sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Mercredi 30 janvier 2008 à 2:38
Scotchée. Abrutie. Inconsciente. Décuver. Les mots, pas les bons, qui s'nfuient avant même de pouvoir les retenir. La force qui s'échappe. Celle-là même qui fait qu'aucun contrôle n'est possible. La maîtrise n'est plus de rigueur.
Et si je faisais une truc d'hotellerie à l'étranger ? Au pair ? Hésitation. Ou gagner inlassablement des sous à entasser pour Condé. Pifpafpouflatarlouf. Pourquoi ce pseudo ? Personne ne l'expliquera jamais. Cette spontanéité infantile.
Tears in Heaven au clavier. Sympathique sensation de pédaler dans la semoule au déchiffrage. Sympathique sensation d'apprendre. Me pose beaucoup de questions quant à l'année prochaine. Même plus la peur de ne plus le voir. Ou d'être seule. Non. Peur de ne pas le voir assez. Même pas un problème de confiance. Il se passera ce qu'il se passera. J'ai confiance.
L'impression d'avoir grandi d'un coup. La taille n'évolue pas. En largeur surement. Faut juste. Hein. Tout controler, si ce n'ets le poids. TS-TH. Je ne cherche plus. J'active mes recherches. Jobs, jobs. Tunes, essais de médocs. Bon, rien qui ne soit palpitant. Et le plan BNP qui semble tomber à l'eau. Plouf. HAHA. L'option Auchan toujours là. Baddante, mais bien là. Ah lala. Enfin bref.
Clavinover. S'obliger aux portraits quotidiens. Merdasse :)
Je comprends pas. D'après les sta, y'aurait des gens qui viennent ici. Que foutent-ils dans ma grotte ? Enfin, pas exactement ça. Rien de gloussant et d'excitant dans mon antre. Z'êtes bienvenu si vous voulez, m'en branle. HAHAH. J'ai des lecteurs, c'est fou. Les gens sont définitivement fous. A croire que. Mouais. Pianotons, on siat pas qui me pianotera un jour.
Très spirituel tout ça.
Jeudi 24 janvier 2008 à 2:48
Et plus ça va, plus j'me dis que la musique c'est pas pour moi. On peu pas tout faire. Choisir. Arts appliqués, musique... Et tutti quanti. Je recherche un groupe. Pour BASSER. Un groupe de Riot Girl, qui en ont dans le futal, un groupe de girl complétement givrées, avec lesquels je ne me gènerais pas à faire n'importe quoi. Un peu dans le style Babypuppe.
J'ai envie de fumer. Sérieusement. Je crois que je vais réinvestir. Marijuana je t'aime, j'en fumerai des kilos. La fille, trop en manque, genre. Non, juste pour avoir le plaisir de me dire que j'ai ce qu'il faut, et proposer quand y'a des gens.
Résolution de l'année, dessiner. Faudra que je cartonne, que je les démonte toutes autant qu'elles sont. Parce que ca fera comme à Sainte marg la vie la arg : oh une keuponne (si j'étais une punkette, ca se saurait bande de pouf) han alala, les cheveux rouges, we are shocked !!! Pauvres demoiselles avec vos belles chaussures. Au fond, elles sont sympathiques. Même si elles ne me manqueront pas, c'était sympa. Delphine défendant veuve et orphelin xD J'aime ce vieux role de protectrice, de fille gentille et rebelle plein de contradiction, à la fois intelligente mais terriblement conne. ET oui, je sais, je suis conne.
Et je retombe dans le vide pour mon plus grand plaisir. L'impression de tout controler et organiser ce putain de fest. Faudra que j'arrête de dire putain un jour.
Sinon Coin avec les GrossesBites. Faudra trouver un logo, j'ai plein d'idées. Plein mais, pas de concept suffisamment solides. Héhéh. EN tout cas, il a l'air heureux. Ce sont des gens très sympathiques. Dommage que je quitte Tours, j'aurai bien aimé les connaître. Bref, il est heureux, j'susi heureuse et puis hein. J'me laisserai pas aller à un élan romantique ce soir. xD AHAHA, demeurée que je suis. Enfin bon. Hein. J'me comprends. Et je suis bien. Bene. Bien. Well. SO what, so what, so what ?
Hier, y'avait Linkin park à Bercy... C'est l'anniv de chacou, je l'ai zappée
Let's go to the dodo. Bouirk
Mardi 8 janvier 2008 à 21:19
En un tiempo normal, seria humoristica de leer este comentario. En un tiempo normal, haria verificado todo. Fecha, hora, escribidura. Todo que podrie explicar de quien viene estas frases. Toto fue verificado, hecho. Pero para decir la verdad, soy loca. Loca de El y loco todo corto. Si la quiera, la le deja . No mas simple, mueres. Pero... Yo se. La sinceridad de sus decires. Le quiero. Punto final de la discusion.
Hoy fue un gran dia. El dia de resconecer les progresos que ha hecho. A parte la tonteria de esto noche. Porque no puede. No quiero comer porque no tiego hambre. No esta complicado. Come cuando siento la necesidad. No antes, no despues. Y soy bien...
