sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Lundi 18 septembre 2006 à 23:13


Non, même plus de questions, même plus chercher des réponses longues comme une encyclopédie avec thèse, anti-thèse, réfutation, reformulation et tutti quanti. C'est bon, ça suffit. Juste se laisser vivre et prendre le bon.
Tu te rends compte de ce que je dis espèce de cervelle déglinguée ? Oui je t'emmerde conscience de merde, principes cons et barrières psychologiques. Je m'aime mieux. Un peu. Un tout petit peu. Enfin non, je pense pas à moi. Et c'est là dessus que je te baise, petit pois. Je profite. PROFITE.

18 en anglais auourd'hui, on se croirait au lycée ou en 2nde, même si la 2nde ets inclus dans le lycée. Enfin merde, meilleure note de la classe, je surpasse, je montrerai ce que je vaux. Si je peux. Ne pas s'éloigner de cet objectif ridicule.
Balance dans quelques jours, avoir peur de ce qu'elle va dire. Mangeage du soir, difficile à passer. Pas besoin de manger pour vivre. Juste profiter du moment présent. Carpe Diem.

Son odeur, mes avant-bras. Ne pas se laver.   Héhéh   :) Week-end de rêve, même pas imaginé tellement ... Cliché ? Difficile à croire quand on regarde les films. Non, non. Ne pas s'en faire. Arrêter de penser et fumer. Je m'en roulerai un tout à l'heure. Après un doux passage par les chiottes. Tartiflette pas faite avec amour. Fc. Je sais pas ou je suis. Perdue.

Samedi 16 septembre 2006 à 2:41


Non, non. Simon qui me demande à moi, comment t'aider. Alors que je joue le même cirque que toi au lycée, que je dégueule le diner comme toi, que mon monde me tombe dessus comme la peste en 1642.
Que je ne pige rien à nos situations.

Tirer sur un pet pour tout dire clairenemt.

Quand j'étais petite, si j'ai  grandis, j'imaginais qu'une fille vivait la même vie que moi sur un autre hémisphère. Jamais je n'aurais pensé que c'était toi. Je ne voualis pas que quelqu'un vive ça !! Excuse-moi Mimi-Cherry. Je ne souhaiterai ça à personne. Surtout toi.
 Aussi, je voyais la fille avec ma gueule de monstre. Toi, t'es une reine, parfaite comme je voudrais l'être. Ce qui est affolant, c'est nos vies. Pourquoi vit-on la même chose ? Pourquoi, vit-on ? Pourquoi toi et moi ? Pourquoi nous deux ? j'aimerai qu'on dorme dans le même lit, qu'on se protège toutes les deux. Rien de sexuel en soi, du sexe si on veut, de quoi boire, oublier ce qu'on est, d'oublier tout et de rire dans notre monde. Ou de pleurer sur une de nos épaules, l'une dans les bras de l'autre. Et nous rassurer, tant bien que mal, que ça fait du bien de chialer, y croyant autant qu'a Dieu et la poudre de perlinpinpin. Un jour. Oui Cherry, un jour, nous nous sortirons de cette merde.

Modératrice du forum O.C.

CRAAaaaaaquee ...
Larmitude intérieur constante
De l'anglais.
Mal caché.
The end of this chapter.
Sourire faussement esquissé.
Détestant ma solitude comme je hais le monde autour.
Préférant la musique et la solitude.
Accepter le gros bordel.
Mes doigts ont du mal. Tout mouvement au ralenti, c'est saccadant. Dé.
Fête de l'huma. Pas été, pourtant rien qui me retenais ici. Devoirs fais a midi et récrés, solitude cultivée. Se déssocialise, toute seule ce week-end. Fumer comme une conne toute seule. La tête lourde, les mots rangés, les autres explosant au fond de moi. Comment rester ainsi ? Continuer.

Ne supporte plus le bus, claustrophobie aigue dès qu'un vétement me frôle.  Sensation d'étouffement, de perte de tout contrôle. Enfermée dans sa propre carcasse, et dans ce bordel en polymère truqué avec la chaleur suffocante, les odeurs mélangées qui saisissent les neurones. JE VIENS DE ME SOUVENIR. NE PAS OUBLIER DE LUI DIRE.timifd PARLER DU CANARD DU LYCEE !! J HAIS le bus et tout ce qu'il représente.

Je veux changer. Etre bien.
Mercredi.
Samedi.
Dimanche.
Lundi.
Marci.
MERCREDI.
Moui, timide, chuis trop. Gache tout avec mes conneries. Etre normal si je sais encore l'être. Etre ce que je suis pour qu'il sache. Pas peur j'espère. C'est tout...

Jeudi 14 septembre 2006 à 20:24


Cette merde ambiante.
Ces reproches injustifiés.
Ce stress.
Cette impatience.
Si t'es insatisfait, tu dégages.
DEGAGE.
Pour une fois, c'est pas moi qui fout tout en l'air.
JE T'EMMERDE CONNARD

Mais PUTAIN.
Veux pas lutter sur tous les fronts.
Craquage, ne plus parler.

Jeudi 14 septembre 2006 à 8:33


Cherry, faut que je te parle. Tout, on est en retard d'une semaine. Tous les niveaux qui débordent d'interrogations.  

T'as bouffé quoi, t'as vomi quoi ? T'as bu combien, tu pèses combien ? Tu te restiens, est-ce que tu tiens ? Ouais, et ça c'est un détail. Moi je bouffe ni le matin, ni le midi. Une ou deux pommes avec une ou deux galettes de riz à 18h. Puis ça dégénère. Depuis peu. Après ou avnt les repas du soir. Genre semoule-jambon. 
Hier, crise de l'apéro, se retenir. Vas-y, salade de tomates-pas grand chose, m'e serait suffit, (bon mais vraiment pas glop, culpabilité quand je bouffe de la viande t'imagines pas, pauv bébète...) un peu de porc avec une demi tomate aillée et salée. Une petite art de gateau-mousse au chocolat avec je-ne -sais-quoi-miam. Et UN SEUL morceau de pain. Yeah. Avec de telles choses, ça aurait pu être vraiment l'horreur.
Enfin maintenant ... C'est bizarre de gerber.

Non, merci, j'essaie d'arrêter ... An Hard Drug.

Voilà. Curieux messages. Tu m'envois celui que je n'osais écrire. Les mots ont du mal à se poser sur ce qui se passe. Envie d'en parler, sentiment de culpabilité, d'excitation, de joie et de déprime. Le big mélange. Se poser les mauvaises questions. Après, se demander si "l'amour dure 3 ans". Non, Frédéric Beigbeder s'est trompé en escrivant son bouquin. L'amour, c'est con. Et j'aurais même pas envie d'argumenter. Juste que j'ai envie que tous me déteste sauf toi. Qu'on se mette des races et qu'on dégage d'ici, qu'on baise ensemble s'il le faut. Il le faudra. Ouais. Qu'on monte un groupe de super-nanas associables et qu'on les baise tous finalement. Quon aille à Londres et qu'on se la pête dans une grande ville qui nous englobe sans qu'on s'en rende compte.
Tu te souviens de la première fois où on s'est parlé au tél ? C'était à mon apogée d ela cafét, fille sociable et rieuse qui oublie son passé sans le faire exprès. Je t'ai parlé de tout. Tout ce que l'on peut cacher aux autres. Ca fait bien 2 ans et demi. Après, on s'est écrit. T'es devenu ma soeur plus tard. Parce que finalement, on a découvert qu'on était pareil et que ça fait du bien quelqu'un qui approuve les conneries monumentales de l'autre. Wow. je m'emporte. Je suis en manque d'une fille. Toutes des connasses

Puis finalement, en faire beaucoup chez moi. Du grand n'imp. Ce matin, Drap rabattu sur moi, geste paternel. Non, c'ets ça un geste paternel. Je t'assure. Un ptit mot doux au passage. Comme hier. C'est con à dire. Répond bien à mes besoins physiquement. C'est un ange. Même si on ne se comprend plus. Il est paumé. Je sais ce que je suis pour lui. Ne pas pousser au suicide un être cher.

