sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Jeudi 29 janvier 2009 à 19:09



+
Anglais : rendre les commentaires de textes.
Mode : continuer le sujet.
Espace : développer l'idée et modifier les coins.
+
Communication : rendre la planche sur les fruits.
Produit : rendre le dossier pique-nique.
Maths : devoir sur les équations du premier et second degré.
+
Couleur : avoir fini les huit toiles.
DA : rapporter les documents nécessaires à l'avancé du story board.
Anglais : préparer une seynette de cinq minutes à jouer en cours.
+
EP : rendre les grands formats et le carnet de recherches.

Du taf plus que de temps pour le faire. Le week-end sera absolument très chargé. Pas de repis.
Et puis... Puisque c'est ça... Que le silence vaut tous les murmures. Et bien, comme sur l'album du même nom, SILENCE.
"Don't worry, be happy. Salut tout le monde. "
"Jolie conclusion, merci."



Mercredi 28 janvier 2009 à 0:12



Cinquième fois. Un peu trashounette. Je fais une fixette sur les dents et les touches de mon clavier sont pitoyables. "Phinou, t'es un super canon ! "
Il faudra se remettre aux figures de style. Le fractionnement des phrases est incompréhensible. Désolée ou pas. Plus de merde dans le paquet de tabac. Ca sent le réinvestissement proche. Ou pas. Les chiffres sont maudis. Et moi encore plus. Quelle cruauté.

Le 24 février, soirée open bar chez les goulous. Invitation VIP. Lorenzo et Sylvain, à connaître, à découvrir. Et la C qui flottera, baptème de l'air. Faut que j'apprenne à mettre la bouche en coeur, pour la classe internationale. Puis voir. Camionner. Ne pas faire le coiffeur et les frisettes s'installent.
Interros d'ATC et de français ou la récurrence. Alors s'y mettre comme on peut. Arrache moi les viscères, j'aurai l'air mince. Et tranche l'arrière. Pas de si avec les ré, il faudra lui répéter encore et encore. Many angels.
Un week-end à Tours et les larmes qui reviennent encore. Crise d'expression. Alors Laurence G. prof de mode en pleine compréhension. Un laché de ballons ou brûler un cierge, parce que la conscience me court après. Ou un autre symbole, on l'aurait appelé Truc. Ou Chose. Mais ce ne sont pas des prénoms courants. Pas en marche, se reprendre et se consacrer au travail, concentration extrème et tester, s'investir. Je comtemple les cernes, les cercles et m'interroge. Est-ce si difficile ? C'est une aide au sommeil.
Je ne craquerai pas. Parce que je vaux mieux que ça. Encore deux ans et demi à fond. Puis plus tard, la même. Le solo au clavier est plutot ouf. Ca donne envie. Une sonateau clair de lune fraîchement et franchement interprétée. Je voudrais reprendre la musique, ou faire l'art martial. Les yeux troubles. Je divague  l'extrème, savoure l'amitié et la complicité. Et ne pas se savoir seule. Quoi qu'il arrive. Même si on est toujours seul face à son miroir, c'est une chose d'assurée. La couleur de la pluie et l'odeur du soleil. La brulûre si souple, ravivant les flammes.
Je retourne à Tours samedi. Voir le 'ion. Pour en profiter réellement. Nous savoir ensemble et partager l'instant, les retrouvailles. Si ce n'est un beau moment, que serait-ce. Ou bien. Bien.
Le menton. Menteur. Mater. Or, un pas est un pas Il y aura toujours un bouc émissaire, tant que la tête change et que les boutons s'actionnent. Les mots commencent à sortir, pour qu'on s'améliorent socialement. Et en apprendre sur soi. Ouvrons les oreilles, les yeux et l'esprit. Ce qui compte au final, ce n'est que tout ça, dans son immense complexité, mais si passionante. Voyeur averti de sa propre vie ou engagé dans l'évolutiion. Ne stagnons pas et au progrès. Je sais ce que je suis. Je sais ce que je ne suis pas. Et comment ils me voient, comment tu me vois, comment on se voit, et bien... Faudra m'en dire un peu plus. Que je saisisse et agisse. Sérieusement, il le faut. Merci mes inconnus d'amis. Camarade. (Je veux un tee-shirt des Sex Pistols le jaune pochette Never Mind The Bollock. Euroshima, vos slogans font effet. Avorter, c'est résister sur la poitrine et voir leur gueule en le voyant, ce serait drôle. Piqure de rappel. "Le salaire, ce n'est que l'esclavage prolongé", Chateaubriand.

Hors-la -vie.
Un sexe-un-cerveau-deux-raisons-de-se-suicider.
La vie n'est pas désespérante, elle est ridicule.
Le-pouvoir-d'achat-c'est-choisir-ses-chaines.
Choisis-tes-chaines-la-télé-commande.
Aussi fataliste et pessimiste, j'ai pas trouvé. Mais outre le pathétique, et oui, c'est drôle, comique. Alors rions. Parce que j'ai la pêche. Malgré le manque de repos. Y remédier tout de suite.




