Toujours les mêmes réflexions. Dire à l'écrit ce qu'on pense.
"Je me dégoute."
Ptet que seuls les chromosomes XX sont capables de se dégouter pour de vrai. Des conneries de féministes à la con ? Oui, un peu, surtout du narcissisme, mais on aime après tout.
Voilà. Encore un commentaire inutile polluant ton blog.
HAHA.
Oui, je suis con.
Oui, je me dégoute.
Oui, je me gerbe.
Oui, je me taille.
Oui, je m'ennivre.
Oui, je ne comprends pas.
Oui, je n'ai pas à comprendre.
Oui, je dis beaucoup de conneries.
Oui, je suis tout à fait d'accord.
Oui, tu as raison.
Oui, je suis folle.
Oui, oui, oui. Rien d'autrre à dire.
Oui, tu peux m'appeler Narcisse.
Désolée pour le message. J'avais envie. Donc je. Ego, ego, ego. Tu m'en veux ?
A vrai dire, ma vie n'en dépend pas.
C'est juste con. Oui. J'avais envie de positiver. J'aime le OUI. Pour cette fois seulement.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
J'en suis une. Une gens[e]. Une gars[e]...
Mais "Je sais que je ne sais pas." Contrairement à beaucoup de "béciles" et de "normaux".
Cela amène à d'autres questions ...
Qu'est ce que la norme, si elle existe ? Existe t'elle ? Puis-je m'autoriser de me considérer "anormal" ? Est ce une prétention ? Est ce normal d'être anormal ?
Qu'est ce qu'un imbéciles ? Somme nous TOUS des béciles ? N'y a t'il qu'un bécile ? Suis un[e] bécile ?
N'est-ce point très relatif tout cela ? Au point que chacune de ces question mérite une thèse encyclopédique à elle seule ?
Je sais que je ne sais pas.
Les mots ne sont que vent. Les maux ne le sont peut-être pas.
Les maux ne sont que vent. Voire tempête. Les mots ne le sont pas.
Ou l'inverse ...
Tout est trop relatif.
Tout est faux, car tout est perception.
Voilà pour ce soir.
Le reste c'est dans ma tête. Peut-être même dans la tienne...
Je n'en douterai pas une seconde.
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Etre ou ne pas être. Jugements de valeur après tout ...
On ne connait des autres que ce qu'ils montrent. Lorsque que l'on montre la Vérité de son soi : la spontanéité, la Chianlie (je sais de quoi je parle dans ce cas-là), la sale gueule de déprimé (quoi ?), le lunatisme, les réponses au tac-au-tac, une vexation quelconque, une tristesse, une mimique et que sais-je d'autres... Toutes ces choses qui ne sont pas jouées, qui sont impossible à maitriser, comme par exemple un regard...
Je me demande si je suis pas vraiment très con...
Là, à ce moment-là, si l'interlocuteur ou le voyeur qui se trouve en face de cette personne Vraie arrive à déceler ce qu'il y a entre les deux oreilles, il peut avoir plusieurs sentiments très compréhensibles : la peur devant tant de complexité (Quoiqu'on peut se demander si toutes les têtes sont compliquées à comprendre parfois), l'amour (du genre coup de foudre : personnalité trop attachante pour être de ... ), l'amitié (se reconnaîte en l'Autre plus ou moins,, ça crée des liens. En tout orgueil bien-sûr, car on se sent souvent moins que cex qu'on Aime; d'Amitié ou d'Amour ), la compréhension, ou l'incompréhension, la pitié, la peine pour la personne pour tel trait de son caractère ainsi trouvé ... Et que sais-je, encore.
Mais vraiment. Pourquoi ?
Les réactions peuvent être aussi variées : attachement direct réciproque ou non, amitié partagées ou non, amour dans un sens ou pas, haine audacieuse, pitié toujours là (qui est plus ou moins cachée, plus ou moins découverte aussi), ignorance ou non, intéressement ... La liste ets exhaustive.
D'où des conversation qui restent, d'autres non ; des liens qui se font, ou pas ; des rapports qui coexistent, ou disparaissent ; un intérêt qui s'amenuise, ou qui s'accroit ... J'en passe.
MOUAHAHAH !
Le mieux dans tout cela, que ce soit haine ou amour, amitié ou pitié, quelle que soit l'impression, le sentiment, ou la sensation laissée ; l'important, j'en reste persuadée, c'est la réciprocité. Quand chacun éprouve pour l'Un, l'exacte ressenti de l'Autre. Là, c'est magique. Et ce, dans la haine ou l'amour. Car c'est par là que tout existe, persiste et excite. Que ce soit l'envie de faire du mal ou de faire du bien.
