sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Mercredi 7 juin 2006 à 20:59


Aujourd'hui est jour de collection de déveine et couilles en tout genre. Poisseuse désespérée. Chocolat out. Pommes-chocolat. Glaces à la fraise. Haricots verts. Pain. Finalement, finissement fini. Un peu d'hari-choc. Plus rien, vide. Savent pas lire. S'éclater les kentos. Ne plus rien supporter. Sauf les week-end. Explosion des paquets de yahourts. Hier, capellini en perte, tombée du poids lourd. Devoir tout nettoyer. Plus de valeurs. Plus de valeurs, plus de patience. Vouloir que ça s'arrête. Se plaindre. Je ne fais que ça. Zone rouge. Se répéter spectaculairement. Défoulement. Fatiguée, exténuée.
Avoir envie de baiser. Avec violence. Chienne en chaleur. Clarifier les motivations. Les exposer grandement. Etre une autre. Penser au but. Visage déformé. Visible. Creuser une tombe. Toujours le sourire. Rentrer et se poser. En manque de cul. En manque tout court. Fumer. Fumer. Voir la basse. Cernes flagrantes. Le médiator de fou furieux. Médiator violet. Bella, bella bassa. 
Envie de cerises. Cracher les noyaux comme du venin empoisonné. Ebay toujours suivi. Constations. Stoïque face aux remarques. Forceps intellectuels. Reprendre les cours, en manque aussi. Est-ce que tu l'as, toi aussi, cette cicatrice des dents de la main ?

Puis il n'y eut plus rien. Le temps s'était arrêté. Elle se retint de lui foutre un poing dans la gueule. Retenir sa haine, sa rancoeur. Tutoyer la grosse vache parce qu'elle avait commencé  à la tutoyer. Faire comme. La prendre pour une conne, ironiquement. Ravaler sa salive, ses larmes et ses envies meurtrières. Matinée qui commença fort bien mal. L'après-midi fut de même ampleur. Moins de pêche. Il n'y avait plus rien.

 

Vendredi 2 juin 2006 à 21:21


Prime de progrès. Surprise. Caisse claire. Blindage du CJ.
Indifférence. Me faire sentir osseuse sous les caresses. Désinvolture. Accomodation des yeux  dans la noirceur de la nuit. Juste illuminés par ce voyeur de réveil. Quartz qui observe les faits et gestes. Dégoulinante. Essuyer l'entre-cuisse. Fontaine de lait gélatineux. S'endormir avec sérénité. Rassurée au creux de ta chaleur contagieuse.
Joie passagère de la découverte monnayeuse. Compter le temps toute la journée. Libération à 19h. Pain, pain. Chocolat. 41. Rester zen devant l'échec. Pêter les plombs quand même. Ne rien afficher. Laisser comme si c'était naturel. Le bord des limites. Se sentir enfermée en soi. Vouloir exploser sur les murs. Le piano ne survivrait pas.
Merde général !

 Retrouver Elo comme avant. Désir de lui parler. Passer du temps. Se vider le coeur. Tout avouer honteusement.
Briller ardemment sous le soleil mentholé. Menthe au lait. Menthe à l'eau. Siroter son corps. Cigarette mentholée qui te prend aux trippes. Se défoncer la gueule aux psychotropes. Se défoncer la gueule carrément. Même pas métaphorique. Fumer, fumer jusqu'à le que le cerveau soit trop enfumé pour comprendre sa douleur. Fumer jusqu'à l'évanescence de nos pensées. Fumer. J'aime. J'aime. Défonce. Défonce. Psychédélisme.


(Plus du tout incitée le soir. Rentré dans les moeurs. Normal.)