SE RESIGNER. Putain ! Encore et encore. Retenir ses pulsions. Ca devient difficile de guérir. Ouais. T'es con ma pauvre fille.
Hier aux infos, une fille violée avec un cintres par d'autres filles. Ils rigolaient comme des cons à table. D'autres plaignaient la fille. Je souriais, j'avais les os en miettes, prête à fondre, ne tenant plus sur ma colonne vertébrale. Ouais c'est drôle ça, qu'on viole toutes les filles après tout. C'est pas grave hein.

Désolée, honteuse et confuse, toute rouge. Y'a des tempêtes destructrices. Qu'elle nous laisse entières. Envoi du texto-réponse au mauvais destinataire. Tout le monde, mais pas Lui. Et là, vouloir s'enterrer à coup de pelle. Ouragan intérieur, pestant contre oi-même et contre tout ce que je fais. Tu vois, ,j'aime bien e que je ressens, autanbt que je le déplore. Mais ça, alors ça, je ne maitrise pas. C'est chouette de se sentir bien avec quelqu'un. Chouette, mot pas assez fort, mais incapable de sortir ou de se l'avouer. Se cacher, parce que se justifier et montrer faille béante. Il ne vaut mieux pas me connaitre. C afait mal au final.
Puis finalement, la nuit remplissant la chambre, ça calme. Utiliser la technique, j'me mets en boule, plus de force, endormissage tout de suite. Je dors ien en ce moment. Soit je suis claquée, soit c'est autre chose. J'ai du mal à dire. Mettre des maux. J'ai le sourire, c'ets déjà ça.
J'ai aussi remarqué comment je canalise mon énergie en ce moment. Même plus de sport (pour être belle en gnaganganaganafganafganafgna), plus de paroles inutiles.
Ceux de ma classe me voit comme quelqu'un d'ouvert, d'originale, de sensible, d'intelligent avec un peu d'humour. Maitre de ses émotions, investie, qui gère tout court. MOUAHAHHA, jolie façade de la fille à qui tout réussi. Maitrise totale de leur petite cervelle. Y'a cependant des gentilles, des barves, des intelligentes, cultivées. J eles compare au Green-Gribou-Pelouse, alors rien. Je ne leur parle pas. Je bosse mes cours à chaque récré entre Midi-et-deux. Sentiment de puissance pour ne pas me laisser le temps de penser.

Envie de jouer du piano : c'est difficile de ressentir toutes ces choses. J'ai l'inspiration. Un jour ça sortira. Faut juste pas oublier. Faire le tri dans ce qu'on oublie. Un jour, j'irai loin. Je me sens bien. Je me sens bien. Pas du tout aussi, intermittance. Ni boire ni fumer pendant quelques jours prescrirait le médecin. Ok alors. Je suis bien, pas besoin de ça. Pas encore. Je me contredis ? Oui, un joint ca me ferait du bien.
Ptet que je sais pas ce que pense mais j'ai l'impression vraiment que c'ets vrai. C'est con.

LA MUSIQUE NOUS SAUVERA.


Sinon ca sent l'acide des bananes qui pourrissent chez moi.  Loute déteste, pas habitué à l'acide. Un jour, nous n'aurons plus ni dents, ni cheveux, ni ongles, plus de potassium dans le corps. Aménorhée : règles grâce à la pilule. Crise cardiaque. On fera la fête au paradis. Yeah.

Lundi 11 septembre 2006 à 19:41

Complexe. Oui, c'est complexe. Très voire trop. Pourquoi ?  Parce que, Madame ! Arrête de poser des questions inutiles ou essaie d'y répondre. (Mon amablité me sidère, elle en deviendrait obséquieuse...) Transparente parmi 90% de mecs, ce fût pas mal. 4 pétasses ensemble et associales. Peur des individus du sexe masculin peut-être ? Une fille normale avec tout le monde - en arts plastiques, d'où complexe in my head - et une bizarre toute seule avec ses bouteilles et les watts. Trip dansant mosh. Petite taille qui fait que tout homme est un nounours.  Connue des Sciences de l'Ingénieur et appréciée car mi-homme, mi-femme. Ying-yang. Etre avec eux, comme eux, sans complexe, sans problème. Pas bête de foire. Ou presque, juste des apparences trompeuses. Choquante.
Bulle, belle et rebelle. Trois supers-nanas. (Bulle ?)
Dimanche, jour du seigneur, du saigneur. NE RIEN FOUTRE ! S'exprimer stomacalement ;(    lire, écrire un poco, carte d'identité visuelle zarb but finished. Les Jolies Choses à commencer. Discutage.

Groupe de niveau en anglais, ne pas être chez les faibles et faire ses preuves royalement !
Maudoux, c'est une connasse fermée, qui se la pête et qui n'a confiance qu'en elle. Imbue d'elle-même. Stratégie de communication, matière pourtant à la base de toute réflexion. Psycho-rigide, mais moyen de trouver une faille.
Pas dans leur clan, toutes des putes. Ne pas prendre partie, c'est se faire jeter. Je hais les filles et leur mentalité à la con. Ca pourrait pas être plus simple ? Seulement que vous arrêtiez de juger et de trouver des noeuds partout ...
Je suis une fille. Malheur !


Se trompent. L'image. Tout est question d'image. Celle donnée est loin de la réalité, de MA perception. Carte d'identité visuelle qui me revient ne tête. Se trompent royalement. Sale, impûre, cassée, morte et machiavélique. A trop jouer avec une poupée on peut la briser définitivement. Point. Pas ça, même pas vrai. Du mal à se définir, se trouver une place, trouver ce qu'on est.
"On", c'est "moi". Différencier le "je" du "elle".  Moi. moi. Parce que, que de ça ici. Du moi, en veux-tu, en voilà même si t'en veux pas. Et de la connerie : seule pûreté. Et encore : ironie glaciale et dérision glauque, psychédélisme primaire.  Babillage des détails. Focalisée sur le moche-laid et le noir profond. C'est pour ça que. Suis conne mais subtilement consciente. Pas que du négatif au fond.
Et j'aimerai m'en foutre. Comme toi, comme lui, comme eux, comme tous. Pas possible intantannément, gros comme une maison, ce travail sur soi, en cours cependant. Tomber pour mieux remonter. Mais en p[l]eine. Impossible d'atteindre perfection. Vivre ainsi, la tête ailleurs. Changer. Bon opinion, non ? Beautiful thoughts of you. Try, try, try. Cry, cry, cry. Cry Baby.
Callypige affolant. Déchéance perturbatrice. Paranoïa vicieuse. Ne pas regarder. La comparaison fait mal alors. Bon STOP IT. Don't be afraid. Quoi ? Je lui fais peur ? Fausses réalisations, une création un peu fade. Soi, le Soi, le Rien, Vide. La politique du tout ou rien. Perforée et authentiquement. Moi ch'uis comme ça, moi ch'uis con. Tu te rends compte ? Envie de sortir le coeur de la carcasse. Enveloppe corporelle jaune à brûler. Idem pour l'âme. Comme inexistante, l'éscrabouiller. Pas un malaise, pas un mal-être. Rien, juste une vie. Je ne détiens pas la Vérité.
Le passé peut juste tuer. Tuer un quelque chose. Ouais, je sais que tu sais aussi. Connasse de cervelle. L'inconscient est vraiment con. Tu veux pas oublier un peu ?


Il y a 5 ans et deux mois, je passais devant les Twin Towers en me jurant d'y monter la fois prochaine, quand je ferais mes études sur le continent américain ...
5 ans après, pas l'intention d'aller aux U.S. Just finish my studies in U.K. : Chelsea or London.  Ouais ... "On" change. Un peu. Mais pas trop.