Car la réprocité implique forcément complicité : Lachez deux ennemis sur une île déserte, ils deviendront forcément amis. Nous ne prenons pas en compte les diverses autressentiments mélés à tout ce grabuge humain.
Nous n'existons de toute façon que de par le regard des Autres. Ce qui peut gacher une vie, ou la rendre heureuse. Il faut savoir prendre en compte sa propre vision des choses et parfois l'oublier, l'atténuer.
Cela dit, ce propos est tout à fait inutile. Des questions sur l'utilité des commentaires, des blogs, des relations humaines et nous pourrions nous écarter très loin du sujet. Comme je l'ai sûrement fait à travers ces quelques paragraphes... Allons donc à l'essentiel (parfois, un de mes travers) :
" Bravo pour cette complicité, cet attachement. Et cette réprocité, si elle existe. Et si non, qu'elle se forme comme une forteresse, impénétrable et indestructible (comme les Voies du Seigneur parait-il).
Bonne continuation, bonne route sur vos propres voies (même si ce ne sont pas celles du Seigneur). "
J'ai des problème à la cervelle.
Ce n'ets pas grave, hein ?
PS : si quelqu'un a tout lu, bravo, et merci pour l'attention utilisée et la compréhension, peut-être. Aussi, tout ce blabla est à nuancer, à compléter, je ne prétends pas avoir science et conscience. Bonne réflexion si telle est déclenchée par cette petite lecture. (Et dans ce dernier cas, MERCI !)
Qu'est ce qu'on peut en penser ? Hien je me demande ?
Faire le tri entre l'important et l'urgent, c'est le minimum pour y arriver.
TU Y CROIS TOI ?
TU Y ARRIVES ?
sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Jeudi 31 août 2006 à 23:36
Mercredi 30 août 2006 à 22:34
Nous devons nous sortir de cette angoisse.
Cette angoisse finira par nous tuer.
Fumier de bouc ! Des phrases bouffies de réalisme à longueur de maux, c'est ça qu'on veut entendre ?
"- On se sent mieux hein ?
- Très mieux"
Sentiment d'infériorité. 12. Impressionnant hein ? Des muscles tendus par l'effort. Et les voir prendre forme. Prodigieuses inventions. Bleus, verts ou vilets. Ne pas copier.
Jour des connards. Bad happy face. Moi j'ai pas raté ma vie, j'ai quelque chose entre les deux oreilles. Pas que conne.Concert ou alternatif dans la rue les mercredis paraitrait-il. Vive les bars des Trois.
Bonheur ivre, y plonger comme dans une piscine de champagne. Nager dans les bulles. Notre. Sauf le Calvaire, y survivre, y PARVENIR. Ne pas. Sentir la faim t'assaillir et te manger. Attendre ce soir. Ne pas personnifier ces choses-là. Aucune voix ne me guide. Sauf la mienne. La seule voix qui me guide est Mienne. Qu'elle soit double ou non, consciente ou inconsciente. Les préjudices mentaux sont là. Rien, ni personne, ne sera maitre de mon destin. Je tracerai mon chemin ua rouleau compresseur s'il le faut. Coupant hautes herbes et branches, saccageant peut-être tout sur mon passage avec un taille-haie et une scie circulaire ou autre tondeuse coupante. Personne, à part moi, ne PEUT me montrer ma propre route. Excepté les griboux. Je suis maître de moi, de mon futur. Dans mes mains. Malgré les failles et les détours, les faiblesses et les enquiquineurs. Connard de putes et autres enculés s'abstenir. Les foutre dehors. Faire le tri dans sa vie. On est toujours seul, même si on est deux.
XX. XX. XX .. XX .. XX ... XX ...
Ce n'est pas une tare, ni un handicap.
C'est pire. Motivation à deux.
Deux, deux. Quatre, quatre.
Au quotidien, juste dur, difficile à tenir.
Chromosomes RULES.
Des fées. Fées et fées. Effets. Positifs.
Lundi 28 août 2006 à 12:08
Abdos, abdos. Se sentir inférieure et humiliée. Loute, coach qui en veut, qui force son élève à faire des abdos pour son bien et toutes ces choses qu'elle n'arrive pas à faire parce qu'au fond elle est quand même bien nulle et qu'elle se braque devant l'échec. Sans volonté elle. Tu es têtue, toi ...
Besoin de son gros calin du matin ? ...
Tu es une petite chose fragile finalement ... Mon p'tit morceau de sucre qui fond sous la pluie, mon p'tit bonhomme en chocolat qui fond au soleil.
GROS BéBé !!!! Les vieux sont à tuer à la naissance, je dois en faire partie.
Immature et en crise constante avec soi même. Une espèce de chose, oui.
Besoin d'attention en permanence, d'affection à la pelle. Pfff !! Tu parles d'une force ! Rien au final, c'est tout ce que je vois.
