sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Jeudi 30 avril 2009 à 19:17
Je suis kéblo. J'aurais aimé aller courir, même si je ne suis pas capable de courir toute seule. Parait que quand on veut, on peut.
Pourtant il y a des choses qu'on ne maîtrise pas et qui conditionnent une vie : pour être pompier volontaire, il faut mesurer minimum 1m57 (tolérance de toise comprise). C'était mon rêve de petite fille.
J'ai de nouvelles idées de photos pour mon thème série noire. Yeah Baby.
What do I do next year ? Faut que j'apprenne à me lâcher.
Mercredi 29 avril 2009 à 18:03
Je suis si porifique. Ca marcehra jamais. Je n'ai pas de vocabulaire. Et j'ai oublié ma cervelle au fond de mon sac. Sous la batterie du Dell. So fine. Bref. Ceci est un échec. Et j'assume. Pour la peine, gratin de pates. Ca lui fera plaisir, au 'ion.
NE PAS SE LAISSER ALLER A LA COLERE, GROGNASSE ! Keep calm.
Stricte nécessaire = moyen, faudrait que je me remue la croûte. Il le faut.
Mercredi 29 avril 2009 à 10:01
Qui eut pu croire que nous aurions un jour 18 à un exposé minable, préparé en 3h la veille, devant Sangoku et Freezer en plein combat ? D'ailleurs, retenez, vous l'aurez compris, Apeloig, typographie, quadrillage, géométrique, inspiration, diversité, double vie à l'affiche. So do I. Hinhin, comme dirait Voin.
Aujourd'hui sera Bacon, jambon et oeufs brouillés. Fastoche juego de palabra. Il faudrait que je fasse un ppt et que je mette mes idées en place, scanner les images du bouquin. Aujourd'hui, il suffira de comparer Bacon à d'autres et de le situer dans l'histoire de l'art. Le reste ne sera qu'improvisation, parce que si ça marche comme en com, l'impro, et bien, l'impro. Ma lecture en diagonale de ce bouquin incompréhensible a sûrement laissé quelques traces, même si mon amoureux de Sangohan me faisait de l'oeil à travers cet écran obnubilant.
Then :
** Biographie (photos - portraits)
- Explorer son évolution, ses recherches
- Blabla sur sa vie : (Tableau 1), contexte, comparaison avec influence/inspiration
(comparatif)
- Blabla sur sa vie : (Tableau 2), contexte, comparaison avec influence/inspiration
(comparatif)
- Blabla sur sa vie : (Tableau 3), contexte, comparaison avec influence/inspiration
(comparatif)
- Etc. ...
- Ruptures (tableaux)
** Conclusion :
- Apport dans l'art ? Novateur ? De quelles manières ?
- Thèmes sujets glauques : représentation de sentiments, d'abstraction. Gnagna.
- Technique : mixte, utilisation du flou, impulsivité des gestes. Gnagna.
- Donc c'est le mec le plus génial de la Terre.
En faisant ça, on peut dire de la merde. Tant qu'on essaie de suivre son plan, on peut avoir un max de points. Ca, ça s'appelle de la gruge et c'est pourquoi j'ai des notes pas toujours trop trop moches. Parce que sans se fouler, on peut arriver à les satisfaire. Il leur en faut peu finalement. Je suis STUPIDE, oui.
Hasard hasardeux, les deux sont homos. Coïncidence ?
Dimanche 26 avril 2009 à 12:20
La mission, si vous l'acceptez, est de tagguer le salon du Gros caillou Nonma. Les paroles de La croisades des Enfants devront figurer sur l'un des deux murs. Armé de bombes fournies par Nonma en soneper et d'amis graffeurs, vous n'écoperez ni de grade à vue, ni de travaux généraux, ni d'amende de 2000 euros et de confiscation du matériel.
La mission se déroule dans le Centre de la France, à Tours. Vous trouverez vous-même les moyens de vous y rendre.
