sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Vendredi 9 mai 2008 à 0:05
Je me rapproche des cailloux. Comme un monde qui se soulève. Le plaisir ultime de se retrouver. En soi. En nous. Mes atomes crochus. Atomes croschrouïs. J'vous aime, z'êtes mes amies pour la vie xD Mes Légos révisionnelles de Luce et Marie. Demain mes silex, une cuite. Et du shit. Ca fait longtemps. Hier. Bon non. Ca fait plus d'un an, rien acheté. Bravo. Je veux dire. J'aimerai plus fumer. Comme avant. Et l'illusion que tout est reposé. Que tout cogite paisiblement. Sans agression. Et les sens en éveil. A l'affût de la moindre ssensation. Ecouter son corps. Et maîtriser la faim. Ca c'était beau. Paris sera une nouvelle vie. Quand je vois Fernande, je bande, je bande. Qund je fais du Rubik's Cube aussi. Et puis même que je me ris du danger. J'ai confiance. J'ai envie d'être douée. De progresser, progresser et ouvrir un atelier. Calme, tranquille. Où j'pourrais donner des cours et puis où j'pourrais peindre, dessiner, créer, jouer avec les matières. Avec des couteaux, des trucs. Faut que je me bouge. Que je peigne. J'ai 28 heures de casées. C'est cool. Je vais pouvoir avoir des oeuvres à présenter. J'aime l'acrylique et la couleur. Je revis avec le social. Le genre de chose qu'elle kiffait comme elle disait si bien. Superlatif trop génial. Muet. Enfin avec elle. Meubler. Je sais plus trop. Elle aime le piano. Faut penser au 15 euros. Aux baffles. You're coming back to my mind. Return me my Love. HAHA. Je me gausse. Parfois j'me dis qu'j'ai ptet fait une connerie. Puis non. Puis non. Je suis bien.
J'aime les petits poissons carnassiers de rivière. PIRANHAHAHAHAHA ! Accro aux sudokus ! Mémé faisait la motocyclette. J'suis bien placée en matière de vélocipède. Ma bécane rose et grise m'emmène à travers le monde.Mieux que la voiture de Winnie, j'te jure ! Cornichons en bocal !
Mardi, je commence à passer ce foutu BTS de merde. Je n'ai pas assez bossé, je le sais. Mais ce que je sais, c'est que je vais y arriver. Je veux et j'exige. Je sais ce que je vaux. Je sais que je peux. Faire un petit effort. Et ne plus être noctambule. Il faut que je l'ai.
Jeudi 8 mai 2008 à 20:41
Quatuor Sel et Poivre. Je me sens associale. Même avec eux. Analogisme. Triturage de cervelle pour savoir où est la caisse de No'm. Petite ballade tourangelle, passer 10 minutes à tourner autour des parkings pour la retrouver plus loin. Une pizza quatre fromages. Genre Margherita pour Loute version Phinou-Titine. Offerte par ChachouKiki. Choute. Parfois ça va. Psychotique parano. Comme sa mère.
C'est ça. Depuis que j'ai soigné ma schizophrénie, nous allons beaucoup mieux. Maladive aattitude. Bouarg.
Samedi 3 mai 2008 à 11:03
Jamais vomi autant de sang. Senti. La peur de s'étouffer, morte pathétiquement sur des chiottes, dans sa propre gerbe. Terriblement excitant, petite conne. Recommencer, comme si ça ne suffisait pas. Comme de la sauce tomate ou du vin, un gezer écarlate. Même avec le dentifrice, l'acide ronge le souffle, coincé avant tes poumons. Un noeud papillon. Ca fait mal, hein ? Tout le corps crie, ô douleur, mais la folie n'entend rien : elle savoure le plaisir. L'esprit court avec légèreté dans les méandres de la mort. Psychosomatique. En pleine jouissance destructive. Encore une fois, pour qu'il ne reste plus rien. Jusqu'où ça ira ? Le 10 novembre, c'était férié, tu te souviens ? Un mois après. Genre, je gère. L'assonance ? Irresponsable et inconsciente. Il est ridicule de se croire maître de soi alors qu'on en est dépendant. C'est du sado-masochisme, une façade noire : tu as peur de toi. Deux toi, à l'intérieur. La pourriture d'intellect qui suppure de conneries,à foison. Petite naine, tu es bien maladanorimique. Jusqu'à réutiliser le contenant initial pour justifier d'une comparaison, fallait le faire. C'est fait. Triste nuageuse. Ou quand l'esprit déraille et le corps aussi. Ou comment saboter des efforts réalisés au cours de plusieurs mois en une catastrophe surnaturelle . Ou ne plus savoir ce qu'il faut faire. Je pèse ce qu'elle voulait peser du haut de son mètre 70. Ce n'est pas triste ça ? Donc ? Une obligation de résultat. Rapide. Les moyens pff ... Une semaine, ça sera juste. Try all the same.
On fonce dans le tas. Associable associale. Même plus capable de rire, de faire rire. Blasage et pression pré-BTS. Et ça. Je sais qu'on ne tiendra pas longtemps éloigné. Que JE ne tiendrai pas longtemps. Quoique je dise, quoique je montre, mon esprit sera torturé. Je ne sais pas si j'ai confiance. Et je ne sais pas si je m'en fous pas. Je crois que je m'en branle parce que j'ai décidé de ne pas être déçue. Ne pas s'en faire, ni souffrir. La confiance se perd en 10 minutes, se regagne en 10 ans. Je ne sais pas si je m'en fous, si je ne m'en fous pas. De savoir que. AHAH. Ailleurs. HAHA. Il irait. Je me demande si notre relation se poursuivait si ça recommençait. Je ne sais pas si je le tolèrerais. Je sais que oui. Mais j'en doute. J'ai peur, je ne savoure plus. Je suis paranoïaque. Je ne sais pas si il irait ailleurs. Se faire bien. Faire bien. Dux2. AJNSQ. Je ne sais pas. Je ne préfère pas savoir. Et je voudrais que tout soit simple. Il ne me dirait rien si quelquechose se passait. Ca, c'est tout ce que je sais. On n'est pas plus avancée.
