sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Samedi 21 octobre 2006 à 13:39


Je vais la tuer. "T'as qu'à faire du théâtre ... Ou du porno" Mais tu la sors d'où Connard ? Non Cherry, je la plomberai pas sur le net. Adoption du silence en société à l'unanimité par mon cerveau et ses connexions. Y'a plus rien qui fonctionne. On prend son pied où on peut. Ce sera dans le roulage. Ne plus être ici, ne plus rien calculer. Faire semblant d'être un minimum bien. Et se terre. Se taire, se taire. Taire les mots, les souveniiiiiirs, c'est Dolly qui l'a dit. Riz au lait de merde. Envie de tout casser. Mais putain. Mais putain, mais ......
Faut que je refasse du sport. Ouais t'as bien lu. Du sport. Se déchirer un peu plus les poumons. M'attendront un peu ces cons. Déjà que je suis énorme, ca me fera pas de mal. Et puis sion je risque de faire des conneries. Si on peut plus baiser, ça va pas le faire. Hé Cherry, tu l'as déjà fait avec une fille ? Tu seras ma première. J'ai envie de tuer, tuer tuer.
J'ai re-découvert, par mégarde en plus, la brûlure ... C'est jouissif, ca fait des jolies marques. Rien que le côté esthétique. Vraiment. Tu me dessines un mouton ? On ets tous des moutons, dessine le premier merdeux que tu veux, du moche sur du moche ca change rien.
Place Plumereau ces connards. Je les hais. J'a envie de tout arrêter. Ondes Co en tête. J'aime me faire du mal. Rienq ue d'y peser. FUCK. Dire à tout le monde que je les déteste tous autant qu'ils sont. Cons. Et venir te voir, se refaire cette peau. Partir dans un monde ort. C'est chouette. Mais moi je l'ai pas. Orgasme simultanné, c'est possible, c'ets toi qui le dit, c'est normal, depuis que t'es née tu vis la même chose. T'as pas de chances Poupée. Même pas là, juste premier degrès du vrai plaisir. J'ai envie vraiment de partir vraiment. De les tuer. DE LES TUER. Jeter leur amitié et leur semblant d'amitié aux chiottes, benne à pensées. Même pas au courant.
Je vais FAIRE SEMBLANT.
Mais oui ça va très bien, j'ai la pêche je suis en forme, j'ai le moral. Méthode de ? Merde j'ai oublié son nom a ce psychologue de merde. Coué. Ouais, Méthode Coué. Je me force à me die que je vais bien donc je vais bien. Très bien. Perception.

Un jour, on arrêtera de se mentir à nous-même.
On se pendra.

J'arrive plus à m'exprimer. Amorphe, déformée. énorme, ma cervelle coule, tu veux vraiment pas. J'arrive même plus à chialer.
. Gun, tuer. TUER
. 40 grammes.
. C'est par où la sortie ?
. Définitive définition

Jeudi 19 octobre 2006 à 20:27


Ils font leur vie à côté. C'était une certitude. Que je ne comprenais plus rien à leur discussion, que eux ils trippent toute la journée avec des potes et que je suis associal, que j'arrête pas de me plaindre. Que leur tendresse de merde, ils se la foutent au cul. J'en veux pas de leur amitié de merde. La vie c'est de la merde. J'ai vécu tout e que je voulais vivre moi aussi. Sauf qu'on n'a pas baisé ensemble. Pas encore. Ouais je suis une ado en crise. Eternellement. Et mêe que je vaias me rouler un bon pet. Que je suis une rebelle de la société.

Ouais moi je suis jalouse. Et ouais. Moi je suis une merdeuse.

Il me manque pas, je lui en veux. J'inverse les rôles. Voyait rien de toute facon. Être en sang que rien n'aurait. Putain ! Mais je deviens sacrément folle. SAGUINAIRE. J'ai envie. Envie. Tu comprends pas que c'est pire ? Putain ?
Et ton  texto de merde. Putain mais bordel.
Attends Cherry, je te cite :
" Coucou ben ici c'est TP chimie c'est sympa. T'as le bonjour d'Alex qui me trouve chanceux d'être avec toi. Biz bon courage pour les cours. "
Tu veux que je te plaigne ? Alex, c'est le tétraplégique de Physique Chimie qu'il y avait dans ma classe. Ouais, avec ses yeux de chien battu prêt à faire tout ce que tu lui demandes, sa tronche d'arraché, sa touffe de cheveux. Enfin, un baisé de la vie qui l'a baisé. Mais putain. PUTAIN. J'ai failli dre non quand il m'a demandé si c'ets mon copain que je venais voir. Lundi, rien ne montrait qu'on vivait ensemble.

