sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Mercredi 30 décembre 2009 à 16:13




Tout est pèle-mèle. La soirée de lundi m'a laissée un gout amer. Il y avait du vent ce soir-là. Un gout amer. Pourquoi tu me poses autant de questions ? Tu disparais. Yamoutmout. Tu reviens. Bleu, ou multicolore ? Je suis là. Souvent bien lasse. Et parfois en colère. La haine. L'envie. Juste des caresses. Encore des caresses. Et surtout l'attente d'y voir plus clair. Tu le sais ? Tu le sais, ça, que j'attends ? Ce n'est pas le froid qui me rend ainsi. La vue de son balcon est abasourdissante. Le roi des songes.

J'aimerais avoir des nouvelles. Si ça va. Quand la prochaine ? Ca ne me fait pas vraiment rire. Contrairement à ce que j'ai dit à S. Leur petit jeu est assez stupide. Lui. Et elle. Sûrement pareil. Prenant tout ce qu'on lui offre, de ce qu'on peut ressentir à son égard. Garde ton extrême fascination Chérie. Sans cela, tu perdrais tout. Les avantages. Tiens, ce qui m'a plu, c'était le "c'est cool !". Parce que pas de prise de tête. Le naturel. J'ignorais que ça pouvait se passer comme ça. Mais oui. Alors peut-être. En attendant, le clin d'oeil était phénoménal. Puis aussi, le fait de balancer des trucs totalement idiots en si peu de temps. En attendant, faut que je me mette à bosser.

Mon mea culpa, donc, lire La Disparition. Je te le préterai. C'est dans l'air du temps. Prendre du temps. Passer de l'autre côté. Puis de l'autre côté. Un soufle nouveau. L'autre côté de la force. La lutte des sexes. Essayer sans y parvenir de retenir tout ceci. Ailleurs finalement. Son joint m'a mise à terre. Mais ça m'a soulagée. Puis après. Le don de mettre des limites là ou il est peut-être stupide d'en mettre. J'ai curieusement un souci d'identité. Tenir la distance, un peu. En profiter. Entrevoir un début de sortie. Un avenir. Oui, à voir ma gueule, on ne dirait pas. L'eau poisseuse dans laquelle j'ai la tête enfoncée. Mais comment ? Il m'a fait rire. Le genre, je m'en tape. Fille ou mec, je ne recherche rien. Tu crois que je vais souder tout ça avec du fil de fer ? Non, je ne pense pas. Ca ne sera toujours pas si savoureux que. Je t'assure. Alors ? Un monde derrière celui-ci ? Caché, illusions ? C'est qu'on y croit un peu, sinon on mourrait...
Mais ce n'est pas comment ça que ça se passe. C'est encore autrement.


Dimanche 27 décembre 2009 à 10:45

 
 
Where is my mind ? J'ai l'impression que de l'autre côté de la prairie, page en phase de tournage. L'ignorance arrive parfois avec ses gros sabots, comme pour montrer qu'on s'occupe d'autres vaches et brebis, pas galeuses, mais peut-être dalleuses par ailleurs. Des histoires. Je ne chercherai pas. Pas longtemps en tout cas. Parce que cette histoire-ci commencera à me taper sur le système. Halte à l'hypocrisie. Je ne relance, ni ne suis, je me couche. Oh, et puis pourquoi pas, après un tapis, comme je viens d'en faire un, je ne prends aucun risque. C'est juste mal placé. Des deux côtés de la prairie. Action, comme réaction. Je passerai outre. Après tout, pas de quoi en faire un plat, c'est tout à fait assumé. Puis avec tout ce qu'on a mangé ...

Ma soeur a posté des photos d'elle dans des poses suggestives avec sa demi-soeur. Se rendent pas compte de la galère que c'est, avec l'homophobie. Alors faire croire de telles conneries aux yeux du monde, alors qu'elle a un mec, seulement 15 ans, et qu'elle ne se voit pas avec une nana. C'est pitoyablement surréaliste. Incroyablement bête de chauffer les pervers comme ça, et d'offrir le baton pour être battue. A croire qu'être lez, c'est super à la mode chez les ados. Elles ne se rendent pas compte... Enfin, peut-être que maintenant, si, vu la polémique que ça a été. Une chose est certaine : ça ne me fait pas du tout rire.