Et je devrais pensé à d'autres trucs en ce moment. Je n'aurai pas mon BTS et je pête intérieurement un câble. C'est mauvais. J'ai peur de tout et je veux partir de Tours. Je veux partir.J'en ai marre. Zéro pointé sur une clef d'ut 3ème. Deux fois ce week-end. Et plus même. Je doute de tout. Où sont fourrées ces putains de certitudes ? Dans ma poche arrière gauche ? Je n'ai pas de poche. Se foutre de moi, OUAIS. HAHA. x_X
Tue-moi. Pendue par les orteils, une lime à ongle par poignet et une rape à fromage frottée à la couenne. Emiettiée. Ce te plait ça ? Hein ? Tous des égoïstes. L'Homme est définitivement moche. Définitivement MOCHE. J'aurais dû être la femme de Chuck Norris, j'aurais pas eu tant de soucis et d'hésitations, il m'aurait sauver de chaque situation d'un vaillant coup de chapeau de cow-boy dans le champ de vision de l'ennemi. Et paf ! Plus rien, seulement le silence accompagné de son petit air à l'harmonica. Merci mon Gnougnou de Chuckou ! Un pas après l'autre. Merci de me rassurer H-24, 7 jours sur 7. Encourager. Il est tout pour moi ce petit Ion. Vous comprenez ? VOUS COMPRENEZ ? Je sais pas comment le dire, ni comment le faire comprendre. Je sais juste que je suis absurde. Et méprisable. Grou. GROU. <3 Si je le perds, c'est la fin. La fin ? Ou y suis-je préparée ? Pourquoi je suis si négative tout le temps ? Pourquoi ? Si je mourrai, il serait peut-être la seule personne à voir la différence avec le monde de mon vivant. Avec mes parents. C'est époustapant. No comment. J'ai plus de tabac, je suis un pompier avec le monde. Associale, se donner contenance, contenance nicotinée.
Rien que d'y penser je suis malade. MALADE. Excès de noeuds dans le bide. Que cherches-tu ? De la concentration. Déconcentration, recentrage, centralisation, décentralisation, diversification, exclusif, intensif, push, pull, spécialisation, délocalisation, excédentaire, héréditaire, valeurs marchantes, meubles, immeubles, épargne-moi. I'm alone in the dark. Don't you think ? Honesty, honesty, what are the behaviourism ?
Ceci dit. Je ne suis pas jalouse. Je suis possessive. Non, c'est même pas ça. Et ne confondons pas avec l'eau bénite. Tout est clair ? Parce que finalement, la tourista, c'est pas si pire que ça. Tu le savais déjà, que dis-je ! Je réponds à mes propres questions. Un :) dans ta gueule :( Tignasse trop écourtée, je suis vraiment laide. Chacun voit Coin de sa fenêtre dans une caisse cabossée. Et moi défenestrée.
Mardi 29 avril 2008 à 23:43
Et puis ce fut un week-end sportif. Footing, bad. Ca c'est cool. Franche rigolade. Pique-nique. Faut que je finisse mon dossier. Et puis j'aime pas quand il pleut parce que je fais pas autant de vélo que je le voudrais. Mais bon. Une heure de marche par jour c'est déjà bien. Après tout. Ouais. j'ai plus de muscle et ça pèse. Et mon nouveau nu me plait. Le fond noir, c'est chouette. J'vais poursuivre. Wooow. J'aime le bruit des crayon à esquisse sur le papier. Ca crisse, mais ça chante. En rythme.
Et si la musique c'est pas pour moi, le dessin ptêt que si. Au fond. Peut-être.
BV/A. Quand est-ce qu'on en sort ? Même si j'm'en sors mieux, c'est pas tip-top. J'aimerai pouvoir bien gérer tout ça. Du taf en imprimerie en août. Ptêt en juillet. Ptêt à Sub. Qui sait ? Je veux et j'exige.
J'ai hâte d'entendre l'album adranien. Et j'voudrais bien du son des Foo Fighters. Trip Tenacious D. So rock and roll Baby !
Soon. Je n'écrirai pas la première.
Mardi 29 avril 2008 à 23:33
Tigrou fait la gueule. Aucune reconnaissance de la part de ce Chin'tok de violoncelle. Je suis une cello-fan de Barüch qui va retrouver sa très chère luthière. Et je me tate pour l'alto. Oui, faire comme les Casseurs de String et aller dans les métros de Budapest pour faire la manche pendant tout un été. Quatuor Schrouï que ça s'appellerait. Imprononçable certes, mais ça, qu'est-ce qu'on s'en fout. L'annonce de No'm est très claire. Elles veulent une fille qui joue du violon. De préférence de manière nulle pour pas avoir de complexes. Ou sinon une forte pour motiver la troupe. Ou un mec d'ailleurs, qu'est-ce qu'on s'en fout du genre du violoniste, hein ? Un mec, c'est même moins prise de tête.
Il me reste mon baffle 2*10 Hartke à vendre, le Vortex, Ibabasse et ma chérie de gratte que je n'astique même plus. Bouuuh. Quelle tristesse. Mais enfin, non. Je vais voir. Vendre en priorité l'ampli. Mettre 600 euros sur le compte pour pas de découvert. Oui, les anniversaires, avec la pension et la bourse croussienne, ça ravigote. Il me manquera que 2500-3000 euros pour mon école xD HAHA ! J'espère trouver quelque chose de lucratif. Autre que le trottoir, gardez-vous vos commentaires malpropres mad'moiselle. Je ne vends pas mon con. Je l'offre à qui j'aime. Stupide. Oui, j'écris que de la merde. En ce moment, plus du tout. Insensibilité. Je me demande plein de trucs. Plein de trucs ? Voilà.
Demain, on goûte en classe. Histoire de faire voir aux profs qu'on a réussi à être con jusqu'aux dernières heures de cours. C'est la B. et le E. qui vont rigoler tiens. Je pense osciller entre un Favorable et un Très Favorable pour le BTS. J'espère le deuxième. Mais au vu de mes absences et de la chute rocambolesque en Eco-droit et du 7 en CPAP, j'crois que je peux me foutre un doigts dans l'oeil ou ailleurs pour le TF. Oui, je suis vulgaire et j'aime ça. Oui. Et j'assume. Petite garce. Je suis.
Oin-Ouinou a voulu jouer. Jouer sur ma jalousie. Maintenant que je joue aussi, il rigole moins. Je ne râle plus. Qu'il y aille, faire ses courses à la gonzelle. Quoi que je montre, je ne reste pas une salope connasse hyper-possessive. Sauf qu'il en sait rien. Il croit peut-être que je m'en fous ou que je ne montre rien. Il a raison. Je m'en fais une. Ca fait mal finalement hein ? Ce jeu nous fait mal à tous les deux, j'en suis pleinement consciente. Mais si je n'atténue pas les effets par cette façade, c'est moi qui coule. Coulons un peu tous les deux, on se sauvera ensemble. "Ah ouais, tu m'aimes ? " Sourire sceptique qui s'en fout. Non, ça me fait mal. Chloé, Eve, Maëlle, Stéphanie, Mylène et d'autres, je ne retiens pas tous les noms ... C'est ça le jeu. Et ça tourne mal parfois, enfin même si jamais ça ne s'est encore passé. Ny pensons plus, toute façon, ce n'est qu'un jeu. Et je l'arrêterai avant. Et puis, s'il a envie de niquer quelqu'une d'autre, qu'il y aille. Connard. Je ne pourrais pas le retenir de toute façon, et puis rien d'autre à dire. La blase, ca me déblase. Non, mais ça, il fallait que ça sorte. Genre baiser sans rien ressentir pour l'autre... Oui, ça banalise l'acte, ça le rend commun. La monogamie, c'est jesaispas, une façon de faire sentir que l'Autre est la pièce qui compléte. On voit les choses comme on peut/veut. Au final, je m'en fous. L'année prochaine, je serai cocue. Alors pourquoi s'en faire ? Mieux vaut se faire une raison tout de suite. Après tout.