Puis j'en a marre de toujours inverser les roles. Mais non, je lui en veux pas. Faut bien que je m'en prenne. La proie la plus facile. Mais. Cherry, t'as choisi les armes. Je pête un câble. Chialer devant les conversations MSN. Pas 36000, deux. Envie de se faire les ongles. On se fait les ongles ?

Putain, je me fais pitié. Je suis con. Jenme déteste, mentalité de con, corps de baleine.
Rien. FUCK THEM ALL.




Cette connasse, je la tue si ... Putain ! TA GUEULE

Mercredi 18 octobre 2006 à 22:50


Cherry, j'en ai marre de chialer.
Je bouffe, bouffe, bouffe, bouffe. GARDE TOUT. J'en peux plus. ENORME. Joe Dassin c'est un connard.

Qu'est ce que j'ai fait ? Je suis une faible. "Il t'avait pas écrit une chanson ?" Mise en musiqueuh. "On aura passé deux ans vraiment formidables. On n'était pas fait pour vivre ensemble mais c'était vraiment fort, je n'ai que des bons souvenirs" Tu m'as réveillée. Ca fait du bien. Les larmes chaudes. "Gribou..." J'ai peur que tu ne veuilles plus me parler, de te saouler." Mais prends pas mes mots. Deviens pas comme moi. "Dans quelques mois, ca sera vraiment l'idéal" J'avais dit que j'y laisserais des plumes. D'un coté des ailes pour voler. De l'autre, la corde. Complétement folle. Difficile et triste. C'est triste comme un au-revoir. Ouais, toute facon, on sera toujours plus qu'amis "quand je vois tes parents, j'ai bon espoir" Merci. J'ai des parents en or. Sourire bigophonique difficile a offrir désolée.  Rien que la voix. C'est ton texto de samedi qui m'a fait badée. Amitié hardamment acceptable. Trop. "Tu fais pas de bétises. Si ca va pas, tu m'appelles." Ils nous voyaient tous comme l'entité immuable. Nos doutes. Un pas en avant. Même pas mérité tout ça. Comment. Comment. La musique tue. Fous-rires sur des conneries. Faible charogne. Que dalle. "Loute... t'es trop." Seul mot avec le quotidien. Comme avant. Bien sur que je vois de laquelle tu parles. C'est la 13 du best of. Deux seuls cons a écouter variété francaise, pop, trash, 60's et punk en même temps.
Deux cons. Deux cons qui rêvent trop, qui se défoncent trop. Finalement.
Finalement on aura bien grandi en deux ans.  Pas de regret. C'est juste triste à en bader. Le début de la vie. Les bases ensemble pour une vie séparée. C'est plutot positif. J'ai grandi quand même. Tenir à lui, nouveau meilleur ami, trio de gribou, plus un seul gribou célibataire, 3 gribous, meilleurs potes, meilleurs tout, a franchise à l'état pur, l'amour sans contact, putain d 'amitié de fous, nous. Nous Trois. Tout savoir.
Ondes Co, c'est tout et ça résume bien...

Seule devant la glace, tu te vois triste mais tu sais pas pourquoi.
Après y'a "Et si tu n'existais pas" Celle que Simon m'avait demandé pour toi. J'avais trouvé ça chou à l'époque, qu'un keupon me demande de la variété pour son amoureuse. Et maintenant Noute... L'est encore amoureux. Il se contente. Il est conscient. Trop. S'en veut. Je le sais. Pas juste. L'a trop raison. Sera toujours les amoureux du gaz, a se faire payer des coups par tout le monde. Pas ma jupe, certitude, complicité flagrante, mais pas vivable. Comme ça. Tirons profit d'une grande AMITIE

J'ai toujours le feu au rouge maintenant. Puis juste après je loupe le bus. Mais je ne cours pas après. J'attends. Le 6 arrive toujours avant le 5. Je prends le 6. Je mets la musique. Et je rêvasse un peu. Sans réfléchir. Juste un peu de plus. L'appart froid. Des pates à foison. De la gerbe potentielle mais même pas. Ca c'est pas juste, sens comme pleine, éléphante morte. Pas de motiv'. Je les emmerde tous. C'est des cons. Rien à prouver. Leur BTS je l'aurai.  Pas de compte à rendre. 15,5 e espagnol sans rien foutre. Meilleure note de la classe. C'est pas du foutage de gueule, sont naze ou quoi ? Comprends que dalle. Flicaille de merde.

