sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Vendredi 19 septembre 2008 à 12:46




Le mot que je cherchais, Papa, c'est "autochtone". Finalement, oui, ça revient quelques jours après. Brico dépot rules xD et j'rigole grave avec ma guitare. Ca m'semblait important.



Jeudi 18 septembre 2008 à 23:17




Seule dans mon sling. Craque. Câble. Vide, vidée, bidet, bide et lavabo laid. Tout ça. Il fait nuit ici, tout est noir. Le courant est coupé. L'eau courante est coupée.  Se sont taillée en gambadant joyeusement. Se sont taillé les veines à la guillotine. Le bouton pour rallumer la lumière ? DTC, Turlututu. Triste. A Tours est l'interrupteur. Celui qui fait cesser le dark ennui. Concentrique pensée, vision occultée. Partout, je vois en Coin. Pouvoir partager. Jolies choses. Deux murs séparent les diférents espaces : le temps et l'argent. Le temps est l'argent, le temps hait l'argent, l'autant est l'argent, l'OTAN est l'argent. Protégé de surcroît par des mitraillettes. Silencieuses les mitraillettes, parce que sinon ça serait pas drôle. Talk to me. Prayer. Ne pas s'éloigner du but premier de Paris. Réussir avec brio, brillance, et classe cette année scolaire. S'égarer, s'éparpiller. Virtuellement, illusoirement. Dans mes rêves, dans ses yeux, dans ses bras, dans son lit. Trop loin. Foutue distance. Amoindrie. Moins, loin, Coin, point. L'êtat d'esprit qui rit pas, comme en première année de BTS. M'oublie pas le 'Ion... Communicatifs.

Journée de marche dans Paris. Un restau et l'autre feignasse fidèle à lui-même. Alors parler manga, informatique. Ca doit être le truc du siècle l'informatique. Je les écoute en parler avec la même attention qu'à un gosse lorsque le père Noël vient leur toucher quelques mots sur leurs prochain cadeaux. Et je reste toute conne, toute chose, toute truc. Non, c'est pas mon truc, j'ai pas la cervelle pour, même si je faisais quelquechose pour apprendre. Quoique. Ca me plairait de savoir. Mais se lancer là-dedans en autodidacte... Mouais. On peut pas tout faire. Alors oui, j'vous écoute tous, apprenez-moi pleins de choses, c'est le seul moyen que je puisse en savoir de nouvelles. Enfin bon. Se repérer grâce aux tours. Tourologue et guide du Tourard, tout pour ne pas se perdre. Les grues de Jussieu, jaune et rouge et blanche. Meilleur moyen de ne pas se perdre, encore. Avec un Atrium pour Non-épileptiques-conseillé. HAHA, la fac !
Puis marcher encore et encore, craquer pour un bouquin à deux euros et voilà. Makis et sashimis, tout est dans la cuisson du riz, l'adresse est bonne. Cuisinellement vôtre et découverte des bonnes places. Tester another one. Le Manga Café, si si ! Tu verras. tu seras testeur de restau. Résultat du match de la semaine, Nutella : O, Delph : 1. Bam, dans le cul et les cuisses. T'as pas honte petit hobbit jouflu ? Dans une semaine, je revis. Dans une semaine, je serai présentable. Dans une semaine, je serai plus martienne. Je serai à VoinVoin. Miam, ne veux du 'Ioooooooooon !! Mais filez-lui son 'Ion bordel de merde de cul de chiotte de bites, sinon elle va tout casser. Putain, j'suis triste figurez-vous. Genre elle gère, mais elle pête grave son câble la naine. Ouais. J'vais arrêter là les doléances. Il suffit. Hâte dereprendre les cours et d'avoir l'esprit occupé. Que les effectifs soient divisés par deux, que je trouve un taf pour le week-end, que je vois VoinVoin, que j'aie les bourses, que je sois en BTS, que je sois dans le public, que je sois en coloc avec les cailloux, que j'aie les APL, que je puisse voir VoinVoin,que j'aie mon passe Navigo, que mes chèques soient encaissé, que mes pensées soient occupées, que j'ai pas de temps de libre pour flâner, que je l'aime que je l'aime. Bordel, je l'aime ce petit. Et j'sais pas comment l'dire autrement. Tu m'pardonnes Chéri ? Et voilà que j'me remets à parler toute seule. J'suis mal barrée les gars, j'suis mal barrée. D'une croix. Amen.



Lundi 15 septembre 2008 à 20:49




C'est ça, décolle. Déploie-les. Pédale, remue. Rame, tiens donc. J'ai parfois envie de tout balancer à coups de lance-pierres. Je pense combler le manque par : un taf, une coloc, du chichon. Ca sera déjà pas mal. Non, aucune réaction. Ou squatter chez Mamy. Génial. T'façon, hein, va bien falloir que je me casse. Jean-Truc bien mimi, ou l'inverse, mais bien relou aussi. C'est pas de la possession, c'est du déni. C'est du ça-coule-de-source-mais-t'es-con-ou-quoi-?, voilà ce que c'est. Ouais, moi ch'suis con. J'irai pas en coloc paske que j'peux pas. Un taf, ce serait cool et j'verrai.
Romper Stomper. Gratter pour ne pas penser. Je lis. En fait. Et puis je pourrai pas descendre le week-end du 12. Faudra que je vois ma tite soeur. Selon mes sous, tourangelle pendant les vacances octogonale et un week-end avant. Sinon juste les vacances. Ca pue le haricot confit. Alors j'écoute Supertramp en fumant une clope. Pour me souvenir de cette fête surhumaine. Je redeviens la chose quand je suis comme ça.

Le week-end était ressourçant entre cailloux, musique, sub, bouffe, rencontres. Alors ce lundi, même sans cours, bien tuée par son pessimisme. Fuck. WTF ? Ouais dsl Chéri, j'dois être destinée à être conne toute ma vie. Comprends vite, faut juste expliquer longtemps. Du nutella ? Tiens Connasse, ça te rappelle pas de bons souvenirs avec tes chiottes ? Mère absente car joueuse. Dis, tu résistes ou pas ? Mouaahahahhah, comme je suis pathétique ce soir. N'empêche le SpeedDialOpéra, c'est bien pratique. Ta gueule et écoute le solo ! Ouais ? Ouais. Je vous emmerde bien cordialement. Tous. Tous autant que vous êtes. Tous ceux qui ont la bassesse de venir ici. Aggressive ? Pas du tout. J'avais envie. LET'S KILL HER !! J'me l'fous au cul mon anglais pitoyable ? Ouais !