Jeudi 22 janvier 2009 à 22:22


Ci-gît un cliché morbide de gros thon cellophanant un de ses congénères dégénérés. AMEN.
Préparation de Sylvette en homme cellophane et
ambiance rouge par les filtres sur les lampes.



To bi or not to bi. Goulou or not goulou ? Les Jackasses et les 3W. Se faire draguer par des Mamans. La mission suprême serait de faire rencontrer une Maman à la Mienne. Les hommes sont des salauds ou des couilles molles. Même si c'est pas systématique. Je revois Gros samedi sûrement. Grosse race de prévue. Parce que je ne bois jamais. Alors autant se faire plaisir. J'ai gardé de quoi fumer un tout petit peu, de quoi m'envoler. Bref, envie d'Une. Pas quoi faire. Se laisser tenter à draguer une diablotine ou rester sage et responsable. Et ne pas défaire ce petit couple modèle. Je sais, j'ai le don de tout gâcher. Mais à 21 ans, si je ne cède pas à mes envies et mes désirs, quand est-ce que je le ferai. Puis une fille, ce n'est pas tromper. Ce n'est pas une bite à ce que je sache ? C'est le brouhaha dans la tête et je deviens fructivore. C'est du n'importe quoi. Mais il faut résister. Ne pas grossir, rester comme une conne qui s'engraisse.

Je dois faire mon deuxième thème en EP. Les silhouettes des morts sur la route avec des contours  cousus à la machine et les fils pendants comme des morts. C'est le bordel et je crève d'envie de fumer. Mais j'ai l'EP et la couleur à faire. To vomit or not ? Une falafel dans le meilleur falafel du monde. Puis Les Etages, s'y installer et parler. Avec Cyrielle, la tactile. Son mimi petit couple et son côté protecteur. C'est assez marrant de se voir toutes les trois. S'y croire comme au Grand Max et la nostalgie des bédos du lycée fumés allégrement devant un verre d'absinthe ou un punch délicieux. Puis les réformes anti-fumeurs. La même ambiance, pas prise de tête.

Ne plus jouer en groupe me manque plus qu'il n'y parait, ne vous y trompez pas. Je suis d'humeur joyeuse ce soir. Un bédo et du taf. Il faut que je boucle tout cette nuit. Tant pis pour le modèle vivant de demain. Je le baclerai ou me shooterai au guarana, à la caféine et à la vitamine C. Au pire, je prendrai un peu de codéine avec un café serré. Si c'est nécessaire. Un week-end sans voir ma SuriAlissa, ça va être long. H est persuadé d'une relation sérieuse non assumée entre nous. MOUAHAH, quelle crédulité. Ah, Alissa !

Et puis je vois le Coin dans moins de 24 heures. Ca va faire du bien ça... So good.... Héhé, je suis lunatique mais bon. Je rigole pas mal. La drapé du dessin aca aujourd'hui. Pas trop mal et grande hésitation entre les deux. Les deux sont donc chouettes et j'en suis fière. Ca fiat plais. Au moins quelquechose que je ne loupe pas dans ma vie : ma scolarité. Et finalement, ces amitiés tissées avec des inconnus de la classe. Qui l'aurait crû ? Surprise pour tout le monde. Nous somme des unijambistes peut-être... Mais nous sommes tous des béquilles. Et la fusion des talents est supérieures à leur simple addition. Alors, en silence toujours, je jouis de ces moments intenses, ces complicités sympathiques et de ces sourires francs et lachés. Si moi je ne m'aime pas forcément. Et encore, juste quand j'y pense, et ça se fait de plus en plus rare. Je peux affirmer, que JE NOUS AIME. Les Suris. Et les autres. Ce week-end va me réveiller. Si vous saviez comme j'aime ça....



Jeudi 22 janvier 2009 à 12:01



http://sidvicious.cowblog.fr/images/Mythiquescrennsepia.jpgA quoi cela servirait-il que je vous dise ce qu'il se passe en moi ? Le changement m'est difficile. Je suis in et out. Je suis tout et rien. Je suis ce que je voulais être et ce que je n'aime pas être. Finalement, tout est prétexte à se casser la gueule. J'ai l'air fort. Genre la fille optimiste. Le blues Condé, ils ont dit. Mais que dalle, Messieurs Dames. Je change, mais vous ne voyez pas. Je suis en manque du 'ion. Je suis en manque de moi, de motivation, d'entrain, de joie. Ca te lourde ce coté taciturne, je sais. Je ne suis pas une fille drôle. Je me sens seule. Différente, complètement à côté, complètement spectatrice de moi-même.