"Ca te fait mal quand tu te fais "ça" ?"
De quoi "ca", connasse ? Regard insistant, t'oses pas le dire ce mot, hein ? Bah non, t'as pas de couilles, t'as peur de faire mal avec des mots de merde. Bah non,a lors tu le sors ton mot...
"Bah..." Toujours a mater mes bras, je comprends. Bah non, connasse. "quand tu te chatouilles, ca te chatouille ?" Non le mal ca me touche pas quand c'ets moi qui le dirige. Mais vais pas tout te dire, connasse, que ca c'est une putain de drogue et que je pête un câble comme maintenant quand j'arrête. Vais pas non plus te dire que ton regard pusillanime sur mes stigmates, ça m'excite plus qu'autre chose et que ca donne envie de continuer encore plus fort. Ouais, je te fais peur... Vous savez pas quoi penser de moi, bande de cons ... MOUAHAHAHAH ! Du rire, du rire, de l'ironie, de la réponse à toutes vos conneries. Bah ouasi, je suis un paradoxe ambulant, salopes. Vous aussi. Vous savez rien. Peur, vous auriez peur encore plus.
Et j'assume mes soucis alimentaires si vous voulez savoir. Au point de les entretenir. Vive la boulimie. MOUAHHAHAH. Ayez pitié de mon âme. 

Leur montrerai. HAHAHA, cocasse tout cela. Verront bien. MOI.

Cherry. Je vais essayer de venir pendant les vacances, prépare la vodka, un bouteille par journée, ça le fera, de quoi se blinder l'esprit. Jeûne, on reprend la barre. C'est parti. Nos destisn dans nos mains, liberté totale de choisir. Hein...

Mercredi 18 octobre 2006 à 21:50

Les matins se suivent et se ressemblent
Quand l'amour fait place au quotidien
On n'était pas fait pour vivre ensemble
Ça n'suffit pas de toujours s'aimer bien
C'est drôle, hier, on s'ennuyait
Et c'est à peine si l'on trouvait
Des mots pour se parler du mauvais temps
Et maintenant qu'il faut partir
On a cent mille choses à dire
Qui tiennent trop à cœur pour si peu de temps On fait c'qu'il faut, on tient nos rôles
On se regarde, on rit, on crâne un peu
On a toujours oublié quelque chose
C'est pas facile de se dire adieu
Et l'on sait trop bien que tôt ou tard
Demain peut-être ou même ce soir
On va se dire que tout n'est pas perdu
De ce roman inachevé, on va se faire un conte de fées
Mais on a passé l'âge, on n'y croirait plus
Roméo, Juliette et tous les autres
Au fond de vos bouquins dormez en paix
Une simple histoire comme la nôtre
Est de celles qu'on écrira jamais
Allons petite il faut partir
Laisser ici nos souvenirs
On va descendre ensemble si tu veux
Et quand elle va nous voir passer
La patronne du café
Va encore nous dire "Salut les amoureux"


On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelque fois se passent un peu trop bien

Lundi 16 octobre 2006 à 7:25


Y'a des matins comme ça où on a vraiment l'impression d'être à côté de ses pompes. Juste la sensation qu'un monde s'écroule à nos pieds, et nous, comme des cons impuissants face au désastre. Ca fera pas des milliers de morts, on s'en fout un peu donc, par définition. Puis c'est juste un monde qui s'écroule avec deux cons trop gelés dans leur inaptitude a s'exprimer.   
Ce silence est vraiment amer.

Le silence est un amouricide.
Fallait parler avant.

Je suis une pourriture.
Crevés morts comme deux abrutis.
On en rigolera dans dix ans, c'est toujours ça.

Samedi 14 octobre 2006 à 17:39


Je lui montrerai. Tout gacher sauf. Toujours tout casser. Ignoble petit hobbit.

"- Hey, je t'appelle pour savoir si je viens te chercher
- Non, merci. Mais je vais pas venir.
- Bah ok, parce euh... Sinon ca va ?
- Tu pars vers quelle heure ?
- 4h et demi.
- Ok
- Et sinon, vous allez bien ?
- Non.
- Ah !
- Je crois qu'un plan de restructuration va être mis en place
- Ce sont des choses qui arrivent. 
- Ouais ... (voix éteinte plein d'explosion)
- Ca doit être la saison. Bah bon courage alors, hein...
- Ouais Merci Simon, bon concert.
- Tcho "
Durée 48 secondes.

Faut pas se mettre dans des état comme ca, t'y es pour rien ...
Y'a trop d'trucs qui influent sur les sentiments ...
Toute facon, si tu m'aimes plus c'est pas la peine de rester et de te forcer...
Si tu m'aimes plus, ca te fera rien que je souffre...
Faudrait que tu partes une semaine pdt les vacances, et tu réfléchis, tu vois si je te manque...
Ca fait deux semaines que ca va plus du tout...
C'est comme ça et puis c'est tout...
Je peux attendre des années...
Par contre, tu te mets qd à la basse ? Parce que mon groupe c'est la seul chose qui me reste si tu pars. Je veux pas que tu pourrisse mon groupe...
Je serai suffisamment assez con pour te reprendre si tu revenais...

