sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Jeudi 20 décembre 2007 à 1:03
Doucement. Des pas dans la nuit, le silence. Une flamme dans la nuit. Douceur d'enfance. Senteur apaisante. Comme ce bonheur qu'on n'a pas eu. Rêve puérils d'un monde parfait. Idylle de la vie illusoires, naïveté evanescente. Et puis vient le mal. Le mal de n'être pas ce que l'on a toujours désiré. Le bonheur vaporeux. Insupporter ce corps gras, vergétureux et celluliteux. Une entité flasque dont les membres semblent vouloir s'échapper. Regret. Où sont passé ces faible et petits quarante kilos. L'euphorie agonisante, enterrée au boulevard des allongés. Sans demander son reste. Un an que j'ai repris cette maudite masse. Plus d'os qui saillissent. La graisse maîtresse, gérante d'un corps. Locatrice invivable. Fatiguée. Physiquement. Aucune résistance. Aucune résistance. Boire un grand verre d'eau à chaque repas. On en est loin, chamelle. J'ai pitié. Il fait froid. Mon corps est froid. Exquise corpse. Je veux. Volonté fragile. Volonté. Y croire malgré tout. Force.
Reprendre confiance. Pas en échec. Ce dédoublement. Caractère trop souvent lunatique. Hâte. Incertitude dans l'échéance. Motivation. Parce que pas le choix. Pas d'alternatives. Réussir. Deviens ce que tu es. Deviens ce que tu es. Qui suis-je ? Suis-je vraiment ce que je veux être. J'espère. C'est à bout de doigts. Tactile. Tracé. Design. Tout dans l'ergonomie visuelle. Séduction par la vision. Créer l'illusion. Oui. Soyons fous. Créatifs.
Confiance rassurante au possible. Aimée. Aimer. Comme si. Faire disparaître les disparités. Juste pour préserver les restes d'un futur trop ou pas assez proche. Une année. Une année. Le reste... Le reste ? Concentration poussée à son paroxysme. Pas le droit à l'échec. Ni scolaire, ni sentimental. Parce que la confiance. Confiance. La peur n'évite pas le danger. Savoir être aveugle au cas où. Mur de béton armé. Coquille hermétique. Insensible ? Menteuse ! Non, bien dans la tête. Le moral aussi fixe que le mercure est en bas. Coup de cisailles. Y'a des fois où ça démange l'épiderme. Sales.
Dimanche 16 décembre 2007 à 23:04
Madness. He's. Mad. I'm. Bad. Big. Fish.
La grosse vache le retour. Boulimical. Orgical week-end. Laxatif du bide, la torture de l'intestin. Mais pourquoi tout n'est pas normal ? Juste à ce niveau. J'demande juste à être normale. Ou pas. Non, e ne veux plus. Je veux pouvoir chanter, jouer et danser.
Pierrot est au Kosovo. Maintien de la Paix. Qu'on se le dise, il astique des armes à longueur de journée, l'armurier. On se fout de la gueule de tout le monde. Auchan, belle hypocrisie aussi. Joli coups de femmes. Se jeter des pierres, lapidation implicite, monde de femmes, vengeances et attentions. QU'on y comprenne quelquechose ou pas, moi ça me dépasse. Parce que jalousie et tout le tralala. Coralie et mon ouverture d'esprit. Rigolons aussi fort que désespérement. Genre y'a pas de caissière qui sont SM ? Le fétichisme, c'est pas forcément exclu de chez les coincés du slip.
Moi je dis que O-O est un fou. Un fou. Je comprends pas. Je comprends pas vraiment. Ou je comprends vraiment pas. Je sais pas. Rayer la mention inutile. Crachons dans la soupe. Très mimi. Me rends compte, que pls ça va, plus je l'. Plus je tiens à. Moins on se voit, plus on partage. Plus on fait rien, on fait tout, n'importe quoi. Enfermement progressif version versa. Petite ouverture. Fissurer la coquille. Il faut fissurer la coquille. Petit Bébé'Ion deviendra grand. Il l'est.
Je suis timbrée et obnubilée. J'aime regarder des films et je suis une feignasse. J'me sens. Pas revivre. Vivre. Croyons en.
Dimanche 9 décembre 2007 à 22:49
Bon faut se remotiver. SE REMOTIVER. Gérer pour un TH ou N. Et puis, remettre les choses en place.