Dimanche 10 septembre 2006 à 15:10


Fixée à 36-37. Seul moyen de l'atteindre : l'écrire. Et plein de verbes en "ir".  Se cacher, bad trip pas top. Ne rien exprimer à personne. Garder pour soi un malaise. Vouloir déballer son sac à MGV. Ne rien dire, vouloir être avec elle. Le téléphone, juste bon à se créer des illusions. Besoin de dégueuler rage, bouffe fermentée dans l'alcool, graisse, aggressivité, hargne, méchanceté, dégoùt et tant d'autres choses. Même pas possible. Infectée par son Soi, affectée par tout, partout.

Doc, remarquée. Fuck. Ampoules.
36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36-36
37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37-37
Hein ? Tout de suite, dans un mois et demi.



" Il y avait au moins une chose que je savais faire, une seule chose que la vie m'avait appris à réussir : serrer les gens contre moi, en plein désastre, faire semblant de ne pas avoir peur, rester debout quand tout s'effondre et faire semblant de rien, croire qu'on va s'en tirer. "
Teen Spirit, Virginie Despentes

Samedi 9 septembre 2006 à 14:05


Je L'ai vue en photo. Je L'envie. Vraiment belle. Beaux. Maigre, ça se voit à peu. Elle, Elle y parvient. Elle.

Concert d'hier, toujours ce pauvre mec, rué de coups par tout le monde. Accroche les vêtement, donne des coups de boule, renverse les binouzes de tout le monde... Pauvre mec, tu fais pitié et inspires la haine de chacun. Les griboux qui jouent du coude sur lui, punkette aussi. Puis après le Canadian Bar, le Gaz, "offre un coup aux amoureux ! " Un gens friqué ou bourré (attendri par notre complicité ou ma connasse de jupe, qui sait ? Putain, ca devrait pas exister de tels paradoxes de merde. Regarde ailleurs connard, on a vu assez d'horreurs pendant la guerre. Bref, ce mec...) qui nous paye une conso qu'on a du mal à boire. Merci quand même, Man.
Le bassiste de TNR et son batteur pas indifférent.

Mangeage norme hier. Tout gardé. Ce matin : part de gateau choco, un yahourt aux fruit. Raté. Ratée je suis, ratée je resterai. Tombée au fond du puit noir, désapprobation des certitudes. Quoi, qui, quand, comment, pourquoi ? Ou trop de questions. Trop d'analyses, de points de vue. Tu ne me saisis plus de toute façon. Je le sais. La folle maladroite mal à droite, maladroite, mal tout court. Désespérante, vraiemnt désespérante et amusante. Fatigante surtout. Se sentir comme à côté, dans un bulle, incomprise. Un monde à part où les paradoxes s'accumulent à foison, se contredisent. Hurle, hurle, hurle. Enfermée à double tour dans ma chambre. Coton hydrophile. Crachas. S'auto, auto, auto, auto. Autoautoautoautoautoautoautomonde.
Putain endiablée? Bizarrerie tuméfiée. Hémorragie interne. Court-circuitée. Crêve, chère connasse. Merci, oui. Mentale, et déifiée sur un mur sans connaître, religion de merde. Normale et directionnelle. Girouette décalée, mal placée, gesticulante. Insatisfaction notoire. LOBOTOMIE, hystérectomie nécessaire. Comme une oie à Jard. Gravée, gavée délavée.Un canari aux ailes trempées. Sueurs froides dans le do. Fuck Myself. Laisse moi être un garçon. Sudifiée. Caporal dénichée, en prend pour son grade. Guildy. Crois-moi, tue-moi. Crêve. C'est dû au prénom, c'est pour la vie, ratée. Les yeux vides ravagés. Vive les prémices d'une vie à vouloir recracher son poumon ventral et le réduire à néant.

"T'es bien, ni grosse, ni maigre. T'es normale quoi."
Putain, mais elles se passent le mot, ces grognasses ! Va te faire enculer.

Non envoyés :
En phase du plus profond dégoût de moi-même depuis plusieurs mois. Supporte plus les miroirs, vitrines, flasques d'eau et autres reflets. Plus envie de ma battre, reste plus que le jeûne total pour se rassurer. Et encore, dîners trop copieux. Tout gardé, beurk. 30/07
Rechercher la maigreur. Devenir un amas d'os inapétissant. Susciter rancoeur et admiration de la part des regards malades et lobotomisés : qu'est ce que je m'en tape ! Je préfère être transparente, n'ai pas envie d'exister par la bite obsédée des passants ou l'envie jalousive de femelles complexées. Avancer dans une foule aveugle de moi, beuglante et leur balancer du 320 Watt, l'air de rien, sourire aux lèvres. 14/08
Un désir morbide de se réduire à néant, aini tu pourras traîner ton squelette où tu veux. Auto-destructuion programmée, tu aimes ça, hein ? Non t'aimes pas, tu souffres au centuple, je sais. Cependant ma douleur est amoindrie par le soulagement recherché, elle en devient inexistante et seul l'échec compte avec "le maintenant". Conception presque impossible à imaginer, pourtant réelle. Ne pas s'en faire pour un cerveau ennivré de dégout et de volonté par intermittance. La loi des os est indéniable , inoxydable indéchirable et inconsciente. Elle est maître, saillante et bénéfique au fond de l'esprit qui l'aime. 20/08



Mardi 5 septembre 2006 à 19:49


Par coeur. Les connait par coeur. Décadence que au couplet. Classe morceau. J'aime. Tous d'ailleurs. Suis une machine à tuer. Aggripper, arracher, écraser, dépêcher. Oui, et encore oui. Goutte de sang qui perle sur un trait rosâtre et lisse. Brûle, brûle comme tu cries à l'intérieur. Sortir la haine, la hargne de ses propres entrailles pendantes : toutes délabrées une fois évacuées. Niack, niack, il faut la garder p'tite tête. Sors-toi les doigts du cul.

Trop à penser. Trop à faire. Taf encore, puis après-demain, puis fini Auchan, puis repos et rentrée. Pourquoi j'appelle toujours ma mère quand ça va pas fort ? Pourquoi je lui dis toujours que tout va bien ? Pourquoi ? Peut-être pour ne pas l'inquiéter, pour qu'elle se dise que je maitrise tout bien. Une fille qui assure, qui est belle et tout et tout. J'aimerai qu'elle soit fière de moi. Ingrate fille que je suis. Elle l'est. Fière de moi. M'aime. Refuse son aide, veux lui montrer que je me démerde très bien toute seule, grande.  Pas besoin, plus un bébé. A jamais dans son être, petit monstre hurlant sans arrêt. Non, non, non et non  ! Le sait très bien. Le sait très bien. Bébé criard, mais plus avec. Noute juste. Supporte mal, supporte tout court. Aime mais pas moi. Gros bébé qui pue et qui braille. Stop. Un temps mais pas deux. Grande et responsable. Pas que folle et immature. Amoureuse. Voilà. Parce que je le vaux bien ?.
Oui. Plus petits bras, plus mieux. Malgré des gros poignets de truie, des poignées d'amour et plutôt de haine, des cuisses flageollantes, des fesses molles. Des abdos qui se muclent. Des ischios, des quadriceps et des adducteurs qui se développent. Biceps et triceps, beurk. Mouais. Encore de la compote. Que. Ne pas déroger à la règle. Rester zen. Devenir. MOUAAHAHHA !
Je suis pathétique. Pire que ça. Oui.

Vieille peau. Connasse de conne. Je t'emmerde. Bande con. Ahlala.
Heureusement, répèt bien. Pas envie que ça s'arrête. Communion de fréquences. Bass Power, les ondes qui passent la porte. Fait bizarre. Du son, du son. Début rempli d'échecs puis parvenir à s'éclater parce qu'on y arrive. New morcaux à apprendre. Metallica. Ne pas les avoir étonnés. Va les bluffer. Un jour. Gratte plus facile. Allers-retours réussis. AHAHAH. Fait plais'. Se tripper. Fin toujours trop triste et courbatures de déménagement ... M'en veux encore, encore, encore. Pour toujours. Un jour, serai THE FEMALE BASSIST mondiale. Les tuer d etechnique et d'interprétation, solo à faire chialer tous les hommes. Verra bien qui verra le dernier.
Croire, croire.