Delphine, c'est une tartine à l'huile. Crises.
Rien dire, rien qui sort. Peur, peur, peur. Vide. Simon qui est toujours d'accord, pas habituel, sent les choses venir. Marre. Juste larmeux.
Même le piano.
Seras quand même fier. Je ne te pourrirai pas toute ta vie...

On est tous dans la merde. La même.
Cherryyyyyyyy. J'ai BESOIN de toi.

Mercredi 11 octobre 2006 à 20:02


Je crois que je comprends tout. TOUT. TOUT. TOUT. TOUT. TOUT.
Et ça fait mal.

En fait, j'ai pas de coeur, Cherry. Sûrement encore plus égoïste. Melting pot de merde interne. Internée, c'est sûr. Besoin de parler, de parler, de faire du mal, de se faire du mal. Peut-être tout simplement que. Besoin de réfléchir, de tout mettre en pause, de vivre seule et faire le point, une auto-thérapie.
Pro-ana, il faut l'avouer, ouais, c'est comme ça, c'est dommage, dégueulasse, mais comme ça. Sommes. Bizarre, vraiment des soeurs. Vraiment épatant ce fait d'âtre parallèle.
Non, j'y avais déjà pensé. Lacher les deux, partir  seule sur Chambray, seule. Et faire le vide dans sa consciente, se refaire une nouvelle, nouvelle, nouvelle peau. Voir si fumer change la vision. Que dalle, va te faire foutre Connasse. Ca change que dalle ! Même vision, même pas de baume au coeur, pas de fou-rire, juste envie de chialer. Rien n'évolue, le pet n'éclaire rien et j'ai l'impression que tout lâcher pour se consacrer à MOI, MOI, MOI. EGOEGOEGOGEOEGOEGOGEOEGOEGOEGOGEOEGO. Prendre le temps de revenir sur des mauvaises décisions. S'occuper de soi. SOI. Tu te rends compte.

Réveil, 5 minutes après, cours, bossage de cours à midi, ou piscine, cours, bossage de cours, bossage de musique, lecture, psychotage, fumage, dormage ou concert avec buvage de coup. Voir les cailloux. Tripper avec ses nouveaux potes déjantés, ne plus se connecter, téléphoner, ne plus manger, bosser, exceller, rester devant ce but.

Retourner un tantinet dans le passé en voyant les gens du squat qui ne m'oublieront donc jamais ! Mais putain  les mecs, on se voit qu'une fois par an, vous pouvez pas me laisser ? J'ai des ex hors paire, putain de bordel de pute. Et dire que... Putain, je les emmerde. Ca fera ce jour-là 3 ans. Trois ans ! Mais putain, Dieu que c'ets bon l'auto-destruction. Peux plus vomir. Pacte de merde. Mais, mais, mais... Putain, pas pour moi ce truc. Ca n'arrange pas. Rien. Baby, j'ai grossi comme une vache. Même les mains sur le clavier. Dégouttée. Pro. Nous sommes, nous serons. Me sens renfermer dans moi. Peux plus rien dire, plus rien dire. Plus rien ne sort. Crever de haine. Haine, hargne. Me rabat sur le shit. Bonne solution.
Quoi ? Fais pa chier, je le sais. C'est pas une solution. Parce que ca empêche juste de penser. Anesthésie local. Lobotomie. Paroxysme du vide. Bouh, peux plus vomir, pas préparée psycho à ce sevrage de merde. Juste pour lui, moi j'men fous. Juste par défi. Je suis encore plsu conne. Sais même plus comment faire. Vais faire le bracelet de la mort qui tue. Ca m'aidera à l'intérieur un peu.
Rhaaa , verte, dégrisée.
Même la musique, je suis paumée. Je comprends rien et je comprends tout. Dans 3 ans, on va en Angleterre.  Des connectées.

Allez va chier. C'est tout.
Juste que ses monumentals efforts, sa patience. Et mes abus. Pitié qui tend vers l'infini. Voilà, tu veux quoi de plus ? Je vais te le dire, fumer, fumer, jusqu'a l'overdose psychique.
FUCK LOVE.


