre ne ferme. Commander la basse, même si la couleur ne te plait pas Chéri. Moche, mais j'espère qu'elle te plaira en vrai... On verra ça, et vraiment au pire, je m'en contenterai. Si le son est à la hauteur, hein ? Puis aller voir l'agence pour organiser des visites. Ne pas se faire sucrer la caution. Puis aller voir les chefs, sortir la carte de la franchise avec celles des performances. Rester douce, mais convaincante. Non, souriante, ça va leur suffire. A me prendre pour une conne.
Piscine... Obligé. A me muscler un peu.
Il joue de la gratte. Ca donne envie...
J'y crois. But fixé à 37 toujours. Encore quatre. Wesh ma Cocotte, tu Peux le faire. Aller se soulager le mental. Oups. Again. Again and Again.
Tu me pardonnes ?
sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Mardi 30 mai 2006 à 11:54
Mardi 30 mai 2006 à 0:24
Pas de paye. Pas de réponse. Pas fixée. Bordel intérieur. Au lycée, clarifier les choses.
Je me sens poreuse.
Abus total. N'importe quoi. Comme si c'était nécessaire. Horrible. Affreuse.
Retour à la normale. Attendre. Se balancer. S'en balancer.
Je suis un Warrior vertgeturé. Mais un warrior quand même ! Même morveuse. Niak !
Il est malheureux avec moi. Il n'y a pas d'autre solution. Je l'insupporte. Il en a marre de ma passivité. Il me sent indifférente. Si un petit trip psychédélique arrangerait la sauce... Je n'y crois pas. Pourquoi es-tu aussi secret ? Huître. Dans une coquillle. Non, je n'ai jamais aimé manger le soir. Ni le matin. Manger tout court. Gourmandise certaine. Juste pour te faire plaisir, je le reconnais, et tout revendre gratos à un chiotte qui demande pas grand-chose. Mais c'est une question de choix. Je ne supporte pas. Non, je hais toute cette horreur qui détruit. Aussi, penser qu'être forte n'est pas compatible... Décevant. J'ai du recul, voyez-vous. J'agis comme je le souhaite et pour l'instant, le danger est loin. Mais le jeûne est plus bénéfique que le rejet. Je me permets donc un caprice. Pour un but fixé. Pas haut. Comment croire que nous ne sommes pas fortes ? En un peu plus de six mois, je suis devenu plus battante que je ne l'ai jamais été. Combattre les obstacles. Avec haine et rage. Je suis une certitude relative.
Tout est relatif. Moi aussi j'aime...
Mais j'en ai encore pour cinq, cinq au total. Cinq petits bouts de cuissard. Cinq. Prête pour le 17, enfin, j'espère...
Lundi 29 mai 2006 à 11:03
Craque. Mimi, elle. Belle. Frimousse. Souris libérée. Sourires libérés. Epi. Blonde. Bleuet. A la messe ? Mouais. Trop jeune. Se balader. Mal à la gorge. Anniversaire Maman, fête des mères. Pas oublié.
Milkchocolate. Sobre. Comme un corbeau. Colorée. Normale que je hais. Sauf Doc. Rentrer dans le moule, masquée. [Différence de 0,5 avec la maison.] Douleur exquise. Le vide m'excite autant qu'il m'effraie. Pleine d'eau. Océan. Vieux dossiers ressortis. 5 ans et demi d'âge. Yeux bridés. Mimi, solitaire, exigeante, capricieuse. Aimais pas. Cachais.
Je ne parle que de moi. Egoïste, egocentrique, nombriliste. Moi, moi, moi. Ego, ego ego.
Jusqu'au 17. Carnage. J'aime les poires.
Crapottons, crapottons, temps qu'on n'écrase pas de crapaud.
Lundi 29 mai 2006 à 10:54
With so much chocolate, you don't need love.
Je m'enfuis de ce monde, la mort est la seule solution à mon insignification profonde.
Da Vinci Code. Pas mal. Prise en compte de la fiction et que c'est tiré du livre. Générique pas lu entièrement, taraudée.
Quartier libre, toute sa confiance. Je suis une grande après tout. Atteindre un but fixé. Pas comme aujourd'hui. Pas comme au café et en redonner gratos, comme ça. Suffisamment pour oublier un moment, parce qu'une autre te le rappelera. Malaise supprimé un instant.
Laxa. Je me rends compte de beaucoup de choses. Le dégoût fait exister. J'aime. Je m'en félicite.
Réflexions du soir :
- Une image vaut mieux que tout long discours. Je me fous de mon image. Je suis ce que je suis. Alors pourquoi ? Pour moi ?
- Noir est le prix de l'homme. No comment.
- Lapinou Papa. Inspiration certaine.
Samedi 27 mai 2006 à 9:18
Week-end d'excès en perspective.
Avoir la rage.
Tenir encore et toujours.
Voir la différence au matin.
M-4.
Profiter de ceux qu'on aime. Les chérir jusqu'à l'enfer.
(Et partir bosser avec le sourire parce qu'on est privilégié d'avoir un week-end qui s'annonce bien)
Vendredi 26 mai 2006 à 22:47
Condkoï et Tagada Jones... Je devrais sortir plus souvent ! Aller à des concerts. Piouf ! Se lâcher les neurones. S'embaumer les oreilles. Ne plus penser. Se prendre des coups. Bras, tibias. Coup de tête dans l'arcade, s'ouvrir une lèvre. Se défouler. Vivre ! Putain, ça désaoûle le moral. "Une ptite chose toute fragile" Et mon cul, c'est du poulet ? Ils croient quoi ? Fragilité F en fonction de la taille t ? f = F(t) ? Si t augmente, f est croissante ? (Certainement en manque de maths.) Vous vous trompez. Dégagez juste vos mains et vos coudes.