Si elle savait. Et s'il savaient tous. Le positif dans tout ça, c'est que ma mère a bien compris ma situation. Que l'ambivalence qui me transportait pouvait m'emmener là ou ailleurs. L'oncle C. et son "t'as changé de bord ?". Mais qu'est-ce que ça veut dire ? Personne ne sait ce qu'il se passe dans ma tête et ce n'est pas une évocation qui fait que. Ils en sont loin, ignorent tout. Là encore, certaines certitudes. L'ouverture de ma mère sur la question. S'en fiche. Tant que je suis bien avec la personne, le genre, elle s'en tape. Mon père aussi, très ouvert. Et au fond, hein ? Le problème, c'est les Anciens. Bref, je n'y suis pas encore. Juste que ça, c'est hyper rassurant. L'utilisation du superlatif.


 

Vendredi 25 décembre 2009 à 17:27



Parfois, je trouve ça drôle. Parfois, c'est vraiment lourd. Tout ce cirque. Puis finalement, ça rapproche tout le monde. Juste que j'aimerais bien le revoir. Passer de bons moments ensemble et qu'on se voit plus souvent. J'ai eu des nouvelles de ma soeur. Et puis mon ex-beau-père qui revient. Un bifton, sa rédemption. C'est marrant comme ça paye, de faire fît du passé et de passer outre leurs histoires de fric. Après 15 ans de galère à habiter avec eux, je m'en sors la tête vraiment haute et sans rien à rajouter.

Tiens, et puis la rencontre avec R., graphiste et O. le DA. Une bonne discussion pour avoir les secrets de la com. Puis au téléphone avec F. en alternance avec sa copine V. Ca serait cool qu'on se fasse une bouffe ensemble. Peut-être avec J. aussi. Enfin, comment je peux parler de bouffe alors que depuis hier, c'est l'orgie. Hinhin. Va falloir organiser ça. Puis le dîner de lundi avec les nanas. Des nouvelles de Chach. et ça fait plaisir. Bref. Je suis un peu rêveuse parfois. Je vois F. lundi, et on va bien se marrer.

Ce qui est vraiment fun, c'est que S. m'a mise en compétition avec Lau, son pote, puis R. et O. pour l'élaboration de son logo. La course est ouverte, je vais essayer de les bluffer, les pro... La belle idée !


Lundi 21 décembre 2009 à 12:46

 

http://sidvicious.cowblog.fr/images/winonaryder007.jpgLa routine qui va finir par s'installer. Avec les filles, on a décidé de s'offrir des cadeaux, au cas où on n'aurait pas été assez sages pour nos chères familles. C'est un peu un Noël à l'eau, à larmes. Alarmes. Alors courir se ressourcer dans la famille. Tout en sachant que C. en fera toujours partie. La tentation est fatale. Retourner ensemble. Mais pour une fois, écouter la raison. Et qu'on ne me sorte pas ce foutu parallélisme à la mords-moi-le-noeud qui opppose Coeur et Raison, avec leurs majuscules. Bref, je m'en fiche. Même si ça va être dur, je sais que ce mal est nécessaire. Il faut s'en convaincre.



Et j'ai trouvé des cadeaux adéquats pour mes parents et ma soeur. Pour les filles aussi. Je suis contente.




Je lui ai demandé une coupe à la garçonne. Juste retour aux sources. Et puis, je me sens moi, comme ça. C'est vrai quoi, les cheveux longs, ça me va pas, ça me va pas, c'est tout. Je me sentirai plus dans mes baskets. Enfin... Dans mes docs. Tout va aller pour le mieux. Hein ?


 

Jeudi 17 décembre 2009 à 11:40




Et puis, c'est la fin.