Puisque c'est ça. C'est ca.
Y'a que toi Cherry.
Certitude absolue, qui mieux qu'une femme peut donner du plaisir a une autre.  Je te baiserai. Suis pas une femme, jamais. Veux me venger de moi. Des étoiles à la place des points. Se piquer à défaut d'héro, à défaut de lame. Même effet. Plus tard, qd on sera grande, on se scrarifiera et on mettra de l'encre dans les plaies. Marquées à vie par nos conneries.  Ouais, ca c'est fun.

VENGEANCE Poupée.
Dis, tu me limeras les poignets à la lime à ongle ? Veux jouer avec un briquet. Veux pas mourir, juste sentir ce pouvoir sur le corps. Plus aucun pouvoir. Juste celui de ne plus penser. C'est bien con hein ?

Dimanche 8 octobre 2006 à 16:43


Voilà. Faut bosser. Pas envie.
3 repas entre vendredi et samedi. Même pas partis, tout lune. Ne plus être soi. J'aime pas. Qu'est ce que je suis ? Hein ?
Vendredi, rencontre d'une folle. Loute au lit. C'est ça, reste dans a mauvaise humeur. Sim's et moi éberlués. Imaginée une cravache à la main avant qu'elle n'ait pu sortir un mot, rien que les fringues. Fétiche, cultivée, pin up et tête sur les épaules. Juste un peu trop, trop... Ouais, une putain de personnalisté. Assumée. Le Smoun qui plaint son mec. Tu m'étonnes. Une fille pour personne. Violente au pieu, c'est une certitude. Enfin, certitude relative. Aime trop avoir raison et commander. Juge selon le look. Aime pas les skin, vraiment chelou comme fille. Mais plutot trippante. Vraiment amusante et intéressante. Féministe pas paradoxale. Différente bien bourrée. Pauvre garçon...

Même pas défoncée, ai pianoté, bu un sirop de banane et un monaco. Pensé à lui. Trahison que de ne pas le boire avec. Mais penser. M'en fous en fait. Obligée de boire ca. Pauvre présence mais un rappel minuscule dont j'ai besoin. Faire jouer l'imagination. Je veux du choc 24/24.

Papotage rapide avec le batteur pendant le démontage de la batterie avant la répét. Biloute qui cherche son son à la cave.
" - Ah, y'a une alim' sur les table de mix ? Je savais pô !
- Ouaip ! Et ca fait gueuler Noute quand y'a l'Asticot qui l'oublie dans la bagnole ...
- Bah ouais, d'ailleurs il commence sérieusement à me saouler à jamais être content.
- Je comprends, ca sert à rien de gueuler toute facon.
- Ui, puis j'ai fait des efforts
- Hum, et puis qd t'es tête en l'air tu peux pas changer du jour au lendemain. C'est un travail d'attention ... Moi, je dis rien mais bon... C'est chiant.
- Ouais, puis ca change rien d'hurler ... Je l'ai prévenu, on en a parlé... Je lui ai dit qu'il valait mieux qu'il prenne sur lui. Parce que j'en ai vraiment marre. Juste le temps qu'il se remette de sa bronchite... Je comrpends qu'il soit stressé par la fac, mais bon, je suis pas un défouloir.
- Je comprends que c'est pas une vie non plus. Surtout que c'est inutile de crier. Enfin je ne sais pas mais ce n'est aps une solution. Je sais pas.
- Tu vois, j'en ai plus de sentiments. Même si ca se travaille... Mais j'ai plus envie. Il a une toute petite chance, ca fait des mois que j'essaie de prendre sur moi et l'énervement se décline sous pleins de formes...
- J'ai cru remarqué...  En plus, ca fait deux ans que vous êtes ensemble, c'est pas simple, c'est deja beaucoup. La vie en couple, ca se travaille, faut être patient quoi.
- Oui, et ça me génera pas de partir s'il le faut. Même s'il a fait des efforts. Même si c'ets ptêt une connerie...
- Ptêt ou ptêt pas.
- Ouais, toute facon, j'ai plus envie. J'en deviens indifférente... J'hésiterai pas. Enfin...
On descend ton PC tout de suite pour faire des essais ou on attend ?
- Tout à l'heure quand tout sera installé.
- Ako, danke.
Simon qui voit plus que je le pensais. Et qui voit bien que c'est pas parce que je rigole quand il est là que c'est toujours ma réaction.