Vous serez d'ailleurs hébergés et nourris, chez Papi'ion, et chez le client pour le (ou les) professionnel(s) qui vous accompagnera(eront).
Le début de cette mission est prévu pour mi-juin, tachez de préparer sketch selon souhait et volonté du Caillou pour pouvoir agir dès votre arrivée sur les lieux. Développez précision, originalité, communication et patience pour mener à bien cette tâche.
Vous agirez sous le pseudonyme de Sid, Strike ou NE1. Que la force soit avec vous.
Vendredi 24 avril 2009 à 16:35
Terrasse de café. Petite soeur and me. Une barre, un peu jaune quand même. Vaut mieux en rire.
M : Et avec ton père, alors ?
[Ecourtage du blabla et anecdotes plus ou moins amusantes. Plus moins que plus d'ailleurs : [...]]
B : Et aussi l'autre jour, il m'a dit "je préfère avoir dix chiens comme Titus qu'une fille comme toi !"
M : "Bah achète 9 autres chiens, j'peux m'en aller"
B : C'est ce que je lui ai dit.
M : Noooon ? Tu déconnes ?
B : Non non, j'lui ai dit exactement ça. Ca ronflait.
M : Tu m'étonnes qu'il ne te loupe pas. Hé ! Ce genre de choses, tu peux les penser super fort, mais faut pas les dire !
A celui ou celle qui se sent puissant, pas de remise en question. Qui t'a dit qu'on était satisfaits ? Ton matérialisme et ta possessivité t'emporteront. Tes faux-semblant, et ton jeu. A prendre et jeter au grès du vent, alors oui, compréhension du. Mais rassure-toi, tu trouveras toujours quelqu'un de bien, qui tombera sous ton charme, et avec laquelle tu pourras instaurer ces ambiguités. Mais les excès, c'est tout toi. Tu ne perçois pas ce qu'est la vie, parce que tu ne comprends pas des choses simples comme. Mais ce n'est pas grave. Va, cours vole et nous venge. Il sera préférable pour toi que tu trouves d'autres pigeons à l'avenir. Dans six mois. Je ne vise pas personne en particulier et j'aime les doubles-négations et les allitérations.
Mardi 21 avril 2009 à 16:09
Je ne décolère pas.
Admirative devant la prise de responsabilités et d'engagement de ses compères. Et dire qu'on est censé être créatif, aller de l'avant... J'ai pitié pour tous ces gens qui ne pensent qu'à leur petite gueule sans se soucier des autres. Comment feront-ils quand ils auront des responsabilités ? Ils retourneront leurs vestes ? Se retrouveront sans manche. Ces gens qui ne se bougent pas et laissent d'autres prendre des décisions et s'engager. Ces derniers sont sûrement les plus cons, parce qu'ils pourraient rire de cette maladie d'égoïsme, et faire comme tout le monde au lieu d'essayer de faire quelquechose pour la communauté des autres. L'entraide et la solidarité sont des notions en voie de disparition
Y'en a 4 sur 24 qui ont répondu de suite. Je ris jaune. Je n'ai pas du tout envie de retourner en cours, de voir leurs gueules. C'est simple, derrière cette putain de façade sociable, y'a une putain d'anti-sociale. Qu'ils me détestent tous. J'aimerai faire comme en CE. Ignorance totale, pas de conplicité. Mais y'a des gens cool quand même. Y'en a même qui sont des rampants, obséqieux et fats. Et ça, ça me faire rire au possible. A ça, je vois que j'ai changé. Avant, j'aurai vraiment ris. Maintenant, c'est du mépris. Non, il y a toujours beaucoup de choses que je pardonne. Mais je n'oublie rien et je ne reviens plus sur le passé. Fini ? Fini, ok ! Savez quoi ? Rien que de penser que je vais revoir MANAA 7 jeudi, j'ai envie de gerber. De voir comment on vient gentiment, libres. Alors comme d'hab, on sourira, on s'aimera très fort. Le nez poudré d'hypocrisie, le sourire en crampe. Fais plaisir d'en revoir certains, certaines. C'est tout. Les autres iront en enfer. J'ai la haine, pas envers vous, envers votre putain d'individualisme.
