Je me suis toujours demande comment le corps tenait dans ces conditions. Le sevrage du speed. Le sevrage de la caffeine. Je peux avoir le pink fluff a 15/g. Le revendre a 40. J'ai dit a GH que je le tatouerai la prochaine fois que je passe en France. S'il me paye un coup et un peu de speed, ce sera pour un prix derisoire. Les deux pour 30€. Alors ouais. L'autre, la connasse de Cheval Blond faisait equipe avec Chemise Blanche. L'equipe qui decape : cheval blond-chemise blanche. J'ai ris des assonnances. J' en ai pleure sur ses pitoyables tentatives d'intimidations, en pensant que moi, contrairement a elle, je ne resterai pas le vulgaire pion de cet echiquier de l'echec. Quitte a y rester , autant le faire avec brio et professinalisme. Mieux paye. Le paroxysme de sa connerie est venu avec son «I'm not disabled». C'en etait presque de la discrimination. Si ta connerie evolue dans le meme sens que ton poids, tu vas en crever. Je ne savais si je devais rire ou pleurer de pitie. J'ai ignore les provocations a deux balles dans la bonne humeur. I believe I can fry. I believe I can cook and fry. Trouve le style. Trouves les sujets. Trouvee la motivation. J'attends mes aiguilles. TA TTOOoooo!
sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Jeudi 25 octobre 2012 à 1:37
Je me suis toujours demande comment le corps tenait dans ces conditions. Le sevrage du speed. Le sevrage de la caffeine. Je peux avoir le pink fluff a 15/g. Le revendre a 40. J'ai dit a GH que je le tatouerai la prochaine fois que je passe en France. S'il me paye un coup et un peu de speed, ce sera pour un prix derisoire. Les deux pour 30€. Alors ouais. L'autre, la connasse de Cheval Blond faisait equipe avec Chemise Blanche. L'equipe qui decape : cheval blond-chemise blanche. J'ai ris des assonnances. J' en ai pleure sur ses pitoyables tentatives d'intimidations, en pensant que moi, contrairement a elle, je ne resterai pas le vulgaire pion de cet echiquier de l'echec. Quitte a y rester , autant le faire avec brio et professinalisme. Mieux paye. Le paroxysme de sa connerie est venu avec son «I'm not disabled». C'en etait presque de la discrimination. Si ta connerie evolue dans le meme sens que ton poids, tu vas en crever. Je ne savais si je devais rire ou pleurer de pitie. J'ai ignore les provocations a deux balles dans la bonne humeur. I believe I can fry. I believe I can cook and fry. Trouve le style. Trouves les sujets. Trouvee la motivation. J'attends mes aiguilles. TA TTOOoooo!
Lundi 15 octobre 2012 à 16:48
Ne t'embarrasse pas a repondre. Tu es trop occupe pour cela de toute facon. Que l'elastique ne craque pas et moi non plus. Du minimalisme verbal et du stress amaigrissant. De la poudre qui eveille le corps, la tete ou les sensations synesthesiques. De l'inconfort a s'endormir dans une chambre froide et des donnees chiffrees generales qui pointent vers le bas comme l'envie et les os. Le vide spirituel et l'abnegation. Ne pas savoir quoi faire hormis se rouler dans la farine, pink fluff et polar bear. Le tableau est blanc, desinspire. Comme la confiance que tu m'accordes et l'aide que tu necessites. Il est temps de vivre pour soi, dans l'auto-destruction creative et a coup de sang. Sur du papier mache au stylo bic noir. Etre destabilisee par tout ca sans trouver la sortie d'un labyrinthe circulaire. Je tourne en rond dans dans le souci de ne trouver le fil d'Ariane, trop maussade pour profiter de la carpe du jour. Noyee par le flot des pensees trop grises. Un banal quotidien ennuyeux de pauvre proletaire sans enfant, ni famille. A cote de tout et surtout de la plaque. Tu me comprends parfois ? Ou en francais dans le texte. En trop de perdition et trop peu de confiance. Oui je vais bien merci, le bois brille sur les murs. Plus que moi dans le four des meninges. Se vider l'intestin par l'abus de caffeine. C'est reparti pour un tour en blanc. Combien de temps, c'est la question.
Vendredi 12 octobre 2012 à 10:56
Du temps. Du contact. Du MD. De l'attention. De la complicite. Du sexe. Des sourires. Au moins tout ca si ce n'est plus. Se satisfaire et se taire comme une sotte. Encaisser. Regarder, conseiller, prendre son temps. Attendre la meme chose. Des disparites. Je me dissous dans une feuille Rizzla et traverse une paille de papier. Les mains moites et les muscles tendus. Je m'invente un bonheur provisoire sous les effets d'illusions chimiques.
Jeudi 4 octobre 2012 à 19:59
Ok. Par ou commencer. Dans un bain brulant. Le cerveau endommage et vide. Respirer. Respirer profondement. Fluide aqueux froid sur pied droit. S'effacer. S'effacer un peu plus. Disparaitre. Les muscles du dos ont grande peine. La communication restreinte. Se taire un peu plus. La brulure sur le bois. Un pied dans l'evasion. Je reste dans la realite. 57h et 45h. J'ai oublie la notion de 35h. Me noie d'ennui et de sommeil. Je divague dans la sourderie. Je contemple ceux qui agissent. Ceux qui vivent. Ceux qui sont. Je suis juste une eponge. Besoin de pleurer. De m'MDiser. Censure. Encore encore. Etat general deplorable. Cigarettes et idees. Je ne sais pas quoi faire. J'ai besoin de P80 pour pleurer de mes doigts des notes stridentes. J'ai besoin d'air et j'en ai deja trop. You right? Cette question n'a de reponse que dans la tonalite ou elle est posee. J'ai besoin de m'ennivrer. Dans les bras d'une femme.