TURMESCENCE INDOLORE

Samedi 26 août 2006 à 9:41


* I want a "S" *
* I want a "I" *
* I want a "D" *
* We said : "SID VICIOUS" The come back. *


Regain de motivation. Merci Ibaba sans rhum. Juste 36h de taf et the new life. Youkie !
Le lundi 4 septembre à 10h00. J'y serai. Seek and destroy.
Suck and destroy. Voilà, j'avais envie de le dire.

Aussi, je suis un mannequin et je suis bandante.
Je suis mince et j'ai un cerveau qui fonctionne. Belle plante. (Paroles de clients Aucan-la-vie-la-vraie ! )
MOUAHAHA, quest-ce que les gens peuvent raconter des conneries !
J'ai des cheveux rouges-pisse décolorés. Un canon de l a mort qui tue si on enlève encore quelques tissu adipeux. (Parole de moi)
Rajoutage de couche, j'en bande poupée.


Tout est dans le titre, le reste on s'en balance. Branle, contre-branle (copyrignht GribouPunk), fout, fiche, contrecarre, bat les couilles et j'ai que ceux-là en tête.

Jeudi 24 août 2006 à 19:32


C'est le la-pinou dans la garigue, c'est le la-pinou dans la garigue.
C'est le la-pinou, c'est le la-pinou, c'ets le la-pinou dans la garigue.

Fond musical enchantant, mouais.
Humeurs à envoyer chier tout le monde en ce moment. Ne sais plus, ne comprends plus.
Et ce mot de passe de merde. 3h à trouver que c'était rien ! C'est quoi ce bordel ? Options à la con quand on sait pas les utiliser.
Gerlinéa Chocolat, trop bon. Max 800 cal par jour depuis quelques temps. Sens mieux.


Me sens pillée, me sens morte, me sens forte. Conne immature, moche et risible. Que j'arrête de me plaindre. Putain, et ouais, j'en viens même à m'écrire des posts à la con pour moi même. Bah ouais, vous croyez quoi ? Que j'oserai insulter quelqu'un comme ça ? Et bien vous avez raison, mais pas en ce moment. Ence moment, c'est MOI MOIMOIMOIMOIMOI. Et puis non, c'est pas con, ce que je me suis écris, c'est juste ce que tout le monde doit penser. J'en suis certaine. Et puis d'abord, tout est pour moi-même ici, j'ai plus envie de jouer au pantin, en viens même à avoir des idées destructrices. (Quoi destructrices ? Tu déconnes ??)
Alors quoi ? Pourquoi vous continuez à lire bandes de moules mal accrochées ? Mais vraiment ! J'ai juste besoin de parler à quelqu'un, juste péter le splombs en live comme je le fais en silence. Juste besoin d'avoir quelqu'un. Pfff, je me fais pitié. Je ne suis plus Sid Vicious, je suis re- la pauvre Sidaléane à tuer. Ouais c'est ptêt très con à entendre, très con à dire aussi. Sauf que ces perso sont comme des représentations : force et faiblesse.
J'y crois juste. Retrouver cette rage d'antant, cette volonté de vie, de joie et d'amuse-gueule. Le jour où je saurai écrire, ça se saura. "Ca se saurait" Et bah ouais mec...
Pouffiasse de merde qui sait même plus où mettre les pluriels. Pluriels de merde, aussi. J'en peux plus.
De la morosité à revendre, 3615code-qui-n'en-veut-pour-ceux-qui-n'en-veulent. AHAHA, et elle se croit drôle aussi. Muette comme une huître, chiante comme un gamin qui braille parce qu'il a faim, violente dans ses pensées comme une lame de fond. Vous voulez que je vous dise quoi ? J'ai envie d'insulte tout le monde, alors j'insulte tout le monde.
Sauf The Gribou Circle, mais ça vous vous en foutez aussi.
T'es vraiment à gerber. Pitié indicible. Rentre chez toi. Va au ciel. Diablesse.
Et tu te parles encore à toi connasse ? Pff, pitoyable !
Voilà, je sais plus. C'est tout. Ne me le permettez pas si vous le voulez, je m'en prends aux bras. Joli motifs symétriques, ongles courts mais utiles. Et eux, encore à juger !
Mais putain, JE VOUS ENCULE !


Je me sens vraiment toute seule.
Je me parle toute seule.
Je trippe toute seule.
Je suis dans un monde trop hermétique.
Et au final, TANT MIEUX !

Mercredi 23 août 2006 à 21:12



En fait, ils avaient tous raison. On est toujours tout seul dans la vie. Crever comme un rat mort ou agonisant. Changer la face du monde en s'inventant des voix et se créer une personnalité de merde pour y ressembler. C'est cela même, non merci, je préfère que vous alliez vous faire foutre.
Toi, cherche pas à comprendre, rien n'est pour toi. Rien ne va à toi, tu peux toujours réver. Arrête de dire des conneries et de te plaindre. Tu commences simplement à me faire chier comme tu fais chier les autre. Et puis merde, pourquoi j'irai te dire tout ça. Tu t'en tapes après tout. Dans tes trips. Oui c'est de la jalousie mal placée. Parce qu'au fond, c'est que des conneries tout ce que tu m'as dit. Remarque, finalement, je m'en contrebranle également. C'est quoi ce coup de gueule de merde ? Je vais te le dire : un chiotte virtuel et un bras à lacérer.
Voilà, c'est tout et j'espère que tu peux te rentrer ton God dans le cul bien profond. Pseudo-con, qu'est ce que ça peut vous foutre ?


Oh et puis merde !
Va te faire foutre !
Même pas à en pleurer.
Qu'est ce que je peux en foutre ?
Rien à carrer de ta gueule et de tout ce merdier.
Canardée par la connerie.

Vraiment gosses.
Toujours le même refrain larmoyant.
Simplement pitoyable.

Qu'ils aillent crever en enfer.


Toute façon, S.V. a disparu. Il ne reste rien. Rien qui ne vaille la peine. Et bien non, le paradis a fermé ses portes . C'est comme ça, je n'y peux rien. C'est juste trop. Trop, c'est trop parait-il. Pas faite pour cela, faite pour rien du tout. Tu veux que j'argumente ? Et bien c'est non d'office. Même pas le mot de passe. Faire sa vie en solitaire, y rêver douceuresement et dans le vent. Pour le plus grand bonheur des passants qui matent.  J'y aurai juste cru.
Allez, sans rancune ?

Fuck yourself.

Samedi 19 août 2006 à 0:32


Que tout le monde pense ce qu'il veut. Je m'en contrebranle. Cache.
Je n'y arriverai pas plus.

Je vous emmerde.
Et je fais ce que je veux !

Mardi 8 août 2006 à 20:35


Tu crois quoi ? Que tout est rose parce que je te souris ? Que je suis vraie dans mes actes et que je ne me pose pas de questions ? Et bien non, mon cerveau est en constante ébullition si tu veux savoir. Tout est raison à l'interrogation. L'image, la communication. Apparence trompeuses, je te l'affirme. Tu le sais toi. Certes, j'ignore comment vivre la vie avec simplicité, sans questionnement permanent. J'aimerai que tout coule de source. Je n'y arrive pas. Je compte trop sur le regard de l'autre. Je ne veux pas décevoir. Est-ce ma faute si je ne me suis jamais sentie à la hauteur ? 
Rien à voir avec la taille, certitude absolue, pas un complexe, avantage notable. Ce n'est pas l'estime, je sais ce que je vaux. C'est le fait de se sentir observée, sorte de paranoïa ambivalente qui engendre une destabilisation du soi en ne cessant de se comparer. Non-confiance en soi, infernale sensation d'infériorité, de quête de perfection, de sentiments de ne pas convenir. Sortir du lot, en être fière devant autrui, assumer difficilement. Excellent paradoxe car se sentir d'une banalité pesante. 
I'M FUCKING LIFE.