Sinon :
Mike qui attend, qui n'aura jamais rien d'autre qu'amitié. Briseuse de coeur. D'ailleurs, mon cul, c'est du cinoche ! Ma grande soeur Sèv peut pas voir son connard de père et inversement. Ma connasse de grande soeur Virginie (l'autre bien-sûr) est idôlatrée par son connard de père. (Entre connards...) Elle a réussi à récupérer ses gosses de la DASS. Mauvaise chose, en espérant que son copain actuel ne leur écrase pas des cigarettes à la gueule. Ma rebelle de petite soeur va venir vivre chez ma mère l'année prochaine (ou chez moi) et se fait taper sur la gueule par son connard de père. On aurait pu penser que les liens génétiques empêcheraient cette rediffusion. Tant qu'il. Barre-toi de là.
Un paquet de fraisoo par PétassouVert. D'habitude, j'aime pas les cadeaux, et encore moins qu'on me souhaite un bon anniversaire. Mais accrochage oblige. Si tu savais Babe. J'ai hâte de quitter Paris ou que mes potes montent, l'année prochaine, que Voin soit là, que j'ai fini ces putains d'études et que je me tire de là. Que la sélection naturelle se fasse. Et que les consciences s'oxident. Du haut de certaines de mes certitudes, je ris.
PS : je ne suis pas très communicative ici d'habitude, mais quand même ! Elodie, MERCI !
Jeudi 16 avril 2009 à 15:13
Recherches pour l'EP. Se balancer entre les greffes d'organes sino-carcérales-peines de mortelles (pardonnez les néologismes et raccourcis), les bafouages des droits de l'homme, l'immigration, la torture, les enfants soldats. Amnesty International. Ca vous donne pas envie d'aller en Chine et de bazarder cette putain de "République Démocratique" ? D'aller en Afrique et de jarter tous ces dictateurs de mes deux ? Comme le Falun Gong, organisation chinoise de Qi gong persécutée par qu'elle aurait 80000 adeptes, soit le double que d'inscription au parti communisme. Donc désinformation, présentation par le PCC du FG comme une secte, condamnations à mort, tortures, greffes d'organes des condamnés à mort. Et si on faisait tout sauter ? Et la censure ? Et les femmes battues ? Les enfants-esclaves ? L'analphabétisme ? La prostitution ? La pédophilie ? Rions, tant qu'on a des bouches.
Recherche sur le tianannmen, massacre de 2500 à 3000 étudiants et manifestants qui luttaient contre la corruption du pouvoir, le gouvernement avait à l'époque envoyé quelques chars pour "régulariser" la situation :
par google.com
par google.fr
par google.cn, la version chinoise de Google
par baidu.com, moteur de recherche "officiel" en Chine.
Je m'en prends à la Chine aujourd'hui, alors que d'autres plaies règnent partout autre part : entre le Pape qui condamne l'utilisation du préservatif, le régimes totalitaires un peu partout dans le monde, les libertés bafouées. Si on s'engageait tous, faire la révolution, hein ? Et être pacifiste ne chagera rien à la question, pour que ça bouge, faudra que ça pête. Ca va au contraire de mes idées, mais contre les tanks, mes enfants, on peut toujours courir. Bref, après des recherches et un peu de réflexion, le bilan est décapant. Mieux vaut bosser sur son EP, ou sa com visu en se disant que de toute façon, les autres on s'en fout. L'art de la fuite ou la fuite par l'art. Restons tous aveugles jusqu'à ce que toutes les populations des pays du Sud s'entretuent de par les pouvoirs paranos. Alors, les amis, ne culpabilisons pas, jouons avec les mots, les images, les idées, soyons gais et buvons un thé. Les fleurs sont tellement belles ici, les pierres tourangelles et les sourires des potes. Nous aurions tort de prendre des risques à sauver des vies, des principes, ou des situations. La vie ailleurs est désespérante. Nous sommes tous des pions sur un échiquiers en échec. A tous ces rois, ces reines du monde, ces cavaliers, soldats ou responsables intouchables dans leurs tours, sachez que cette passivité, cet aveuglement et cette lâcheté ... Nous marchons sur la tête et, coupé sous nos pieds de fildefériste, ce qui nous rattache à l'équilibre. Bref, ado en crise. Il est certain que je ne croiserai pas les bras. Demain, tous ensemble ?