Eloïse, il y a bien 7 ans :
T'es une p'tite chose qui sait pas voler, laisse tes ailes pousser. Et le temps au temps...
Ptite chose qui sait pas voler ...
Ethymologiquement parlant c'est vrai aussi. Ptêt que je suis vouée à être impotente. Sale gueule et gros du corps. Là aussi, ça doit venir dubeluga. Mimitude ? A voir, moi je suis bigleuse. (Apterus : du latin sans aile)
Dimanche 27 août 2006 à 17:33
Pomme de Mamie Biloute en compote.
Rencontrage de Mr le Basiste de The New Rep. Trop de ressemblances. Gentil joli bassiste. Trips en vue, bass trips.
Putain de soi-disant punk opportuniste à la con. Va pas t'incruster, on t'aime pas. C'est pas ta crête qui fait qu'on peut apprécier les gens. C'est plus poussé ! T'es pas un pote, t'es un extrémiste, un red. Pourquoi je lui ai dit qu'on répétait ? Rhhaaa !! Toute facon, on t'entendra pas, on ouvrir a pas la porte. Beuleuh !
BabyPuppe. Je veux, je veux te voir. Je veux !
Me manques. J'ai vraiment besoin de toi. Toujours là. Toujours deux. Toujours. ENSEMBLE. Malgré la distance. Phénoménal drogue que d'avoir quelqu'un qu'on peut appeler AMIE. Que ce soit vraiment vrai, véridique, de la sensation, de la sincérité.
Parce qu'il n'y a que Toi. Que Toi finalement.
Nous ne sommes que quatre au monde à être ainsi entre nous-même. Non ? Si, j'en suis persuadée. Me sens bien avec pleins de gens. Me sens rassurée et en phase que avec VOUS. Gribou. Vert-Punk-Nouh. Oui, je n'aime que.
Ceci est une déclaration d'amour.
85/61/(72)/82/(48) Veux maigrir. Me sens grosse. Me sens vache.
Grosse vache. Eléphante enceinte sur le point d'accoucher.
Flasque, pas fait de sport hier. Se rattraper aujourd'hui. Lundi : rentrée, nouvelle vie, nouvelle facon de se nourrir. HAHA ! J'en ai marre d'être une grosse vache. Sale gueule.
Puis ré-ré-ouverture des plaies. Sales bras. Blessures plasmastiques qui brûlent. Pas agréable mais au moins je sens mes muscles et mes poignets à chaque mouvement. Sales coupures. Noute qui tolère pas. Comprends mais trop tard, fait. Moche, mais sur mocheté, change pas. Désinfection. Marques trop symétriques. Aime pô. Ca pique, ca tire sur les chaire. J'aime.
Serai maigre. Seront comme nous le voulons.
Perdre juste le reste.
Samedi 26 août 2006 à 9:41
* I want a "S" *
* I want a "I" *
* I want a "D" *
* We said : "SID VICIOUS" The come back. *
Regain de motivation. Merci Ibaba sans rhum. Juste 36h de taf et the new life. Youkie !
Le lundi 4 septembre à 10h00. J'y serai. Seek and destroy.
Suck and destroy. Voilà, j'avais envie de le dire.
Aussi, je suis un mannequin et je suis bandante.
Je suis mince et j'ai un cerveau qui fonctionne. Belle plante. (Paroles de clients Aucan-la-vie-la-vraie ! )
MOUAHAHA, quest-ce que les gens peuvent raconter des conneries !
J'ai des cheveux rouges-pisse décolorés. Un canon de l a mort qui tue si on enlève encore quelques tissu adipeux. (Parole de moi)
Rajoutage de couche, j'en bande poupée.
Tout est dans le titre, le reste on s'en balance. Branle, contre-branle (copyrignht GribouPunk), fout, fiche, contrecarre, bat les couilles et j'ai que ceux-là en tête.
Samedi 26 août 2006 à 1:40
Il s'inquiète, ils croient n'importe quoi. Ils ne comprennent rien ? En tout cas, il ne comprend pas et ils mélangent tout. Pourquoi ? Passer pour une folle. Crier de rage dans un silence passif. Rien de plus, rien de moins, juste pour cela. Juste triturer la chaire. Pour le fun. Qu'est ce que tu vas penser ? Panser ? Non plus. Trompes, trompes, comme un eléphant. Suffisamment pour mes conneries et mes maladresses. Remarquer, c'est des conneries. Vraiment suffisamment débile pour qu'on me remarque. Que j'aille me faire foutre.
