sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Samedi 15 septembre 2007 à 15:24
Oui, on peut rire. Qu'on ne lui parle pas de regret ou de remords, de quoi que ce soit dans le genre. Elle en a et les tait. Ils sont là, ancrés en elle. Au plus profond de ce qu'il peut exister dans sa tête. Au sein même de la prise de décision de son cerveau, dans la partie reC'estptilienne, celle qui a choisit.
N'avait d'ailleurs t'elle pas utilisé le cervelet, trop sensible à toutes ces émotions... Puis ensuite, pesant pour et contre, le néo-cortex avait voulu. Il avait voulu. Le message était simple. Mais l'égoïsme de la partie bestiale avait été bouleversé. Très court, très direct, On lui avait montré le côté le meilleur, qui la mettait dans une situation inenviable.
Le somnanbulisme était revenu, les crises d'angoisse et autre aussi. La guérison semblait rapprochée. Comme triomphant sur les "non-dits" et "non-à-dire" du passé. Rapprochée oui. Parce que des efforts avaient été faits. Parce qu'elle se contenait, gerbant ses mots comme elle avalait le reste. Cependant, cependant. Rien n'avait évolué et tout semblait arrété. Entre parenthèses. Je crois qu'on ne guérit jamais d'anorexie-boulimie. Ce n'est pas du fatalisme. C'est juste une drogue, des habitudes, des réflexes qui se collent à ta vie et t'emprisonnent. Quoi faire ? Manger à sa faim, et non à ses pulsions, quand on n'a plus de sensation de satiété, c'est un peu comme remplir un pot percé. L'échec est là, omniprésent, et chaque effort est couronné d'un pas en arrière. Stagnation du comportement. Rien ne peut empêcher ces réactions. Non. Et ça me rend malade. Ca me rend malade.
Combien de cuites ont démarré avec pour seul objectif de tout rendre, même si on n'a aucun souvenir des soirées en question ? Et même, rendu, juste pour les deux gateaux avalés ? Combien d'excès alimentaires ont été absorbés dans l'unique but de pouvoir se vider les trippes une dizaine de minutes après ? Combien de fois, bouffer à s'en écoeurer, à donner le même résultats après des kilos de bouffe avalés ? Allons dans le gore. Oui, à chaque fois, un objectif : remplir de bouffe cette hauteur de chiotte. Sous-peser de ses propres mains ce rendu ignoble, horrible. S'habituer à ses odeurs. Et à chaque fois, même rituel. Un verre d'eau, deux doigts. Rendu. Sous. Lavage de main, verre d'eau, rendu. Lavage de main, de visage, de l'eau, s'essuyer, pisser. Et faire comme si tout allait bien.
En 3 minutes, chrono en main.
C'est une perte de temps. C'est une perte de crédibilité. Excès de lâcheté, pulsion incontrôlables, non combattues. La voie de la facilité. Parce que. Et gnagnagna. C'est tout simplement dégueulasse, quoi que le dégoût ait disparu. Revenir à l'état de bête. Ignare, hilare. Pfff. Et tu sais pas le pire ? C'est que ça fait du BIEN !!! Oui, on frôle la débilité messieurs-dames. Oui, y'a un souci là haut. Et le pire. Le pire ?
Non j'avoue que j'ai peut-être un grain. Surtout quand toutes mes personnalités se confondent en cas d'excès alcoolique. Delphine, la folle qui devient schizophrène. Oui, enchainement naturel me direz vous. Mais vous imaginez pas la libération. D'être soi. Ne plus faire semblant d'être à peu près normale pour ne pas géner. Si vous saviez à quel point toutes les conneries ne sont que façades. Raconter la vie qu'on a, tout en sachant que je ne suis pas.
Je ne suis pas en manque. J'ai la haine. Haine de penser à ces pies. Le profit, le profit. J'en ai les larmes aux yeux. Oui, sado-masochiste de l'esprit. Comment croire en quelque chose après ? Contrat de confiance sous-entendu. Comment je peux continuer ainsi ? Prendre sur soi, se dire que tout va bien. Et après tout, c'est vrai, tout va bien. Mais savoir. Tant d'injustice. Tant d'inhumanité. Béante, envahissante, omniprésente. Egoïsme profond. Se demander si tout cela vaut le coup ? Question existentielle.
Pas le look qui va avec. Pas l'état des sprit. Le temps de la valse s'est affaissé sur lui-même. Pourtant, tournant rond. A quoi c'est utile ? Je n'ai pas les mots. Me sens comme à côté, dans une bulle qui s'est restreinte. Renfermée. J'ai du mal à respirer ici. Vous me manquez. Vous me manquez.
Je n'évoquerai pas les guèpes et autre bébêtes. Men fous des turmescences. Qu'est ce que ça peut foutre. Je me dis qu'au fond. On ne me connait pas, on s'en contre-branle totalement. Jouer le jeu. Garder ce rôle qui nous va si bien. Un peu tragi-comic, comme Superman. On ne réagit vraiment que comme des hypocrites. Moi je n'y crois plus.
Méfiance.
Tout ça ne sert strictement à rien.
Lundi 10 septembre 2007 à 22:41
40 longueurs... 30 minutes. Mouais.
Des courbatures partout. Gros bad parait-il. Mon inconscient qui se mèle de conneries. Ne pane rien, pourquoi ça tourne si mal, à chaque fois ? Pas une pour rattraper l'autre. C'est le cercle à la con.
Et la pudeur ? Le ridicule ? Quoi donc ? Voudrais pouvoir mettre des mots sur cette emprise sensationnelle. Parce que quand même. A jeûn, à priori, tout va bien. Suicide out, et. Le reste pas. Mais la cervelle mieux conditionnée pour une vie with an happy mind. Se rendent pas compte. Un peu fautif. Un peu pas du tout. Je voudrais jsute comprendre et savoir pourquoi ?
M e sens exclue, comme si : "oh un extra-terrestre" "mimimé". Je sais pas. Ca vient peut-être de moi. Associable, détestable, possessive et méprisante. Oui, peut-être. Ou pas. Ou pas. Comme si je débarquais d'un autre monde où la Terre serait ronde. Regards en coin et questionnement dans l'autre. You don't know me. Oh, sorry. You do not know me. Parce que je ne supporterai pas. Libération avec la solitude, s'enfermer dans la musique et dans ses convictions. Vilaine petit chose incompréhensible. Paranormal. Pouah, ça avance tout seul ces choses-là ! Non mais sérieux... Je me demande. Je suis pas inhumaine quand même. J'ai sûrement trop de défauts pour les collectivités. Exaspérante, lassante, exécrable. Ou la voix. Méprisable.
Juste pour le canard. Parce Big (L). oui, j'aime la pouffitude, avec ça, je serai peut-être plus intègre...
