sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Jeudi 29 juin 2006 à 12:14


Joyeux Anniversaire Biloute de la Part de Ton Punk d'Amour et de Mimi-Pelouse. De moi aussi, étaler à pas d'heure les quelques feuillets marqueurisés dans les pièces du matin. Etre touché, te passer le message à 6h du mat en te disant d'une voix trop flaiblarde qu'il fallait le crier. Sentir ta main sur la colonne et la douceur si violente de la passion sur ma peau et ta voix rassurante. T'aimer des cheveux aux orteils jusqu'aux doigts et parties flasqueuses, tout l'être en trans, réveiller de bons démons. Aimer, aimer aimer aimer aimer aimer aimer aimer aimer aimer, que ça qui fait tenir. Mais justement y tenir. Comme au soleil noir et aux étoiles filantes, rester à mater.
Aime

Sortir voir les rugissements avec le ptit, le ramener chez lui, merci l'altruiste. Lilo.Tripper, sentir une redondance dans les mots, retrouver, foi d'animal, intérêt et principal. Noyeux n'anniv Noute.

Passer sous les coups de chapardage, crier au monde qu'il n'est que bavure d'encre sur une copie mal gribouillée. Lacher des palabres mal choisies mais spontannées, courir derrière la machine à enfoncer les clous dans les mains, idolâtrer le Dr Lecter, et vouloir bouffer de l'homme. Bouffer de la femme, de l'homme, car tout aussi repoussant. Humains abjects, juste bon à faire souffrir. Ne pas céder comme cela car mimitouplein et encore le même cauchemar, oreiller plein de larmes. N'aimer qu'eux finalement, elle, son autre moitié et la mienne. Puis les générateurs. Bouarg, c'est tout ce qu'il en résulta.

Jeudi 29 juin 2006 à 11:58



Taire sa rage, boursouFFlée. Avoir dépassé le seuil maximal, offensée. Casse, lasse, lasse, lasse, lasse, lassée, si passive. Esprit confus, en attente, période de transition. Ne plus savoir, ni maitriser, se demander si l'on peut encore. Racheter des futals, quitte à ce qu'ils moulent les cuissots. En solde, 10 balles, on s'en tape. Se voir plus tard, celle d'en face. Croiser son sourire, lui rendre derrière un masque de confusions. Mais sans les trous, avec la rouge attitude, un pococito rasé sur un morceau du derrière. A ma manière, devenir ce que je suis.  Niack, l'avoir, le savoir, la retrouver car perdue un instant.  Révolution en tête, apparences trompeuses. Poings levés, armes affutés, au combat, pas pour longtemps. Plus fort encore. Et vider le cendrier.
Le khôl, masque à rat, crême, massage. Peut-être essentiels à ne pas paraître trop junkie, lui faire plaisir avant tout et se sentir un brin calice, symbole symbolique. Fumer pour y croire un poil, trop chargé, ne rien sentir, trop usé peut-être, tout se joue dans la tête. Mollassone, bouge ton cul, tes mains et tes doigts, il a tout fait, fait tout. Aide-le putain. D'égo. Bouge ton cul. Insupportable impatience pas tenable.


                                                                
Et sur son horrible grimace se dessina un sourire hideux. Son visage se fendit littéralement dévoilant des dents jaunâtres ternies, usées et rapées par l'apport régulier de nicotine et tabacs aromatisés. La tendre mastication y joua aussi, si tendre fut-elle un jour. Morbide personnage, tout autant que sa proie, si belle, au sourire étincellant. Ne planaient finalement que méchamment dans la violence de leurs actes, la torpeur de son imagination. Un monstre à l'état brut, visqueux, dont la peau retombait ne plis distincts. Sans queue, femme sûrement, que ce nom commun en puisse lui être attribué. Blème jusqu'au fond ce qui lui servait d'utérus, qui avait serré en soi à maintes reprises, divers objets plus ou moins piquants, coupants et épais, pour soulager un dysfonctionnement interne à l'époque mal vécu - utérus pas tout à fait formé à cette époque justement. Avec une voix d'eunuque, criarde, trop aigüe, le regard maussade, une odeur de foutre sur les doigts, se baisant elle-même devant des sites sado-masochistes, sa sueur puissante et indélibile, un peau sèche et rêche, une présence rauque et austère  et une puisance charismatique charmante qui faisait qu'on l'aimait quand même. A ne rien y comprendre, mais impossible n'était pas. 