Je vois Blandout tout à l'heure et demain. Peut-être la grande soeur, appréhension nerveuse. Après les Castel d'hier et avant-hier et métalleux en tout genre, les Castel non-zicos, les squatteurs tant aimés. Bref, j'espère ne pas avoir à croiser de 4x4 Mercedes, et surtout pas son connard de conducteur. [Ou comment rester zen, sans le coeur qui te broie la cage thorracique]. Cynisme, ô cynisme, viens à ma rescousse ! xD
Samedi 11 avril 2009 à 22:35
Soit JD, l'ensemble de jours dispo à Tours et JS, l'ensemble des jours d'une semaine.
∀x et y ∈ JS, ∃ JD = ] x ; y [ tels que JD ⊂ Sid.
JD = ] lundi ; mercredi [∪] mercredi ; vendredi [∪] vendredi ; dimanche[ = [ mardi, jeudi, samedi ]
Avec à caser : deux gros cailloux, une Coralie, Roger le bassiste livreur de nouvelles fraîches au petit matin, LE Brevet de Technicien Supérieur à aller chercher, Françoise et son atelier du peintre. Et déjà plannifié : rame, méga-rando-pique-nique, aviron, escapade à Chateau et organisation d'une chouille inprovisée, rame, rame. Non, je ne suis pas à une contradiction près.
Et puis non, la société ne va pas de plus en plus mal. Non, les maladies liées au psychisme ne sont pas en pleine expansion. Non, les gens ne sont pas déprimés, dépressifs, suicidaires, masochistes, en manque d'affection, incapable d'en donner, complexés par tout et complexés par rien, inconscient, ou incapable de se comprendre.
Non, du tout. L'homme court à sa dérive avec joie. Une des choses la plus belle dont il soit capable. Tout compliquer en essayant d'augmenter son confort. Nous sommes modernes, en pleine évolution depuis plus d'un siècle, nous avançons exponentiellement. C'est beau. Nous nous autodétruisons. Nous nous rendons la vie plus belle en exigeant toujours plus de la technologie, du design, de l'écologie, de la science. Nous aseptisons tous. Nous nous rendons faibles. Nous sommes faibles. Et finalement, face à toute cette communication, ces diktats de la beauté, de la propreté, de la protection, de la perfection, de la technologie, et bien, nous ne somme que dalle. Des fourmis grouillonnantes qui finiront par crever de toutes ces choses que personne ne maitrise. Et dont les conséquences sont beaucoup plus grandes que le plaisir insatiable que la possession nous donne provisoirement. Cette insatisfaction -renouvellement des produits-, ce marketing. Trop long de tout expliquer. Juste que vous aussi, interrogez-vous.
Se connaître soi. Connaître l'Homme, ses mécanismes, ses réactions, ses pourquoi, ses comment. Les psychologie, psychiatrie, psychanalyse. Connaître la culture, la politique, la géographie, l'histoire, la musique, les médias, les technologies.
Bien sûr qu'il faut plus d'une vie.