Mardi 9 septembre 2008 à 11:10




Le train est vide. L'esprit non, embarrassé. Plein de fils. Filaments de pensées qui s'agglutinent le long des chemins nerveux. Firmament de pessimsme qui pèse, qui pèse. Le regard est noir, l'adversité répugnante. Perdue entre deux gares, perdues entre deux vies. Egarée entre les rêves et la réalité, au milieu de l'Avant et de l'Après. L'impulsion manque. Les ressorts du tremplin sont rouillés par l'appréhension. La rupture s'exécute avec fatalisme, discontinuité du parcours. Nous sommes affolées, confondues dans la peur et la hâte, les certitude et l'inconnu et surtout doublées par cette faiblesse de la motivation. Les sourires contagieux n'y peuvent rien, la joie communicative s'est tue pour laisser place à l'attente. Nous, c'est mes différentes personnalités, mes humeurs. Notre enfance est si loin et l'avenir se joue à chaque seconde. Alors soudain, les question s'effacent. Le train arrive et le crayon se mue dans un silence salvateur. Les sombres idées prennent une correspondance pour l'aéroport et s'envolent. Le moment présent se vit, la note finale. Dans une détermination -pas si abjecte- vers un but précis : errer dans les trépas de l'illusion en vivant dans une tranquillité hypocrite mais ennivrante. Mais aimer tout de même.

Comme s'il était un animal farouche. Le lion est sauvage, de toute façon. L'envie de prendre son visage entre mes mains et du fond des yeux, lui souffler en silence : "Mais parle, parle, n'aie pas peur". Ecris-moi des poèmes, que je rougisse. Compose-moi des chansons, compose de tes notes et joue tes accords. N'allège pas le poids des mots qui nous unissent. Point de banalisation ! Les palabres s'usent avec le temps, lmeur valeur en est amoindrie, évitons cette dérive lente mais fatalement suicidaire du Nous. Notre forteresse n'est pas un chateau de cartes. Ou englué seulement. Alors jouons, jouons de cette distance. N'aie pas peur du romantisme, ses maladresses n'en sont que plus charmantes, les fautes si touchantes, les ratures invisibles, les bavures permissibles. Exprime-toi ! Pas de place pour l'ennui dans l'épistolaire. Viens ici ! Love-toi dans mes bras et sois-y confortablement installée, soignons ensemble tes courbatures futures. Le plus au monde, mon énergie inépuisable, ma fierté et ma détermination. La vie est parfois difficile, mais "nous serons au détours de la vie, libérés".

Les premiers pas de Claire sus mes yeux ébahis. MAD so grou malgré son fichu caractère. De la ressource entre ces deux paires d'oreilles. Bonheur familial si plaisant à regarder, et doublement en y participant. Comprends pourquoi ça me manquait.
Se délecter de Les Liaisons Dangeureuses, des balades en vélo le long des Côtes, vélo dont les vitesses se changent sur le cadre. Promenades à pied et miamer un glace maison d'Olivier : abricot-banane. Le summum est abricot pour le coup. Regarder le premier vrai live de The Jimi Hendrix Experience à Monterey. Celui où il crâme sa guitare parce qu'il voulait jouer avant les Who. Et puis looker le Rollong StonesRock and Roll Circus, tout coloré, avec les Who, les Dirty Mac, groupe créé pour la soirée par John Lennon avec Keith Richards, la basse des Stones, Mitch Michell, les baguettes de Jimi Hendrix, Eric Clapton à l'époque dans les Cream, et un violoniste dont le nom m'échappe. On se serait passé de l'intervention de Yoko Ono, c'est vrai. Oh John ! Tout le gratin -ou toute la crème- colorée, illicitement substantisés, LSDéisés, avec leurs tuniques et leur humour efficace. Pas de prise de tête, de melon, et de chevilles enflées. Dieu que j'aurai aimé avoir 20 ans dans les années 70 !

Vendredi, Tours-Paris, dîner en trio, puis fête de l'Huma jusqu'au dimanche. Puis essayer de voir Le Jongleur Fou, et le DupDup. Puis Maitre Zen et Marion à La Grande Dame de Fer. GNOUGNOU. Le temps se gâte !


Samedi 6 septembre 2008 à 10:33




Foutues barrières, limites craignos. Timidité du support, des outils. Thèmes abordés et styles.
Faudrait sérieusement que je me décoince du crayon, c'est pourtant pas les idées qui manquent...
En joue.



Vendredi 5 septembre 2008 à 11:22



Il ne faut pas rentrer dans leur jeu; Direct, ils veulent prendre contact avec leur avocat-et même que pour eux c'est gratuit parce qu'ils sont membres du bureau de UFC QueChoisir. Cependant, ça ne leur donne pas la liberté d'outrepasser leurs droit. Mais bon, mon appel se voyait bienveillant, il s'est transformé en catastrophe. "Mais madame G., ne vous sentez pas agressé, je vous appelais seulement pour avoir le détails de vos "courses personnelles" et un conseil sur la peinture" Un quart d'heure de défi à parler dans le vent, si ils se sentent tant violentés, c'est peut-être que le mot "conseiller jurydique" fait peur. "Non, madame G. je ne veux pas qu'on se dispute, ça ne sert à rien de se mettre à dos." La PEUR. Encore, cette peur qui les mitraille de l'intérieur. Les gens ne se sentent plus libres, ils se sentent aggressés, violentés. Et là, si M'dame G. en veut, elle en aura pour son compte. Tu vas payer ma conne, tu vas saigner, tu vas t'en prendre plein le cul et j'en n'ai rien à foutre de ton Union de Consommateur et de tes avocats gratuits.  La CGL, Confédération Générale du Logement sera derrière moi pour le coup, si c'est comme ça que tu le prends. Elle s'emballe vite quand même la vieille ! Alors je me gausse de leurs abus et de leurs arguments pourraves comme quoi ç'aurait été sale. N'importe quoi. Le frigo moisi, les placards pas lavés, les chiottes innommables ! Et puis quoi encore, du foutre plein le plafond ? Genre les chiottes. Oui j'ai gerbé plus d'une fois dedans. Mais lavés à la javel à chaque fois : je gerbe pas dans des chiottes dégueulasses non plus ! Le paradoxe de la boulimie xD

Ca m'a travaillé cette nuit. la place m'a manquée. Dormir à deux dans un lit une place est vraiment désagréable. Trop chaud, trop froid, trop serré. Alors après avoir fait le nem pendant plus de deux heures, j'ai pris un duvet et j'ai dormi par terre. J'ai révé que Vouin m'appelait Gribou, comme Loute. J'ai fait des rêves bizarres, mais pas cauchemardesques. Puis je suis remontée, Vouin m'appelait et j'ai dormi par intermittence à ses cotés, dans le profond du lit et ça m'a tuée. Mais j'ai pû profité de deux heures entières de sommeil de 7h30 à 9h30.
Ma MANAA est septième, ma pré-rentrée est le 17 à 10h. J'ai tout le matériel qu'il faut, et les 5150 euros nécessaires. 300 euros de moins que ce que j'avais prévu. Vais pouvoir me racheter des vétements. J'ai même des certificats scolaires. Emerveillement enfantins devant de la paperasse administrative, on ne se refait pas. On, c'est moi. Cette appréhension liée à cette impatience me noue le bide. Cette histoire de caution aussi. Et le passe Navigo aussi. (?)