Gros trip avec Natha. Les gosses ! Les Dalton. Trip avec la mère du batteur. Se faire les muscles ensemble en descendant tous les samedis les 5 cymbales, la GC, les 4 toms, la DW7000, les 2 over-head et le micro de GC.
"- Pourquoi mon fils n'a til pas joué de la flûte ?
- Pour qu'on fasse de la gym gratuitement :D
- Pas bête ! "
Natha qui a une disto stridente. Les essais peu fructueux. Moi qui gache tout et épuise la patience de Noute. Je t'emmerde mec.
"- Mais concentre-toi...
- En même temps ca fait deux mois qu'elle s'est mise à la basse...
- Ouais enfin..."
Merci Simon. Bah ouais mec, t'as pas d'argument, je débute et c'est ma troisième répét. Trop exigeant ave moi. Pas faute de bosser, connais pas la structure des morceaux et pas assez mes lignes. Oui, mais c'est comme ca. Loute, lama-apprenti-cracheur, ne pas dire de conneries lorsqu'il boit. Natha soliste de ouf. Comme une conne et Loute comme un merdeux a coté. Quoique parfois... Enfin, développement d'une haine envers lui, ne pas m'écouter, suis en partie responsable, m'en veux plus qu'a lui.
Répét un peu trainante a cause des enregistrements et de l'équal un peu plate. Pas du matos de pro non plus. Se démerder avec ce qu'on a et balancer de l'aller-retour jusqu'aux crampes. Dès le premier morceau crampes. CRAMPE CRAMPE CRAMPE. Balancer la douleur dans la basse et s'en foutre. Trop lourde, repas a perdre. Même pas offert a mon pote en céramique. De l'énergie à revendre, de la passion dans le mouvement. La musique, ca sera ma vie. Je ne sais pas comment, mais ca le sera. Défoulement fatal, panard de furieux. Oui, j'aime, je veux, j'exige. Après chaque enregistrement plsu ou moins bien car juste support de travail pour bosser (pour moi :d). Trip final. Tout rejouer. Tempo de fou, musique qui bouge et loute qu'assure pas le solo sur l'instru. Et tu dis que j'ai pas d'oreille ! T'es ouf, tu joues faux. Non pas capable de te montrer ce qui est faux, car je ne joue pas de gratte. Juste donner son avis. Ne pas éclater, juste bien abimer son médiator jaune, mon préféré... Et devoir en racheter un. Médiator magique dont les bouts tombent... Trop rapide.

Puis rangage de la batterie toute seule sauf GC, assure pas mal au niveau de l'investissement perso. Veux que ce groupe soit mondialement connu. Veux que des pseudo ponque se remue les cotes sur du Bouge, Lycée Merdier, Intello ou Un Peu de Sérieux voire même Noname. Ce morceau s'appelle à tarte. C'est le punk qui l'a dit.
Après rangeage, esquive du repas, Loute trop balade. Bouffer devant la télé en regardant un thriller qui fait même pas peur. Moi qui flippe ma race et qui cauchemarde. Toujours, toujours, toujours. Pourtant pas grand chose de gore, juste des paupières découpées. La fille de Matrix. Matin, réécoute des morceau et rajouter de la compression. Plus de présence et encore. Mais pas top compressé. Pas les versions finales sur ma clé. Pas grave. De photos prise par moi pendant un boeuf de Metallica. Les aurais tous. Je t'aurai Loute. MOUHAHAHAHA.

Ou comment devenir hargneuse, perdre tout désir malgré les excellentes capacités sexuelles de son mec. Savoir ou ca fait du bien, ne plus vouloir en faire pendant que l'autre se fait a moitié repousser. Non de rien. Nom de rien. Voila. C'est tout. On joue et on perd. Tous les deux. On s'est bien connu, savait ce que l'autre pouvait aimer, atteindre l'extase en 2 secondes ou en 2 heures selon le jeu joué. Perdu. On ne joue plus. Tout est perdu. Mais moi je gagne autre part. Pas mieux, pas pire, différent. Juste différent. Pareil. Ne plus chercher. Tout sera bientot fini. Tout recommencera. Ici ou ailleurs, je m'en fous, je veux juste être libre. N'appartenir à personne. Ne plus avoir de comptes a rendre. Vivre une jeunesse à courir dans les rues la nuit.

L'amour ne dure pas 3 ans. L'amour dure même pas deux ans. L'amour c'est de la connerie. J'y ai cru. 3 fois. Jamais 2 sans 3. Le scepticisme est le meilleur des remèdes. Y croire, mais pas au point de dire de jolies choses. Ne dirais plus rien. Même si je le pense. N'ai plus à penser, n'ai plus qu'a panser.

Comme des grosses envies de dessiner la chaire au couteau. Lames de rasoir. Même plus le courage de vomir. Même plus le courage de taillader. Juste des pensées folles. Libérer ames et corps. Ouais moi je suis une dark. Au moins ca.
My God, my tourniquet, return to me salvation. Sortir et se blinder la gueule a la vodka tous les soirs. Insupportable cafard simiesque. Grosse truie. Reflet mal-aimable avec moi, atteinde le poids de ma ptite soeur.