Reprendre les vieilles habitudes, ne plus se gerber, par amour ou je -ne-sais-quoi, par maîtrise même si le mot fait mal. Se gerber intérieurement, seule solution restant à son actif. Ne plus y arriver, se vomir soi-même est pourtant un droit. Peut-être un devoir, qui sait. Perception bien différente.
Entrer dans un monde presque inconnu, se forger une culture et des goûts bien particuliers. Se noyer l'ouïe. Apache, Maloka, APF, K-sauce, Bloko Automa, Dirty Punk, La Petroleuse, Do It Yoursel, entre autres, assos et des dizaines de groupes - déjà entendus finalement. Mieux les connaître. La soirée dessus. Des vertes et des pas mûres, des pourris, das marrantes, se culturer un peu, accéder à l'inacessible au fond, mais y être, écouter attentivement et télécharger un peu aussi. Beaucoup. Images. S'y sentir bien. Entrainant. Gargouillis de bulles d'Ozer. Penser trop, juste parler et parler juste. Ne pas de venir ce que l'on n'est pas. Musicalement   grasse mat'. Un monde aussi attirant que repoussant, où la femme à sa place et l'unisexe aussi. Une sorte de paradoxe révolutionnaire satisfaiant tout membre de la communauté. Devenir une bête, par choix, par envie, parce qu'on l'est. Sedemander si le machivélisme et le cynisme était là avant, est-ce la rage et la haine qui l'ont réveillé ? Voulait se faire détester par tout, parce que rien de plus mérité que cela, qu'un rejet fatal et irréversible, pour un sujet si triste et inintéressant. Se contredire dans ses propos. Esprit mélangé, pas encore métamorphosé, évolution lente, trop lente, trop lente, trop lente, trop lente. Basse idem, ne pas pouvoir, ne plus pouvoir, ne plus savoir, ne plus se sentir avec eux.
Seule et démotivée.

Pourtant, elle avait son futur sous les yeux, deux mois à jouer avec sa face, à changer les masques au gré du temps, du vent. Retrouver les actions perdues, pour confirmer ses dires, même bourrée.  Puis elle aurait une heure et quart le midi pour avancer ses cours du matin, faire ses devoirs pour mieux progresser sur la 4 cordes le soir, gagner du temps. Même pas un repas : externe, et le soir, feindre toujours ou un peu, pas selon la motivation et l'envie d'être désirée ou de plaire. Puis elle sait que sa double vie de junkie et fille modèle battera son comble. Fondre comme chocolat au micro-onde, la semaine en plein labeur, un coeur enfoui sous les couches de graisse et la faire disparaître. Obtenir le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière aussi moche soit-il. Etre la crémière parce tout faire pour devenir ce qu'elle veut être, parce qu'elle l'est. Fréquences ondulantes de ferveur magnanime, sinusoïdes chaudes et gracieuses. Avoir les notes, l'affront, le regard, le courage devant eux, se cacher, tacher, gacher, double vie devant les autres mais montrer sa différence trop apparente pour la dissimuler et la vanter parce que justement trop flagrante pour être loupée. Elle l'assumerait de son mieux, aurait la vie qu'elle veut. Diriger sa vie, surmonter ses angoisses, défi au quotidien qu'elle réussirait. Seul rêve à présent dans sa tête, que tout se passe comme prévu.


Penser à elle, plus que nécessaire. Vitale. 
Adoration.
Seule supportable.

Extraordinaire brin de.
Confidente, en sais plus que tous, comme une vraie.

Dimanche 25 juin 2006 à 13:24




Papotage du soir, espoir. Compris le problème, effort à faire. Juste les mots qui ont fait mal, injustifié. La fatigue, cause de ça, mais incompréhension de my. Puis, le punk lui faisant ouvrir les yeux sur des choses essentielles et l'effort fait immédiatement. Bravo. Savoir sa peur, me voir mourir ou faire de l'hypoglycémie, me retrouver allongé, immobile en rentrant, hosto si proche. Lui se sentant trahi jusqu'au fond de ses entrailles, cacher le problème, mais comprendre la honte. Colère dans la voix, douceur quand même. Mérite plus. Peut-être que oui, malade. Comme une drogue surtout, pas malade. Follitude, drogue. Même pas capable d'expliquer ce qu'il se passe dans le for intérieur mais savoir qu'au moins tout est clair, lui heureux de voir les efforts, les pseud-efforts en apparence. Le minimum pour les respecter. Manger un peu, pour pas qu'ils ne désespèrent "J'avais envie de taper partout et lui aussi, vous vous rendez pas compte le mal que vous nous faîtes, sans le faire exprès certes, mais quand même"
Tout redémarre du bon pied. Plus qu'une semaine pour le Centre et ses bars. Avant-goût de nouvelle vie. Savourer chaque instant. Complicité plus grande que tout. Perfection. Partage. Recette des meilleures, bouffage d'amour et de proximité. Miam !
CDD renouvellé.