Mercredi 16 décembre 2009 à 17:54




C'est dramatique d'aimer quelqu'un, de ne pas pouvoir vivre sans, mais de ne pas pouvoir vivre avec. Ici s'achève peut-être une belle histoire. Je crève. On crève. Amen.



Mardi 15 décembre 2009 à 0:44



http://sidvicious.cowblog.fr/images/230251606512a1d94bc1.jpg


Des histoires de stress, de pression, d'expériences, de complexes, pas de généralités. Phase 1 enclenchée. A nous de voir. Si évolution. Voix calmes, et ironie. Tordus dans tous les sens, provocante. Quelques réponses. Si pas fun à 20, comment à 40 ?  Pas de pessimisme, pas d'optimisme, je ne suis plus à ça près. Mais ce n'est pas dramatique. Moins de bulles, je pétille moins. Ca sert à rien de se poser des question débiles, de se torturer les méninges pour des éléments pas maîtrisables. Certes. Problématique. Carte UGC Duo. Allons vers la culture. Sortir. Le mardi, tout est permis.

Même pas d'avertos pour les absences. Ils se sont dit plein d'espoir. Ils ont bien raison. Un phénix qui renait, et qui vole. Loin, loin, chère liberté. On avance, c'ets déjà  ça... Polly Pocket oui. Mais j'assume. En pyramide, comme J. Lopez. Trop drôle. Mais instructif. Au moins, je vais pouvoir lui refaire sa com...



Dimanche 13 décembre 2009 à 0:14



Pour tout le mal que j'ai fait, que je fais, et que je ferai. On sait jamais le mal qu'on répand, sans le vouloir. Et la retombée. C'est horrible, d'en avoir seulement conscience. Sans même savoir ce qu'on a pu déclencher, ni comment. C'est tellement fou. Alors autant sombrer. Folie et maxalt. C'est pas encore fini. Et dans ces moments-là, tu es seule face à toi-même... Forte, se trouver. Moi aussi, je sais pas comment arrêter tout ce cirque. Ni où aller. Ni quoi dire. Je suis littéralement paumée.



Samedi 12 décembre 2009 à 16:33



Où je dois aller, et ce que je dois faire. Et bien aucune idée. Je tiens la barre de mon fragile navire et c'est déjà pas mal. Mylène, elle est quand même bonne. Alors jouer avec sa tablette graphique en matant son vieux live de Bercy. Mais rien n'a de sens. Oui, je peux écouter du classique, Farmer, Tagada Jones, Pink FLoyd, Uh hu her et Sonata Arctica. Mais sérieusement.

Faut que j'arrête de dégouter Mel en lui disant que si on va dans la pub-pub, on sera condamnés à faire des affiches Easy Cash ou Bouygyes. Ahah. Désillusion pour le petit coeur, je suis horrible. Mais faut pas sevoiler la face, la moitié de la promo fera des détourages pour les catalogues La redoute et Lidle pendant dix ans. M'en fous. Je ne compte pas faire de la pub. Vous savez, y'a des crénaux à prendre sur le net encore. Faut juste savoir à qui s'adresser. Y'a aussi les assos. Les trucs qui payent pas, mais beaucoup plus passionnant. J'ai cru qu'il allait se barrer de cours.  Je fais des études qui m'intéressent. Et qui vivre verra.

D'ailleurs hier, j'ai bougé mes fesses jusqu'à une soirée Graphic Battle. Au dune. C'était Izi contre Wisi. Avec Advanaced Creation qui organisait tout ça. Je crois que le dune va être mon QG. Ca bouge là dedans. Puis les gens sont cools. Tous unis avec la Creative Suite. Finalement hier, c'est les filles qui ont gagnées malgrè un compo ma foi, pas meilleure que celle des mecs. Mais c'était cool quand même. Puis le DeeJay assurait pas mal. Haha. Ca pourrait vraiment être génial.