Fuck, masi pas énervée, juste un peu balisante de toutes ces absurdités. Constat qui fait mal aux dents. Mais bon. Faut faire des efforts sur la présentation. Faire des efforts et ce travail sur soi. Zenitude. Tiens, ça me fait penser à Lui. Fantasmagorique. J'aime beaucoup.
Love dossier messages.
Lundi 10 septembre 2007 à 22:16
Leur histoire avait commencé comme elle avait fini, illogique. Très lent et à la fois trop rapide, le début comme la fin trainait en longueur. Ce n'était pas d'intensité qu'il manquait, c'était du divertissement. Le silence et les brefs résumés de pensées saugrenues meublaient leurs conversations dénuées de sens, dénudées d'intérêts. L'essentiel, quelques mots ; et des tonnes d'incompréhension. Se raccrochant aux seules palabres jugées utiles autours de thèmes précis bien sélectionnés par leur soin. Elle, Elle, la musique, les projets trop ambitieux, et le tour était joué. Un peu de mâle, beaucoup de mal. Ce qui les tenait était leur engagement envers ces plans de futur, certes morbides et irréalisables mais qui leur permettaient de rêver un peu, s'oubliant dans une réalité détestée.
Et la pendule faisait le tour hypocritement de leurs sentiments. Non, rien n'était plus comme avant, le vent tournait, chavirement sur des quiproquos et des non-dits. Certes, les deux avaient leurs parts de responsabilité, quoique mais bien trop à leur goût, pour des conneries pareilles. Et revenir à la charge, vers l'autre, faire une croix sur une décision orgueilleuse, cela demandait un effort considérable. L'une avait fait le premier pas, utilisant l'unique occasion et les mots magiques, vocabulaire approprié ; l'autre avait répondu, même syntaxe reconnue, similaire encore une fois. L'illusion, sûrement passagère d'ailleurs, que tout recommence après s'être copieusement reniées.
Même si elles n'attendaient plus rien l'une de l'autre, leur soi-disant union dans la mort reprenait forme presque humaine. Comme un contrat tacite, liées, attachées, sans retour arrière possible, trop unies pour se la faire en solo. Cependant, chacune n'espérait rien de l'autre partie, tout en sachant qu'elles étaient là, l'une au service de l'autre, quelque part à l'écoute, et par n'importe quel moyen, la possibilité de se joindre résistait. Un "Je vais bien, ne t'en fais pas" avec les manques et les inquiétudes que cela comporte. L'étincelle qui éclairait leur histoire s'était éteinte, mais un peu de magie, volontairement ignorée persistait encore. Comme quoi.
De toute façon, elles avaient changées, chacune de leur coté et l'assumant par orgueil. A présent décousue, mais se complétant, comme les deux pièces maitresses de leurs jeux dangereux. Et finalement, au fond, elles s'aimaient, le savaient, c'était juste l'essentiel …
Mardi 4 septembre 2007 à 13:22
Lundi : 40 longueurs : 30 ' + objectif : 1h de footing + 15 ' PCR
Mardi : 40 longueurs : 30 ' + 1h de stepper + 15 ' PCR
Mercredi : 40 longueurs : 30 ' + 1h de stepper + 15 ' PCR
Jeudi : 40 longueurs : 30 ' + 1h de stepper + 15 ' PCR
Vendredi : 40 longueurs : 30 ' + objectif : 1h de footing + 15 ' PCR
x - Soit : 2h30 de nage par semaine, objectif 20 minutes pour 40 longueurs, soit 3km/h en brasse, nager en dos crawlé pour se remettre dans le bain et remuscler le dos.
x - Plans d'entrainements sur athlete-endurance.com, on avisera pour la personnalisation et faire appel à Fred. Objectif : 800 (choper le splan pour prépa), 3 000, 5 000 (idem), 10 000, et 20 000 + prépa aux cross.
x - Stepper sans forcer, et 15' de PCR pour la(es) forme(s). Juste pour brûler et raffermir.
Bon, en soit, le programme ets presque impossible à réaliser. Mais en arrangeant bien l'EDT, ca peut se faire bien en sachant que le step peut se faire en copiant les cours ou pendant des recherches.
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L-M-M-J-V : CC + relecture + faire des recherches : CP, CG + avancer APA + s'avancer tout court + bien tenir la zonm' + classage des papiers ................ RIGUEUR RIGUEUR
x - Prévoir : 3 heures de dessin par semaine, à définir selon EDT
x - Nourrituralement parlant : prévoir pour le midi : shaker ou salade à avaler en vitesse en revenant de la piscine. Le soir, à aviser, mais faire gaffe aux crises. Genre 100 gr de pâtes. Faire gaffe à l'abus.
x - Se coucher à 00h00 maximum, lumière éteinte , parée au dodo.
PAN !
Mardi 4 septembre 2007 à 12:52
Comme envie d'un retour à "avant". Le "avant" du "qui gère sa vie, sa vraie et putain que Auchan me conditionne" :) C'est fini, fini, fini. Tu entends ? Fini ! C'est FINI ! AHAHA, aucun mot pour définir ma joie de ne plus mettre les pieds là-bas déguisée en hôtesse de caisse. Pouik pouik. C'était de la prostitution ancéphale, c'est fini, au revoir, merci. J'en suis sortie vivante et plein de crises, mais bon, moi ch'suis con. Sérieux, z'imaginent pas les gens ... Comment tu pêtes des plombs à l'intérieur...
Donc, les cours, les rapports de stage et le dernier semestre de l'année dernière à copier parce que "retard dans les dossiers". On va dire la même chose qu'à la caf et autre part.
En fait, j'avais l'impression d'être enfermée dans un cocon où la place est trop restreinte pour y être à plusieurs. Un peu comme si l'oxygène nous manquait sans qu'on le sache, où on suffoquait sans savoir pourquoi. Haleine démoniaque. Mais le pourquoi n'était pas loin. Cette assommante sécurité toujours présente, étouffante. Le plaisir devenait trop rituel. Un peu trop gamin.
Et puis, la vie a finalement repris. Ou enfin repris. Liberté assouvie, comme libérés d'un voyage en train sous un long tunnel dont tu ne vois pas la fin. Et la vie a repris. Avec ses angoisses et ce bonheur de ne savoir quoi faire. Se réveiller et se dire : je peux faire quoi ? P'tain je me fais chier. Mais non, ca c'est juste pour le plaisir de se plaindre modérément. Parce qu'il y a beaucoup de choses à faire, une fois la bulle éclatée. Ne cherchez pas si vous ne comprenez pas ce que je dis, ce n'est pas pour vous que j'écris, mais pour moi. Mettre des mots sur tout et rien est soulageant, apaisant. Oxydo-réduction de la rage.