Dimanche 25 juin 2006 à 12:00


Comme à chaque conversation, la fatigue aidant, esprit chahuté à mort. Comme à chaque fois, cervelle effarée qui s'exprime, soucis à l'état brut. Comme à chaque conversation, exposer des arguments égoïstes, faire voir un autre côté. Comme à chaque fois, sans penser, lâcher naturellement la réflexion minuscule préalable, si il y a - et la colère accumulée.  Neutre, avocat du diable. Dialogue paisible, pas dans la tête, bousculée. Le pire, savoir un peu déjà, vouloir changer de façon de voir. Bad total, disparaître, trop de fatigue entassée. Plus envie. Changement d'appart guidant les priorités. Attendre de franchir le pas. En attendant, le vouloir lui, comme au premier jour. Juste lui. Dormir sous ses bras, épuisée. Arrêter de cogiter. Anéantie.
"Il faudra qu'on parle, j'ai entendu des choses que j'ai trouvé injustifiée" Ako, y'en avait. Ne demande que ça de parler. Dommage de faire autant de remue-ménage pour cela. Pas bourée au début, hyper nerveuse. Peut-être trop de violences à exprimer, exprimer au jour le jour les hics sans attendre que l'esprit n'en puisse plus. Tête qui tourne dès le début, gravité du cas à la fin. Ne pas imaginer, affligeante. Plus qu'honteuse, mais après tout assumer. Juste entendre d'une autre bouche, pour confirmer, infirmer, expliquer. Problèmes d'imagination, hypocondriaque de la vie. Obtenir finalement ce qu'on veut, une discussion sans qu'Il ne prenne la mouche. A suivre, "Ce soir, on éclairera les choses, tu veux". Akodac.
Devenir celle d'avant et celle de maintenant. Exceller. Basser, basser. Comme une OC en puissance si ce n'est peine perdue, sentiment qui fait mal, se sentir en trop. Fatalisme à battre à coups de médiator, je SERAI une vraie onde un jour aussi. Un jour... Résister, exténuée du mal à comprendre, cervelet ralenti. Résister, devenir tranchante, en trans, oui. Le modèle de réussite, scolaire et tout. Etre soi. Parfaite, au moins pour lui, avec lui. NOUTE ! Complexes machiavéliques à faire dégager. Seule contre moi, avec Mimi-Pelouse. Seules contre tous. Contre personne. Battantes, seules pas tout à fait du tout. Contre juste parce que pour prouver, ou au moins, SE prouver ou LEUR prouver. Ne plus se laisser animer par des pensées destructrices et l'appel des lames. Aller de l'avant en s'affirmant encore. Capacités à exploiter.

Sympathoches teintures, envie de rouge tout rouge, de raser, attendre cheveux longs.

Samedi 24 juin 2006 à 0:46


Bad. Bad bad. Suceuse de bite. "Baise-moi" Besoin de substance pour exprimer les sensations internes au bon fonctionnement. A la dérive. Distance et habitudes.  In bulles. Différences notables. Sâoûler les invités, ami-amie. Cohérence des propos. Get 27 fini. Comme un trou. Gerber un vide stomacal-baiser. Pleurer comme la bite. Du foutre encore. Nothing, larmoyant. Vouloir tout vomir. Stoïque, inerte, immobile, passif. Insupportable. Casser les vitres. Salope en puissance, ado en crise. Problèmes nulle part, juste de l'imagination. Pas conscient, bourré, rend pas compte. Faire chier ses plus proches cailloux, Silex. Partir prendre l'air, respirer un peu, ne pas faire de tour. Faire peur sans savoir. Prendre des décisions, se satisfaire des silences, rythme lassable, se satisfaire de la chose. Apprendre à aimer la distance verbale et s'en exciter, penser ailleurs, laisser faire. No comment. Et bien tant mieux. Pour se faire remarquer, insignifiante. Arrêter tout simplement et se résigner. Sans conclusion.
Changement trop visible, mains baladeuses, peut-être le fruit d'une conversation amicale. Complices. Juste gros merci.


Admirer tout bonnement. Jolie chose, même si y croit pas. Sur le cul, volonté absoute. Dire "je suis". Comparer en se dégoutant mais atteindre le but du bien. Pas mal. Effort.
DEUX ! Bouffer des galettes bretonnes, culpabilité fatale, HONTEUSE à mort. Va chier !

Jeudi 22 juin 2006 à 20:04


Résumé de l'épisode précédant. [21 juin]
Graisseuse, bouffie grossit. Piqûres d'araignées à huit pattes, bouton deux pattes. Fête de la musique, Noïtall devant les frères Berthom. Voir du monde. Kiki, No'm toute seule, va te faire foutre. Ingrid absente au secouage de neurones, coctail molotov au Shaker, joues rouges chaudes qui monte au cervelet. Loute mort, revient ptêt pas ce soir. Pisser des litres de gringo. Constipée, gros bide de femme enceinte, honteuse. Loute insatisfait, amour décadent, qui sait peut-être pas. Rien dans les yeux. Plus assez attiranten grosse vache. Merde envahissante, inutile qui parle trop pour rien. Inintéressante, a fait le tour. Grosse truie à éventrer. Des coups de randjo qui se perdent, m'en fous. Vivre avec la maussadité répugnée. Viscères de feu. Se les arracher. Remplie. Quatre en une semaine. Même pas faisable. Passe trop vite le bon temps. A Saute-Moutons. Croiser Natha au café des Ours. Les 3 OC au complet. Tâche rouge au milieu, menstrue de merde. Joe Dalton, teigneux à tuer. Moi pourtant Averel Bouffeur. Du n'imp, en trop dans cette unité désunifiée. Même pas tendue. Blâmée.
Crever de jalousie. Etat des lieux. Ménage, Monaco.