Alex, Tino, Jésus, Manu, Loïc, Marion, Isabelle, Fat. Des vieilles têtes. Ca faisait longtemps. Putain de connard. Plus jamais de "Ma Chérie" ! Et surtout devant Ayme. Tu la boucles ! Qu'est ce qu'il fait chier avec ses regards de merde. A m'observer. Quoi, tu regrettes ? Bien fait pour ta gueule de con. Pas moi. (Flatterie de l'orgueil)
Des Tagadas furieux et explosifs. Fidèles à eux-mêmes. Des reprises. Du hardcore jusqu'à la mort.... Des fous, je te dis. Pas jusqu'à la mort. Un gramme de Punk, Punk-Hardcore. Vidée, courbaturée, combattive.
Le "Tu as maigri" qui tue... Tu me sens comme moi je te sens. M'attraper par la graisse va être révolu. Ce n'est pas encore fini. Sauf quand tu arrêteras de me prendre pour une conne. J'ai fait l'effort de bouffer les tomates-pains sans gerber. Pourtant vinaîgrette au rendez-vous... Tu ne comprends que c'est un putain de grand pas ? Cadavérique Pustule. Les pogos musclent et le big est une arme bleue.
Une moyenne de 1700 articles par heure. Je ne peux être que reprise. Ou de la mauvaise foi. Je surpasse cette ligne de caisse. Dévidage de stress autocréé par moi-même. Bravo Moi ! Avec une majuscule s'il vous plait.
"Toujours aussi sensible, la ptite chose qui sait pas voler..." Qui n'a pas encore d'ailes plutôt. Prête m'en une paire pour un instant... Bientôt Papillon...
Vendredi 26 mai 2006 à 15:40
Un joint en guise de Lexomil. Ton corps bat au rythme du sang qui vient et revient dans tes veines. Ebullition. L'eau rafraîchit l'oesophage, l'estomac, puis ton intestion. Tu le sens aussi ? Nuits difficiles. Cogite trop. Insomnie donc psychédélie. Tourne et retourne. Il a compris. Electro-Shocked. Oui mec, c'est comme ça. Quand je te disais que tu ne me méritais pas... Tu as la preuve maintenant. J'ai triché. Merci quand même. Ne pas me forcer. Générosité. Tu n'as pas encore tout compris, je crois. Face à moi, face à la vérité. Evolution... Whaaa ! Plus. Plus stressé. Déconfiture. Mal-être encore plus puissant. Je peux l'aider ? T'inquiète la glinguette. y'a pas de risque pour moi. Pour lui, beaucoup plus. Tourne et tourner. Dans le pieux. Aussi brûlant que je suis gelée. De marbre. Que je tremble de froid. Réserve épuisante. Battements cardiaques endiablés. Hausse de la fréquence. Je me sens. (Trèsforte) Dépendante de sensations. Muscles paralysés. Exister par la souffrance interne du corps. Exister par la faim. Par ce qu'elle engendre. Parce qu'on se sent maîtriser. Et non maîtrisée. Quoiqu'en vérité ... Self control.
Marre de tout, marre surtout d'Auchan. Célèbre lunatisme.Eternels insatisfaits que sont les clients. Epuisants. Vraiment.Vitamine C. Pas de guarana. Tenir sans crise. Crise... Vomitive. Conjugale. De nerf. Se maîtriser disais-je... Buffet offert les jours fériés. Economie du moindre effort, du moindre geste. Tu connais ça toi aussi... 5 en un mois... Sur les nerfs, à fleur de peau. A fleur de nerf, à bout de peau. Impitoyablement. De mauvaise foi aussi. Je suis de mauvaise foi. Dialogue impossible. Monologue impossible. Saleté de moi, va !
N'empêche que ce soir... Tagada ! Non pas de fraisoo !!!! Tagada Jones ! Et oui messieurs-dames. Me défouler un peu. Sortir du coma pensif et réflexionnel. Mouahahahaha ! Contente. Et c'est tout. Parce que je vois la différence. REVOLUTION !!
Bilan de la semaine... Lundi-chocolatchaud-100. Mardi-catastrophiquerendu-500. Mercredi-unpeudepâtes-200. Jeudi-morceaudepain-chocolatchaud-soupe-300. Vendredi-tomates-morceaudepain-pomme-500. Total-1600. Engros, chiffres arrondis à 200 près. C'est bon de ne plus se forcer. Jouissif. Me sens revivre. Malgré toutes ces interrogations. Plus habituée au jeûne. Finalement dégueuler, c'était plus facile. Mais je fais ce que j'ai dit. Grand pas. Et ouais !
On est des terribles Ma Chérie. Vraiment. A bouffer. A nous mettre des claques. Désespérantes. Mais nous avons notre but. Agrou-agrou-agrou. J'ai suivi le lapin blanc. Au fond du trou. Prisonnière. Rhahaah !
Je suis si sotte. Miss Touille en puissance !
Vendredi 26 mai 2006 à 13:12
Cassure physiologique. Cerveau non relié au corps. Planant. Shootant. Dislocage. Blocage. Le corps à côté des pompes. Débranché de l'ancéphale. Phalle ? Ancéphale pompé. Réflexion omnubilante : vouloir, pouvoir. Vouloir ? Pouvoir ? Que fais-je ? Que veux-je ? Cogitation extrème. SRX. Quand on veut, on peut. Certitude. Reste à savoir quoi... Estomac acryliquaire. Ne plus vomir. Déjà ? Oui, car ne plus manger. Essayer de remanger, but atteint. No Looser. Dans trois semaines-un mois. But atteint. Ce n'est pas que je ne peux pas. Quoique. Se voiler la face. Atténuer une réalité affligeante. Oppressante même. Etre autre devant les autres. Se mentir à soi-même. Jeune fille sans complexe. Jeunes filles déglinguées, oui... Ca va pô l'tétiôt, j'te dis ! Contourner le problème. Ca cogite dur, je te l'assure. En avoir là où il faut pour ne rien avoir. Sauf le diable dans le corps. Coquines. Belles et rebelles. Rebellion corporelle. Lutter encore te toujours. Flasqueuse.