J'ai eu du mal et faut que je me soigne. C'est la fin qu'il faut voir. Ce moment où tu ne peux respirer que tranquillement, les poumons libérés, les membres détachés. La vie commune à [...] et à [...] Je me comprends, j'ai pas les mots et tant pis. Mais tout ceci ne viendra qu'avec le temps. Tout est programmé cette année... Rigueur, rigueur, rigueur. Le mot de l'année.
Babypuppe ici, partout, here. Motivation, retour aux sources et aux révationnalités bien méritées. On y croit, on y croit. Oui, je serai capable de l'embrasser, de la caresser. Parce que oui, peut-être bi, et oui. Et puis ? Homme, femme, c'est pas pareil. Oui, qu'on en pense ce qu'on veut. J'aime Coin. C'est tout, mon cerveau fait ce qu'il veut, s'il veut fantasmer, il fantasme et puis quoi encore ? Ca me tenterait bien. J'avoue. Pour voir. Non, soyons réaliste, le vrai du vrai, c'est juste le wock'nd woll. Mener sa vie là où on veut la mener. Pas d'attache sauf celles qu'on a. Simplement et faire ce travail sur soi. Et musicalement, dessinalement, avancer à grands ou petits pas. Tant qu'on avance. Devenir ce qu'on souhaite par 'nimporte quel chemin et s'absoudre à l'adversité. J'avais envie xD
Se prendre en main. Et suivre.
Soyons, rigoureux. RIGOUREUX. Ne se peser qu'une fois par semaine : lundi matin 8h, à jeûn.
Bon, tout tourne autour de la bouffe. y'a plus rien dans le frigo et tant mieux. Pastas Rules et c'est reparti. Ne pas dépasser la dose indiqué. Nous la connaissons tous. Sinon ca sert à rien. Oui, les chiottes n'auront plus jamais faim. Ni de moi , ni de rien du tout. J'ai péché mon père, pardonnez moi. Je ne suis qu'une sale païenne. Oui, c'est quoi ce trip. Ahah.
Je suis de bonne humeur et je veux te revoir. Vous revoir parceque beaucoup de gens me manquent, et même si je ne donne pas beaucoup de nouvelles, je pense souvent à eux. Je citerai Babypuppe, Loute, Simon. P'tain comment le temps à 4 est regrettable. Je citerai Marquise-Dae, avec laquelle, je voudrai m'entendre comme deux [...]. Oui, voudrait la connaître cette marquise. Voir derrière. Facade musclée de caractère doux. Rha. Bien-sûr, cailloux, cafètériens. Adraniens, Kaedrinniens, Zizi en tout genre.
Argh ! Faut récupérer les empicerise. GROU
Et si je vous dit que je suis amoureuse, vous me croyez ?
Vous, c'est pas vous, c'est mes amis imaginaires, mon public adoré qui m'idolâtre inlassablement, dans ma plus haute gloire. Non. C'est juste pour le quelqu'un. Je me parle, tu me parle, nous nous parle. Je me parle. C'est tout, c'est pour moi. Et oui. Va voir un psy, t'es vraiment atteinte ma pauvre chose.
GLOUPS. Programme entamé dès la semaine prochaine quand ouverture de la piscine.
NIARK.
Mercredi 22 août 2007 à 21:42
Rêve et permets toi le. Dessiner. AGAIN. La mode à la miam miam. L'appareil photo, ca fait renaître des envies. Comme ces connards d'impôts. P'tain mais j'ai rien demandé moi. Pas 'rave, pas 'rave, PAS 'RAVE. Difficile de s'en convaincre. Ils le disaient dans c't'horoscope de mes deux. 600 euros à payer, d'on ne sait où avec de l'argent virtuel. En tout cas, à payer même si on peut pas et que c'est pas justifié. 750 pour Sta Marg, la vie, la argh. 600 pour les Impôts de chambre. 365 pour le loyer. En soi donc impossible à moins que de faire un jeûne suffisamment conséquent. Un jeune de quelques mois. HAHA. Rions, tant que c'est encore gratuit. Donc avec 1600 euros avec la pension, on peut payer les deux premiers certainement mais le troisième, ca va être difficile. Faudrait demander à la CAF s'ils ont besoin de grabuge. A ste marg la vie la argh, s'ils peuvent attendre. Et pour la boufffe, on se limitera à nous du canard et finir les placards en bouffant des pâtes ou pas, ou pas.
Vais foutre la merde chez Les Feux de l'Amour. Toilokdo. slayer. Se créer un personnage et e faire se montrer. Séduire. Séduire par les mots. Puis aussi finir pour y foutre définitivement la chohut.
Niark.
Déteste ce caractère à la con qui décide de tout plomber quand l'ambiance ets a beau fixe. Et s'en prendre à la seule personne capable d'aimer un ouistiti. C'est un peu facile de s'en prendre à un innocent, connasse.
Rien à dire, un peu dégouttée. Mais des rêves, DES RÊVES... AHAHAH, trop cool, tip top moumoute ! J'AIME.
Lundi 13 août 2007 à 19:13
Moi je rigolo, quel dingorigoloterie, j'te dis. Ecouter trop attentivement et se garder tout sa rage. Mais ca fait mal putain. J'aurai aimé et j'aimerai pouvoir hurler. Hurler et dire toutes ces méchancetés, ici hors contexte :
"[...]"
Et puis merde, ca me regarde, j'ai même pas envie de dire. A quel point je voudrais être méchante et pas une bonne poire, un truc qui se fait avoir. J'aimerai dire : "tu te tires et on en reparle plus" *Mias je me fais pas avoir hein ? J'aurai pas à regretter non ?*
Mais non. Moi chui con moi, et ouais, moi ch'suis con. Ouais, un p'tit peu trop sado maso pour arrêter de le voir, un peu trop accro. Et ptêt malheureusement parce qu'il recommencera forcément. Ou pas. OU PAS ! OK ? AHHHHHHHHHHHHHHH. J'ai envie de hurler. Le voir m'apaise et m'enlève tous ces mots haineux que je devrais peut-être dire. C'est ça, basse.
Et ya ces embrouilles avec ce putain de corps que je me trimballe. Des vomissements à la bile tous les jours. Même quand je bouffe pas. Fait chier. Et maintenant du sang dans les urines. HA. Genre, c'est pas drôle. Non, c'est pas que je t'aime pas que j'en ai rien à foutre de crever. C'est juste purement égoïste. Genre, c'est cool si t'es là, mais si je crêve, ca me fera que dalle que tu sois seul parce que je sentirai plus rien. Et dans ta tête de minable conne jalouse et possessive : "et tu pourras t'en trouver d'autres à baiser sans culpabilité". Oui, je pense méchant. Je me tais parce que je pense gentil aussi. Mais au fond de moi, ça rame. Tu réponds oui à : "ça va ?" et on te dit que tu mens. Et bah ouais, j'ai pas envie de dire que ca va pas parce que, de toute facon, bande de cons, vous vous en foutez.