Penser à se bouger pour créer un collectif. Qui veut en faire partie ? Si tu dessines, touches à CS, la photo, au street art ou à d'autres trucs, ça m'intéresse. Fais moi juste un signe et on se sortira les doigts du cul, ensemble, pour se faire un nom. Ou pas, mais on pourra trouver de quoi tripper. Enfin bon. Faut s'y mettre au bout d'un moment. Puis c'est pas comme si ça ne passionnait pas. Je sais pas si on peut dire que c'est cadeau, mais wesh ma gueule ! Paye ta gueule et ton décolleté en basse qualité Chérie. Ouais, je suis une bombe, pas la peine d'insister...
 

 

Vendredi 11 décembre 2009 à 12:10



http://balkon.c3.hu/balkon03_10/images/voss4.jpg


On a tous nos problèmes. Ne prends pas le risque de me mettre en colère. Ne joue pas avec moi, ni avec ma patience. Parce qu'en ce moment, elle est plutôt limitée. Alors ignore moi si tu veux. Et toi aussi. C'est juste que je sais où me la mettre, cette amitié foutue. C'est juste que tu sais où te la mettre, cette foutue amitié. Enfin, ça dépend de ta définition et du sens que tu donnes au mot "amie". J'ai maintenant compris que tu as éternellement besoin d'un bouc émissaire. Et bien soit. Mais ne crois pas que ça va changer ma vie. En soi, je m'en fous un peu trop quand même. Ca me fait rire parce que tu reviendras. Sûrement sans t'excuser, mais tu es comme ça. Alors c'est ainsi, mais on le sait tous. Mouchoirs, puis pouf, en l'air. Désormais, je m'en tape royalement. Tu dégages si tu veux. Ca n'entravera ni ma liberté, ni ma bonne humeur.

Le ciné, c'était avec M, devant Le concert après une rue Mouffetard avec Lou. et Cé. Alors après la claque qu'on s'est prise par le film, puis la décision d'aller voir un concert de classique un de ces quatre, on a pris le métro. Tout retournés. Mais on a rencontré Milou et Tibou. Que j'ai invités à la maison. Ils ont acheté deux bouteilles de vin qu'on s'est sifflées. Puis on s'est fait un boeuf pendant 3 heures. Pour finir Mel et moi sur un fauteuil, à parler jusqu'à 7h du mat. A 8h30, en info, on a dormi un peu. Mais c'était sur InDesign, bien lourd, bien chiant.

En attendant, toute cette improvisation du mardi, ça nous donne envie d'avancer. Juste pour atteindre le mardi suivant. Et les aventures qui nous y attendent. M. est véritablement un ami, un taré, un fou. Mais il comprend. Il en est capable. Tant qu'il oublie C., c'est tout ce qui compte, travail de fond. Puis ça servirait à rien, puisqu'elle est maquée maintenant. Pauvre. Les filles. Alors on se raconte ce qu'il se passe dans nos têtes. Véritables psychotiques. A interner. On se calme et se motive. Explications et compréhension. Partage et confiance. Délires aussi. Forcément. Le mot du mardi, et sa définition. Entre cancre et condescendance. Les phrases choc. Les séries B. Bref, j'ai quand même du bonheur plein la tête. Par ces petits instants. Et les délires avec Lo. Même si ça chute, même si j'ai du retard dans quelques matières. Même si les mercredi, jeudi et vendredi de la semaine prochaine risquent d'être un peu difficiles niveau taf. Car tout ça, ce n'est rien. Lundi et mardi seront simples, donc essayer de répartir. Pour une fois.

Et en infographie, j'ai eu 15. Comme quoi, ça ne suffit pas de montrer qu'on sait. Il faut le faire. Au, tu te vanteras moins la prochaine fois. 12 en édition, 14,75 et 13 en graphisme. Je commence à cartonner en cours, c'est tout simplement plaisant. Ils comprennent enfin. Surtout que je vais refaire le packaging, plus propre, mieux fini. Enfin, l'espoir est là, la motivation. Et bien-sûr la bonne humeur. Puis bientôt, je réinvestis dans 25g de chichon. Que demande le peuple ? Je reviens ce que je voulais être. Ce n'était même plus espéré. C'est juste jouissif.