Ca me va très bien, ouais. Arrêter la basse le temps d'une soirée, marre d'entendre gueuler à ce propos avant même de l'avoir sortie de son étui magique. 2 minutes pas plus. Ras le bol. Reprendre ce soir avec Lui ou/et toute seule si le concert annulé pour ma gueule. Un minimum prête pour la Première. Ne pas être sufisamment investie ? Mais que dit-on ? Quand "On" verra mes progrès et ma vitesse de progression, on la bouclera. Verra bien qui gardera une vue saine. Mais tu veux quoi ? Vous (?) voulez (?) quoi ? Que je devienne encore plus barge ? Peux que péter un cable ou plomber. Peux plus pour le moment, saturation maximale (haha, me gausse), les deux canaux, j'en peux plus de tout côté. Désolée, je lutte contre moi-même et contre Auchan, ça me suffit ... Juste un peu de temps que je reprenne mon souffle.
To breathe.
Grind, grind, larme à l'oeil, Dark photo merdique dans tous les blogs, pantin décoloré. Chialer, ça fait du bien. 4 pains à l'emmental (750) + une pomme (75)
*Blop, pas glop* Manque de quelque chose. Plus que 40 heures maximum. Putréfaction !
Cycas. Retenir le nom de jolie plante de Monman. Mal de dos, tiens plus que par les nerfs. Pas fait le sport aujourd'hui, tout à l'heure si Loute veut. Mars est repartie au loin. Se rassurer un peu au pieux. Parce qu'il y fait chaud et sombre. Rassurants : des bras protecteurs de ses propres doigts. (qu'est-ce qu'ils peuvent avoir les idées mal placées)
Les entrailles cadavériques d'ambiance. Et bah ouais, j'ai besoin d'être constamment rassurée, c'est comme ça, moi chuis con et XX.
Ce n'est ni de la satifaction, ni de la fierté. Pas envie de pleurer pour des cicatrices moches. (Mais symétriques) Ce n'est ni de la narquoisie, ni du défi. Ni pour blesser. Toi ou autre personne. Juste une pulsion, plaisir masochiste de sentir l'empreinte d'un ongle dans la peau, puis le plasma se rependre dans la blessure. Puis le sang si une aiguille de pin est là pour m'aider à la tâche. Pas désinfectées les premières, tant pis. Juste P-U-L-S-I-O-N-N-E-L !
S-E-N-S-A-T-I-O-N-N-E-L, et pûrement relatif. J'aime cette sensation ! Rien à rajouter, on comprend ou non, j'assume. Ou presque. Bandage pour le taf, bandage tout court pour éviter les questions. "Me suis battue avec un lion" Réponse donnée courante pour éviter les précisions et marquer un peu d'humour (jaune). Ta gueule ! Ma gueule ! N'ayez pas pitié, je vais très bien. Juste comme ça, par ennui. Ne pas chercher plus loin.
Pas envie d'expliquer, très bizarre. Choyée au maximum. Trop de distances avec tout le monde. Ou presque encore, et encore. Plus rien, que du vent, n'espère plus rien maintenant. Rien que pour le fredonnement incessant de la romane, jalousie. Devant tant de Vérités, autant de déceptions, désolée les amis. C'est moi contre moi et tout le monde. Peut-être que c'est le pire. Méfiance totale. C'est vraiment du délire, comme si tout le monde voulait savoir des choses. Comme si j'étais épiée et observée avec des jumelles. Que ce soient les chefs, les collègues, les potes ou pire, et sans aucune raison en plus, les A-M-I-S. Oui, je nage en plein trip, même pas besoin de Drugs pour être parano.
Trop perso par là. Chacun son cul.
De quand date mon dernier fou rire anerveux ?
- Un Peu de Sérieux
- Boulot/ No Name
- La Complainte de Mon Amie La Loque
- Intello
- Lycée Merdier
Et t'en foutre plein la vue, mec ! Allers-retours, bien bluffé. Et ouais, je sais. Fierté immense bien profonde (dans mon cul) et modestie extérieure. Je connais mes capacités et mes Motivations ! Et ce n'est pas fini, je ne fais que débuter ... Tu disais qu'il en faudrait beaucoup pour t'impressionner. Tu te contentes finalement de peu ... T'ai même épuisée... HAHAHAHA !
Niark-Niark!
Jeudi 24 août 2006 à 19:32
C'est le la-pinou dans la garigue, c'est le la-pinou dans la garigue.
C'est le la-pinou, c'est le la-pinou, c'ets le la-pinou dans la garigue.
Fond musical enchantant, mouais.
Humeurs à envoyer chier tout le monde en ce moment. Ne sais plus, ne comprends plus.
Et ce mot de passe de merde. 3h à trouver que c'était rien ! C'est quoi ce bordel ? Options à la con quand on sait pas les utiliser.
Gerlinéa Chocolat, trop bon. Max 800 cal par jour depuis quelques temps. Sens mieux.
