sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Dimanche 3 mai 2009 à 13:08



Ainsi la tête tournait. Et l'effet du lendemain. Quand la fumée laisse la cervelle un peu abasourdie. Le JA qui déménage de Facebook. Zizi était complètement fait, son extrem blast bossé pendant deux heures, bu sans mangé, volonté absurde de se la mettre. Au moins, hein. Il est mimi, Zizi.  Il m'étonneront toujours, ces batteurs de merde.
Tours. Marcher plus vite que les tourangeaux, ça a toujours été ainsi. Pas besoin d'attendre d'être à Paris. Revu Gabi. C'est fou de ne se voir qu'à Tours alors qu'on est à côté depuis 7 mois et qu'on s'est vu une seule fois. Jouons, avec Mike, ses énigmes. Et match perdu contre Gabi, pas la tête à ça. Le fameux monaco en terrasse de La Cabane, avec le chanteur de Médecine qui vient nous servir. Alors aller au match de handbAll. Voir mike, castelrenaudais, se prendre une taulée par les Chambraisiens. Oh ma patrie. Nico content de voir que je viens à son match, sa copine is. Et supporter, donc, les deux équipes. Je devais être sacrément "rébou" (comme ils disent) à l'anniv de Nico l'année dernière, parce que je n'avais aucun souvenir de sa tête, à "Anne-sophie" (? Ni de son nom d'ailleurs) Bref, c'était bien marrant et le 23, anniv du Nico. Revu Marco et d'autre handballeurs chambraisiens, ceux du soir de Martin Solveig et les Frantz Ferdinand. Ou non, je n'étais pas vraiment belle non plus. Hinhin. No comment.
Et puis le footing de la mort qui te dit que oui, tu n'es qu'une grosse merde et que c'est normal que tu sois si grosse puisque t'as tant de mal à bouger ton gros cul. Salope. Bref, une jolie ampoule et le coté abimé par ce putain de flip qui ressurgit. Genre, et ouais, j'ai fait du skate.

Fin très drôle. Je ne fais de cauchemars que lorsque je suis à Tours, cauchemars qui se finissent bizarrement bien. Ce qui est paradoxale pour un cauchemars. Mais toujours la même, mort ou suicide, et la sensation que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Quand je serai grande, j'essaierai.

Le 180 recette fromagère est, oui, une tuerie pour les papilles. (Et pour les hanches)
Après tant d'amusements et de auto-foutage de gueule, je vais passer aux choses sérieuses. Ca ne peut plus continuer ainsi. Mater la rebellion, le trop plein. C'est faisable. Passer en mode extrème. Comme le blast. Ouais, nous on est con. C'est un affront. Not yet possible. Donc, commencer dès maintenant. Va y avoir du sport ! Hinhin. Comme dirait-il. Avancer, baisser, tenir les comptes, tenir la distance, le programme. Et tout. J'ai trop souvent l'impression d'être là sans y être. Juste voir ma vie défiler sans faire le moindre geste pour la rendre vivante. Enfin, pour la rendre vivante pour moi. Rester spectatrice et ne rien faire, en ce moment, ça pèse. Toujours la même sensation lorsque je n'ai pas travaillé depuis un bout de temps. Pourtant, j'ai les idées. Trop. Et ma cerveau veut pas, je sais pas assez bien maitriser les traits pour réaliser ce que je veux. Ca devrait être une motivation. Mais je suis trop. A abattre, je suis. Kill me and I'll love you.

Zizi qui fiat chier avec Gwen. Si je savais ce qu'il s'est passé ce soir-là, ça m'arrangerait. HAHA. Et pour le reste, qu'ils croient tous ce qu'il veulent. A croire que je sens la bi à 30 bornes. Pouah, m'en fous, j'assume ma sexualité, et la fidélité que je voue à celui que j'aime et ceux que j'ai aimé. Alors, que chacun pense ce qu'ils veulent, si ils veulent, les frasques fantasques, ou fantasmagoriques, se dérouleront demain soir à 7h06 (6h66). Tu me scarifieras une étoile dans le dos. Non, pas de pentacle. Ah, ce qui est fou, c'est d'y croire. Malgrè l'incompatibilité avec ma tête et ma vie. Enfin, rêvons Chérie : oui, nous aurons notre groupe de métalleuse-grungeuse, en vinyl sur scène, jupe plus courte que courte. Complètement sur pile. Blague de cul entre deux chansons. Et nos corps. Décharnés, arnachés, attachés l'un lautre. Les fanstasmes, beaux et recroquevillés par le vin, aussi glauques soient-ils, aussi implulsifs que. Haha. "I'm ugly and I don't know why" Love. Si, je t'assure. Nous sommes so dark. Et nous finirons par nous détruire. Dans les films, ca se passe comme ça. Un jour, quand je saurais dessiner, je t'en ferai un BD. Ou je scènariserai Marthou. Oui, pour toi BabyBabyLove. On fera une BD. Et on sera bonne. T'as perdu un os. Et j'ai toujours la chanson que tu m'avais écrite. Si. Stand by me.



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