sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Dimanche 25 février 2007 à 14:27


Parce que rien ne change au final.
Toutes des putes, c'est le chromosomes qui change tout. XY et t'es une salope. Que tu baises bien ou pas. Parce qu'ils se disent tout ces malabars mous. Qu'ils vont tous voir ailleurs, se faire sucer ou se faire branler. Ils en rajoutent sur les performances afflkigeantes. Ils aiment ça. Même soi-disant amoureux. Les coups de fatigue à la con. Se préserver. Pour l'autre. Foutage de gueule. Ne pas s'attacher aux mots et pourtant. On se fait toujours baiser. Passer pour une putain de catin. Mais merde. Y'en n'a pas un pour ratrapper l'autre. Et c'est jamais la fille qui baise bien. Non, la fille, c'est juste un support, on s'en fout de laquelle c'est. Choses. Femmes objets, je vais devenir féministe. Bandes de connards. Parce que tu découvres the dark side de la chose, qu'en fait rien n'est simple et tous des enflures. Comment croire en quelque chose dans ces conditions ? Bader à jeûn, la cervelle retournée par les événements. Prénom de salope. Passer pour une conne devant eux, les yeux qui cachent quelque chose. Des potes de merde. C'est de la paranoïa tu crois ? Non, les feuilles tombent, l'arbre meurt. L'espoir s'envole. Les gens auxquels on tient le plus sont ceux qui ont le plus de pouvoir de tuer. Comme si je ne pensais qu'au cul... Belle image, salope. Image de marque, se faire tirer tous les soirs. Vide-toi les couilles ouais. Capable de m'en passer sans aller voir ailleurs si quelqu'un veut pas me troncher ? Bien-sûr. Certitude. Tout le monde pas. Mais impossible à dire, bloquée, se faire prendre pour une conne. Conne. Putain de salope. Déception infinie.

Même pas amusante. Conclusion de merde.
On est toujours tout seul dans la vie. Rentre le toi dans ta ptite tête connasse.
Jeûne, même pas d'efforts pour toi, déjà trop fait.