Me sens pillée, me sens morte, me sens forte. Conne immature, moche et risible. Que j'arrête de me plaindre. Putain, et ouais, j'en viens même à m'écrire des posts à la con pour moi même. Bah ouais, vous croyez quoi ? Que j'oserai insulter quelqu'un comme ça ? Et bien vous avez raison, mais pas en ce moment. Ence moment, c'est MOI MOIMOIMOIMOIMOI. Et puis non, c'est pas con, ce que je me suis écris, c'est juste ce que tout le monde doit penser. J'en suis certaine. Et puis d'abord, tout est pour moi-même ici, j'ai plus envie de jouer au pantin, en viens même à avoir des idées destructrices. (Quoi destructrices ? Tu déconnes ??)
Alors quoi ? Pourquoi vous continuez à lire bandes de moules mal accrochées ? Mais vraiment ! J'ai juste besoin de parler à quelqu'un, juste péter le splombs en live comme je le fais en silence. Juste besoin d'avoir quelqu'un. Pfff, je me fais pitié. Je ne suis plus Sid Vicious, je suis re- la pauvre Sidaléane à tuer. Ouais c'est ptêt très con à entendre, très con à dire aussi. Sauf que ces perso sont comme des représentations : force et faiblesse.
J'y crois juste. Retrouver cette rage d'antant, cette volonté de vie, de joie et d'amuse-gueule. Le jour où je saurai écrire, ça se saura. "Ca se saurait" Et bah ouais mec...
Pouffiasse de merde qui sait même plus où mettre les pluriels. Pluriels de merde, aussi. J'en peux plus.
De la morosité à revendre, 3615code-qui-n'en-veut-pour-ceux-qui-n'en-veulent. AHAHA, et elle se croit drôle aussi. Muette comme une huître, chiante comme un gamin qui braille parce qu'il a faim, violente dans ses pensées comme une lame de fond. Vous voulez que je vous dise quoi ? J'ai envie d'insulte tout le monde, alors j'insulte tout le monde.
Sauf The Gribou Circle, mais ça vous vous en foutez aussi.
T'es vraiment à gerber. Pitié indicible. Rentre chez toi. Va au ciel. Diablesse.
Et tu te parles encore à toi connasse ? Pff, pitoyable !
Voilà, je sais plus. C'est tout. Ne me le permettez pas si vous le voulez, je m'en prends aux bras. Joli motifs symétriques, ongles courts mais utiles. Et eux, encore à juger !
Mais putain, JE VOUS ENCULE !
Je me sens vraiment toute seule.
Je me parle toute seule.
Je trippe toute seule.
Je suis dans un monde trop hermétique.
Et au final, TANT MIEUX !
Mercredi 23 août 2006 à 21:12
En fait, ils avaient tous raison. On est toujours tout seul dans la vie. Crever comme un rat mort ou agonisant. Changer la face du monde en s'inventant des voix et se créer une personnalité de merde pour y ressembler. C'est cela même, non merci, je préfère que vous alliez vous faire foutre.
Toi, cherche pas à comprendre, rien n'est pour toi. Rien ne va à toi, tu peux toujours réver. Arrête de dire des conneries et de te plaindre. Tu commences simplement à me faire chier comme tu fais chier les autre. Et puis merde, pourquoi j'irai te dire tout ça. Tu t'en tapes après tout. Dans tes trips. Oui c'est de la jalousie mal placée. Parce qu'au fond, c'est que des conneries tout ce que tu m'as dit. Remarque, finalement, je m'en contrebranle également. C'est quoi ce coup de gueule de merde ? Je vais te le dire : un chiotte virtuel et un bras à lacérer.
Voilà, c'est tout et j'espère que tu peux te rentrer ton God dans le cul bien profond. Pseudo-con, qu'est ce que ça peut vous foutre ?
Oh et puis merde !
Va te faire foutre !
Même pas à en pleurer.
Qu'est ce que je peux en foutre ?
Rien à carrer de ta gueule et de tout ce merdier.
Canardée par la connerie.
Vraiment gosses.
Toujours le même refrain larmoyant.
Simplement pitoyable.
Qu'ils aillent crever en enfer.
Toute façon, S.V. a disparu. Il ne reste rien. Rien qui ne vaille la peine. Et bien non, le paradis a fermé ses portes . C'est comme ça, je n'y peux rien. C'est juste trop. Trop, c'est trop parait-il. Pas faite pour cela, faite pour rien du tout. Tu veux que j'argumente ? Et bien c'est non d'office. Même pas le mot de passe. Faire sa vie en solitaire, y rêver douceuresement et dans le vent. Pour le plus grand bonheur des passants qui matent. J'y aurai juste cru.
Allez, sans rancune ?
Fuck yourself.
Que tout le monde pense ce qu'il veut. Je m'en contrebranle. Cache.
