sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Jeudi 18 octobre 2007 à 0:16



Mômes. J'attends toujours. De mieux en mieux, j'approuve. Balise. Valise. Questions cruciales. BTS ou formation sup ? Prépa ou pas ? Tours ou Rennes ? Animation ou Beaux-Arts ? Graphisme ou illustration ?
Plus d'interrogations quelqu'unes. Se prendre en main, et point. Résolutions d'antant au point à partir d'hier. Bosser la charte graphique mais pas ERAC. Déjà ça. Motivation pour l'after. Juste montrer. Finalement, j'aime la Communication des Entreprises, même à Sainte-Marguerite. Parce que je veux, j'ai pas le choix, et sinon ça sert à rien de continuer. Je l'aurai simplement haut la main, en bossant un minimum et pas pas du tout. Du nerf, que diable. Et puis après, oui, seulement après, dans un an, la vraie vie.
L'idéal : Prépa Brassart, 2 ans Lisaa Rennes GIIA, 2 ans Lisaa Paris A2D3DJV, BA 2-4 ans selon équivalences obtenues. Résultats : 7 à 9 ans. Pfiouuuuu. Donc, choix parce 25 000 ! Un ptit quart d'appart ! Pastabonnement !  Et sinon - Lisaa Parris. Reste 5 à 7 ans... Mais l'Intuos3 en A4, je veux ! Quoi, juste 420 euros...
Les questions cons sont parties. Advienne que pourra. Carpe Diem. Et puis, hein ?
J'préfère penser ainsi. Les berner par la synthaxe. On est toujours tout seul et la confiance n'existe pas. L'essentiel. Croire en soi, parce que solitude interne face aux choix du quotidien. Oui, notons les efforts, mais pas aujourd'hui, pas en ERAC. Mais efforts alimentaires, efforts autres. Et se contenir. Sur les inutilités orales.
J'y arriverai parce que je n'ai pas le choix, parce que je NE me laisse PAS le choix. C'est tout. Plus explicite, tu meurs. (L'est mort...) En vogue, j'ai dis sept, pas dix-sept. Jennifer motivée, atelier dessin at home, histoire de s'entre-courager vers le progress. Genre je peux donner des cours ... Se tirer vers le haut. Twingo, chat (em)potté,  Krôle,  Convers', Hugo. Passer aux crayons de couleur.
Niouk ! Youki.

Laisse vivre sa vie. Pas de compte. Verra ou pas. Pomme, compote. Pomme compote. Miam. Jouer l'associale. L'associale intègre. L'artiste, mais hein. Juste avec le même objectif que l'an passé. AHAHHA. Plus de tracas, esprit libre et perfectionniste à développer, perfectionner méthodes et connaissances et savoirs associés. Parce que ! J'sais pas où j'en susi mais maintenant, je ne cherche plus :) Comment je positive, je m'épâte ! Ou pas. Nobody knows. C'était le titre d'une chanson de Truc. Ptêt les Beatles. Rien que son nom, à elle et ce personnage, m'énervent. Quel sombre rôle. Autant que les Steph, je pense. Je ne suis pas. Au diable. Me gausse faiblement. Cliché rebel, mais cliché, pitoyable certes. Ca fait deux fois "diable". Donc voilà. J'ai de la musique et trop d'ambition. Mais au moins, personne pourra dire quoi que ce soit. Et puis de toute façon, je m'en fous. Qu'ils pensent. Même des conneries, je m'en fous. Je vis pour moi. Et si j'ai envie d'être égoïste ou de le rester, et bien je le reste et je le suis. Non mais, j'vais pas me laisser apprivoiser.
C'est ça, continue à cacher ton jeu.
Souvent, ils me manquent. Tous et toutes, et cette folie ambiante qui nous unissait. Cet univers crée de toute pièce par chacune de nos personnalités. Est-ce la fin ? Nooooooon ! C'est pour ça que c'est cool, des amis... Envie. J'avouerais bien que ça me manque de fumer avec elles. De boire. Doucement, sans dépasser les limites du déraisonnable. De rire bêtement à chacune de nos conneries. Et de ne plus se souvenir du début de la phrase commencée. Psychédélie. Ne plus penser à l'image. Ne plus penser à rien, sauf à nous et à soi.
Ou quand le cerveau bouillonne. J'aime.

