sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Vendredi 18 juillet 2008 à 22:35
Tu sais ce que j'aime le soir ? Les plieuses qui se sont tues, incessant brouhaha qui fatigue sans discontinuité. Le vacarme est claquant, celui des machines à plis qui laissent place peu à peu au ronronnement gonflant des encarteuses et aux soufflements d'un massicot. C'est mon esprit qui s'essoufle, qui s'étouffe. Les oreilles ne sont jamais au repos ici. C'est le bagne auditif. Alors pour oublier tout ce bruit, je chante. Dans ma tête ou tout, j'm'en fous. Je chantonne. T'façon, aevc toute cette pollution sonore, personne ne peut m'entendre. Puis après, relaxer l'ouie par 40 minutes de musique ... Le long de la N20, heure de pointe. Un enfer pour les cages à mielet ma tête embrumée des rejets des pots d'échappement et des râles des moteurs - quand ça ne klaxonne pas... Pollution tout court. Ennui latéral et frontal, le temps ne passe cependant pas vite du tout.
Ai pensé à la crême hydratante pour les mimines. Takaminemacopine me manque. j'veux une acoustique. Rue de Douai. Total music, rue Sébastopol, à cinq minutes à papattes de Chatelet. TOMMY EMMANUEL en concert à Paris dimanche, 33 euros.
Perte dangereuse, le jeu de la balance. Sentir les creux qui reviennent, les côtés et milieux flasques se dissoudre dans le temps. Dans l'énergie. La tête compte. REcompte. RE-REcompte. Le petit os de la main qui veut tout dire. Encore un truc d'ano. Truc débile. Petite force de la nature. Petite vicime. Vieil engrenage de merde. Je crois que. Calcul. Produit en croix, règle de trois. Comment ne pas connaître. Hallelujah de Jeff Buckley. En un mois, ptêt maxi deux fois. Les doigts n'ont plus de stigmates. A part celles du façonnage. Là, ça m'échappe, je m'échappe. Le taf me tue. J'pense qu'à ça. J'pête un câble. Personne n'entend. Personne ne voit. J'm'en fous. Et c'ets mauvais quand je dis ça. Mes amis me manquent. PUTAIN LES CAILLOUX ! Putain de bordel de couilles. J'suis trop perdue. J'en ai marre, ras l'bol, assez, putain. Et la compensation ? Me parle pas Abou , t'as déjà quatre femmes, me fais pas chier !! Mais putain. Putain. J'afis plus gaffe, les pensées se détachent, se compriment, se disloquent, se mélangent, fusionnent. Dyslexie ancéphalique. Hé ! Là-haut ! On se réveille ! Bordel, on se réveille ! Oui, demain je serai là. Oui, oui. Oui, les filles de la campagne, elles en veulent. Et je vous emmerde. Oui, la phrase facile quand on n'a pas d'argumentation. Nan, tiraillée entre un monde faux et l'autre brutal. Ou l'inverse. Ivresse de la limite. Illimité. Illlimité. Ma connerie tend vers plus l'infini. Putain de bordel. Reprends-toi merde. J'ai fumé une cigarette aujourd'hui. Une samedi. Et deux lundi y'a une semaine et demi. Soit 4 en deux semaines. J'veux un pet. J'peux ? Où sont mes putains de feuilles ? Où sont ces putains de feuilles ? Les désillutions, et ces illusions que tout ira mieux. Non non non.
Faut pas rêver. Connasse. Crêve, c'est ça, on s'en balance, on s'en contrebranle, on s'essuie avec. P'tain debout à 6h demain. Pour se remonter le moral. Prise de note sur les calculs effectués de 18h à 19h.
x- Heure normale nette : 6,74
x- + 33 %, les deux premières heures : 8,96
x- + 50 %, les deux suivantes : 10,10
x- + 100 %, celles d'après : 13,48
x- 47, 18 par journée pour un forfait de 35h
x- Semaine de 4 jours, soit 28h : 188, 72
x- Semaine de 5 jours, soit 35h : 235,90
x- 2 semaines de 4 jours en juillet + 2 semaines de 5 jours
x- 25h sup à 33% (224)
x- 10h sup à 50 % (101,01)
x- 1h sup à 100% (13,50)
x- 127h à Noblet.
x- 951,85
x- (+ 235,90 + 188,72/2)
La seule chose qui puisse me "remonter le moral". Que j'perds pas seulemnt mon temps. Enfin, à quel prix. Putain. J'pensais que le temps, ça valait plus cher que ça. Voir mes putains de cailloux une heure, ça vaut plus que le SMIC, j'vous l'jure. Même pas quantifiable. Mais putain, j'pête grave le casque du ciboulot. J'en ai marre de tout ce cirque. J'crois que j'prends feu là-haut. J'veux fumer, mais faut pas. Siyouplé. A bas les papattes. Juste un peu de compréhension. Ils me manquent les tourangeaux. Ils me manquent. Il me manquent. Qu'est-ce que j'ai fait encore, comme connerie... J'suis vraiment pas possible. Et éternellement insatisfaite. Mon estomac gronde et j'ai mal. Faudrait que j'arrête de faire tout un plat de rien du tout et que j'sois contente. C'est vrai après tout, c'est pas grave ;(
J'ai l'impression que les Griboux s'en foutent. Que chacun fait sa vie, et que c'est pas grave, on repousse le moment pour se voir. Mais non. Fais chier de pas prendre en compte. Fias grave chier. Et j'en ai la haine de tout ce tintamarre. Marre d'Abou. Même si c'est gratuit et que j'le montre pas.
Ne pas s'inquiéter et penser à sa future grattoune pour chanter du Moustaki à la chandelle. Motivation quelqu'une. Unique. Et ma cervelle fond avec. (Cette catégorie, c'est mauvais)
Mercredi 16 juillet 2008 à 22:54
Tiens, si y'a bien quelquelchose qui m'énerve, c'est qu'on rajoute sans gouter, sel, ketchup ou autre ingrédient à une sauce ou un plat savamment étudié pour qu'il plaise. C'est histoire de dire que c'est pas parfait, qu'il manque un truc, un truc à redire. Ah lala..... Me font chier tous les deux. L'un à intolérer l'autre et l'autre à être con et égoïste. Voilà. Et ses manies de se prendre pour le centre du monde. J'ai des tendances médisante quand je suis ainsi.
Sous mes airs sociables et gentille se cachent une associabilité aigüe et une méchanceté sans nom. Comment dire ça ? Je tiens à ma solitude. C'est pour ça que je fais onze bornes aller-retour pour ensuite rester debout entre sept et dix heures... Me fais chier de me dire que dès que je suis chez moi, y'a des gens. Même si j'aime le OinOin jusque dans le moindre recoin de mon hémoglobine, et même si ça veut rien dire, ca m'fait chier qu'on se voit tout le temps. Sauf le matin. De 6h50 à 7h10, le temps de me préparer pour partir. Et de 7h10 à 7h50 le temps de parcourir mes cinq kilomètres et demi à pattes. Puis après, jusqu'à midi, j'me coltine les collègues, plus ou moins lourds, inintéressants, lassants, gentils, cools, drôles. Ou pas. Et là, je lis. Je lis. Je marche un quart d'heure histoire de promener mes pattounes. Et puis rebelote à 13h. Taf jusqu'à 18 ou 19h. Pour les statistique, j'ai fini :
1 fois à 16h.
1 fois à 17h.
4 fois à 18h.
6 fois à 19h.
Soit 25 heures supp depuis le 1er juillet.
Bon, après je rentre à pied. Et c'est le pied. 40 minutes avec personne pour me faire chier. Personne, sauf le bruit des moteurs sur la Nationale 20 en pleine heure de pointe... Enfin, j'ai ma musique. Puis en rentrant, y'a Coin. Et Fat. Et ma mère. Alors jusqu'à 10 heures, à moins de lire ou de jouer du nopia, faire bonne figure alors que non, j'ai pas DU TOUT envie de parler. Ma journée ? Que dalle, des dialogues imaginaires dans ma tête, des comptage de paye, de calories, de secondes, d'élastiques à enfiler encore jusqu'à ce que l'heure se finisse, de nombre de paquets à la minutes, de nombres d'heures à faire pour arriver à une paye de telle somme, de calories dépensées, ingurgitées, de jours avant de voir mes cailloux. Puis des histoires, des nouvelles, des récits, des idées. De dessin, d'écriture. Puis des envies de chanter tout haut. ET QUE LE VACARME DES PLIEUSES CESSE S'IL VOUS PLAIT !! Que je puisse penser en paix. Vulgaire rythme lassant. Accadencé. Et que je serai plus rapide que celui ou celle qui bosse devant moi. Et qu'il faut que je bosse pour pas me faire chier, ne pas prendre de pause. Et Dieu que je me fais chier. Voilà à quoi je pense quand je bosse. Je pense à Simon qui ose, qui ose, QUI OSE user de la vie de bohème, sans contrainte, sans montre, sans obligation de moyen ou de résultat. Sans rien à prouver. Ouais, j'bosse pour gagner des tunes. Mais j'ai plus de vie. J'arrive, j'suis trop morte pour écrire, trop énervée d'avoir perdu du temps pour écouter des co-habitants, trop naze pour réfléchir, trop pas nette pour ne pas être maladroite et dire des conneries. Trop nul de taffer comme une conne pour perdre autant de temps. Alors qu'à gagner moins, j'en profiterais plus. En profitant juste du temps qui passe... Voilà pourquoi j'ai la rage. Parce que j'aimerais arrêter les études et je sais pas, être... Factrice. Guide touristique ? Jardinière ? Musicienne ? Artiste-peintre ? T'façon, rentrer en marchant, ça fait travailler les muscles et le coeur aussi. Alors... Dans la poche.
J'débloque sévère. J'me dis qu'elle s'est bien jouée de moi. Qu'on y a cru. Et que la fleur est trop fanée à mes yeux. Morte asphyxiée par ses propres rejets de C02. Tu t'étouffes ? A trop vouloir t'immiscer et faire la lèche-botte, t'étais devenue indispensable. Ce qu'on pouvait penser. Mais, pauvre caricature de toi-même. Que dalle. Tout le monde t'aura oublier ici. La vie se fait tout aussi légère.
Toutes les filles sont bi ? Tu rêves. Mais ptêt que. Ca t'dit un plan à trois CoinCoin ? En ce moment, j'ai envie d'essayer l'amour avec une nénette. Je fantasme. "Si tu me le dis, c'est pas tromper" Oui tu peux participer. Gni. T'façon, elle sera lesb. Na. J'me sens retombée. Dans l'trou. Pas sécuritaire. Dépenses supérieures à la recette caloréfique. Et plat gras, mais préparé avec amur. Amur, amur.
Bosser avec le patron. La côte qui. J'ai du mal à penser. Je cogite à tout ce que je devrais écrire. Tous ces bouts de livres. D'histoire. Réaliser qu'on est né en même temps que l'informatique. Je veux écrire un roman. Un roman. Il y aura ce personnage doux, au regard vif, un brin charmeur et malicieux. Fraternel et protecteur. Puis celui-ci. Intelligent comme pas deux, cartésien, compréhensif, terre-à-terre, réfléchi. Puis lui, philosophe, doué, dans son monde. Et celle-ci, la brise coeur. Qui s'émancipe de ton coeur sans que tu ne puisses rien faire. Connasse. Et d'autres, indispensable au bon déroulement. Pour te tenir les épaules petite héroïne. Tu ne t'endormiras pas cette fois. Tu te lèveras, et le majeur avec. (Margeur ?) Subversifs. Le monde, tu lui donneras une pichenette. Tu vivras ta vie, celle que je te façonnerai à l'atelier. MOuahahah. J'aime mes jeux de mots. Ca me rappelle Loute et "J'ai gardé tes jeux de mots débiles. Et ça les fait rire quand je les case..." Ou un truc du genre. J'ai toujours "fantasmé" sur les Simons. Beau prénom. Si, j'ai un mec, ça sera Simon. Le prénom bien-sûr. Enlevons la connotation ou pas. Quelle définition...