Je n'y arriverai pas plus.
Je vous emmerde.
Et je fais ce que je veux !
Vendredi 18 août 2006 à 13:50
Non, ils ne peuvent pas savoir. Et il ne sauront pas, ça me regarde !
Ils ne pourront plus. Et puis quoi encore ? C'est ma vie !
AHHAHAHA. Je me gausse, cache mon jeu.
Et bien non. Je ne leur dirai plus rien à ce niveau-là, laisse couler, cons sont cons.
Ne pas s'y fier, ne rien écouter, ma vie continue.
J'en reste là. Espérons que je tienne... Volonté RULES ...
Pourquoi tout leur dire ? Ne pas leur dire.
Ne pas réfléchir intensément.
Bercée par tout ce qu'il y a entre les deux oreilles. Si quelque chose, il y a.
Tout. (Vomi indigeste et laxa)
Vendredi 18 août 2006 à 11:38
Vraiment pathologique, pas trop logique non plus. Savoir, vouloir, ne pas vouloir, ne plus pouvpoir. Légère, virevoltant comme un papillon qui découvre une liberté nouvelle, assumer les formes. Androgynes, robots. Troncs. 15 minutes. Dès le réveil. Prendre les mensurations toutes les deux semAines. Ce soir, re-programme du mardi, re-insister sur les cuisses, la marche les fait diminuer. Des seins qui se veulent plus respectables, soutifs plus remplis.
"Ni trop grosse, ni trop maigre. Tu es normal c'est bien"
Va te faire foutre, ne veux pas de ta normalité, connasse. Garde tes faux compliments et arrête de bouffer des conneries pour te plaindre de ta graisse encombrante. M'en tape de ta vie de beauf'.
S'envoler. Jusqu'au bout des os. Epaules décharnées. Squelette ambulant. Quête invisible. Même pas pour l'admiration, il n'y en a pas. Ni pour leur pitié, infinie. Pour la transparence, qu'on ne me regarde même pas, qu'on évite mon regard, qu'on soit dégouté de me voir. Sorte de pitié moche quand même. Inatteignable, inaccessible. Vous verrez peu(h) !
Dictature de l'image et de l'obsession. Si courant finalement. Le fléau d ece siècle, le renvoi. La froisse, c'est con mais c'est comme ça. On y peut quoi, pas d eretour ne arrière. Même les vieilles ! Des coups de pelle, des coups d emorts. Ca pue la mort. Résultats à long terme ? Des tunes pour les psy. Ne peut pas guérir si on 'est pas malade au fond.
Non pas du tout, je me porte à merveille. Merci beaucoup, mais ca va !
"Ne pas soulager ses pensées" Grosse vache
Plus le soir, ne veux plus de ça.
Pain avec la Puce. Dormage. RDV place du gros bonhomme. Espère ne pas voir le connard de merde. Salopard !
Jeudi 17 août 2006 à 18:58
Ne pas culpabiliser. Se poser les bonnes questions. Plus que le nécessaire pour le métabolisme de base. Craquages encore. Orgie de pain. 2 chocolats chauds. Tomates à midi. 15 minutes de travail musculaire. Se dire qu'on est normale. Norme... Quelle norme ? Les miennes ? Avec tout ce que cela engendre. Juste se rassurer, masi savoir. Echec cuisant.
Demain, journée à coupure, 4h25 le matin, 4h l'après-midi. Fumer vanille et chocolat pendant une heure, lire en solo. Se retenir et parvenir à ses faims. Mouhaha !
5 en un mois, garder le même. Etre une pro-ana sans le vouloir réellement. Première nature. Vouloir rester maigre. Bête en soi. Fléau moderne. oui, complétement ladame. J'assume.
Je les aurai.
Lundi 14 août 2006 à 12:00
Jeûne à Durée Indéterminée. Bouffer des fruits et des légumes pour dire qu'on mange, sans devoir se justifier, ne pas dépasser le seuil de 200 calories. Ne plus s'attacher à d'autres chiffres. Poids le jour du RVD avec la gynéco. Un bon mois. Voir si l'on est capable finalement. Sûre de ne pas tenir mais que c'est bon quand même.
Arrangements avec France Télécom, dossier de réclamations, remboursement sur la prochaine facture et même celle d'après.
Pas faim, pas faim, pas faim, pas faim.
Ne pas engrosser des vaches obèses.
Pas de nouvelle du lycée, rentrée quand ? Pré-rentrée ? Inconnues au bataillon. Classe de filles, torture de deux ans. Faire tâche mais pas que des poufs encore heureux, classe de filles, rester seule, bosser comme une tarée et toutes les dominer, passer peut-être pour l'intello du coin et l'associale en mal de B mais se foutre de leur regard de mijorée qui sont déjà parfaite. Rien à prouver à personne. Accro au taf, perfection physique, musicale et voilà. Plus d'excuses, pouvoir leur crier, le crier au monde entier. J'ai réussi et je vous emmerde !