Qu'est-ce que je fous là ? Vers quoi je me destine ? Même pendant nos soirées mystiques, j'a l'impression d'être une tâche. La gueuse qui empeste. La grosse vache lourdingue. Aucune personnalité, terre-à-terre. Et incroyablement plate et conne. Je vous emmerde. Je ne vous demande pas de croire que j'ai des qualités. Je demande que dalle à personne et les compliments bidons, je me torche avec. Et non Bat, tu n'es pas le centre du monde et surtout, je n'ai pas une allure de punk. Parce que je mets des docs, je serai une punkette ? Mais tu rêves Coco ! Range tes idées de merde et tes préjugés à la con. J'ai envie d'être seule. Qu'on me laisse tranquille. Peinard. Je n'existe pas. Je veux disparaître. T'aurais pas une forule magique ?


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Lunatique, certes. Mais la fatigue ennivre. La peur de mal faire, de l'image et tout. Vous ne vous rendez pas compte. Je suis retombée dans le cercle de merde. Je ne eux plus vivre sans bédo et je n'ai plus de thunes. Pas d'endormissement le soir, sans bedav. Pas de transplanage. Je n'assume pas et fait semblant. Je ne ressemble à rien. Oui, je, je, je, je. Que voulez-vous. Je ne suis pas une fille fréquentable. Je suis la petite grosse. Et je leur en veux d'être belles et minces. Si vous saviez comme je suis insignifiante. Alors oui, c'est moi qui te connait le mieux. C'est toi qui me connait le mieux. Mais mes silences me rendent les choses faciles. J'aimerai ne plus jamais parler. Ou si futilement, si impersonnellement. Je suis conne. Et j'ai peur des psychoses blanches. Peur de moi-même à un point inimaginable. Et je sais que si je mourrai, personne, ou presque, ne s'en rendrait compte.










http://sidvicious.cowblog.fr/images/SMNB.jpg
J'ai quand même passé une bonne soirée mardi. Transformer la pièce principal de l'appart en studio photo et cellophaner le pauvre Sy. Puis la première séries à faire les cons, Les 250 photos. Et le plâtre qui achève. Alors jouer avec le cutter et se couper en même temps que la matière qui te fait souffrir. Me suis sentie grosse et pas à ma place dans ce monde. Le plâtre révèle bien des choses. Et voir ces corps si bien foutus. Ca me fait badder. Bref, ce fut quand même mémorable et les mots n'ont pas de sens. Dans la publicité. Les stickers, les sado masi et Ken Marcus. Salut c'est Alf, Tu n'es plus un chat, tu es une madeleine. Bref. Moi je suis un gros thon. Et j'assume pas, mais on s'en fout et ça serait stupide de la dire. Alors je vais assurer en cours et tant pis pour le temps. Fuck and brouik. Je m'aime.




Photos : trois de notre série "Essai" la belle AlisSuri en blanc (!!), le grand Sylvette, et le truc qui me sert de corps.





Dimanche 18 janvier 2009 à 13:57



http://sidvicious.cowblog.fr/images/Doubleje-copie-2.jpgDouble Je. Thème n°1.



C'est fou comme les gens ont peur des mots. Le contre-coup de "ce qu'il t'est arrivé". Mouahaha, avoir peur des mots ne change rien à leur sens. Suggérer une idée est parfois pire. A bas les euphémismes, soyons fort face aux mots, bordel !
IVG, attouchements sexuels, adultère et tout. Mais c'est quoi votre problème, bande de cons ? Vous croyez que j'ai peur des mots !! Mais changez d'idées. IVG IVG IVG, foetus, avortement. Non, ces mots ne sont pas tabous. Le passé est derrière et le contre-coup oui, et bien j'y peux rien. Je chiale sans raison. Et c'est tout. C'est le contre-coup de ça et le sujet de merde d'Expression Plastique : Double Je. Exprimez votre troubles, vos traumatismes, gniark. Et ma mains dans ta gueule ? Et puis quoi, toute technique mais non ça va jamais ? M'en fous. J'ai validé un thème, qui est tout sauf moi, mais je ris. Quoique si, c'est moi. Mais AHAHA. Alors oui, depuis deux jours, je chiale sans raison. Les souvenirs remontent, amères. Puis le corps exprime son manque de foetus. Je t'emmerde, corps. Tu fonds et c'est tout ce que je te demande. Consomme les graisses et tais-toi. Avec la fatigue et la pression que je me fous. Et puis cette remise ne question de la sexualité. J'ai envie d'une fille. Oui, j'ai envie. Juste pour baiser. Pour se caresser, pour qu'on s'aime le temps d'une nuit. Voilà. Tu sais tout. Bah pourquoi tu me regardes plus dans les yeux ? J'imagine trop la scène.

