sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Vendredi 26 mars 2010 à 13:04



Lipdub en cours de montage. Façade presque totalement post-itée par notre équipe de 13. Les profs qui se demandent qui a fait ça, qui saluent la performance : s'exprimer sur un mur de l'école, performance éphémère, revendication silencieuse mais visuelle. Et l'administration cherche le prof responsable de cette intervention. Quelle bande d'âne. Impost-it n'est pas ti-tosp ! After at home et ginguédélires sous THC. Chess le chat au sourire. Et le Hater. Encore des portes ouvertes mémorables. Et ce n'est pas fini. Demain, le must du must. Et ce soir, soirée psyché à CorentinC.
Viendront à la Gare AG, quatre gorilles sur un mur en collaboration avec A, P² et C. Des collaborations qui fonctionnent. On s'occupe l'esprit. On s'occupe l'esprit. C'est tellement sympathoche le boulot en équipe. Des projets en communs, du partage, du délire. Et du bon temps. Parce que non, je ne viendrai pas chez toi.



Mercredi 24 mars 2010 à 9:30



Finalement pas si pire que ça. Installation des Portes Ouvertes, responsable de la section graphimSe. A 18h, défendre un projet même pas embryonnaire. Se munir de carnets, et crobars. V. est vraiment chelou : je vais me ramener avec mon gun.
Je rattrape peu à peu mon retard. Prends même un peu d'avance. Motivée. Reste le catalogue.


Mercredi 24 mars 2010 à 1:50



80. Chiffre de l'année.
Arrête ton char, y'a un stop pas loin.



Dimanche 21 mars 2010 à 15:10



Réconciliation pianotale. Les Gobelins. Y retrouver une cousine perdue depuis 7 ans. Et se réjouir de l'avoir à longueur de bras. P² futur coloc. Motivation enclenchée. Ca bosse, ca bosse. Le lip dub va nous prendre du temps. Et j'attends la photo de mes sisters. M-A. a des lunettes, et parait que c'est une putain de folle du crayon. Espérons que ça se passe au mieux. Je croise les doigts...



Mercredi 17 mars 2010 à 17:30



D'abord la synthèse.
Et pour le book, rien que ça :
(Ed) Eoh Ming Pei. Catalogue, Spielberg. 
(TdR) Types d'impressions, types de papiers ou finitions.
(Gr) Chaumont. MIP. CNAC. W. Autoportrait.
(Info) Logo + catalogue.
(EP) Nutation. Disparition.
(Pub) Michoko. Gif. Kiss Cool. Façade.

Même en revenant comme un cheveu dans le pâté, 3 entretiens. "Je retourne ma veste. Toujours du bon côté". BTS blanc quand Dad débarque, 2 oraux. 3 semaines pour tout faire et continuer d'avancer. Si je suis pas dans la mouise, je suis bouchère. Ne pas vaquer à l'abandon. "Favorable" pour les capacités. "Doit faire ses preuves" pour l'assiduité et ce joli mois de grève payé. Si c'est pas injuste pour les autres, je suis encore en BTS l'année prochaine. Si j'y vais, je reviens version puzzle chinois. Et si d'abord moi, puis après nous ? On a du temps après tout. Puis s'investir ailleurs, c'est fun.



Dimanche 14 mars 2010 à 20:32




Comment N. a pu croire une seule seconde que j'aurais pu dérober B. ? Un comble ! Drôle de façon de se rendre justicier. Un acte inhumain perpétré par une/des personne/s inhumaine/s, probablement un/des extra-terrestre/s. On ne peut rien contre les extra-terrestres et leur lavage de cerveaux. Note que moi, je m'en lave les mains avec du savon : rien vu, rien entendu, comme lobotomisée. Tiens donc pardi ! A SherlockNomz de mener son enquête.