Jeudi 3 août 2006 à 10:00


Chéri, t'es vraiment drôle quand t'es défoncé.
Travail de merde. Plus de patience. Défoncé hier, même pas touché à l'herbe, même pas un verre. Et oui, "j'ai une fille qui boit pas" et c'est comme ça. Poids indicible. Jeûner, jeûner, jeûner, retrouver la volonté perdue. Comme un bébé jetté à la poubelle, plus de sens. Oui, je suis compliquée, oui je suis conne, oui j'aime faire couler mon sang. Non, je n'arrive pas à vivre sans me poser de questions. C'est comme ça. Plus tard, je serai dépressive, sous Lexomil ou autre connerie du genre, maigre comme un coucou et mes enfants auront pitié de moi. Je regretterai une jeunesse vécue sous le signe de la préoccupation de l'image que je renvoie, de la non-spontanéité, d ela torture d'esprit et de l'imaginaire hypocondriaque.
Voilà, mais je vous emmerde. J'ai rien d'autre à foutre qu'à penser.
Vivement le mois de septembre.
Windows Live Messenger, ça plante et le design est merdique.
Me sens seule. Oui, en plus elle a besoin d'être rassurée la grognasse.

Vendredi 28 juillet 2006 à 1:08

Soi-même. [1er juillet]

Se griffer soi-même, fortuitement, connement et précipitamment avec ses propres ongles de sorcières. Paniquée, rongée à l'idée de claustrophobie. Renferme-moi dans ton trou à rats. Crevons étouffés, entassés l'un sur l'autre, qu'on nous retrouve en train de baiser sur un clic clac même pas déplié. Nos instruments à nos pieds, empilés comme des vieux cartons, sales, comme nous. Cage à lapin, piège à souris, comprimés, asphyxie primaire. Couds moi les lèvres, obstrue mon utérus et clous mes paupières. Coupes mes mains et bouffe-les. Désolation sur son visage, ne pas lui en vouloir, effaré, minuscule bébête apeurée. Lui en vouloir, ne pas m'avoir crue, encore une fois, condamnés maintenant à se coller pendant 3 ans minimum. Pas confiance en moi. Te laisser ton coup de cœur en le regrettant déjà, appréhension certaine. Le détester avant d'y être. Te haïr pour m'emprisonner aussi facilement de mon plein gré. Esprit libre et fidèle, ne pas t'en vouloir et se suffire à nous deux, seulement nous deux. S'autosuffire, sortir. Découvrir le monde quotidien grouillant,  partout. Goûter à la chaleur particulière de chacun des bons. Le grattement doucereux des cordes et l'effleurement amoureux des peaux de frappe. Sors-moi de ta prison de pacotille. Mettre de coté. Connaître l'orgasme musical, complicité instrumentale et délires cons de potes. Décoince-moi la tête de la porte de la machine à laver. Lavage de cerveau, essoré. Lyrique. Transfert de ligne immédiat, reste à trouver la bonne. Imaginot. 

Cadeau d'anniversaire [3 juillet]

Exhibition des rangers, fier de les porter. Contexte. Envie de botter le cul aux regards ahuris. Se sentir fort, invincibilité imaginaire. Démarche imposée par le cuir, démarche de la norme anormée. Une sorte de mouvance dans le corps, un soubresaut maîtrisé avec grâce et légèreté qui dévoilait discrètement ses os. Un fléau, c'est un fléau. Rabrouer encore. Fait chier la bite. Reteindre, faire revivre des bons moments magiques, passés Installés dans le cocon, manque le net, profite de la proximité. Cœur de ville, ville qui vit chaque soir. Nouvelle liberté d'aller partout, revenir, indépendante de la voiture. Grosse vache. Plus grosse que Schleich. Mettre des jupes. Ne plus craquer sur l'emmental empané. 600 cal max. Nouvelle vie, nouveau mode de vie, nouveau corps, nouvel esprit. Prendre les 5 à perdre. Comme avant. Sans lui, profiter de ses absences Ecrire comme avant. Nouvelles merdes à pondre.

 

Consonne, voir elle. [4 juillet]

Ecris à Mimi-Gribou-Pelouse, posté. Déclaration. Aime. Comprends l'incomprenable incompréhensible, double. Elle s'appellera Louison, P'tite Louise. Pleins de péripéties à la con. Dormir dans le four, trop chaud. Mal sous la chaleur torride. Corps arides, sueurs rouges, gouttes de cheveux qui tachent un visage déjà enlaidi. Grains de mocheté, pâleur mortelle naturelle. Manque. Marre. Paperasse bientôt enfin terminée. Assez, trop, répétitif, conne dynamique, trop, derrière sa caisse, cherchant le compliment d'une troupe de connards en assurant le maximum. Où sommes-nous ? Dans quel monde vivons-nous ? Juste le fric, juste ça et le cul. Le reste, on s'en fout. Contrebranle. Nain de jardin en mal d'utopie et de perfection. Automatisme grandiose, vouloir être un canon Un regard, en un regard. Les emmerde tous, tous autant qu'il sont. « Ce qu'on s'en fout, du regard des autres » Nique sa mère. Nouvelles sous extasy, Bye-bye Blondie. Réveiller un volcan, furie. Marre de ces connards, jouer la salope, sourire con. Putain, peux plus supporte ces conneries. Fais putain de chie. Résister, résister, résister, putain, putain, putain, putain, putain mais PUTAIN ! J'EN AI MARRE, vous le faîtes exprès de ne pas le voir ? Putain ! Y'a quelqu'un ? Vous répondez ou merde ? Faîtes chier, putain. A remarqué, malgré attitudes différentes avec mais situation embarrassante. Peux plus, peux plus. Craque, supporte plus rien. Réveillez-moi, assommez ma tête, libérez cet esprit de merde ! Transpercez mon gros bide gras de par mes omoplates ! Ecrasez-moi sous un rouleau compresseur.  Peux plus, peux rien, plus rien à foutre. Putain de bordel de merde, plus rien à faire. Blasée, lassée. Galère. Se défoncer la gueule au couteau suisse, ou tout court. Imaginer, inexistant ennivrant. Dans un autre monde, je vous emmerde aussi. Vous emmerde tous. Connasse, je sais, je sais…

 

Elle aime ça, tirer sur un pet … Après s'être démaquillée, regard étonné, qu'est-ce qu'on peut avoir comme merde sur la gueule le soir ! Puis se souvenir que l'on vient de gerber, inauguration des chiottes, c'est l'explication donnée à la couleur orange et douteuse du coton rempli à présent de crasse, les cannellonis du dîner. Se rhabiller décemment car ne plus supporter ce corps gras, elle remet le strict nécessaire : pantalon et débardeur. Jean banal. Libérée sans cette prison qu'est le sous-vêtement féminin. L'esprit libre, se laver les dents au son de Blackmore et ses potes sur Smoke On The Water . Elle se dit que finalement trois minutes, c'est parfois très long. Mais elle tient le coup, trois minutes de brossage. Elle pense au joint qu'elle va se rouler. Ca la rassure. Lire défoncée, c'est le pied songe t-elle. Elle en profitera pour écrire des conneries sur son journal intime. Enfin, ce qui lui sert de dévidoir à part les chiottes. Moments brefs, juste de quoi s'assommer un peu plus, en écoutant de la bonne musique. Vivre l'instant où le cerveau est broyé par le psychotrope.

Foot version 1 [5 juillet]

Remise pour le 9. Soirée foot, prétexte pour boire un bon coup, manger de la pizza et becter des becs. Filmés, au fais, bonbons pour la prochaine, qualif' en finale. Il y a mes blagues, y pense en même temps que moi mais les sort avant moi, le premier à oser les dire. Je suis con, rassurée. Soirée sympa, manque d'une présence, ça se sent comme de la merde dans un champ de pâquerettes. Sympa quand même, s'en contenter, joyeux et simple, avant goût d'une année, en profiter un maximum. Axiome intégré. Finissage aux chiottes. Mal partie, s'y remettre. L'avoir touchée, pas fais exprès et tant mieux. Juste mettre des mots sur des ressentis. Et encore, mots faibles. Heureuse de l'avoir. Où s'arête l'étonnement cesse la vie Valeur perso. Pas net, bosse5h10 demain, couchage imminent, yeux qui se ferment.