Alors tout ce chamboulement, oui ça me fait pêter un câble sérieusement. Mais je ne me voir pas vous dire, les copains : mon subconscient se rebelle : entre les attouchements qui font que ma peau pêle, que j'ai froid dans le dos, que j'ai tué un truc même pas conscient d'être vivant, que je suis bi, que je suis anorexique-boulimique oui, mais pas guérie tout à fait et que j'ai peur de pas passer en BTS. Oui, j'ai peur de foirer mon année. Mais OUI, je SAIS que je fais partie des trois premiers de la promo. Et puis ? Ca veut pas dire que je peux pas me foirer. Vaut pas se reposer sur ses lauriers et je suis pas comme Bat le chouchou des profs. Moi j'ai du mérite. Un minimum, je le sais. Je taffe, je suis perfectionniste et e vous emmerde bien profond. J'aime juste le boulot bien fait. Enfin bon, on s'en fout de tout ça. Ca va mieux un fois qu'on sait ce qu'on a.

Pour le deuxième thème d'EP, je pense me mouler les seins, les deux mains, une oreille, le visage, un pied, les hanches et sur le moulage je mettrai des cure-dents, du barbelé, grillage, circuits imprimés et tout le bazar. Je ferai un truc glauque comme elle aime. Mouahaha. Toute façon, m'en fous qu'on voit mon corps, même en plâtre, j'ai retrouvé un peu de ma normalité. Je ne suis plus seulement un gros dindon. En fait, j'me voile la face. La sculpture, c'est le moyen de ne pas avoir à faire de photo. Sinon je ferai un truc trash genre performance : me faire saigner ou un truc qui pourra grave les géner tous. HAAH. Moi j'suis con moi. Faut que je trouve des idées. Et oui, je suis une fille fière de ses conneries.
En attendant, je n'ai toujours pas fait mes 30 modèles de modes dont 15 créa et 15 de Vivienne Westwood, ni ma grotte de maquette que je pense faire en pâte a sel mais que ca va foirer avec les 2 ou 3 vues en perspective que ça va être chiant à faire, ni la couleur selon Monory où je vais perdre 10 points pour le retard. HAHA, mais ça va être rigolo aussi.

Bref. J'ai des castors sur la planche à dessin. Ciao les amis et en route vers de nouvelles z'aventures.



Samedi 17 janvier 2009 à 1:39




http://sidvicious.cowblog.fr/images/Drape.jpgDrapé réalisé en 4h ou presque de cours de dessin académique.



A fleur de peau. Pête un câble, je m'auto-stresse beaucoup trop pour les cours. A bout. Puis la baisse des entrées alimentaires, les courtes de nuits. Au bout de mes limites physiques. Puis la venue quotidienne de la fumée. Encore un ce soir. Finalement pas de comptage pour ça. Ca ferait trop. Le goût du tabac à la fin du stick m'est particulièrement désagréable. J'aime quand ma tête n'est plus apte à comprendre. Que tout s'emmèle suffisamment pour que je n'ai plus à faire les liens. Une toile compacte de pensées avec une trame d'idées différentes, d'étâts totalement opposés. Et c'est la confrontation. Tout est dérangé, le bon comme le mauvais, mélangé, avec son contraire. Voilà ce qui m'y colle. Get high. Partir dans l'univers inconnu. Le brouillard. Alors laisser les mots venir comme ils peuvent.
En cours pleuvent les sécrétions lacrymales. A un instant près, tout est chamboulé dans l'esprit et c'est la décadence. Alors, ne pas aller fort ou bien, ou tout autre chose, m'est totalement indifférent. J'ai eu hier le calin de ma Maman. "Ca va pas fort en ce moment, j'ai l'blues." C'est le début de l'année. La chaleur et la compréhension. Dans l'ambiance Condé, j'ai la bonne humeur. Une certaine satisfaction. Un sentiment rassurant de ne pas perdre de temps et d'avancer. Mais cette période. Est-ce l'hiver, le froid, les vacances, une prise de conscience ? Tout se suit, tout s'enchaine et se déchaine. Un rien devient un tout. Cette histoire de secret, qui suis-je, qu'est ce que je veux. Je me sens hésitante et démotivée. Affreusement terre-à-terre et cartésienne. Je suis perdue. Cocoonée par l'Art, descendue par ma vision des relations humaines. Une classe géniale. Et se sentir si différente, comme incompréhensible. A quoi cela servirait que vous sachiez ? Les regards en biais. Comme la survivante de sa conscience devant l'assassinat...