Mercredi 21 février 2007 à 0:41

Chercher à comprendre serait de la connerie, dépression aussi. Et mon cul ? Ca a pas l'air ? Et bah oui, marre. Juste pour faire semblant, se la jouer un peu vandale, un peu trop hautaine. Connasse de merde, chauffeuse de portes. Oui, jeter sa haine sur quelque chose, quelqu'un parce que besoin. Besoin d'être méchant, de faire du mal, de se faire du mal. Se retenir. Ne pas se retenir. Vouloir crever à ce point que rien n'est plus beau, ni même la baise. Pour dire. Non, marre de tout, des bus, de bouger son cul. Grand besoin d'hiberner, de rester seule, de ne voir personne, de se tailler les veines en 4 morceaux distincts pour en faire des spaghettis. Besoin de respirer la mort, embaumer la puanteur, dévider ses entrailles dans une stratégie. La cervelle incapable de bien réfléchir. Toujours ces idées. Sauter. SAUTER. Parce que le monde en décide autrement, que tout le monde s'est peut-être trompé sauf Kilian. Parce que des conneries tout le monde en fait. Tu crois qu'un jour, ça tournera rond ? Dis Connasse de merde, tu te réveilles ? N'en vois pas le bout, même pas de mots pour dire le souci que c'est. Même pas de mots, trop futile, trop con, trop de détails à la con. Ingratitude, déception, plus rien à croire. C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court, ça me convient. La mort est la plus belle des choses de la vie. Cette chance. Mais putain, non ! Mais PUTAIN. Qu'ils croient que c'est de l'égoïsme, qu'ils croient ce qu'ils veulent, ceux qu'ils veulent aussi. Mais merde, n'a t'on pas le droit de crever en paix ? Trop lourd à supporter, trop pesant. Air irrespirable. Besoin de Lui, besoin d'Elle. Besoin d'overdose, besoin de boire, de partir loin, encéphale déconnecté. Je devrais me remettre à fumer. Comment faire comprendre ? Dégueulasse.
Le 24 février. Toujours ces nécessités. S'attacher à une date, une musique, relier le moment à l'action aux mots et homo. Lesbienne sûrement, bi. Ne vois rien, aveugle, pense à rien de ce qu'il faut. C'est dans ma tête que ça tourne pas rond. HP. Cellule psychiatrique, envie d'être enfermée pour pouvoir voir si je le suis. Putain Cherry.
J'abhorre la solitude autant que je l'adore. Au secours. Pourquoi ? Cette putain de question récurrente. Je ne me comprendrais donc jamais. Blesse au possible. Ne plus juste penser, panser juste. Ne plus rien faire,  ne plus tenter. Jeûne. JDI. Parce que j'ai besoin d ‘elle, que je perds les pédales, pête un câble. Voir un psy ? Se faire interner ? Délire total, ailleurs, crever. Pourquoi tant de transparence ? Pourquoi si visible ? Mais putain. N'arrive plus qu'a tripper bassiquement. J'ai besoin d'aide. Mon esprit se meurt. La bonne U Meurt aussi. Va te coucher.
J'aurai voulu ne pas exister. Ne pas oublier de ne JAMAIS donner la vie. Cadeau empoisonné, mortel. La vie est mortelle. Stressée. Pourquoi elle rigole tout le temps ? Pourquoi si fort ? Pour me montrer que j'en suis incapable ? A quand remonte mon dernier fou rire ? Ouais, sur un pont, j'aurai voulu être différente et voir les choses autrement. A quand ? Il ira se faire foutre avec sa tartiflette, c'est toi mon problème, connard. 12.12,25.13. 14,5.15.15.19. Tu crois vraiment qu'ils s'en foutent ? J'irai pas. Et c'est des mensonges, pas n'importe quoi pour moi, c'est pas vrai. Rien du tout, même pas bouger ses fesses. Alors se la fermer. Ne plus parler pour ne rien dire, rester taciturne. Fuck, parce que juste capable de dire ça. Moi je suis con moi. Marre d'être prise pour une conne. Déteste la fainéantise, ptêt même autant que moi.
Il aurait fallu assurer. Tout chambouler. Les mépriser. Tous autant qu'ils sont. En devenir méprisable. Decir las tonterias antes, y asimismo después. Todo el tiempo. En todas las palabras. Que pensar en estàs cosas ? No lo sé. Nunca. Nunca o siempre, del mismo al mismo. Sin embargo traer ideas de primer lugar. Ya no.
Non, non. Non. Voilà. Révolutionner. Ne plus avoir sa place, ne plus s'y sentir. Vouloir revenir. Se retrouver en avant peut-être ou pas. Comment juger ainsi ? Thé glacé le moins cher light. Vingt dans chaque litre. Pisser. Laisser pisser. Sophie la Girafe est un ange. Me dois de le reconnaître. Les voisins qui haïssent la basse. Depuis plus d'un an. Pas ma faute. Juste en rajouter. Ibabasse qui rencontre Bassounette. Ibabasse cherche mâle 6 cordes pour faire bébé à 5 cordes, manche pas trop fin de préférence, un bon mal bien large. Pas trop lourd. Bassounette qui a un pet au casque. N'importe quoi, ces filles. Complètement folles, Bass Rules. Al Ibabasse est ma meilleure copine en bois. Gueule de bois ? Ca fait si longtemps. MURGE, MURGE, DEFONCE. Dépravées pour un week-end Cherry. Faire un bilan. 6 mois c'est long. Pêtages de câbles, de plomb, ciboulot déboulonné. Perchée elle a dit Sophie. Moi aussi, le liquide cérébral dans les cieux. Bleuh !
Gniark, va falloir faire quelque chose quand même. … Apprendre à réécrire.

Mercredi 21 février 2007 à 0:36

Ok j'avoue c'est moi…
Mes lentilles qui s'expriment toutes seules. C'est bien bizarre me dirait-on. Mouais, c'est même las à méditer, même pas à m'éditer.

KAEDRINN.
SAUVEE. Moi j'aime. Mais pas quand c'est moi qui joue le bide plein de nut. Du n'importe quoi bien gras.