Hein ? Rien n'est prévisible, non ?
Et puis j'aime pas me sentir concernée. C'est stupide. Elle peut bien penser ce qu'elle veut. J'ai dit ce que j'avais à dire. L'hypocrisie, c'est pas mon truc. A moins d'une grande nécessité. Mais c'est tellement rare. J'vois même pas de situation. Enfin. Et puis, les on-dit. Je sais qui c'est. Un connard aussi. Très féminin et aucun avenir lui. Et puise chacun pense ce qu'il veut. Je ne courrai plus derrière quelqu'un pour quelques mots, quelques regards ou quelques pensées. Jouer au chien-chien, c'est pas mon truc. Soyons nihiliste proche du je-m'en-foutisme. Ca permet de ne pas avoir mal. Feindre de ne rien sentir, ça aide à ne pas s'en faire. Dans toute situation ma cocotte. J'ai perdu un kilo et demi sur les quatre pris. Plus de trois. Cinq. 5 kilos. Comme avant. 8 kilos en 2 ans. Enfin 5 sauf exception actuelle. FUCK YOU ma nana.
Un jour j'irai à New-York avec toi.
J'ai envie de continuer après un master en Art App. Un doctorat, c'est la classe. Ou pouvoir enseigner. Faire comme Fr-se. Ca serait chouette, ça. Ouais. Je suis motivée par ça. J'ai hâte d'être en BTS après la MANAA et puis faire un bachelor/licence et un master et un doctorat. ... Ailleurs. En chine ? J'ai un tas de docs sur les voyages au pair. Yeap man.
Vendredi 25 avril 2008 à 1:09
Des pics le mardi. Qu'y a t-il à lire ? Va pas être content. Tant pis. Ca résoudra un souci de cohésion sociale. HAHA. Parlons-en, de cohésion sociale. Et voilà comment commence mon gros travail de prise en charge. POURRITURE ! Triple album. Et je me dis parfois que je chie dans la colle. Je chie dans la colle. Hum. Je sais pas ce que je vais faire. Y aller ou pas. Y aller. Ne pas y aller. Ma moto à pédale est chez Oin-Ouinou. Le don de refiler des surnoms bien stupides. Très très stupides. Et la classe dans un costar. Et le ouistiti à poil d'été tout moche, tout nu du bulbe. Si c'est pas triste ! Et puis, les cours. Supports de dessination. Nu et nu. Les scannerisations sont merdeuses. Et puis j'aime bien les courbes féminines. Sauf sur moi. HAHA. Je me pose pleins de questions. Et j'ai plus envie de boumboum. Gruik qu'il dit. Je suis d'accord, mon chou. Et j'ai eu plein plein de textos d'anniversaires. Trop d'amis. C'est fou. Genre, j'suis populaire. Merci les potes :) Et la bellisima familia. Et puis et puis. Et puis. Voilà. Je suis bien avec mon nouveau vélo. Et j'ai pris 4 kilos. Y'a deux ans, je pesais 9 kilos de moins. J'ai pris du muscle... "Oui mais t'étais anorexique" qu'il a répondu l'pétiot. Oui mais j'étais "mieux". Faut se reprendre. J'ai un mois. Au moins. Enfin j'veux retourner à un poids correct. Naine. Je suis naine en plus. Si je retourne à 43 et que j'y reste j'aurai un IMC égal à 18,5. Ca sera niquel. 39. Je déraille parfois. C'est où la sortie ? J'm'accepte mieux, mais encore 9. Genre c'est pas logique, j'veux la conne.Today, 40 minutes de marche, 30 minutes de vélo. Faut rester comme ça. Demain, lycée-maison x3 grâe au midi puis cherchage de bébé'ion au lycée pour pas qu'il se fasse emporter. Donc ça fera un bon 1h20. Et après récupération du vélocipède. Et 30 minutes de vélo pour aller manger un bout chez un gros caillou nommé BouchMan. C'ti pas cool tout ça ? Je me dis que j'ai plus de gueule, ni de corps. Trop la honte de sortir dans la rue. Donc ça me motive. Ca me motive. Et malgré un restau de ce soir. La bonne cause. Demain, ça sera 21+1/365, donc il faut il FAUT. NECESSAIRE. J'ai plus de piles dnas mon empicerise. Bouh. HAHA. Dododouche. Même pas fait le dossier. Je suis toujours malade. Hum.
Demain :
- Dossier CPAP
- Cours pour Clémence
- CV pour Sub et Nob
- Lettre de motiv
- Top Office.
- Chèque Asso Immédia !!!!
Ah ce Noute ! Ces caféterriens, ces gros cailloux, ces virtualités. Cette classe m'étonnera toujours :)
Pour la précision.
En haut : format raisin, papier recyclé et pastels secs.
En bas : 20x20, papier machine, crayon de papier. (Et mauvais scannage)
Mercredi 23 avril 2008 à 16:38
Aujourd'hui, il fait beau. Un jour à faire du vélo. Les Fontaines, Saintes-Marg. Sainte-Marg, Les Fontaines. Les Fontaines, Chez moi. Chez moi, Les Fontaines. Ca fait : 1 heure de vélo et 1h et demi de marche. C'est pas beau ça ? Dans 10 minutes, je faillis. J'y retourne. Crise. Et BV.
Matin : une banane, un tiers de baguette.
Midi : un petit quart de pizza chorizo, 2 tranches de rosette
En-cas : 2 barres de Kinder Bueno, 2 tomates, 150 gr de pâtes
Comme si c'était nécessaire. Enfin, primons sur la sécurité. J'ai des demi-journées à gogo. Et ça me plait. Plus que jeudi, vendredi, lundi, mardi, mercredi. Et donc 4, 9, 12, 14, 18 heures de cours !! Yeah-eah !
Que de futilités. J'aime pédaler. J'aime maîtriser.J'aime savoir que c'est la fin. J'aime aller au vent. Et j'aime beaucoup d'autres choses.Je scannerai des trucs choses. Moche ou pas. Et puis tout ce qui compte, c'est le travail. Des gens essaient de faire pareil.
Je sais pas combien je pèse. Oui, ca peut paraître con. Mais c'est le tic du matin qui n'est pas actualisé. La naine a du souci à se faire je sais. Mais j'ai presque envie d'attendre de voir une grosse différence pour y aller. Satisfactin personnelle.J'écris des conneries. Mais ça m'obnule. Là. Sur le moment. Oui, je sais. Moi j'suis con.