Aujourd'hui, Paris-Tours. La ville qui se réveille. C'est bien. Bien. De moyens. Ecran de 12 m2, jalouse, veux faire de l'événementiel. Des moyens de fou, des caravanes partout, de la pub, du lobbying, du sponsoring, pleins de notions de culture-pub. Se dire que des marchands de rêves gèrent tout ca. Sauf que le rêve ca ne se marchande pas, ca ne se vendra jamais. Nous prennent pour des cons. Et il y en a qui y croient. On crévera tous. Les médias.

JE LES AURAI TOUS, AU PéRIL DE MA PROPRE VIE.
Crever sous leurs yeux, en silence et en jouissance extrème. Tu comprendras même pas. J'aime l'égoïsme imbu de lui-même que je suis. Pauvre conne.
Salope.

Pas la peine de t'enfuir, il ne se passera rien entre eux.

Besoin de toi. Plus qu'une envie. Partage. Pas juste. Règle mes histoires d'abord. Les jeux sont faits. Amen. Plus de choix a faire, décisions prises. Ne ris pas trop non plus, je ne suis pas la plus staisfaite, et il faut un bon mois pour que tout soit calir net et précis. Sadisme. Voila

Perdue dans ma haine. Il le sent. Il me voit perdue. A bout de mains, il ne me rattrapera pas. Tu ne me rattraperas pas. Je suis conne ma parole. Ptêt que c'était l'homme de ma vie. Si ca existe... Donc non. Dommage. Beau gosse, beau cul. En phase. Mais juste un instant. J'avais vu juste, me suis aveuglé. Tant pis pour moi. Ne crois plus.

Oui Cherry, je suis aussi schizo... C'est le but du blog. Et je ne justifierai pas. On sera des vraies amoureuses. Roulage de pelle et plus si affinités. Mourir de nos conneries et en rire au paradis.

Besoin de toi, te parler. Tu veux de moi ?
MARRE
FUCK LOVE sur ma veste ? Grande question.

Mardi 3 octobre 2006 à 20:04

246 euros par l'Etat, les impôts m'envoient des tunes. Mouahah. Merci. Cherry, mon week-end, c'était un vrai. Un vrai et bon qui résonne dans le coeur, tu vois.

Oui, vendredi, magique, planant, fumage, il m'en faut peu, et c'est tant mieux. Des idées et des suggestions pleins la tête. Toujours me taire pour les choses intelligentes ou pas trop bête, je suis pas logique. Envie de lacher ses doigts sur un clavier et partir loin, pieds sur terre, tête en l'air. Taire ses envies. Fantasme réalisable. Proposition acceptée. Sentiment toujours d'incruste, mais là l'envie la détruit. Faudrait que ca marche pour tout...
Tu te connectes toujours au bon moment...
Samedi, répét'. Baise et partouze avec nos instruments. Partie à Trois, mais partie pour de bon dans une violence qui fait du bien. Celle que je veux. La musique est ma vie, c'est décidé. Un jour, on le verra. (doigts gelé, galère) La basse qui me prend, moi qui la tient, bien comme il faut. Nous nous prenons à nous entrelacer.
Dimanche, un dimanche sous le signe de l'. Chateau Ambulant, pas tout vu. Trop obnubilée. Parvenir à de belles fins. Avoir confiance, j'ai. Idéologie parfaite. Ne pas bloquer. Ne pas bloquer. C'est pas facile de se laisser aller. Voilà.
Le smots sont traîtres. Ils ne disent rien de vrai. Du bonheur palpabe à l'état pur. De la beauté calmoniale de la vie et de ses addictions. Et s'y sentir bien. Croire en des rêves tantôt oubliés. Revivre un enfance génial dans son imagination. Pourtant s'être détestée nue, ne pas lui montrer mon horreur, lui épargner. Et même pas. S'en contente bien. Comprendrais jamais rien. Boule de graisse. Avoir honte d'être aussi laide pour autant de beauté. Mouais.
Puis TOUT trop dire. Être comme re-morte rienq ue de le dire, sado-masochisme qui fait du bien comme du mal. Puis cacher le tout sous des sourires et des gamineries. Pour unique protection que cette dérision et ce cynisme auto-mesuré.
Voilà, juste envie de disparaître ou de partir. Loin et s'enfuir.

Et puis si toutes les femmes deviennent ce genre de choses, je ne veux pas en devenir une. Je ne veux JAMAIS d'enfants. Others reasons to become skeleton.
Moi je suis déconnectée de la réalité. Je prends un de ces panards ! Ah, j'aime aussi ce côté. Putain ! Quel positivisme finale, ca tient de l'annale ca ! On note ? Malgré une journée de merde. Haaa, j'aime.
Couscous ce soir. Mouhahah. Comme ce samedi de merde à ce niveau. Mouahahha. Bien, bien, voir emême très bien.