 

Poiuytreza [6 juillet]

Régression Se tenir à ce que l'on crie, désir. Folie cervicale ? Cervelet gelé. Recommencer alors se retenir, en souffrir. Voir que l'on y croit, que les autres y croient. Anaëlle a eu son bac, mention AB. « Dans une librairie » Merci, merci, plus que moi.  Blabla hypocrite ou nada, je ne sais pas, pareil au même. Les mots. Pas complexe, connexions mal soudées. En mal de communication. 383 dossiers, fais partie des 27. Se sont trompés de personnes. Enlisée…

Foot [9 juillet]

Soirée mangas foot. Etais en peignoir, réveillé Gribouponque. Coup de tête. 17 cm dans le cul, a-t-on dit. Une tête ne suffit pas à asperger la pelouse de rouge. Rouge et vert se complètent. Prémonition ? Non pelouse toujours verte, tomato ketchup. Et puis quoi encore ? L'aime. Fatigue croissante, comme l'envie d'expression. Apprendre, lire, encore et encore. Rêver à la basse. Tout reprendre dès demain. 41,5. Je n'y croyais plus. Intervenant demain pour le net donc ok pour dans 5 jours, mardi. Si connexion faite. Sinon re-attendre 5 jours et aller au service après-vente.

On the ground. [14 juillet]

Fucks herself. Grind, head grind. Headache. Couper, cut cut cut. No. Great question. Couper short sauf pattes, frange, arrière. Ou laisser le tout pousser et friser comme un caniche et attacher le tout dans des élastoches. Baume à lèvre vert, mystique. Auteurs de violences conjugales non graciés par Chirac cette année … Enfin ! Manquait plus que relaxer les violeurs et tueurs de bébé. Quelles bandes de cons aussi.  Jambes épilées, souffrir pour même pas être belle, désillusions. Un pain le matin, un le midi et un pour ce soir. Sans mie, pour moins se sentir pleine et grosse. Juste le goût du bon emmental. Fuck me.

 

Artifices [15 juillet]

Soirée improvisée. No'm bourrée, moi de même, tout le monde entier. Décuver. Bad-trip interne habituel. No'm qui parle, qui parle. Faire des découvertes. Mal-être. Rassurer le caillou. Simon qui lui explique, qui dit connerie sur connerie pour provoquer. Moi qui me marre : blagues monstrueuses, l'horreur, et elle comprend que dalle. Un mec, c'est pas juste une bite, et jouer les puritaines associables, ça attire pas. A mourir de rire cette discussion. Somptueux feu. Voulais plus de bleu. Sauter dans un tas de feuilles, un rêve de gamines réalisé. Devrais être torchée plus souvent. Se rendre compte qu'on est bien à Tours. L'avouer. Tripper, complicité avec le punk. Savoir ce qu'il pense et ce nouveau mal-être dévoilé. Œillères sur les yeux,  ne pense qu'à elle qui ne croit plus aux mots. Rien à faire. Violence dans sa tête. Début de matinée difficile au taf, décuver, chose difficile en essayant d'assurer un minimum. Tout très lent autour. Puis l'inverse, le temps qui s'arrête et moi qui ne peut plus suivre. Faire des efforts pour les chiffres. On verra mardi No'm contente de la soirée, moi aussi. Ce soir, rien de prévu, re-soirée avec Gribou-punk. Carte officielle d'emmerdeuse en ma possession, j'ai tous les droits à présent. Touchée en plein cœur. Hahahahahahahaha !

 

Spermicide [17 juillet]

Ne plus craquer. Patienter avant de pouvoir communiquer. Accuser quelques heures de basse tous les jours. Retrouver une rage perdue, sur-motivation. Perdre de la masse. Regards sur mon cul, jupe customisée provocation réussie, regards de pauvres connes, regards de pauvres cons. Affirmer sa personnalité d'Astigribou. Aimer écrire Ne pas aimer la critique injustifiée, première lecture surprenante Putain de cybercafé. Refrain incessant, trouver des concerts. Elle décollait le sperme agglutiné sur sa chatte. Amas de vomi durci, le foutre séché, ça lui tirait les poils. Attendre lettre, communiquer. Vouloir fondre sans soleil, glaces au chocolat.

 

Figure de style [19 juillet]

Question rhétorique et récurrente. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Nuit du 17 juillet, à 6h du main le 18 :

Tino qui exhibe un ampli d'un mètre quatre-vingt (envie d'écrire les nombres en lettres) de haut, orange translucide, sourire aux lèvres. Scène suivante : une forêt en second plan. Sur une grande place, Fatihou installé à une batterie composée d'un seul fut, sans grosse caisse. Il tape sur des fûts invisibles. Batterie orange et noire. Loïc qui danse, Tino aussi, au micro. L'ampli orange derrière lui. Puis la batterie se transforme en basse. Tous les trois déchaînés, en transe. Regards incrédules du public à une dizaine de mètre. Moi dans la fosse. Une rangée d'arbre me sépare du public debout et immobile. Le soleil est là, sueurs  chaudes. Puis Il arrive. Me met à terre. Retrousse ma jupe, vire mes sous-vêtements. Viol goulu devant le public qui ne réagit pas. Je voudrais hurler. Me lèche ouvertement avec déliquescence, mes jambes bloquées, à sa merci. Inerte, incapable de bouger. Envie de crever. En train de crever. Humiliation totale, tout le monde a vu sans intervenir. Sans oser. Autorité oblige peut-être. Salie. Morte. Soudain je disparais, le cadavre que je suis disparaît, si pure, libérée. Morte-morte-morte-morte-morte. Agonie visible, vision d'un délabrement, moisissure. Bleue, schtroumpf. Mal-être. Son regard vicieux et satisfait devant la destruction massive. Aucune réaction des personnes présentes. Cris, cris dans le vent. Hurle sur une musique si merdique. Haine envers le monde entier. Tout le monde obnubilé par une musique soi-disant enivrante, le symbole d'un quotidien que l'on s'impose. Et moi dans la meurtrissure devant leurs yeux, ne cogitent pas, ne voient pas, aveuglés par leurs petites vies plus ou moins tranquilles. Ma mort lente et prématurée. Façade invisible, comme d'habitude. Peur et jeu de rôle. Personne ne se rend compte de rien. Bien joué connard. Comme d'habitude j'ai froid, seule. Comme d'habitude, brûlée par les tortures mentales et physiques. Corps électriques qui se repoussent en moi, mais les lois physiques sont détournées. Mon horreur pour la vie, arracher la normalité pour fondre dans un moule amphigourique. Claustrophobie fatale, enfermée dans un organisme ne m'appartenant plus.

 

Réveil en donnant un coup à son sauveur d'âme, qui me sort de ce cauchemar. Réveil horrible, ne pas y penser, oublier. Don't remember, forget. Avoir mal au bide, au plus profond de soi. Sentir une griffure, voir le sang sur son ventre, une cicatrice sur l'abdomen pour ne jamais oublier cette nuit horrible. Ce cauchemar si significatif. Tout qui remonte à la surface. Envie de mourir. Ne plus se battre, se laisser aller à la seule issue. Retrouver un comportement nutritionnel violent, recommencer la destruction massive. Vouloir saigner. Ne plus se reconnaître. Pourquoi… Un rêve pour tout remuer. Remise en question qui fait mal. Même pas de réflexion. Oublier, ne pas puiser en soi un reste de vie, juste voir devant si possible. Bandeau devant les yeux, comme tous ces gens qui ne devineront jamais. Rage contenue. Amertume permanente. Mourir d'un jour chaque jour. Respirer. Inspirer et fumer. Se soulager d'une taf. Juste ce plaisir-là. Autres soulagements interdits, ni vomissement, ni coupure. Rien qui puisse te rappeler ce que tu es. Etais. Toujours interdit. Sale, pleine, remplie, attente de la sortie. Ne plus avoir le dessus. Il le disait : "I have a dream." Qu'il se le foute au cul. Encore une fois. Perdre la tête. Comment bien se tenir ? Se retenir tant qu'on le peut … Music power.