Samedi, La Rochelle, mes si jolies soeurs, mon Papa chéri et la mer. L'océan.  Des balades  aux embruns salés et les lèvres gercées par l'humidité du vent, les cheveux qui s'emmèlent, le regard qui fuit loin, loin vers le point et l'infinité de l'Atlantique. Le port, j'adore. Surtout. Evasion éphémère. Se détacher de tout, tout, TOUT.
J'ai vu Gwen hier, qui m'a coupé les barres verticales. Je ne tricote plus. On a parlé. On à valeur de Nous. J'ai les pronoms indéfinis et je déteste les piaffements, déglutis et autres bruits de mastication. Je suis servie, jamais vue ça. Un concert de bouffe qui dégueule de sa bouche. C'est inhumain de manger comme ça, on dirait un singe et encore... Cet aprèm, Sainte Marg-la-vie-la-arg' après Le Ricain, et Tours again avec NTD. Tiens, au passage, passer chez BeatyCoiff pour la couleur enble péroxydée. Mouarf, je me ris de tout ce cirque. J'aime Paris et toute la noirceur qu'elle dégage. Au moins, j'ai du boulot pour la colorer, du pain sur la planche à dessiner, et de quoi m'occuper la tête. Je rêve encore et j'aime intensément. Je pense sincèrement racheter de l'herbe d'ici peu de temps. Pour survivre à tout ça. Bien à moi ? Petite veinarde que je suis. Bloups ?


Nota Bene !
Confédération Syndicale des Familles, Léo Lagrange Consommateur et CGL.
Voir pour les démarches judiciaires.
Appeler pour l'épargne salariale.
Billet de train retour pour Massy TGV mercredi ou jeudi.



Mardi 2 septembre 2008 à 18:12



Mes idéaux s'amaigrissent. Mes pensées s'assombrissent. Le lion sort de la savane. Il plane. Passe par-dessus tout obstacle et foonce vers son but. Avironesque. Les week-end sont donc occupés. Les semaines aussi. Le ouistiti doit voler. Le ouistiti est un animal voyageur. Fatigant aussi. Un animal en mal de patience. En mal de mer. Une léthargie. Des cervicales qui souffrent, des sinus qui ont du mal. Et des bruits de tracteurs.
Et je replonge. Tu ne comprends pas que sans toi, c'est fini ? Et notre groupe sans nom ? Et nos textos idiots ? Et nos tranhisons chatouillesques ? Et nos caninous roudoudoux à poils doux ? Ouistiti contre 'ion, pelage contre robe, truffe contre museau ? Le ouistitruffe se sent partir loin. Loin. Aa l'autre bout du monde. Et mes rêves de fuite ? Nothing Else Matters  ? Forever trust where we are. Nos grattes, ma voix posée sur tes mélodies. Gruik and grou power ! Comme si tout allait s'envoler avec ton silence pesant. Tes intérêts trop pointilleux, et mon intelligence qui ne suit pas. Je me sens autre, jalouse et possessive. Tout ça à cause de. C'est la peur. Je vous hais. Tous autant que vous êtes. Et c'est le chien de Marie-France qui s'était suicidé. Le fils de Fred est à l'internat. MOUHAHHA. Ouais, je débloque grave. En hypersynesthésie. Samedi était enfumé, endormie par le gros son de Fattydicks, ma cervelle embrouillée, mes pensées confuses.
Je mange comme quatre. Je connais l'issue de cette situation. Je connais les débordements. Je mange gras gras. Et dégueux. Coin ne viendra pas sur Paris. Je me sens  seule parfois. Egoïste. Ce n'est pas se sous-estimer, c'est réaliser. Je sais ce que je vaux. LA PEUR ! J'ai peur de moi. Je sais qu'à Paris, je retomberai bas. Parce que plus ça va, moins ça va. Moins ça va, moins j'aime mon corps. Moins j'aime mon corps, plus je le maltraite. Plus je le maltraite, plus ça va. Et puis après, ça va plus. Non, tout va bien pour l'instant. La balance m'a tuée. 44 kilos. Quoi ? C'est stupide d'écrire qu'on est gros à 44 kilos ? Oui, encore plus que de le penser. Non je le pense pas. J'avais envie. Si j'le pense. J'me sens pas bien. J'ai juste peur. Peur peur peur  ? Mais bordel ! TU VAS PARLER UN PEU ? C'est pas possible à la fin ? Non, je ne m'énerve pas, j'ai pas d'argumentation. Je grandis et j'en ai marre. J'en ai marre d'avoir cet air si déterminé. Déterminé à me casser la gueule, je sais. Je vous emmerde putain.
J'suis sacrément en manque de cailloux. Faut que je vois Manon, No'm, Soeur Anne la courageuse, Gwen, Clémence, Zouzous, Simon bien sur, s'il est là. Respire Del. J'vais m'arranger poru faire de la coloc cette année. Rien que d'en parler, le métro me file des boutons. Bouh. Je ne suis pas fatiguée. Le travail évite de penser. Et c'est sûrement mieux. Pétage de câble. Me calme. Pfiouuuuuuuuuuuuu.
J'veux jouer du piano et fumer. J'veux fumer. Encore. Partir. En fait, j'm'en fous de la distance. On y arrivera. Et puis, on est pas si con. Je suis juste une idiote qui réfléchit mal parfois. Pouik ?

Pour les master : Lyon, Toulouse II, Paris Sorbonne, Ecole Francaise de la Presse, IUP Toulouse, Toulon, Condé ou Rennes...
J'aime Mandriva. Définitivement. Je crois que pour 850 euros, j' aurai un très bon PC apte au travail de graphiste. Avec Mandriva quand le disque sera partitionné. Je veux. J'attendrai un an. Juste un an si mon portable me lâche pas avant. Les logiciels libres vainqueront ! Linux vainquera ! Le liberté, mes petits !!



Jeudi 28 août 2008 à 22:25



Acide Désoxyribo Nucléique.
Joli-frère. Papa, ce super héros. J'y pense souvent. Admirative. Tonton Hervé. Le tonton.
Et tant. On verra. Confiance. A fond de cale.