Jeudi 1er juin 2006 à 21:35


Te mérite autant que toi. Réciprocité. Gamine en crise, faille ponctuelle pas dramatique. L'évolution qui t'aliène. Souffler de la soupape. Chacun est fier des performaces. Combattivité, augmentée. Force, augmentée. Tous le monde le sait. Elle devient toi.
Remonter vers le haut. Revenir à zéro. Repartir du bon pied. Juin favorable. 2 lettres. 2 semaines pour le top. Plus douée que moi. Jalousie maladive amicale. Fière de toi. La rage contre ce putain de solide est bien ancrée, là. Tu dévergondises le problème.Extermination de la porte. Flaque. Le morceau dans le cul, oui. Devenir ce que tu es déjà. Parfait Anis.
Coup de soleil capillaire. Un mois. Exhiber la différence sous les yeux révoltés. Provoquer une dernière fois. Distinction. Rage de l'enfer. Convertion de l'énergie potentielle. Trop de watts en soi. Gérer. Ou essayer. Asticot jovial. En manque de défoulement. Ou d'autre chose. Basse. Fréquence. Concentration...
Kôhl, mascara. Noir. Masque à rats. Cernée. Yeux piégée par la non-couleur. Essai de féminité. Ré-essai. Pour continuer à lui plaire. Du renouveau pour tenter l'acceptation par moi.  Jouer à la femme. S'étaler les gels contre l'adipeuse substance. Voir les plis de la peau. Le gloussement des pores. Frotter les cellules chargée jusqu'au sang. Orange. Pas carotte. Peau d'orange. Visqueuse. Flasque. Coulante. Moisi. Simplement en cours de délabrement des tissus. Destruction musculaire. Masser, palper. A feu, à sang. Le mettre aux poudres. A la chair abimée. Fortuite. Gratin de conneries associées. Se monter des films. Squelette trop rassasié. Grasse. Une énormité d'huile sur le feu. Je boue. L'explication incertaine. Compréhension face à la même. Incompréhension compatissante. Limite de la compassion atteinte. Passé difficile. Neutre. Ne plus y penser. L'intégrer voire le rejetter de sa pauvre vie ratée du début. E faire comme si en pensant à sa renaissance. Neutralité rageante. Flagrante animosité cérébrale. Fragilité dégradée. Arc-en-ciel noir et rouge. Extrème nuance. Dégouliner de sueur. Tout ramener à ça. Films à la con. Niquer du condé.

Profiter du fric. BASSE POWER. Impatience non-maîtrisée. Asticot explosif plutôt. Envier. Envier. Envier. Te montrer à toi et à tes sales manies que je Peux. Vouloir le Pouvoir. Ces solos en 8 mois, tiens... Même avant. Possibilité dépucelée. Preuve, les faire. Ooozooboolzoo ! Craquage. Trop insouciant. Pas compte. Inerte. Passif. Pire encore. Amélioration. Richissime. Blindée. Certir le pacte de diamants. Lui couper les tifs. Pacte de sang infaisable. Comprends pas. Solitude de l'esprit face à la rationnalité incarnée. Dans une bulle. Juste liés par le sentiments. Divergence des avis. Radicalisme omniprésent. Construction d'un mur. Insatisfait. Déçu peut-être. Inconnu. Soldat inconnu. Normalité intégrée. Fataliste exacerbé. Inquiètudes gardées autarciquement. Nerfs à vif de mon côté. Putain ! Tu penses à quoi ? Il se passe quoi dans ta putain de caboche ? Etranger, étrangère. Préoccupations. Stoïques face au destin ? Jamais, ce n'est pas une raison. Pas de destinée, libre arbitre. Création de notre propre chemin. Se bâtir soi-même est un droit. Sans se dégueuler l'âme. Se dégueuler tout court. Audacieuse démarche. Fantasmagoriques aspirations. Alternatives choisie et assumées depuis peu. Accélération de l'ostentation. Etre ou ne pas être. Ne pas se biler. Fatidique missive. Putain d'attente. File. Dans la file. A quoi bon ? Pas de "tant pis". Frustration normalement égoïste. Osmose presque totale. Le presque génant. La force est la patience. Résignation conseillée. Invisible. Imagination. Distance branlable. Raviver constamment la flamme. Bagues aux doigts. Toujours. Avoir l'assurance. Fuck'ng The Machine. Ne pas sauter, mouton. Facheuse manie. Quittance. Trop d'un coup. Impression bizarre. Garder tout pour soi. Secret. Plus de contacts épidermiques. Frissons buboniques. Tu crois qu'en labourant toute cette merde dans ma tête, ça va arranger la mienne ? Donner la rage et l'avoir, certes. La rage en surface. Neutralité impartiale sous la croûte. Mais le derme blessé. Plus envie d'associer. Pas de notion. Laisse-moi du temps que je me reprenne. Remuer le couteau dans la plaie a des conséquences. Pas terrible. Stade dépassé. Haut-délà de la douleur. En-deça de la fin. Même plus psychologique. Le passé ne m'appartient plus... Pardonne-moi ce blocage ponctuel. Y remédier très rapidement. Passer au dessus. Au dessus de tout. Nous-en faire. Rouge en vue, abstinence. On y est bientôt, mon beau. Tenir à. Vivre avec. Voir par. Admirer. Abuser de. Baiser avec.
Arborer ses plus belles couleurs sans variations de température. Deux chocolats chauds, c'est meilleur qu'un seul.

Je me sens vraiment seule ce soir. Je voudrais que tu me prennes dans tes bras.
Merci.


