sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Mercredi 28 janvier 2009 à 0:12
Cinquième fois. Un peu trashounette. Je fais une fixette sur les dents et les touches de mon clavier sont pitoyables. "Phinou, t'es un super canon ! "
Il faudra se remettre aux figures de style. Le fractionnement des phrases est incompréhensible. Désolée ou pas. Plus de merde dans le paquet de tabac. Ca sent le réinvestissement proche. Ou pas. Les chiffres sont maudis. Et moi encore plus. Quelle cruauté.
Le 24 février, soirée open bar chez les goulous. Invitation VIP. Lorenzo et Sylvain, à connaître, à découvrir. Et la C qui flottera, baptème de l'air. Faut que j'apprenne à mettre la bouche en coeur, pour la classe internationale. Puis voir. Camionner. Ne pas faire le coiffeur et les frisettes s'installent.
Interros d'ATC et de français ou la récurrence. Alors s'y mettre comme on peut. Arrache moi les viscères, j'aurai l'air mince. Et tranche l'arrière. Pas de si avec les ré, il faudra lui répéter encore et encore. Many angels.
Un week-end à Tours et les larmes qui reviennent encore. Crise d'expression. Alors Laurence G. prof de mode en pleine compréhension. Un laché de ballons ou brûler un cierge, parce que la conscience me court après. Ou un autre symbole, on l'aurait appelé Truc. Ou Chose. Mais ce ne sont pas des prénoms courants. Pas en marche, se reprendre et se consacrer au travail, concentration extrème et tester, s'investir. Je comtemple les cernes, les cercles et m'interroge. Est-ce si difficile ? C'est une aide au sommeil.
Je ne craquerai pas. Parce que je vaux mieux que ça. Encore deux ans et demi à fond. Puis plus tard, la même. Le solo au clavier est plutot ouf. Ca donne envie. Une sonateau clair de lune fraîchement et franchement interprétée. Je voudrais reprendre la musique, ou faire l'art martial. Les yeux troubles. Je divague l'extrème, savoure l'amitié et la complicité. Et ne pas se savoir seule. Quoi qu'il arrive. Même si on est toujours seul face à son miroir, c'est une chose d'assurée. La couleur de la pluie et l'odeur du soleil. La brulûre si souple, ravivant les flammes.
Je retourne à Tours samedi. Voir le 'ion. Pour en profiter réellement. Nous savoir ensemble et partager l'instant, les retrouvailles. Si ce n'est un beau moment, que serait-ce. Ou bien. Bien.
Le menton. Menteur. Mater. Or, un pas est un pas Il y aura toujours un bouc émissaire, tant que la tête change et que les boutons s'actionnent. Les mots commencent à sortir, pour qu'on s'améliorent socialement. Et en apprendre sur soi. Ouvrons les oreilles, les yeux et l'esprit. Ce qui compte au final, ce n'est que tout ça, dans son immense complexité, mais si passionante. Voyeur averti de sa propre vie ou engagé dans l'évolutiion. Ne stagnons pas et au progrès. Je sais ce que je suis. Je sais ce que je ne suis pas. Et comment ils me voient, comment tu me vois, comment on se voit, et bien... Faudra m'en dire un peu plus. Que je saisisse et agisse. Sérieusement, il le faut. Merci mes inconnus d'amis. Camarade. (Je veux un tee-shirt des Sex Pistols le jaune pochette Never Mind The Bollock. Euroshima, vos slogans font effet. Avorter, c'est résister sur la poitrine et voir leur gueule en le voyant, ce serait drôle. Piqure de rappel. "Le salaire, ce n'est que l'esclavage prolongé", Chateaubriand.
Hors-la -vie.
Un sexe-un-cerveau-deux-raisons-de-se-suicider.
La vie n'est pas désespérante, elle est ridicule.
Le-pouvoir-d'achat-c'est-choisir-ses-chaines.
Choisis-tes-chaines-la-télé-commande.
Aussi fataliste et pessimiste, j'ai pas trouvé. Mais outre le pathétique, et oui, c'est drôle, comique. Alors rions. Parce que j'ai la pêche. Malgré le manque de repos. Y remédier tout de suite.
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