Et j'ai hâte d'être à Paris, mêmesi je sias toujours pas comment je vais financer tout ça. Est-ce que quelqu'un aurait 3500 euros à me donner. Pour mon anniversaire ? Allez, soyez sympa les gens, demain je suis majeure partout dans le monde. C'est ,pas grand chose après tout.
J'ai du taf pour août en imprimerie. Merci Tata. Ptet Subway pour le reste. Ou ptêt l'intérim. L'option Subway a l'air très simple. J'espère. Je croise les doigts pour qu'ils aient besoin de moi à Noblet en juillet. Histoire de voir du pays et faire un truc en rapport. Bref.
Voilà. Demain, j'ai 21ans. Et j'ai un vélo rose et gris. Je kiffe. Faut rendre les dossiers pour vendredi. Du suicide, ils attendront lundi. Na. Et puis, je'vais quand mêmefaire un programme de révision. Et putain, j'ai chié le TOEIC. BOUH. Ce que je méritais. Mais, hein. Oui, tout va bien. J'ai même la pêche. Même si parfois, hein. GROUIK !
Mardi 15 avril 2008 à 12:53
Le rendez-vous mensuel du mois décalé. Arrangement pour tout le monde, sauf les deux mêmes. Comme toujours. A croire que. J'ai pris 2 kilos en une semaine. Je me pose trop de questions. Pinpin. Chère inconnue. A la ligne. Je ris de cet amour. Parce qu'avec lui, je me sens vraiment bien. Tout tout tout. Je sens la peau se tendre. Ou se détendre, je ne sais plus. Je réponds à des pulsions alimentaires stupides et pas forcément nécessaires. Non pas d tout nécessaires. Pulsionnelle relation. Je gonfle. Ca ne se voit pas, je sais. Seul le connaisseur peut voir. Je le sens. Quand j'enfile le jean. A cultiver la pré. Peut-être du taf en imprimerie. Merci Séverine. Le coup du. Moteur plein gaz. Reprendre le scoot en main. Faire pouet pouet. Hum, ça me plait.
Je me rends compte que cet exutoire est assez euh. Oui, aussi incompréhensible. J'ai besoin d'une bonne douche et d'un. Aie aie aie. Pifpafpouf. Il faudrait que j'apprenne à finir mes phrases, mes idées. A trouver des mots.
Lundi 14 avril 2008 à 13:54
Je ne sais pas si je suis contente ou pas d'aller à Paris. J'ai envie d'être seule. Terriblement. C'est pas général, c'est maintenant. Je remarque que je n'ai pas d'ami. Ca fait mal. Au plus profond. Ils partent. Je suis transparente. Je pourrais mourir demain, personne ne le remarquerait avant quelques semaines. J'y pense souvent. A ça. A une éventuelle fin. Parce que voir le bout est salvateur. J'ai l'impression de perdre. Du temps, lui, moi, nous, des cellules. Je voudrais perdre. Du sang. Y'a des jours comme ça où j'ai pas envie. Tout ce que je veux, c'est la fin. Un beau n'est pas laid. HA. Ris petite garce. Je meurs. Antigonesque. AHAHA. Je dis des stupidités stupides et que dire. Des stupidités stupides. Je perds pied. Non j'assume plus. Je prédis une fin lente et douloureuse. Cassée disait Nolwenn aux belges. Non, j'ai rien contre les belges. Je me sens d'humour gothique. Je sens. J'ai mal aux deux cartilages. Je la hais et je l'aime. Je les perds. Putain de Marivaux. Ce temps si précieux. Chambray m'a tout fait. Il m'a tout fait. Rayé d'une croix. Rayé tout court. J'ai plus le cran de le faire autre part. J'ai plus que dalle. En espérant se re-faire une peau. Genre. Jouer la p'tite bourgeoise dans une école d'art. Même pas cap. Et j'attends leur putain de recommandé. Fais chier la bite. Et restons. Cassé. J'ai pas envie de rester comme ça. J'étouffe. Bordel de merde. J'aimerai crier. Je n'ai plus aucune patience. Plus aucune truc. J'ai plus de vocabulaire. Et ouaich, la com-si, la com-la. Tu crois que ça me plait ? TU CROIS QUE CA ME PLAIT ? Ils sont si loins. Ils me manquent. J'ai quoi ici ? Allez, remiment, régiment. Plus ailleurs, plus froid, plus chaud. Plus conne. Tu comprends donc pas ? J'ai besoin d'être guidée et d'initiative. Ouais. Ces rêves sont de plus en plus choquants. Glauques et redondants. Eteins juste la lumière en partant.
Vendredi 4 avril 2008 à 3:01
Ca se voit dans ses yeux. Il ne reste que quelques jours : vendredi, puis lundi, puis mardi, mercredi, jeudi et re-vendredi. Et on finit par un dernier lunid-mardi-mercredi. Soumission. Et l'école est fini. Sainte Marguerite, the end of this band. J'écoute Sonata Arctica en boucle. Je bande rien qu'en entendant sa voix. Nouveau tee-shirt. Crade HAHA ! J'kiffe jouer avec la peinture sur le tissu. Faire du n'imp avec un tee-shirt tout droit descendu de Pétasseland. Mouarf. Je respire enfin, de savoir que c'est la fin. Accro est.
Aujourd'hui, j'ai fait un gateau au chocolat "vite teuf" : 200 gr de chocolat patissier fondu, 125 gr de beurre fondu (demi-sel), 250 gr de sucre, 80 gr de farine, 4 oeufs, un sachet de levure, 10 cl de lait. Le tout 8 minutes au micro-onde. Et miam. Une seule part. Même pas de boulimie. Une petite part. Un douzième. Le chocolat m'écoeure. Avec Pâques, les Kinder Bueno White. Beurk. Ca me dégoûte, j'avais envie de gerber. Et envie de faire un gâteau.
Aujourd'hui, j'ai mangé 220 gr de haricots verts avec une vinaigrette moutarde-sel-poivre-huile-vinaigre-persil très vinaigrée. Et quatre tranches de jambon xD deux ou trois. Un menthe-thé avec deux sucres, trois verres mégavitaminés en C, une barre céréalière et une part de gateau au chocolat. Grave. Gravissimo. C'est en fait très simple de retomber dans la merde. L'estomac suit le rythme. Il digère, évacue. Dans la plus grande normalité, pour mon plus grand bonheur. Le bonheur de chier. C'est ptêt cru, certes. Mais ne pas se sentir ballonnée, une sensation neuve de quelques mois. Le genre de truc qui met du temps à revenir. Beaucoup de temps. Ou au moins suffisamment pour que ce soit appréciable de faire des sudoku sur la place de la reine. En se disant que non, les doigts ne participeront plus à la simulation. Ou presque. Mais Dieu que c'est bon. L'euphorie du mal de bide. L'euphorie d'être une conne. Même pas un seul petit gramme de perdu. Mais ça, j'm'en fous. La balance peut dire ce qu'elle veut. C'est juste la pelle. Le trou, le creux. L'amertume.