Ca fait du bien de lâcher ses doigts sur un clavier. Quel qu'il soit. Ce week-end, se lancer pour la nouvelle nouvelle. Y croire. Tenter de nouvelles expériences. Et acheter une cervelle. Je ne deale pas. Et parfois j'aimerai coker. Même pas vrai. Je suis stupide. Trop destructeur, pas d'occasion et pas envie. Juste un ptit pet quand j'pourrai. J'ai envie d'une fille. Expérimenté. Si t'es tentée... Samedi, à Pigalle pour les Alpine de Nathalie. Et Samedi d'après, anniversaire de Marj. Retour sur Tours. Contre le ToursBlue. Et voir Guizm. Et NikoToudou. Ce serait cool. Ouais, cooooool. Gnégné. Ta gueule Delphine. Ta gueule Delphine. Gnougnou. Pfiou.
Lundi 14 juillet 2008 à 17:36
Relan d'Eludril et de cône au chocolat. Le Quick qui passe mal. Frites Mac Do, frites maison et frites Quick, la totale. en trois jours. Soit environ 1200 calories par jour minimum. Sans sport. Ou une petite heure de marche cada dia. Mercury Messenger et j'adopte la liberté.
Elle aimait se trimballer sans soutif, comme si elle avait un brin féminisme, arborant sa poitrine, petite mais fière, et surtout légère. Ca semblait bizarre qu'elle l'assume si bien, mais l'essentiel n'était que chacun de seins tiennent dans une main. Jouets destressants.
Là où j'ai encore ri violemment de la conneire humaine, de ces gens qui profitent de chacune de moindres failles pour se faire de l'argent sur le dos de la population entière sans s'en rendre compte. Exemple d'aujourd'hui : une madame qui refuse de payer l'amende d'absence de tickets de parcmètre sous prétexte qu'aucune loi oblige à payer le parcmètre. Ou va t'on ? Deux solutions, soit cette dame n'a pas payé les frais de procédure de tribunaux parce qu'elle n'en a les moyens et qu'elle a eu un commis de justice (donc c'est les impots de tout le monde qui ont payé le dit-commis), soit elle s'es tfait remboursée des dommages et intérêts dûs à la procédure et là, c'est le Trésor Public qui lui rembourse (soit les impots de tout le monde) car le TP est la partie attaquée. Voilà. Et ça me révolte qu'on ait de tel comportement ! La meuf peut pas payer comme tout le monde. Mais flute de zut de crotte de bique, la législation est fondée sur des sources de droits qui peuvent être d'usage comme les moeurs et coutumes (qui souvent, nous arrangent pas mal), sur des textes de loi, genre directives, recommandations, propositions de loi, conventions, Constitution, et autres code civil ou code du travail... Bref, tous les gens qui ont payé le parking ce jour-là n'ont pas contribuer au réinvestissemnt dans la rénovation de voie ou dans l'implanatation d'un feu rouge mais bien dans le remboursemnet de frais de procédure de tribunal. Bravo bravo, clap clap, on applaudit tous ! OUI, ça fait chier les parcmètres, OUI, cet argent ne tombe pas dans les fouilles d'un politicien arnaqueur, OUI, c'est cool pour la fille, puisqu'elle s'est fait des tunes et a soulevé un problème de législation, OUI c'est cool pour l'avocat ou le commis, puisque sa réputation est faite maintenant et qu'il va devenir riche. OUI, bravo, on va se voir lire bientôt des nouvelles lois sur les parcmètres dans le bulletin officiel et tout le monde sera contente, OUI, comme ça, les députés devront se réveiller deux minutes pour voter pour ou contre la loi, OUI, il ne seront pas payé à rien faire pendant deux minutes, bravo clapclap.
L'argent est maître de ce monde, et ça me fait mal. Ca me fait mal de voir que les gens soient tellement dans le besoin, éternellement insatisfaits de ce qu'ils ont, qu'ils vont chercher des poux dans la Craz tête d'autrui pour pouvoir s'en faire et qu'ils balancent des procès à tout bout d'champ pour s'en faire encore et encore et que gnagnagnan, j'ai même plus les mots dans mon indignation, ma compréhsion, mon incompréhension, ma pitié et ma compassion. Mais ça m'brise le coeur de voir tout ça, ces comportements bizarres, compréhensibles, et incompréhensibles. J'oserais pas.
Parenthèse finie.
Tous les DBZ téléchargés. MOUAHAHAH. Crazy factory, ça me plait. Et j'aime pas la télé. On lui manque à ce petit chou à la crême ? Pfff. Maïlys a eu son bac. Et Napo est dans le coma, notre pauvre petit cochon. La baignoire est crados et je suis un mimi ouistit-dragonounet parce que : "Arrête de piaffer" Sèchement. Je ne supporte pas les piaffements. D'un parce qu'on m'engueulait quand je piaffais quand j'étais petite : donc simple règle de politesse, fermer la bouche quand on mange et pas faire des bruits d'évier et de deux, parce que voilà, j'ai tout dit dans le un. Enfin, ouistiti avec une truffe, alors hein. Et j'aime quand tu me le dis, Bébé'Ion. Papi'Ion s'est rangé du côté de la Force Obscure. Insupporté par le Oin, by me aussi. En ce moment. Même pas drôle.
Ouistitruffe, Ouistiti, Truffe, Dragonounet, Fée, agrémenté de petite, mimi ou pas.
C'est pas poilant mais bon. J'ai retrouvé mes bouquins, vais en mettre en vente sur Amazone. Au cas où. Pleins de choses à dire, écrire, sortir. Mais les ras-l'bol affaiblissent. Dessiner fait oublier, bulle, j'ai des bulles. Une bulle. Tintamarre, tintamarra, tintamarre mare mare. Marabout, marabout, marabout boutbout. Boutd'ficelle, selle de ch'val, ch'val de course, course à pied, pied à terre, terre de feu, feufolet, lait de vache, vache de ferme, ferme ta gueule, gueule de loup, loup des bois, boite à lettres, lettre de Troie, trois p'tits chats, chapeu d'paille, paillasson, somnanbule, bulletin, tintamarre. Marre, marre. Et autres variantes.
On joue à la marelle ? Ma soeur, petite asana guruff trop bavarde ? Non, j'suis sûre. Je l'aime. je les aime. Toutes autant qu'elles sont.
Lundi 14 juillet 2008 à 13:26
45 kilos. En passant devant ces immeubles, je trouvais que j'avais un corps moins moche avec ces miroirs déformants. Taille affinée, cuisses potable, cachée sous la robe de toute façon. Puis ces déformations n'étaient en fait bien que la réalité. Je suis donc bien ? Je me sens bien en tout cas, malgré les chiffres. Et encore, faudrait que je m'en défasse. Sont une galère pour bouffer. De la salive partout dans la bouche quand on parle. Parait que le calvaire dure une semaine à un mois. Hum hum. Le week-end du 9, Gwen, les cailloux, NTD, Seibi et les jumelles. Impossible à tout caser. Fait chier. Déjà que j'ai loupé les deux tourteraux à Fondettes. C'est pas juste. C'est pas juste. Me manquent.
Penser à ne plus s'apitoyer sur soi et à apprécier le fait d'être logée à titre gracieux, chez sa Môman chérie pour poursuivre des études qu'on aime. Mouais. Faut que je trouve le temps de faire un BTS IG entre les autres diplômes. Histoire de pouvoir être technicienne en informatique aussi. C'est l'avenir. Suis trop à côté, dans ma bulle, à bosser H24. Pour rentrer, je mets 28 minutes pour la première moitié avant le pont et 12 minutes pour après le pont, seconde moitié. No comment, la moitié.
J'ai envie d'éclater. Envie de dire à tout le monde que non la vie est pas belle, que je bosse histoire d'avoir des tunes, que c'est plus qu'hypocrite et que ça me bouffe le moral de répéter lassablement pendant des journées durant des gestes, afin de répondre, avec le sourire, aux demandes de ce système. Et de pouvoir prouver à Mossieur Taylor et son OST mieilleuse qu'il a eu raison, puisqu'une foiis encore, c'est appliqué. Bravo encore, Mr Sarkozy pour ces heures supplémentaires de merde, seconde démonstration de réussite. Bosser 10 heures par jour et puis ne plus avoir de vie. Tout ça pour quoi ? Pour quoi ? Moi j'vais ou l'dire, plus tard, mes gosses feront les études qu'ils veulent et vivront sans souci de quel boulot de merde ils devront faire pour essayer d'effleurer l'espoir de pouvoiur toucher du bout des doigts un de leurs rêves d'orientation. NON, la vie n'est pas belle, j'vois pas mes amis, ils me manquent. Y'a la misère partout, qu'elle soit intellectuelle, sociale ou que sais-je ? Non, c'est pas la joie ici, c'est le gros bordel sur cette Terre et ça donne même pas envie d'avoir des gosses pour leur offrir un monde pareil. Et en plus , s'il se retrouve avec un peu de ma gueule, c'ets fini pour eux. Non, j'en ai marre de me voiler la face, de me dire que je vais mieux donc le monde va mieux. Je vais mieux parce que si ce n'était pas le cas, je culpabiliserai de ne pas répondre à ce putain de luxe dans lequel je vis. Et encore, y'a pire, y'a mieux, comme luxe. J'veux dire, l'école gratuite et obligatoire... Oui, à moins de ne pas vouloir suivre une formation dite normale et pas du tout marginale. Le coût de la culture ? Mais putain, ouvrons les yeux ! C'est quoi toutes ces conneries ? Et après on s'étonne qu'il y ait des classes sociales ? Le moindre petit livre à 5 euros ! Faut les avoir ! Et bien va à la bibliothèque connasse ! Ouais, c'est ça. C'est quand même dégueulasse. Quand on dit que les hackers sont des pirates, ça me fait bien rire. Des gens qui militent pour le partage universel (et je mets des redondances, oui) de l'information, des moyens. Tous ces soit disant pirates qui créent des logiciels libres pour que chacun y accèdent sansdevoir payer un Windows qui plante à 150 euros pour une version familiale. C'est Tux qui l'a dit - ce cher pingoin : "Goodmorning Mr Gates, I'll be your server today." Je suis heureuse que Mozilla Firefox gagne du terrain sur IE. Je suis heureuse que la suite d'Open Office se développe et que les logiciels libres comme OpenCanvas ou The>Gims permettent aux apprentis graphistes de pouvoir faire des prouesses sur Illustrator ou Photoshop mais sans devoir payer 700 euros leurs logiciels. Je susi contente que tous ces dits-pirates fassent partager leurs cracks pour qu'on puisse utiliser gratuiitement des logiciels destiné à une minorité fortunée.Et tout comme je déplore tous ces serveurs d'E-mule qui sont dépistés. Mais j'ai la foi en tous ces SP, les Sioupeuw-Pwogreummeuw, qui vont faire que la culture et l'information sur le net seront libres ! Mais, à quand dans la réalité ? A quand ? Ca m'dégoute.