Conversation réduisant à néant des semaines de reconstruction. Faire fît de ça. Comme si. Reconstruction, confiance, assurance. M'en fous, j'ai confiance, je sais ce que je suis. Tout ce que je suis. Bande de rats crevés morts ! J ene sais si je peux lutter contre moi. Faire un grand pas. Pour ou contre le vide. En attendant, se vider l'esprit, meilleure chose à faire. BASSE ! L'union. Dématérialisation. Imminence des confusions. Muchas, muchas. Gestion des pulsions. Approche destructrice. J'aime ça. je ne m'en rends même pas compte. Masochiste, peut-être. Certainement. Certitudes ? Certes. Sur un piédestal je suis. L'acide tient au corps. L'au remplit. Mais à boire. La digestion est bonne, ce n'est plus un problème. Acide dans la norme, vers le bas.
Impression de fatigue. Insomnies fatidiques. Lipo-sucion d'énergie. Absorption de vie. Aspiration. Ephémère. Reprise du dessus. Au dessus de tout. Rage-niack.
Le travail a déjà commencé... Soi...
I'm a big big girl in a big big world, it's not a big big thing, if you leave me ...
Mercredi 24 mai 2006 à 12:10
Comment mettre des mots sur ces maux ? ...
Tu crois franchement que ça fait plaisir de gâcher tant de temps, d'énergie, de bouffe, de santé ? Tu crois franchement que j'aime ? Mais ça, ce n'est pas le pire. C'est pas pire que de vouloir se taillader si on n'est pas léger. Se sentir énorme, vide, sale. T'imagine pas la personnification. Bouffe comme un foutre adulte, bouffe comme un truc qui te tue, qui te brûle de l'intérieur. C'est ça, c'est son putain de foutre ingrat, immérité en toi dès que tu as avalé quelquechose. Nous n'avons jamais rien demandé. Mais non, dégueuler ce n'est pas ce qu'il y a de pire. Car si le moment est dur, l'après est comme un retour à la normal. Un soulagement. Tu sais que tu vas souffrir quelques minutes, devoir te sentir toi-même, avoir mal à la gorge, faire ressortir la petite cicatricesur ta main droite - ne pas oublier de fumer de la main gauche, le tabac est si dégueux... Sentir l'acide, sentir tous les aliments remonter. Au passage, le poisson pané, c'est dégueulasse. Ne plus laisser la friture te pénétrer. C'est comme s'il ne s'était rien passé. Se purifier. Quand j'étais petite, il m'arrivait parfois de me laver 10 fois de suite. Connard ! Et tu gueules pour la facture d'eau. J'ai la chair en sang à force de frotter. J'ai mal partout. Tu crois que j'aime ? Non, et ne nions rien, rien à cacher, la sexualité paye. Paye cher parfois. Si on pouvait en nous. Il faut faire l'effort sur soi-même. Accepter le fait que cela puisse n'être que plaisir. Moi j'ai fait l'effort. Tu crois que c'est facile ? Non, tu ne crois pas que c'est facile. Certes.
Et voilà, je me sentais forte. Forte psychologiquement, car tous ces problèmes alimentaires ne sont que quotidien banal finalement. Une obsession, mais tellement quotidienne. Ce n'est rien comparé à cette souffrance. Un flash. Un déclic ? Tu me parles de déclic ? Si personne ne te met face à toi même, tu es perdu. Ce n'est pas ta vision miroitale qui va te montrer le monstre que tu es. Tout le monde parle de l'hôpital... Selon témoignages, ils sont aussi faciles à berner que tous les autres. Y'a des chiottes dans ta cellule. Les anti-dép, les tranquilisants ? Moui, tu sors au bout d'une semaine et tu recommences. Tu perds le petit kilo que tu as pris en une journée de jeûne. Etre pris dans cette merde, ça te fait mentir à tout le monde. "Tu refais jamais ça Delphine ! Bosse pour ton bac au lieu de dégueuler" "C'est l'oeuf Maman, je le digère pas" Et oui Maman, je ne PEUX pas arrêter. Mais belle excuse cependant... Oui, Biloute, tu la connais aussi. C'est comme les fraisoo, c'est une belle excuse. Les fraisoo, ce n'est pas un vomitif.
(J'ai envie de chanter)
Déception. Intense. Et oui, elles disent toute ça. Clope sur clope. Ca fait mal de se prendre la vérité en pleine face. Mais je la connaissais. Vérité si facile. Mais il FALLAIT que je l'entende d'une autre bouche. L'autre coté du miroir. Sentiments inexplicables, toi aussi, ça te ferait mal d'entendre ça. Vraiment mal. Suffisamment mal de le savoir. Te dire que je vais arrêter de sortir le vomi pour ne plus bouffer ? ... La réponse pas meilleure. Non, je ne te le dirai pas. Noute, putain, ce n'est pas de repas équilibrés dont j'ai besoin. Non, ce n'est pas grave. Si tu en es certain. Oui parles-en avec S.. Je m'en contrecarre. Plus rien à cacher. Non Loute, si je le fais, je ne te le dirai pas. "Pas ce soir hein ?" "Non non..." Menteuse. Tu l'as fait. Encore. La douche. Ce lieu de purification. Douche lave. Ressource. Toujours aussi discrête. Et, putain Dad, sur Imagine, de Lennon. Désolée dêtre une inconnue. Tu ne serais pas si fier sinon. J'en chiale. Ca faisait longtemps. Quoi, je suis une traître ? Raison de vivre à la con. "Pas nous contre vous, nous contre nous-même". Merci pour les mots.