Dimanche 6 janvier 2008 à 22:58
Jouons avec la tablette graphique. BEH. Et gabarit. Juste histoire de s'entrainer un peu. Faire des efforts. Bilan. Le scolaire est remis en question. Parcours aussi. Hate d'être à l'année prochaine. CONFIANCE. Lui. Partout partout partout. Me manque déjà. Je m'occuperai. Des résolutions même pas à prendre. Se faire confiance et se passionner. Se passionner et acher le net. Juste ces crachas verbaux, histoire de se défaire de la mauvais humeur. Oui. J'ai du mal. M'accroche inlassablement à ces chiffres. Ces nombres, baisse, hausse, bausse, haisse. Bassesse. Il faut se reconcentrer. Faire, s'activer. Utiliser ses petites mains pour créer et/ou découvrir. Apprendre à faire. Maitriser. Mass Hysteria. La contradiction. Oui, contradictoire. Se controler. Ne plus user du non enfantin. Retour à l'enfance. Rapport d'enfant à enfant. Analyse transactionnelle trop facile.
Les cailloux qui s'encouplent. Bizarre. Et si les prédictions de Manchose la banane s'avéraient juste ? Elise Elise avec le dessinateur avec ses plants de beuher et leur chat. Dans un studio niché sous les toits de paris. Manon avec ses gosses partout. Même pas morte en vrai. No'm irascible celibattante qui a un chat sur les genoux et qui matent la téloche tout la journée et moi droguée en manque, pute d'un soir qui va crever à 27 ans, de manque, overdose suicidaire. Bon, pour l'instant, on en est loin. Seule EliseElise respecte les présages. Tant mieux. Calmer ses pulsions boulimiques n'est ps ud plus facile. Aller à la piscine. Piscine !!
Il faut être soi. SE RECONCENTRER ! En avant la musique.
Jeudi 20 décembre 2007 à 1:03
Doucement. Des pas dans la nuit, le silence. Une flamme dans la nuit. Douceur d'enfance. Senteur apaisante. Comme ce bonheur qu'on n'a pas eu. Rêve puérils d'un monde parfait. Idylle de la vie illusoires, naïveté evanescente. Et puis vient le mal. Le mal de n'être pas ce que l'on a toujours désiré. Le bonheur vaporeux. Insupporter ce corps gras, vergétureux et celluliteux. Une entité flasque dont les membres semblent vouloir s'échapper. Regret. Où sont passé ces faible et petits quarante kilos. L'euphorie agonisante, enterrée au boulevard des allongés. Sans demander son reste. Un an que j'ai repris cette maudite masse. Plus d'os qui saillissent. La graisse maîtresse, gérante d'un corps. Locatrice invivable. Fatiguée. Physiquement. Aucune résistance. Aucune résistance. Boire un grand verre d'eau à chaque repas. On en est loin, chamelle. J'ai pitié. Il fait froid. Mon corps est froid. Exquise corpse. Je veux. Volonté fragile. Volonté. Y croire malgré tout. Force.
Reprendre confiance. Pas en échec. Ce dédoublement. Caractère trop souvent lunatique. Hâte. Incertitude dans l'échéance. Motivation. Parce que pas le choix. Pas d'alternatives. Réussir. Deviens ce que tu es. Deviens ce que tu es. Qui suis-je ? Suis-je vraiment ce que je veux être. J'espère. C'est à bout de doigts. Tactile. Tracé. Design. Tout dans l'ergonomie visuelle. Séduction par la vision. Créer l'illusion. Oui. Soyons fous. Créatifs.
Confiance rassurante au possible. Aimée. Aimer. Comme si. Faire disparaître les disparités. Juste pour préserver les restes d'un futur trop ou pas assez proche. Une année. Une année. Le reste... Le reste ? Concentration poussée à son paroxysme. Pas le droit à l'échec. Ni scolaire, ni sentimental. Parce que la confiance. Confiance. La peur n'évite pas le danger. Savoir être aveugle au cas où. Mur de béton armé. Coquille hermétique. Insensible ? Menteuse ! Non, bien dans la tête. Le moral aussi fixe que le mercure est en bas. Coup de cisailles. Y'a des fois où ça démange l'épiderme. Sales.
Dimanche 16 décembre 2007 à 23:04
Madness. He's. Mad. I'm. Bad. Big. Fish.
La grosse vache le retour. Boulimical. Orgical week-end. Laxatif du bide, la torture de l'intestin. Mais pourquoi tout n'est pas normal ? Juste à ce niveau. J'demande juste à être normale. Ou pas. Non, e ne veux plus. Je veux pouvoir chanter, jouer et danser.
Pierrot est au Kosovo. Maintien de la Paix. Qu'on se le dise, il astique des armes à longueur de journée, l'armurier. On se fout de la gueule de tout le monde. Auchan, belle hypocrisie aussi. Joli coups de femmes. Se jeter des pierres, lapidation implicite, monde de femmes, vengeances et attentions. QU'on y comprenne quelquechose ou pas, moi ça me dépasse. Parce que jalousie et tout le tralala. Coralie et mon ouverture d'esprit. Rigolons aussi fort que désespérement. Genre y'a pas de caissière qui sont SM ? Le fétichisme, c'est pas forcément exclu de chez les coincés du slip.
Moi je dis que O-O est un fou. Un fou. Je comprends pas. Je comprends pas vraiment. Ou je comprends vraiment pas. Je sais pas. Rayer la mention inutile. Crachons dans la soupe. Très mimi. Me rends compte, que pls ça va, plus je l'. Plus je tiens à. Moins on se voit, plus on partage. Plus on fait rien, on fait tout, n'importe quoi. Enfermement progressif version versa. Petite ouverture. Fissurer la coquille. Il faut fissurer la coquille. Petit Bébé'Ion deviendra grand. Il l'est.