Je cite un bout de mail d'un gros caillou, qui suivit un petit moment enfumé et une grosse réflexion sur la culture littéraire et la connaissance de soi :
" [ ... ] les tonnes d'oeuvres qui resteront à jamais inconnues et du temps qu'il nous faudrait vivre pour tout connaître ; et tous les liens et répercussions que ça a dans la vie et le devenir de la planète [ ... ] maintenir éveillée ou de réveiller notre curiosité paralysée et endormie par le fonctionnement actuel [ ... ] découvrir des auteurs, des sensibilités, des pensées et des domaines où on n'aurait peut être pas fourré notre nez puisqu'on ignorait peut être même qu'ils existaient, [ ... ] se décentrer un peu de son petit monde fermé et confortable et de s'ouvrir et partager des idées et notre plaisir des livres. "
La magasin des Suicides, La note pour les Cannibales. Ce tout dernier magique, pour Elise. Les livres, mes enfants, n'égaleront jamais ce que les images d'un film voudront bien faire ressentir. Parce que l'imagination, que tous perdons, existe bel et bien encore. Les écrans nous dominent. Lucha ! A bon escient. Les livres, puis les films, ça évite toujours les déceptions. On en apprend toujours plus par ces pages noircies de mots. [Parce que pourquoi Griet reçoit les boucles ? Quelle est la valeur du carreau de céramique ? Et ces problèmes liés au différence de religion entre les deux maisons ? Quels sentiments pour le boucher ? La provenance des couleurs, leur prix ? Non, un seul film ne donne en rien d'explication sur une masse de détails qui font tout le charme des personnages. Même si une image parfois peut résumer 30 pages de description, 30 minutes d'images ne parviendront parfois jamais à expliquer le point de vue interne d'un personnage ou le contexte dans lequel il demeure.] (Et la musique... Developpement exponentiel de la culture sous toutes ses formes, des travaux manuels. Vulgarisations des. )
C'est pourquoi, je ne comprends pas ce rejet de la lecture. De la feignantise de l'esprit, de l'imagination ou peur d'être en manque de carrés lumineux et de claviers ou télécommandes ? Je demande à saisir. Je me souviens de ces tentatives de scriblage de bout de pensées. Ces lettres echangées sur le fontionnement de soi et du monde. Et sur le moment, même si je lisais Freud, j'ignorais que notre démarche était proche de la sienne. Et ça, j'en suis fière. On était peut-être des loques psychédéliques, mais nos cerveaux en ébullition.
Alors ce soir, je prends un peu de temps pour noter des bouts d'idées. Et j'espère avoir l'occasion de pouvoir participer après mon master et mon entrée dans la vie active, à cette fac de psycho, pour parvenir à une petite licence par correspondance. Parce que finalement, avec ces cours sur la psychanalyse, je me suis rappelé d'une chose. Tout est devenu clair. Sur ce que j'étais, ce que je suis, au fond. Et une chose est sûre, malgré ma feignantise - et cette assurance qui lui est liée (sinon je travaillerais un peu plus, non ?) - je sais que c'est l'enrichissement de Soi, le savoir, la culture, la compréhension de cet Autre qui m'intéresse. Aussi désespérant que cela puisse être parfois.
Bref. Je sais ce que je voulais devenir et si souvent je m'en éloigne, je sais que ma démarche actuelle va s'en rapprocher de plus en plus. Alors c'est bon, je sors de ma coquille, je deviens moi. J'arrête de jouer. Au moins face à Moi.
J'ai encore eu la confirmation que certaines amitiés ne nécessitent pas d'appels quotidiens pour rayonner. Parce que Cailloux et Griboux, ça revient au même. Et le temps n'altère rien à cela. En soi, c'est peut-être pour ça, face à ce constat rassurant, que je n'ai pas cherché à rentrer dans le moule des BTSiens en CE. Même si cette année a d'autres allures, je sais qu'à Paris, malgré nos jeux fuyants, y'a Gab et Rikku qui resteront là.
J'ai des amis. C'est une certitude. J'ai une famille qui m'aime, dont un. J'ai tout pour être heureuse. Et cette complexité... Je la foule. Tout roule, roule. Je suis libre. Avoir la vision globale d'un monde complexe et vivre en toute simplicité en essayant de le faire bouger aussi, d'une autre manière, douceureuse, réfléchie.