Le foetus. Un autre thème d'EP. La destruction. De soi. De lui, de il, de nous, de vous. De tous. J'ai peur des psychoses blanches. Pouvoir avoir la pulsion suicidaire de sauter sous la rame. Je n'arrive pas à exprimer mon insupportabilité envers moi-même. Je n'accepte plus rien. Ce corps destructeur. Destructuré. Je me perds. Me et vous demande. You don't know me. Quelle serait ? Je ne sais plus. Le tuer et moi avec. Trois lettres. Et je vous emmerde. La rage et la colère. J'en n'avais pas assez ? Ma respiration se saccade. Ni assez de mots, assez d'oreilles entendantes. Vous ne comprenez pas ? Non ? La façade s'estompe, le masque s'éclaircit, la véritable nature revient. Mais quelle est-elle ? Cet état sournois et dépressif ou l'optimisme rassurant ? J'aimerais croire que la seconde proposition l'emporte. Je ne sais. Ne suis rien.  Pas, plus. Ou quoi ou qu'est-ce ? Se passer ? Rien. Je ne retrouve plus ma forme initiale. La grosse fille enceinte parmi un tas de nanas bien foutues.
Etioler trop. Les fantasmes, pour les rêveurs. I have a dream. Le charisme et la personnalité. Retranscrire. Renverser et imaginer. J'ai besoin du 'ion ou d'autres corazoniens. A côté de la plaque. Psy-analyse-de-l'oeuvre, l'histoire. Ris, tant que tu peux. Les filles ont quand même des drôles de modes de réflexion. Les sentiments bizarres et les réactions en chaîne. Ne pas saisir les nuances n'est pas bon. Il faudra y songer. Vers où je vais. Bi ou quoi ?

Je ne sais plus de quoi je disais. Les yeux peinent et la tête aussi. So closed. Le temps est venu. Il fait drôlement sombre. Pas rose. Rouge. Rony Horm, Kiki Smith. L'inspiration du sujet. La vue se trouble. Les mains tremblent. Des vagues qui remuent le crâne et retrournent le cerveau. L'effet escompté et les sysnapses en retard. Emission, transmission et réception mal assurées. C'est dire. Détestez-moi.



Vendredi 16 janvier 2009 à 0:56



No comment. 1200. Et oui. C'est reparti. Dis, tu veux de moi comme avant ?



Jeudi 15 janvier 2009 à 12:36



Hier, ce fut la troisième fois. J'ai le blues et du boulot en retard, ce week-end ne sera pas de tout repos. Bref. Tout n'est pas noir. Suis.


Lundi 12 janvier 2009 à 23:47



Deuxième fois de l'année.
Regain de motivation et semaine calme pour ratrapper le temps perdu de la semaine dernière. Ce soir est une abomination. Mais j'assume. Je suis Zack et j'iame Aerith. C'est comme ça dans l'esprit d'un psychopathe. Tududududu. Fumuj and Mr Oizo. YO.



Lundi 12 janvier 2009 à 0:51




Ce lieu n'est pas beau, ni bien écrit, ni obligatoirement commentable : chacun dit ce qu'il veut quand il  veut. SIlences acceptés, parlotte aussi.. Et j'écoute. En rien ce n'est un exercice de style. Un chiotte virtuel. Un bedo virtuel.
Merci Anne, Anorchidea, Athena_, Lyli. Merci. :)

http://sidvicious.cowblog.fr/images/Aufond6.jpgAu fond, dessin n°6, par Gaëlle Chotard, ma prof de dessin académique et modèle vivant.



Sexed up. Je crois ne pas pouvoir m'en passer. Ou plutôt si. Mais pas vraiment.
Petits secrets. Be. Not to say. Under the skin. Je pense. Joue avec la Yam. Day after day. Slowly. What about ? A better way. Je n'aurais aucune raison de me plaindre. Ca me blase de ne pas avoir de raison de me plaindre. Aussi stupide soit-ce.
Le travail avance doucement. Cette semaine geekesque va laisser passe à la studient. Mode, produit, couleur, EP en retard. Mais bon, un peu de travail. Les rêves intéressants.
Et JE deviens inintéressante. Trop changé. Le dynamisme s'est tassé, la dégénrescence est partie. Je suis sérieuse, discrête. Gentille, confiante. Ordonnée, organisée. Fataliste et optimiste ? Ce n'est pas moi tout ça ? Plus de rage, de moteur. Ma nature anhilisée par l'Art, le vrai, l'Appliqué. Je suis ce que je voulais. C'est ça être grand ? Le je m'enfoutisme le plus total : impossible de me faire chier. Je fais ce que j'ai à faire : bosser, faire des recherches, boire des chocolat en terrasse en parlant avec des Suricates. Je suis ce que je voulais être. Et ça me fait tellement bizarre.
Même les TCAs. Ce n'est pas un "ça me manque". C'est bizarre de ne plus vomir, de ne plus (trop) compter, ni jeûner. De ne pas faire attention, en se disant que c'est la vie mon p'tit, c'est pas dramatique et vaut mieux faire envie que pitié. Mouais. Le corps est graisseux et l'anniv de Chachou dans 2 semaines. Des améliorations, mais pas assez. Je perdrai petit à petit. Comme il faut. Puis rester à un IMC de 18,5. En faisant du sport.
Le pire, c'est que là encore, je ne m'en fais pas. La pluie tombe chez le voisin. La vie passe, le temps se perd et je reste sans émotion. Juste la fierté de bien travailler et d'avoir un début de vie sociale par ces retrouvaillES et trouvaillE d'amis. La sensation est bizarre. On me voit comme avant. Juste que. Je sens la différence. Où est-elle ? Je me sens jaune et terne.  Pas aigri, cornichon. Guérie ? L'impression d'être grande et que rien ne pourra m'empêcher d'avancer et d'être ce que j'ai voulu être. L'impression d'être indifférente aux obstacles. De prendre note. Sans s'offusquer. Et ne rien ressentir. Forte. Sens neutre, dans un monde fourmillant, en pleine éruption. Et de vivre individuellement. C'est ça être adulte ? Comme dans une forteresse où rien ne peut m'atteindre. Volontaire. Et peut-être. Je ne sais quoi dire. Je suis bien. Et pas encore à l'aise. Je m'impressionne, j'assume ce que j'étais, j'assume ce que je suis. Mais il faut que j'ingère. J'aime cette sensation de ne pas se laisser aller à des pulsions, des faiblesses et des flemmes. Je maîtrise, remplis les corvées sans broncher, comme si. Je me suis fait une raison sur la vie. ZEN. Suis BIEN. Mais ce soir, cet état est choquant. Heureuse ou satisfaite ? La brume de psyché m'empêche de voir... D'habitude, c'est la serenité qui me berce. C'est doux comme le calin d'une Maman.