Dimanche 24 août 2008 à 21:43



34 à 33% : 309,06
34 à 50% : 348,84
11 à 100% : 150,48
Normale : 766,08

The last one. Derrière semaine. Dernière ligne droite. Objectif 2000. On a marché sur la lune. De beaux mots, de beaux mots, enveloppés bien-sûr de superbes rubans multicolors. Un peu féérique, un peu utopique. On y croirait presque. MAIS. Evidemment, se coince ici un "mais". Un ravin qui sépare les points de vue. Ou une rivière. La peur de la noyade, se jeter de si haut. Si élevé. Finalement, remettre en question les bases. C'est le temps qui fait ça. Le temps, oui petit. Mal retranscrit. On se cogne aux murs. On fonce, pourtant tête levée et sens en éveil. On se cherche, on se suit, se colle, s'accroche. Comme si c'était les derniers instants à partager. Ne pas se lâcher. Et finalement, je redoute cette année. Non, j'ai besoin de le dire. Je sais bien que ça va rende les retrouvailles plus épicées, plus condensée. Appréciables moments à vivre. Et puis se sentir loin. Avec Untel et UneTelle ici et X et Y là-bas. Pas de visage sur tous ces prénoms. Pas de voix. Rien que des mots. Des mondes à part. Je sais que rien ne changera. Mais que sais-je ? QUE SAIS-JE ?
Je me sens seule. Bien con ici. Monde stressé, des bulles savonneuses. L'odeur ambiante du métro, les pas précipités, ses bousculades, ses contacts épidermiques insupportables. Ces sourires d'inconnus, ces regards perdus ou concentrés au fond d'un journal. Soyons tous observés avec curiosité, pitié et envie.
J'ai perdu la tête, le nom de cette figure de style et mon petit harmonica. Un zeugme ?
Je sais ce que je redoute. Je me sens mieux en moi. S'assumer,  grandissante. Egarée dans la faune urbaine et ses cataclysmes. Se raccrocher à ces rêves inexistants. Que veux-je ? Vers quoi ? Devenir ? Pas le moment. Penser à la guitare. Voin qui a craqué pour l'une. Pas pu résister à lui offrir. Je suis bel et bien une conne. Last Night Thoughts. Last tears. Salées comme l'Atlantique. C'est le moral qui ne tient plus. Le corps qui fatigue. La crise hebdomadaire qui te rappelle que finalement, non, tu n'es pas capable de tenir. Incapable de s'en sortir. Incapable tout court. Bien que non. NON. Appréhension extrême de ces prochaines semaines. J'ai besoin d'un guide.De voir mes amis. Voir leurs sourires et entendre leurs voix. J'en peux plus. Oui, c'est de la fatigue. Ca va tout le temps. Qu'est ce que ça fait maintenant ? C'est pour ça que je ne prends pas le temps de penser. Eviter la malade imaginaire qui me snobe intérieurement et l'hypocondriaque de la vie qui se cache plus loin. Musique salvatrice. Une princesse.



Dimanche 17 août 2008 à 21:27




Première quinzaine : 51 heures supplémentaires. Le compte des tunes gagnées m'aide à tenir. Et le nombre de calories dépensées aussi. Y'a pas à dire. Ca fait plus d'un mois que je ne me suis pas pesée. Peur du poids de ces muscles que je façonne. Peur de cette graisse qui revient. Non, c'est pas vrai. Enfin si mais bon. Mais pas vraiment, c'est du muscle. Je peux pas dire ce que c'est mais bon.
Pour eux, je suis l'Artiste. Après avec le grand B, avec le grand A. Je passe pour une intellectuelle qui réussit tout ce qu'elle touche. Et mon cul ? Et puis pour une fille responsable. Oui, un file courageuse, responsable, qui paye ses études, qui bosse pour s'en sortir. Façade encore. Bande de crédules. Nath, toujours en train de me demander conseil. La "Sâle môme" pour ma répartie, de la part de Fred. Les chefs qui m'apprécient. Oui, je sais marger, j'ai regardé, alors je sais. Pour la filmeuse pareil, pas la nécessité d'un bac +5 pour y arriver. Oui ma curiosité paye. Et j'ai l'impression de grandir. L'expression esr meilleure. Je fais de vraies phrases, de bonnes argumentations. Je me sens mieux oralement parlant. MOUAHAHAH. Puis ça me fait rire, que tout le monde se prenne d'affection pour ma personne. J'ai l'impression d'être une fille bien.
Abou m'a fait la gueule. Le "Je ne t'appartiens pas, tu sais ?" et "On n'est pas marié" ne lui ont pas plu. Faut dire aussi que tout le monde a remarqué son petit jeu. A me mater à longueur de journée et faire les gros yeux dès que je parle avec un des gars de l'atelier. Non mais oh ! Tout va mieux, avec Peggy les choses sont claires. Ils pourraient être tous les deux mon père. Parois j'me dis que ça craint grave. Je n'aurais pas de dignité, y'en aurait trois qui me seraient passés dessus. Bande de connards. Mais le fric, ça motive. Je pourrais retourner en Touraine. Acheter une guitare a VoinVoin. Lui acheter un barre abdos. Et m'acheter des fournitures. Nathalie va me laisser son fils, pour des cours de dessin. L'Artiste. Puce, Chérie, Beauté, Môme, Chouchou. Voici mes petits noms. Même Claire l'associale : "Ca va faire un vide quad tu vas partir"

Dimanche, y'a une semaine, depuis le train, je savourais. Le ciel était cotonneux. Trousse à pharmacie. Traverser les nuages, fils à nouer, filaments. Et s'y piquer. Réveuse, oh que oui ! L'immensité englobée. L'infini. Sous mes yeux émerveillées, ces couleurs magnifiques du soleil rougissant. Poignées de barbapapa rose. Le reflet de lumière du contre-jour dans les amats aqueux. Songe d'un voyage. Pensive, évasive, fuite du regard. Des étoiles dans les yeux et le sourire au lèvre devant une telle merveille. Parce que c'est bon de se sentir vivant. La seule pensée de ce coucher ... Ahh, je comprends maintenant Proust et sa madeleine.
La veille, de surcroît, on était à chercher avec Simon et Hélèna, les constellations et leurs étoiles. Oui les 9, 10 et 11, les nuits des étoiles. Altaïr, Vega, Dereb. Se situer dans le ciel grâce à elles, la lune rousse à l'horizon. Plein les mirettes, comme je l'ai dis à Nom par deux fois. Pourtant, c'ets moche comme expression. Imagine there's no heaven, it's easy if you try. J'ai quand même du mal à l'idée que Simon se casse si loin. Va me manquer ce punk. C'est marrant de voir comme la complicité ne se perd pas entre griboux. C'est tellement important à mes yeux bigleux...