J'assume ce putain de choix, cette putain de rage que je tais, et cette putain de vie.
"Tu es en coupure mardi ?"Oui, la question fait peur. Comme envie de répondre : "ouaip, tu pourras la revoir ta copine" Mais ça fait mal d'être parano. Et ça lui ferait mal aussi. J'entends déjà les "il le mérite" à la pelle. Et ouais. Je suis d'accord. Mais pas du tout aussi. Je sais bien ce putain de ressenti à la con de l'infidélité. Miséricorde. Misère, y corde. Ouais, je me la joue à Yahan et j'emmerde tout le monde.
Mon humeur est constante, la lune est partie, même si dans ma tête, je me laisse encore de l'espace. Oui, j'avoue que l'alcool rend con et que j'ai surement été engageante. Comme d'hab : ouiiiinnnn, c'était bien avant. Tu te souviens ?
Désolée Fat, mais t'es un connard infidèle *[...]* et le passé appartient au passé. Range tes rêves et tes désolés à la con, moi j'en veux pas, et j'en ai jamais voulu. On est vraiment con quand on est amoureux. Trop aveugle. *Comme là* J'avoue que pour me suivre, faut du courage. J'espère juste qu'il mesure. Qu'ilS mesureNT. Remarque les vrais potes tu les vois : Chachou No'm Aude Kiki et LOUTE. Putain de Gribou. En tout cas je suis à 44. Deux en une semaine, c'est peu, mais c'est mieux que rien.
Keeping smile. Ouais, m^me si c'tes pour sauver l'apparence et le "je m'en foutage d'être humiliée" Genre... L'apparence suit alors tout ets bon. Juste dansla tête que ca va pas et l'organisme qui se fout de tout.
Finalement calme; sereine et parano. Mais bon hein, over-aimante, c'est tout ce qu'il faut *T'as d'la chance ouais...* J'y crois ? J'y crois. J'y crois... Mouais, allons y sur les doigts de pieds. J'aime. LAM. Continuons. THOMANN RULES !
Vendredi 10 août 2007 à 21:50
Voilà. J'ai plaqué Loute, mec qui faisiat des efforts monstres pour me garder, mec qui m'aimait mlagré notre quotidien parfois macabre. Et un mec qui se fout de ma gueule, qui me mythonne, qui me trompe. Et je dois dire quoi ? C'est dans ta nature de 'ion peut-être ? C'est normal d'être attiré et de coucher comme ca avec une meuf. De me MENTIR !
"Euh j'pense à un truc la t'as récup la di et les câbles de doudou ? Moi j'y ai pas touché...Bonne nuit ma chérie la meilleur des chérie trop géniale j'veux passer toute ma vie avec toi et ne veux pas qu'on soit libertin je n'ai d'yeux que pour toi je t'aime à la folie ne te fais un milliard de bisous douce nuit petite fée"
Laissez moi me gausser pitoyablement. Et bien tranquillement. Genre. Dis, est-ce que, encore une fois, je sers de corps à un connard ? Ou c'est une méprise et tu peux pas faire autrement dans ta vie que de tromper ta nana par amour du sexe ? C'est du foutage de gueule, et ces mythos dès le : "c'ets comme ma grande soeur" ... Et mon cul ? La puce à l'oreille dès le début. Nan, là je suis déçue. Très déçue. Je fais quoi, je pense quoi, je dis quoi ? J'ai comme envie d'être violente, de me péter les doigts surles murs de gueuler, gueuler gueuler et me défoncer la gueule. Ptête que c'est de ma faute. Ce genre de truc ca se sent et c'était pas la première fois, me dis pas le contraire. Ou sinon, te croirais pas. Le crois paaaaaaaaaaaaaaaaaas. Dîtes, là j'ai vraiment une raison ou faut attendre encore ?
Et oui, je suis bien conne, en effet.
Je susi énervée. Elle lui manque... Elle lui manque. Que devrais-je dire ? Va la rejoindre, elle est toute à toi ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ? Je me maudis. Faut pas pleurer, faut pas pleurer. M'a prise pour une conne. M'a prise pour une conne. M'a prise pour une conne. LUI ? TOI ? NON ? Mais ? Putain Coin ? Coin ?
J'ai l'impression d'avoir le coeur dans le cerveau et il bat a plus de 120 pulsations par minutes. Se la joue à un casseur de string. Quoi t'as la haine ? LA N. Oui j'ai la haine.
Bon, mise au point dès ce soir, je vais attendre quitte à être claquée demain. Et fumer. Beuh de Hollande me voici. Ca m'évitera des violences inutiles ... Dans ta gueule.
Mercredi 8 août 2007 à 0:09
Avouons.
Jouer, jouer et jouer. Sur les mots, les notes, les idées et les nerfs. Jouer. Jouer du regards, des souvenirs et des futurs plans. Se balader le coeur ouvert à l'inconnu. Faire des concours de merde avec des potes. Aller à des concerts, se prendre des murges, être défoncée, délirer sur des conneries, se moquer de soi et des autres. Des autres. Dérider le pessimisme des situations quand rien ne va plus, ironiser la bétise humaines. Sasseoir à l'ombre d'un arbre avec un paquet de bonbons, aller à la piscine et faire des plongeons et des plats. jouer au loup avec Xavier et crier quand il me rattrape.
Il y a tant de choses amusantes.
Entamer une conversation avec les gens de la table d'a coté au bar, ou avec le/a serveur/se. Aller à une expo plus ou moins bonne. Se retrouver dans une situation de merde à cause d'un détail de merde. Parler anglais comme une vache espagnol et leur dire fièrement que mon anglais est "terrible" (Better than my french !) Faire rire ma petite soeur et avoir 3 ans. Ca c'est drole. Jouer aux cartes en écoutant de la zic, se foutre de la gueule d'une série bidon et user des lames en rigolant trop fort. Rencontrer des MSNiens, en se disat que leur voix est différente de celle que l'on ldeur imaginait. Voir Les Voleurs de Swing. Et les amis. D'une marquise à un gribou, d'une riot à une Robert. D'un caillou à un caféterrien. D'un squatteur à un musicos. Qu'importe, j'aime les gens,autant que je peux détester d'autres aspects de la vie.
Bon, liste pas vraiment très complète.