Je suis timbrée et obnubilée. J'aime regarder des films et je suis une feignasse. J'me sens. Pas revivre. Vivre. Croyons en.
Dimanche 9 décembre 2007 à 22:49
Bon faut se remotiver. SE REMOTIVER. Gérer pour un TH ou N. Et puis, remettre les choses en place.
Ca fait du bien de parler avec lui. Qu'il s'ouvre un peu, cet inconnu. J'ai espoir. Je ne sais pas. Je me dis que je pourrais prendre sur moi. Le laisser vivre. Sans l'emprisonner. Cependant, c'est la loi de la vie à deux. Ne plus se donner la simple limite de la fidélité, c'est aussi laisser la porte ouverte à toutes les fenêtres. Ce n'est pas se respecter. Faut-il respecter un corps mort et gros ? Si jamais ce "système" est instauré, peut-il s'arrêter ? Quand après ça, peut-on se dire : bon bah c'ets fini de jouer, on est des grands on en a profité, on arrête. Est-ce concevable ? Non et puis, ptêt que je serai capable. Au pire, mes deux plus grands fantasmes sont pris et fidèles. Et inintéressés, ou plus. Parce que ca me retenterait bien. Toute facon, je serais pas capable d'assumer. Je conçois et je ne conçois pas. Je me demande. Est-ce pour te prouver que tu es capable ? Je ne comprends juste pas la démarche.
Abuser de la crédulité ? Jouer le grand jeu et en profiter ? Prendre les gens (pour des cons) ? Manipulation sentimentale ? Parvenir à ses fins et se rassurer ou simple excuse pour infirmer l'attachement ? Le reste à la dérive. Liaisons dangereuses. Conséquences prévisibles et/ou inévitables. Ou pas. Esprit tortueux, va ! Respect des lois si cartésiennes, honorables par ailleurs. Si simple. Ennui et/ou manque de confiance ? Et sur le long terme ? Ennui et/ou manque de confiance sur le long terme ? Continuer ou laisser mûrir les idées et les esprits, voir si plus tard, plus tard, une relation sérieuse, et sans hésitation quelqu'une est possible ? Faire une pause réflexion avec un thé chaud bouillant et une clope à la main. LOBOMIE. Poser, peser le pour et le contre, ça balance. Ne pas laisser l'emprisonnement envahir les coeurs ? Choix réel ? On revient aux mêmes. Tourne en rond, comme la cuillère.
Je ne me rends compte de rien. Je suis paumée. Rassurée en partie, sur un truc. Et puis y'a ma mère. Et puis. Je sais pas. J'aime pas être seule. Tu comprends ? Et puis il me faut 450 euros pour dans deux semaines. Je me (prosti)tue ?
Faut se fixer un but. Soyons fou... Un jour, je serai belle et intelligente. Je serai réfléchie et calme. Et je serai forte. Aussi forte que maigre. Très. Un jour, je serai cultivée. Et je saurais créer. Je saurais faire. Etre fière. Un jour, je fermerai ma gueule. Un jour, j'arrêterai de faire semblant que je gère alors que je patauge dans la semoule. Un jour, je serai fixée. Et puis, hein ? Il arrivera quand ce jour ? J'veux être une rockstar. J'veux être une artiste. A défaut. J'veux y arriver. L'artisanant, c'est le premier secteur. Que ferai-je ? TH, allons-y ! Perfectionnement ! Et puis dès que je mets un mot de passe, ça bug, de toute façon.
Samedi 8 décembre 2007 à 21:58
Après, tu peux plus faire semblant. Essaie et tu verras. Tu dis le haïr. Pouffiasse ! La fille, elle refait surface comme ça. Comme si j'avais envie. Comme si je savais. Et puis quoi ? T'es malade, t'as la haine, t'arrives plus à maigrir comme un clou pour crever d'anorexie, comme une pro-ana qu'en peut plus ? Désolée Connasse, je suis dans le même cas que toi. Dans un corps qui ne veut plus de sa raison et qui se fout de tout ce qu'on peut faire pour parvenir à notre but. [Crever lentement comme des rats morts]. Quand la haine surgit, sans forcément provoquer de surprise, elle dévaste tout sur son passage. Tout est bouffé. Nan, c'est pas la haine de te revoir salope. C'est juste la haine d'être un sal cabot qu'on prend et qu'on rejette. C'est fini et je sais être hypocrite ou mettre des distances. Je n'attends pas une réponse du jour au lendemain. Seulement pas un mail tous les 3 mois. Va te faire foutre. Ouais, j'ai envie.
Même pas la peine de faire semblant. Même plus. Changement des passe. Changement de vie en perspective. Reste ce que tu es. Je deviendrai ce que je suis. Faut s'y faire. Accepter. Etre prise pour une conne. Rien foutre. Se faire chier. Se démerder. Je n'attends plus rien. Je voudrais ne plus rien attendre de personne. J'ai trop d'espoir. J'ai envie de crever. T'y crois ?
Qu'est-ce que je dis, hein ? La solitude, c'est juste humain. T'as l'impression d'être soutenu. Béquilles en bois, papier maché. Raté, caramba, ancore raté. Un jour, j'y arriverai. Hein ? Jm'en fous de mes poignets. Si ça ne tenait qu'à moi.
Ca ne tient qu'à moi.