Crême fraïche x 1
Comcombre x 3
Gruyère x 1
Oeufs x 1
Lait x 2
Limonade x 1


[22 juin]
Envie, bien dans cet élément musical. Belle à en crever. Volonté rien qu'en te voyant.
Fait chier les crèpes. Envie de faire, pas de manger. Catastrophe pas catastrophique mais ne pas remettre à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui.
Enfin survivre quand même, comme toujours. Pas le choix. Murge pour rassurer, se sentir bien même pas bien, se sentir deux pour ne pas mourir de solitude. Ca fait du bien de lacher les langues. De la compréhension j'te dis. Bad trip, peut-être. Mais à deux.

Re-commencer. Futilités débiles, ostentation trop grande, aiguille qui penche à droite. Trop d'ailleurs. 41. Balance qui fait chier.
Boire, boire, boire et encore. Ne plus penser, panser. 120 calorie toutes les 5 minutes à 18 degrès. 200 calories dans la journée pour 20 clopes environ. Poumons qui en redemandent. Pink elephant. Vite, très vite, pour se la pêter. Parce que j'aime. Goût miamesque.
Envie.

Lundi 19 juin 2006 à 20:32


Comme quoi, que des conneries dans les journaux des peoples. Et j'en connais pas la moitié...  C'est qui ces filles ? Pour le peu que je connais, je suis certaine que les données sont faussées. Ces "stars" pour une partie du commun des mortel ne sont qu'os et chair. Elles sont plus légères. Tissus de mensonges et toutes ces petites y croient ! Comment nous prendre pour des connes ! Hallucinant. Ne pas y se laisser berner, chérie, on vaut mieux que ça ! Que des poufs !
Et Sid Vicious, il pesait combien ? Et Nancy Spungen ? Ca, tout le monde s'en fout, et le poids de Courtney ? Et celui de Yoko Ono ? Des 54 Nude Honeys ? Pfff, misérables callypiges conditionnées que nous sommes, obligées de lire de telles absurdités puisqu'il n'y a que cela ...

Lundi 19 juin 2006 à 18:56


Mimi-Pelouse ! Enfin une vraie, comme je les aime. Déjantée, naturelle, qu'en fait pas trop comme moi. Qu'est bien ! Pareil. Même pas à qualifier. Trop chanceuse je suis, chanseuse, nous sommes. Chiante, mais même pas vrai. Super Berneudaïne. Youki Hippie ! We Love You et surtout moi. Artistes incompris, le meilleur pour s'affirmer. Rester soi et assumer. Crier mon amour pour la Musique qui vibre dans ses veines, parce qu'elles, elles la vivent. C'est dans le sang. Un jour, j'espère, ensemble. Parce que je me sens bien, avec comme elle. Savante mixture. Public pas prêt à attendre. Oreilles de gamins et groupe de merdeux. Sex Toys en plastique, même pas bon, même pas agréable, une daube de recopiage et d'identification même pas ressemblante, pas stylés, pour faire comme les grands, paraître, juste paraître original. Des vrais ados en crise. Culpabilité du coupable, le chantage se paye, tout se paye. Dommage. Ado en crise aussi.
Puis nous, à côté. Deux, toujours deux. Toi manger le soir, moi manger le midi. Toi devant eux, pour faire bonne figure, moi avec lui, pour faire bonne figure et pour ne pas qu'il désespère. Qu'il se dise, qu'au moins, on peut être sauvée. Même si c'est un leurre et que c'est juste ça. Marshmallow jaune-banane pour la décoloration. Marshmallow vert-pomme pour Mimi-Pelouse. Marshmallow rouge-fraise pour Asti-Gribou. Parce que c'est bon ! Hihihihi ! Mimi-Gribou, mélange de nous ! Me sens bien, comme ça, avec des cailloux comme ça près de nous. Parce que c'est des vrais cailloux qui nous oublient pas. Amie Mimi-Vert, être un caillou, c'est quelquechose de très très fort, j'te jure. Je n'en ai pas beaucoup. Mais j'aime ton herbe flageollante dans les blés établés.
Oui, plus mieux dans le corps, pas trop, juste les cuisses qui pourrissent tout le décor. Psychotie à laquelle on s'habitue. Gridou, ton "tu as grossi et ça te va bien" d'il y a quelques mois, ça m'avait pas fait du bien. Non, pas bien, ça va pas bien, pourtant toi tu sais les trucs qui faut pas dire à quelqu'un de malade de la bouffe. C'est ptêt pour ça que je t'en veux. Parce que tu es toute maigre des cuisses et que tu dis ça à moi ! M'en fous, je suis plus aussi grosse. Mais pas rancunière, te rends juste pas compte. Dans la tronche.
Ville qui dort, groupes caféinés. Pas assez de jeu scénique, de rage et d'actions, une fille passive devant des bonnes paroles rageuses et engagées. Puis trop de grognements, du gros brouillon, des mecs qui en peuvent plus et qui se sentent original en voulant s'exclure du système, se rejettant de la société en abusant paradoxalement d'exemples contradictoires malgré une affiche soi-disant apolitique. Désespoir de l'organisateur. Public presque envie de se suicider. Que de la bière ou des boissons sans alcool. Soirée pimpante parce que là, ici, en Touraine, là, ange qui passe, verdure qui trépasse.
Rire et chanson. Que punk ? Pff, pitoyable. C'est pas des "Babies" in Toyland ! Sacrilège ! Alex=ex-mythomane qui croit que je connais pas. Rancid, Babes (et pas Babies), bah oui, c'est connu, pfff ! Pitoyable.
Voisin gentil qui parle avec les jeunes filles dans les escaliers. Le corps exquis. Dévoré ! Aimage de psychopathe sanguinaire et sanguinolent. Histoires d'amour, pûreté aveuglante. Sang, masochiste, sadique. Mais se retrouve. Oui, recommencer les bêtises parce que fait des bêtises. Mais fini. Plus recommencer !