Voilà, taisons ces voix. J'aurai juste aimer savoir. Parce que ca contnuera pas comme ça. Bastos m'a laissé un peu de beuh de Hollande. Juste de quoi. J'y pensais. Mon testament, si un jour je crêve. Revu le Gribougnoute et le Gribouponke. Le trio à Saumur. Et là, ca cartonne. Parce que ca fait du bien ce trio et que c'est un trio de fou, a l'aise comme avec Gwen. Pas de qoi se taire, toujours à mater parler, remarquer, déconner. Je me demandais si ca manquait pas. Je crois que si. Les réunions mensuelles devraient être moins espacées. J'entends déjà Chachou : fait le timide ? Tu veux que je réponde quoi ? : "Pourquoi bois tu ?
Pour oublier ?
Pour oublier quoi ?
Qu'jai honte ?
Honte de quoi ?
Honte de boire...
Quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir. "
Merci Little Prince. Donc ce sera murge. Histoire de pro-fi-ter. Non, mais. Pas envie de passer ma vie à galérer et m'inventer une vie que je désire. Je ferai ce qu eje peux, masi je le ferai. M'en branle. Ils verront. 46 dimanche. On rêve ou c'est interdit ? Les répétitions m'épuisent, ces mots, ces mots, ces mots. Toujours le même quotidien. L'année prochaine, Bike Road Trip around East Europ. Yeap. On en rigolera. Motiver les deux autre gribous et leurs moitiés et partir. Comme avant, sur les routes de nos improvisations. Nostalgie, antalgie ? Hahaha. Ca fait du bien d'y repenser en fait. Et de voir qu'on est les mêmes, au fond, et qu'ensemble, ensemble. Les mots n'ont pas de poids. Nous. On s'y tient. Come back. COME BACK !! HAHAHA, j'ai vraiment peur du futur. Et tellement peur de ce que je pense, ces vieilles décisions. On s'en sortira a t'on dit... Mouais, je reste perplexe... Sceptique.
Que je n'aime pas remettre en question ces choses si simples. Rebrouer la Terre pour le plaisir de se torturer les neurones. C'est bien con, me dirait vous. Jeudi, aération : Paris, maitre Zen/Olivier, et Ben de Brassart. Haha, rencontrage et allage à l'expo rock. Héhéh, j'aime Paris. Et ! Et surtout... J'ai besoin de voir du monde. Et les gens que j'aime d'abord. Cités plus haut... D'une marquise à un gribou, d'une riot à une Robert. D'un caillou à un caféterrien. D'un squatteur à un musicos.
Gniiii, soufflons...
Gerbe-ligne et A. A deux balles, Yahan.
Vendredi 3 août 2007 à 23:48
Pas d'autres solutions. Pas d'autre solution. Revenir à la bonne idée. C'est le seul moyen. Accepter, s'accepter. Et n'attendre rien de chacun. Rien du tout, que dalle. Même pas quelques mots. Là, faudrait que je lui reparle. Juste histoire que je lui dise à que je comprends, avec pas mal de retard, ce reproche. Vidéo éffacée sur tout support, mais marquée à vie. Il suffisait juste d'avoir le modèle réduit et pouf paf pif. Faut que mon scoot re-fonctionne, démarre bien. M'en fous que ce soit un cercueil ambulant.
Bon, ça ne me donne aucune réponse. Arrête de te poser des questions ! Gniiiiiiii. Rha, si vraiment. J'vais consacrer mes vacances à gagner des tunes et racheter de quoi. J'ai compris cette chose ce soir. Que c'est ainsi qu'il faut qu'[...]. Enfin, j'arriverai à parler un jour. Je redeviens aussi taciturne que cet hiver. Colère, impatiente, mimi, pas mimi, patience, pas mimi, mimi, impatience. C'est rigolo, ou la chaire est cramée c'est encore marron. J'avais comme envie de voir Gwen. Parler des heures pour ne rien dire et repartir le coeur léger. Je cherche juste un moyen. On va dire 700.
Déjà, balayer internet de son utilisation quotidienne, outre le crachas et rejet de mauvaises pensées. Ca met de bonne humeur d'écrire des conneries pareilles. So dark. Caricature de soi-même, et j'assume pleinement. M'en fous. Déja folle de partout, parce que expression. Bon. Parois, j'préfèrerai être lesb. Pas histoire de leur donner raison, juste histoire de tout lacher. Oh elle n'a as supporté l'insecticide. 1980, 2004, 2007. Renaissance. I miss him so much. Hate me. VMM. Comme en primaire.
Ca fait tellement bizarre.
Au moins, dégagée. 180 gr de pain et 200 cal des autres. Remarque intelligente de la part de ma cervelle. Celle qui impose le respect. Il n'y a qu'en cas de crise de nerf. Et puis. Je déteste tant de choses. J'voudrais tant être haïe. J'veux qu'on baise sur ma tombe. Fumons, tant qu'il est possible. Soulageons. Soignons le mal par le mal. HAHAHA, souvenirs, souvenirs
Même si c'est pas drôle. Hihi. Le coup du turlapin. Gniark gniark. Bouerk. J'attends juste. Même plus. Même plus. Même plus. Dimanche.
Question à 100 000 euros : comment se fait-il qu'en [...], j'ai parfois [...] ? Cherchons lataupe et taupy n' en bourg. Ca me sidère !
Vendredi 3 août 2007 à 13:39
J'ai comme envie de dire : "bon arrête tes conneries, ça va courir à [une] perte"
Je dis ce que je veux, et pense ce que je veux aussi. Qu'on me fasse pas chier, j'ai pas la patience de sourire depuis une semaine comme une hypocrite folle, alors que j'ai tous autant envie de les buter que moi de disparaître dans les fins fonds d'un maraicage plein de sable mouvant. Ouais. Pourquoi, gnagnagna. Ce que je pense me regarde. ME regarde, ne regarde que MOI. Mon habituelle égoïsme et égocentrism(t)e prend le dessus. Franchement, la vie, qu'est ce qu'on en a a battre. On va tous crever, on va tous crever, c'est la fin du monde et nous on fait la fêteuh.... Ouaich. Ca sent le mytho à plein nez. Comme si ça ne se voyait pas. Je te connais très peu, mais suffisamment. Mais que dire à ça ? Sixième sens, un truc féminin ? Ne nous foutons pas de notre propre gueule. Parce queuh. Les larme montent aussi vite qu'une éjaculation précoce. Une pause baise. On y revient. Ma chère parano, à la ligne. Ne va pas croire que je te hais, mais j'en ai rahahahahaas le bol de te voir ici. Pourrez-tu, s'il te plait, filer avant que ce soit moi qui le fasse ? A la ligne. Merci d'avance, cordiale[ment]. A la ligne.Monster. A la ligne, signature. Le voir se faire chier d'une force incommensurable. Il y a bien des choses que je NE DOIS PAS savoir. Demande à Chose MAchin. Aucune preuve. Allez, avoue, tu te fais chier et ca change pas grand chose. Il l'a dit le Zizi. Commence à regretter cette époque du vieux Tours, bourré, concert, trip basse batterie, basse guitare, pet, concert. Ponctué d'auchan, auchan, auchan. Mais pas trop. Avec le temps, je me dis, que j'ai ce putain de don. Instabilité. Bordeline. Ca me fait gerber. Je me fais gerber. Brassart s'effondre avec tout ce qu'on peut vouloir. Se dire qu'il vaut mieux que pas. Foutaises. Je me demande comment je fais. Arrête de jouer ton jeu. JE T'EN SUPPLIE. Lover. C'est la même chose, féminin, masculin. Comme envie de mettre un point final à ce putain de post.