J'ai plus de tabac à force de dépanner des clopes à tout le monde. Non, je ne taxe pas. Avant je ne fumais que les clopes qu'on m'offrait. Maintenant, je ne fume que les miennes. Je ne fume que ce que j'ai ou rien du tout. A moins d'une belle proposition.
Je dis de la merde. J'ai pas bu, trop fumé ce soir. J'apprécie de créer même si c'est moche. J'apprécie d'être auprès de mon OO. Il me donne faim. Le voir, c'est guérir de beaucoup de mal. Je me sens bien avec lui. Comme si j'étais belle. Comme si j'avais un peu de valeur, ne serait-ce que pour lui dire qu'il y a quelqu'un. Même si je suis chiante. N'empêche, on rigole bien. Rien de romantique dit comme ça. Ouais, j'm'en fous aussi. C'est de la tendresse dont j'avais besoin. Sa générosité. Et je deviens tellement mièvre. J'me rends compte à ses côtés que j'ai rien dans le crâne. J'aimerais être lui. Lui offrir plus. L'impression d'être une conne, clocharde, mauvaise, chieuse. Mais d'être aimée. Parce que nuancer tout ça. Rha. C'ets chouette l'amour. C'est cool. C'est fun fun fun. Et cet article est pourrave. Mal écrit. Les mots sont bloqués. Faire gaffe au vocabulaire, non. Pas ici. Nulle part et c'est bien dommage. Grosse conne que je suis. Mais bon. Je m'aime. Quand je. Parce que. Et puis merde, brut de coffre. Et j'les latte tous dans les épreuves que j'aime. J'les latte tous quand je veux. Et ils verront. ILS VERRONT. AHAHAH. Je me gausse d'avance. On devient ce que l'on est ? Je serai. Mouarf. Les impressionner avec de la poudre de perlinpinpin. De la poudre aux yeux. Dans les narines, je ne les sens pas. Cette impression de les impressionner. Cette sensation de les sensationner ? Pouah ! Tu rigoles derrière ton écran ? Ouais Delphine, tu es vraiment. Vraiment. Qui suis-je ? Ou vais-je ? Je ne suis plus sure de rien dans mes choix de vie. Mais je tiendrais pour l'amour de l'art. Ca fait genre, ce genre de phrase. Je suis vraiment de bonne humeur ce soir. J'deviens. Je viens. MIEVRERIE quand tu me tiens. Toujours.
Je l'aime, je t'aime. J'aime. So grou. Gruik. And autre grouikitude. Ouistiti mangeur de banane. Ion qui se fait les dents. Mimi. Ne pas se perdre, ni partir avec les inconnus. Qui aime bien, chatie bien. Tu te [...] et tu te mets [...] sur le lit. Sur le dos. Et plein de N. Parce que des vrais gosses. Comme on les aime. Comme on s'aime. C'est beau d'avoir TOTALEMENT confiance. Même si hein, fallait le temps aussi. Esprit de merde qu'est le mien. Beaucoup de blabla, pour ne rien dire, comme d'hab. Travailler le style, ils disent. Depuis la 5ème. Mais moi. EGO.
Oui, je suis fleur bleue, ridicule. N'y faut pas 'rier. Ui. Je suis définitivement de bonne humeur. Malgré lundi et les 2,54. De très bonne humeur messieurs-dame. Enjoy yourself. De plus, pour finir, breakultime-kitkat.fr
YEAH BABY ! L'effet Sonata. Ondes Co, c'était vraiment géniallissime. Les gars, on recommencera un jour tous les trois ou quatre ? Hein ? Woooooooww ! En avant la zicmu !
Mardi 1er avril 2008 à 14:14
Ca ne sert à rien. Calme-toi, tout est fini.
La Rennaise qui se fait des films. Marre de devoir rassurer les gens ou leur courir après, qu'ils croient tous tout ce qu'ils veulent. M'en branle la nouille. J'ai d'autres trucs à penser et j'crois pas à ces conneries. Et j'ai fini le dos nu de la dame en bleu. HAHAHAHA. Photo de merde, je sais. Soyons créatiste, ça nous sauvera ptêt. Scarabée baveux que je suis. Crève.
;(
Dimanche 30 mars 2008 à 23:16
16 heures de garde à vue. 2 bitures. Clope sur clope. En quête d'évasion de l'esprit. Se complaire dans l'inconscience. Psychédélie salvatrice. La bouffe fraudeuse. Tant mieux. Sentir le vide remplir le corps. La fonde des glaces dégraisse. Dégoûtée des Kinder Bueno White. Le lapinou au chocolat noir dans la garrigue. Chouille cafètérienne vincienne. Se souvenir des belles choses. L'époque où chaque jour était un nouveau, où l'avenir ne nous préoccupait pas.
J'aime l'avoir tout près de moi. J'ai besoin. Besoin de souffler, d'en finir de tout ça. De redevenir celle qu'on était avant. Il faut se battre et se remotiver. Voir du monde, s'occuper les mains et l'esprit. Dessiner. C'est pas si compliqué. Il suffit de ne pas flipper. J'ai désespéremment peur de l'avenir. Reprendre confiance et vivre au jour le jour. Meurs un autre jour, demain en sera un autre.
Et j'écoute Renaud.
It's hard to believe. Hard to live. J'assume. Mal certes. Je prends mes responsabilités. J'ai l'impression d'avoir pris 10 ans en une nuit. J'ai 30 ans. J'aurais espérer mieux de ça. Le mur est bétonneux. Le regard méprisant, l'esprit cloisonné. Toute cette histoire enjolivée et l'image à jamais dégradée, salie, noire. Vraie mais si erronnée. Si vous saviez cher collègue... Mais je m'en fiche. Je m'assume. Faudra juste ne pas. Je suis une autre. Trop. Perdue. Vraiment à l'Ouest, à l'Est. Et cette déception si visible. Achève-moi Baby. C'est pas ma semaine. Révélatrice mais le cap est difficile à passer. Seul point positif pour l'esprit : l'estomac qui fait le rebelle. Pas pour l'organisme. J'aime cette destruction. Retourner 4 ans en arrière, état d'esprit si mort. J'commençais à m'en sortir. Ouais, comme ils disent : "J'suis dég' ! ... "
Faut avoir de 'imagination pour trouver une chute rigolote. J'en rirai dans quelques temps. Dans 6 mois. Et encore. Être forts. FORTE ! Pfiouuuuu.
