It has been a taste of blood. Ses sarcasmes harassants. Son désespoir encombrants. Son omniprésence envahissante, pour ne pas redonder. La situation n'est pas durable. C'est comme demander à une mouette aphone de prononcer du russe sans ouvrir le bec. Ras le bol, assez, pronto, fuck sake. Alors s'en foutre, et se remuer. Tu as peur du vide. 
Ce n'est pas ainsi que la trace s'envisageait. Du mal à distinguer les chiffres en blanc sur un écran rose. Rien demandé à personne, le bouquin en main et se prendre. Pas mal de ces jeunes anglais sont stupides et creux. One shot not. Les idées s'entremèlent, discontinues. Les vagues s'enlacent tendrement. Je reste juste là, lasse, à vivre ou non vivre. Attendant je ne sais quoi, je ne sais comment. Je voudrais aller devant. A Berlin, Barcelone, Birmingham, Bamako. Juste bouger. Je ne sais plus où sont mes projets, si j'en ai déjà eu. Pas comment avancer. Plus à rien. Manque un clavier, un piano, et pleurer sur son blanc après un pétard. Le lendemain qui blanchit, l'oeil brillant, un bon plan, simple comme un bonjour. Simple comme Archive. 
Il disait : "Goodbye, Baby goodnight. You're my sweetheart" C'était réducteur. La filmographie de Padro Almodovar en espagnol. Revenir à la source pour être capable de crapahuter d'un langage à l'autre. 

I need to sleep. Personne pour parler français. Diet started by a bulimia crisis. HAHA, so funny. No regrets, no remorses, no memories. Trente-six mille interprétations, et un doigt mutilé. Repartir du début, revenir au rébut. Un goût de déjà-vu dans un bain de sang, de cervelles explosées, de cires amoureuses fondues et remodelées. 

Tu sais, tout cela, tout ceci, toutes ces mimiques. Juste réducteur. Une lame dans un édredon avec un peu de camboui sur les mains, c'est tout ce que ça signifie. Difficile de parler ou écrire en français, les mots s'envolent, se perdent. Et parfois reviennent, avec le temps. 
Je suis, tu es, il est, nous sommes, vous êtes, ils sont.
C'est un comble cette situation. Un comble à combler.