Mercredi 28 novembre 2007 à 8:00
A quoi ça sert ? Est ce que j'en suis satisfaite ? Est-ce qu'on peut vivre avec tant de doutes ? Est ce que ça peut continuer à suivre son cours aussi tranquillement en apparence alors qu'à l'intérieur tout crie à stopper net ? Je me demande si on en prend conscience comme ça.
Ce qui tue, c'est se sentir. Un peu écartelée entre chaque personnalité, entre chaque moment. Un peu ici et là-bas en même temps. Un peu inutile, la plante verte. D'ailleurs, elles crêvent dans la nuit. Qu'on arrête de me faire marrer. Faut que je les revoie. Gnouk.
Il est clair que j'irai pas chercher ces solutions sur google. A quoi ça servivirait ? C'est assez marrant de voir qu'en laissant murir, ça vient tout seul. A part, la logique pure. éternel tableau, 30 données à classer pour finalement voir qu'il n'y a aucun ambiguité. Trois quart d'heure de résolutions. Moi je trouve ça drôle.
La médiocrité, ça affaiblit. Faut juste respirer.
J'ai envie de fumer. Pourquoi pas ? De bon matin. Puis ça m'empêche même pas de courir. Ahah, c'est ça qui est poilant. Tous ces efforts n'auront pas servi à rien. Et si j'allais en cours, 30 minutes en avance ?
Moi j'suis con et rester chez soi, ça fait qu'on se couche tôt. J'aime. BloupBloup et Taga.
Laissons le temps s'exprimer. En général, ça passe ou ça casse. Jouons avec notre ami Proxy. Et gaussons nous ! AHAHA !
Mardi 20 novembre 2007 à 20:24
Non, j'aime personne. J'aime que moi, moi, moi. Et si jamais le reductil, ça causait pas des arrêts cardiaques et que ça coutait pas cher alors j'aimerais aussi. J'aime pas les "histoire à la con". J'aime pas ce mot. Non j'aime pas. J'aime pas travailler quand j'ai pas envie même si j'étais motivée. J'aime pas internet, ni les ordinateurs. J'aime pas ces envies à la con, aussi. Parce que "à la con" ouais, moi j'susi con. Rien que d'y penser, j'ai la haine et envie de chialer. J'aime pas fumer parce que j'ai envie. J'ai envie de fumer, j'aime pas. J'aime pas attendre des choses dont je me fous. J'aime pas ce BTS même si je suis consciente de ce qu'il m'apporte. J'aime pas cete attitude pseudo-rebelle-dépressive. J'aime pas. J'aime pas MySpace. J'aime pas le fait qu'Anorchidea puisse aller là-bas, comme ça. J'aime pas cet engrenage de merde. J'aime pas les gerlinéa. J'aime pas devoir faire un rapport de stage et une analyse en deux soirées. J'aime pas me gourrer sur les pluriels et sur les terminaisons en "er". J'aime pas devenir con. J'aime pas me dire que j'ai arrété l'athlé à cause de mon associabilité. J'aime pas penser comme ça. C'est pas grave je m'en fous. J'aime pas penser au passé avec tant de rancoeur. J'aime pas attendre un avenir qui ne viendra peut-être jamais. J'aime pas recevoir des ordre. J'aime pas en donner. J'aime pas avoir des devoirs. J'aime pas quand j'ai pas du tout de devoirs. J'aime rien. Je n'aime plus rien.
J'aime pas ne pas savoir quoi dessiner. Et j'en ai marre de ce portrait. J'aime pas le blanc. J'aime pas mes murs. J'aime pas Chambray. J'aime pas la solitude. J'aime pas les gens. J'aime pas. J'aime pas MSN. J'aime pas rien dire sur MSN. J'aime pas les associations d'idées. J'aime pas les profs qui se font des idées. J'aime pas les gens de ma classe. J'aime pas moi. J'aime surtout pas. J'aime pas cette crise d'adolescence. J'aime pas les gens photogéniques. J'aime pas dormir. J'aime pas faire des cauchemars. J'aime pas révé. J'aime pas la psycho. J'aime pas. J'aime pas les chanteuses qui se rendent pas compte de leur rôle au sein d 'un groupe. J'aime pas être le boulet d'un groupe. J'aime dominer. Oui j'aime dominer. J'aime pas les gens arrogants. J'aime pas les gens qui n'aiment qu'eux et qui n'écoutent personne d'autres. Je m'aime pas et je vous emmerde. Oui, tous ceux qui ont le mot de passe. Parce que vous êtes tous suffisamment cons pour croire qu'il y a quelque chose d'intéressant à lire ici ou en moi. Parce que les Hommes sont pitoyables et que j'aurai préféré être un animal. J'aime pas avoir une conscience. J'aime pas avoir envie de vomir. J'aime plus vomir. J'aime pas me dire que j'ai encore tout ça ! J'aime pas ça et ça, mais ça, j'aime pas non plus. Les gosses et leur période du non.
Ouais, parfois j'ai envie de faire pleins de conneries juste pour en justifier d'autres. Juste pour voir. Quelque chose d'infime, c'est certain. J'aime pas rêvé alors que tout est impossible. J'aime pas mon impuissance. J'aime pas le sexe. J'aime pas les banalités. J'aime pas mon corps. J'aime pas que mes amis me manquent. J'aime pas me sentir seule. J'aime pas les voir. J'aime pas mes pieds. J'aime pas mes cuisses et mes fesses. J'aime pas ne pas avoir de blonde quand j'ai aps envie de rouler. J'aime pas avoir envie de l'impossible et de l'insaisissable. J'aime pas écouter de la merde aussi longuement.