Mercredi 19 mars 2008 à 12:15
Effluves salées. Par cette violence, coeur à coeur peu à peu essouflés. Peau à peau dans ce corps à corps. La respirante qui régule la chaleur interne. Exploitation de ces parcelles de membres, lambeaux de soi. A feu et fous, loin où l'union Est. L'esprit ailleurs. Epiderme séducteur, toucher en folie. En s'adonner comme on offre. Odorat sublimé. Toi sur moi, moi sur toi, le mélange de nos parfums naturels, savoureux. Gouter, admirer en silence. Savourer l'instant comme le corps, égoïstes de puissance par ce désir de jeu, tellement généreux. Et en profiter, frissonnant, ensauvagés, jusqu'au final. Paroxysme. Libérateur. L'après. J'aime sa voix, ce partage.
Autre réalité. La vie, la arg, putain d'lycée ! Se reprendre. Il ne faut pas se laisser aller à l'échec. Calvaire bientôt fini.
Et l'autre, qui attend. Qui va souffrir. Ou pas. Les choses sont claires, il ne comprends juste rien. Attends-moi. Longtemps ! Faut pas rêver. Ni même être blasé Connard. T'auras rien, nada, nothing. Et c'est bien parce que je suis pas multilingue. HAHA. Je joue avec lui. Pas très sympa. Mais voilà. Il est en couple merde ! On n'a pas le droit de faire souffrir quelqu'un comme ça. Le jour où il se rendra compte de l'absurdité de son comportement avec celle qui l'aime, alors oui. Seulement là, il comprendra. En attendant, qu'il se fasse des films à cause mes phrases à double sens. Tes textos, ça me fout la gerbe. Il est maintenant à ma place. Echange des rôles. C'est ça quand on y croit, on interprête tout à son avantage et on y croit, on espère. Du feu ! Y'a rien à croire, pas pour toi. Je suis certaine de ce que je ressens. Pas un seul doute sur ce point. Et le futur le diras. Et j'préfère, de très très loin, les canards aux connards.
Rien à rajouter.
Mardi 11 mars 2008 à 0:26
Elle gaspille tout pour ça. Du temps, de l'argent, de la patience. Au lieu de profiter de sa présence qui lui manquera tant, elle passe son temps à organiser son futur sans profiter du présent. Le carpe diem jeté au BI. Elle use de cynisme. Ecoute de la musique triste. Retrouve ses doigts fidèles pour jouer. Ecoute un morceau en boucle par soirée. Un ange dans le ciel. Veut faire sa révolution. Indus. Lycée qui crame. Les rêves qui se mêlent. Gros cousin, la soeur, les Griboux, le Ion. Alchimie de liens qui provoquent l'heureuse survie de l'âme. La survie qui fait du bien, la surprise qui déclenche le sursaut de vague au coeur. S. et L., les premiers visages avec Soeur A. Les battements qui se rapprochent.
Et puis un truc con. Elle venait juste de se rendre con qu'elle n'était pas grosse. Certes, pas maigre. Mais rassurée, elle avançait en se disant que pour son mec, ok, elle mettrait des pantalons moulant son gros cul. Et puis que merde, elle n'avait qu'une seule vie. Et qu'enfin, elle pouvait avoir une vie intestinale normale. Aller aux toilettes, ça semble normal pour tout le monde. Pas pour les boulimiques. Parfois il en faut peu pour être heureux. Et toujours cette hésitation pour l'année prochaine. Toujours ce "quelle école voudra de moi". Ne pas décevoir Maman. C'est bête de jouer la mère parfois dans cette relation.
En ce moment, je n'ai pas les mots. Plus les mots. Aphone, essoufflée. Coupée. Auchan. Résumons.
Lundi : dessin. Mercredi : Auchan. Jeudi : dessin. Vendredi : Auchan. Samedi : Auchan. Le reste, c'est pour C. et c'est trop peu. Situation pathétique. Passer son temps à.
Et puis hein. 84 heures de cours à tenir. Les compter et les recompter, c'est la seule chose qui me fait tenir. Qui me fait taire. Y'en a qui ouvrent leur gueule et qui viennent. Moi je me la ferme et je ne viens pas. Ou pas. Passons. Je veux juste un "Avis très favorable" pour ce putain d'exam que j'ai même pas envie de passer tellement je m'en fous si j'ai d'autres alternatives réelles. Rhaaaaaaaaaaaaaaaaa.
Ces putains de griboux. Comme je les kiffe. Ca m'a fait plaisir. Touchée en plein coeur. Soeur A. plus belle que jamais. Rha. J'en deviens mièvre. Je suis mièvre. parfois, j'me dis que hein. J'me mettrai bien une murge d'ailleurs. COmme une envie de me défoncer le crâne. Ne plus penser qu'il faut bosser et que si ça continue, ça fera comme ç a a toujours fait. Ca me fait chier de ne pas avoir cette assurance de savoir que ça ira parce que je sais. C'est vraiment con. Je me fais pitié. Trop souvent. Et j'ai envie de perdre 3 kilos. Juste 3, c'est raisonnable. Ou 7. Non c'ets n'importe quoi. Je vais bien alors merde. Putain. LA FERME CONNASSE ! Zou ! Couché la chienne. Au pied. Ta gueule. Ouais. C'est mieux comme ça.
J'crois qu' j'ai un problème dans la tête. Et je suis accro. Grou.
Lundi 3 mars 2008 à 22:53
Je me déconnecte peu à peu. Je meurs et tue le protagoniste. Sid was here. Revirement de situation pour viser plus haut. Penser à ne plus se méfier et jouer la prune qui compte pour une brune. Un brin. Animé. J'aurais aimé. Je me demande. J'hésite, zig-zag et cherche, errant quelque part. Satured mind. Grind, destruction. Tu veux pas t'exprimer un peu plus ? Tu veux pas m'expliquer un peu plus ? J'aimerai savoir si c'est moi qui ait tout [.]. Recommencer à zéro. Assumer, partir. S'en foutre. Egoïste, ta gueule. J'en peux plus. Les larmes me réchauffent. Le vide me remplit. L'acide me consume. L'égoïste solitude me réconforte. Je ne trouve plus [.]. Mes mots. Qui que quoi dont où ? N'essaie même pas. N'essaie même pas. N'ESSAIE MÊME PAS !! Mais putain de merde ! Je fais quoi dans tout ça ? Poisson poisseux. Ca fait mal. Le désir de [.] qui s'enfuit. Plus rien à foutre. Même plus la peine. Même plus la peine...
Dimanche 2 mars 2008 à 23:44
Les effets. Innocent. In o sans T. Cette voix. Elles me séduisent. Fascination mélée à l'incompréhension. Noircies à la rage. Crie ta haine, crie ton amour. Crie ton amour. Encore. Exprime -toi... Que j'aime. En boucle !