Tout a fait prêt à me faire chier. Peur de soi ou peur de reconnaître que tout est là, dans ces « peut-être » qui se chavirent autour de moi… Pas suivable. Parce que la notoriété et l'image de marque doivent bien apparaître. Alors je suis dans la merde. Communément dit, quoi…
Je ne vais encore rien comprendre : BASS RULES. Pouf, tout est confus. Aimer le canard. Trop bonne viande pour ce que je suis. Dommage. Damage. Brain Damage ? Yeah. A personne. Besoin de parler. Sans faire de vieilles associations d'idées. Parce que le CO2 aide les idées à ressortir parfois. Même si, hein…
Bourf, tant pis. Je ne m'en souviendrais plus….
Et en effet, tout pour remonter la cervelle hors de l'eau, tous. Non, on est tous pareil, tous violé ou tyrannisé par un parent, tous dépressif et même que c'est pas vrai. J'ai froid, oui j'ai froid. Comme si j'avais envie de faire une raclette. Je veux juste être avec lui. Concevoir un avenir. Sans but, c'est le mur. D'ailleurs, c'est le mur. Ou pas. Pas tout à fait. Ou peut-être. Jamais je ne serai ce que je veux être. Méthode de substitution. Oui, c'est de la merde. Je les niquerai tous. Et maintenant parait que j'ai pris du niveau, on aura tout vu, tout entendu sur cette putain de Terre, quelle bande de clown. Juste pour ça, et bien peut-être. Ca te fait mal, mais fallait pas ne pas y croire.  La première règle est de ne pas faire comme moi, ne pas faire comme moi. S'exprimer, y parvenir. Après c'est simple. Parce qu'on est tous dans le même bateau. Et pis c'est tout. La mimitude n'est qu'un prétexte. Si je m'écoutais, je n'aurais plus cette gueule, mais rien du tout. Qu'on arrête les conneries. 7, et ça serait bien. Le chiffre du diable encore ? Mais oui, on s'emmerde ici.
Tout balancer.

Mercredi 21 février 2007 à 0:33

Comme envie de l'insulter. Qu'Ondes Co ne respire pas ses dernières notes nauséabondes sur un bout de fille, Sandrine est un prénom de  merde, surtout à Cherbourg ou à Caen. Fuck. Ne se rendent pas compte, remuer le couteau dans la plaie. Lui laisser du temps, retrouver sa Cherry Geurl. Voir comment elle n'est plus la caricature d'elle-même. Norme, rentrer dedans par désespoir. Tu y arriveras. Y croire. De nouveaux espoirs. Envie d'y croire pour soi, être affectée par les feux de l'amour. Se sentir de côté alors que non. La bonne copine. C'est déjà ça. Laxator qui remarque, comme si j'étais aveugle. Le sixième sens des filles, la faiblesse masculine. Même pas gênée. Fait du bien. Parce que je peux me contenter de cette position là. Que j'ai des potes, même dans les feux de l'amour. Que AlterEgo-GreenWitch est celle que je n'aurais jamais osé demander.
Être contente de se satisfaire. Opérer dans les changements. Comme toi.
Yeap.

Bouffer tout. Jusqu'aux doigts. Rien à faire sauf ça. Ils trouveraient ça marrant. La douleur qui fait du bien. Ne plus comprendre. N'avoir jamais rien compris, tout cela ne sert à rien. Chose positive au final. Quand ton plus grand rêve est de mourir, tu sais qu'un jour tu l'atteindras. La patience est seule reine. Tirer la bonne fève, ne pas en être malade. Que dire. Ne plus combler le vide, ne plus jouer à la nymphe. Ne plus jouer, grandir c'est ça. C'est faire semblant de ne plus être un enfant. Montrer une juste façade de merde. Envahissant mais plus meublable. Il suffit. Ne rien demander, juste prendre le nécessaire et se contenter du minimum, ne rien attendre mais trop en fait. Est-ce que c'est juste ou pas ? Là n'est pas la question et ça ne le sera jamais. Pourquoi ce mot. Pas de point d'interrogation, c'est peut-être plus facile sans se poser de question. Attendre ce don qui ne viendra pas. Je le sais. Je ne le sais pas. Tout est oui, tout est non. Ne cherche pas. Ne cherche pas. Ne cherche pas. Garder son calme, keep calm, calm calm calm, zenitude absolue réduite à ce néant ambiant. Du positif, du négatif. Ne plus être capable de savoir. Ecrire est impossible, écrire ne rime à rien. Faire une intro de merde parce que difficile autrement. Le regard face au bleu. Trop prévisible, trop ahuris, trop trop. L'originalité se tue elle-même. Comment ne pas être une caricature.
Se taire et analyser. ANALYSER sans POSER de question. Pas d'interrogation. Envier le reste du monde pour des choses qui ne le sont pas. Se lâcher l'esprit. Vouloir fumer. Ne pas fumer. Ce con, ne pas, ne pas. Qui est ce con qui a inventé le verbe falloir ? Point d'interrogation parce que con dans la phrase. Moi je suis con. Schtroumpf Connope. On aura tout vu. L'ennui tue l'avis. Que parce que j'aime les calembours, que je crèverai sûrement d'une crise cardiaque et que ce jour là, tout ce quoi m'aime ou tous ceux qui m'aiment au choix, en fin ils se retrouveront ensemble pour faire la fête. Ca c'est hyper positif, une grande chouille. Pas pour fêter ma mort, juste pour fêter le fait que tous mes potes se soient tous rencontré un jour. Posthume. Mais tellement bon. Seul les vrais encore présents. C'est si beau la destruction d'un être si petit. J'adhère totalement et en tout égoïsme. L'essentiel est d'être en accord avec soi-même. Si bémol-ré-fa. La plus beau de tous avec un fa majeur, un ré mineur et un do. Bb-Dm-F-C c'est pas le panard ? 