Et je ne parle pas de tous ces fanatiques, ces extrémistes, ces violents, ces délinquants, ces arnaqueurs, et toutes la véritable racaille qui pollue la beauté du monde. Oauis, j'm'emporte mais bon y'a tant de belles valeurs sur cette putain de Terre, et tant de choses magnifiques. On détruit tout, on s'entretue, on s'écartèle les cervelles. Mais putain, rien de plus inhumain que l'homme. La pire des bêtes, c'est bien nous. Et oui, j'me plains alors que j'ai pas de raison. Oui, j'me prostitue pas pour faire marcher le tourisme de mon pays, je ne travaille pas depuis l'âge de 4 ans, je vais à l'école, je peux travailler, j'ai des droits, j'ai droit à l'information (et la désinformation), à la liberté de penser, de m'exprimer, de créer, de manifester, de VOTER. Oui. "Ne pas choisir est un choix", j'crois que c'ets Paul Eluard qui l'a dit. Certes. Mais je constate. Je constate que même à notre échelle, des gens crèvent parce qu'ils n'ont pas les moyens de se soigner, beaucoup n'ont pas de logis, pas de quoi bouffer normalement. Tous ces gens qui sont dépressifs, hypocondriaques, addicted à n'importe quoi, café, anti-dep, calmants, coke, marijeanne. Tous ces gens qui ne sont pas capables de penser par eux-mêmes et qui répètent bêtement tout ce qu'on leur inculque. Tout ce foutoir administratif. La vie m'indigne, même si j'aime la mienne avec le travail en moins. J'veux me réincarner en fourmi.
Même si le dernier Werber est pourrite et que ce dernier ne répond jamais à ses mails. "Le Papillon des Ètoiles" 7,5 euros. Les mêmes idées que dans la trilogie des Fourmis, des Thanatonautes, "Le père de nos pères", la saga des Dieux et "L'ultime secret". Son nom écrit plus gros que le titre de ses bouquins. J'ai honte. La chute est pourrite. Non plutot: j'ai pas aimé, je suis déçue. Voilà. Point.
Oui, c'est un coup de gueule. Parce que. Voilà c'est tout. Maintenant, on donne le bac et les BTS, on surnote et c'est génial pour tout le monde. 12,25 qui n'en valait que 10 ou 11, et bien, messieurs les correcteurs, je ne félicite ni votre clémence, ni votre laxisme. Ca c'est fait. Ca devait sortir aussi.
J'aime l'iBook G4 et j'ai fortement peur que CoinCoin soit plus matérialiste qu'il n'y paraisse. Très fortement. Parce que "je veux pouvoir ne pas priver mes enfants comme je l'ai été". Ok. Ils ne seront pas privés, si jamais j'en ai.
Dimanche 13 juillet 2008 à 12:55
Parfois tout me ramène à un passé que je souhaite oublier. Parfois, j'ai du mal à parler et surtout quand langue gonflée. Elle avait 17 ans. Elle arrivait comme un cheveu sur la soupe avec son air insolent et sa nonchalance. Mépris d'une adolescente et certitudes absolues, les vacances n'allaient être de tout repos ni pour la nouvelle recrue, ni pour ses collègues. J'ai parfois du mal avec les Mac, mais je veux bien de, l'iBook G4 de OinOin. Pendant qu'il étaient au concert de Dynamophonic et Mass Hysteria, moi j'écoutais Une somme de détail en marchant dans l'avenue Grandmont.
Jolie en sous-jacence. Supertramp, un TGV, sauf quand on oublie le gadget chez soi. Apprentissage d'Inspecteur Gadget au nopia. Et les Tiersen aussi. Bourdonnement du voyage et retour à l'enfance. Nathalie Sarraute. "Tu notes tes horaires hein ?"" Pas d'inquiètude à avoir. 15 heures sup à 33 et 4 à 50%. Les zozor s dans les Alpine, le s protéger des aggressions mécaniques. A bas les plieuses ! Sebum estivale ou fausse-couche. Le nopia, défouloir. Miam à tort et à travers. Création deviantartesque version anagrammique. Pour Fanshu.N'ose pas publier un tas de torchons scribouillés, de peur de les offrir sur un plateau au dégoût des utilisateurs égarés sur ma page. Et d'autres virtualités. "Un look à bosser dans la mode. Ou dans la peinture. tu vois dans l'art quoi !" Mouai, si vous l'dîtes. quand j'leur dis que j'écoute des vieilleries et du rock and roll, ils ne me voient plus en petite punkette qui fait pas son âge, qui es une reblle de la life. Ils me voient comme une étidante en école d'art, sans avenir. Je ne sais pas ce qu'ils pensent et j'm'en fous, parce que je fais bien mon taf. En fait oui, y'a des mâles en rute à l'atelier. CONNARD DE PUTAIN DE DIEU EN CULOTTE COURTE. Obsédé. Alors se contenir et répondre poliment des conneries, histoire de semer le trouble sur ma personnalités. En rigolant pour bien ne pas être cernée. est ce qu'elle est sérieuse ? Je me dis que je dois être over motivée. Pour avoir envie de faire un doctorat.... et puis pour bosser dans cette usine à papier. Comme disait le nabot : "travailler plus pour gagner plus" Seule motivation, Condé et pouvoir la payer, même si c'est en bossant très hypocritement et surtout même si ça donne raison eà ce connard de président et que ça fait fonctionner le système. M'enf ous, je joue l'égoîste, j'ai besoin de cette tune et de ne rien devoir à personne. Tiens et puis esprit d'iunitiatives qui paye, rien à) redire, sauf des compliments sur ce que je fais. Donc je suis contente.M'en faut pas p lus.
BTS OK. Une ligne de plus sur le CV. Pas fière, juste soulagée de ne pas avoir patienter deux ans pour rien. Pas de mention au BTS, assez bien. Cohabitation difficile du fait de cractères lunatique et de mon esprit solitaire. Saoulage matyernel, plus l'habitude. Ses histoire de cul, d'amants et d'amour. Aujourd'hui, je suis une abeille, pendant toutes les vacances. Oreilles qui ne sifflent pas le soir, pas d'acouphène. bourdonnement des macinas la journée, pas le bourdon, prends pas la mouche. Me fais juste piquer par des araignées et autres bébétes malicieuses et belliqueuses.Patience et liberté. Ladybird. BIceps et triceps qui se développent et autres muscles inconnus. Musculation payée par NOblet, c'est chouette aussi le taf parfois. Pouvoir ne pas penser et réfléchir à rien d'autres que ce qu'on aspire.Phrase qui veut rine dire encore, mais j'me comprends et j'avais envie. J'passe ma semaine à galérer, à attendre le week end alors hein que je prenne un peu de liberté. Le boulon débouDes gouts et des couleurs. décalage, comme à côté. Mes pompes et la fatigue corporelle. Swet inopiné, tee-shirt tête de mort corsica. Or. Indépendant.
Curieux momnet et bonne découverte. Apprivoiser l'inconnu, écouter échanger palabres en vrac. Tout, tout. Provocation, moui, coup de fouet avec le ressort. le bordel des sacs des filles. Oublié la lecture du manuscrit. NTD. J'dis ça, mais c'est une bonne boite quand même.
Lundi 30 juin 2008 à 0:27
En fait, c'est comme ça qu'elle l'aimait. Elle aimait se faire désirer, observer son regard de lionceau espiègle et joueur, plein d'envie. Ils savaient donner le ton à leurs jeux érotiques. Soit joueurs, soit fatals. Cette fois-ci serait un mélange des deux. Il venait se lover contre elle en prenant soin de caresser les endroits qui la faisait frissonner. Un baiser dans le cou pendant qu'il attrapait le bas de son débardeur et la poitrine était soudainement libérée d'un clip de soutien-gorge. La danse allait comme si tous leurs mouvements avaient été programmés. Mais non. Leur instinct était grégaire. Il s'attaquait à ses seins, petits mais beaux, les suçotant avec gourmandise pendant que ses mains défaisaient les boutons de la mini-jupe. Elle, elle prenait ses cheveux et lui tirait à pleines poignets. Elle était de ce genre de filles qui n'ont pas peur de son propre plaisir, savourant chaque parcelle du plaisir que pouvait lui offrir l'Autre. Et en le lui montrant. Enfin nue, il la contemplait un instant et laissait sa langue fouiner son entrejambe. Elle lui tendait le bassin, en voulant un peu plus. A cet instant-là, il savait la faire attendre. Effleurer de ses doigts sa chatte bien humide puis, les faire se balader le long de ses cuisses. Ce jeu-là durait un peu, puis elle attrapait sa main comme pour se l'enfouir en elle. Il la pénétrait de quelques doigts et ses gémissements commençaient. Il les retirait pour jouer d'elle. A ce moment, il savait le pouvoir qu'il avait sur elle, l'excitation qui l'envahissait et toutes ces émotions qu'elle ne pouvait plus retenir. Il avait le dessus et la cadence de ses doigts étaient maîtres de son plaisir. Et elle, cette salope, en redemandait. Il défaisait de sa main libre, le bouton de mon son pantalon et il l'enlevait en même temps que son caleçon. Sa bite dure et fière étaient elle aussi enfin libre, trop serrée dans ce futal maudit. Mais lui, il n'y tenait plus. Ce qu'il voulait, ce n'était pas seulement ses mains douces sur ses couilles et ses va et vite avec sa bite, il voulait sa bouche et lui sussurait à l'oreille. De toute façon elle était prête à tout tant elle en voulait. Alors elle l'avalait goulument, suçant de tout son saoûl, en proportion de son plaisir. Très vite, dès les premiers coups de langue -elle s'amusait à d'abord lécher son membre avant de se l'engouffrer dans la bouche, il sentait que ça montait. Trop vite. Alors il s'enlevait de là et continuait de la fouiner, langue sur le clito, doigts au plus profond et main pétrissant un de ses seins.
Lorsqu'elle n'en pouvait plus, elle lui demandait qu'il vienne en elle. La formulation ne lui plaisait pas, il la fit répéter. Et encore. Puis le "Baise-moi" le convainc. Elle allait voir ce qu'elle allait prendre, si elle en voulait tant que ça. Elle mouillait comme pas possible, cette chienne. D'ailleurs, elle ne lui laissait pas le temps, elle prenait son pénis dans ses mains et se l'enfonçait. Soulagée. Là, c'était une furie. Elle devenait sauvage et lui, ça l'excitait au possible. Il fallait calmer le jeu un peu. Dès le début. Mais pour elle la machine était en marche. Alors qu'il était sur elle, elle se campait ses jambes et tendait le bassin pour qu'il la défonce entièrement. "T'aimes ça être tringlée, hein ?"Elle ne pouvait répondre que oui, oui OUI. Et violente la gamine, en plus. Qu'on l'insulte et qu'on soit vulgaire au lit, ça l'excitait encore plus. Elle se démenait. Et lui jouait avec ses jambes. Il lui relevait en liui agrippant les fesses, les lui écartant. Elle aimait ça, il sentait ses ongles dans son dos, ses mains perdues de plaisir, s'agripper à ses épaules et lui maintenant ses fesses à lui. Soudain, il le sentait, le souffle de la gonzesse s'accélérait, elle gémissait de plus en plus fort et tout son intérieur se contractait. Il aimait lui faire cet effet, et jouissait mentalement de cette emprise. Elle était paumée dans son plaisir et lui prenait son pied aussi de la voir effarée. Une fois, l'orgasme presque atteint, elle n'arrivait plus à s'onduler. Elle restait là, à se faire mettre selon ses désirs à lui et son plaisir l'annihilant, elle ne pouvait plus que tendre davantage son bassin. Premier orgasme.