Trop de choses à dire, ca veut Plus sortir. Putain de Marivaux. Come back, please. Nan, j'bad trop. Dis moi comment on fait. Dis moi. J'ai pas le droit ? J'crois que j'ai juste besoin d'aide. Vivement le 11, vivement la rentré, vivement juin, vivement septembre, vivement dans 50 ans. Qu'on en finisse joyeusement en collant ma bouche avec du sparadrap.
Papa !!!! Hey DAD ! Mais coment j'aimerai qu'il soit là lui. Se ressourcer auprès de quelqu'un dont l'amour est épaternel. Ils me manquent. Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa.
Le comment a laissé la place au pourquoi. J'ai pas envie de devenir un diplodocus femelle comme Sleich. Je suis. Tous ca va changer. J'en ai marre de me retenir de vomir, de hurler, de chialer, de rigoler bêtement, de fumer malproprement. Reinvestissons. T'facon, j'arrive plus à faire semblant. Etre heureux, ca dure jamais bien longtemps avec un cerveau comme le mien. GROUUUUUU.Heureusement qu'Il est là. Et Gwen aussi. Un bon jeudi, comme il faut, seule bonne journée. Ouais.
J'voudrai hurler à la mort. FUCK
Dimanche 15 juillet 2007 à 16:01
D'une, se reprendre en main. De deux, rester sur cette longueur d'onde et halte aux sinosoïdes. Affichage sur papier machine. Quitte à écrire de la merde ici chaque jour pour s'en tenir. Reste. Just for this moment. Et garder la forme. Pour un moi(s). Ne jouez pas sur les mots Odile.
Prochain RDV mensuel du mois chez Chachou le 11 août. Apporter liche, liche. Pour se bourrer la gueule à la bière. Manger liquide. Niark. J'avais oublié. Se contenir pour dire autant de conneries.
HAHA, soyons fous.
Dimanche 1er juillet 2007 à 22:33
Reparti pour un tour. Un an. Même chose, contexte idéalement différent. Reprendre habitudes à la con, prostitution mentale pour un taf merdique. *Mais un taf quand même* Ouaip, j'aurais préféré un plan à la Loute. Au moins, tu travailles pour de la tunes. Intérim power, GSF Auriga. Envie de musique, de progrès aussi.
En fait, c'est la rage. Une sorte de paranoïa incontrôlable. Ce pouvoir stupide et égoïste. Miroir, miroir, dis-moi. Soirée griboutale avec femmes et enfants, Maman Biloute qui se veut ma meilleure amie, fumer devant elle qui garde inlassablement son sourire dentifrice : "oui, moi je bosse avec les enfants, je vais à Clocheville en vélo et je suis une rebelle avec les condés et cette société de merde, gnagnagna". Mouais, se passent le mot, contagion virulente rapide. Marrant de voir, qu'on est encore quelque chose dans son estime "meilleure amie, j'te raconte ma vie et tutti quanti". Dans un sens. Réciprocité échouée. Mimi, mais point trop n'en faut, garder ce sourire bienveillant et ces hochement de tête silencieux devant tant de monologues. Joue bien son jeu de mère parfaite. Bourrelle. Mais bon, mimi quand même. "fun de voir avec qui on s'est retrouvés respectivement toi, Loute et moi. (Sauf, quà la différence de Loute, les nôtres sont moins coincés et pimbêches" Le Simon qui fait un constât. Et ouais. "elle fume pas et boit pas, mais elle me dit rien sur les rangeos" "j'ai le même à la maison" "yop"
Tard tard. Gabi, vraiment chiant bourré. Relou sous tous les bords et à fond dans le "geek". C'est ton mot hein ? Toi même, si tu savais mon gars ! Ahah, même pas 20 en anglais , branleur.
Héhéh ! Pas envie d'aller au restau, gros gras, gr, grou. Restons sur GROU, c'est positif et tant pis pour le reste. Moment d'associabilité familiale. J'aime pas l'inconnu. paraître pour cette petite conne au sourire dentifrice. Bouirk. Ma famille est loin, famille réduite du Gribou toujours là pour moi. Sympathoche dérision. Et relation sister brother. Finalement c'est beaucoup plus drôle comme ça. Le fameux lit. En rire encore.
Liturgy of Decay et ses pitoyables membres. Proner la tolérance ainsi pour ça !
Anorchidéa qui commence à s'en sortir, grand GROU pour le courage et pour elle, parce qu'elle ke vaut. Babypuppe, qui revient ... Mimi quand même, mais encore. Finalement, les distances, c'est comme le bonheur. Ami, ami, ceci est un jeu. Les rêves ne sont plsu que vapeur, je préfère mes cauchemars que les retours à la réalité impossible. Au moins, quand tu cauchemardes, tu apprécies le réveil : tiens, je suis encore de ce monde ce matin ? Voilà Cherry. C'est ainsi, je fais pas trente fois les mêmes conneries. Sans que ce soit platonique, ne révons plus. Te manque, parfois, toi aussi. Viens si tu veux, ne trépignerai pas de jalousie. Chacun sa vie, la mienne est trop douce pour accepter tes tortures mentales d'attente. Modérer tous les sentiments extrèmes avec tout le monde. Ouais. Sinon j'en serai à écrire des chansons. Mouhahah, pitoyable romantisme. Me rappelle de cette larme à l'oeil. Héhé. Partie loin.
M'a foutu la haine. Trop de lunatisme. Non, je ne suis pas bizarre, je suis froide car de mauvaise humeur. Et se taire car injustifiable et conneries.
Mercredi 27 juin 2007 à 23:47
Tout faire pour que rien à y comprendre. Changer tout, l'interprétation on
s'en branle, quelle que personnalité que ce soit. Voilà. Ou va te faire foutre.
C'tout simple après tout. C'est ma place, pas à trouver, squattée par des
voyeurs. GNI, pauvre conne que je suis. :) A croire que j'y prends mon pied.