Je n'ai pas de limite. Et je me sens bien. Bien malgré les pulsions ano qui reviennent parfois. Le comptage incessant. Mais bien dans ma tête. Même si souvent j'me dis que je vais m'écraser. Parce que finalement, si je suis ce que je suis, c'est que j'y arrive. Alors rêvons, rêvons ! Je me permets d'y croire, et tant pis si je me casse la machoire. Je me suis mariée spirituellement avec Voin et y'a pas à dire. Non, je l'aime. Oui, je l'aime. Quoi qu'il se passe. Y'a pas de mots et j'aime ces sensations d'aimer le monde et d'être consciente que SI MOI, à ma place de nanties, je ne peux pas être heureuse, alors c'est que je ne me rends pas compte du malheur de cette pauvre Terre qui s'effrite. Ca me fait mal de voir tout ces maux. Ces maladies, ces souffrances, ces humiliés, ces soumis, ces dictateurs, ces présidents, ces décisionnaires, ces sénateurs, tout ce profit, tout ça, l'argent, la connerie humaine, les pulsions meurtrières, les viols. Tout ce qui est humain et humainement dégeulasse, dégoutant. Mais non. Je n'ai pas à me plaindre personnellement, alors je serai égoïste de ne pas me sentir bien. Voilà. Jalousez-moi si vous voulez. Inconscients, incrédules, connards. HAHA. JE SUIS VIVANTE. VIVANTE !




Samedi 9 août 2008 à 18:48




Voilà. La fameuse soirée est arrivée. Qu'écrire pour le Smoun ? Les catalogues Ikéa et les fascicules sous film et sous papier cadeau with two graphite pencils and meters. HAhaHa. Dieu que j'ai de l'humour clindoeilal. Pouah. Un cahier Minnie et des crayon niais au possible. Avant de cogiter que ça pouvait rappeler le passé. Connasses. Et puis, l'équitation. Et puis le protège cahier pour que rien ne soit abimé. Tout préparé et même la chemise de la blondasse aux gros seins.  Camping sauvage chez l'habitant, on va bien rire. Hâte de fumer ma beuh. De goûter à son shit.  C'est con. J'ai hâte de passer une bonne soirée à diore des conneries et rire de tout et de rien en m'trémoussant.


Le plus vieux qui fait chier. Genre, il est intéressant ? Nan mais quoi. On s'en fout et tu t'en fous aussi. Petite remarques à la con, hors contexte. Ca me fait peur et pitié toute cette solitude. Risque de péter un câble le Oin. Risque de pêter un câble le week-end aussi.
La bague "pour sceller notre amour". So glam. So chic. Le symbole qui réchauffe le coeur comme jamais. Se sentir aimée. Si aimée. Aimer. C'est beau et je me sens bien et en confiance. Pas de questions cons, d'interrogations biscornues. Carpe diem et vivons. Et tiens pourquoi pas partitionner mon disque ? Avec KDE, Mandriva dernière version. Réveuse va ! No'm en Inde. Parfois je suis jalouse. J'aimerai pouvoir voyager. Avoir les sous pour. Participer à des chantiers. Heureuse pour elle, ça doit être merveilleux. J'espère que ça se passe bien.
Un souriceau, une souricette. Un sourire sot. Et puis un antivol pour l'école. Moui. J'aime VouinVouin.



Samedi 9 août 2008 à 1:45




Je compte. Again. On the road. Plus de connexion. On gagne du sommeil à ne plus exister virtuellement. Les sous sont comptés. Les calories. Les sous. Le temps. C'est de l'argent. C'est pour ça. 20 heures sup cette semaine. 55h. Fatiguée. Les décharges. Les temps qui ne passe pas. Abou avec son  sweet SuperGlue. Tu m'étonnes, c'est pas de la UHU ce gars-là. Plutôt genre Photomouth. "Je suis jaloux" Qui fait les gros yeux. Un gosse et un texto digne d'un adolescent prépubère : "Bisou avec un grand B" Gneuh. Et le Peggy qui fait le lover. Pfiou, y'a de quoi de venir dingue. Encore heureux qu'il n'y a que eux qui débloquent tant. D'un autre côté, Jean qui m'offre la carré fatal, sympathochiste. Pour soulager mes envies. HAHA. Merci ! Très chaleureusement. Et d'un contact, d'un. Quand même réussi à attendre avant de fumer toute ma beuh. Ca fait plus d'un mois que j'ai de quoi me faire 2-3 pétards et non. Un seul avec l'autre, y'a au moins un mois. Et puis plus rien. J'me sens forte de résister à la tentation psychédélique. Parfois. Puis parfois j'ai envie de tout envoyer en l'air.
Fait chier au final.

Ce qui m'énerve dans ces repas, c'est leur goût d'alumium. Les boîtes-beurk. Et les bruits de bouche. Pire que Tonton JL. Pire que Mamy et Papy réunis. Comme envie de lui faire la morale. J'me sens mieux et moins. Mais mouais. Ca va quand même. Demain soir, ca va swinguer.
Ce soir, too tired. L'ivrogne édenté.



Samedi 2 août 2008 à 17:42




1676,32. 43 en 33, 21 en 50 et 1 en 100. 37h. 43,5h. 45h. 49h. 59h. Record battu cette semaine. 9 pour août. 7h-12h. 13h-19h. Des fourmillements des les mains, les muscles comme bloqués. Les fourmis qui réveillent la nuit et comme des décharges électriques quand les deux douleurs s'emmèlent. Le canal métacarpien qui se la joue perso et qui me tourne le dos. Il se plaint le vilain. Et moi donc. Il faudrait que je m'étire. Musculation forcée, endoloris. Rechercher la force là où il n'y en a plus. Persévérer et user de la méthode Coué pour oublier le mal. Ouais, le travail, ça fait mal au cul. Aux mains, eux bras, aux chevilles. Et ça fait suer. Ca fait chaud. Pfiou et puis, muscles ou, mais bouffe pour trente. Plus très bien dans les sketba.

Ils se font pas chier. [Certains] portraitistes. Queuh même. A base de photo. Photoschool et photoshop. Progresser, jouer avec les images. Colorisation, effet, styles. Cure cure cure. Sommeil. Dormir. Ma première paye qui fait du bien. Vais peut-être pouvoir mettre un peu de coté. Au cas où. Pour l'achat de matos. Pour voir les cailloux et les potes en Touraine. Pour aler en Suède voir le punk et sa femme. Au nouvel an, ça serait cool, à se les geler tous ensemble. Et aussi pour pouvoir ne plus travailler pendant les vacances ou pour pouvoir faire autre chose. Bosser, c'est ptêt un soin pour moi. Histoire de se sentir vivant et de me rassurer financièrement. Mais les vacances. Un jour seulement je prends. Ca me ferait du bien. Un jour, pas maintenant. Je veux pouvoir répondre à mes caprices. Paire de rock and g'roll ou concert. Ou cadeau. Ou boite de turpein. Ou des bombes pour les nouvelles idées de toiles. Et aussi pour les craquages d'un jour. Enfin,au cas où, si je veux. Pour les teilles pour les chouilles. Pour les anniversaires. Pour les timbres-poste, la carte imagin'R, et les maladresses.