(Félicitation, il avait raison d'y croire)

Mardi 30 mai 2006 à 11:54


Me faire du bien toute seule sur toi ? Tu as fumé... Oui. Ce n'est pas une barrière psychologique, elle, je l'ai éventrée bien avant. Non, je ne pense qu'à moi, tu te trompes là-dessus. Egoïste, sauf sexuellement, certes. Tout n'est pas perdu. Baiser tout seul à deux... Mais eh ! Hallucinant. C'est comme ça qu'on casse une barrière ? Vraiment ? Ca ne marche pas. Ne pas désirer de plaisir. Rester sobre. Le plaisir d'en donner. 
Pour moi ? Non, pas de profit pour me faire du bien, juste avec ton corps, t'utiliser comme un simple objet ! Non ! Je n'envisage pas le non-partage, l'orgasme désunifié.Autant légaliser le viol. Devenir des bêtes à deux. Pour nous deux. Composer l'union. Ne pas rester égoïstement chacun de notre côté, à penser à son propre plaisir. Ou je n'ai pas tout compris. Je ne dois pas tout comprendre, oui. 
"Fais toi du bien"  [...] Interrogations. Est-ce que je Veux Me faire du bien moi-même ? Impossible, désolée. Mais essayons. Un jour.
Fumer le reste de pet pour mieux y réfléchir après. Cogitation. Nuit plus facile. Toux grasse.

Puis encore l'abus malgré les encouragements. Je ne tiens pas mes engagements. Mais j'ai eu paye. Très bonne. Mieux que je ne le pensais. Près du double.  Donner la feuille aux impôts avant que le centre ne ferme. Commander la basse, même si la couleur ne te plait pas Chéri. Moche, mais j'espère qu'elle te plaira en vrai... On verra ça, et vraiment au pire, je m'en contenterai. Si le son est à la hauteur, hein ? Puis aller voir l'agence pour organiser des visites. Ne pas se faire sucrer la caution. Puis aller voir les chefs, sortir la carte de la franchise avec celles des performances. Rester douce, mais convaincante. Non, souriante, ça va leur suffire. A me prendre pour une conne.
Piscine... Obligé. A me muscler un peu.

Il joue de la gratte. Ca donne envie...  
J'y crois. But fixé à 37 toujours. Encore quatre. Wesh ma Cocotte, tu Peux le faire. Aller se soulager le mental. Oups. Again. Again and Again. 

Tu me pardonnes ? 

Mardi 30 mai 2006 à 0:24


Pas de paye. Pas de réponse. Pas fixée. Bordel intérieur. Au lycée, clarifier les choses.
Je me sens poreuse.

Abus total.
N'importe quoi. Comme si c'était nécessaire. Horrible. Affreuse.
Retour à la normale. Attendre. Se balancer. S'en balancer.
Je suis un Warrior vertgeturé. Mais un warrior quand même ! Même morveuse. Niak !

Il est malheureux avec moi. Il n'y a pas d'autre solution. Je l'insupporte. Il en a marre de ma passivité. Il me sent indifférente. Si un petit trip psychédélique arrangerait la sauce... Je n'y crois pas. Pourquoi es-tu aussi secret ? Huître. Dans une coquillle. Non, je n'ai jamais aimé manger le soir. Ni le matin. Manger tout court. Gourmandise certaine. Juste pour te faire plaisir, je le reconnais, et tout revendre gratos à un chiotte qui demande pas grand-chose. Mais c'est une question de choix. Je ne supporte pas. Non, je hais toute cette horreur qui détruit. Aussi, penser qu'être forte n'est pas compatible... Décevant. J'ai du recul, voyez-vous. J'agis comme je le souhaite et pour l'instant, le danger est loin. Mais le jeûne est plus bénéfique que le rejet. Je me permets donc un caprice. Pour un but fixé. Pas haut. Comment croire que nous ne sommes pas fortes ? En un peu plus de six mois, je suis devenu plus battante que je ne l'ai jamais été. Combattre les obstacles. Avec haine et rage. Je suis une certitude relative.
Tout est relatif. Moi aussi j'aime...

Mais j'en ai encore pour cinq, cinq au total. Cinq petits bouts de cuissard. Cinq. Prête pour le 17, enfin, j'espère...