Puis elle reprenait son souffle, ils se retournaient. La bougresse, elle allait vite l'achever à s'agiter comme ça sur sa bite. Lui sur le dos, elle prenait sa bite entre ses doigts et la suçait doucement, gluante. Lui aimait ce moment. Elle la lachait très vite pour se la mettre entre les cuisses et le chevauchait. Il savait ce qu'il allait se passer. Les voisins serait vite au courant de ce qu'ils faisaient et ça les excitait encore plus. Les jambes pliées contre son torse, elle se tenait droite. Il lui malaxait les seins, fermes, il la trouvait belle et lui disait. Elle adorait. Elle n'en pouvait plus. Cette position la transperçait profondément et elle s'en délectait. Puis l'orgasme venant, elle accélérait, et le lit grinçait. Leurs torses se touchaient à présent. Elle jouait ensuite avec sa bite. En laissant seulement quelques centimètres de son partenaire la pénétrer, elle savait qu'il ne tiendrait plus longtemps. Alors elle allongeait les jambes et d'un coup se laminait la chatte en ondulant le bassin sur le membre du mec qui n'en pouvait plus. Elle était bonne la salope. Ils s'embrassaient à pleine langue, et avalait la salive de l'Autre. Elle s'amusait à le mordre, ce qui déculplait son ressenti. Parfois, elle ralentissait carrément la cadence. Ce qui ne lui déplaisait pas. Les mains palpaient, caressaient. Lui lui frapper les fesses. Ca la stimulait encore plus. Et raccélérait. "Ah t'aimes ça ?" Puis quand elle contractait encore, que son con semblait exprimer plusieurs orgasmes, il lachait sa décharge, rendant son plaisir ultime à elle encore plus puissant. Et lui grognait, comme une ourse en chaleur.
Ils se retrouvaient ensemble, se caressant mutuellement leur peau moites dans une infinie douceur. L'air avait changé, lourd. Dû à ce mélange de spermes et de sueur, les draps trempés de plaisir. Leurs mains sentaient leurs odeurs respectives et il s'endormiraient facilement. L'un contre l'autre, aimants. Dans un souffle, on entendrait des baisers sonores doucement déposés sur leur joues. Le rideau était tiré sur le sommeil qui les engloutissait.
Jeudi 26 juin 2008 à 13:13
Ballerines Doc Martens à 50 euros et Doc Martens 1420 à 20 trous à 99 euros. La belle affaire. LondonStyl. Toutes ces docs, les vraies, les rangeos, Underground ou Nvetia, à -30 %. C'est pas beau la vie ? Le fille, elle est spotsorisée par Dr Martens. La paire de ballerines, la paire de 6 trous haut de cheville, celle de 14 trous zippée milieu mollet, et celle de 20 trous non zippée qui va arriver d'ici 10 jours, sous le genoux. La folie. Et les converses noires et blanches (teintées en rouge, ça donne du carmin, mais c'est cool quand même). Ampoules, En poulpe. Toujours au talon d'Achille. Ce fameux Achille ! Compleet et porte-monnaie, totalement compulsif. Ou pulsionnel.
Le nouveau Rubik'sCube. 2'30 vitesse de croisière, 2'00 vitesse moyenne, et mon record pété à 1'30 avec de plus en plus de 1'45. C'est bon ça, surtout avec le nouveau, le 1,50 d'entrainement qui grince et coince un peu. Vais en acheter aux cailloux. Lune à tics.
Rebranchage du nopia. Renouer avec P-80, ce très cher mimi claviote. Pas pu tenir jusqu'à vendredi, après le décartonnage. Alende de 27,50, fuck DM. Finalement, fait pas la gueule le loustique. M. Hésitation entre "Sur le fil", "Le moulin" ou "La dispute". Du Tiersen encore. Après "La Valse" que je massacre toujours, la "Comptine d'été n°2" et la "Comptine d'un autre été : l'après-midi". Ce sera "Sur le fil". Mais me manque deux pages de partoches. Et les classiques et les accompagnements.
Il y a eu une orange pressée, une compote [100], 250gr de pain [650], 120gr de sardines à la tomates miam [220], 33cl de Nestea [100]. Marche de deux heures et fatigue du courage de partout dans tous les sens. Hum, faut faire du tri, même et surtout dans les pensées. En fait, si ! Tous ces chiffres m'obnubilent. Mais je les compte moins. Ptêt que ... Trop ancrée dans la tête pour que ça change. J'suis pourtant pas malade. Ou plus, tout au plus. Toutes ces additions, addictions, soustractions. Ces allers-retours, à petit pas.
Et le week-end tontonial, Leeloo et les apprentis BS à domicile. Daphine, la patate fine. A illustrer, illustrons, ô illustre inconnue. Un croquis par jour, pour ne pas perdre la main. Une demi-heure fascciculaire. Aquarellique.
Gros titres, comment les gouvernements lobotomisent leurs peuples ? Désinformation. Reportage de F sur Malcom X. Wikipedia. Ne trouve plus mes mots. Mafia napolitaine ? Corona ? Trop de rien. Vide. Le frigo s'exprime, mécontent. Suspect... Ma mère, maniaque des portes fermées. Un peu comme moi. Et sa sensation de ne pas pouvoir se poser si tout n'est pas en règle... Ne peut pas manger si la vaisselle n'est pas faite. T'es zarb Moman parfois. Et toi, tu te fais plus de mal qu'à moi en faisant ça. Pas responsable du désordre amouricide qui t'envahit.
Mercredi 25 juin 2008 à 13:57
"Nu", crayon blanc sur Canson noir
Détails troublants. Je suis toute et j'attends. Je suis en avance, je suis toute seule. Et je ne parle ni turc, ni arabe, ni créole. Perdus parmi les paires de baskets. Pas de doc ou de chaussures de mickey à l'horizon. Niet. Black, green, yellow, blue, white. Schtroumpféique. Visage pâle se sent seul, sale, et délavé. Bientôt l'orage grondera. Et je serai seule. Encore. 10 comme Zidane, capitaine du navire et envie de s'en sortir. Ne pas devenir comme euxanimaux domestiqués par les maîtres du monde. Leur fric pue l'excès. Et leurs costards troués d'injustice. Ne pas rester coincé sous les barreaux de l'échelle. La galère, c'est pas pour moi : mon voilier vole au vent. La pluie s'émancipe. A défaut de gouttes sèches. Dure, la culture des confitures. Déconfiture, des cons firent "Tud". Déception de la mission. Paris me fait un drôle d'effet, le Toursblue. Pas forcément si simple à vivre. Connais personne. Et je joue avec ses sourires jaunes, m'éclate à disserter virtuellement sur des conneries. Merlin, l'écureuil, l'écuyer, les cuillères. Pokemon, ensemble pour la victoire, Pokemon ! Toudou. La pièce de Baffie, c'est Toc-toc, comme le Ouistitruffe n'amoureux, n'il est toc-toc. La playlist de malade, sonata arctica fait bander mes oreilles. Miam, is mine. Adjectif mélioratif sans cheveux. J'laisse pousser les miens. Naine et fière de l'être. Mais si moche. C'est moche.
Ce sont des immigrés. Payés une misère. Et la confiance règne. Il y laissera des plumes. Le bateau, la baraque, l'autre, la SCI, les bagnoles, le jardin. Et oui Salopard, on coupe en deux. Ca vaut bien 15 ans de maltraitance d'esprit. Connard. Moi je me gausse devant tant de conneries. Finalement, j'auai pas porté plainte, mais il payera cher. Il va devoir céder ce qu'il aime le plus au monde. SON FRIC ! MOUAHAHAHAHAH. Nous qu'est ce qu'on s'en tape. L'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue. Ca facilite la vie de la tune en folie. Alors. Je me laisse dire que notre putain de malheur pendant toutes ces années auront bien mérité une punition. HAHA. Pauvre petit beau père. Pauvre petit violeur de mouche. Tu payes, tu payes, Tu payes. Ta folie n'avait de limites que ta mégalomanie. Ca va te faire faire mal et bien plus qu'à nous. Encore une fois, le plat servi est surgelé et ça va te faire mal aux dents. Je prends mes revanches sur tous ceux qui. Je suis le Comte de Monte-Cristo. Mais je laisse le temps faire sa mission. PUNIR. MOUAHAHAH. La psychopathe.
Tout comme l'autre qui est attaché et qui découvre ce que c'est. Tu souffriras toute ta vie bonhomme, t'as pas su tirer profit de la chance qui t'étais opportune.
Aussi, grande nouvelle. Je suis GUERIE !! Enfin presque. D'un coté, je rêve toujours d'atteindre les 39 kilos qui m'allaient à ravir. Mais la Raison me ramène à 42. Je ne vomis plus. Je ne jeûne plus. Je ne jeûene presque plus. Je ne compte plus. Je ne me pèse plus. Normal pas de balance et encore heureux. Bon, je ne mange pas énormément. Je mange normalement au moins une fois par jour. Je fais gaffe quand même. ET je marche, je marche, je marche je marche je marche je marche je marche. Au moins une heure par jour. Et le sport collectif, à deux. En clair, pas vraiment guérite la fille, mais pas obnubilée par son poids. J'me vois de plus en plus gross alors que j'ai perdu un kilos. Pas de balance masi je le sens, je le vois au toucher. Toujours cette ambition d'être bien. Mias je suis mieux dans mon corps.
Ceci dit, moins j'ai de miroir autour de moi, mieux je me porte. Et cette sale gueule de schtroupf. Bref. Je suis MOTIVEE pour les Arts Appliqués, et c'ets tout ce qui compte.
A bon entendeur, salut.
J'avais envie. NA !
Mardi 24 juin 2008 à 10:15
"Pouss-pouss" au pastel gras sur papier Canson.
Le flux galère trop. Ca pousse à la tête. Carte mère et barre de RAM. Marre de rèm' et barque rame. Barre de mère et carte RAM. Bord de mer et quatre trams. Mouais. Un peu glauque tout ça. Tout blanc. He said to me not to smoke too much. Pat'euz. Deuz, dos. Le duc est mal en point.Souffrances et choix. Paternité, stérilité, mariage et pas de regret. Pourquoi, pas ? Dans un carton le Pas. Doit rire comme un taré. Je décartonne. Parce que je vais m'installer. Chez Nous, chez ma mère, chez moi. M+M=N. Limite sédentaire. Ou pas. S'amuse comme une gamine. Et une tartine de nutelle. Et pas Nutella au pain, de gni. Donc géré, grave, sans de dégats. Une madeleine. Une pomme. MDP. Mangez Des Pommes. Une demi baguette de pain et une compote. Donner à manger au Ion avec la cuillère. Vrais gosses, so grou ! Puis égoïsme primère. De rien. Gneuh. A ton service Ducon. Le "jeune homme" sans retenue quoi ! Connasse. Ca, ca fait bizarre. Même zarb. C'est dire. Virtuelles Tête lourde, cou plafi, flappy. Coup douloureux. Conversations virtuelles et palabrer. MaitreZen, LeDuc, Saïemon. Moi j'veux quelquechose de nucléaire. Pas de pollution, ey puis quoi encore ? Découvrir TheNiKoSoVo. Hum, réfléchir à l'envers. Balaud. La poule aux oeufs d'or. Croqueter. Nature morte, nature vivante, modèle vivant, criqueter. Et OinOin n'à la basse ! Tête dans le cirage. Se réveiller à 7h pour le dessin de remerciement et puis pour les cartons. Gnihihi. C'est ça qu'est bon !
Avec deux oranges pressées au réveil, un tite tartine grillée au pain et une madeleine. Pas la peine de rentrer Moman, j'saurai m'débrouiller. Inventaire du soir, espoir. Question con mais intéressante pour mes papattes : j'fais comment pour aller et venir. 5 km, pas le bout du momnde, mais un bout quand il est 3h du mat. S'en fous la fille, ce qu'elle veut des tunes. Des tunes pour Condé. On y arrivera. Sans me connaître, comme ça. Rho Moman.