Mouirf. Cha qui affirme n'être que sympathisante punk. Et moi je suis la vierge pendant le tour de France ? La Kanter c'est la meilleure. Avec des gros pétard, aquarium et soirée de fou. J'aurai aimé que tu sois là pour partager tout ça. Difficile probabilité, peut-être qu'on est fait pour être ensemble. Plus de théorie à développer là-dessus.

Faire du riz au lait pour le plaisir des narines. Le gâteau au Chocolat qui transformait les garçons en crème anglaise, titre d'une prochaine nouvelle. Ouais. Steven et Luce qui ont tout vu.
Lourdeur des palabres. Anatomie verbale, on s'en fout a présent, fichtre.
Je dirai même fichtrement bon. Héhé, la violence est excitante, tu crois quoi ? Sodome et Gomorrhe ?

The end of this day is blue and green, because we are and we'll be.
I am what I am, doggy. Right ?

Mercredi 21 février 2007 à 0:27

Parce que c'est des conneries. Parce que j'assume. Ou pas. Parce que tu ne veux pas comprendre, toi, là bas. Parce que je parle toute seule. Parce que les figures de style, c'est vraiment la merde et que les chocolats et les pains au chocolat aussi. A ne rien y croire, on finit par arriver quelque part où tout est à découvrir. Qu'on arrête tout cela avant même que cela commence à prendre l'ampleur que cela a déjà. Et merde…

Loute qui devine, qui sait, qui comprend, qui en veut, qui se donne contenance, qui s'auto convainc. Que je ne sais pas comment on conjugue ce verbe même si on l'a vu en cours. Qui ne m'en veut même pas, qui l'aurait su sans que je lui dise. Qu'il me « connaît comme personne ne me connaîtra jamais même si je lui racontais ma vie à longueur de temps ». C'est juste ici l'erreur, peut-être que non. Que je suis transparente et prévisible. Malgré l'affiche. Mais non, tu ne sais pas tout, petit.
L'histoire qui se finit comme dans un film avec la plus belle preuve d'amour qu'il n'est jamais été permis d'inventer. Une étreinte sans ambiguïté, sans sexe, sans violence, sans trop de douceur. Juste une tendresse trop souvent oubliée et laissée de coté, lésée.
Juste se dire quelques mots, parce que les adieux les plus longs sont les plus douloureux, que belle vie à toi, que tu resteras un Gribou et une P'tite Puce à jamais, que les amis les plus forts sont ceux qui souffrent ensemble, que nous ne serons jamais trop loin, que si ça ne va pas, à propos de n'importe quel sujet qu'il soit, je suis là, tu es là, nous sommes là. Parce que l'entité que nous étions a changé, parce cette entité est devenue plus forte que tout et que l'amitié est parfois nécessaire pour guérir d'anciennes blessures.
Que je suis sûre que la destruction t'est inconnue, car esprit trop rationnel et prise de recul, que je suis sûre que ça a joué, que je n'ai pas toujours su entendre ni écouter. Que mon propre mal-être a contaminé une partie du bonheur partagé. Que je ne sais pas écouter, que tu le sais, que le pardon n'a pas de nom, n'a pas de non, non plus. Que nous est détruit, qu'on est en vie. Que ce qui a été loupé le méritait. Que tu me dis de foncer, que la vie est devant moi, paternaliste, les larmes montent trop vite. Que le présent est à vivre et que le passé doit être bon et souvenir. Puis, juste un regard de celui qui sait, qui devine, qui est plus proche qu'un ami parce que le passé l'a fait ainsi. Mais qui a foi en toi, qui y croit et qui veut ton bonheur. Toi qui a été capable de trancher tes propres sentiments en petits lambeaux pour me laisser bâtir un bonheur ailleurs. Carpe Diem.