Un jour, comme ça.

Lundi 19 juin 2006 à 18:22


Ils se sont passés ton corps. Leurs mains !
Ils ont écrasé ton corps. Leurs yeux !
Ils ont mutilé ton corps. Leurs bites !
Ils t'ont déchirée, éventrée, fracassée, ravagée... Annulée !

Tout à coup y'a plus personne, plus que des cris qui résonnent ! Tout ce sang !
Sous la douche tout oublier, l'eau ne peut tout effacer. J'vais crever, j'veux crever !
Tu frottes le sang sur tes cuisses sans jamais que ça finisse. J'ai mal !
Tes pensées se font nausées, ton existence... ARRETEE !

Je ne veux plus la fermer. Jamais ! Plutôt crever !
Combien de femmes se font violer ? Partout, tout le temps !
Mes désirs contre ta volonté ! Crime sexiste.
Mes soeurs nous allons nous venger !!! J'existe !

Ils se sont passés mon corps.
Ils ont écrasé mon corps.
Ils ont mutilé mon corps.

La honte est ta pire ennemie ! Laisse exploser ta colère !
Isolées nous sommes bloquées, l'union fera la liberté !
Donne-moi des balles pour ces machos qui nous ont mal !
Donne-moi des balles, la vengeance sera radicale !
DONNE-MOI UN FLINGUE !!!!


Vendredi 16 juin 2006 à 23:31


Ne supporte plus.

Vendredi 16 juin 2006 à 14:29


Vernis rouge impeccable. Pattes nickel. Doodle. Papier cadeau tue mouche. Papier gnagnagna, tube tout simplement. Papier Q, papier cube. Noeud-noeud tout ça. Citizen Erased, Mano negra, Death Comes Ripping. HA-3500. Prise casque. Aller-retour plus que périlleux, insister. No réussite. Patience.
Conjonctivite. Infections dans l'oeil. Purulant liquide lacrimal. Nettoyage occulaire. Dacriosérum et lunettes de rigueur. Fini demain. Marteau.
Cheveux intenables. Bandeau de secours. Moins de 24 heures. Pas faim. Manger à sa faim. A la faim de son organisme. Se convaincre, même si on n'y croit pas vraiment. Il faut juste que ça ne se voit pas sur le corps. Parfait. Crême oubliée. 46 pour les cuisses. Juste moins, c'est tout. Pas d'allure. Diplodocus. Galettes de céréales pour combler l'envie. Ne plus céder à des pulsions boulimiques. Etre normale. Juste quand le but sera atteint. Mais se préparer psychologiquement. Le dire, le répéter pour mieux pouvoir combattre la sensation de pouvoir et de domination. Je serai celle que je veux être. Mais que veux-je devenir ? Choix difficile entre squelettor battant yoyo ou squeletor mourrant. Comment ça, pas possible ? M'en fous. Je m'en sortirai, non seulement vivante, mais gagnante de la bataille contre moi.  ET TOI AUSSI... Y'a pas de raison. Se stabiliser au poids P. C'est tout. 37 en vue et 37 le 29 au plus tard. 37-39 tout le temps. 39-40 max pour tout le temps. Voilà. Après, trouver la sortie de secours. Il y en a une. Les deux sont compatibles. Trouver l'équilibre. Pas seulement alimentaire. De quoi survivre et même vivre. Mais sans excès. Juste ce qu'il faut. Et nos notions sont faussées pour l'instant. Nous le savions. Consciente devant le brouillard qui nous cache la misère.
120 Watts bien insuffisants. Croisons les doigts pour qu'ils ne soient pas seuls.
Semaine de folie en perspective. De samedi à ... Samedi ? Basser pour ne pas avoir l'air ridicule si je dois montrer ce que je ne sais pas faire. S'y remettre et ne plus s'arrêter pour mettre à jour un blog. 6 morceaux à connaître et apprendre par coeur.