Lundi 23 juin 2008 à 0:52
Elle a donné sa main au vent, il est sur ses épaules. Arthur, le bébé monstre koala crie et court après Juliette. Les crocodiles tout autour, les éviter en passant par les caniveaux ou par les plaques de rêves. Les plaques de rêves qui sont au plafond, on les atteint en marchant au plafond. La patte grise d'Arthur pue. D'ailleurs, il marche avec la tête. On fait 1, 2, 3 ? Appoline aime Ce garage. Parce qu'il est noir.Et puis les groseilles, les fraises, les cerises. Et les céréyayes. Une vision si colorée. Tout ondule, modulation des fréquences visuelles. Bulles dans nos bases et transformation des repères. Coeur d'artichau. Au froid.
Rencontres. Nikosovardeladze, Claire, Seib, ze fake rousse. Vu plein de gens. Aude, Camile, Christopher, Audrey et les thésards, Adrien et Truc, Gabi et Machin de médecine. Puis bien sûr, les ArtsAppliquéennes au piqueuh-niqueuh-niqueh ! Coool, j'les aime ces petites grandes. Vais faire un complexe d'Oedipe avec le Loute version 60's. So grou. Simon qui part en Suède dans un mois et demi. Et OinOIn dort.
Comme pas envie de me taper deux mois de façonnage. Bonne ambiance cependant, alors jetons-nous. M'en contre-branle au final. Juste histoire de gagner des tunes et faire des choses qui me serviront. Puis tantq ue la bonne ambiance : "Que des mecs, va falloir t'imposer en tant que femme". GNARKGNARK ! Ils verront. Parce que c'est plus sympa des ambiances de mecs dans une boîte. Gwen qui va me faire un double venom et un industriel. Rien à acheter pour les trous. Sourire de Gwen : "T'as jamais pensé à bosser avec des gosses ?" Hallucinante imagination des petits. Ca m'inspire grave. Entre Adrana, les dessins des gamins (soleil d'argeeeeeeennnt), leurs sourires petillants et pouik, bref, tout un programme qui me fait littéralement fondre. Avec l'astre dénommé Coco au zénith, c'est costaud aussi. Un bon, qu'il te faut ma p'tite mère !
Je suis parisienne. J'ai une chambre. MA chambre. Que des cartons. Charmant. Dedans le casque pour m'entendre quand je joue du nopia. Va falloir attendre de la trouver. En manque de claviotage sur des touches à dièses et à bémol. Mi-la-ré-sol-si-mi. Gratte-gratte. J'ai plus de voix à cause de la fête de la musique.Espérer qu'elle ne l'a pas perdue non plus. Déjà que. Fais chier la bite. Trop fort. Tentée par un "Musique de merde" Mais qu'est-ce que l'Art ? Jugement de valeur. Aime pas leur truc. Les oreilles et les pieds sont morts. Olive dépanneur de beuh du dimanche. "Une 'tite 'tête, qu'elle est bonne" La garder pour le gâteau épicé de ma Moman. Le plus longtemps possible sauf si plus du tout son trip. Genre en manque. Pas possible.
Penser à racheter un MP3 puisque OinOin is a robber. Hihi. J'ai plein de cartons à finir. J'suis heureuse.Paris rend lugubre. La distance aussi. Alors pour l'instant, sourire dentifrice. Prononce dé-nteu-fraï-ce, c'est plus stylé. Passé un bon moment aux expos Soeur Anne. Se la mettre derrière l'oreille pour celle de Vincent. Ah tiens, m'en souviens maintenant... Blazed. CoinCoin aussi. Pas mimi Ouistitruffe que je suis, et plans foireux qui vont avec. Bouh, à tarter la bête. Tarte aux pommes de préférence, malgré la bonne fruitsrougés du caillou Elise. MiamMiam de Manon miam et Miammiam de SAnne, so grou. Soirées très sympas, profiter de la simplicité de la vie : sortir avec des gens qu'on aime, parler de tout et de rien et apprécier l'instant présent. Pareil avec les thésards, découvrir, discutailler, converser pendant des heures durant, comme ça. C'est beau la vie. J'évolue dans le bon sens. Y'a 6 mois, c'était pas le même ton.
A faire : pastel gras pour SA. Réflexion quant au sujet et agencement. Finir le Vettriano "Yesterday's Dream" et trouver un modèle version papier pour la résolution. Illustrer la série "Vision de gosse" grâce aux oeuvres d'Apolline-chouette-prénom-chouette-mimi. Crasyfou comme l'inspiration dessinale arrive, croquis ferrovier et puis des idées à la pelle. La puissance. Le crayon en action. Ca m'fait du bien. Si, t'imagines même pas ! Les enfants sont vraiment magiques. Avec le temps, l'innocence perdue et toute ces merveilles qui disparaissent, l'imagination qui se tarit. Rha ma vieille, tu rajeunis ! L'expo de PE est une véritable tuerie et ma collection de cartes-com-postales-flyers grandit étonnamment vite. J'adore ses couleurs. L'inspiration qui arrive et la jaquette de Fattydicks toute moche. 'u_U PE qui a le mérite de m'ouvrir les yeux sur l'Art avec un grand A, digne élève de Pollock et Mathieu, ô oui que digne. Coup de coeur du moment. Bien, musique, rectangles verticaux. L'expression, quelle que soit sa forme a quelque chose de rassurant. Réchauffe l'esprit. Raison de vivre. Wow. Géant.
Peuh, il bosse demain. Eteins la lumière alors, j'm'en fous moi et l'interupteur est sous ta main si tu en prends la peine... Parfois j'ai envie de l'étrangler. Squatteur. La vengeance est un plat qui se mange froid. Surgelés implicites. Se gausse autant que moi. Apparence, mais t'auras niet. Après tout hein. Tralalilèreuh ! Aller à Adecco au plus tôt et puis après, Fnac. Playlist alléchante. MUSIC IS LIFE. P-80, me voici ! OinOin est un mimi bébé'ion. No word.
Mercredi 18 juin 2008 à 15:20
He knew he was in a poor world of sons of bitch. But he didn't nedd a good reason to leave it. Enormous desire to be alive. To become that he would like to be. To share. Ear pleasure. Music of void, voices. Beating. Rythms. Dans ce cafarnaüm, dans ce bruit. So noise. Ramdam des tambours, Brouhah émerveillant l'oeil, et sa multitude de combinaisons. Le croisement de chacun des destinées qui meublent. Terre de brouillard, pollué. Piqué, par son aiguille.
Peur de redevenir accro à la chichonade. Peur de combler le vide de Paris par Ca. Peur de devenir complètement irresponsable. Peur de devenir une fille toute studieuse. "Vous pouvez le faire. Vous en êtes capable. Moi je crois en vous, Delphine." Pfiou.
En fait :
1800 sur le livret A.
1600 sur le compte jeune.
1000 paye de juillet.
600 pensions juillet/août.
400 sur le compte courant chèque.
230 congés payés Auchan.
200 pour PC/fournitures d'AA.
180 remboursement loyer de juin.
150 maquiina to wash.
50 adecco.
500 scoot.
300 ampli.
150 commande de toiles.
50 livres.
Tout le gras pour Condé... Au moins ça sera payé ! CAPES, CAFEP. Agreg, M2, D3. J'hésite. Pouik. Ces jours-ci sont plutôtpsychédélique. Le cerveau ravagé, lourd, silencieux. Les mots trop lents à venir, pas assez justes et voix trop hésitante pour être prononcés à voix haute. Eviter de dire des conneries. Le silence est d'or. C'est pour ça que j'aime fumer. Parce que ça me fait taire. Que mon cerveau réagit. Vite, trop pour mes sens inhilés. Pas bien mais tellement nourrissant. Pas d'ennui ici. Un ciel plus qu'étoilé. Le roi Ion. Me manque. So grou. Parler au futur. A la première personne du pluriel. Selon nous. Paris, la vie. Hem. J'suis heureuse et j'écoute. Analyser, profiter de son propre silence. Fou comme ma voix est désagréable. Et le Loute qui prend des nouvelles. Ca fait du bien. J'aime.
C'est "chouette" d'être heureux. Expérience olfactive introspective, chèvrefeuille version Sartres. Madeleine. Mais sans bad. Je regarde impuissant le chemin que dessinent mes racines. Rho. L'écu. La moitié à finir. AIMER à tort et à travers. Utilisation à mauvais escient. Fumer fait écrire. Ecrire est libérateur. L'intonation ne donnera jamais l'exactitude de la plume. Parfois. Rose aux joues. Maitriser ! BV. J'avais oublié.
Tout comme l'anniversaire de Maïlys. Trop tard. Même pas pensé, meêm pas souhaité. Pensé à l'anniv de Bland'oeuf, et bisou caca-pêceh-banane-sirop d'endive. Souhaité avec du retard. Tant pis, pensé le jour-J, comme à chaque fois, souhaité ou pas, on s'en fout. Moi j'aime mes p'tites soeurs. Parce qu'elles sont MIMIS. PLOUF. TG Pouffiasse. Parle trop. ENCORE !! Salut.
Mardi 17 juin 2008 à 13:20
Collection de maladresses. Et recrudescence de paresse. Cours de dessin finis, scheah. L'administratif à faire. En pleine transition. Pendant une semaine. Programme chargé et inventoriste d'un soir et d'un matin.
A faire :
- Inventaire Casto ce soir et demain matin (today et miercoles)
- Demander une attestation à Moman pour Orange - (today)
- Se renseigner sur l'industriel (today)
- Arroser les plantes de PapyIon (today)
- Envoyer le paiement à l'encadr'heure (today)
- Aller chercher les billets pour dimanche à la SNCF (today)
- Acheter une carte de 1an pour Claire-Marie (today)
- Stopper le prévèlement automatique pour le loyer (today)
- Faire le changement d'adresse à La Poste(miercoles)
- Changement d 'agence pour le compte (miercoles)
- Appeler l'eau pour le relevé des compteurs 0811 900 400 (en grêve today, miercoles)
- Rendre la livebox -
- Rendre les chemises Auchan
- Trouver un fer à repasser pour repasser les chemises auchan
- Récupérer câble Ethernet et CD d'installation dans un des nombreux cartons
- Finir le pastel : trouver le tableau sur un bouquin et trouver la couleur maudite
- Aller chercher la table à dessin chez Mickey (Comment ?) -
- Ramener mes affaires chez Moman (Comment ?)
- Acheter de quoi pique-niquer pour samedi midi
Et (re)voir Anne, les cailloux, Roger, Gabi,Gwen, Xav.
Hier, fumette et Stone Age. Les synapses qui se réjouissent presque. En silence. L'éveil des Sens. De MARCUS. Gabrielus. Perturbatio sur mon MP3. Miam. Faire partager. Lien. Hypertexte. Le chat était sorti, prévenir de celle de son maître. Babyblues. Très fâcheux. Mouahah. Cette période est bien bizarre. Il faut se bouger et faire ce qu'il y a à faire ! Banco ! 500. Hum. Tout repris.
Jeudi 12 juin 2008 à 19:57
" Il ne faut pas écouter les bruits du monde, mais le silence de l'âme. "
HAHA. De tu sais qui ? Attaque miroir. Y'avait plus de scotch à Leader. Plein de trucs scabreux. Stalagtite chronophage. Magdalena, noir, les liégeoises et 250 gr d'addiction addictive. Il lui a dit merde. C'est tout. A la bourre mais ça ira. Humhum.
Jeudi 12 juin 2008 à 14:13
Revu Soeur Anne. Du bien. Parler de choses, de choses. Faire tomber un bout du voile de velour et découvrir. Plus que plaisant. Je parle trop. Restau sympa. J'me dis parfois que j'aurai dû me secouer un peu plus. Prendre une colloc à Tours serait revenu moins cher. Bref. J'aurais pû profiter des gens que j'aime. L'abus de conditionnel est mauvais pour le moral,alors c'est fini. Pas de regret puisque finalement malgré la passivité, Kaedrinn, soirées, RDV mensuels du mois et voir les cailloux. Donc voilà. En fait, malgré le temps de réaction.