Et de calins, c'est peut-être de ça que je manque. Juste qu'on me prenne dans les bras et qu'on me console. Non, rien à consoler, juste qu'on me prenne dans les bras en silence. Sans raison particulière. Juste comme ça. Par affection. Sincère. Je... Ne sais pas. [??] Il faudrait que je boive. en soirée. Et que je m'exprime. Comme. Comme... Rien du tout. J'ai besoin de ma Maman et de VoinVoin. Je veux un calin tout chaud. Ou des rires contagieux. S'il vous plait. S'il vous plait. Cette nuit est bizarre. Blizzard. Hum...



Jeudi 8 janvier 2009 à 10:49




Il neigeait des flocons de sang dans la baignoire de ma tête. Dans combien de foyers, la télé est-elle allumée à 20h30 ? La première de l'année, le quatrième. Alors ça part en travers, comme un chien sur des rails de chocolat. Viennois, il sera pelé vif. Dans la charette des lâches, nous errons. Ne pas. La démotivation. Stagner dans le cube de la facilité. Ca siffle dans mes oreilles, éteignez cet écran ! Il s'appellera Croquis. Comme le Retard, comme le temps qui passe et se perd. Dans les stations, les abandons, les psychédélies, les anomalies et confusions. Ne t'inquiète pas d'Elle, il ne restera que le minimum syndical. A partir de 50 faux-jetons. Tu peux pas gagner au casino avec des mecs pareils. Anguleuse et fragile. A peine prévisible, ce fût choisi. Le pavé tactile en grêve. Souriceau multicolore qui vient en renfort. Et c'est le cloîtrement qui en est la cause. Use and abused.

Illustre petit cafard. Le vieux fou chinois qui rigole et la mère qui hurle, les parois des murs sont minces. Pas comme. Le couple de jeunes vieux. La dépression du cours de l'érable et l'escale de l'esprit, dans un MUR ! Faire du nocif, du moche et du lait. Tu es chèvre, nous sommes des animaux. Alors résister à la pulsion évincée. Chanter. Dans ta tête. Je chante dans ta tête, ne l'entends-tu pas ? C'est son ami imaginaire, fantasme du tout et du rien. A pein imaginable encore. Encore que. Dans ses rêves bleus et rouge carmin, ouvrir les tissus et faire un nounours d'oeil. Tartan, pion. Le jongleur de blouses dans la cogitation. Il fait froid dans ce lit, la solitude m'étrangle. J'aime autant que je déteste. Pas, Turlututu. Tiens, des vestiges de souvenirs, des beaux, idylliques. Comme de la neige sous 40° à l'ombre. 16 septembre, la roue tourne. Des 6. Hinhin. As de Tours. Le décompte des minutes, la valse du temps. Je suis ailleurs.

Chope-les. "Play me hard", he said. HAHAHA.



Mardi 6 janvier 2009 à 7:06



Dérailler dès le matin. Il a crû que le jus d'orange était nécessaire à l'humeur. Le matérialisme du monde me tuera. Soyons tout nu et courons dans la neige. Je déteste ne pas finir ce que je commence, plus que 8 planches, c'était con. Le con, c'est toi, il aurait dit. Il me manque. Et le Smoun aussi. Parfois je me demande. Et puis. Heureusement AlisSuri. So grou du slip. J'ai du mal avec les trucs de la classe, éternels insatisfaits et je deviens terre-à-terre et cartésienne. Le Carpe Diem et la dédramatisation sont marié au je-m'en-foutisme. Prenez la vie du bon côté. Riez, sautez, dansez, chantez. Fiare la part des choses et s'en contenter. Ne se fier qu'à ses rêves et foncer dans le tas (de travail). Et Dieu sait que j'ai des castors on the planche à pain.