J'aimerai juste fumer un gros joint et manger de la purée faite par ma Maman.
J'aime pas pleurer. C'est certain.
Dimanche 11 novembre 2007 à 22:57
Je t'aime. Idem. Bis repetitia. Ter. Aboutissement et chrysanthèmes. Parce que certains jours, il vaudrait mieux crever. Crédulité, incompréhension, monologue. Un jour, je serai muette. Muette face au silence. Ca évitera de dire des conneries. Mus spongieux. Avale. Cesser de faire exister la transparence. Toute façon, qu'est-ce que je sais ? J'ai plus rien ici. Mes potes se barrent tous. Et j'ai filé. Je l'ai laissé. Y'a des jours où c'est plus le regret que la réjouissance qui te survient au coin de l'oeil. Je les aligne. Sinhead O'Connor. But nothing, I say nothing. La suite, on la connait, on y croyait presque. Amas de connerie. J'ai envie de m'insurger.
Lundi 5 novembre 2007 à 12:18
Affirmer ses convictions. Intègre mais en permanence. Mon clavier est crados, j'avoue.
Que dalle, hormis les Convers'. Page, se mettre à la page. SooOOOoo fashion, we must be. Besoin d'auto-expression, terriblement humain. Juste un peu risible. La rigidité de la connerie humaine. Et ce je-m'en-foutisme exacerbé. Même pas amer. Se taire et rentrer dans le moule.
Les filles se prélassent sur la place embrumée. Modèle vivant, tout nu, tout nu. Eduquons l'oeil. Tentatives stupides du Dulcolax. T'as cru quoi toi ? Le potassium est en hausse au 4-40. Choisissons.
Devenir ce que l'on aspire. Atteindre le. Mais dans un tel bordel....
Je perds pied, j'aimerai être. Je sais que je ne suis pas. Ca m'afflige. Je ne sais même pas comment y remédier. Il y a forcément une solution. Ou plusieurs même. Les farfadets seraient capables de nous induire en erreur. Mais nous ne sommes pas comme ça nous. Qu'il comprenne. Je voudrais vous revoir. Revoir ensemble. Juste faire le point et savoir ce qu'il se passe. Tout serait si simple ? C'est impossible, et ça je le sais. On ne peut me faire croire une telle chose. Qu'ils disparaissent tous de ma vie ?!
Que dis-je ? Je ne serai jmais plus. Qu'on y croit ou pas. C'est tout. Restons de marbre et contentons nous de croire que tout peut arriver.
Non, je me demande si j'y tiens réellement. Bonne question. A ce point ? Peut-être que non, en fait. Que c'est passé trop vite. Que les charme s'est enfuie. Je ne sais que penser. C'est peut-être vain. Peut-être pas. Le temps nous le dira, peut-on penser. Mais j'aurai espérer mieux. Je suis un peu trop lunatique en ce moment. Je ne sais plus quoi dire, ni quoi faire. Esprit rationnel et cartésien. Ce serait trop bon, trop simple et trop complexe. Des efforts.
Il faudra songer à changer.
Jeudi 18 octobre 2007 à 0:16
Mômes. J'attends toujours. De mieux en mieux, j'approuve. Balise. Valise. Questions cruciales. BTS ou formation sup ? Prépa ou pas ? Tours ou Rennes ? Animation ou Beaux-Arts ? Graphisme ou illustration ?
Plus d'interrogations quelqu'unes. Se prendre en main, et point. Résolutions d'antant au point à partir d'hier. Bosser la charte graphique mais pas ERAC. Déjà ça. Motivation pour l'after. Juste montrer. Finalement, j'aime la Communication des Entreprises, même à Sainte-Marguerite. Parce que je veux, j'ai pas le choix, et sinon ça sert à rien de continuer. Je l'aurai simplement haut la main, en bossant un minimum et pas pas du tout. Du nerf, que diable. Et puis après, oui, seulement après, dans un an, la vraie vie.
L'idéal : Prépa Brassart, 2 ans Lisaa Rennes GIIA, 2 ans Lisaa Paris A2D3DJV, BA 2-4 ans selon équivalences obtenues. Résultats : 7 à 9 ans. Pfiouuuuu. Donc, choix parce 25 000 ! Un ptit quart d'appart ! Pastabonnement ! Et sinon - Lisaa Parris. Reste 5 à 7 ans... Mais l'Intuos3 en A4, je veux ! Quoi, juste 420 euros...
Les questions cons sont parties. Advienne que pourra. Carpe Diem. Et puis, hein ?
J'préfère penser ainsi. Les berner par la synthaxe. On est toujours tout seul et la confiance n'existe pas. L'essentiel. Croire en soi, parce que solitude interne face aux choix du quotidien. Oui, notons les efforts, mais pas aujourd'hui, pas en ERAC. Mais efforts alimentaires, efforts autres. Et se contenir. Sur les inutilités orales.
J'y arriverai parce que je n'ai pas le choix, parce que je NE me laisse PAS le choix. C'est tout. Plus explicite, tu meurs. (L'est mort...) En vogue, j'ai dis sept, pas dix-sept. Jennifer motivée, atelier dessin at home, histoire de s'entre-courager vers le progress. Genre je peux donner des cours ... Se tirer vers le haut. Twingo, chat (em)potté, Krôle, Convers', Hugo. Passer aux crayons de couleur.