J'essaie de parler mieux, de choisir mes mots. Arrêter de dire machins, trucs, putain, merde. Putain soudé à mon vocabulaire soudoyé. Mais pour le reste, faire de vraies phrases. Ce tient à peu. Je sais parler :) La meuf qui comment à piger le but d'une langue. Aussi réductrice soit-elle. J'aime OinOin. J'sais pas comment dire. Le coup de fil du dimanche qui réavigote l'ancéphale, le corps, le coeur et dans un autre désordre. Croire. Balauterie d'aimer mon indépendance. J'aime ma Maman. Complicité ressentie. Chiante I am, poor Mum.*
Et puis, elle veut re reprendre. Main. Pas maintenant. Attendre le départ des gars pour remanger normalement. C'est à dire peu. Quand "J'ai pris 4 kilos", "Tinquiète, quand on sera tles deux, on reprendra de bonnes habitudes" Sauf que ses/ces bonnes habitudes me conduiront ptêtà la connerie. Quoique je suis résonnable. Pas de vomissure-beurk depuis longtemps. Un vrai repas par jour. Enfin pas équilibré. Hate de prendre de bonnes habitudes. Amertume. Bref, les lithographie du Coin-truc dans le vieux Tours m'obnubilent. Je veux faire la même.Problèmes nourriturals résolus. Bouffer comme deux. Ou comme un normal. Je recompte les calories, je me repèse. Laisser la balance aux fontaines. En plus, soirées, alcool parfois, et restau. Kebab dimanche et mardi et lundi au bureau. Chouettes moments. Bref, je me surprends à me dire : allez, deux semaines de jeûne et le tour est réglé. Mouais. Folie ancrée dans la masse mal-pensante.
Positive, cure de gens. Gagné le poker, fait du bien. Toujours une partie pour reprendre les habitudes. La fille, trop lente à comprendre. Puis la partie observatrice. Comment jouent les autres. Techniques et logique. L'illogique pour semer. Rigoler avec Gabi-le-rebel. HAHA. Finalement.
Les pinceaux, c'est pas pour moi. Une tonne de matériel. Et puis le pastel gras. GRAS. GRAS. Pour rattraper la merdasse. ¨Pas douée du tout du pinceau. Rire sur du kraft avec du blanc et la mine de plombs. Croqueter, craqueter, craquer. Over-motivation. Envie de l'année prochaine. Malgré les risques et l'esprit dérailleur. Ailleurs, des railleurs, des railleries, dérailleur de mon vélo et des railleurs genre SNCF qui s'en mettent plein les chepo avec des amoureux en manque.
Parfois j'repense à Babypuppe. Envie de. Et puis l'hésitation est amèure et anéantit l'envie. L'attente est banale, baddante ou que-sais-je, mais un truc quoi. A Gwen. J'ai envie d'un industriel. Pouf barre de berwell dans l'hélix et l'anti-hélix. Un voisin qui fait du pain maison, ça se sent jusqu'ici. Vais me faire inviter tiens ! Elles en sont où ces histoires d'amour ? Envie d'écrire, d'écrire. De reprendre la plume. Et de faire de la poésie. Maladresses à éviter. Ranger.
Et puis flûte, j'déménage demain, pas un seul carton de fait xD Et si je me motivais ? (Conditionnel de merde) Je me motive. Présent à valeur de futur proche. Je vais me motiver. Je me motiverai. Je me motive. A croire que pas envie de partir. Fly away. Faut que j'aie une mention bien à un master recherche pour pouvoir se lancer dans un doctorat. Delph, Docteur en arts appliqués. OUAIS ! Bref, déjà un master. Seule chose restée dans les motivations. L'émotivation. L'émotion. La Nonman qui me fait penser. Très mature cette petite. Plaisant. Plaisanter. Pouik des ploplos, d'effets. Des petites fées. The ouistitruffe en action. J'aime me dire que je pars d'ici pour progresser. J'aime me dire qu'il y a sur Tours des gens que j'aime. Que Loute, ce Gribougnou, sera peut-être sur Padame et la grande dame métallique. Que je serai pas seule. EliseEliseGrosCaillou que je vois vendredi avec mes grosses pierres, Guiz, Loute, Mathieu, MaitreZenOliv, puis Rikku, et d'autres.
Pas de groezrock l'année prochaine. Pas que j'aime pas le Belle Gique. Juste que du ponqueuhponque en masse, j'sais pas. Pas spécialiste des buveries. Chez Nathan, y'avait de la musique de mon Popa.
Mon Popa je l'aime. Relu toutes ces lettres. Celles de Saiemon, Popa, Fanny. Larmes aux yeux. Même pas de la nostalgie. La joie d'avoir ou d'avoir eu de telles personnes autour de moi. Une fierté certaine. to b ethat I am now because of them. YEAH. Ecrit une lettre d'amour à mon Popa. Failli écrire une lettre d'amour amicale à TheDessinatorIllustratordeSaiemon. RHaa, ces artistes. Loute au look de Papa. Vivifiant de voir nos évolutions. J'aime.
Le bonheur, c'est vraiment dans la tête. Et ce, malgré les bad éthylique. Vida es belle. Et travailler, façonner. Toucher à tout dans le milieu. AHHA. Je sais où je ferai mon stage ne technique de production en BTS. MOUAHAHAHA. J'm'aime mieux. Et même que hier, cinq heures de guitare avec l'accompagnement. Retrouver cette joie des doigts qui souffrent. Ibabasse me manque. J'pourrai jamais les vendre. Takaminemacopine me manque aussi. Bientôt hein. Et puis quand je serai riche. :)
Et puis quand je serai riche, atelier. Ou pas. Ou juste des expo à foison à coté d'un taf de prof ou d'autre chose. Le gros pied pour arrondir ses fins de mois en se faisant bien plaisir et en partageant. Si seulement. OUI !
Plus positif, tu meurs !
Dimanche 1er juin 2008 à 15:17
Hier, Fat qui teste. "Et toi Phinou, tu t'es déjà fait vomir ?" "Ouais" "Plusieurs fois ?" Regard de OinOin vers moi. A quoi peut-il bien penser ? Que répondre ? Ma mère à côté. Pas envie qu'elle entende ce genre de soucis bergeants qui la regardent pas et qu'elle est pas sensé trop connaître. Sauf une fois, mais à cause des oeufs. (J'étais déjà menteuse-vomisseuse à 16 ans.) J'ai esquivé comme je pouvais. Ca tombe bien, ma mère a pigé le truc. Elle voulait pas entendre la réponse, demandé un truc. Désolée mec, mais t'auras pas ce genre de réponses. Surtout que peut-être. Nan, j'ai pas à partager cette intimité de ma vie avec toi.
Tout comme j'préfère te détester que t'aimer, moins douloureux. Cependant, j'déteste pas. Ce n'est pas une litote. C'est ptêt un ami, un pote. A nuancer. Je sais pas. Trop éloignés pour être amis, trop proches dans un passé pour être juste potes. Mais trop connard dans le passé pour être amis et trop "gentil" pour être un pote. Au pied Mimich. Voilà. Enfin j'm'en fous. Faut pas rêver non plus. Le mariage. Hallucianant ! En plus, fruit de ta pure imagination. Le RDV sur le pont de la Poste, pas pour ça, mais pour voir où on en était dans nos vies respectives. Je maintiens et le maintiendrai sur mon lit de mort. Y'avait quelque chose de symbolique dans ça. (Le genre de chose que j'aurais aimé avec Loute. Mais il en faut moins pour un Nounoute. Pas besoin de symbole, tout est beaucoup plus simple. Pareil pour unOinOin. Les symbole aux ordures et l'union est une plénitude) Ta décéption cowboy, j'm'en tape. Des efforts qu'elle fait. A ton insu des tas de fois dans a lot of trucs. Bon, c'est clair que "plus très musulman". D'en donner. J'pensais pas que des je cite : "gélifiant : trace de porc" qu'on retrouver dans la plupart des viandes, des poissons panés et conneries frites pourraient te causer tant de tords au respect d'une religion. Ah, mais oui, je sais, je suis quand même une belle grosse salope. J'vais pas te dire le contraire. Attaque miroir.
Aveu bidon pas refoulé : parfois envie de le faire souffrir. Méchamment. J'me retiens de dire des trucs barbares. Parait que j'apparais désagréable. J'avais oublié ses vexations en une phrase et comment les erreurs d'interprétation. Ou sinon c'est que je suis vraiment vraiment vraiment trop lunatique. Et allons-y sur les superlatifs. Nan, LE truc qui me saoûle. Oui, aussi perso au pieux qu'en communauté. Brute de fond. Même pas désolée de d'écrire ça. comme ça Trop souffert de "ça" pour pas avoir cette franchise envers moi-même. En communauté, faut prévenir les autres pour pas les laisser au pied de la route. Les prévenir. Me souviens avoir suffisamment servi de béquille affective pour ça. Mais trop et mal utilisée, une béquille, ça se brise. Chachou qui se souvient. Qui s'en énerve. Oui, les débuts de l'automutilation et des TCA pour un mec. Pour un mal-être. C'est con. Et je paye les pots cassés. Une des causes directes. Avec l'autre. Alors merde, c'est tout ce que j'ai à dire.
Ecriture d'un paragraphe entier sur lui. C'est con. Pourquoi ? Parce qu'inutile.
Gni.
Vendredi 30 mai 2008 à 11:42
"la bague au doigt" et "La fille au bustier", environ 20x30cm, crayon de couleur sur papier argenté.
J'ai trouvé. Il était temps. Je m'informe. Je sais que l'année prochaine sera Condé. Une dévotion pour l'école et surtout, pour en sortir sans l'échec cuisant de ne pas être prise dans un BTS PUBLIC. Repéré sur le site quelles écoles ont un taux de réussite aux exams supérieur à 90 %. Elle est exigeante la fille. Oui, mais je veux m'assurer une bonne formation. Style Sainte Margo, mais en mieux. Condé fait partie des critères de réussite exigés. Mais l'idée de deux années supplémentaires à 6 000 euros m'est impossible à envisager. Donc je cartonnerai en manaa, quitte à faire des concessions et des sacrifices. Que de beaux mots. Il y a bien-sûr Estienne, Olivier de Serres, Duperré, Ensaama et le lycée de Sèvres et Eugénie Cotton de Montreuil en Ile de France. La bataille sera rude. Et Condé et Univeria à Grenoble versions payantes. Et sinon en Province, les arènes à Toulouse, Charles de Gaulle à Chaumont, Raymond Loewy à La souterraine, les Maristes à Marseilles, Alain Colas à Nevers et Louis Pasteur à Besançon. Soit 12 possibilités. D'abord l'île de France version non payante, ça me permettra de pouvoir revivre. :) Si je suis pas prise en BTS en Ile-de-France ou Province ou Condé, j'irai en L1 et L à La Sorbonne en Arts Plastiques.
BTS en poche, je veux et j'exige une L3 en Design et Environnement toujours à La Sorbonne. Facile d'exiger. Surout qu'on va sûrement m'imposer une année de voyage en L2 Arts Plastiques avant...
Après la L3, M1 et M2 en Design et Environnement seront la suite logique. Et un doctorat au CERAP, pourquoi pas ?
Bon j'ai 21 ans, je recommence mes études comme si je venais d'avoir le bac. Après la manaa (22 ans), je finirai mon second BTS (24) pour une Licence (25) puis un Master (27) et un doctorat (30).