Ce soir, non, je n'ai pas fumé. Il suffisait de ça pour réveiller sa cervelle. Qui l'eut crû ? Mais j'ai la certitude que mes modèles m'aideront pour la suite. Les bribles s'entassent. Et j'assume désormais, le trait que je développerai. Bref, pas très intéressant, mais il le fallait.
12 km sur un Cher très calme. Glisser sur l'eau comme un oiseau en plein vol.
Ma soeur se fait vomir. Je l'avais dit il y a plus d'un an. Parce que ce qu'on dit quand on est jeune, personne ne l'écoute. Que ce soit lame, ou autre parthologies, ces manières d'attirer inconsciemment l'oeil du parent, même si sur le moment, on voudrait le rejetter. Un appel de l'inconscient. Chacune son tour. Mais moi, je serai là. Juste que je l'avais dit et que plus tôt, on en prend conscience, plus c'est "soignable". Cependant.
C'est quand même fou de voir à quel point les parents veulent fermer les yeux sur les problèmes des jeunes, se dire que ce n'est pas grave, que non. "Votre fille se fait vomir" ou "DYTDFI m'embrasse sur la bouche" Ca veut souvent dire plus que ça ne parait. Tant d'euphémismes dans les mots de gosses, dans leurs ces phrases dont ils ne mesurent pas la portée. Et pourtant, il y a tant de signes. C'est pourquoi l'observation. Ah Maman, si tu savais ... La merde dans laquelle elle est, les efforts pour pouvoir manger normalement. Et non. Bien-sûr que non, ce n'est pas une question d'être gros ou maigre, c'est beaucoup plus profond. Beaucoup plus compliqué. Si tu savais. Mais on s'en sortira. Mouahahha ! La thérapie par la parole. Discutons, baby.
Mardi 7 avril 2009 à 22:43
Finalement, c'est un cancer. Avec l'ablation et tout. En parler à pour avoir des infos. Savoir ce qu'il faut, les assos et tout. Aller à LR pour aider pendant les vacances.
Ma soeur veut absolument me parler. Moral à zéro. Conflits avec le connard. J'espère qu'il ne lui fait aucun mal. Que le schéma n'est pas reproduit dans sa totalité. Tombée ? Tell me. Te rappelles-tu de ces mots que je te soufflais quand tu étais plus jeune ? Te souviens-tu de cette question fatidique que tu ne comprenais pas ? Serait-ce une réponse positive et malheureuse que tu m'apportes ? Dis moi que non. Dis moi que tu ne comprends toujours pas ce que je voulais dire.
Ma mère a lâché son mec. Encore une fois. Dis tout ce que tu veux, je sais que tu es en miettes, Maman. Derrière ton blindage, la dernière chance. Et Cricri ?
Impuissante face à tout ça. Juste essayer rassurer les gens. Réconfort maladroit et ne rien pouvoir faire. Leur assurance de façade. Mais. Demain, soirée collage, récompense : bédave. Ca me sauvera. Y'a des soirs où les larmes devraient. Déconnexion totale, sinon encore de mauvaises nouvelles. Pour tout ce qu'il se dit. Façade.
Le plus du jour sera quand même le regain de motivation scolaire des troupes. Le fait que cette reformation est pour le moins des plus agréables. On se rassure comme on peut.
Lundi 6 avril 2009 à 23:31
Arbitraire. BNV. Help. Pas de raclette demain. A fond les ballons. Motive-moi Cherry. Une crème anti. Du sport. Du travail. Travaille, grosse niaise.
Réinvestissement dans des substances psychédéliques et soirée prévue avec le caillou Mc Fraiseur pour soirée déjantée ! Yeah. Ca c'ets overchouettehibouchoucailloupouroudoudouàpoildoux.
Lundi 6 avril 2009 à 18:50
Sur la Vire, on s'éclate. Satisfaction personnelle. Se concentrer ailleurs que sur son petit nombril.
