sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Lundi 18 septembre 2006 à 23:13


Non, même plus de questions, même plus chercher des réponses longues comme une encyclopédie avec thèse, anti-thèse, réfutation, reformulation et tutti quanti. C'est bon, ça suffit. Juste se laisser vivre et prendre le bon.
Tu te rends compte de ce que je dis espèce de cervelle déglinguée ? Oui je t'emmerde conscience de merde, principes cons et barrières psychologiques. Je m'aime mieux. Un peu. Un tout petit peu. Enfin non, je pense pas à moi. Et c'est là dessus que je te baise, petit pois. Je profite. PROFITE.

18 en anglais auourd'hui, on se croirait au lycée ou en 2nde, même si la 2nde ets inclus dans le lycée. Enfin merde, meilleure note de la classe, je surpasse, je montrerai ce que je vaux. Si je peux. Ne pas s'éloigner de cet objectif ridicule.
Balance dans quelques jours, avoir peur de ce qu'elle va dire. Mangeage du soir, difficile à passer. Pas besoin de manger pour vivre. Juste profiter du moment présent. Carpe Diem.

Son odeur, mes avant-bras. Ne pas se laver.   Héhéh   :) Week-end de rêve, même pas imaginé tellement ... Cliché ? Difficile à croire quand on regarde les films. Non, non. Ne pas s'en faire. Arrêter de penser et fumer. Je m'en roulerai un tout à l'heure. Après un doux passage par les chiottes. Tartiflette pas faite avec amour. Fc. Je sais pas ou je suis. Perdue.
Par Anorchidea le Mardi 19 septembre 2006 à 1:06
Merci d'être "passée". J'ai pu découvrir ta planéte. Séduite.

Même si ce jeu malsain d'aller butiner la blogosphére de ces esprits faminins me conforte dans l'idée que je ne suis pas seule. Affolement/conscience que l'on est trop. Trop dans le nombre. Puis le "trop" résonne, parceque la voix répéte "trop" dans le sens du volume de mon corps. TROP important. "trop" tout court. Disparaitre petit à petit c'est mieux c'est moins brutal. C'est tout propre. Vomir en silence ses tripes parceque parfois toutes ces questions nous restent en travers de la gorge...ça bloque tout. Les mots deviennent enroués et ne veulent plus sortir. L'estomac stocke tout et les mots s'eteignent pour se résumer à quelques bribes malheureuses qui parlent vaguement de compte/calories, d'existence et de mort. De l'importance que l'être -en l'occurence le notre- posséde. Un poids plume. C'est toute l'importance qu'on lui donne. Mais parfois "l'autre nous sauve", et on arrive à se dégager du cercle pour un temps. Le temps d'une défonce entre amis. Le temps d'un sourire, d'un fou rire parfois forcé puis franc avec un peu de perséverance. Avant de retourner embrasser fougueusement la cuvette blanche et purificatrice des latrines salvatrices. Sid, je ne sais pas pourquoi je métale autant dans ce cadre, et j'en suis gênée. Mais tes mots ont fait écho dans mon esprit et alors...disons que je me suis enflammée...^^
Bonne continuation. Pour tes mots si joliments posés sur les maux. Ils sonnent juste. Rythmés comme j'aime bien. Francs, bruts. Du courage...
Par hectoskp le Mardi 19 septembre 2006 à 23:07
toi aussi tu fume seule?
 

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