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Même avec des madeleines, toujours un modèle de beauté pour moi. Alors ne pleure pas. Jean-Paul Sartres... Episode de. Deux ? Même chose avec les pailles d'or avec ma Maman. Pique-nique et balades en forêt. On baddera pas ensemble. On y croira. Jusqu'au bout, toutes les deux. Et on vaincra les démons perdus bien profond. Qu'ils aillent se faire foutre. Nous sommes plus. En parler de vive voix. Un peu bourrées, ça sera trop simple.


Jeudi 15 juin 2006 à 21:51


Cession basse toute la soirée à venir. GNA ! En manque de coups de doigts. En manque tout court, médiator jaune. Samedi approche. Gneeeuhh ! Pressée. Fuite artistique pro-éminente. Jeu scénique et jouer de scène. Se trimballer d'accord en accord. La jouer sexe. Cheveux rouges, cheveux verts. Détester les cheveux. Attendre. Grandir des poils de tête. Vite ! Pas de forme. Difforme, informe. Nonchalance contestataire. Attacher tout ce barda.

Déjà dans le BTS. S'attirer la sympathie. Naturellement. Bienvenu, accueillante. Être sociable sans le vouloir. 10 créteux. Réguliers. Adulation de Sid Vicious, personnage. Juste personnage. Ne pas s'identifier. Avoir la carlingue en feu et sortir le grand jeu. Parce que ! Pouvoir de séduction et provocation. Profiter de la liberté.
Taxi fini. Ne plus profiter. Aller au taf à pied. Ca fait les cuisses et les fesses. Comme une grande. La fatigue tue la complicité. Chacun, à soupirer. Mais ensemble. C'est un leurre en fait. S'aime. Tout dans la voix. "Tu es toute maigre de là." Effort. Et fort. La fatigue ne tue pas la complicité.

"Les Delphine(s) sont toutes des bavardes" Présent de vérité générale. Pour ne rien dire. Inutilement, futilités débiles. Marre de se foirer. Alourdir la tâche. Viser juste. Ne pas remonter. Se romper une fois encore. La dernière. Penser à la question fatidique pour progresser. Y croire. Juste ça. Besoin d'assumer, de se voir. Dégouliner. Fondre, comme neige au soleil. Non, assumer. La route n'est plus très longue. Avant le 29. Avoir le 16 tout rond.
"Soyons plus futés que le bison."
Plus que 2 jours.

Jeudi 15 juin 2006 à 21:33


Pervertie et castration !

S - Ca vous fera 81,71 euros, s'il vous plait Mr. Vous règlerez comment ?
C - On peut payer en nature ?
S - Je vaux plus que 81,71 Mr. Et vous n'auriez jamais assez d'argent, même avec tout l'or du monde pour vous payer ce luxe. Votre irrespect me met sur le cul. Si je peux me permettre... Enfin vu votre respect, je peux, je pense.
C - Non mais...
S - Ca vous fera 81,71 euros, s'il vous plait Mr.
C - (Marmonnage) Vous savez pas ce que vous perdez...
S - De quoi ?
C - Non, rien, je me parlais à moi-même.
S - Et bien au revoir Mr. Bonne soirée.
C - ...
S - Quel con ! Excusez-moi Messieurs-dames, mais je n'ai pas d'autres mots pour qualifier ce genre de personnages. Bonsoir, Messieurs-dames, vous avez une carte de fidélité ?

Jeudi 15 juin 2006 à 9:37


Anniversaire d'une fleur. Mimi Pelouse.
Ai des soucis pour remettre les choses d'aplomb. Croisage de doigts. To be strong, to be strong. Trust in you, trust in you. You're better that tou think, you're better that you think. Méthode Couet à utiliser continuellement. "Tu es mon modèle". Merci Puce, c'est vraiment trop pour moi, et ce n'est pas si simple que ça. Tu y arriveras toi aussi. Croire en soi. Caramba, encore raté ! Echec de mi-journée. Pas grave, pas plus de la dizaine d'au-dessus. Ne pas se dévaloriser pour peu. MOTIVATION GENERALE des troupes !

Phil Spector, Ramones, Paul Ramon, Paul Mc Cartney, Les Beatles, Lennon ... Tout est lié. Vraiment. Précurseurs de toute musique rock, fan à 5 ans, originale petite bestiole qui n'écoute pas de boysband, parce qu'elle n'est pas "in".
Profil et qualités correspondantes pour le BTS. Même pas trop de questions, parcours en zigzag, défi scientifique, réussite. Bac général, atout avant tout. Seul souci de garder le taf, souci intempestif évincé. Contrat déterminé presque signé. Tutoiement et à l'aise. Perfection. Mac Intosh. Infographiste. Presse écrite, visuelle. Contacts. Vive la cafèt' !