Niouk ! Youki.
Laisse vivre sa vie. Pas de compte. Verra ou pas. Pomme, compote. Pomme compote. Miam. Jouer l'associale. L'associale intègre. L'artiste, mais hein. Juste avec le même objectif que l'an passé. AHAHHA. Plus de tracas, esprit libre et perfectionniste à développer, perfectionner méthodes et connaissances et savoirs associés. Parce que ! J'sais pas où j'en susi mais maintenant, je ne cherche plus :) Comment je positive, je m'épâte ! Ou pas. Nobody knows. C'était le titre d'une chanson de Truc. Ptêt les Beatles. Rien que son nom, à elle et ce personnage, m'énervent. Quel sombre rôle. Autant que les Steph, je pense. Je ne suis pas. Au diable. Me gausse faiblement. Cliché rebel, mais cliché, pitoyable certes. Ca fait deux fois "diable". Donc voilà. J'ai de la musique et trop d'ambition. Mais au moins, personne pourra dire quoi que ce soit. Et puis de toute façon, je m'en fous. Qu'ils pensent. Même des conneries, je m'en fous. Je vis pour moi. Et si j'ai envie d'être égoïste ou de le rester, et bien je le reste et je le suis. Non mais, j'vais pas me laisser apprivoiser.
C'est ça, continue à cacher ton jeu.
Souvent, ils me manquent. Tous et toutes, et cette folie ambiante qui nous unissait. Cet univers crée de toute pièce par chacune de nos personnalités. Est-ce la fin ? Nooooooon ! C'est pour ça que c'est cool, des amis... Envie. J'avouerais bien que ça me manque de fumer avec elles. De boire. Doucement, sans dépasser les limites du déraisonnable. De rire bêtement à chacune de nos conneries. Et de ne plus se souvenir du début de la phrase commencée. Psychédélie. Ne plus penser à l'image. Ne plus penser à rien, sauf à nous et à soi.
Ou quand le cerveau bouillonne. J'aime.
Lundi 15 octobre 2007 à 16:20
L'une et l'autre. Kento en feu, se lever au bon moment. Le genre de truc repérable par les dissimuleurs. Tu caches bien ton jeu. Mieux qu'avant quand même.
Gnié. C'est pas très objetif, séduction verbale ? Continuons le foutage de gueule !
BC.
Mardi 9 octobre 2007 à 23:37
Je pête les plombs. Il n'y a pas d'autres mots, c'est littéralement le bordel dans ma tête. Chaotique. Qu'on dise "mentale" ou non, je n'en ai pas grand-chose à faire a fortiori. Je me fixe des objectifs. Se reprendre en mains. Psychologiquement, mentalement et physiquement. D'un, bosser BOSSER. Et bien et efficacement. Aller jusqu'à sept. Parce que vide et vie n'ont qu'une lettre de différence, je peux. Ca tient tout. Déforme et déforme les tissus. Cette euphorie et vision atteinte, on avancera mieux, ne serait-ce que dans la motivation générale. Reprendre le dessus. Re-prendre le contrôle, et si ce n'est par soit-même, par les moyens. Parce que rien implique rien. Donc. Aussi bien qualitativement que quantitativement mais seulement exceptions faites. Ricain du mardi, plaisir. Tiens, me suis forcée à le terminer, même pas vomi. Commandé alors que même pas faim tellement ahurie. Clap clap, petite auto-félicitation nerveuse du jour pinçant gravement le combat.
Donc bosser, et retrouver la motivation perdue. Apprendre l'oral et à garder sa confiance. Bannir : "bah", "euh", "ben" et "en fait" de toute conversation, virtuelle ou réaliste. Et s'exprimer bien, normalement, couramment. Juste qu'on peut. JE peuX. Oui, TU PEUx le FAIre xD Hahah, cette bonne vieille méthode Couet. Faire que la nuit soit suffisamment bonne pour que tout reste en place.
Motivation, confiance, travail, rigueur. Tout se tient ?
Choisir entre le voir, rencontre essentielle pour ne pas pêter un câble et ne pas bosser. Et finalement pêter une durite par les efforts non fournis. Culpabilité et impotence. Ou bosser bosser bosser bosser bosser et se casser les nerfs parce que manque de mimi sourire de 'Ion.
Tout sera réglé quand nous serons dans notre chaumière, tous deux, au coin du feu. Ou au feu du coin; Hâte.
Soit, on s'en branle, fallait juste le dire. Et que cette classe est dépressive avec les ulcères au stomaco, les crises de takicardies, de larmes, les pêtables de comble, les conflits de hiérarchie profs/étudiants... Bref, ça ne vient pas de moi, jouons l'originalité avec une pêche incroyable, un moral d'acier, un mental en diamant, des résultats conséquents et le tour sera joué. Reste juste physiquement : 30 minutes de marche et assurer la suite. Tchuuuu !!
L'expression du soir ! Que d'énergies négatives à dilater. Appliquons les conseils que l'on donne à ceux qui n'en peuvent plus - Sainte-Marg,la_vie,la'arg! - et faisons sortir de bonnes augures de par tous ces motsbranle-bancales.
L'anniv de Fat le 10, ne pas oublier, to-day-morrow. Ca nous rajeunit pas tout ça !
Plannifions le 7. Un mois, c'est faisible. Il faut garder la volonté, la VOLONTé ! Puis mieux, nous excellerons toutes ensemble. Oui, à mes différentes personnalités, un peu d'ironie que diable ! J'aime mes dialogues internes finalement. Repartons gaiement !