Lundi 2 octobre 2006 à 23:17


Juste que je vais m'en rouler un. Trop parler, trop dit. Trop de trop dans cette histoire. Trop bouffer. J'avais pleins de choses à écrire. Vidée. Ivre-Vivre, ça ne tient qu'a un "V". T'as raison. Depuis toujours.
Un jour, je serai observatrice, pas trop bavarde et bien comme il faut. Demain j'écrirai. Dossiers de merde. Rien foutu encore.

Espoir de paix dans le proche ou-rien.
Juste un grand merci. Se cacher à tout jamais en soi. Abysses délicates. M'en veux. Suis con. Aurais pas dû. Je suis vraiment con. Désolée. Tiens à. Vraiment. Pas de quoi. Morte une autre fois. Une autre fois. Pas, pas, pas, pas, pas ...

Dimanche 1er octobre 2006 à 12:57


Faut être conne pour commencer une journée par Stairway in the Heaven aussi. Voilà, non mais aussi... Comme des envies de ne plus lutter contre n'importe laquelle des impulsivités. Les yeux qui coulent, se noyent. Stupid girl...

Dimanche 1er octobre 2006 à 4:44


Devrais dormir a cette heure-ci. Même pas vomi, ca va être mort. Bouhhhhhhhh. Pas juste. PAS JUSTE. Gamine en crise. Gerber.

4h de répét, du sparadrap pleins les doigts parce qu'épluchage donc bouffage de merde. Marrant. Des coupures un peu partout sur les doigts. Loute gémit dans son sommeil. Mouhah, claque, petite mais voilà mecs, ce soir c'est la guerre, émeute, rendez-vous en enfer, émeute, ce soir c'est la guerre, émeute rendez-vous en enfer... 86crew, j'aime. Montrer qu'on a une place dans le groupe finalement. Et plus que ça même.
Voilà, tout ce que j'aime, la musique. Le musique, la musique. Juste oublier qui tu es et créer l'existence. Celle d'un son, d'un bruit, d'un son, d'une chose sensationnelle lorsqu'elle est accouplé à d'autres énergumènes de son espèce... Voilà. Complicité batteur-bassiste, ca n'a pas de prix. Natha en retrait, pas là. Absent, toujours tort. Mais pas toujours.

Benissage du téléphone, entendre sa voix, se soulager... Avoir des rêves à foison. Sourire. Savoir qu'on est soeur. Halte, air et go. London, musique. Ne pas laisser d'adresse. Je t'aime toi.
Dieu que c'est niais ce mot. Comme trop banalisé. Ce genre de mot qu'on ne devrait utiliser qu'une fois... C'est vraiment con la sémiologie...

Là veux juste plein de choses. Tout envoyer en l'air.
Ma ptite soeur est une dur à cuire qui mord ses copains... Et oui, bizarre... Une future délinquante que ma soeur, Mr Sarko...
Veux arrêter ces crises.
C'est quoi ces conneries. Penser à éclaircir les choses demain. Faire des choix. Faire un choix, le bon. Ah... Comme eu une envie de soigner ces maux cette aprèm'. Mais pff, jeuner, seule préoccupation. Masse informe et difforme.
Dis, on change le monde ?

Marre de moi

Dimanche 1er octobre 2006 à 4:26


J'aime pas sa gueule de lover, j'aime pas sa voix sourde, j'aime pas ses chansons, mais j'ai eu un putain de craquage... Un putain de pensée. Cherry, c'est ça, toi, l'effet que tu fais. Sans déc', l'ont écrit pour toi. Je t'épargne deux refrains. Mouahaha.

Pour la culture perso, à noter... Hey Joe, composed by Billy Roberts from The leaves in 1962. Reprise par Jimy Hendrix, Bob Dylan, Joe Cocker, Johnny Hallyday et tant d'autres ...
Voilà, so let's go to the dancefloor... YEAH... MUSIC ! 


Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Elle se dessine sous des jupes fendues
Et je devine des histoires défendues
C'est comme ça
Tell'ment si belle quand elle sort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutu
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu

Un peu larguée, un peu seule sur la terre
Les mains tendues, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
A faire l'amour sur des malentendus
On vit toujours des moments défendus
C'est comme ça
Tell'ment si femme quand elle mord
Tell'ment si femme, je l'aime tell'ment si fort

Son corps s'achève sous des draps inconnus
Et moi je rêve de gestes défendus
C'est comme ça
Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Tell'ment si femme quand elle dort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

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