Oui, nous pourrions vous dégueuler dessus. Ce n'est qu'un détail dans l'histoire. Que vous le sachiez, c'est comme si c'était déjà fait. Vous êtes crades vous aussi. Contaminés, impuissants, comme des cons de figurants. Bah oui. C'est comme ça. On peut faire un effort. Un effort pour jeûner. La démarche n'est pas de se diriger vers l'hosto. Parfois un passage. Comme les psys. Gnan-gnan. Les amis, ça sert à ça.
Merci.
Ce n'est rien ce mot. Si tu savais ce que je voulais dire derrière. Beaucoup d'admiration. Merci quoi. Rien de comparé à la prise de consciente. Différence. Avoir conscience et prendre conscience. Assumer. Accepter. Se battre. Je suis plus forte qu'on peut le penser. Panser.
Un S, un grand S, comme Sortie de Secours, comme merSi. SE Battre. Parce S, c'est comme Sauver. SauvéeS ?
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Et là, j'ai envie de voir mon sang. Me vider de mon sang. Se soulager. Désespérante. C'est malin. Tumeur au cerveau que cette merde. Tourner la page, l'arracher, la brûler, mettre les cendres dans un puit. Tout est fait. Presque. Sauf que j'ai pas de briquet, pas brûlée. Je tourne en rond. Autour du puit. Creuser son squelette. Hips... Lapsus... Creuser sa tombe.
Je sais ce que tu penses Ma Belle. Sauf que le Tien a compris. Te Sauver. Désolée. Ce mot détesté. La question qui se pose est la volonté. Il y a un stade où on n'en VEUT pas. Hill the world, take a better place.
Je sais pas à quoi tout cela sert. Pas de problème. Tu crois qu'il y a un problème toi ? Tu crois qu'une ennemie peut devenir une amie ? Tu crois que c'est possible ? Tu crois toutes ces conneries ? C'est comme marcher sur un fil. A gauche, le serpent, la pomme, l'asbtinence, la guerre. A droite, le girafon, les frites, bouffer, la paix. Se sentir bien et bien pleine. Si nous sommes toutes des Eve, devons nous résister à la tentation ? Si la solution de facilité se trouve à gauche, pourquoi se compliquer la vie ? ... Comme la clope. Avec elle. Tiens. Tu es fil-de-fériste toi ? Maladroite, je suis maladroite. Mal à droite. Communiste-idéaliste. J'aime la facilite, certes. Mais je doute. Capacités. La facilité, c'est difficile de la quitter.
Si on fait l'effort ensemble ? Je peux t'assurer que j'atteindrai mon but.
Vivre libre ou mourir, tu as raison...
"C'est toi qui fait à manger ! " T'es beau toi ! [Réduction de la pesée.] 41,75. °Ticket de ration.° 140gr de pâtes, pas 200. Tu veux des miennes ? Tu sais quoi ? Je vais en profiter grave maintenant.... C'est facile de rien bouffer si t'es au courant. *Electrique.* Oui, je suis une peste. Oui, une peste inconsciente...
Mardi 23 mai 2006 à 9:11
Il n'y a rien de plus ingrat qu'une bite en érection.
Quarante-deux bien mérité. Un peu de pain et midi inévitable, je le sens. 150. Peur du créateur, pas de la créature. Peur de rien. Dans une semaine, 20 euros à claquer dans les bouquins, dans les CD. Le nouveau recueil d'Amélie Nothomb. Et Thornytorinx, de Camille de Peretti. La réalité de l'enfer. La spirale, l'engrenage de cette volonté impossible et mortelle. Je suis complice et traître. Je ne peux pas tout lui dire. Il croit des choses. Et moi, je laisse le danger s'installer. Je joue avec le feu. Pauvre Barbie. I will be that I want to become. To win. Against. Against food. Fast, to fast, not Fat.
Fat... Je te déteste Mec. Tu n'es plus rien pour moi. Tu m'as bien baisée et trop mal aussi. Tu m'as eue. Tuée. "C'est comme ça que tu m'aimes" Prendre ses rêves pour la réalité. Tu ne représentes que haine, désolation et pitié... Ex à jamais. No regrets. Et j'aime te détester. Te sentir vouloir que je te dise de jolies choses. Plus gamin que jamais. Pire que pire.
Beaucoup de choses à faire et surtout évincer l'heure fatale. Je crois pas aux horoscopes. Pourquoi "la mort est un sujet sensible" ?
Gloupigoulba. J'aime vraiment le menthol. Ce qui ne tue pas me rend plus forte. Tenir la clope dans la main gauche. Puissance imaginaire. Inspire, expire. Fumée. Fumée.
Gloupigoulba. Supercalifragilisticexpalidocius.
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Journée de merde. Presque. Batteur très intéressé par ma Yamaha. Espérance. Bois, Doigts. Touche, croise.
Rôti-pâtes-knackies-fraisoo-chèvre-compote-yahourt. Chécazouv. La teport, elle est méfer. Psychologue en psychologies féminine et masculine, parentale, enfantiale. Explications réactionnale, comportementale, psychomentale et autre. Consultation gratuite. Réhausseuse de moral. Oui, je suis là, Maman. Oui, je suis plus objectif que toi et j'ai plus de recul. Fo-folle aussi. Si tu le dis. Esprit cartésien. Je suis Moi, c'est déjà trop. Trop peu.
Mitaine, amalgame gothique. Mieux vaut entendre ça que d'être sourd. Achat quand même. Après la déclaration d'impôt, la déclaration de ressource de la caf, les ordonnances confiées à la sécu-mutuelle. Dans 10 jours, 100 euros de remboursés... Déclaration du médecin traitant à rééditer. Antidate. Merci mâdâme ! Sourire bananial. Mises à jour. Paperasse administrative. All is finished.