Lundi 29 mai 2006 à 11:03


Craque. Mimi, elle. Belle. Frimousse. Souris libérée. Sourires libérés. Epi. Blonde. Bleuet. A la messe ? Mouais. Trop jeune. Se balader. Mal à la gorge. Anniversaire Maman, fête des mères. Pas oublié.
Milkchocolate. Sobre. Comme un corbeau. Colorée. Normale que je hais. Sauf Doc. Rentrer dans le moule, masquée.  [Différence de 0,5 avec la maison.] Douleur exquise. Le vide m'excite autant qu'il m'effraie. Pleine d'eau. Océan. Vieux dossiers ressortis. 5 ans et demi d'âge. Yeux bridés. Mimi, solitaire, exigeante, capricieuse. Aimais pas. Cachais.
Je ne parle que de moi. Egoïste, egocentrique, nombriliste. Moi, moi, moi. Ego, ego ego.

Jusqu'au 17. Carnage. J'aime les poires.
Crapottons, crapottons, temps qu'on n'écrase pas de crapaud.

Mardi 23 mai 2006 à 9:11


Il n'y a rien de plus ingrat qu'une bite en érection.

Quarante-deux bien mérité. Un peu de pain et midi inévitable, je le sens. 150. Peur du créateur, pas de la créature. Peur de rien. Dans une semaine, 20 euros à claquer dans les bouquins, dans les CD. Le nouveau recueil d'Amélie Nothomb. Et Thornytorinx, de Camille de Peretti. La réalité de l'enfer. La spirale, l'engrenage de cette volonté impossible et mortelle. Je suis complice et traître. Je ne peux pas tout lui dire. Il croit des choses. Et moi, je laisse le danger s'installer. Je joue avec le feu. Pauvre Barbie. I will be that I want to become. To win. Against. Against food. Fast, to fast, not Fat.
Fat... Je te déteste Mec. Tu n'es plus rien pour moi. Tu m'as bien baisée et trop mal aussi. Tu m'as eue. Tuée.  "C'est comme ça que tu m'aimes" Prendre ses rêves pour la réalité. Tu ne représentes que haine, désolation et pitié... Ex à jamais. No regrets. Et j'aime te détester. Te sentir vouloir que je te dise de jolies choses. Plus gamin que jamais. Pire que pire.

Beaucoup de choses à faire et surtout évincer l'heure fatale. Je crois pas aux horoscopes. Pourquoi "la mort est un sujet sensible" ?

Gloupigoulba. J'aime vraiment le menthol. Ce qui ne tue pas me rend plus forte. Tenir la clope dans la main gauche. Puissance imaginaire. Inspire, expire. Fumée. Fumée.
Gloupigoulba. Supercalifragilisticexpalidocius.

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Journée de merde. Presque. Batteur très intéressé par ma Yamaha. Espérance. Bois, Doigts. Touche, croise.
Rôti-pâtes-knackies-fraisoo-chèvre-compote-yahourt. Chécazouv. La teport, elle est méfer. Psychologue en psychologies féminine et masculine, parentale, enfantiale. Explications réactionnale, comportementale, psychomentale et autre. Consultation gratuite. Réhausseuse de moral. Oui, je suis là, Maman. Oui, je suis plus objectif que toi et j'ai plus de recul. Fo-folle aussi. Si tu le dis. Esprit cartésien. Je suis Moi, c'est déjà trop. Trop peu.

Mitaine, amalgame gothique. Mieux vaut entendre ça que d'être sourd. Achat quand même. Après la déclaration d'impôt, la déclaration de ressource de la caf, les ordonnances confiées à la sécu-mutuelle. Dans 10 jours, 100 euros de remboursés... Déclaration du médecin traitant à rééditer. Antidate. Merci mâdâme ! Sourire bananial. Mises à jour. Paperasse administrative. All is finished.

Moi contente. Moi confiante. Sans prétention aucune. Sans exagération. Je ne m'aime pas. Acceptation plus réelle. Pas totale mais en cours. Effort. Ne plus dire Moi Je. Ne plus parler de soi. "On se fiche de ta vie, Delphine ! " [Connasse !] Inintérêt vital. Comme la carte. Mais rester ferme sur ses positions, assumer. Croire. Juste croire.
Chécazouv !
Poudre aux yeux. Je sais que je ne sais pas.

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50 longueurs. Pas les courses. Encore se vider. Se vider, encore se vider. 42. Jeûner pour se rattraper. Jeûner toute la semaine. Quite à t'avoir sur le dos. Quite à ce que tu gueules. Mais moi je préfère ça aux litres de merde que je te dégueule. Cesse de me narguer ainsi. La nage ne donne pas faim. Tu vas voir où va finir ta tarte aux poireaux, tes fibres et ton eau... L'eau ça fait maigrir... Je préfère boire l'eau que de la bouffer. Rêve pas. Demain, jeudi, vendredi et samedi, jeûne. Se rattraper. Je suis mal, tu aimes me voi comme ça ? Tu aimes vouloir me voir disparaître ? Je vais acheter une crème. Quelques centimètres en moins ne ferait pas de mal. Au contraire : 51 de tour de cuisse. C'est honteux. Veux me cacher. Je dégage. Ca m'énerve rien que de l'écrire. Faire fît.
J'en peux plus de vivre dans un corps qui ne m'appartient pas.