AHAHA. J'aurais jamais ce courage. Quoi que si j'ai un job à côté en Licence et en Master, ça pourra grave le faire... Puis même, j'pourrai ptête même faire valloir mes deux BTS et mon année de Manaa et aller directement en Master. Ca s'est déjà vu. Et pendant le doctorat, on taffe un peu quand même et on est, certes frêlement payé, mais payé quand même. En habitant avec Moman, hein.
Putain, 10 ans de colocation avec ma mère. C'est inenvisageable. Même si elle aime le métal symphonique lyrique. P'tain ma mère qui déteste la guitare, adore Adrana et Nightwish. HAHA. Mouais, j'aurai trouvé avant un appart à partager avec mon OinOin ou une copine. Queuh même. Puis un master, c'est déjà pas mal. Au pire. Puis avec un bac+4, on peut tenter l'agrégation. Ca pourrait être cool aussi. HAHA.Bref. C'était pour dire que j'aurais du me donner les moyens bien avant. J'aurais pas "perdu" trois ans. J'espère pouvoir les mettre à profit. Plus tard. Je planifie tout. C'est fou. Mais bon. Ca me fait plaisir de savoir où je vais.
Je passe mon entretien pour le CCAS à 15h30. Parait que pistonnée par un conseiller municipal voisin HLMique de ma Tata. Et bien. Séctionnée j'espère être. Je serai. Ou pas.
Je saute du coq à l'âne parce que pensées brutesà exprimer. Gros bordel dans la tête. En ce moment, avenir incertain, planifier pour s'enlever le doute. Se dire que même si on n'aime pas étudier et que ça sert à rien sur le marché du travail, ça pourrait être cool d'en avoir le plus possible. Juste pour le style. J'demande pas une grosse paye en plus. J'demande à pouvoir vivre tranquillou en parlant art à longueur de journées, à faire des recherches et parler inglès. (La cloche sonne. L'école d'à côté.)
Non. Ce que je veux avant tout, c'est pouvoir faire quelque chose que j'aime. Et le partager. Etre enseignant -chercheur ets un bon moyen de faire de l'art et d'en partager la passion.
(C'est fou ce que ça braille des gosses dans une cours de récré) Parce que voilà. Plus négatif que je pensais. Ca fait du bien d'écrire. Puis aussi, les exagérations des mots. Pas le même sens. Plus de nuances. Mais bon. Oui j'écris que les défauts. Parce qu'écrire les qualités, ici, ça me soulagera pas.
Voilà. Interprétations de langue. Le langage est un des moyens de communication les plus réducteurs. C'est fou.
Athée, c'est pas haïr la religion. C'est juste être certain de l'inexistence de Dieu.
Agnostique, par contre, c'est être conscient de ne pas savoir. C'est ne pas croire, mais ne pas exclure la possibilité de l'existence de Dieu.
C'est tout. C'est beaucoup. Je ressens ce besoin d'écrire en ce moment. Et plein d'idées de nouvelles. Dans la rubrique album, quelques croutes et gribouillages. Pris en photos les autres rangés dans mes cartons. Ils viendront au fur et à mesure :) Les couleurs sont pas très bien rendues, désolée. :s
Mercredi 28 mai 2008 à 18:52
On avait créé la NCM en troisième. Un parti politique de merde, communiste à outrance. On était con et on rigolait bien. J'étais K. S. Vous croyez pas que je vais vous le dire quand même ? Bref. Qu'est qu'on s'poile entre casseroles. HAHAHA !
Rhem. Passé ma journée sur des blog d'ano, myspace de Werber et sur mon pastel. D'ailleurs. Une des deux croûtes au bureau de ma mother. Séparées elles sont. Bizarre. Bref. On m'a fait une commande de quatre peintures. Et ma mère a fixé le prix à 50 euros l'unité. Ca en vaut même pas 10. Y'a des gens vraiment tarés. Enfin, ça me paye l'heure de coutelage de peinture au smic. C'est fou. J'pensais vraiment pas que ça pourrait plaire. Elles sont pas tip top. J'préfère et de loin, mon pastel avatarté aux spots bleu et rouge. Enfin, ça pourra me payer un bout de Condé. J'ai hâte.
La fille à Estienne a fait une dépression, 10 kilos perdu en moins de deux mois. Trop de boulot en MANAA. La pression, plus de vie sociale, des projets à rendre même si l'inspiration n'est pas là, des cours de croquis parfois chiant. Mais moi j'aime. Bosser à l'arrachée. Parce que l'inspiration vient au fur et à mesure et faut tout recommencer. Et puis que j'aime peinturlurer. Chercher les idées où personne n'irait les chercher : dans la poche droit de mon pantalon, à côté de la joie de vivre. Je sais que l'année prochaine sera difficile. Mais je ferai quelquechose que j'aime.La difficulté ne me fait pas peur. J'ai envie d'avoir l'esprit utilisé. pour ne pas penser aux crises. Pour ne pas penser au manque de O.O. Pour ne pas avoir le temps de manger. Pour pouvoir faire l'artistique. Et PROGRESSER en dessin. J'ai vraiment envie de cartonner en art
Tal ours, j'ai fait le cake à l'huile d'olive/amande/citron du blog de Lisanka. J'air emplacé l'huile d'olive en mi-huilolive, mi-huilenoix. On verra bien. Je sais déjà que je ne vais pas aimer. Mais ça sent bon. Il doit être ready :)
J'adore Cat Stevens et Bob Dylan. Les choristes et la zic classique. Je me fais une cure de vieilles zics. Woodstock et tout le tintouin. Surkiffe. Un de mes mots du moment, avec "cool" et "chouette" et l'inconditionnel "putain". D'ailleurs, je sens que cette quadri-colocation va pas être toute rose. Enfin c'est juste deux mois. Mais je me rends compte que j'aime vraiment la solitude. Qu'on me laisse peinarde dans mon monde. Loin de là. Où je fais n'imp. Mais où je prends mon pied.
Ce matin, j'ai mangé une mousse au chocolat. 10,2 cl. Et puis j'ai mangé un petit bout de reste de poulets/patates. Ma mère cuisine vraiment trop trop bien. Moi j'préfère préparer le sucré. Même si je préfère le salé. J'ai ensuite fini par une autre mousse au chocolat. Je sais pas combien de calories j'ai ingurgité. Je m'en fous. Ce soir, ma mère part taroter et voir le Cricri del amor. Vais pouvoir dire des conneries et manger léger. Déjà que je freine grave le pain. Remarque, toute seule, j'en bouffe jamais. Sinon c'est une drogue. Dur, oui d'arrêter. Et puis freiner la viande. N'autoriser que le fromage de chèvre. Et puis voilà. T'façon, c'est pas moi qui paye la bouffe, j'peux pas me permettre de faire des crises. Et puis j'peux pas vomir. Donc c'est tout bénéf.
Je sais qu'il vient de me mentir. Je fais quoi ? Ca va être le même cirque que l'été dernier ? Rha. Mais rien que d'y penser, j'ai un noeud au bide. Comme une vieille envie d'extirper tous mes boyaux hors de mon corps. J'aime pas ça. Comment je peux avoir confiance dans ces cas-là. Faut que je prenne sur moi-même. Toute ma vie ? J'préfère pas y penser. L'année prochaine sera un calvaire. Je retourne à mon oil pastel, ça va m'détendre.
POUAH CACA BOUDIN. SALOPE !
Lundi 26 mai 2008 à 16:34
Mon nom est Bon, Jean Bon. Version française du sex symbol spy. Sans sex, sans rien. Dénudé et à gerber. Genre gros beauf. On imagine.
Samedi, le centre Pompidou à Beaubourg avec OinOin et C. très chère belle-soeurette.
Deux expo. La première, un peu surréaliste, mélange de styles, d'époque. Ces artistes qui ont des soucis psychologiques. Louise Bourgeois, artiste du XXème siècle, et de quoi faire une psychanalyse ... Un bon complexe oedipien, une haine paternelle à cause de l'adultère avec Nounou, un enfermement mal vécu. Du glauque, du glauque. Phallique et mamelaire. Du glauque, du glauque. L'angoisse personnalisée, du morbide féminisé. A nous mener ainsi dans son univers, on avait vraiment mal pour elle. Et secundo, les Traces du Sacré. Représentation du sacré, dénaturalisation, interprétations, expressions. Tout est relatif. Les démarches artistiques parfois géniales, parfois difficiles à saisir. L'art moderne.
Pol Abrahams, un doué en plan. Jolies architectures qui restent modernes même encore aujourd'hui. Les HLM, les grosses baraques communautaires, lycée et trucs. Les villas pour riches. Mais réalisation. Opinions positives à modérer, trop beau sur le papier pour être vrai.
Recherches par curiosité sur :
Gérard Garoust, Anselm Kiefer, Yan Pei Ming, Dado, Vasarelly, Alain Jacquet, Gérard Fromager, Martial Raisse, Zao Wou Ki, André Derain, Kupka, Kandinsky, Marcel DUchamp, Max Ernst, Francis Picabia, Fernand Léger, Marc Chagall, Valloton, Chaim Soutine, Henry Laurens, Juan Gris, Giacometti, De Stael , Jean Prouve, Degotex, Nitsche, Jay Defeo, Maurizio Catelan, Mary Wigman, Scurti, Otto Dix, Georges Braque, Paul Klee, Molohi Nagy, Josef Albers, Dubuffet, Delaunay, Pollock, Felix Del Arle, Bonnard, Matisse, Morellet, Jesus Rafael Solo, Bruno Perramant, VasLaV Nijinski, Rick griffin, Balthus, Georgio de Chirico.
Ouais, tout ça. J'ai adoré. Soif d'apprendre. Musique classique aussi. Ne plus être inculte. Et s'ouvrir, s'ouvrir. A toute forme d'art. Connaître un peu, beaucoup, à la folie. Sur tout. Surtout. A mi-chemin entre rêve et réalité. Parfois. Tantôt.
Les trips de merde à longueur de temps, quadri-collocation ma foi agréable. Une partie de Wormux avec ma mother. Si, si. En ligne, quatre cons. Et voilà que ça recommence. Je me demande ce qu'il adviendra de nous. Tout le monde participe aux tâches ménagères. Je me permets de rêver. Mangeuse de pain. Manger diététique parce qu'en meute. Perdre tout doucement pour éviter de tout reprendre très vite et yoyo à gogo. Je suis stupide et ridicule. Enfin voilà. On s'comprend.
J'aime savoir ce que je veux. Je suis prise à Subway et en proie à un CHOIX. Je n'aime pas les choix. Je dois voir. CCAS ou Subway ? Là est la question. Mais d'abord le second et dernier (redondance, je sais) entretien pour CCAS.J'ai rien foutu pour les oraux et je suis dans la merde. Pas grave. Si j'ai la chance d'avoir mon BTS, je ne l'aurai pas mérité. La détermination. Et j'me fous du beuteusseuh comme de ma première p'tite culotte. Donc bon. Je l'aurai pour ma Môman et mon Pôpa.
Tour de myspace. Me manque. Il y a des personnes qu'on connait fort peu mais dont l'aura laisse des traces très profondes. Je pense à elle. Soeur Anne. Surnom pas assez ou trop je-ne-sais-quoi. Mais j'aime. Bizarre, ce mystère qui la recouvre et m'enivre. Il y en a peu, des inconnus si proches que même la distance et le silence n'éloignent pas. Relation ambigüe, presque pudique. Et presque pas. Parfois, les mots sont trop réducteurs, aucune phrase n'est utile pour décrire ceci ou cela. Le non-dits qui ne changent rien. Comme s'il n'était pas nécessaire d'utiliser le langage. Retenu. Et parfois je me demande ce que je ferai sans musique. Alors j'écoute Adrana et ça fait vraiment du bien. Repenser aux concerts. Envie de les voir. Le 7 et le 13. A croire que je suis accro. Sûrement d'ailleurs. Et puis même qu'une soirée mondaine. HAHAH. Et sévir peut-être moins ce soir-là.