Mardi 26 février 2008 à 1:14
Je ne comprends pas ma réaction. Elle m'apparait sympathique. Le portrait qu'il m'en a très rapidement fait est plutôt cool. Hormis leur histoire d'amur. Mais bon, ça me regarde en rien. Y'a des trucs qu'on peut pas contrôler. Et puis, souvent, on ne se rend pas compte. Non mais... Elle m'apparait chouette. Je sais pas comment dire. Parfois j'me sens coupable. Coupable d'être celle d'après. Coupable d'être celle d'avant avec Marie. Parfois, j'me sens coupable de laisser des commentaires. Ca fait très... Manipulatrice. Genre la fille elle laisse des message à l'ancienne copine de coupain. Sans lui en parler, ni dire à la dite personne qui elle est. En fait, j'avoue. Parfois j'ai l'impression qu'on pourrait bien tripper. Qu'on se marrerait bien. Puis ça me saoule de voir que l'image que je me suis faite de cette Poche n'est pas véridique. J'voyais une pile sur patte, genre moi, mais en mieux, en plus belle et en créative et toute rigolotte. Et puis, paf, toute tristoune. Ou bien son blog est un crachoir de haine comme cet endroit sinistre ? J'ai p'têt pas faux sur ce dernier point. J'dis pas mal de merde ce soir. Et puis. Si je te connais ? Non. Je ne te connais pas. Pas plus que tu me connais. Genre tu dois savoir que je suis une naine, une gamine, une fille jalouse. Tous les trucs que Oin-Oin pourrait dire sur mon compte. Ou pas, je sais même pas ce que vous pouvez bien vous dire. J'comprends rien. Des fois, j'aimerai bien comprendre. Tu dois savoir que j'aime les gribouillages. Tu dois savoir que je suis une grosse baleine à pois. Tu dois savoir que. Putain, j'parle à qui là ? J'paaAAAaaarla à qui hein ? J'deviens vraiment tarée en ce moment.
N'empêche, faire du dessin avec les doigts, c'est jubilant. Jouissif. [Ca fait plus IN] Bleu et rose, ca va être rigolo j'pense. HAHA. J'ai bien fait de dépenser toute cette tune dans ce truc. J'kiffe comme y disent. Et demain footing de sa race pour de venir une marathonneuse de ouf. Ouais puis pour perdre ces 6 putains de kilos de merde. Que je deviens un SEX XYMBOL xD Enfin bref. Faut que je trouve une putain d'idée pour la toile du Canard-Ion. Il me reste moins d'un mois, ça va être chaud bouillant.
Nan mais ca me fait chier.J'imagine la scène : Salut, j'suis la copine de ton ex. Tu m'parais sympathoche alors j'me permets de te parler. J'aime bien tes dessins mais bon, faut pas que je fasse trop la fan, on va croire que je suis bi. Même si c'est tendance, même si j'peux pas dire que j'y suis pas puisque j'ai jamais essayé. Je fais quoi ? Je dis quoi ? Putain mais je suis con. Bon j'continue la scène. Oui, je sais, tu me détestes. Forcément, je suis ta remplaçante et tu es une ancienne copine. Par définition, nous sommes jalouse parce que des filles. C'est vrai. Donc tu dois me détester. Donc je suis sensée te détester. Parce que par principe, toutes les filles détestent les ex de leur copain. Putain comme c'est moche "EX". Je déteste. J'voudrais pas qu'elle croit que c'est de la pitié. Ce serait débile. Trop stupide. En fait, j'me demande si c'est pas parce que cette fille est toute mimi, toute craquante, douée de ses menottes et tout ? Si c'est mon comportement, c'était pour contre-balancer cette concupiscence. Analyse psychologique : ouais j'aimerai être comme elle, un peu comme avec C. Son calme, sa discrétion et son intelligence. J'aimerai être comme C. Bref, c'est comme de l'admiration en moins exagéré. Ou presque. Rhalala. Mais pourquoi je me prends la tête ?
En fait, j'aimerai bien la connaître. C'est tout. J'aimerai pouvoir tripper avec elle. Et puis merde. J'arrête pas de faire n'importe quoi en ce moment. J'peête un câble abvec la rentrée. Pas envie de revoir toutes leurs têtes de cons. Toutes ces bourgeoiseries qui me regarderont encore avec leurs yeux de biche affamée. L'extra-terrestre. Merde. Et ces putains de CPE. Et ces putains de profs. P'tain. Heureusement qu'il ne reste que 39 jours de Sainte-Margueritage, sinon j'me suiciderai comme une banane thaïlandaise. Faut que je me mette à bosser. Que je réussisse. Qu'on me prenne plus jamais la place de major de promo. Pour une fois que je peux être grande quelque part, merde ! Donc, footing tous les matins, sauf week-end trop arrosés. Puis travaillage intense pendant 2 mois. Révisage avant les contrôles pour avoir des bonnes notes et les enculer tous à sec. Et puis pour avoir un joli BTS sans mention, parce qu'il n'y a pas de mention dans les BTS. Ni de rattrapage. Alors faut que ça meule.
Bouuuh, j'pête un câble. Demain, ricain. C'est juste ça le bonheur. J'aime être con. J'aime écouter de la zic en gerbant sur ce blogounet. J'aime être bien. Même si je suis une grosse vache et que, juste ça, j'en peux plus. Mais on peut pas être parfait. Je suis bien loin d'être parfaite. J'me fuck, tiens ! HAHA. Connerie quand tu nous tiens. Fautq ue je rachète une ampoule pour ma lampe. Et que je paye les impots. Et que j'appelle l'ophtalmo, parce que ne vois pus riiiiieeeennn ! Bref, ta gueule le schtroumpf, va t'coucher !
Moi j'suis con moi. Moi j'suis comme ça.
Lundi 25 février 2008 à 2:53
J'ai peur de me retrouver seule. J'ai peur d'abandonner. J'ai peur de le perdre. J'ai peur de les perdre. J'ai peur de la solitude. J'ai peur de vomir, j'ai peur de grossir. J'ai peur. J'ai peur de ne plus m'entendre avec ma mère. J'ai peur de perdre mon père sans lui avoir dit. J'ai peur de ne pas être à la hauteur. J'ai peur de ne pas avoir mon BTS. J'ai peur de grossir. J'ai peur qu'il aime quelqu'un d'autre. J'ai peur de le saouler. J'ai peur de penser. J'ai peur d'être trop accro. J'ai peur d'écrire sur ce petit bout de toile. J'ai peur de ne plus jamais pouvoir dire avec ces mots ce qu'il se passe. J'ai peur de pêter un câbler. J'ai peur de les décevoir. J'ai peur de les laisser choir. J'ai peur. J'ai peur de ses silences. J'ai peur de mes projets. J'ai peur de m'engager. J'ai peur de grossir. GROSSIR. J'ai peur d'avoir faim. J'ai peur de ne plus avoir envie d'avoir faim. J'ai peur de tomber. J'ai peur d'avancer. J'ai peur de moi.