J'y crois, je ne tatonnerai pas, chaque jour est une victoire, parce qu'un morceau de vie disparaît pour nous laisser nous approcher de la mort. Parce que la vie avec Lui c'est autre chose. Que la routine ne nous tuera pas parce qu'elle mourra avant ou je nous suiciderai. Qu'il ne soit pas permis qu'il soit malheureux avec moi ou sinon sa liberté. Ne veux pas enfermer les esprits. Voudrais qu'il me voie comme je suis. Ne voit pas.
Que j'ai toujours ces pulsions, que j'aimerai guérir si je suis malade, que c'est infernal. Que j'aimerai en dialoguer un bout. Ne plus parler, marre de combler les vides en disant des conneries, le silence est  si souvent tellement beau. Mais non, toujours tout gâcher. Inintéressante.

Seule fierté, qui sauve tout, pour ne plus être autant qu'avant, les cours. Seule réussite avec ce couplage. Deux raisons de vivre. COIN COIN COIN COIN COIN COIN. Fait le Canard. On accentue où on veut, y'a d'la poésie. Les cours, pour se prouver à soi-même qu'on a toujours un peu de chance dans la vie. Qu'au moins les profs ne sont pas déçus, que même si il y a sûrement du favoritisme partout, dans les matières, je suis là. Que la participation n'est pas vaine et que j'existe. Que j'aime Coin. Que je pourrais le crier que ça n'y changerait rien mais que je le crierai. Logique implacable. Que Simon existe toujours, qu'il ne m'oublie pas, que les conversations MSN ont toujours été utiles à rassembler les bouts d'amitié, que les mots sortent plus facilement et qu'on se comprend peut-être mieux ainsi. Que l'impulsivité reste de l'autre coté du nerf optique, qu'heureusement.

Voilà. Pour résumer, juste un Ange nommé Coin, comme un tramway nommé Désir. Juste monter dans le bon wagon, prendre les commandes de l'engin et partir au pays des rêves ensemble. Nous y sommes. Voilà, rien d'autre à demander, finalement, se satisfaire de sa vie à défaut de son existence, c'est déjà un bon progrès. S'accepter viendra un jour. Inch'Allah, moi je m'en contrebranle. Juste pour Coin. Efforts à faire. Beau. Bel ange.

Pense, pense. Gneuh.
« Sache, Petit, que seul le romantisme est absolu »
« Un seul être vous manque et toute la Terre est dépeuplé »
Mouais, il manque des mots, l'essentiel est. Putain de Marivaux ! Il n'a jamais tort ce P'tiot… Sauf moi.

Oui…
Aimerais te peser, angoisse du chiffre… Saloperie de connasse.

Bluffée. Il m'a bluffée. Comme quoi.

Mercredi 21 février 2007 à 0:24

3 minutes 22.
Ces chiffres dans les annales, même pas fait exprès. C'est comme ça, relié. Un coup l'un, un coup l'autre, tu comprends pas forcément pourquoi. Après, est-ce que le hasard… Sais plus vraiment où l'être est. Ou lettré. Sais plus. Juste proche.
Rêve bizarre, prémonition, lit en mon esprit. Déstabilisée. Salope.