Faire comme ci. Marre de faire semblant. De rester ainsi. Te satisfaire. Même quand je n'en ai pas envie. Encore heureux que je sais ce qui te finit. Ca va beaucoup plus vite. Ca me saoûle de toujours se rabaisser à ça si rien n'est là à côté. J'ai toujours tort, je ne dis que des conneries, pose seulement des questions inutiles, me rabaisse sans raison. Tu ne comprends donc rien ? Tu ne veux pas ne plus te prendre la tête. Comprends moi. Je ne demande que ça. Du calme, de la complicité et pas seulement quand ça va plus, quand je te montre mes limites. Je veux que tu cesses de m'envoyer paître. Même si je suis une grosse vache. Et après, calins-calinous... Gribou Mimi... Sous les draps, caresses intelligemment offertes. Je veux de ta bouche. Toujours ma bouche. Ca te plait ? Bah oui, tu ne résiste pas à ça... Tu en re-veux ? Ah... Précieuse jouissance...
Toi aussi, tu aimes te vider ? Tu me comprends à présent ?
Grosse patate que je suis...

Dimanche 21 mai 2006 à 1:13


Quelqu'un, quelquepart. Idolâtre l'altruiste. Ce gaga de la petite Marie. Je parle de toi, car avec ta petite voix. Ma soeur, magnifique concentré de sourire et de beauté. Bleux, Blue eyes. Blond girl. Superbe. Les yeux de géniteur. Samedi 27 mai. Tous contents. Tout le monde l'est. Beautiful sister. Fraternité improvisée.
Je veux avoir des cheveux longs. -Visage Dégagé- Attachés. Je veux, je veux.
Moins de déprimatisation chronique aigüe. Beaucoup de parmonie en tout cas. Je veux être grandiloquente. Qu'on boive mes paroles, qu'on me croit. Qu'on e me prenne pas pour une folle. Qu'on soit d'accord. 600 calories de pain : 240 gr. Dynamique. Trois chocolats chauds pas fumants. 850 calories. Possibilités de roller. Changer de chaussures. Dynamique. Energie à revendre...


[...]
- Elle a vraiment changer, mais j'y serai pas arriver sans toi
- Mouais, je sais pas
- A la base, j'avais attaquer le problème à la base en lui disant que je me foutai de la voir avec 5 kilo en plus, bon ben ct pas par là qu'il fallai entrer ds le probleme, et ça je l'aurai pas piger sans toi
- Je sais pas
[...]


Ca veut dire quoi tout ça ? Peut-être que le fait d'être aussi, de ressembler parfois, ça aide. Même pas l'impression d'avoir été utile, je ne sais pas ce que j'ai fait. Je sais pas. Mais j'ai aidé à comprendre. C'est déjà ça. Mais il sait. En partie, mais il sait. M en rajoute, M veut en parler. "Tu vois, elle ne s'aimait vraiment pas mais elle a fait des efforts. Tu n'as pas avancé, faudra que j'en parle à S." Mais maintenant qu'il sait ... Pas envie que M sache. Je ne veux pas guérir. Je veux maigrir. Encore et encore. Mince, mince jusqu'à la maigreur.
J'aurai un micro. Pour crier aussi. Pour m'exprimer entre deux temps de basse sur deux temps de basse. Je suis déjà dedans. Fou. Commande de la bête le 30. Pour commencer. Pour qu'ils voient. Je veux  être le 17 juin. La voir se rouler à terre et prendre son panard. L'envier. Et je prendrai le mien avec elle un jour. On fera leurs premières parties. Nanas complétement déjantées.
38,5 maximum.

Je me sens bien dans ma tête. Bien. Bizarre sensation. Je veux l'aider. Difficile d'aider quand on se sort difficilement de son passé. Difficile de conseiller quand on n'est pas guérie de ce mal. Car on ne guérit jamais. Amour forcé. Haineuse. Sale et impure à jamais. Souillure fatale. Beurk. Vouloir disparaître. Passé révolu. Tirer ce trait sur ces pages d'encres venimeuses. Du sang. Pacte de sang. Tu seras morte à jamais. Tout est fini. Je suis autre. Plus vraie, plus forte, plus humaine. Plus souriante. Plus fausse surtout et par-dessous tout. Incapable devant tant de mal-être. Pire que moi. Pire que tout. Pire.
Calfeutrée dans mon subconscient. Pas allitée dans mon problème, le retourner dans tous les sens. Consciente mais inconsciente : biuomelie fatale. Potente mais impuissante. Je me hais de ce fléau. Il faut lutter.

