Chéri, t'es vraiment drôle quand t'es défoncé.
Travail de merde. Plus de patience. Défoncé hier, même pas touché à l'herbe, même pas un verre. Et oui, "j'ai une fille qui boit pas" et c'est comme ça. Poids indicible. Jeûner, jeûner, jeûner, retrouver la volonté perdue. Comme un bébé jetté à la poubelle, plus de sens. Oui, je suis compliquée, oui je suis conne, oui j'aime faire couler mon sang. Non, je n'arrive pas à vivre sans me poser de questions. C'est comme ça. Plus tard, je serai dépressive, sous Lexomil ou autre connerie du genre, maigre comme un coucou et mes enfants auront pitié de moi. Je regretterai une jeunesse vécue sous le signe de la préoccupation de l'image que je renvoie, de la non-spontanéité, d ela torture d'esprit et de l'imaginaire hypocondriaque.
Voilà, mais je vous emmerde. J'ai rien d'autre à foutre qu'à penser.
Vivement le mois de septembre.
Windows Live Messenger, ça plante et le design est merdique.
Me sens seule. Oui, en plus elle a besoin d'être rassurée la grognasse.
sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Jeudi 3 août 2006 à 10:00
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Courage pour la suite
Yaourtine