Ma mère est une déglingos, taré, toc-toc, timbrée... Elle veut que je lui prépare un spice-cake. Complètement folle à ses heures. Expressions à la mord-moi-le-noeud. Et puis la pomme tombe au pied du pommier. Et parfois très loin. J'aime ma vie. J'aime. La situation me fait rire. Complètement folle. Comme si j'étais sa béquille finalement. HAAAAAAAAAAaaaaaaa. Hâte d'être en MANAAAAAAAaaaaaaa et faire pleins de trucs avec les couleurs. Paris aussi. Je me sens chez moi. Totalement chez moi. Avec la télé en plus. Beurk. Mais chez moi. Et pas avec la malbouffe. C'est fou ce sentiment de découverte : j'aime MA vie, je M'aime (un peu). Se supporter, c'est plus qu'agréable. Malgré mes nombreux défauts. Non. La musique et la couleur, les traits, je crois que ça me suffit à être heureuse, si je sais que j'aime ces gens...
Mercredi 14 mai 2008 à 20:56
Pas de pronostique ! Bordel de merde ! Non j'ai un peu foiré l'épreuve de strat. Partie dans tous les sens. Aucune logique.
Bilan diagnostic : Oui. Situation de l'annonceur : Mouais. Problème à résoudre : Out. Positionnement : Ouais. Objectif de communication : Mouais. Cibles : Mouais-Non. Création : Oui sauf contraintes. Moyens : Mouais-Non. Calendrier : Mouais. Budget : Mouais-Non. ERAC : Mouais-Non. Eco générale : Mouais. Eco d'entreprise : Mouais. Droit : Non-Mouais.
Ca c'est fait.C'était pas à faire, ni à refaire. Bref. Je compte sur l'épreuve de com. Et puis sur les oraux. J'vais tout déchirer sur les oraux. Pas le choix. Ca fait mal de se retrtouver devant l'échec. Les tchèques. Les chèques. Les cheks. Bref. C'est pas plaisant. Et je suis retombée. Deux. Didi. Trop de choeur. Trop de coeur. Trop de tout. J'ai ptêt réussi à obtenir un entretien. 3 mois au CCAS. Et je re-calcule. Non pas les calories usées, ingurgitées, régurgitées. Les sous, les sous, les sous. Je VEUX pouvoir payer cette année toute seule comme une grande. Leur montrer que j'ai beau squatter chez ma mère un à trois années, je n'aurais pas besoin d 'eux pour la payer. Ca va être difficile, c'est vrai. Alterner 35 heures à rassurer par téléphone des vieux en manque d'eau fraîche et faire la serveuse over-bookée à minuit et demi, ça va pas être facile à gérer. J'espère juste que les horaires vont coordonner. Que je vais pouvoir choisir quel taf choisir si ça peut pas être les deux en même temps. Comme ça, j'aurai 3 mois de taf. Et un mi-temps pour les vacances et les périodes scolaires. Ca me fera de quoi payer mon matos et de quoi payer des aller-retours pour Tours. Ou ailleurs. La Rochelle. Mes petites soeurs me manquent. Faudra juste assurer pour les 35+12=47 heures de taf hébdomadaires. Ou pas. Pendant trous tout petits mois. Puis au pire, je peux démissionner. Il me manque 2700 euros. 3 mois de travail auraient suffit. Mais non mais non. Il me faut des réserve. Enfin bref. Je veux le plus. Et puis sinon c'est pas grave.
J'ai acheté un ordi à ma Maman pour son anniversaire. Pulsionnel. Comme tête de noeud. Je sais que je ne sais pas. Demain anglais. Il faut rappeller Madame P. Je veux bosser. Etre une grande.
Je me fous des projets machiavélique. Je retombe dans la spirale. Non je ne maigris pas. Mais je sais qu' intérieurement s'embriquent des plans. Le genre d'avant. Pas besoin de manger. Pas besoin, je dois taffer. T'inquiète, y'a une cantine là-bas. J'ai mal au bide. J'me sens pas bien. J'ai déjà mangé. J'ai mangé chez Truc. C'est fou la manipulation. J'y pense des mois en avance. C'est mauvais. Ca pue du cul. Non. Ca craint du boudin. Et j'aime ça. A croire que je le fais exprès. Les objectifs baissent. A croire que je recherche. La souffrance et la distance. La souffrance est la distance. 17 c'est bien.
J'aurai mon BTS. ON L'AURA. Non, je ne serai plus jamais paranoïaque. Je serai. BIEN. Merci bien.
In the mood for love. En boucle. Le grugru. C'est sa faute. POuah.
Dans quelle mesure le droit du travail accompagne la flexibilité de l'entreprise ?
Lundi 12 mai 2008 à 23:13
Oh my God ! Et re ! Non je suis une thon à l'huile. Je suis confiante pour les examens. Et je suis impatiente de passer l'entretien du tube. Il faut que je le décroche. Avoir des tunes. Des tunes ! Tout cet été. Et puis même si c'est pas assez.
Je dois 450 euros à Tony. 450 pour un ordi pour ma Moman. Enfin non. Je lui dois 230 euros. 230. Il va falloir bosser. Doublement. Mais si je fais 35 heures à Noblet et 12 heures à Subway, ça pourra être cool. Certes, je vais vite être morte. Mais c'est juste un mois. Juste un petit mois. C'est rien après tout. Et puis, tout ce que je veux, c'est des tunes. J'espère juste qu'il n'y a pas de contrat minimum trop élevés. Genre faut pas que je foire mon année. Puis si Coin peut bosser à Orange, ça me déculpabilisera. Ca fera le couple d'étudiants moderne : tous les deux au taf comme des prolos avec les cours à gérer. Non l'année prochain j'aurai plsu du tout de vie sociale. Ni de tunes d'ailleurs. Je sais que je fume mes dernières clopes. Partent en fumée. Je mets face, je mets pile.Jeu de mots Ramucho. HAHA. Le nain au balcon détecteur de potes qui leur refilent les clefs, les sourires du bébé'Ion. On n'a rien loupé, elle a dit. On rigole comme des petits fous tous les deux. J'ai laissé le stress s'envoler. Je suis confiante. Pour tout. Je sais que ça ira pour les exam, j'ai pas le choix. Y'a deux ans, je commençais ce blog. Je suis fan de Hans Zimmer. Je veux tout déchirer. Ce n'est pas la veille des examens qu'il faut se dire de réviser pour y parvenir. Mais je sais que réviser à fond ne m'aurait servi à rien. Sauf en éco droit.
Calculatrice, média-poche et cervelle. Trousse. Effaceur. Régle. Montre.
Tout se joue. Genre, tout mon avenir dans ce bout de papier. Non. Non, c'est pas vrai. Oui, je tourne tout de travers. Il a raison, je le sais. Je l'aurai pour lui et pour mes parents. Puis pour ma p'tites soeurs. Pour assurer mon rôle de grande soeur parfaite même pas boulimique.
S. me rend folle parfois. Rha,mais j'ai envie de le secouer. Oui, la vie de bohème. Un jour, nous serons trop vieux pour jouer à ce jeu. S. part. Loin. Trop loin. Sur MSN, trois griboux qui ont pris une route. J'ai envie de fumer. Et nous serons comme qui dirait, éclaté. Il est soumis. Ils seront tous loin. Je serai à Paris. Pas seule. Je pense ne pas avoir le temps de faire la foire. C'est pour ça que j'en profite en ces jours de soleil. Parce que si j'en profite pas avant de partir, ça sera fini. Fini. Et ces cailloux. Et si je bosse à Sub, je ne pourrai venir que pour les vacances. Orgie totale. Et puis non, puisque taf et puisque projets à mettre en place. Donc je n'aurai pas de vie sociale pendant un an. Ca ne me désespère pas. Ca m'intrigue.
J'ai 10 kilos à perdre. 8.Oui, 8 c'est dejà bien. Mon plus grand poids a été de 49 kilos il y a 5 ans. Le plus petit de 38 kilos, il y a 2 ans. Je ne suis pas loin du plus grand. J'arrive pas à dépasser le cap. Mais je vais me prendre en main avec ma Maman. Moarf. Je suis heureuse de passer l'épreuve de stratégie de com demain. Parce que ça veut dire que c'est bientôt fini.
Et parfois j'ai envie de leur en mettre plein la gueule. J'en pense quoi de cette famille autrichienne, de la fille et de l'inceste ? Et toi, t'en penses quoi de taper sur tes gosses ? Tu me demandes ça à moi ? Il ne faut pas insulter ses beaux-parents (mère), même si c'est que dans sa tête. Nan j'avais intérieurement la haine.Elle m'a saoulé tout le repas. C'est pour ça que je réplique comme je peux. Je me détache et parle avec le plus d'objectivité. Le cerveau parle. Et puis fais chier merde. Elle me prend pour une gamine ou quoi ? T'arrives plus à exercer ton pouvoir parental alors tu te prends pour ma mère ? Ouais, j'suis ptêt pas très très responsable. Mais je sais m'assumer. Je sais qu'on doit se lever pour aller à un examen. Je sais qu'il faut mettre son réveil poru aller à un examen. Je sais qu'il faut travailler et ne pas être fatigué pour passer un examen. Et puis merde, c'est ce foutu tapotage de crâne de son tube de crême qui m'a saoulé plus qu'autre chose. Elle est en manque de pouvoir. Voilà. Fallait que je le dise. Parfois, j'ai envie de lui en mettre plein la gueule aussi. S'il y a bien des choses que je ne tolère pas, c'est bien ça. PouaH. Ca fait du bien de l'écrire. Ca m'en ferait bien aimé mon connard de beau-père. C'est dire. Re-POUAH. Je dis vraiment de la merde. Non j'y viens parce que je préfère qu'elle me parle qu'elle lui parle. Moi j'ai juste à gerber les mots. J'ai pas envie qu'il en encaisse. Même si c'est le plus fort du monde. Agrooaaa !
J'avoue que je suis bien dans ma tête. Et j'aime bien manger du canard. Les temps sont chouettes. Et la côte de Grandmont grimpée à vélo sans s'arrêter, encore. Je me suis musclée un peu. J'ai de grosses jambes, mais musclées. Ca me fait plaisir :) Rest eplus que mon imbécilité à épargner. Et des tunes. Bien que très matérialiste comme pensée, j'aime pouvoir me dire que je n'aurai pas de dette. Les rembourser très vite. Et je vais aller dormir. A partir de demain, tout change. TOUT CHANGE.
Ok mad'moiselle.
Putain, ça ressource de revoir les cailloux. Ca ressource. Comme une symphonie. Je vais me mettre à Linux. J'ai envie. Décalage. Et je suis amoureuse du plus beau bébé'ion de la faune urbaine. Ouistitruffe en plein love. So grou, so gruik, so grouik. Et plein de "ne". Mais pas dans le bide.
Merci la vie. Merci. Je respire malgré la peur et les questions. Je saurai. Je jouirai de chaque moment. Malgré les difficultés. Juste une année. On se verra sur de sur de sur de sur pendant les vacances. Tours [Les cailloux. Les caféterriens. Soeur Anne. Les zouzous. Emeric. Les jumelles. Les Fattydicks. Carole. Luce.] Paris [EliseElise. Matthieu. Chloé. Maitre Zen. Gabi. Pipionnilles. Et la famille]
Je ne louperai pas la fête de l'Huma cette année. Le festoche de la BD semble fortement compromis en cas de job studientes, mais c'est pas grave. Parce que j'aime la musique du Roi Lion.