 

Samedi 5 décembre 2009 à 20:49




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Non, je n'existe plus. L'esprit transbahuté, presque métaphysique. J'ai sûrement loupé quelque chose d'inédit. De géant. Le mot clé, coincidence cynique, absurde, en sept lettres. Trouble is back again. Parce que je te regarde en liberté. Volant, envolée. La batterie qui rythme le système sanguin. Ralenti. Comment veux-tu en sortir ? Elle est peut-être à Paris ce week-end. Légèreté perdue. Le retour aux sources qui s'opère. Lentement. Très. Se shooter à la musique, beaucoup plus sain. Besoin de cet état. Léthargie. Le token de mon esprit. Bonjour. 

Mais si tout est vrac, non, ne cherche plus. Le piano me sauvera. Et la guitare, si douce avec ses jolies formes. Fidèles. Il n'est pas question de réconfort, mais de survie. On est loin du compte. Les miroirs fondent, l'espoir tombe. Enterrée.  Je ne sens plus le menthol dans cette dilettante habitude. Au revoir.







Planche extraite du carnet de recherche sur "La Nu-ta-tion". EP, quand tu nous tient.


Vendredi 4 décembre 2009 à 11:31



Crache ta rage. Exécute. Fuis. Cours. Musique salvatrice. Jouer le rôle. Cacher. Déchirer. Se concentrer sur ses projets. Associale, certes. Mais surtout nihiliste. Pas parce que c'est un mot à la mode. Qu'on ne se méprenne pas. C'est un masque de réglage. Les nanas qui font les nanas, ça devient bien lourd. Un peu de recul, tellement relatif. Je n'irai pas chercher midi à quatorze heures. Rester dans la case. Sourire, niaisement. Rester assise. Ne pas se poser de questions. Rester calme en dehors, lacérations en dedans. Parce que tout va bien. Je me fais trop d'illusions. La vie est merdique, opaque, cynique et hypocrite. Je trouverai. Me crée un chemin silencieux. Ne bavarde pas. Reste dans le coin. Et surtout, continuer de leur parler qu'au passé.  Je m'en servirai comme d'un arme. Crispations de la machoire, contenir tout ça en dedans. Facebook aux chiottes, je dIsparais. Exit, dégage. Mal. Entrez votre message perso. J'ai rien à vous dire. Paris m'excède. Dieu que les grib' me manquent. La Touraine, les relations vraies. Paris, c'est vraiment du vent. Je suis incapable de conserver ce genre de relations. Ce ne m'intéresse pas. Et au bout du compte, j'assume. C'est sûrement le pire.

Alors avancer sur le chemin et appeler CaE pour voir ce qu'elle veut. Voir si je peux faire du télétravail pour eux, 10h par semaine ou voir, et progresser. Une expérience graphique à inscrire sur mon CV. Alors va falloir être convaincante, cette fille a du pouvoir. Le détail, c'est que ça me fera des thunes, et une raison de plus pour ne plus. HAHA, si ça marchait, ça serait ouf : pas encore diplômée et déjà une boîte embaucheuse. Qui paye bien. Je suis une nantie. Alors pour cela, je ferai des sacrifices. Je suis vraiment un humain. Et ca me désespère. Mais c'est tellement nul tout cette complexité. Tout pourrait être plus simple si vous ne preniez pas autant la tête. Alors oui, distance en attendant. Parce qu'il est clair que si je crevais demain, on se s'en apercevrait même pas. Et tant mieux.

Et tiens, en interro d'infographie, on devait jarter les lunettes de Mr Windows ou de notre Saint-Père-des-Geeks, Steve Jobs. Entre autres consignes. C'était marrant. Avant/après. Oui, c'est loin d'être parfait, mais contente quand même.


Mercredi 2 décembre 2009 à 16:33




Qu'ils aillent tous se faire foutre. Je m'en bats les reins.



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