A la recherche de la perfection
 

Vendredi 19 mai 2006 à 19:29


Schizophrène avérée. Esprit rationnel, cervelle cartésienne. Scientifiquement logique. Réflexion poussée. Effort sur soi-même. Etre soi-même. Se connaître un tantinet. Réfléchir un peu. Beaucoup. Se faire confiance. Un peu. Réconcialiations immédiates. "Si tu es grosse, les trois quarts des femmes sont obèses" Exagération de la réalite. Je ne suis pas une femme. Je n'en serai jamais une.
Je ne veux plus de cette culotte de cheval. Nain de jardin. Sale Nain de Jardin ! Petit scarabée puant écrabouillable. Gné ! Petite mais costaude. Trop. Trop petite, trop costaude. Complexes linéaires. Complexes et paradoxes. Personnalité contradictoire. Apparences trompreuses. Zéro, zéro complexes croyez-vous ? Assumage total ? Montre et démontré ? Esprit cartésien ! Falsification. Trompe, tu te trompes. Pas totalement. Nuance. Transparence. Comme un livre ouvert, tu déchiffres des hiéroglyphes qui me composent. Dur, dur, le déchiffrage ... Tu ne sais pas tout. Secret des tas, secret du tas. Si tu m'as découverte ici, ne change pas ta vision de moi. Voyeur !!! Indiscrêtion mal placée. Sauve moi de ma persévérance. Tu m'avais dit que tu m'apprendrais à m'aimer. On essaye encore ?

J'aime le chocolat fumant. Chaleureux lactose à la terrasse d'un café.

Oui, je suis une putain de fan. J'aime l'excellence. Je m'identifie. J'aimerai être. Derrière un mur de béton armé se cache un esprit fuyant. Vivant la vie. Profitant malgré le mal-être. Un coeur blessé et fort. Des complexes aussi, plus qu'on peut le croire. Une révocation des certitudes. S'affirmer et assumer. Assumer, difficulté suplémentaire. Etre différent. Punk attitude. Rejet. Enfin, pas tout à fait. Inséré.
Ne pas perturber les cerveaux qui s'agitent à Auchan. Ils prennent leurs rêves pour la réalité. Hilarité générale. Rester calme, ne pas éclater de rire. A chaque instant. Moqueuse ironie. HAHAHAHA !! Quels cons ! Toujours trop compliqué pour eux. Se compliquent la chose. Gestes automatiques de mon côté, réactions systématiques. Sang froid à toute épreuve. Ma patience n'a pas de limite. Disponible et efficace. CDI envisageable. Résiliable. CDD souhaitable. Agrooouu ! Le festival de la bonne humeur ici. Quel stress, connasse, souris ! Bonne humeur, de rigueur ! Prise de temps. SBAM+ parfait.  Résultats au dessus de la moyenne. Yeah !

Smiling faces I can see, but not for me. I sit and watch, as tear goes by...

"Le prix indiqué tient compte de la réduction". Piège à cons. Arnaque facile. Deux paquets de fraisoo. Cacheuse de fraisoo. Un voleur, des valises. Trop dynamique. Je ne suis pas une loque. Une tonne de réduc'. Bonne anticipation. Constipation des vieux. Stress toujours. Veux pas devenir une vieille pomme ridée. Fripée, Plissée, impotente. Tremblante. Ca fait peur, non ? Je ne serai pas comme ca. Je mourrai avant si ce n'est par ma propre volonté.

Signature du CDI cheveux rougis. Trop trop, toujours quand c'est moi.
Pourquoi vous me regardez comme ça ? Versatile. J'aurai dû avoir 20 ans pendant les années 70'...

Vendredi 19 mai 2006 à 7:51



Mouhah
ahahahahahaha !


Jeudi 18 mai 2006 à 11:25


Gros et Loute à Joué pour chercher l'autre cousin. Faire les courses juste après. Je ne veux pas de spaghettis bolognaises. Ce matin, 42,5. Ce n'est pas pire disons. Ce soir peut-être un 42 tout rond... Si j'avais pas abusé hier soir aussi... Enfin...