Pas de le  temps de basser, verte comme la pelouse. Un peu, beaucoup, à la folie. Ce n'est pas comme ça que tu progresseras. Dégage, sale ange d'épaule de mes couilles, la culpabilité pour si peu, ce n'est plus pour moi. Je ne suis plus ce que j'étais. Et non ! Fragile petite larve sans aile (comme une "arve", sans "L"). Je me rattrapperai demain ! Pas besoin de leçon de mon inconscient qui s'agite. Je vaux mieux que ce que je pense. Na, va te faire foutre, rabaisseuse à la con ! Toute façon, je crois pas aux anges, et encore moins sur les épaules. Alors autant me croire et me faire confiance. Assurance ! Non mais ! Vais pas me laisser bouffer par moi-même en plus ! Me rattraperai demain et vlan, comme ça, porque yo lo valgo ! Petite SRX... A croc-accro.

Mardi 13 juin 2006 à 12:20


Dès le réveil. Juste la bile et l'acide fermenté. Douleur abdominale. Systèmes digestifs en combustion. Ne pas abuser de la rhubarbe en cachet. Se vider par tous les trous. Gerber son insécurité. Sans rien. Tout seul. Détraquée... Va t'recoucher ! Plantureuse et débonnaire. Jolies Choses. Faire la salope. Dernière carte en main. Trop chaud. Barbie fondante, ca croustille sous les dents. Mords, croque un morceau et tu verras bien. Tu deviens encore plus transparente. Autre registre mal maîtrisé. Ne pas regretter, culpabilité de merde. Fixette. Drogue dure et compagnie. Indépendance fatale et foetale. Gamine.Plus de piles ailleurs. Le double. Le crier haut et fort, parce que se vider est nature. Crever d'envie. Vie parallèle et absentéisme. Tu seras chatié de ta témérité. Faiblesse probable. Cherche pas et retourne à ton médiator. Tu sauras ptet faire un truc au moins. C'est pas une certitude. Se branler l'esprit. Pour finalement s'en contrefoutre et s'en taper de bonnes. Motivation des rangs. Non, dégage, t'as que ça à faire. Manque. Plus que quelques jours. Sang vaginal. Sûrement une reprise de la perte pondérale, pilule jaune rosée qui enveloppe. Comment peut-on être aussi énorme ? Se vomir soi-même est un droit. Sexe faible pas si faible. Plus fort. Mais patou-patou. Haïr les menstrues. Sentir le squelette. Juste ça, morte vivante. Parce qu'un cadavre est un cadavre. Je suis loin de là. En attendant, jouer la salope et se dire qu'on est deux. A deux, on est beaucoup plus forte.
Raccourci clavier : ^^^^^^



J'aime pas les pomelos anthropophages.

Lundi 12 juin 2006 à 18:27


And One,
x - Mission Impossible - Theme of film
x - Mano Negra - Mano Negra


One, Two, 
xx - Citizen Erased - Muse
xx - Death Comes Ripping - Misfits

Three, Four !
xxx - Welcome Home (Sanitarium) - Metallica
xxx - Nothing Else Matters - Metallica


Lundi 12 juin 2006 à 12:38


Minuit.
Corps en manque, signaux nerveux : "lève-toi, va dans la cuisine et mange".
Non, et puis quoi encore ? 
Réplique de l'organisme : insomnie.

Chaleur étouffante. Se tourner d'un côté puis de l'autre, position foetale. Aucune confortable. Sentir ses os, et la sueur qui s'enfuit des pores, qui souffrent. Ne pas mettre de drap. Ouvrir la fenêtre. Voir défiler les chiffres sur le voyeur à quartz. (Arrête de mater!) Dormir toute la matinée.
Mettre un peu d'ordre : cuisine, chambre, salon à peu près bien. Vers la perfection. Etendre lessive, ranger linge-aspiro-seau-serpillère qui traînent. Une demi-heure de rangement puis répit-basse. Download Les Jolies Choses. Huuuu !


- Dis, tu seras fier de moi quand je saurai jouer de la basse ?
- Je suis déjà fier, tu vas plus vite que moi. Quand j'ai commencé, je ne pouvais pas jouer ce que tu joues déjà...


Je l'avais dit... Et j'ai gagné. Rage, faire ses preuves. Gné !
Exos, acenseur, escalier. Aller aussi vite que lui.
Réitérer. Même si ça passe même bien.
Puis commencer une des deux.
Welcome Home ou Nothing Else. Dilemme ...


Avancer aussi vite que possible, prête en septembre.
     Fixer un but bien haut.

          Bass Frequency.

               Communion avec l'instrument.
                    Comprends encore mieux.
                         Deux amours.
                              J'aime ...
                                   Musique ...

                                        Aller toujours plus loin.
                                            
Vise toujours la lune, car si tu échoues, tu atteindras les étoiles (proverbe arabe)

 
 
(Contente d'avoir le bac)
2 galettes à midi.
Jardinière de légumes ce soir.