Finalement, bosser pour Aides et se refaire un compte en banque, si jeudi est positif et la petite voix à faire taire.
Probablement une licence pro. Tu vois, le culturel ou l'événementiel, ou l'art, la CV. Profiter des mois de stage. Retarder après avoir testé, même si le coût en aller-retour. Tenter le coup quelques mois, revenir en trombe, ou pas. A CR/M, dilemme clair. Pas d'aventure ou se planter comme un arbre fruitier. Si c'est pour revenir en tout petits morceaux que je mettrais trois plombes à recoller. Se convaincre que. Marrons-nous, mes chataignes, à nous protéger de tout, et de nos pensées passionnées, pour modérer ce qui pourraient nous être fatals a posteriori. Fataux. Concept con qui évite les retombées sans parachute. Quoi ? De la peur ? Mais non voyons, pas du tout.

Ne penser ni au futur et passé proches, ni plus loin. Très égoïstement. Profiter le plus possible. Juste organiser  l'après, quel qu'en soit l'issue. La prévention contre l'appréhension ! Mouahahah, avec mes rimes riches à deux balles, je vais finir par devenir une médiocre concepteur-rédacteur milliardaire. Tant de modestie.
J'économise les locutions.

 

Dimanche 14 mars 2010 à 12:22




"Je te laisse, j'ai une séance photo". La phrase pour se la donner grave. Puis un "On a fait les sélections avec les gars, mais il reste beaucoup de boulot : faut qu'on retouche les séries." On a improvisé un studio avec des draps blancs, on s'est désapés, puis avec le carton, on posait comme des néophytes. On s'est, bien-sûr, bien marrés. Out bijoux, out tabous, out complexes. Avec nos éclairages improvisés mais efficaces, et de la poudre sur le nez. Le chat qui se la pête, qui vient troubler les plis du blanc coton. "Viens dormir, tu n'as pas fini ta nuit de 18h mon ami." On s'investit et on kiffe. Leur affiche made by us, girls, sur la table, demain à midi. Donc aujourd'hui futur proche,  ça sera moins drôle, quoique : des conférences MSNiennes en live de chez Mat pour arranger la com au cas où, file moi ta connexion, et se charger de ce qu'ils n'auront pas le temps de faire. En somme, moultes collaborations efficaces.

Des filles qui s'effacent. Je trace, je trace. Une séance photo, le mur de la GareAG. C'est aussi simple que complexe de ne pas se poser des semi-remorques de question. Mais appréhender tout ça avec un tel détachement... Comme quoi, quand on veut. C'est fou d'être hermétique à ce point à tout ce qu'il se passe. Et tellement jouissif de ne garder que le bon, l'instant. C'est sûrement ça d'être heureux. Le carpe diem qui prend tout son sens et comme une envie d'écrire des chansons. Ne me demande pas de justifier.

La soirée qui fait du bien. Un peu alcoolisée, et Mum qui s'endort, comme à chaque fois. Dans les bras de son mec, c'est le changement principal. Parce qu'à table, again, elle m'a pleuré dans les bras, et c'était parce qu'elle est heureuse.  Alors c'est forcément contagieux. Y'avait Joyce et Pipion, qui relataient à Lolo et Yo les années 80, quand mes parents étaient jeunes, des souvenirs bien éthanolisés avec un soupçon de THC. Le bon temps. Mais bizarrement et pas étonnant, un reflet du nôtre.


Mais sans transition et tant que j'y pense, si t'as du temps Chérie, clique sur le lien ci-dessous, et fais un geste pour la nature. Et puis, ça aidera ton porte-feuille. Voilà, ça c'est fait. --> http://www.lunacopine.fr/


 

Mardi 9 mars 2010 à 23:29



Putain Chérie, je perds la tête, je remets tout en question et j'suis paumée. Ca fait juste du bien de le dire. Alors demain... Je retourne en cours ? Je me gâche en n'y allant pas ? Je suis folle ? Je pige que dalle. Et après-demain ? Un diplôme ? C'est quoi ce choix de merde ? Un choix de merde ? En fait Honey, t'as raison. Ce n'est pas raisonnable. Et y'a la famille aussi. I'm just a bloody bitch. Et ça meule grave là-haut. Une putain de girouette pendant la tempête, gaffe au décollage. La rétine qui part avec. Un putain de girouette.


 

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