Je croise les doigts pour "la ptite". Première scène, le stress envahissant. Public de merde en perspective. Perspective forcée. Néophytes sur scène, on y prendrait goût. Que cela ne la dégoûte pas. Un concert dans un lycée, c'est toujours la merde. Surtout quand on joue un style de musique en particulier. Ce style. Une pettite foule de mâles en rute, ce n'est pas ce qu'on peut demander de plus stimulant. Surtout quand c'est deux putains de belles miss onstage. Putain, qu'elles ne soient pas déçues... C'est tout ce qu'il faut. Ce bahut de merde abrite tout sauf un public digne de ce nom. Et j'espère me tromper...
Confiance en elles, pas en eux ! Bande de macho !

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Comme envie de tous les tuer. Comme ça. En faisant gicler le sang. Sur les murs. Partout. Tout tagger. Espèce. Espèce... Naturelle ? Mauvaise, très mauvaise réponse. Bandes de connards. 
Nada, rien. Va te faire foutre connard. C'est impossible de me négliger autant que toi. Je dégage, ok. Je fais chier ? Ok. Je me la ferme, ok...  Puisque l'expression verbale est impossible. Que je ne sais pas mettre des mots sur des idées. Que je n'ai pas à poser de questions. Musique. D'accord, j'y connais pas grand-chose. Impossible d'y remédier apparemment. Interrogations impossibles. Forbidden. Silence ! Que de non-dits. Vous l'aurez voulu. Plus de moi, égoïste ! Peut-être que le mal-être ne vient pas que de moi. Pas de compte à rendre. Je ne suis pas la seule égoïste.

Sais plus quoi faire.
Impatiente de basser. Démangeaisons des doigts.
Masticage impossible. Plus de solide, que de l'eau.
Plus de sons, que des gestes, mimiques. Autisme...
Ca fait du bien. Respiration neutre. Associations débiles. Débilités absurdes. A côté de tout. Flop !
J'aime jouer du piano. J'aime déjà baiser la basse. Orgasmique plasma. Flux de tonalités. Sperme et flot de notes. J'aime déjà. Un air espiègle et malheureux.

Abus de pain : pizza trois fromages, baguette-fromage...

Mardi 16 mai 2006 à 22:37


Encore le nut. N'importe quoi ! La mauvaise humeur m'use. Ca m'amuse plus du tout. Les petites réflexions de merde ! Comme si j'étais vraiment, vraiment, vraiment à coté de la plaque. D'ailleurs la porte claque. J'ai envie de me barrer. Ca suffit. Là ca me fait chier. La patience s'amenuise. La vie ne peut-elle pas être simple, la vivre sans se compliquer ? Ne pas se prendre la tête. Trouver du positif. Partout, il faut. Mais j'en ai marre quand même. Toujours être de bon poil et relativiser... Ouais, moi chuis con. Faut juste tenir.


L'amour, c'est de la connerie.

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Voilà ! Encore boire un litre d'eau pour le faire s'éjecter hors de ses entrailles. Encore un abus. Excès. Se remplir pour mieux se vider. Un 43. Et jeudi quarante-deux. Putain quarante-deux ! C'était pourtant bien parti aujourd'hui. Même si ca ne se conclut pas trop mal. Puis la fumée THCienne qui noir tes poumons. Pour un endormissement plus rapide. Recherche. Attente. Calins. Pas de rancune, ni de reproche. Attente. Fric. Fric. Fric. Griffes. Fric. Morsure. Rêves... Obsession de la Roberbial modernisée. Masse. Chiottes.
Vivement qu'on l'ai cette tune. Partir sur un nouveau départ. Qu'on vende batterie et que M trouve un taf. Au moins pour l'été. Et s'échafauder des plans sur la comête.

Concombres à la crême faîche. Radis et 150g de pain. Quatre tranches de pain de mie grillées au nutella. Une knackie. Trois tranches de jambon de pays. Un yahourt au sucre (sucre au yahourt). Trois canettes d'Ice Tea. Une quinzaine de boudoirs.
Direction fatale. Egouts nettoyés de la pureté. Lavage de cuvette. Emigration d'aliments forcée. Dictature des métacarpes.