Lundi 15 octobre 2007 à 16:20


L'une et l'autre. Kento en feu, se lever au bon moment. Le genre de truc repérable par les dissimuleurs. Tu caches bien ton jeu. Mieux qu'avant quand même.
Gnié. C'est pas très objetif, séduction verbale ? Continuons le foutage de gueule !
BC.



Mardi 9 octobre 2007 à 23:37



Je pête les plombs. Il n'y a pas d'autres mots, c'est littéralement le bordel dans ma tête. Chaotique. Qu'on dise "mentale" ou non, je n'en ai pas grand-chose à faire a fortiori. Je me fixe des objectifs. Se reprendre en mains. Psychologiquement, mentalement et physiquement. D'un, bosser BOSSER. Et bien et efficacement. Aller jusqu'à sept. Parce que vide et vie n'ont qu'une lettre de différence, je peux. Ca tient tout. Déforme et déforme les tissus. Cette euphorie et vision atteinte, on avancera mieux, ne serait-ce que dans la motivation générale. Reprendre le dessus. Re-prendre le contrôle, et si ce n'est par soit-même, par les moyens. Parce que rien implique rien. Donc. Aussi bien qualitativement que quantitativement mais seulement exceptions faites. Ricain du mardi, plaisir. Tiens, me suis forcée à le terminer, même pas vomi. Commandé alors que même pas faim tellement ahurie. Clap clap, petite auto-félicitation nerveuse du jour pinçant gravement le combat.
 Donc bosser, et retrouver la motivation perdue. Apprendre l'oral et à garder sa confiance. Bannir : "bah", "euh", "ben" et "en fait" de toute conversation, virtuelle ou réaliste. Et s'exprimer bien, normalement, couramment. Juste qu'on peut. JE peuX. Oui, TU PEUx le FAIre xD Hahah, cette bonne vieille méthode Couet. Faire que la nuit soit suffisamment bonne pour que tout reste en place.
Motivation, confiance, travail, rigueur. Tout se tient ?

Choisir entre le voir, rencontre essentielle pour ne pas pêter un câble et ne pas bosser. Et finalement pêter une durite par les efforts non fournis. Culpabilité et impotence. Ou bosser bosser bosser bosser bosser et se casser les nerfs parce que manque de mimi sourire de 'Ion.
Tout sera réglé quand nous serons dans notre chaumière, tous deux, au coin du feu. Ou au feu du coin; Hâte.
Soit, on s'en branle, fallait juste le dire. Et que cette classe est dépressive avec les ulcères au stomaco, les crises de takicardies, de larmes, les pêtables de comble, les conflits de hiérarchie profs/étudiants... Bref, ça ne vient pas de moi, jouons l'originalité avec une pêche incroyable, un moral d'acier, un mental en diamant, des résultats conséquents et le tour sera joué. Reste juste physiquement : 30 minutes de marche et assurer la suite. Tchuuuu !!

L'expression du soir ! Que d'énergies négatives à dilater. Appliquons les conseils que l'on donne à ceux qui n'en peuvent plus - Sainte-Marg,la_vie,la'arg! - et faisons sortir de bonnes augures de par tous ces motsbranle-bancales.
L'anniv de Fat le 10, ne pas oublier, to-day-morrow. Ca nous rajeunit pas tout ça !
Plannifions le 7. Un mois, c'est faisible. Il faut garder la volonté, la VOLONTé ! Puis mieux, nous excellerons toutes ensemble. Oui, à mes différentes personnalités, un peu d'ironie que diable ! J'aime mes dialogues internes finalement. Repartons gaiement !