7
Dimanche 7 octobre 2007 à 23:42
J'arrive, tout va. J'y suis. Infériorité, énervement. On perd du temps, du temps. Déjà, se retrouver face à soi-même. Ennui profond, comme mise à l'écart. Auto-mise à l'écart par sa propre médiocrité. La jalousie qui parle. Associale et pourtant si intègre. Peut-être que non au fond. Repères perdus, perdue tout simplement.
Dans le "qui suis-je ?".
Plus la motivation. Les cours en suspens, ne plus penser qu'à perdre ce "précieux" temps. Je ne me rends pas compte. Je perds pied. Cette im-pression m'angoisse. Je panique, panique, panique. Me raccroche à l'avenir. Et voyant toutes ces réactions adolescentes, mais putain, réagissez !! Je cache mon jeu avec un peu de mal. Je ne crois plus en grand chose. Mais le vie me fait sourire. Je ne sais pas ce qu'il se passe. De plus en plus lunatique. Mal en dedans, comme rongée. Comme si tout ceux-là s'étaient éloignés. Ne plus se reconnaître, et se accrocher ses espoirs dans l'arrière. J'espère un instant qui ne viendra pas. Et tout en vient à s'obscurcir. Ils sont loin, comme si j'étais partie, mais la vie continue. J'espère juste que. Impressions nauséabondes. Ca pue à l'intérieur de ma tête.
Ne me reconnais plus. Etrangère. Capricieuse dans le rôle de l'enfant. Nul ! Ca te dégoute pas ? Ce petit jeu médiocre. Où oui, faut tendre toutes les perches. Se laisser piéger. Je ne sais pas.
J'ai envie de dire MERDE à chacun. Ouais. Plus la patience. Qu'on me fasse pas chier/ Certes en position de cancre. Mais m'en fous. Plus rien à foutre de ce lycée. Plus rien à foutre de ce putain de BTS. Je l'aurai. Rabourd le soporifique, 2 mots à la minutes et de la motivation bien dissimulée. Des incompétents comme Bolyos ou Brillant. C'est fou. Fou. Puis, à croire qu'ils s'en foutent. Ils veulent juste du chiffre. D'affaires, de réussite. Bande de connards. Que des chiffres sur du papier machine.
Colère contenue, rage. J'ai cherché et cherche encore. Les réponses ne viennent. Ca se voit pas sur ma gueule. Certes. Etre celle que. Les ai observés. Je n'y arrive pas. A côté, en vrac. Je ne sais pas si déjà, la tension. Je ne sais plus comment. Je sais plus rien et j'en ai marre. Putain... Cette frousse dans le dos, la pression qui monte. Mais finir, finir ! A croire que ce monde est bien loin du mien. Et se prendre en main. Je rêve. Cauchemard. J'en peux plus. Est-ce illusions ? Lié ? Cherche pas plus loin, s'en fout ? Besoin de parler. Coquillage. Je voudrais sortir de là. Juste dessiner. Ouvrir la porte pour s'exprimer. Vous verrez. Crêve. Crevée.
She hangs her head and cries in my shirt,
She must be hurt very badly,
Tell me what's making you sadly.
Open your door, don't hide in the dark,
You're lost in the dark,
You can trust me,
'Cause you know that's how it must be...
J'arrive pas à être suffisamment fun, ouais. J'arrive pas à partir. J'arrive à rien et j'veux tout balancer. J'm'en branle du BTS, de Kaedrinn, et de tous les autres gens. Ou pas. J'en branle quand même, parce que ça me fout les boules. J'veux plus faire semblant de tout. Parce que personne veut croire que j'en ai rien à battre. Mais voyons. AHAHA, Si j'avais les tunes, je serai déjà à Rennes. Ouais. On s'en fout me dira t'on. Monologue à la con. FUCK... Je dois rien ou l'inverse. Même pas de point d'interrogation, j'ai ma réponse finalement. Faut faire semblant. Sourire à la con sur ta sale gueule : ça va tranquille. Oui.
Je hais ces putains de personnalités. Je hais mes extrèmes, ce truc là.
Tu te la fermes, petit hobbit joufflu ?
Ouais, j'arrête, ça va mal se mettre.
Ca fait du bien de dire tout ça. Sans rancune. J'dis et fais ce que je veux, exutoire.
Sad Moon. J'aime la vie.
Dimanche 30 septembre 2007 à 23:01
Prise de bonnes résolutions. Au moins une semaine entière. Oui, oui, oui. Juste envie de me vider. Vider le trop, les mots. Les cours, les cours, les cours... Pêter les plombs. Taf, boulot, travail. Cilture pro à bosser. Respiration saccadée, prendre son temps. Contenus vides. A domicile, homicide. Accepter ça comme une défaite. Cuisant, croquant. Pas évident. Concentration des efforts. Des moles et des moles en quantité suffisante ? Du courage pour reprendre la barre. Et de la force pour pas se barrer loin d'ici. BTS à la con. Encore 9 mois et finis. Rêves enfin accessibles, malgré tout ce travail à fournir. Il faudra. Là aussi, il faut. L'obtenir. Réussir les oraux, les écrits. Rassembler sa confiance pour les oraux et continuer à réussir les épruves à plat.
Je veux réussir.
Changer d'air. J'arrive pas à dire. Vais me coucher, ca viendra.
Penser a faire la BD de Truc-Bidule...