Imprimer mon livre. Héroïne endormie ou les idées qui affluent. Faudra tout noter. Le passé, le pourquoi. Les rechutes. Le premier, père de Lisa. Le pourquoi du journal intime. Le pourquoi de Laurent. Et voir les modalités de retour à la vie des comateux, rééducation et le reste. Voir aussi pour la sécu en cas d'enfant malade ou voir si la possibilité de dépression. Voir aussi comment adopter, et si c'est possible pour une famille monoparentale. Faut que tout tienne la route cette fois-ci. Tout, de A à Z. Et réécrire tout.

Voir aussi pour les cartes postales. Et voir pour des cartes de visites et pour la législation. J'aurais dû prendre le bouquin à Dalbe, sur les toiles et tout. J'attends le chèque de Auchan. Le chèque de caution et le demi-loyer. 400 euros, et je les veux. Je veux qu ce soit du rab, le coup du mois d'août. Et que je puisse être tranquille pour payer mon école. Je ne veux pas de souci d'argent. Je ne veux pas devoir compter. Pas de dette,  pas de remboursement. J'veux voir si ça peut marcher. Toutes ces idées.

J'AURAIS VOULU ÊTRE UN ARTIIIIIIIISTE.


Et c'est l'anniv de Manon today et pour une fois, j'ai envoyé le texto tisuite. J'suis fière de moi, pas remettre à demain ou tal ours ce qu'on peut faire now *___* Ouais, il lui en faut peu, à la conne, pour être contente. Triple gni. Ce soir Hancock au ciné. Va faire du ienb. Et puis même qu'à l'oral, je m'exprime de mieux en mieux. Et ça. CA. Ca c'est une vraie fierté. Et j'suis dégoutée de la clope. Ca verdise. Féminise. Avec OinOin, le pied. Mariage symbolique à l'or blanc ou argent noir. Liés, et ça me touche. Tout est lié. Tout est schrouï. ACDC, y'a pas à dire, ça m'remue les synapses. Et supertramp... J'aime me sentir vivante. Ca vaut bien une mise ne page. Rien que pour ces mots. (Journal d'hirondelle de Nothomb is grou)


J'AIME ME SENTIR VIVANTE.
:)



Lundi 28 juillet 2008 à 22:20



Etrange. Bizarre. What do you think ? What do you want  ? Don't understand. Help me. Just. Ou FUCK OFF. La vie. So ténébreuse. Ils verront bien, tous autant qu'ils sont. Reviens-moi petit lapin. Fourchette me plaisait et le général aussi. Parfois oui, j'ai des regrets. Forget, forget. Faut voir. Faut. Faux.



Dimanche 27 juillet 2008 à 15:08




Le Tux en papier, PoingoinOinOin ! Imprimé, coupé et partiellement plié par  Monsieur Le bébé'Ion. Et finalement plié, collé, scotché, assemblé par Le Sir Ouistitruffe-taupe-dragon-mule-fée. Perdu l'unique lentille qui me permettait de voir la réalité à peu près bien. Nécessite une mise au point sévère, correction à revoir. Le monde défoncé et mal au crâne sans le verre de contact. La barre frontale, le flou gaussien ou pas qui envahit la vue. Des taches de couleurs distinguées seulement grâce à des contrastes bien agencés. Bénéfiques. Mais pas toujours, la nuit est une ennemie dans ces cas-là. Le premier RDV placeplumerien qui fait retrouver un Toudou finalement très impulsif, un Titine qui fond au soleil et qui est vraiment sur la même lambda. Un nouveau magasin de zic a ouvert pas loin de Music Paradise. Capodastre pour guitare classique à 22 euros et le vendeur qui m'prend pour une grosse conne. Va t'faire foutre connard. La prochaine fois, je verrai à en acheter un ailleurs. Enfin bon. Et puis, finalement hésitation fatale entre Monaco et NectarBananien. Finalement, la bière grenadine-limonadée qui gagne le défi. Et puis Kebab. Ouaip, ca fait mal à la gueule sans nunette. L'air réveur, absent, sûrement. M'a fait bien plaisir de revoir le Titine. Ah et y'a eu le Seib. Le second RDV rueduCommercien aussi avec les melju, Elo, Soph, Titi, Oliv' et Alex et M'dame X. Un menu vapeur, que ça de vrai. Et miam, beignet de banane. Le Jet 27 est écoeurant et les jeux à la con engendre l'euphorie. Atout, à la vôtre, même couleur, à la mienne. On va au jeux ? Vous venez jouer avec moi ? Ca tourne et ça fait les bras. Le toga pas mal mais cramé au fond et Titi qui était à Besançon en BTS CV option GEP. Je veuuuuux ! 

Regain de motivation au niveau plastique. En fait, today pas restau, mauvaise langue. Mais présence d'Elle. Habituel débat sans queue ni tête sur la macro et micro économie. Pas des parents communistes. Trop ailleurs, trop utopistes, pas réalistes sur le monde. Oui pourri et comment le changer ? Discussion stérile. Et toutes ces putains de généralités. Rha. Mais j'vous jure que parfois, j'me dis que y'a toute une éducation à refaire sur le monde, sur les sources, sur la curiosité. Ouvrez les yeux, âmes ahuries, la télévision ne dit pas que la vérité ! Vous êtes conditionnés ! Les rédactions journalistiques vous désinforment, oubliez ce qu'elles vous ont confié. Formatez, formatez ! Libérez-vous de cette emprise néfaste ! Je vous en prie, que ce flot de conneries dégouline de vos oreilles... Je rêve, car la connerie est là. Le reset est impossible,  il faut se résigner petite citrouille. Oui, je suis une citrouille. Qui sais, ptêt qu'un jour je me transformerai en carosse... Apocalyptique.