Moi contente. Moi confiante. Sans prétention aucune. Sans exagération. Je ne m'aime pas. Acceptation plus réelle. Pas totale mais en cours. Effort. Ne plus dire Moi Je. Ne plus parler de soi. "On se fiche de ta vie, Delphine ! " [Connasse !] Inintérêt vital. Comme la carte. Mais rester ferme sur ses positions, assumer. Croire. Juste croire.
Chécazouv !
Poudre aux yeux. Je sais que je ne sais pas.
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50 longueurs. Pas les courses. Encore se vider. Se vider, encore se vider. 42. Jeûner pour se rattraper. Jeûner toute la semaine. Quite à t'avoir sur le dos. Quite à ce que tu gueules. Mais moi je préfère ça aux litres de merde que je te dégueule. Cesse de me narguer ainsi. La nage ne donne pas faim. Tu vas voir où va finir ta tarte aux poireaux, tes fibres et ton eau... L'eau ça fait maigrir... Je préfère boire l'eau que de la bouffer. Rêve pas. Demain, jeudi, vendredi et samedi, jeûne. Se rattraper. Je suis mal, tu aimes me voi comme ça ? Tu aimes vouloir me voir disparaître ? Je vais acheter une crème. Quelques centimètres en moins ne ferait pas de mal. Au contraire : 51 de tour de cuisse. C'est honteux. Veux me cacher. Je dégage. Ca m'énerve rien que de l'écrire. Faire fît.
J'en peux plus de vivre dans un corps qui ne m'appartient pas.
Faire comme ci. Marre de faire semblant. De rester ainsi. Te satisfaire. Même quand je n'en ai pas envie. Encore heureux que je sais ce qui te finit. Ca va beaucoup plus vite. Ca me saoûle de toujours se rabaisser à ça si rien n'est là à côté. J'ai toujours tort, je ne dis que des conneries, pose seulement des questions inutiles, me rabaisse sans raison. Tu ne comprends donc rien ? Tu ne veux pas ne plus te prendre la tête. Comprends moi. Je ne demande que ça. Du calme, de la complicité et pas seulement quand ça va plus, quand je te montre mes limites. Je veux que tu cesses de m'envoyer paître. Même si je suis une grosse vache. Et après, calins-calinous... Gribou Mimi... Sous les draps, caresses intelligemment offertes. Je veux de ta bouche. Toujours ma bouche. Ca te plait ? Bah oui, tu ne résiste pas à ça... Tu en re-veux ? Ah... Précieuse jouissance...
Toi aussi, tu aimes te vider ? Tu me comprends à présent ?
Grosse patate que je suis...
Lundi 22 mai 2006 à 12:52
Haricoté. Pris pour ma pause. (Oubliés à ma pause.) Esquive : "On va se coucher plus tôt si tu n'as pas faim quand on se lève à 11h et que tu bosses toute la journée" Contre-esquive : Pausetuperwaremicro-ondemangeaget'inquiètepasNoute. Amour aveugle. Amincissant. Tu ne me forceras pas. Pas tout de suite. Jeûne jusqu'à obtention. Samedi et dimanche trop consistant. Effort. Ne pas abuser cependant. Manger le minimum nécessaire à cacher le reste. J'aurai mal au ventre. Belle justification.
Rien que d'y penser, j'ai déjà faim. Ca sent la purée. Dégueulasse. Enculé !
Le foutre qui coule au réveil. Nuit complète. Repos efficace. Guarana nécessaire. Excitant. Produit miracle. Thermogénèse. Out tire ! Tu resteras en pleine forme, ptite salope bien baisée. Le long des jambes. Putain, pas pendant mon sommeil, connard ! Non-respect !
Fumer au lit. Se rouler les psychotropes sur le lit. Se coucher la tête dans les étoiles. Refaire le monde et parler comme aux premiers jours. No tabou.
Pas d'article si plus de 100. Rien, se taire. Se terrer. S'enterrer. Honteuse. Incapable. Endurance. Ne pas lâcher. Ne rien lâcher. Grognasse, va ! Piscine demain.
Plus que 8 jours pour que Sulfure se lâche, viens à moi. Eloïse sera à 500 mètres. Je verrai des cailloux. Proches de moi. Plus esseulés. Faire les demeurés comme avant. Se lâcher. Honte inconnue. Regards effarés des passants. Trip. Intégralité. Papotage. Plus qu'un mois. Relâcher toute tension. Libérée.
Forte.
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Faut pas qu'elle parte. Risque trop gros pour elle et pour lui. Les flics au cul, ça fait mal. Je veux pas de pâtes carbo. Pas de crême fraîche. Seulement un chocolat chaud à 17h. J'aime cette sensation de vide. Creux. J'en serai dépendante sans les odeurs. Ces odeurs... Choix acquis. Ne cède pas. Fait chier. Putain, j'aime pas les parents qui sont si fermés, si obtus ! Ca m'énerve déjà. Comme une momie dans un sarcophage. Pas de conneries, pas tout envenimer plus que ça ne l'est. S'il te plait. Se raisonner. Même si ça fait mal. Même si ça fait mal. Même si ça fait très mal...
Impôts. Piscine. Mutuelle. Pff, tout ça...
Lèche-cul. Mais efficace. Rien à se reprocher. Travail parfait. Exibition des capacités.
Trait pour trait. Ressembler. Rester libre. Indépendance naturelle. Dépossession. Cracher sur les cons. Raison, garder la raison.
Aimer la différence a défaut de l'accepter...
Je les hais. Je les hais tous. Tous autant qu'ils sont. Oui, tous autant qu'ils sont. Inacceptable.
[Crèche d'un soir. Amour. Pou(r)voir.]