Dimanche 11 juin 2006 à 11:06


Hier, finalement dîner chez Vieille Motte. Repas normal. Salade thon-pommes de terre-tomates-oeufs + saucisse + côte de porc + chou à la crême fraîche + pain. Tout est assimilé et utilisé par le corps dans ce qui restait après mon passage et mon flirt avec Wouawoua. 39,5 au matin. Je peux maintenant sentir mes os, les voir même. Colonne vertébrale, clavicules, côtes. Squelette apparaisant progressivement. Même les cuisses maigrissent. Un tout petit peu. Ne pas rentrer dans ce jeu de l'anorexie donc voir l'amaigrissement et, à défaut de s'en contenter, être cependant heureuse de voir une bonne différence avec avant. Today, beet and brown rice wafers.
Doodle travaillé en rentrant pendant une heure. Dernier riff travaillé. Plus qu'une transition et le tempo... Et jouer debout... Effort sur le poignet, grand écart plus facile pour les ptits doigts. Doodle qui passe bien même. Avis de gratteux. Basse vibrations all day... Trouver un nouveau morceau à jouer, peut-être Welcome Home (Sanitarium) ...
Mouahahaha.

Et même pas vrai. Rien du tout. Pas de nouveau, juste demain, un des deux. Difficile et accessible. Que du travail de doigts. Je trompe P-80 avec SRX-500. Pas qu'un peu. Salope de pute, et j'aime ça ! Bi-partenaires. Blog secret et papotage. Et les autres, hein ? Calimero, coin-coin. Juste une menthol, paquet comme la pelouse, bientôt. Herbe verte trop foncée dans les champs de blés décolorés. Bisou, bisounours, kissounours.
Caméra action. Blagadonf teuf teuf. Poilage and gaussage.
39. Raté. Bien raté. La jointure m'a fait cédé. Les veines visibles sur les mains. Douche-shampooing. Crème. Somnifère dévidant pour l'Homme habitant le lit. Caresser le squelette, côtes toutes visibles. Muscles tous dessinés. Descendre. Sentir son désir. Ne pas céder. Patienter. le cuire à feu doux. S'entraîner pour l'aller-retour. Ramasser le foutre sur son ventre. L'embrasser plus tendrement. Sans dents, sans doigts. Bises douces et pleines d'amour. Puis fermer la porte.
Chut, il dort...

Dimanche 11 juin 2006 à 10:53


Casser le poignet. Ecartélement des doigts. A travailler, tout est lié. Métacarpes en feu et corne naissante pour éviter de se déchirer l'épiderme. Bouts de doigts brûlants écarlates. Exercice. "Pff, on est mal barré avec toi..." Je t'emmerde. La pute que je suis peut se trouver un groupe si elle te fait chier. Les mots qui font mal. Guerre ouverte de dix minutes "Tu le regretterais plus que moi." Keep calm and motivation. Reprendre même si les doigts n'en peuvent plus. Gratter encore, coups de médiator. Secs, cassants, frappants, énervés, mettre sa rage en musique. L'impressionner et le faire mentir. Passer son temps libre à apprendre et développer doigté, agilité, rapidité, coordination des membres... Lui montrer qu'il a tort. Que je serai à la hauteur. Toujours progresser. Ne faire que cela. Ne pas prendre le temps de manger pour jouer. Bonne excuse. Pour atteindre le but, les buts.
Changement de dizaine imminent. Sûrement pour dimanche. S'accepter de mieux en mieux malgré la douleur paralysante intermittente de l'organisme en manque. Juste le temps qu'il épuise ses ressources et commence à s'habituer à ce tarif.
Yeux en soucoupe, mecs. En rond de flan. Epatés. Toute la discographie ? Non ... Doucement mais sûrement. Suffisamment pour en prendre plein la vue. Ebêtés, comme des cons. Tant... Content, l'est content Mickey !

3 galettes de riz complet

Vendredi 9 juin 2006 à 13:48


BERNADINE : 17 juin à La Bouexière dès 20h30. Pressée de te voir jouer Ma Chérie. La bouffer des yeux, d'envie, dans son trip, son moi valorisé. De papoter et se murger. Jeûne Filles Rock Sex Music...

Basse : Doubles-croches et allers-retours. Mots composé et tiret. Tiré-tapé pour un jour.
Baillements : Fatigue bien présente.
Baiser : En manque. Racheter pilules roses. Marre d'être une fille.
Balance : 40,5. En progrès.
Bisous : Besoin de petites attentions. Noute vraiment parfait, tout compris...
Betteraves : 280 gr donc 110 cal. Plus rien niveau ...
Bouffe : Pour aujourd'hui, plus rien.
Boîte aux lettre : Vide, pas de réponse pour le ...
BTS : Surveille le facteur. Marre d'attendre aussi.
Butch : Prendre des adresses-mails pour rester en contact. Concert pour la finale du tremplin 101 le 17 juin à la MJC de Joué-Lès-Tours. Faire de la pub parce que l'entraide est nécessaire et qu'ils le méritent.


Samedi 17 juin 2006 dès 20h30
¤_¤   Concert de Bernadine à La Bouexière !!! (30 km de Rennes)     
          Finale du tremplin 101 avec Butch à la MJC de Joué-lès-Tours. (Tours)

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