Me retournant tel un pantin foudroyé. Je la veux. Je la veux. Mais le roi dit. Ta gueule mademoiselle, tu fais chier. Accords publics, un genre, un nombre. Comptons avec nos doigts. Je cherche les mots. Enrichissement du vocabulaire, mot code. Tu m'aides, dis ? La foire aux blagues de merde, tu m'entends ? Revoir le Kiki, Titine, les ca*ste*lrena*udais, les gens de Tours. En manque de Tours. Reconnaître qu'il a TOUJOURS raison. Contre la vie des ouistitis. Le 'ion a une cervelle beaucoup trop développée pour la connerie humaine des ouistitis tapageurs. Mais c'est ça qu'est bon.
Comme envie de fuir Paris à toutes jambes et retourner dans un endroit calme et serein où tout est beaucoup plus simple et les conso moins chères. Comme envie de se tirer de là. Plus que quatre ans les cocos ! Ca me rappelle qu'à partir de mes 15 ans, je comptais le nombre de jours qu'i me restait à vivre avec mes parents. Hem. Bref. 4 ans et 4 mois. Voire un peu moins. Nous voirons. En attendant, ruminer en simulant. Sourire bêtement et s'autoconvaincre que Paris, c'est trop chouette de la mort qui tue les vieux et les méchants. Mais même pas en vrai les enfants. Je vous assure que ce n'est que par production d'ego et de fierté que je continue. Histoire de dire et montrer que je peux. Parce que moi, je suis comme ça. EGO EGO EGO. Et pardonnez-moi, mais j'ai vraiment besoin de voir ma Moman toute les semaines et d'entendre la voix de mon Popa.
Elle, je l'aime autant que je la dénigre. Que je voudrais ne pas t'aimer autant. Désolée Poupée, je t'ai dans la peau. JA avril 2009. Et les crises alimentaires qui vont avec.
Non Maman, je n'ai besoin de rien. Alors finalement, j'erre. Je me balade de salle en salle, comme un poisson rouge dans son bocal, poisson rouge qui veut découvrir la vie. Mais fuck you. Alors tant pis, 4 ans, ce n'est pas grand chose. Puis, plus tard, j'en serai satisfaite, majeur levé et sourcils froncés. Ca doit me rassurer point d'interrogation (?) Hum ...
File, chenapan.
Mercredi 1er avril 2009 à 23:59
Mister Smile. MS et non l'inverse. De l'ordre à mettre sous mon clavier. Du saucisson sec en crise. C'est fou ça. Presque compulsif. Billet de TGV offert par Papy'ion, en quel honneur, je ne sais, mais c'est vraiment chou. Ette. Pas de footing cette semaine, à moins que vendredi soir, autour du lac, un gentil canard veuille bien muscler son horrible gros lard de singe débile. Ou pas, toute seule is possible too. Et c'est pas moi qui l'ai dit : "n'est bête quand même n'un ouistiti !" Gruik N grou.
Je suis professeuse d'éco-gestion à distance, révisions via MSN assurée. Et prof d'anglais si vous me corrigez à chaque fois. Je viens de comprendre qu'en CV, c'était des première de couv' de POLAR qu'il fallait illustrer. Relis tes sujets, connasse. A part ça, je serai géniale. Je suis géniale. Alors je m'aime. Et ses mots sur DN.SR.com. Where is my mind ? Ah, et je n'aime plus le goût des blondes, plus les Peter Stuv. Ceci marquera un arrêt de la nicotine, à moins que vous ne me proposiez du ThacheC. LHOOQ, tiens. Si j'avais autant d'ardeur à finir chaque partie de Spider Solitaire qu'à bosser sur mes projets, je serais sûrement une professionnelle de la sérennité apostrophée. J'ai du mal, mais j'irai quand même pas dans le plafond. Na, dans ta gueule.
T'as sorti le chien ?
Mercredi 1er avril 2009 à 0:27
Bon. Aujourd'hui n'était pas une journée.
Après tout, on est un. Donc demain, et surtout aujourd'hui 1er avril, is a come-back. Ok ? Ouiiiiiiiiii !