Dimanche 21 mai 2006 à 20:26
Un paquet de fraisoo. Je suis piégée. Il sait. Enfin pas tout. Il m'a cerné. Il sait beaucoup. Trop. " Tu veux que j'en parle à S " Menace... J'ai pas envie. Fraisoo avalés par la chasse. Comme le lavage de dents. Un geste si naturel, quotidien. Si répugnant. Avis extérieur bien-sûr. Incompréhension. Boire, boire. Ne plus céder. Se poser la question à chaque fois. Ne plus accepter. Du vomi dans le nez. Se moucher. Clavicules apparente. Début de côtes. Pourquoi pas le bas ? 18. Je veux du 15. Couleur des fraisoo ailleurs. Un peu gore.
BTS ? Fac ? Tunes ? Année prochaine planifiée. Semaine scolaire. Week-end détendu. Profit du temps. Réussite totale. Admiration.
Tout mon soûl dans la basse. On va bien voir. Péchu. Le soleil dans le corps. Rayonner. Glisser sur le clavier. Psy d'un soir. Rejetter le système mais y être pris. Savoir que c'est impossible sans se mettre en danger. Vouloir la silhouette. Le sque. Offrez vous des instant de plaisirs. Pour toujours.
Les Stones à Paris, complet... Zen. Mes cailloux, je les aime. Même les psychopathes. Et toi, tu en es un. Il y en a peu. Ma confiance en eux. Je suis eux, ils sont moi. Nous sommes. Les cailloux, c'est primordial. Primor Dieux.
"La batterie est un instrument qui fait du bruit"
Charlie Watts (Moissonneur-Batteur des Pierres qui Roulent)
Dimanche 21 mai 2006 à 14:21
Soucis nutritionnels. Obsession. Fourty-three. To be skin. Skeleton. I have a dream. Stupid. A shorty cut. To go from the front one. Fast. Don't want to be a female diplodocus. Body of Perrier. Bouteille de perrier. Fort, fort. You must be strong. You're strong. Trust. In you, I trust. De la fumée aux yeux. J'aime pas louer les spaghets. J'aime pas qu'elles m'habitent. Rôti de veau saucissonné. Sauce. Pas de fraisoo aujourd'hui. Il faut que ca me fasse deux semaines.
Je ne suis pas un sale gribou. Je suis MIMI ! Mimi gribou ! Comme Noute ! Mimi, mimi gribou tout sale. Sale gribou mimi !
Session maîtrise de soi. Niack-Niack !
Dimanche 21 mai 2006 à 1:13
Quelqu'un, quelquepart. Idolâtre l'altruiste. Ce gaga de la petite Marie. Je parle de toi, car avec ta petite voix. Ma soeur, magnifique concentré de sourire et de beauté. Bleux, Blue eyes. Blond girl. Superbe. Les yeux de géniteur. Samedi 27 mai. Tous contents. Tout le monde l'est. Beautiful sister. Fraternité improvisée.
Je veux avoir des cheveux longs. -Visage Dégagé- Attachés. Je veux, je veux.
Moins de déprimatisation chronique aigüe. Beaucoup de parmonie en tout cas. Je veux être grandiloquente. Qu'on boive mes paroles, qu'on me croit. Qu'on e me prenne pas pour une folle. Qu'on soit d'accord. 600 calories de pain : 240 gr. Dynamique. Trois chocolats chauds pas fumants. 850 calories. Possibilités de roller. Changer de chaussures. Dynamique. Energie à revendre...
[...]
- Elle a vraiment changer, mais j'y serai pas arriver sans toi
- Mouais, je sais pas
- A la base, j'avais attaquer le problème à la base en lui disant que je me foutai de la voir avec 5 kilo en plus, bon ben ct pas par là qu'il fallai entrer ds le probleme, et ça je l'aurai pas piger sans toi
- Je sais pas
[...]
Ca veut dire quoi tout ça ? Peut-être que le fait d'être aussi, de ressembler parfois, ça aide. Même pas l'impression d'avoir été utile, je ne sais pas ce que j'ai fait. Je sais pas. Mais j'ai aidé à comprendre. C'est déjà ça. Mais il sait. En partie, mais il sait. M en rajoute, M veut en parler. "Tu vois, elle ne s'aimait vraiment pas mais elle a fait des efforts. Tu n'as pas avancé, faudra que j'en parle à S." Mais maintenant qu'il sait ... Pas envie que M sache. Je ne veux pas guérir. Je veux maigrir. Encore et encore. Mince, mince jusqu'à la maigreur.
J'aurai un micro. Pour crier aussi. Pour m'exprimer entre deux temps de basse sur deux temps de basse. Je suis déjà dedans. Fou. Commande de la bête le 30. Pour commencer. Pour qu'ils voient. Je veux être le 17 juin. La voir se rouler à terre et prendre son panard. L'envier. Et je prendrai le mien avec elle un jour. On fera leurs premières parties. Nanas complétement déjantées.
38,5 maximum.
Je me sens bien dans ma tête. Bien. Bizarre sensation. Je veux l'aider. Difficile d'aider quand on se sort difficilement de son passé. Difficile de conseiller quand on n'est pas guérie de ce mal. Car on ne guérit jamais. Amour forcé. Haineuse. Sale et impure à jamais. Souillure fatale. Beurk. Vouloir disparaître. Passé révolu. Tirer ce trait sur ces pages d'encres venimeuses. Du sang. Pacte de sang. Tu seras morte à jamais. Tout est fini. Je suis autre. Plus vraie, plus forte, plus humaine. Plus souriante. Plus fausse surtout et par-dessous tout. Incapable devant tant de mal-être. Pire que moi. Pire que tout. Pire.
Calfeutrée dans mon subconscient. Pas allitée dans mon problème, le retourner dans tous les sens. Consciente mais inconsciente : biuomelie fatale. Potente mais impuissante. Je me hais de ce fléau. Il faut lutter.