Imprévus de merde [20 juillet]

Appeler le service client pour les dédommagements du web, qu'ils nous offrent le mois entier et plus si affinités. Voir le permis s'envoler. 715 euros par année pour avoir le BTS. Penser à l'IUFM après une licence pro ou un master pro, pourquoi pas. Manger les compotes comme des glaces. Ne plus avoir de tunes pour acquérir l'indépendance voiturage. Pas assez pour le passer pour les vacances. En avoir suffisamment assez pour vomir son âme dans des chiottes. Crever d'envie de crever. Ne pas vouloir voir les griboux, mourir seule. Ne pas vouloir voir les cailloux, mourir seule. Marre. Péter un plomb, péter un câble, péter une durite, tourner en bourrique, devenir chèvre, devenir folle, en avoir assez, en avoir marre, vouloir tout péter, vouloir tout casser. Marre. Marre-marre, ça ne me fait pas marrer. Et ma fierté personnelle, tu t'en fous, connard ?

 

Rhhhhhaaa [24 juillet]

Ca met 10 jours maintenant ! Rhaaaa ! Fatigue, déshydratation, manque de magnésium. Crampes. Mal de bide féminin, beurk. Craquer par deux fois aujourd'hui, pourtant bien commencé. Ramène-moi de la volonté ! Je me tais face à cette honte inavouable. Tu m'étonnes qu'il ne me fasse pas confiance. Demain, jour de congé, repos total. IL FAUT QUE JE BOIS 2 LITRES D'EAU PAR JOUR !!! Baby Puppe. The little thing without freedom. Free to vomit herself. Not well inside Appears as a bird. Babybird. Help, help her, if you can. Saving if it's possible. Gerlinéa, Wasa, même pas tombée dedans, foutaises, conneries hybrides. Mimi, ne craque pas. Pas plus, pas comme moi. Plus de volonté. Twist à Saint-Tropez, ça fait partie de l'ambiance, de Saint-Tropez.  Se balance d'extrême en extrême. Situation difficile à tenir. Imprimé de stupidités. Stupidité imprimée.

 

Du hardcore jusqu'à la mort ? Danses ridicules [26 juillet]

5 euros et se faire des potes. Comme si on se connaissait, Gorgeat et ses trips scato-sexuels, on dirait nous. Plaisant Puis découvrir les failles de sa meilleure amie, d'apparence goth aussi et mettaleuse musicalement. Même taille, même poids, même failles, même enfances, même conséquences sur la bouffe. Natasha. Plaies ouvertes, béantes, géantes. Comprises. Echange d'adresses mail. Motivation à revendre, je te l'offre. Pomme-pomme-pomme-tranche de rôti-bol de semoule-yahourt. Basse à fond. Re-motivation. Cela va de paire, remarque. Fin août, vacances avec Gribou Vert, pressée. Besoin d'elle. Gueuler dans le vent : «  c'est normal, ça me le fait aussi » Connasse, je m'en fous de ta vie. Revenir du magasin de net en perdition et aller à la fnac. Ils n'ont pas le pavillon des enfants fous. Feuilletage de bouquin de yoga, voir un : « Comment vaincre la boulimie » … Je l'ouvre, première phrase lue : « Le voulez vous vraiment ? » Non ! Refermage du livre et voir un traité sur le jeûne. Le lire en diagonale et retrouver une surmotivation et des explications. Une semaine de jeûne, 10% du poids initial perdu. Un peu moins pour les femmes. Bien entendu ! Mouhahha, je me gausse !

Samedi 24 juin 2006 à 0:46


Bad. Bad bad. Suceuse de bite. "Baise-moi" Besoin de substance pour exprimer les sensations internes au bon fonctionnement. A la dérive. Distance et habitudes.  In bulles. Différences notables. Sâoûler les invités, ami-amie. Cohérence des propos. Get 27 fini. Comme un trou. Gerber un vide stomacal-baiser. Pleurer comme la bite. Du foutre encore. Nothing, larmoyant. Vouloir tout vomir. Stoïque, inerte, immobile, passif. Insupportable. Casser les vitres. Salope en puissance, ado en crise. Problèmes nulle part, juste de l'imagination. Pas conscient, bourré, rend pas compte. Faire chier ses plus proches cailloux, Silex. Partir prendre l'air, respirer un peu, ne pas faire de tour. Faire peur sans savoir. Prendre des décisions, se satisfaire des silences, rythme lassable, se satisfaire de la chose. Apprendre à aimer la distance verbale et s'en exciter, penser ailleurs, laisser faire. No comment. Et bien tant mieux. Pour se faire remarquer, insignifiante. Arrêter tout simplement et se résigner. Sans conclusion.
Changement trop visible, mains baladeuses, peut-être le fruit d'une conversation amicale. Complices. Juste gros merci.


Admirer tout bonnement. Jolie chose, même si y croit pas. Sur le cul, volonté absoute. Dire "je suis". Comparer en se dégoutant mais atteindre le but du bien. Pas mal. Effort.
DEUX ! Bouffer des galettes bretonnes, culpabilité fatale, HONTEUSE à mort. Va chier !

Lundi 19 juin 2006 à 18:56


Mimi-Pelouse ! Enfin une vraie, comme je les aime. Déjantée, naturelle, qu'en fait pas trop comme moi. Qu'est bien ! Pareil. Même pas à qualifier. Trop chanceuse je suis, chanseuse, nous sommes. Chiante, mais même pas vrai. Super Berneudaïne. Youki Hippie ! We Love You et surtout moi. Artistes incompris, le meilleur pour s'affirmer. Rester soi et assumer. Crier mon amour pour la Musique qui vibre dans ses veines, parce qu'elles, elles la vivent. C'est dans le sang. Un jour, j'espère, ensemble. Parce que je me sens bien, avec comme elle. Savante mixture. Public pas prêt à attendre. Oreilles de gamins et groupe de merdeux. Sex Toys en plastique, même pas bon, même pas agréable, une daube de recopiage et d'identification même pas ressemblante, pas stylés, pour faire comme les grands, paraître, juste paraître original. Des vrais ados en crise. Culpabilité du coupable, le chantage se paye, tout se paye. Dommage. Ado en crise aussi.
Puis nous, à côté. Deux, toujours deux. Toi manger le soir, moi manger le midi. Toi devant eux, pour faire bonne figure, moi avec lui, pour faire bonne figure et pour ne pas qu'il désespère. Qu'il se dise, qu'au moins, on peut être sauvée. Même si c'est un leurre et que c'est juste ça. Marshmallow jaune-banane pour la décoloration. Marshmallow vert-pomme pour Mimi-Pelouse. Marshmallow rouge-fraise pour Asti-Gribou. Parce que c'est bon ! Hihihihi ! Mimi-Gribou, mélange de nous ! Me sens bien, comme ça, avec des cailloux comme ça près de nous. Parce que c'est des vrais cailloux qui nous oublient pas. Amie Mimi-Vert, être un caillou, c'est quelquechose de très très fort, j'te jure. Je n'en ai pas beaucoup. Mais j'aime ton herbe flageollante dans les blés établés.
Oui, plus mieux dans le corps, pas trop, juste les cuisses qui pourrissent tout le décor. Psychotie à laquelle on s'habitue. Gridou, ton "tu as grossi et ça te va bien" d'il y a quelques mois, ça m'avait pas fait du bien. Non, pas bien, ça va pas bien, pourtant toi tu sais les trucs qui faut pas dire à quelqu'un de malade de la bouffe. C'est ptêt pour ça que je t'en veux. Parce que tu es toute maigre des cuisses et que tu dis ça à moi ! M'en fous, je suis plus aussi grosse. Mais pas rancunière, te rends juste pas compte. Dans la tronche.
Ville qui dort, groupes caféinés. Pas assez de jeu scénique, de rage et d'actions, une fille passive devant des bonnes paroles rageuses et engagées. Puis trop de grognements, du gros brouillon, des mecs qui en peuvent plus et qui se sentent original en voulant s'exclure du système, se rejettant de la société en abusant paradoxalement d'exemples contradictoires malgré une affiche soi-disant apolitique. Désespoir de l'organisateur. Public presque envie de se suicider. Que de la bière ou des boissons sans alcool. Soirée pimpante parce que là, ici, en Touraine, là, ange qui passe, verdure qui trépasse.
Rire et chanson. Que punk ? Pff, pitoyable. C'est pas des "Babies" in Toyland ! Sacrilège ! Alex=ex-mythomane qui croit que je connais pas. Rancid, Babes (et pas Babies), bah oui, c'est connu, pfff ! Pitoyable.
Voisin gentil qui parle avec les jeunes filles dans les escaliers. Le corps exquis. Dévoré ! Aimage de psychopathe sanguinaire et sanguinolent. Histoires d'amour, pûreté aveuglante. Sang, masochiste, sadique. Mais se retrouve. Oui, recommencer les bêtises parce que fait des bêtises. Mais fini. Plus recommencer !