7

Dimanche 7 octobre 2007 à 23:42



 


J'arrive, tout va. J'y suis. Infériorité, énervement. On perd du temps, du temps. Déjà, se retrouver face à soi-même. Ennui profond, comme mise à l'écart. Auto-mise à l'écart par sa propre médiocrité. La jalousie qui parle. Associale et pourtant si intègre. Peut-être que non au fond. Repères perdus, perdue tout simplement.
Dans le "qui suis-je ?".
Plus la motivation. Les cours en suspens, ne plus penser qu'à perdre ce "précieux" temps. Je ne me rends pas compte. Je perds pied. Cette im-pression m'angoisse. Je panique, panique, panique. Me raccroche à l'avenir. Et voyant toutes ces réactions adolescentes, mais putain, réagissez !! Je cache mon jeu avec un peu de mal. Je ne crois plus en grand chose. Mais le vie me fait sourire. Je ne sais pas ce qu'il se passe. De plus en plus lunatique. Mal en dedans, comme rongée. Comme si tout ceux-là s'étaient éloignés. Ne plus se reconnaître, et se accrocher ses espoirs dans l'arrière. J'espère un instant qui ne viendra pas. Et tout en vient à s'obscurcir. Ils sont loin, comme si j'étais partie, mais la vie continue. J'espère juste que. Impressions nauséabondes. Ca pue à l'intérieur de ma tête.
Ne me reconnais plus. Etrangère. Capricieuse dans le rôle de l'enfant. Nul ! Ca te dégoute pas ? Ce petit jeu médiocre. Où oui, faut tendre toutes les perches. Se laisser piéger. Je ne sais pas.
J'ai envie de dire MERDE à chacun. Ouais. Plus la patience. Qu'on me fasse pas chier/ Certes en position de cancre. Mais m'en fous. Plus rien à foutre de ce lycée. Plus rien à foutre de ce putain de BTS. Je l'aurai. Rabourd le soporifique, 2 mots à la minutes et de la motivation bien dissimulée. Des incompétents comme Bolyos ou Brillant. C'est fou. Fou. Puis, à croire qu'ils s'en foutent. Ils veulent juste du chiffre. D'affaires, de réussite. Bande de connards. Que des chiffres sur du papier machine.
Colère contenue, rage. J'ai cherché et cherche encore. Les réponses ne viennent. Ca se voit pas sur ma gueule. Certes. Etre celle que. Les ai observés. Je n'y arrive pas. A côté, en vrac. Je ne sais pas si déjà, la tension. Je ne sais plus comment. Je sais plus rien et j'en ai marre. Putain... Cette frousse dans le dos, la pression qui monte. Mais finir, finir ! A croire que ce monde est bien loin du mien. Et se prendre en main. Je rêve. Cauchemard. J'en peux plus. Est-ce illusions ? Lié ? Cherche pas plus loin, s'en fout ? Besoin de parler. Coquillage. Je voudrais sortir de là. Juste dessiner. Ouvrir la porte pour s'exprimer. Vous verrez. Crêve. Crevée.

She hangs her head and cries in my shirt,
She must be hurt very badly,
Tell me what's making you sadly.
Open your door, don't hide in the dark,
You're lost in the dark,
You can trust me,
'Cause you know that's how it must be...

J'arrive pas à être suffisamment fun, ouais. J'arrive pas à partir. J'arrive à rien et j'veux tout balancer. J'm'en branle du BTS, de Kaedrinn, et de tous les autres gens. Ou pas. J'en branle quand même, parce que ça me fout les boules. J'veux plus faire semblant de tout. Parce que personne veut croire que j'en ai rien à battre. Mais voyons. AHAHA, Si j'avais les tunes, je serai déjà à Rennes. Ouais. On s'en fout me dira t'on. Monologue à la con. FUCK... Je dois rien ou l'inverse. Même pas de point d'interrogation, j'ai ma réponse finalement. Faut faire semblant. Sourire à la con sur ta sale gueule : ça va tranquille. Oui.
Je hais ces putains de personnalités. Je hais mes extrèmes, ce truc là.
Tu te la fermes, petit hobbit joufflu ?
Ouais, j'arrête, ça va mal se mettre.

Ca fait du bien de dire tout ça. Sans rancune. J'dis et fais ce que je veux, exutoire.
Sad Moon. J'aime la vie.


Mardi 2 octobre 2007 à 20:55


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