Là où il faut, quand il faut. Trop. Sais pas si mes phrases sont correctes. C'est une ambiguïté. Mais ce qu'il faut. Beaucoup peut-être mais très illisible. Comparaison infaisable, des différences à la pelle. Le vrai et l'intérieur, le vrai est l'intérieur ? Le vrai hait l'intérieur ? Le jeu est-il réel ou c'est une feinte ? « You don't know me. » Peut-être aussi, sûrement. Obligé même. Pas assez de mots, pas d'utilisation verbale. Vouloir combler un vide qui n'en serait pas un sans tous ces mots inutiles. Du blabla en vérité. Meubler, mais pourquoi ? Une belle voix pourtant. Certainement jalouse de sa réussite. Comme celle de chacun. Ne pas se satisfaire de la merde produite de façon merdique. Avoir honte. Honte honte honte honte honte. Ne se rende pas compte. Richesse de la rime, pas fait exprès pas envie de jouer avec les mots. Pas envie. Veux juste le sentir.

Le cerveau en purée. Se décevoir même soi-même. Jamais tu ne seras musicienne. Jamais. Pas douée de tes mains. Pas douée tout court, virtuose du rien et même pas. Parce que ne pas savoir jeûner et bouffer comme 4 éléphantes enceintes. Grossir, se sentir de plus en plus laide, de plus en plus imméritable tant détestable. Il mérite beaucoup mieux, ce lion.
Être accro. The end of this chapter, Gravenimage, Torn, Liberty, Hourglass. In ear. Tous les jours, la musique, substitut meilleur que le néant mais irremplaçable. En manque de sa présence.
Loute ami, juste comme il faut. Pas de débordement. Pas son envie qui manque et ses yeux vides de désir. Avide plutôt. Turmescence indolore. Savoir lire en lui encore. Voir qu'il ne souffre pas, pas tout le temps. S'est fait une raison. Certainement mieux ainsi. Ou pas, égoïstement. Savoir que le contre-coup est là. Laisser du temps. Garder un peu de possessivité. Juste de quoi voir qu'on existe et que notre amitié est la meilleure de toute. Nous ne sommes plus « nous », nous sommes amis, « on ». Non, pas si simple, les « on » et « nous » , c'est plus que ça et ce  n'est une question de sentiment, non mais oh. Seule une chose est sûre. Aime The Frosties Lion. Avec l'accent s'il vous plait. Avouable, et même plutôt hurlable. Vouloir faire des jolies phrases, avoir parfois les mots. Face à un tel ange, décontenance souvent difficilement maîtrisable. Et pourtant ne pas se retenir, rester conne et immature, à sauter comme une gamine. Se détester au possible dans ces moments là

Vouloir parler à le dessinateur. En manque de conversations qui ne servent à rien. Vouloir avoir quelqu'un comme soi proche de soi. Quelqu'un d'insupportable mais tellement. Même pas un reflet, bien trop sage, pas assez de recul.  

J'aime les canards, canarder avec Lui. Cancannons, cancannons…
« We are waiting, we have not forgotten… »

Encore cramée. Deux reprises. Vouloir en parler à Coin, ne pas pouvoir, perdre les pédales, perdre pieds, désirer l'annoncer à Sophie. Trop difficile. Que des échecs. Se dégoûter soi-même. P'tite conne. Même les parents qui s'en aperçoivent. Merci la distance. Tout de suite repérable. Tu le verrais. Envie de redevenir comme avant. Sans déprimatisation chronique aiguë, sans tant de complexes. Vouloir pouvoir me voir comme ils sont aveugles. Voudrais être bien. Se foutent de ma gueule en disant des conneries ces cons. Ca m'énerve, comment juger ainsi. Ils ont pourtant des yeux. J'en ai marre de mon non sérieux et de cette tare. Pourquoi, Cherry, devons-nous subir nos propres dépendances ? … J'aimerai être normale dans ma tête. J'aimerai ne pas avoir envie de gerber à chaque vision d'un miroir. J'aimerai, quitte à ne pas être belle, ne pas être moche et pouvoir me voir en tant que normale, ni moche, ni belle. Si j'étais belle, avec Coin, ça serait mieux. Se rend pas compte du décalage. Veux pas qu'il s'ennuie. Je sais pas comment faire. Tu fais comment ? Marre aussi de passer pour une folle. Veux juste qu'il soit bien, confiant, heureux, qu'il se sente à l'aise. J'aimerai pouvoir lui donner tout ça, trop loin de tout. Egoïste que je suis.