A la recherche de la perfection
Vendredi 19 mai 2006 à 19:29
Schizophrène avérée. Esprit rationnel, cervelle cartésienne. Scientifiquement logique. Réflexion poussée. Effort sur soi-même. Etre soi-même. Se connaître un tantinet. Réfléchir un peu. Beaucoup. Se faire confiance. Un peu. Réconcialiations immédiates. "Si tu es grosse, les trois quarts des femmes sont obèses" Exagération de la réalite. Je ne suis pas une femme. Je n'en serai jamais une.
Je ne veux plus de cette culotte de cheval. Nain de jardin. Sale Nain de Jardin ! Petit scarabée puant écrabouillable. Gné ! Petite mais costaude. Trop. Trop petite, trop costaude. Complexes linéaires. Complexes et paradoxes. Personnalité contradictoire. Apparences trompreuses. Zéro, zéro complexes croyez-vous ? Assumage total ? Montre et démontré ? Esprit cartésien ! Falsification. Trompe, tu te trompes. Pas totalement. Nuance. Transparence. Comme un livre ouvert, tu déchiffres des hiéroglyphes qui me composent. Dur, dur, le déchiffrage ... Tu ne sais pas tout. Secret des tas, secret du tas. Si tu m'as découverte ici, ne change pas ta vision de moi. Voyeur !!! Indiscrêtion mal placée. Sauve moi de ma persévérance. Tu m'avais dit que tu m'apprendrais à m'aimer. On essaye encore ?
J'aime le chocolat fumant. Chaleureux lactose à la terrasse d'un café.
Oui, je suis une putain de fan. J'aime l'excellence. Je m'identifie. J'aimerai être. Derrière un mur de béton armé se cache un esprit fuyant. Vivant la vie. Profitant malgré le mal-être. Un coeur blessé et fort. Des complexes aussi, plus qu'on peut le croire. Une révocation des certitudes. S'affirmer et assumer. Assumer, difficulté suplémentaire. Etre différent. Punk attitude. Rejet. Enfin, pas tout à fait. Inséré.
Ne pas perturber les cerveaux qui s'agitent à Auchan. Ils prennent leurs rêves pour la réalité. Hilarité générale. Rester calme, ne pas éclater de rire. A chaque instant. Moqueuse ironie. HAHAHAHA !! Quels cons ! Toujours trop compliqué pour eux. Se compliquent la chose. Gestes automatiques de mon côté, réactions systématiques. Sang froid à toute épreuve. Ma patience n'a pas de limite. Disponible et efficace. CDI envisageable. Résiliable. CDD souhaitable. Agrooouu ! Le festival de la bonne humeur ici. Quel stress, connasse, souris ! Bonne humeur, de rigueur ! Prise de temps. SBAM+ parfait. Résultats au dessus de la moyenne. Yeah !
Smiling faces I can see, but not for me. I sit and watch, as tear goes by...
"Le prix indiqué tient compte de la réduction". Piège à cons. Arnaque facile. Deux paquets de fraisoo. Cacheuse de fraisoo. Un voleur, des valises. Trop dynamique. Je ne suis pas une loque. Une tonne de réduc'. Bonne anticipation. Constipation des vieux. Stress toujours. Veux pas devenir une vieille pomme ridée. Fripée, Plissée, impotente. Tremblante. Ca fait peur, non ? Je ne serai pas comme ca. Je mourrai avant si ce n'est par ma propre volonté.
Signature du CDI cheveux rougis. Trop trop, toujours quand c'est moi.
Pourquoi vous me regardez comme ça ? Versatile. J'aurai dû avoir 20 ans pendant les années 70'...
Jeudi 18 mai 2006 à 11:25
Gros et Loute à Joué pour chercher l'autre cousin. Faire les courses juste après. Je ne veux pas de spaghettis bolognaises. Ce matin, 42,5. Ce n'est pas pire disons. Ce soir peut-être un 42 tout rond... Si j'avais pas abusé hier soir aussi... Enfin...
Je croise les doigts pour "la ptite". Première scène, le stress envahissant. Public de merde en perspective. Perspective forcée. Néophytes sur scène, on y prendrait goût. Que cela ne la dégoûte pas. Un concert dans un lycée, c'est toujours la merde. Surtout quand on joue un style de musique en particulier. Ce style. Une pettite foule de mâles en rute, ce n'est pas ce qu'on peut demander de plus stimulant. Surtout quand c'est deux putains de belles miss onstage. Putain, qu'elles ne soient pas déçues... C'est tout ce qu'il faut. Ce bahut de merde abrite tout sauf un public digne de ce nom. Et j'espère me tromper...
Confiance en elles, pas en eux ! Bande de macho !
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Comme envie de tous les tuer. Comme ça. En faisant gicler le sang. Sur les murs. Partout. Tout tagger. Espèce. Espèce... Naturelle ? Mauvaise, très mauvaise réponse. Bandes de connards.
Nada, rien. Va te faire foutre connard. C'est impossible de me négliger autant que toi. Je dégage, ok. Je fais chier ? Ok. Je me la ferme, ok... Puisque l'expression verbale est impossible. Que je ne sais pas mettre des mots sur des idées. Que je n'ai pas à poser de questions. Musique. D'accord, j'y connais pas grand-chose. Impossible d'y remédier apparemment. Interrogations impossibles. Forbidden. Silence ! Que de non-dits. Vous l'aurez voulu. Plus de moi, égoïste ! Peut-être que le mal-être ne vient pas que de moi. Pas de compte à rendre. Je ne suis pas la seule égoïste.
Sais plus quoi faire.
Impatiente de basser. Démangeaisons des doigts.
Masticage impossible. Plus de solide, que de l'eau.
Plus de sons, que des gestes, mimiques. Autisme...