14 jours encore, environ 90 heures à passer là-bas, puis fini jusqu'aux prochaines vacances. Aujourd'hui 7h. Tenir, ça devient chiant cette rengaine à la chiotte. Et avec le sourire ? SBAM+ de merde et tutti quanti. Putain de merde, peut-être même refuser leur fric de prostitution mentale. Voir après. Penser à son avenir propre pour l'instant. Futur proche motivant espérons. Parait que la vie est rose. Vive les poufs alors.
Dimanche 13 août 2006 à 12:38
QUOI ? QUOI ? ENCORE ?
Prendre forme.
Tenir, tenir. Je ne sais plus. Plus rien.
Le pacte avec la mort. 15 minutes. Devenir ce que nous voulons être. Rien, rien, rien.
Ne pas. Ne pas. Difficile.
Vendredi 11 août 2006 à 11:37
Pas le droit de toucher à l'herbe, que pour nous, exclusivement pour nous, nous, NOUS ! Ok et bah va chier, j'y retouche plus. Soirée, défoncée. Gentilles, loin d'être bêtes, mais à la longue, Fatima vraiment incompréhensive, Marie plus comme moi, partie de cet engrenage. Ne supporte vraiment pas les filles, commençaient un peu à me saouler. Ne fais pas d'efforts, ne cherche pas à me faire aimée, ni connaître. Mais vraiment, rhaaa ! S'arrêter aux cailloux pour les autres, après les gribouXX chéris et idolâtrés. Ne pas essayer de tisser des liens, mauvais vraiment.
Midi : tomates disparue au fond. 4 heures : deux chocolats chauds. Soir : quiche lorraine (trois huitièmes), tomates (deux fois), tarte aux pommes (une demi), pain (150 grammes). Ne gère plus rien dans la normalité. Ne pas céder sur les laitages, madeleines, barres chocolactées, mie de pain, saucisson sec. Entre autres.
Basse trop passive, ne cherche plus, ne progresse plus. Deviens une grosse merde. Suis.
Un corps de rêve en 15 minutes par jour. Vais vous niquer. Je veux froler l'inaptitude. Malade dans une enveloppe pas fraîche. Pourrie et sale. La dénuder de toute impûreté, de tout pli graisseux. Se sentir mal dans cette chose si matérielle qui porte mon âme. Reflet de ce que je suis. Rien, vide, sèche, jaune, molle. Juste une personnication 3D de l'esprit, qui cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite ... Pas une minutes de repos, penser penser penser penser penser penser penser ... A chaque instant. Chaque remise en question, chaque question, chaque réponse, existentielle. Abrite de nombreuses inutilités futiles. Se venger sur l'ingrate chaire charnelle qui doit te composer. Oui, c'est le corps qui prend tout. Tout. Le supprimer, devenir encore plus transparente, que l'on ne s'intéresse pas à moi. Qui le voudrait, arrêtez s'il vous plait. Choisir une vie sans complexité, ni complexe, sans adipeuse texture. Se forcer à croire que ce n'est pas compliqué. Voudrais vivre sans cela, vivre au jour le jour, si simplement,comme mes clameurs peuvent le crier. Facile à dire, d'être consciente. N'y arrive pas. A cause d'un chromosome ? C'est si difficile d'y croire. Obnubilée juste par une chose, tout voir par rapport à cela, appréhensions certaines et constantes de manger. Ne pas nourrir cette organisme d'imbécilités vitales. Soutenue moralement et sans comprendre par Gribougnoute pour s'en sortir dans l'autre sens. Unie avec, aidée par Mimi-Cherry, soeur idéale. Etre deux, seul moyen trouvé, seul existant ici pour accéder à. Nos rêves soumis à et détruits par la réalité. Mais. Nous serons ce que nous voulons être. Nous le serons !
Putain Cherry,
reviens,
surmotivée mais craquages.
Craquages.
Je suis perdue,
je n'arrive plus à rien.
Me manques.
Me fais tenir.
On est deux,
encore heureux.
Mardi 8 août 2006 à 22:28
La zizanie dans mon esprit, ça ne suffit plus. Il faut aussi embrumer celui du voisin de lit. Amour bestial. Trop d'engueulades. Insupportable pour nous deux. Mésentente cordiale. Tensions et appréhensions quant aux conversations. Ne tiens, tenons, plus la barre de notre petit navire amoureux. Besoin de te parler Mimi-Gribou. Sabotage amoureux. Ne rougis pas, entends mon appel [...] La suite nous la connaissons tous les deux, toujours d'actualité dis-tu. J'aurais aimé t'écrire le beau des poèmes, te dire que la vie est belle.