J'ai l'impression d'être à ma place, mais dans un zoo. Les gens crapahutent et je regarde en faisant de même. Nous sommes des animaux. Mes phrases sont à double tranchants, mais personne ne remarque. Mon esprit est en constant éclat de rire. Ce n'est pas du foutage de gueule. ILS me manquent. Je n'arrive plus à écrire, trop positive pour cela. C'est badant qu'il faille fumer pour. Et pour dormir. C'est une année de défonce cérébrale, parce que l'art, c'est excitant pour les synapses.

"Les longues conversations finissent toujours par parler de sodomie" Voilà. Les barrières des gens. Ou comment se pourrir la vie éternellement. Je sais pas si mon optimisme va tenir la route encore six mois avec des gens qui se lamentent sans cesse. Gnagnagna. Alors vive mes deux rayons de soleil. Puis Ma. positive et Bat. et Cam. sont plus plus. Alors ça, c'est feune. Une réelle cohésion de groupe pour la rentrée et de la motivation. Moi, c'est Chaise de Jardin, enchantée. Ils ont crû un instant que j'avais de la culture dans ma tête alors que nenni. Un jour, j'aurai la mémoires de Car. et je saurai tout sur tout. Un as de pique au Trivial Pursuit. Je deviens stupide et creuse avec le temps. Totalement inintéressante. Des envies de fumer. Les mots me manquent et la superficialité. Egocentrique. Psychologue des problèmes de coeur.

Je préfère dire des conneries. Jouer la fille que l'excitation des premières embrouilles m'amuse pas. Désolée Rikku, je ne suis pas une bonne amie. Ne pas dire ce que tu veux entendre, mais ce que tu veux entendre, je le sais. J'aimerai dire. L'amour est blasant. J'aime être décousue. Le cynisme, c'est si, nisme ? Une heure pour finir l'exposé sur Pierre Paulin. Que sais-je ? Je suis follement débile. Et j'assume. J'assume tout. Sauf le kebab. Le punk serait fière de moi. Et l'image, je m'en fous. Aimez ou haissez-moi, je ne vis que pour cet intérêt : se remplir la tête. Reboycotcotcotcodek : pas de Mc Do en 2009. Tu aimes les hot-dog ?



Vendredi 2 janvier 2009 à 10:13




En fait, que dalle. Je suis pas grosse. Juste des rondeurs de femmes, le genre de truc qui plait aux mecs : des fesses prononcées (et un cambrements pour bien le montrer xD), et un petit bourrelet sur les hanches (qui va disparaître (d'ici bientôt). Se reprendre, ça veut dire avant tout positiver. Ventre plutôt plat malgré la peau d'orange qui elle sera banni à coup de litre d'eau et de sport régulier et quotidien. Voilà. Rien de dramatique, je ne suis plus vraiment une baleine. C'est juste que la peau d'orange, beurk et ventre plat plus autant mais tout à fait normal. En plus, j'ai des seins, que demander de plus. Merci Pilulle.
Rien de neuf. Bon, ne plus traînasser. Préparer les papiers pour la B. Aller à la bibli avec les papiers et y faire des photocop de PP. RDV à la banque, puis retrouver Clairounette à Vanves, direction Marché Saint-Pierre pour dépenser toutes nos étrennes en tissus pour the fashion project. Exposé travaillé sur Mossieur Pierre Paulin, présentation sur feuilles comprises. Se motiver.
2009. Tout un programme ! Ca sera déjà pas mal si je fais tout ça... 2009 : je suis grande et prends ma vie en main très sérieusement. On a le bonheur qu'on se donne. Et je suis heureuse. Suffit d'y croire. Au moins pour tout ceux qui sont malheureux. Et puis j'ai la santé. Des amis. (Soeur Anne, je t'aime). Un amour de 'ion. Un toit très large. Des études qui me plaisent. Non, pas à me plaindre. Je vous souhaite une bonne année. Sincèrement. Retrouver l'esprit positif, la santé surtout. L'envie d'avancer et la rage de vaincre. La gaieté. Et tout.


Mes résolutions :
- Faire mon travail au fur et à mesure et en avance. Pour la bonne conscience et pour la réglométrie avec moi-même.
- Faire de l'aviron à Tours avec mon 'ion.
- Aller à la salle une heure tous les jours.
- Bien manger. Et des légumes !!
- Ne plus traînasser sur Internet.
(Voir les blogs fétiches et pas plus d'égarements.)
- Sortir : développer ma vie sociale à Paris.
- Appeler mes amis régulièrement, ou leur donner des nouvelles par d'autres moyens.
Leur dire que je les aime.
- Faire deux musées/expo par mois.