Economie de mots, de tout. Bouffer tout ce qui est perimé dans le frigo alors
que. Pfiou, principe à la con. Rien à foutre de cette bouffe, j'en voulais pas,
on me l'a imposée. Vais demander une location. Puis voilà, prendre deux tonnes
à cause de ça. S'est bon, moi ossi je vais écrir comme sa, puis que tous le
monde c'en foud de la grammaire française.
C'ets bien égoïste d'être malheureux en ce monde, mais qu'est ce que c'est
égoïste d'être heureux moi j'dis. Petit mannequin superficiel. On se demande
vraiment, sous cette tonne de gel. Dégoulinant de connerie infantile. J'entends
d'ici les interprétations à la con. Putain !
L'avoir retrouvée, en fait vouloir la revoir. Ne plus se faire de films et
attendre rien du tout. De toute façon, j'attends rien de personne, au moins,
pas de déception. On est toujours tout seul dans la vie, c'est une certitude,
donc pas besoin de béquille. Finalement. Survie bien anticipée, la rage
maintient en vie, et maintient l'envie. Pulsions déraisonnables, ok bon, et
puis. Mais se dire que quelqu'un attend peut-être quelque part.
Courir après tout et n'importe quoi. Et voir qu'on ne vaut rien. Tout faire
pour ne pas. Essayer.
Demain, cours de dessin.
Ne pas se poser de question. The Kaedrinn Show qui s'améliore, même si. Et rien à dire sur ces mimi Kaedrinniens sauf Gwen qui fait parler les sous-douées pas prêtes psychologiquement à ouvrir la bouche. Ne pas s'en faire, prendre des résolutions et voir se fonguer réactions adverses du camps ennemis dieu que j'aime les répétitions, le fait de se sentir vide et trop pleine, seule et pas du tout.
Finalement, être seul avec soi, ça apprend. Faire le point et se dire. Encore ces balivernes controversées. Bien amphigourique. La solitude a du bon. Sur que ce jeu est mauvais, les rôles mal disribué. ET ME FAIRE KLAXONNEE PAR CE CONNARD !!! Rien que de la merde.
Et l'autre aussi, à croire que c'est la journée. Fanny, Lola, soeur Chose. Ptêt qu'avec ces artistes, j'aurai de l'inspiration. Ca, c'est vriament chouette
J'arrive pas à penser, piano glup glup. Vraiment chouette. Glips. Love song, because for me, for me, only for me. Pas dalbe, parce que le matos de dessin y coûte trop cher. Pas formidable. Sias plus rien.
Je sais que je ne sias pas. Atriste hotte. Envie de douille.
La même en pire. Et merde, en avance de 2 jours pour l'anniv de Loute, comme quoi, reset delete, fuckete. Yo.
Objectif à atteindre, time two. Et ouais, ça veut rien dire, faut pas chercher ici. NA, dans vos gueules. (pas envie d'être mignonne et gnagnagna, les blagues les plus courtes sont les meilleures donc stop it. Ok ? Ok :) Faut apprendre à voir) (Comme envie de repeindre cette chambre à Arles en carmin !)
Vendredi 22 juin 2007 à 21:12
Un peu paumée : tête ailleurs : dans la machine : linge. Remise en question, mauvaise réponses, mauvaises questions, hors sujet. Fusion de tous les calques. Ambivalence des personnalités, polyvalence du perso. Touche à tout, ne gère rien. Bonne à. Jeu de rôle mal mené, et merde ! Braque. Négligence et perfectionnisme. Brouillon. Pleinement. Prendre le temps de vivre avec joie. Ne pas réfléchir. Rechercher l'euphorie dans l'endodphine, l'excitation, le manque ou se chercher et finalement se tromper à soi-même. C'est beaucoup plus simple. Just to smile. Serait-ce une bonne résolution ? Non, mais je rêve, bien bien bien ! Wahoo ! Ahah se tromper inlassablement par manque de réflexion, contresens. Vocabulaire mal utilisé, inconnu. Je saurai, ne pas mourir bête. Remarques inintéressantes et annotations à la con à bannir. Discrête et transparente, pas folle. Sans complexe. Peur irrationnel de. Si jamais la peur est rationnelle. Relativité. Il joue à un jeu risqué et j'arrive pas à écrire. Pas envie de net. Déconnectée, MSN est la chose la plus anti-sociale et inversement. Va tant comprendre. Pouvoir griboutal, points communs juste pour s(t)e rassurer. Allez, on re-ziquera ensemble bientôt ! Irresponsable. Prendre confiance. Vivre libre ou mourir ! Pour pouvoir gérer : html, c. Pas si simple mais héhé. Se souvenir de ces choses quand l'info fut progra. De A à Z, c'est ça le souci. Insatisfaire devant un(e) [ ] inachevé(e). Tout ceci et cela sont désormais interdit. Hihi. BB is watching you. Se afire violence. Let's go to TE. La perfection n'existe que dans les intentions de l'Homme. Essayer ne coûte rien, ne sert à rien aussi. Mais pourquoi pas mieux ? Gnougnou pouet pouet.
Réveil difficile, maussade. Pas envie. Le cœur presque
léger, noter de la
Teuwineugo. Sans retouche, mais juste pour soi-même, petite
pensée du matin continuelle au canard joyeux ou pas quelque part ici ou là-bas…
Confiante sur ce qu'il se passera car se rendre compte qu'on est toujours seul,
parce que. Hihi, et tant mieux. Ne plus se poser de question. Le monde n'est
pas fou, juste la société. Hzahéhé ;:;!:, :
Discrête, remarquée, Si tu ne viens pas, je ne bougerai pas.
Penser à voir ses potes, parce que plein de cailloux en détresse de rigolade. Genre.
Changeons de point of view. Gueule sympathoche,
carapace. Elles se barrent, 32 au final. 25000 euros pour la Gondola Calendario
de Patek Philippe. La sonnerie retentit. Dans ta tête. Motivation.
Amerlocricain sans redondance. Puis le dernier : entretien, mouais c'est
ça. Rester dans le cadre, zen et
confiante, Coué. Si aussi réussi que flip (flip puis 360), alors bien bien
bien. Bien…
Fixée. Peut-être l'air con. Pousser son organisme à ses
dernières capacités. Rage et Haine, mimi cocktail. I can, I can. MUST. Mist, comme the maid, comme the minute.
Mouais, perplexité. Mais savoir que l'on peut. Quand on veut. 6 mois,
c'est court, mais ça suffit. Chercher synthèse et raccourci. Economie des mots.
Dynamique, agréable et prend des initiatives. Façade convaincante.
MOUAHAHHAHAHAHHAHAHHA, JE ME GAUSSE !!!
Soyez à mes pieds, montrez vous tel que vous êtes !
Hahaha ! Craquage interne, bon de diou d'bon diou, kess sa fait du bien.