Lundi 24 septembre 2007 à 0:42
Juste que je veux y croire. La guérison est impossible, certes mais il faut apprednre à vivre avec ce mal. Quoi faire d'autre ? On est toujours tout seul dans la vie. Je m'entends en l'écoutant. Voudrais parler plus, dire ces choses à taire à tout jamais et aussi me taire à tout jamais. Apprendre à ne rien dire. NE RIEN DIRE. Le ridicule ne tue pas, certitude absolue, sinon je serai morte. Je SUIS morte. AU moins plein de fois. Tu te rappelles connard ? Oui, il y avait de la rivalité. Forcément.
LA chouchoute, la préférée, le sujet parfait. Pas la méchante Cosette que j'étais, la mauvaise soeur, celle qui fait tout de travers, mais tellement bien que tout le monde l'admire. Oui, petite soeur, tu m'en as voulu. Voulu d'être la première. Voulu d'être parfois défendue. Voulu que ton père me donne un peu d'attention même si celle-ci s'exprimait par la colère, le mépris et la violence. Entre autre, parce que tu ne sauras jamais tout toi non plus. Tu m'en voulais, en voulais à ma réussite. Toi la petite soeur qui remuait trop, qui faisait sa crise d'ado avant l'heure pour tenter d'obtenir un peu d'existence. Moi la jeune fille calme sereine et qui affichait profil bas, intelligence mais modeste. Parce que tu ignores ce qu'ils pensaient de tes capacités, de ta intelligence. Un truc de notre Maman. Un truc que hais ton père, qu'il a toujours détesté en moi. Parce que ton père t'aimait. Qu'il n'a jamais su te le dire et a toujours préféré me montrer sa haine sans te montrer son amour. Il ne sait pas. Trop matérialiste, trop inconscient. J'espère que tu neseras pas la plus touchée, je le suis déjà de trop. L'anorexie, la boulimie, petite soeur, ne tombe jamais dedans.... Si tu n'y es pas déjà...
Il faut s'accrocher à ses rêves, elle s'en sortira, tu t'en sortiras. J'espère qu'il ne te fait pas de mal. Que ses mains répugnantes n'approchent pas ton corps d'enfant. Accroche-toi juste.
Je susi désolée de n'être plus là. Je n'existe plus ici bas. Tu le sais. Mon souvenir est nauséabond, puant. J'étais celle qui foutait la merde. Par sa faute. Pas SA faute putain de merde. TU crois sérieusement que j'ai demandé ça moi ? Mais putain !! Il y a ces moments où je me dis que j'aurais dû te laisser dans cette bulle d'amour que te donnait ton père te notre mère. J'étais l'intrue. C'est quoi mon souci ?
J'essaie, je fais des efforts. Je m'investis, je veux me le prouver. Je ne suis pas rien non ? Non ? Dîtes-moi... Je suis paumée. Je me fixe des objectifs inatteignables. Je veux faire une grande école de communication visuelle, de graphisme. Je veux faire une ENSBA. Je veux, je peux ? Et je me donne les moyens. C'est donc que j'existe ? Je peux vivre moi aussi ? Me laisser une chance d'avancer. D'utiliser mes doigts autrement que pour tout redonner. Je veux pouvoir m'exprimer. Prouver à tous que je suis capable. Je suis capable. Je suis capable ? OUI ! Oui ? Putain, je veux. J'ai peur de moi, de mon avenir et de mes réactions. Je me sens souvent seule. Comme la pièce d'un puzzle qui n'a rien à faire dans cette boîte. La carte d'un jeu qui a été rajouté après la perte d'une autre. Qui suis-je ? Où vais-je ? J'ai du mal. Je saigne de ce passé, ces cicatrices qui me blessent encore. Je rame, je suis inconsciente et peureuse. Non mais je suis tellement ... Autre chose. Je ne suis pas rien. J'ai des qualités (?) Je suis perdu dans mon imaginaire et dans mes rêves. Perdue dans mes pensées et mes interrogations. Dans mes certitudes et dans mes doutes. Je suis méfiante, et risible. Tellement risible. J'ai besoin d'aide. J'affiche sourire et motivations. Tout semble si vrai. J'ai vraiment peur de moi.
J'ai eu grand plaisir à revoir Soeur Anne. Passer un instant avec Roger.
Pas moi-même. Je ne sais plus. J'ai besoin de mes amis. J'ai besoin de tant de choses. Je veux maigrir. Je veux être belle. M'accepter. Me trouver belle ou au moins ne pas me trouver si ... répugnante. J'ai besoin d'aide.
Bouh, je voualis être positive. Je le suis pourtant. Toute cette abnégation devidée sur ce blog. Ca fait du bien en fait. Oui, je suis une personne souriante dans la vie. Si noire en elle-même. Je suis noire et jaune. Je suis petite et transparente. Je suis un pantin, marionnette dont j'ai le contrôle. Jeu de rôle, agent double. Je suis si grande parfois.
Je veux tout donner pour l'art. Pour apprendre, pouvoir et savoir m'exprimer à travers une toile. Réussir l'adéquation entre la penséae et la représentation. JE VEUX, tout simplement, EXISTER... JE PEUX. Je ne suis pas intrue. Je suis moi et c'est ainsi. 3 kilos maîtreS du monde. xD J'aime dire des conneries, histoire de me sentir plus humaine. Qu'on me pardonne un jour d'être ainsi. Ou pas. Justifications ? Aucune, parce que. Voilà.