- Réaliser mes projets de peintures, dessin. ( Au moins une quinzaine qui flottent dans ma tête)
- Ne pas me couper les cheveux pour avoir devenir Barbie Chevelure de Rêve.
- Ne plus fumer systématiquement un stick serré le soir quand je suis toute seule comme une ado en crise.
- Apprendre à vraiment bien jouer de la guitare.
- Apprendre à gérer ma respiration en chantant et surtout à développer une puissance de voix. (Et faire chier les voisins).
- Mettre des chemises et vouer un culte à Vivienne Westwood.
(ça commence à partir en live et à devenir compltement débile ce que je dis, j'arrête là !)


Mes acquisitions de 2009 :
- un aspirateur                                          (OK. Très bientôt  !)
- une machine à coudre de base            (OK. Très bientôt !)
- une machine à laver
- de l'alginate chromatique
- de la résine Poly-glass ou cristallée
- un sèche-cheveux                                      (OK. Merci VoinVoin)
- Histoire de l'Art par Gombrich.            (Cadeau de Papa, argent à mettre à la banque)
- un escabeau
- deux-trois pantalons neufs                              (Bientôt, ô soldes !)

Mes buts :
- 13 de moyenne générale et les félicitations du CC au 2ème trimestre.
- 14 de moyenne générale et les félicitations du CC au 3ème trimestre.
- Pouvoir payer ma 1ère année de BTS Communication Visuelle à Condé sans prêt, ni aide des parents.
- Trouver un taf pour juin, du 15 au 31.
- Trouver un taf pour cet été
(deux mois de façonnage chez Noblet = 4500 à 60h par semaine)
- Continuer à ranger l'appart. (Ca c'est ok, peux pas bosser dans le bordel.)



Jeudi 1er janvier 2009 à 23:58




Restau avec Voin, Carole et deux de ses collègues/amis : le Bouillon Racine, vieux de plus d'un siècle. Superbe bouillon d'oignons et miam le gratin dauphinois avec son rumsteack. Délice des papilles et tout. Le froid a gelé mes doigts. J'ai pris un tas de photos de Paris de nuit. Je devrais sortir plus souvent. Carole nous a offert un tour dans la grande roue. Vues sur le Louvre, la tour Eiffel, l'arc de triomphe, les champs... La place concorde éclairée par les DEL de monsieur Delanoé et les phares de toutes ces voitures. Un tapis de phares, tapis de fleur. Et la statue du grand palais. Mon nouvel appareil photo me donne du plaisir. Jouer au reporter, Tintin sans la mèche blonde, appareil en main, index à l'affût et tenter de maîtriser les fonctions de l'engin et surtout manuellement.
Et en rentrant, l'estomac qui fait des siennes. Surtout ne pas vomir. D'ailleurs, je ne vomis plus. Non, l'incident d'une pilulle qui visite les canalisations de mes chiottes, ça m'a coûté plus que de simples dégobillades. Ca m'a couté plein de kilos bien stockés. Comme les chiens avec les plis. Pareil. Mon ventre dont j'étais si fière is beurk. Ne focalisons pas. S, je focalise. Depuis une semaine, le bad. Comment je vais pouvoir redevenir normale ? C'est vraiment désagréable. Et la dermato :  le CeluM6 ou la liposucion... Tu crois quoi connasse ? Que j'ai suffisamment de graisse pour me faire aspirer ? J'ai déjà fait aspirer mon utérus pour y faire dégager le locataire, alors tu vas pas non plus déloger mes tissus en un coup de seringues anesthésiante ! Matons par le sport. Dès lundi. Et là, plus de pitié. Il faut que je me remette en condition. Pour l'aviron. Pour Voin. Pour pouvoir ré-enfiler un jogging ou un collant le moment venu. J'ai deux mois. Et trois semaines avan l'anniv de Chachou. En soit, je ne peux perdre que trois kilos. Deja ça.
Il ne faut pas céder à la pression. Ne pas vomir, c'est ok. Ne pas jeûner, même si je sais que j'en suis maintenant incapable. Retourner comme avant, à mes 500 calories quotidiennes maximum. C'est faisable. Avec 1h de sport. Et 3h de taf.
Il faut que je me prenne en main. Dès demain. Et le sport dès lundi. Plus le choix !! Je ne supporte plus mon corps. Je ne supporte plus le fait que je ne fasse que rester chez moi à jouer de la guitare sans rien apprendre ou glander sur le net. Ne pas donner de nouvelles à mes amis qui pourtant m'obnubilent. Et surtout en ce moment. J'ai parfois envie de crever ici et éteindre mon portable et le PC. J'ai parfois envie de me jeter sous un métro. J'ai parfois et souvent envie de me casser un an au Cambodge dans l'asso PURDE. Je crois qu'en ce moment, je pête grave un câble. Je crois qu'en ce moment, mes potes me manquent. Je crois qu'en ce moment, je culpabilise de n'avoir rien foutu dans mon taf. Je crois que je mérite tout ça. Je t'emmerde grognasse de conscience. C'est tout. Je me hais dans ces cas-là. Je me hais.
Bonne année si vous voulez. Et les autres aussi.



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