Tu peux faire le hamster ? Napo dort maintenant tout seul comme un grand bébé cochon tout mou. Pompe à vélo et craquage de slip par Moman-vélocipède. J'aime Tours et le plus mimi Gribou du monde qui va venir sur Paris et qui va en alternance. Rhoooo Nouuuuute ! Ce cher Noute. Suis fière de l'avoir eu un instant et d'avoir occuper son esprit et son coeur pendant un moment. Suis fière qu'on s'en soit sortis comme ça et qu'on soit ce qu'on est. Sourire béat et satisfait. Avec le regard myope. J'ressemble à mon Papa et j'en suis fière aussi :)

Parfois, c'est si simple. Parfois, je respire mieux. Ca ressource. Un de ces week-end avec le pot de départ de SmounGribouponque. Et retrouvailles cafétériennes et ptêt anniversaire d'Elodie. Passé en commun ? Parfois quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir. Dis, dessine-moi un mouton.
Mais j'manque quand même de sommeil. On verra plus tard.



Samedi 26 juillet 2008 à 11:24




Dans ce monde, tout est binaire, on est soit 0, soit 1. Soit vivant, soit mort.
Ah s'asseoir sur unbanc, cinq minutes avec toi et regarder la vie tant qu'y'en a. Ou ailleurs. A la terrasse d'un café ou sur la banquette de ton salon. Il était une fois un jeune padawann qui jouait aux fléchettes. Il était une fois un gribou qui allait peut-être sur Paris. Il était cette même fois, l'autre gribou qui s'en allait au pays des Grands Féroces, au pays imaginaire. Ce gribou-là, on n ele reverrai pas de si tôt. Mais un autre arrivera pour nous dire des nouvelles d'un qui reviendra dans un an ou deux, puis qu'il est heureux, on s'endormira. On achètera des billets pour la capitale du Hardcore, aussi enneigée soit-elle, aussi combinaisondeskié faudra t-il être afflubé pour faire pointer le bout de son nez sur la place du village. D'ailleurs, il passera inaperçu dans toute cette fosse de Village People, trashounet. J'irai bien, loin. Non, juste en Belgique. Ou en Angleterre. Ou en Australie. Ou au Canada, ou aux Etats-Unis. Histoire de parler bien. Complexe futile. Je profiterai de ce week-end, même si j'ai les doigts engourdis. Et toc. Une cure de sommeil dimanche. Une cure de gens today. Et un cake chocolat-banane.

En fait, il m'insupporte. direct, dès qu'il ouvre la bouche. L'année sera difficile, se revoir de même. Quand ils ne seront pas un, ils seront deux, même si j'aime le coté houleux de la grammaire de mes phrase. Juste celle-ci. Cette brulure-là, je l'aime. Et j'ai pas envie d'être avec lui aujourd'hui, ni demain. Pourtant, squattage. Et non intimité. Réflexion de merde et les occulter. Ni de manger au Mc Do. J'parie qu'on y va demain. Ou comment se racheter et acheter les gens. Basse manipulation, et conneries d'associabilité et de sale caractère. Non, et si j'avais pas envie ? Quoi, ah oui, on ne me demande pas mon avis. Point. Pouet.

2 bananes, 20 cl de jus d'orange, une compote de pomme (??), 300 gr de farine, 100 gr de sucre de canne, 1 sachet de levure, un oeuf, un blanc d'oeuf, 40 gr de chocolat au lait, 50 min au four à 180° (term 6)



Jeudi 24 juillet 2008 à 22:53



Ah c'Fredo ! Dysidrose palmo-plantaire et beurk, gratt gratt. Ma mère voit mal et hallucine. Parce qu'elle a perdu deux kilos, j'en aurai perdu autant. Vu ce que je bouffe en ce moment !!! Ahlala. Les chéloïdes et ele a rien vu. Alors bon. Puis encore 12 heures supp et c'est ok. Ca va être dans la pocket. I hope. Et j'pense à rien. Rien rien rien. J'attends leur putaind e chèque, la moitié du loyer et la caution. Sinon, j'sors le calumet d'la guerre. Non mais. Moi j'suis con aussi. J'suis vannée et j'ai mal. J'aime ma gratte et Le pénitencier. Et ma mère est. Je ressemble à mon père. Certes. J'aimerai savoir ce que l'autre devient. Et me le faire. Vrombissement éloquent, boire et un râle choquant. Il aime. Et moi aussi. C'est bizarre la vie. J'vois plus rien et ça m'angoisse. Être entreprenant. Et faire les corvées. Résolutions. Révolutions.



Jeudi 24 juillet 2008 à 0:14



Révolte intérieure contre ce monde. Révolte exprimée. Modérée. Converser, ou monologuer con ello. El Toudou. La pression monte encore d'un cran, j'ai la cervelle en bouillie et j'compredns que dalle à ce monde. Non Maman, c'est pas psychologique. L'effet jupe était à prévoir. Le Loulou de l'atelier qui confond libido et vidéo et le tout tourne partout en moins de dix minutes. Le Loulou qui a un coeur gros comme le monde, mais un handicap ptêt aussi large. Mais si gentil malgré sa niaiserie. Bref, des abdos en béton par la rigolade de l'après-midi. S'attacher au patron. Et vendredi, déjeûner avec la tata chérie que j'aime. Rire un peu et la rassurer de mon sort. J'pête un câble à en tirer toutes ces conclusions. J'me cherche, j'me trouve, insatisfaite, je recommence. La drogue est un fléau, l'humain est un fléau. La connerie aussi. Pourquoi est-elle tombé si bas ? L'égoïsme, l'argent, le pouvoir. En fait si, ça m'déprime de trop, sale gamine que je suis. Folle à lier. Niaise de connasse, exactement. Et puis, des cartons, décartage, des comptages, recomptages. Aie. Je miam n'importe comment, culpabilise devant ces kilos repris, et ces muscles nouveaux qui pèsent. Ouais, genre, j'suis musclée. La question principale n'est ni "pourquoi", ni "quand". Ici, c'est "comment", mec ! Mais t'es con, alors reste avec tes certitudes illusoires. Connard.
Le chant des filmeuses, les railleries des encarteuses, les raillements des margeurs, le soufflement de la soufflerie, son aspiration, les sifflements de l'air dans les machines, l'essoufflement des vieilles turbines, les cris du massicots, les piaillements de l'empaqueteuse  (oui, analogisme), les grincements des macaniques et le claquement des plieuses... Rien que ça. Parmi d'autres.
Yamama. APX 6N. Au moins une décennie. Nouvelle venue parmi les vivantes. La grattouner chaque soir, véritable coup de foudre. Manche fin et caisse aussi pour un plaisir manuel et vocal. J'aime cette sensation.
Me sens à côté. J'ai du mal à tout distinguer et je deviens folle. Des rêves d'illuminés, illusions et papillusion. Un soir, c'est une lettre d'amour écrite à Soeur Anne sur le plafond avec du rouge à lèvre. Qu'a t'on fait la veille ? La chouille. Tellement bourrées que monter les étages à quatre pattes. Je repars l'aprèm et j'me souviens de la lettre écrite au plafond. Rêve zarb. L'autre avec Eloïse et Nana. Une soirée avec tout Chateau. J'dois être en manque. Gniiiii. Retrouvailles et encore. J'sais plus. Et l'autre, bien avant, où j'étais un super-héros. La putain de sensations de s'envoler, et d 'avoir de la force à gogo. J'deviens tarée et ma soeur m'aime. Je l'aime. Paris me maussadise. Portable récupéré. Et peur peur, peur. Enfin même pas. J'veux mes gros cailloux, mes caféterriens, ces gens que j'aime. J'veux m'prendre des cuites et faire des calins à tout le monde. J'veux des déclaration d'amour et m'sentir aimée. J'me sens aimée et j'suis égoïste. Et aujourd'hui, 45ème heure supp. J'me déprime toute seule. Et j'adore Blackmore's Night.
J'avais oublié des détails sur ma détention parentale. C'était pie que je le pensais, j'ai vraiment occulté beaucoup de mon passé chez moi. C'est fou. Et l'internat... Comme envie d'y retourner, l'espace d'un soir. Mouahah. Le sauna des filmeuses. Et la commandes à la con. J'en ai marre d'être gentille. Je suis un dragon après tout. Un ouistimule. Et leurs lois stupides sur le téléchargement. J'en ai mal au dos. Ambigu. Et j'ai envie de plusieurs. Et si ?
Qu'ils aillent tous pourrir en enfer. Tous autant qu'ils sont. Même le pigeon mort sous le pont. Tomates du jardin, patates du jardin, salade du jardin, vinaigrette du jardin. Pyramide de la chèvrerie, et pain de la boulangère de Chateau mutée à Déols. Hasard de fou furieux. J'aimerai me voir, ubiscuité transparente. Et puis je verrai, la honte. BOUH. Faut qu'j'arrête. Le mur des lamentations est-il totalement taggué ? J'vais m'y mettre.
Tu crois que le cerveau explose si on ? Tu crois que j'ai un problème ? Ca fait du bien d'écrire des conneries. Soulagement. Et banalités. Are you satisfied ? Parfois et même souvent, j'voudrais lui faire un gros calin. Et lui montrer, ce que je sais faire. Un jour ?