Du mal à me parler. Toujours. Maux sans mots. Tes peurs, notre futur, tes lourdes phobies. Suis le centre de. Tu es le mien. Je n'y croyais plus. Incompréhensions verbales, capacités à blesser de par les mots. Injustement. Non, la vie n'a jamais été juste Loute. C'est ainsi. Les utopies...
Vouloir cette maîtrise, s'y mettre à deux. Ne plus hausser la voix, ni mettre un mot plus haut qu'un autre. Notre vie, rêve. Nous sommes grands, responsables, capables. Forts de tous les deux, efforts de tous les deux. Création artistiquement sublimissime qu'est notre union. Cependant...
Cependant ! Tu as peur et tu as raison. Ras le bol généralisé, à bout de forces, pullulement de mauvaises pensées. A pardonner si tu le sais.
Nous serons Nous face à Nous-Mêmes. La vie n'est qu'un éternel combat. Invincibles. Ressortirons intactes et plus forts encore. Te le jure comme je t'Aime. Sache-le. Tâche de ne jamais l'oublier. Ne veux ni te perdre, ni te faire de mal. Pardonne mes crises contre moi, mes frayeurs, nos divergences. Ca me regarde... Ensemble, nous serons forts. Le sais. Saurai. Savons, saurons.
Pas de déclaration d'amour, suis nulle pour cela. L'intention y sera toujours. T'aime dans la plus grande justesse. Pas douée pour l'écrire. De toute façon, il n'y a pas de preuves d'amour. TOUT EST PERCEPTION ...
350g de pain bouffé, crise du soir en plus : 2 merguez, semoule, fromage-pain, 2 tranches de saucisson, des concombres, un grand bol de chocolat chaud. Bien, tu as compris mon manège, connard.
Mardi 8 août 2006 à 20:35
Tu crois quoi ? Que tout est rose parce que je te souris ? Que je suis vraie dans mes actes et que je ne me pose pas de questions ? Et bien non, mon cerveau est en constante ébullition si tu veux savoir. Tout est raison à l'interrogation. L'image, la communication. Apparence trompeuses, je te l'affirme. Tu le sais toi. Certes, j'ignore comment vivre la vie avec simplicité, sans questionnement permanent. J'aimerai que tout coule de source. Je n'y arrive pas. Je compte trop sur le regard de l'autre. Je ne veux pas décevoir. Est-ce ma faute si je ne me suis jamais sentie à la hauteur ?
Rien à voir avec la taille, certitude absolue, pas un complexe, avantage notable. Ce n'est pas l'estime, je sais ce que je vaux. C'est le fait de se sentir observée, sorte de paranoïa ambivalente qui engendre une destabilisation du soi en ne cessant de se comparer. Non-confiance en soi, infernale sensation d'infériorité, de quête de perfection, de sentiments de ne pas convenir. Sortir du lot, en être fière devant autrui, assumer difficilement. Excellent paradoxe car se sentir d'une banalité pesante.
I'M FUCKING LIFE.
Jeudi 3 août 2006 à 10:00
Chéri, t'es vraiment drôle quand t'es défoncé.
Travail de merde. Plus de patience. Défoncé hier, même pas touché à l'herbe, même pas un verre. Et oui, "j'ai une fille qui boit pas" et c'est comme ça. Poids indicible. Jeûner, jeûner, jeûner, retrouver la volonté perdue. Comme un bébé jetté à la poubelle, plus de sens. Oui, je suis compliquée, oui je suis conne, oui j'aime faire couler mon sang. Non, je n'arrive pas à vivre sans me poser de questions. C'est comme ça. Plus tard, je serai dépressive, sous Lexomil ou autre connerie du genre, maigre comme un coucou et mes enfants auront pitié de moi. Je regretterai une jeunesse vécue sous le signe de la préoccupation de l'image que je renvoie, de la non-spontanéité, d ela torture d'esprit et de l'imaginaire hypocondriaque.
Voilà, mais je vous emmerde. J'ai rien d'autre à foutre qu'à penser.
Vivement le mois de septembre.
Windows Live Messenger, ça plante et le design est merdique.
Me sens seule. Oui, en plus elle a besoin d'être rassurée la grognasse.
Mardi 1er août 2006 à 12:15
Des irritations, gratte, gratte. Aussi élégamment qu'un mâle. Basse, basse, basse. Nouveaux morceaux, du mal avec les tablatures, nulles, vive Guitar Pro. Tripper quand même. Reste stoïque, efforts sur soi-même progresser. Réfléchir avant de parler, ne plus être aussi maladroite. Puis physiquement aussi. La totale.
Voilà. Juste mot, PROGRESSER.