Ca fait du bien de parler avec lui. Qu'il s'ouvre un peu, cet inconnu. J'ai espoir. Je ne sais pas. Je me dis que je pourrais prendre sur moi. Le laisser vivre. Sans l'emprisonner. Cependant, c'est la loi de la vie à deux. Ne plus se donner la simple limite de la fidélité, c'est aussi laisser la porte ouverte à toutes les fenêtres. Ce n'est pas se respecter. Faut-il respecter un corps mort et gros ? Si jamais ce "système" est instauré, peut-il s'arrêter ? Quand après ça, peut-on se dire : bon bah c'ets fini de jouer, on est des grands on en a profité, on arrête. Est-ce concevable ? Non et puis, ptêt que je serai capable. Au pire, mes deux plus grands fantasmes sont pris et fidèles. Et inintéressés, ou plus. Parce que ca me retenterait bien. Toute facon, je serais pas capable d'assumer. Je conçois et je ne conçois pas. Je me demande. Est-ce pour te prouver que tu es capable ? Je ne comprends juste pas la démarche.
Abuser de la crédulité ? Jouer le grand jeu et en profiter ? Prendre les gens (pour des cons) ? Manipulation sentimentale ? Parvenir à ses fins et se rassurer ou simple excuse pour infirmer l'attachement ? Le reste à la dérive. Liaisons dangereuses. Conséquences prévisibles et/ou inévitables. Ou pas. Esprit tortueux, va ! Respect des lois si cartésiennes, honorables par ailleurs. Si simple. Ennui et/ou manque de confiance ? Et sur le long terme ? Ennui et/ou manque de confiance sur le long terme ? Continuer ou laisser mûrir les idées et les esprits, voir si plus tard, plus tard, une relation sérieuse, et sans hésitation quelqu'une est possible ? Faire une pause réflexion avec un thé chaud bouillant et une clope à la main. LOBOMIE. Poser, peser le pour et le contre, ça balance. Ne pas laisser l'emprisonnement envahir les coeurs ? Choix réel ? On revient aux mêmes. Tourne en rond, comme la cuillère.
Je ne me rends compte de rien. Je suis paumée. Rassurée en partie, sur un truc. Et puis y'a ma mère. Et puis. Je sais pas. J'aime pas être seule. Tu comprends ? Et puis il me faut 450 euros pour dans deux semaines. Je me (prosti)tue ?
Faut se fixer un but. Soyons fou... Un jour, je serai belle et intelligente. Je serai réfléchie et calme. Et je serai forte. Aussi forte que maigre. Très. Un jour, je serai cultivée. Et je saurais créer. Je saurais faire. Etre fière. Un jour, je fermerai ma gueule. Un jour, j'arrêterai de faire semblant que je gère alors que je patauge dans la semoule. Un jour, je serai fixée. Et puis, hein ? Il arrivera quand ce jour ? J'veux être une rockstar. J'veux être une artiste. A défaut. J'veux y arriver. L'artisanant, c'est le premier secteur. Que ferai-je ? TH, allons-y ! Perfectionnement ! Et puis dès que je mets un mot de passe, ça bug, de toute façon.
Samedi 8 décembre 2007 à 21:58
Après, tu peux plus faire semblant. Essaie et tu verras. Tu dis le haïr. Pouffiasse ! La fille, elle refait surface comme ça. Comme si j'avais envie. Comme si je savais. Et puis quoi ? T'es malade, t'as la haine, t'arrives plus à maigrir comme un clou pour crever d'anorexie, comme une pro-ana qu'en peut plus ? Désolée Connasse, je suis dans le même cas que toi. Dans un corps qui ne veut plus de sa raison et qui se fout de tout ce qu'on peut faire pour parvenir à notre but. [Crever lentement comme des rats morts]. Quand la haine surgit, sans forcément provoquer de surprise, elle dévaste tout sur son passage. Tout est bouffé. Nan, c'est pas la haine de te revoir salope. C'est juste la haine d'être un sal cabot qu'on prend et qu'on rejette. C'est fini et je sais être hypocrite ou mettre des distances. Je n'attends pas une réponse du jour au lendemain. Seulement pas un mail tous les 3 mois. Va te faire foutre. Ouais, j'ai envie.
Même pas la peine de faire semblant. Même plus. Changement des passe. Changement de vie en perspective. Reste ce que tu es. Je deviendrai ce que je suis. Faut s'y faire. Accepter. Etre prise pour une conne. Rien foutre. Se faire chier. Se démerder. Je n'attends plus rien. Je voudrais ne plus rien attendre de personne. J'ai trop d'espoir. J'ai envie de crever. T'y crois ?
Qu'est-ce que je dis, hein ? La solitude, c'est juste humain. T'as l'impression d'être soutenu. Béquilles en bois, papier maché. Raté, caramba, ancore raté. Un jour, j'y arriverai. Hein ? Jm'en fous de mes poignets. Si ça ne tenait qu'à moi.
Ca ne tient qu'à moi.