Un jour, comme ça.

Vendredi 16 juin 2006 à 14:29


Vernis rouge impeccable. Pattes nickel. Doodle. Papier cadeau tue mouche. Papier gnagnagna, tube tout simplement. Papier Q, papier cube. Noeud-noeud tout ça. Citizen Erased, Mano negra, Death Comes Ripping. HA-3500. Prise casque. Aller-retour plus que périlleux, insister. No réussite. Patience.
Conjonctivite. Infections dans l'oeil. Purulant liquide lacrimal. Nettoyage occulaire. Dacriosérum et lunettes de rigueur. Fini demain. Marteau.
Cheveux intenables. Bandeau de secours. Moins de 24 heures. Pas faim. Manger à sa faim. A la faim de son organisme. Se convaincre, même si on n'y croit pas vraiment. Il faut juste que ça ne se voit pas sur le corps. Parfait. Crême oubliée. 46 pour les cuisses. Juste moins, c'est tout. Pas d'allure. Diplodocus. Galettes de céréales pour combler l'envie. Ne plus céder à des pulsions boulimiques. Etre normale. Juste quand le but sera atteint. Mais se préparer psychologiquement. Le dire, le répéter pour mieux pouvoir combattre la sensation de pouvoir et de domination. Je serai celle que je veux être. Mais que veux-je devenir ? Choix difficile entre squelettor battant yoyo ou squeletor mourrant. Comment ça, pas possible ? M'en fous. Je m'en sortirai, non seulement vivante, mais gagnante de la bataille contre moi.  ET TOI AUSSI... Y'a pas de raison. Se stabiliser au poids P. C'est tout. 37 en vue et 37 le 29 au plus tard. 37-39 tout le temps. 39-40 max pour tout le temps. Voilà. Après, trouver la sortie de secours. Il y en a une. Les deux sont compatibles. Trouver l'équilibre. Pas seulement alimentaire. De quoi survivre et même vivre. Mais sans excès. Juste ce qu'il faut. Et nos notions sont faussées pour l'instant. Nous le savions. Consciente devant le brouillard qui nous cache la misère.
120 Watts bien insuffisants. Croisons les doigts pour qu'ils ne soient pas seuls.
Semaine de folie en perspective. De samedi à ... Samedi ? Basser pour ne pas avoir l'air ridicule si je dois montrer ce que je ne sais pas faire. S'y remettre et ne plus s'arrêter pour mettre à jour un blog. 6 morceaux à connaître et apprendre par coeur.


^^^^^^   ^^^^^^   ^^^^^^   ^^^^^^   ^^^^^^   ^^^^^^   ^^^^^^   ^^^^^^   ^^^^^^


Même avec des madeleines, toujours un modèle de beauté pour moi. Alors ne pleure pas. Jean-Paul Sartres... Episode de. Deux ? Même chose avec les pailles d'or avec ma Maman. Pique-nique et balades en forêt. On baddera pas ensemble. On y croira. Jusqu'au bout, toutes les deux. Et on vaincra les démons perdus bien profond. Qu'ils aillent se faire foutre. Nous sommes plus. En parler de vive voix. Un peu bourrées, ça sera trop simple.


Jeudi 15 juin 2006 à 21:51


Cession basse toute la soirée à venir. GNA ! En manque de coups de doigts. En manque tout court, médiator jaune. Samedi approche. Gneeeuhh ! Pressée. Fuite artistique pro-éminente. Jeu scénique et jouer de scène. Se trimballer d'accord en accord. La jouer sexe. Cheveux rouges, cheveux verts. Détester les cheveux. Attendre. Grandir des poils de tête. Vite ! Pas de forme. Difforme, informe. Nonchalance contestataire. Attacher tout ce barda.

Déjà dans le BTS. S'attirer la sympathie. Naturellement. Bienvenu, accueillante. Être sociable sans le vouloir. 10 créteux. Réguliers. Adulation de Sid Vicious, personnage. Juste personnage. Ne pas s'identifier. Avoir la carlingue en feu et sortir le grand jeu. Parce que ! Pouvoir de séduction et provocation. Profiter de la liberté.
Taxi fini. Ne plus profiter. Aller au taf à pied. Ca fait les cuisses et les fesses. Comme une grande. La fatigue tue la complicité. Chacun, à soupirer. Mais ensemble. C'est un leurre en fait. S'aime. Tout dans la voix. "Tu es toute maigre de là." Effort. Et fort. La fatigue ne tue pas la complicité.

"Les Delphine(s) sont toutes des bavardes" Présent de vérité générale. Pour ne rien dire. Inutilement, futilités débiles. Marre de se foirer. Alourdir la tâche. Viser juste. Ne pas remonter. Se romper une fois encore. La dernière. Penser à la question fatidique pour progresser. Y croire. Juste ça. Besoin d'assumer, de se voir. Dégouliner. Fondre, comme neige au soleil. Non, assumer. La route n'est plus très longue. Avant le 29. Avoir le 16 tout rond.
"Soyons plus futés que le bison."
Plus que 2 jours.

Mardi 13 juin 2006 à 12:20


Dès le réveil. Juste la bile et l'acide fermenté. Douleur abdominale. Systèmes digestifs en combustion. Ne pas abuser de la rhubarbe en cachet. Se vider par tous les trous. Gerber son insécurité. Sans rien. Tout seul. Détraquée... Va t'recoucher ! Plantureuse et débonnaire. Jolies Choses. Faire la salope. Dernière carte en main. Trop chaud. Barbie fondante, ca croustille sous les dents. Mords, croque un morceau et tu verras bien. Tu deviens encore plus transparente. Autre registre mal maîtrisé. Ne pas regretter, culpabilité de merde. Fixette. Drogue dure et compagnie. Indépendance fatale et foetale. Gamine.Plus de piles ailleurs. Le double. Le crier haut et fort, parce que se vider est nature. Crever d'envie. Vie parallèle et absentéisme. Tu seras chatié de ta témérité. Faiblesse probable. Cherche pas et retourne à ton médiator. Tu sauras ptet faire un truc au moins. C'est pas une certitude. Se branler l'esprit. Pour finalement s'en contrefoutre et s'en taper de bonnes. Motivation des rangs. Non, dégage, t'as que ça à faire. Manque. Plus que quelques jours. Sang vaginal. Sûrement une reprise de la perte pondérale, pilule jaune rosée qui enveloppe. Comment peut-on être aussi énorme ? Se vomir soi-même est un droit. Sexe faible pas si faible. Plus fort. Mais patou-patou. Haïr les menstrues. Sentir le squelette. Juste ça, morte vivante. Parce qu'un cadavre est un cadavre. Je suis loin de là. En attendant, jouer la salope et se dire qu'on est deux. A deux, on est beaucoup plus forte.
Raccourci clavier : ^^^^^^



J'aime pas les pomelos anthropophages.

<< Page précédente | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | Page suivante >>

Créer un podcast