A marcher dans un couloir sombre, j'en oubliais les couleurs. A ma droite, à ma gauche, d'insaisissables portraits. Lugubres, sournois, tantôt mystérieux, tristes ou insondables. J'oscillais d'un regard à un autre sans parvenir à éclaircir tout cette trame si dense. Où l'incompréhension laissait parfois place à un soupir, je me détachais dans ma solitude sans raison particulière. En vérité, j'essayais juste sans y arriver, de me faire une place dans ce monde merveilleux que me construisait cet imaginaire sans limite. La ligne droite est beaucoup trop longue. Le pas est régulier. Il ne me semble pas que j'avance. Et pourtant. Ils me regardent. Insensiblement. Ils s'en foutent. Que voient-ils ? Les questions s'amoncellent, toutes aussi absurdes les unes que les autres. L'image en enjeu. On attend ce fatidique moment, où, dans un court instant, l'espoir renaîtra, ambitieux et fort. Pour quelques heures. J'ai peur. Parfois, les larmes coulent sans raison. La pression est là. Trop lourde. L'exigence est amère. La déception encore plus. Le remords semble t'avaler. Que faire ? La comparaison te tue. Rien à justifier. On voudrait y croire, on voudrait pouvoir fît de. Passer outre. Juste être ce personnage qui nous colle à la peau. Ce personnage qu'on déteste tant. Qu'on aime tant. Chasser le naturel et assurer le ravalement de façade. Leçon numéro un : être soi-même. Un jour, on a beaucoup ri.
Je m'en veux. Je lutte. Je lutte, je le jure. Je le blesse. A moins qu'il s'en foute. Les nerfs à vifs, le coeur en zeste. Les mots et la haine. Pousser à la fin. Je me demande pourquoi.
Parfois, j'ai envie d'abdiquer. De tout lâcher, et partir. Comme ça, à l'aventure. Tout recommencer à zéro. Tout ré-inventer. Être autre. Autrement. Comme un matin de printemps, où le soleil bourgeonne après un hiver glaciable. Parfois j'ai mal d'être. Souvent, j'ai mal d'être. Je voudrais être. Tu comprends que je l'aimes ? Fallait que ça sorte, quel qu'en soit le degrés de connerie.
Lundi 18 février 2008 à 1:38
Sleeping Sun. C'est difficile de se remotiver. Quand on sait. Envie de footing quotidiens, de travail sur soi et d'art. Avancer. Ne pas lo[c]quer. 08 High hopes. Number One. Purging or not. Le désastre. D'autres solutions ? Que sais-je ? L'inspiration n'est pas de mise. Elle doit. Mes pensées confuses, les mots en désordre. Sans en démordre. La routine. Changer ces sales habitudes. I need. Retrouver. Cristal. La forme. Les habitudes. Les bonnes. Ne pas se dissoudre dans l'absolu. Fade. Univers. To black. Encadrer les oeuvres. China ink. Inlassablement. Courir après le temps perdu. A sa recherche. Le moi. En vrac. 6 kilos. Maitriser. Body building. Self-coach. Courir. I need. Forger. Forget. Ne pas se perdre. Les petits riens. Les grandes. Nainisme. Le vernis à ongle rouge. Noirâtre. La paix. Interne et intérieur. Egayer l'environnement. Sauver les cachalots et courir on the playa. Rouler la clope. Se demander. Compter les sous et les dessous. Compter. Les torts. Les travers. Porc. La porsch rit. L'amas. Désillionable. Nightwish et Mass Hysteria. Rockstar, Zizi, Oinbis. Mélange. Où serai-je ? Là-bas ? Ici. Stepper ? Crayons aquarellables. Solutions aqueuses salées. La nouvelle vie. Et l'ancienne. Se refaire. Le caractère. Trop. La monde. A portée. De doigts. Trop. Populasse. A découvrir. Images mentales. Débiles. Evanescent dans la nuit. La flamme vascille. Je ne comprends pas tout. L'avenir est vaste. Sans questionnement. Peu de certitude, avancer parce que. Je sais ce que je v/e/a/ux. Accent. Espagnol. Les briques en vrac. A brac. La rubrique des chiens écrasés. Doux enchainements.
Mais où va le monde ? Il ne faut pas pousser le bouchon. Remettre. Demain. Immédiatement. Réaction. Agir devant la passivité ré-incarnée. Se faire violence. Laisser entrer le soleil du vide. Se laisser tenter par. La folie m'habite ? Je ne cherche plus. Je sais. Alors j'avance. Les petits pas sont inutiles. Bouger. Bouge toi le cul connasse. Putain de merde. Allez. Allez ! Allez... Empieza. Si.
Qu'est ce que la confiance ? Par où commencer ? Ever dream. End of Era.
Mardi 5 février 2008 à 14:44
Do you know my name if I saw you in heaven ? Would you be the same if I saw you in heaven.
Il succombe, perdu dans une nostalgie tortionnaire. Frêle vengeance, pitié sans nom, le temps a raison de nos erreurs. En déduire des leçons. Chemins parallèles qui s'unissent, rien n'est écrit. Le mal d'avoir espéré autant quelque chose qui ne survient que quand on ne l'atten
dait plus. Et peut-être, un peu, se poser ces questions destructrices, emplie de culpabilité. Et si ? Fatal Error. En vain. L'avenir parlera pour nous, ne jamais jurer de rien. Qui vivra verra, carpe diem. Soyons sophiste ou épicurien, un poil d'ours blanc, pas plus. Je profite
La même situation qu'avec le rebel post-adolescent. Que s'imaginent t-ils ?
Et son paradis blanc, à elle, qui la détruit autant qu'il la fait vivre. Sans ça, respirer la poussière, s'asphyxier avec l'oxygène brulant ses poumons, le coeur en manque de baume. Cet onguent poudreux qui la saigne, lui vole ce qu'elle avait de plus précieux : l'âme vendue au Diable pour une bouchée de pain. Et tant de conséquences. Cette absence, manque si palpable. Le corps qui se mue. Elle qui ne croit plus en rien. Rien ne la touche, plus les lendemains, plus d'espoirs. Le futur écrasé en paillettes et sniffé à la paille. Sa faim de pouvoir. Recommencer. La vie à zhéro. Sa fin, fatalisme et désillusion. Et si le phoenix pouvait renaître des cendres blanches ? Brulée vive, certes. Mais l'oiseau a toujours maitrisé la peur. Guerre déclarée, le corps et l'esprit unis contre la vie. Sournois combat au sein des veines. Endorphines trompeuses, hypocrites. Rien n'est perdu. La donne peut changer après signature du pacte, implicite suicide. Il faut remettre les choses en ordre, le monde réel. Gagner en nerfs et en volonté. Faire fît du poison qui alimentait le corps. La paix. Se reconcilier avec une autre perception. AVANT.