Dimanche 20 juillet 2008 à 22:15



C'est pas moi qui l'ait dit. Le problème du "li". Tu yoyottes du poirot ma p'tite. J'hiberne en septembre et je veux voir mes soeurs. Internet est une vraie mine d'or pour celui qui cherche à tomber dedans. Spirale infernale. Wikipedia inciterait presque à consommer du LSD. Presque. J'ai enfin vu quelqu'une comme moi. J'me rends pas compte. Et j'aime pas ma gueule. Mais bon.

La fatigue s'accumule et j'irai dormir tôt. Toujours rien rangé et ça me turlupine. Porcupine tree. Yellow tree. Citronnesque, citronnelle. Elmer, le dernier éléphant. A la recherche du temps perdu. D'un nouveau bouquin à lire et surtout du livre de recette de l'anarchiste. Histoire de voir et de pouvoir le brûler sous mes yeux pleurant. La gorge est sèche, nouée, serrée. Et on sent que le corps peine. Que l'enfer pointe sous la façade. Qu'il faut se reposer la tête. Et le corps. Se ménager l'organisme. Et nourrir. Courir. Nathalie, chef sioux de l'atelier des Nobles Vergon qui semble m'idolâtrer. Qui veut lire "Superstars" parce que ça a l'air bien et qui veut les mêmes Alpine. Oui, aussi formidable que je veux bien le montrer. A quel jeu joue-je ? Allitération spontanée.  Je flâne intérieurement et ma cervelle est en pause. Me sens comme séparée de mon corps. En quête de synesthésie, comme pour un cake de l'espace. Partir loin. Trip far far away. Voudrais gérer l'anglais mais l'herbe est toujours plus rouge sur le balcon du voisin. Un nain de balcon. C'était l'arme du crime de ce serial tektonik killer : une main de jardin. Bouarf. J'ai eu un souci. Les grosses têtes. Je perds vraiment pied et me soumets à un silence ostentatoire. Si vous saviez comme j'aime me taire durant ces heures, aspirée par un livre. Portable d'équerre dès demain. L'Héroïne Endormie sera nouvellement modifiée. Incessamment sous peu. Pour rendre plus réaliste cette irritable histoire et modifier les détails impossibles. Ces... Pas anachronismes, ni uchronisme...  Anomalies ? Improbabilités ? Parce qu'illogique, pas tenable. Sujet pas maîtrisé au moment de l'écriture. Mais bon. Grâce à tout ce que j'ai pu lire. Tout ce qu'on m'en a dit. Toute cette merde de merde de merde de merde. Même si le meth est dix mille fois pire. En France peut-être déjà. Aieaieaie. Une autre façon d'éradiquer un peuple. Un peu peuple. Pueblo. Malgache à Madagascar. Scar comme le méchant 'Ion. Mimi dragonounet, il a dit OinOin. On l'prend comment. Comprends comment. J'aimerai bien m'accepter mieux et avoir un regard plus réaliste sur mon état. Les tas, c'est moi. Suis-je si atteinte ? A quel point ?



Samedi 19 juillet 2008 à 23:49



Elle se demandait si l'autre était retombée. Dans la poudre blanche, ou dans la pire. Recherches sur tout ce qui touche à cette merde. Le comment chimique, naturel, biologique. Des véritables recettes gratuites. Et que fait l'ASUD ? Elle offre à chacun la possibilité d'obtenir des réponses simplespour mieux e détruire. Ou les divagations d'un forum. Mais où était-elle ? Dans un monde parallèle, entre deux fix, deux lignes ? Perchée ou en manque ? Peut-être en plein bad, ou en plein trip. Héro, coco, MDMA ? L'alcool a toujours été un problème pour cette petite. Elle s'en voulait de ne pas avoir réussi à la faire sortir de cet enfer et en voulait au monde entier que tous ces Subutex et autres substitus rendent les toxico encore plus dépendant. La Stéribox2 est en vente à un euros. Ca lui faisait peur. Peur pour tous ces gens. Et peur pour tous ces. Toutes ces recettes libres sur le net pour avoir la cocaïne du pauvre directement dans ta cuisine. Pas encore en France ? J'en doute sévère...

Un gros dragon qui crache du feu en rentrant du taf. Parce que. Encore du fric foutu en l'air. Aurait dû être plus clair.J'aimerai dormir un jour et ne pas à devoir aider les gens alors que j'ai qu'un seul jour de congé entier. Fuck. Be brutal and subversif, he said.



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