Mardi 16 mai 2006 à 12:02


Putain ! La balance aussi est une ennemie. Une traitre. Quatre de perdus, un de retrouvé. Pauvre conne. Grosse vache. Le pot de nutella est bientot fini. Deux pots en six mois. Je n'en rachèterai plus. Clope du matin, ça c'est rarissime. Un jour, je serai un squelette. J'aime les squeletttes. D'ailleurs jeudi, je serai un joli quarante-deux. En nuançant  le "joli". C'est impossible ça. Aussi pourquoi je suis si petite... Même si ça a quelques avantages. Je veux avoir 10 de différence avec l'ampli mais qu'on m'entende bien. Pour qu'on en rigole un peu. Ca veut dire qu'il en reste cinq. Dans deux voire trois semaines, ça sera opérationnel. Et le bruit courra sur les murs.
Le Noute ira chercher la tête ce week-end. Un avant-gout. Et je commande la basse pour mi-juin. Que je commence. Ca me démange les doigts. C'est une obsession. Ouais, tu verras ! Tu verras que je t'impressionnerai. Même s'il t'e faut beaucoup. Même s'il faut que je devienne technique. Je te soulerai encore et encore. Tu vibreras pendant tout l'été. Tu seras obligé ! Moi je m'en lave les mains. Et si ce n'est pas toi que j'étonnerais, ce sera ce satané batteur. Je rigole déjà.


Seulement, en suis-je capable ?


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Jeûner. Mettre des concombres à dé-saler parce que sinon, pour l'Autre, c'est indigeste. Jeûner quand même.  Repasser une chemise propre pour montrer qu'on est comme tout le monde et qu'on ne va pas travailler vêtue comme une chiffonière. Avoir la pêche pour ouvrir des cartes de fidélité, pour avoir une carte culture et acheter un CD de gospel pour mon philosophe de père. Prendre du guarana pour tenir le choc. Partir en avance pour ne pas rater son bus.

Déclarer ses impôts, aller chercher sa première déclaration.
Aller à la sécu et à la mutuelle pour se faire rembourser.



° Ne pas oublier de rêver.
° Encore rêver.
° Toujours rêver.

Faire rêver...


[Bassesse et Préciosité]

Mardi 16 mai 2006 à 11:26


La question de la confiance en soi n'est pas là quand on est une anorexique-boulimique qui passe son temps à se mettre deux doigts dans le fond de la gorge pour offrire son repas à son chiotte. Une guerre perpétuelle entre soi-même et son estomac. Un truc profond, j'vous dit. Plus profond que ces foutus doigts mal peints au vernis pouf pouf que je mets pour provoquer. C'est tellement moche sur moi. Et au fond, ça me correspond plutot bien.
Et pourtant je suis déjà dans le groupe. Parce qu'ils ignorent tous. Sauf Elle. Et peut-être Lui, si Elle Lui a dit. Même M n'est pas au courant. Mais je suis déjà parmi eux.
Comme une soeur.
Comme une amie.
Comme sa petite-amie.
Comme une ptite conne que je suis.
Mais pourtant déjà adoptée. Pour une nouvelle vie. Un réveil. Comme si 19 ans de caractère devait se rétracter.


Finalement je me rends compte qu ce n'est que de la jalousie. Et même pas mal placée. C'est un ange. Une déesse. Une fille bien pure. Une fille qu'on voit. Qu'on remarque. Qui évolue, qui en a dans la tête. Des efforts non vain. J'aimerai vraiment qu'on s'entende. Qu'ils restent ensemble longtemps. Que la distance les excite. Qu'elle les unit. Je voudrais qu'elle résiste. Qu'elle soit forte.
Je ne pense pas être à la hauteur. Je ferai tout pour l'être. Pour exister. pour qu'on me remarque. Pour qu'on m'entende. Qu'on m'admire.
Comment admirer un estomac sur pattes ? Court sur patte en plus. A quoi je ressemble, je vous le demande bien...
Non je ne demande à personne, je ne veux pas savoir. Ceux qui ne sont pas content, qu'ils aillent se faire foutre. Se mettre des doigts pleins de dégueulis dans le cul. Je m'en tape autant que ça m'afflige. Alors qu'on arrête. Qu'on me laisse en paix, ou en guerre contre moi-même. Même petite, je serai toujours suffisamment grande pour assumer.


Il n'y a que quelques avis qui influeront sur moi. Ils le savent. Parce que eux, eux, sont intelligents, eux réfléchissent. Parce qu'ils ne sont pas cons et irréfléchis. parce qu'ils ont une once de cervelle. Parce que je les admire. Parce qu'ils..
Je suis jalouse de ne pas être ce que je ne suis pas.
Je suis vraiment une connasse pleine de nutella. Tu es rien, ingrate. Dégage. Tu salis tout ce que tu touches. Tes entrailles sont pourries. Tu te meurs de l'intérieur. Honte éffrontée. Visqueuse et flasque, petit nain de jardin.
Dégage de là, tu tues l'air. Tu assassines tout. Horrible. Affreuse.

Horrible.
Affreuse.
Horreur.


Horrible. Affreuse.



Oui, horrible !


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