TE. O menos, o menos, o menos. Chance for liberty. Stupid things. Quand tu nous
tiens. Ridicule petit morpion. No Maj,
putain de casquette. Suis la meilleure des pires.
Hahaha tac galipette et roulade avant. Tic. Clic-clac.
Beautiful Side. S'en convaincre. Essayer. Centre de, centre
du. Périmètre et jalousie. Tenter l'impossible n'est pas. Rond point du petit
Clos. En vouloir. Le côté clair de l'obscur. " Cette mèche de
cheveux… " Gnan ! Action ratée sans rien comprendre. Ecrire
manuellement parce que mot de passe. Re Gnan, mais tuez-la. Montagne et pendule
à quinze coups pour pas grand-chose, juste que ça sorte. Ne lis pas ne lis pas
ne lis pas ne lis pas ne lis pas. Lira. Epilepsie. N'auront qu'à bien se tenir.
Dreamweaver, c'est mouru. Casserai tout d'un coup de main/pied tu dérailles,
j'ai dis rail. D' ya need som'
he'p ? Yeah baby, run ‘nd cry ‘f ya want. Chaleur astrale sur peau
blanchissante. Perdre prendre perdre prendre perdre prendre perdre prendre.
Recommandée, in the pocket ? Nice joke. Lui ressemble étrangement.
Visagement parlant et pouf disparute, le coup est parti. Closre the eyes pour
le temps qu'il reste. Lumièreologue, lighteux, lumièrEUH, à votre service.
Buccal. Avec tout ce moins, on rira plus. Ou mieux. Positiving. Décapoutée,
alors niark. D'ya unde'stand ? C'est clair comme de l'eau de tulipe, tu
piles. Vaporisée en un éclair au chocolat. CHOCOL-HATE ! Grou !
Puis il n'y eut plus rien. (Joli conclusion, me diras-tu)
(Tu : joli conclusion)
Marre du 45, veux être bien
Jeudi 7 juin 2007 à 0:44
Et si ça, ça n'était pas une perte de temps ? Hein ?
Se concentrer sur cette partie-là, bosser bosser et ne plus rêver. L'athlé, c'est du passé, ils verront un jour si j'ai du temps. Ou pas. Le dessin apaise comme les travaux manuels. J'aime me dire que l'"oeuvre" n'est pas finie, qu'il faut rajouter un petit quelque chose ; jusqu'à ce que ça fasse tout foirer. :) Mais le plaisir d'avoir fait quelque chose de ses propres mains. Un truc anodin. Même pas la fierté et les compliments qui intéressent, ça c'est l'option chiante. Ouais, j'ai fait un truc, jeveux ton avis masi pas de compliments. Grrr. Mais bon, mieux vaut se taire. Accepter ou simplement le feindre et sourire. Modestie totale puisuq'en généra, c'ets tout con, faut juste prendre son courage à 3 mains.Visiter des écoles d'arts. S'être trouver un but réel. Parce que le rêve est encore permis et gratuit. Même si on peut en douter en voyant les prix des inscriptions à ces dites écoles. FUCK. Puis se laisser aller à penser qu'on peut. C'est une certitude, quand on veut, on peut. Tout le travail est à accomplir. Se motiver. Juste HORS LIGNE et se poser la tête, hors de ces merdes virtuelles qui nous engouffrent dans un cercle vicieux. Même si ça peut ouvrir parfois. Vouloir faire de l'illustration ou du graphisme, un quotidien pas chiant, mais créatif, coloré et sympathique malgré la peine à y arriver. S'il faut saigner, partir et payer, je le ferai. La déchirure sera énorme, donc le courage et la réussite forcés. Pour qu'un jour, il soit fier pour une raison viable.
Le reste ? Cartonner en CE, leur montrer encore et toujours que l'on peut. Peut peut peut ! Bosser la CP et les CPAP. Tout bien préparer et cours sur le net, PDF et compagnie. Histoire de toucher un peu à tout et comprendre. Campagne de com, convaincre les chefs de Chambray de bosser pour eux, gratos juste pour le fun, l'expérience et l'apprentissage. De quoi prendre l'habitude. Donc CDI, dessin, word, net, dans l'ordre où il faut le prendre. Tenter le JDD pour deux semaines et ses absences. S'interdire, imaginer. Faire fonctionner son imagination, personnages mis en scène puis visiter le sécoles, visiter les écoles.
Être prise à BRASSART. Année préparatoire, licence pro, première année, seconde, troisième et quatrième, spéialisation.
2006/2008 : BTS Communication des Entreprises (stratégie de com)
2008/2009 : Licence pro Activités et techniques de Com option Com Visuelle
2010/2011 : année préparatoire Brassart
2011/20015 : spécialisation a Brassart (on verra laquelle)
28 ans ?
Pas glop !
Ou reprendre en Lettres Modernes. Pour juste pouvoir faire la prof de français qui veut donner l'amour des mots et des jolis textes. Mouais. Fantasmons. Hélène.
2006/2008 : BTS Communication des Entreprises (stratégie de com)
2009/2010 : année préparatoire Brassart
2010/2011 : Licence pro Activités et techniques de Com option Com Visuelle
2011/2014 : Licence de Lettres Modernes
2015/2018 : Capes
Prof à 31 ans.
Ne plus se poser des questions cons et avancer tout simplement vers un futur idéalisé. Ne pas envier le bonheur des autres et porfiter du sien. Indépendance totale, sale gueule mais rattrapable. Et être là-bas, donc c'est bon. Au pire, la route est longue et fort peuplée.
Quel gachis quand même.
Ne pas idolâtrer. De mieux en mieux. En chasse. TE
Mercredi 2 mai 2007 à 0:38
J'apprends le html ? Quoi tu vois ça dans ta barre de naviagateur ?
Sans commentaire. De plus en plus de familiarités. Ce temps où tu sens le rapprochement, la connaissance plus fine. Non, aussi mystérieux. Toujours aussi mystérieux. Tenter le silence ? Un peu trop d'exposition sexuelle. Passe encore pour une pute. Mail décisif. Comme un semblant de fin. Ne pas chercher, bloquer finalement pour ne plus rien attendre. Savoir Gwen ici pour tout et n'importe quoi. Nous imaginer en train de baiser toutes les deux. Peêt que oui pour les filles, mais pas envie d'essayer avec une connue. Se demander si Simon n'est pas un double. Vouloir apprendre Mr (x)html, css et tutti quanti. Wolfy sera mimi. Aller piocher des infos et les noter
Dimanche 29 avril 2007 à 4:32
Voudrais avoir le cran de tout lâcher.
Marre de voir. I don't exist for you. Not matter. Life is real, you're not.
Bye-bye Blondie.