J'ai beau être matinal, j'ai mal. Un jour, on sera plus dépravée de l'esprit mais vraiment derrière un son. Une vraie fréquence et pas de la merde comme au piano. Merde je suis. Banalisation du vocabulaire argotique, j'emmerde les gens, la vulgarisation de termes est à la mode. Même pas permis dans une seule de vos normes, bandes de cons ?

Je dois vraiment dérailler… Voudrais être à la hauteur.

Mercredi 21 février 2007 à 0:18

Il y avait juste un problème dans sa tête. Personne ne savait vraiment ce que c'était. Ou sinon c'est qu'il n'y en avait pas pour les autres. Elle non plus. Elle ignorait. Elle aurait aimé savoir. Pourquoi ? Question récurrente, question de merde aussi. A trop chercher, elle en perdait l'intérêt de sa propre vie, elle passait à côté. Il ne faut pas trop réfléchir. Trop de questions, trop de réponses. C'était ça son problème. Un de ses problèmes. Elle trouvait toujours trop de réponses. Et elle détestait les choix. Quoique. En réalité, tout était fixé, un ange d'épaule lui soupirait juste de se faire l'avocat du diable. WHY WHY WHY WHY ?
A trop poser les questions dans le mauvais sens, à trop songer à des choses dont personne n'accorde d'importance, elle sombrait dans son coté sombre. Du trop, toujours du trop, toujours, trop de toujours, toujours trop...
Aucun regard de connivence, on est toujours trop seul dans la vie. Quoiqu'on en dise. Tout est éphémère, elle ne le savait qu'exagérément. Son existence lui avait prouvé. Tout reste en soi. Mais pas forcément autour. Tout vient, tout repart. Tout exalte, tout devient mat. La brillance n'existe que dans les rêves, ce sens lisse de la vie, de cette réalité. Le seul sens en réalité de ce qui existe : la fiction, le fantasme. Parce que tout se ternit, le temps tue. L'expérience n'en est que trop démonstrative. Et nous le savons tous. Rangeons nos optimismes au fond d'un puit et regardons le monde d'un regard neutre et objectif : pourri. Tout est pourri, moisi, mourrant grouillant de tristesse et de pathétique. Seul les véritables sado-masochistes sont heureux. Onanisme encéphalique, certitude indémontrable, juste véridique. Constaté.

Même pas désolée, c'est ainsi, j'y peux rien.
Et sinon allez vous faire foutre.
Je ne suis pas si sadique au final.

J'aime tout court, je m'en satisferai parce qu'il n'y a que ça qui puissent faire vivre avec la baise. Juste s'accrocher à un sourire, un bout de vie, un destin commun ou hors. Espérer y rester un  peu de temps encore. Remarquer une seule chose, et faire abstraction de tout le reste, passé, futur, autour interne externe. Ne plus penser qu'à son autre. Tant d'égoïsme sidérant. Partager simplicité. Juste une prise sur l'escalade de la vie. Celle qui est là quand il le faut, au bon moment, qui sauve sa propre vie sans qu'autre ne s'en rende compte. Ne pas mériter tant, ne pas pouvoir donner tant, frustration au paroxysme. Se demander ce que l'on a fait de bon pour obtenir tant. Prendre l'énormité que le destin peut parfois donner. Obtenir ce que l'échelle des sentiments peut offrir : malheur décuplé et bonheur en proportion. Manque et retrouvailles. Yin et yang, équilibre parfait et absolue. Absolute Vodka. Comme envie de boire et reboire, comme avant, beaucoup, beaucoup, et finir mal. Trip au maximum et devenir une de ces dépravées qui rient sans savoir pourquoi, qui mélangent avec aisance larme et bonheur, joie et tristesse, qui vivent et ressentent autre chose mieux que l'ordinaire, sensations extrêmes. Mais ne pas oser, ne pas vouloir décevoir. Pas besoin de ça. Et se rappeler : c'est beau et si triste, mérite tellement mieux, ne peser que trop dans cet esprit autre. On pèse toujours trop de toute façon. Trop. Toujours. Un cercle vicieux, nous tournons en rond finalement.