Ca fait du bien. Respiration neutre. Associations débiles. Débilités absurdes. A côté de tout. Flop !
J'aime jouer du piano. J'aime déjà baiser la basse. Orgasmique plasma. Flux de tonalités. Sperme et flot de notes. J'aime déjà. Un air espiègle et malheureux.
Abus de pain : pizza trois fromages, baguette-fromage...
Jeudi 18 mai 2006 à 11:09
Nécessairement :
Papa : 500
Auchan : 700
Caf : 150
Total crédit : 1350
Factures : 80
Loyer : 450
Tél : 20
Courses : 200
Total débit : 750
1350-750 = + 500
Musicalement :
Basse : 450
Tête : 300
Baffle : 350
Total achat basse : 1100
Batterie : 700
Pieds, cymbales : 120
Ampli : 80
Total ventes : 900
900-1100= -200
Perplexe... Et sceptique, je dirai même... J'espère que la batterie va partir. L'ampli aussi. Je ne me fais même pas d'illusions. Croisage de doigts. Touchage de bois. Pfff, j'y crois pas à toutes ces conneries. En souhaitant que Loute trouve du taf...
Mercredi 17 mai 2006 à 12:38
Le piano est mon ami. Un exutoire lui aussi. Basse-accord, basse-accord... Arpèges légères et bien guidées. Improvisation sur ces trois accords. Quarante-deux et demi. Ca rassure. Saucisse-lentille, fait chier la bite.
J'ai retrouvé un de ces dialogues imaginaires mis sur papier. C'était la rencontre du clavier avec mes mains. Je suis folle, oui, c'est une certitude.
Eloïse a fraudé pour avoir une carte culture de 10 euros. Les cartes Auchan faîtes à nos copains sont de l'exagération. Mais il faut bien qu'elle profite, elle aussi, du système. Elle l'aura donc. Et moi j'aurai celle de 20 euros. Pour 25 cartes ouvertes. Je suis forte sur ce coup là, et de plus, sans abus de nulle part. Ca fait 6, 25 par jour, c'est bien.
Je suis contente. Hihihi !
Il faut que je nage aujourd'hui et que je fasse cet ourlet de mes deux que je n'ai même pas. Bouarg !
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60 longueurs. Pas 80. Que des cons !
Et l'autre d'Ebay qui finalement a déjà vendu sa tête. Dans ce cas-là, on ne le met pas en vente. On ne donne pas espoir à des gens qui ont déjà refusé plusieurs offres identiques pour en accepter une qui n'aboutit à rien. Quand on ne connait pas le réglement, on ne s'avise pas de s'intégrer. Sauf si l'anarchie ets mise en place. Et encore... Les règles de l'anarchie... Toujours des régles quand quelque chose est définie. Alors qu'on arrête d'être des cons irrespectueux. Réfléchissons, merde ! Ce n'est pourtant pas compliqué.
Pas envie de bosser. Pas envie d'y aller. Enfin bon, pour quelques heures... Trois heures quarante-cinq.
J'aime les chiffres !
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Quatre packs de 1664 blonde gratuits. En espérant que l'offre se fasse encore demain. Enfin l'offre... L'erreur ! Je ne vais pas le signaler. J'aime pas la bière (sauf aromatisée) mais le rosé, le blanc, le péteux, le rhum, la vodka (toutes les vodka), le get 27, le pisang-bon, les liqueurs, passoa ... °° Liste exhaustive.°°
Le Gros à 10h15. C'est précis. Trop même. Mais c'est chouette. J'ai re du menthol. Ca fait plaisir,depuis dimanche d'ailleurs. Désoppressant. Frais. Finalement je suis pas détestée à Auchan. On me prend juste pour une gamine à côté de la plaque. Mouais. J'm'en fous !
Purée-merguez(3), pleins de curly pouce. Qui suiveront leur destinée habituelle. Mouhahahahahaha !
Mardi 16 mai 2006 à 22:37
Encore le nut. N'importe quoi ! La mauvaise humeur m'use. Ca m'amuse plus du tout. Les petites réflexions de merde ! Comme si j'étais vraiment, vraiment, vraiment à coté de la plaque. D'ailleurs la porte claque. J'ai envie de me barrer. Ca suffit. Là ca me fait chier. La patience s'amenuise. La vie ne peut-elle pas être simple, la vivre sans se compliquer ? Ne pas se prendre la tête. Trouver du positif. Partout, il faut. Mais j'en ai marre quand même. Toujours être de bon poil et relativiser... Ouais, moi chuis con. Faut juste tenir.
L'amour, c'est de la connerie.
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Voilà ! Encore boire un litre d'eau pour le faire s'éjecter hors de ses entrailles. Encore un abus. Excès. Se remplir pour mieux se vider. Un 43. Et jeudi quarante-deux. Putain quarante-deux ! C'était pourtant bien parti aujourd'hui. Même si ca ne se conclut pas trop mal. Puis la fumée THCienne qui noir tes poumons. Pour un endormissement plus rapide. Recherche. Attente. Calins. Pas de rancune, ni de reproche. Attente. Fric. Fric. Fric. Griffes. Fric. Morsure. Rêves... Obsession de la Roberbial modernisée. Masse. Chiottes.
Vivement qu'on l'ai cette tune. Partir sur un nouveau départ. Qu'on vende batterie et que M trouve un taf. Au moins pour l'été. Et s'échafauder des plans sur la comête.
Concombres à la crême faîche. Radis et 150g de pain. Quatre tranches de pain de mie grillées au nutella. Une knackie. Trois tranches de jambon de pays. Un yahourt au sucre (sucre au yahourt). Trois canettes d'Ice Tea. Une quinzaine de boudoirs.
Direction fatale. Egouts nettoyés de la pureté. Lavage de cuvette. Emigration d'aliments forcée. Dictature des métacarpes.