Toujours trop, c'était juste ça…

Je déteste la boulimie et les 21 novembre.
Un jour, je serai. Et peut-être pas. A force, on en oublie l'essentiel.
Un jour, non, jamais.
Je ne saurai pas. C'est ainsi elle l'avait dit…

Merci

Mercredi 21 février 2007 à 0:16

Abandonnée, comme d'habitude. Ne se rend pas compte. Besoin d'Eux. Besoin d'eux-mêmes. Les autres peuvent crever parce que sinon c'est eux qui crèvent. Voudrais sentir mon coeur s'écraser sur des silex empoisonnés. Ils croyaient quoi ?
Ce lycée, ces gens, tous ces gens... Ces cours, toutes ces données. Dominer était le but premier de la manoeuvre. Maintenant que le but est l'échec, dominer reste là. Las. Lasse. Ne plus comprendre que la haine est une partie intégrante de soi. Qu'au fond on n'est qu'un cul maté et re-maté pour le plaisir de la critique et du point critique. Branlez vous et finissons-en...
Laisser seulement la basse s'exprimer pour le reste, parce qu'aucun interlocuteur en peut comprendre au fond. Qu'on est toujours tout seul même quand on veut sauver les autres. Que rien ne sert de courir, il faut partir à point. Point final, que j'aimerai te voir. Un jour, un pas de plus vers. Les textes qui meurent, les mots qui s'envolent alors que les autres restent ancrés dans le cerveau, fidèles à eux-mêmes. Problèmes mentaux, pourquoi toujours trouver le coté noir de chaque chose ? Aurais préféré crever. Ne pas les revoir, mutisme grandissant. S'ouvrir à ces rares à comprendre, voir la différence si ressemblante. Tous les maux sont les mêmes. Compréhension attachante. Ne sais plus que faire. Et sa manière d'ignorer en douceur. Douceur feinte, montrer sa blessure au monde. Et rester là, encore comme une conne, à voir défiler sa vie comme un film. Spectatrice dans son propre rôle. J'aimerai sortir de moi-même et rayonner. Rayonner un peu, beaucoup, à la folie. Parce que les mots ne servent plus à rien, que je ne ferai pas un pas de plus sans qu'on en fasse. Juste attendre deux moments. Vivre pour cette heure et demi de sérénité pour l'esprit puis retourner dans le vrai monde, le monde du cinéma, jouons avec les mots, jouons avec les situations. Oui Guizmo, je suis tordue, ça se voit, ça s'entend. Que veux-tu ? Et ça t'attire. Raté, insensible. Même si c'est des conneries. Se rendre compte de l'ampleur du désastre.

Se sentir morte, jaune et affreuse. Un peu comme saoulée de ces odeurs ennivrantes, entêtantes qui usent nos sens. Abusé, déçue, lâchée sur un trottoir, comme une pieuvre dans le jardin. Et paf, coup de bêche. Pêche, nutella, pain azyme et compagnie. C'est tout. Je ne suis pas une no-life, je n'ai pas de vie, ni virtuelle.
The Lion, only life. Just reason to live. To breathe from himself. Juste se sentir exister à ce moment-ci. 1h30 à ne pas savoir comment dire la puissance. Je dois être trop cinglée parce que même à cet instant, souci perso, confiance qui bad et vouloir ne plus avoir toutes ces failles. Un jour. Peur de moi autant que de Lui. Parce que complexe d'infériorité devant tant de prestige. Ne se rend pas compte.
Tous pareils...

Les sombres dans "Ca se discute". Witko en vie puisqu'elle mate la TV. Média de masse et peu sélectif.
Rien le 24. Se lêcher les côtes pendant leur baise. Je ne vous aurais pas fait chier. La solitude à Rennes, ça m'aurait pourtant plus. Dans les bars. Pas de Brigitte Bop, rien de tout cela, encore raté. Encore de trop. Parce qu'impossible que tous les gens que j'aime se voient. Révons, je vais me faire foutre une balle. Parce que toujours seuls dans la vie, ne compter sur rien, pas même sur les rêves, ne pas se faire d'illusions, ça évite les déceptions. Justine qui s'en sort, tant mieux pour elle. Froide et distante, je suis conne et inutile. C'est ainsi, je ne peux rien y changer.
Voilà.

J'ai pitié, j'ai pitié. Par pitié.
C'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est pas pas pas pas pas pas pas pas pas pas suis suis suis suis suis suis suis suis suis suis suis bien bien bien bien bien bien bien bien bien

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast