sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Samedi 2 août 2008 à 17:42




1676,32. 43 en 33, 21 en 50 et 1 en 100. 37h. 43,5h. 45h. 49h. 59h. Record battu cette semaine. 9 pour août. 7h-12h. 13h-19h. Des fourmillements des les mains, les muscles comme bloqués. Les fourmis qui réveillent la nuit et comme des décharges électriques quand les deux douleurs s'emmèlent. Le canal métacarpien qui se la joue perso et qui me tourne le dos. Il se plaint le vilain. Et moi donc. Il faudrait que je m'étire. Musculation forcée, endoloris. Rechercher la force là où il n'y en a plus. Persévérer et user de la méthode Coué pour oublier le mal. Ouais, le travail, ça fait mal au cul. Aux mains, eux bras, aux chevilles. Et ça fait suer. Ca fait chaud. Pfiou et puis, muscles ou, mais bouffe pour trente. Plus très bien dans les sketba.

Ils se font pas chier. [Certains] portraitistes. Queuh même. A base de photo. Photoschool et photoshop. Progresser, jouer avec les images. Colorisation, effet, styles. Cure cure cure. Sommeil. Dormir. Ma première paye qui fait du bien. Vais peut-être pouvoir mettre un peu de coté. Au cas où. Pour l'achat de matos. Pour voir les cailloux et les potes en Touraine. Pour aler en Suède voir le punk et sa femme. Au nouvel an, ça serait cool, à se les geler tous ensemble. Et aussi pour pouvoir ne plus travailler pendant les vacances ou pour pouvoir faire autre chose. Bosser, c'est ptêt un soin pour moi. Histoire de se sentir vivant et de me rassurer financièrement. Mais les vacances. Un jour seulement je prends. Ca me ferait du bien. Un jour, pas maintenant. Je veux pouvoir répondre à mes caprices. Paire de rock and g'roll ou concert. Ou cadeau. Ou boite de turpein. Ou des bombes pour les nouvelles idées de toiles. Et aussi pour les craquages d'un jour. Enfin,au cas où, si je veux. Pour les teilles pour les chouilles. Pour les anniversaires. Pour les timbres-poste, la carte imagin'R, et les maladresses.

Imprimer mon livre. Héroïne endormie ou les idées qui affluent. Faudra tout noter. Le passé, le pourquoi. Les rechutes. Le premier, père de Lisa. Le pourquoi du journal intime. Le pourquoi de Laurent. Et voir les modalités de retour à la vie des comateux, rééducation et le reste. Voir aussi pour la sécu en cas d'enfant malade ou voir si la possibilité de dépression. Voir aussi comment adopter, et si c'est possible pour une famille monoparentale. Faut que tout tienne la route cette fois-ci. Tout, de A à Z. Et réécrire tout.

Voir aussi pour les cartes postales. Et voir pour des cartes de visites et pour la législation. J'aurais dû prendre le bouquin à Dalbe, sur les toiles et tout. J'attends le chèque de Auchan. Le chèque de caution et le demi-loyer. 400 euros, et je les veux. Je veux qu ce soit du rab, le coup du mois d'août. Et que je puisse être tranquille pour payer mon école. Je ne veux pas de souci d'argent. Je ne veux pas devoir compter. Pas de dette,  pas de remboursement. J'veux voir si ça peut marcher. Toutes ces idées.

J'AURAIS VOULU ÊTRE UN ARTIIIIIIIISTE.


Et c'est l'anniv de Manon today et pour une fois, j'ai envoyé le texto tisuite. J'suis fière de moi, pas remettre à demain ou tal ours ce qu'on peut faire now *___* Ouais, il lui en faut peu, à la conne, pour être contente. Triple gni. Ce soir Hancock au ciné. Va faire du ienb. Et puis même qu'à l'oral, je m'exprime de mieux en mieux. Et ça. CA. Ca c'est une vraie fierté. Et j'suis dégoutée de la clope. Ca verdise. Féminise. Avec OinOin, le pied. Mariage symbolique à l'or blanc ou argent noir. Liés, et ça me touche. Tout est lié. Tout est schrouï. ACDC, y'a pas à dire, ça m'remue les synapses. Et supertramp... J'aime me sentir vivante. Ca vaut bien une mise ne page. Rien que pour ces mots. (Journal d'hirondelle de Nothomb is grou)


J'AIME ME SENTIR VIVANTE.
:)



Dimanche 27 juillet 2008 à 15:08




Le Tux en papier, PoingoinOinOin ! Imprimé, coupé et partiellement plié par  Monsieur Le bébé'Ion. Et finalement plié, collé, scotché, assemblé par Le Sir Ouistitruffe-taupe-dragon-mule-fée. Perdu l'unique lentille qui me permettait de voir la réalité à peu près bien. Nécessite une mise au point sévère, correction à revoir. Le monde défoncé et mal au crâne sans le verre de contact. La barre frontale, le flou gaussien ou pas qui envahit la vue. Des taches de couleurs distinguées seulement grâce à des contrastes bien agencés. Bénéfiques. Mais pas toujours, la nuit est une ennemie dans ces cas-là. Le premier RDV placeplumerien qui fait retrouver un Toudou finalement très impulsif, un Titine qui fond au soleil et qui est vraiment sur la même lambda. Un nouveau magasin de zic a ouvert pas loin de Music Paradise. Capodastre pour guitare classique à 22 euros et le vendeur qui m'prend pour une grosse conne. Va t'faire foutre connard. La prochaine fois, je verrai à en acheter un ailleurs. Enfin bon. Et puis, finalement hésitation fatale entre Monaco et NectarBananien. Finalement, la bière grenadine-limonadée qui gagne le défi. Et puis Kebab. Ouaip, ca fait mal à la gueule sans nunette. L'air réveur, absent, sûrement. M'a fait bien plaisir de revoir le Titine. Ah et y'a eu le Seib. Le second RDV rueduCommercien aussi avec les melju, Elo, Soph, Titi, Oliv' et Alex et M'dame X. Un menu vapeur, que ça de vrai. Et miam, beignet de banane. Le Jet 27 est écoeurant et les jeux à la con engendre l'euphorie. Atout, à la vôtre, même couleur, à la mienne. On va au jeux ? Vous venez jouer avec moi ? Ca tourne et ça fait les bras. Le toga pas mal mais cramé au fond et Titi qui était à Besançon en BTS CV option GEP. Je veuuuuux ! 

Regain de motivation au niveau plastique. En fait, today pas restau, mauvaise langue. Mais présence d'Elle. Habituel débat sans queue ni tête sur la macro et micro économie. Pas des parents communistes. Trop ailleurs, trop utopistes, pas réalistes sur le monde. Oui pourri et comment le changer ? Discussion stérile. Et toutes ces putains de généralités. Rha. Mais j'vous jure que parfois, j'me dis que y'a toute une éducation à refaire sur le monde, sur les sources, sur la curiosité. Ouvrez les yeux, âmes ahuries, la télévision ne dit pas que la vérité ! Vous êtes conditionnés ! Les rédactions journalistiques vous désinforment, oubliez ce qu'elles vous ont confié. Formatez, formatez ! Libérez-vous de cette emprise néfaste ! Je vous en prie, que ce flot de conneries dégouline de vos oreilles... Je rêve, car la connerie est là. Le reset est impossible,  il faut se résigner petite citrouille. Oui, je suis une citrouille. Qui sais, ptêt qu'un jour je me transformerai en carosse... Apocalyptique.

Tu peux faire le hamster ? Napo dort maintenant tout seul comme un grand bébé cochon tout mou. Pompe à vélo et craquage de slip par Moman-vélocipède. J'aime Tours et le plus mimi Gribou du monde qui va venir sur Paris et qui va en alternance. Rhoooo Nouuuuute ! Ce cher Noute. Suis fière de l'avoir eu un instant et d'avoir occuper son esprit et son coeur pendant un moment. Suis fière qu'on s'en soit sortis comme ça et qu'on soit ce qu'on est. Sourire béat et satisfait. Avec le regard myope. J'ressemble à mon Papa et j'en suis fière aussi :)

Parfois, c'est si simple. Parfois, je respire mieux. Ca ressource. Un de ces week-end avec le pot de départ de SmounGribouponque. Et retrouvailles cafétériennes et ptêt anniversaire d'Elodie. Passé en commun ? Parfois quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir. Dis, dessine-moi un mouton.
Mais j'manque quand même de sommeil. On verra plus tard.



Dimanche 20 juillet 2008 à 22:15



C'est pas moi qui l'ait dit. Le problème du "li". Tu yoyottes du poirot ma p'tite. J'hiberne en septembre et je veux voir mes soeurs. Internet est une vraie mine d'or pour celui qui cherche à tomber dedans. Spirale infernale. Wikipedia inciterait presque à consommer du LSD. Presque. J'ai enfin vu quelqu'une comme moi. J'me rends pas compte. Et j'aime pas ma gueule. Mais bon.

La fatigue s'accumule et j'irai dormir tôt. Toujours rien rangé et ça me turlupine. Porcupine tree. Yellow tree. Citronnesque, citronnelle. Elmer, le dernier éléphant. A la recherche du temps perdu. D'un nouveau bouquin à lire et surtout du livre de recette de l'anarchiste. Histoire de voir et de pouvoir le brûler sous mes yeux pleurant. La gorge est sèche, nouée, serrée. Et on sent que le corps peine. Que l'enfer pointe sous la façade. Qu'il faut se reposer la tête. Et le corps. Se ménager l'organisme. Et nourrir. Courir. Nathalie, chef sioux de l'atelier des Nobles Vergon qui semble m'idolâtrer. Qui veut lire "Superstars" parce que ça a l'air bien et qui veut les mêmes Alpine. Oui, aussi formidable que je veux bien le montrer. A quel jeu joue-je ? Allitération spontanée.  Je flâne intérieurement et ma cervelle est en pause. Me sens comme séparée de mon corps. En quête de synesthésie, comme pour un cake de l'espace. Partir loin. Trip far far away. Voudrais gérer l'anglais mais l'herbe est toujours plus rouge sur le balcon du voisin. Un nain de balcon. C'était l'arme du crime de ce serial tektonik killer : une main de jardin. Bouarf. J'ai eu un souci. Les grosses têtes. Je perds vraiment pied et me soumets à un silence ostentatoire. Si vous saviez comme j'aime me taire durant ces heures, aspirée par un livre. Portable d'équerre dès demain. L'Héroïne Endormie sera nouvellement modifiée. Incessamment sous peu. Pour rendre plus réaliste cette irritable histoire et modifier les détails impossibles. Ces... Pas anachronismes, ni uchronisme...  Anomalies ? Improbabilités ? Parce qu'illogique, pas tenable. Sujet pas maîtrisé au moment de l'écriture. Mais bon. Grâce à tout ce que j'ai pu lire. Tout ce qu'on m'en a dit. Toute cette merde de merde de merde de merde. Même si le meth est dix mille fois pire. En France peut-être déjà. Aieaieaie. Une autre façon d'éradiquer un peuple. Un peu peuple. Pueblo. Malgache à Madagascar. Scar comme le méchant 'Ion. Mimi dragonounet, il a dit OinOin. On l'prend comment. Comprends comment. J'aimerai bien m'accepter mieux et avoir un regard plus réaliste sur mon état. Les tas, c'est moi. Suis-je si atteinte ? A quel point ?



Mercredi 16 juillet 2008 à 22:54



Tiens, si y'a bien quelquelchose qui m'énerve, c'est qu'on rajoute sans gouter, sel, ketchup ou autre ingrédient à une sauce ou un plat savamment étudié pour qu'il plaise. C'est histoire de dire que c'est pas parfait, qu'il manque un truc, un truc à redire. Ah lala..... Me font chier tous les deux. L'un à intolérer l'autre et l'autre à être con et égoïste. Voilà. Et ses manies de se prendre pour le centre du monde. J'ai des tendances médisante quand je suis ainsi.
Sous mes airs sociables et gentille se cachent une associabilité aigüe et une méchanceté sans nom. Comment dire ça ? Je tiens à ma solitude. C'est pour ça que je fais onze bornes aller-retour pour ensuite rester debout entre sept et dix heures... Me fais chier de me dire que dès que je suis chez moi, y'a des gens. Même si j'aime le OinOin jusque dans le moindre recoin de mon hémoglobine, et même si ça veut rien dire, ca m'fait chier qu'on se voit tout le temps. Sauf le matin. De 6h50 à 7h10, le temps de me préparer pour partir. Et de 7h10 à 7h50 le temps de parcourir mes cinq kilomètres et demi à pattes. Puis après, jusqu'à midi, j'me coltine les collègues, plus ou moins lourds, inintéressants, lassants, gentils, cools, drôles. Ou pas. Et là, je lis. Je lis. Je marche un quart d'heure histoire de promener mes pattounes. Et puis rebelote à 13h. Taf jusqu'à 18 ou 19h. Pour les statistique, j'ai fini :
1 fois à 16h.
1 fois à 17h.
4 fois à 18h.
6 fois à 19h.
Soit 25 heures supp depuis le 1er juillet.
Bon, après je rentre à pied. Et c'est le pied. 40 minutes avec personne pour me faire chier. Personne, sauf le bruit des moteurs sur la Nationale 20 en pleine heure de pointe... Enfin, j'ai ma musique. Puis en rentrant, y'a Coin. Et Fat. Et ma mère. Alors jusqu'à 10 heures, à moins de lire ou de jouer du nopia, faire bonne figure alors que non, j'ai pas DU TOUT envie de parler. Ma journée ? Que dalle, des dialogues imaginaires dans ma tête, des comptage de paye, de calories, de secondes, d'élastiques à enfiler encore jusqu'à ce que l'heure se finisse, de nombre de paquets à la minutes, de nombres d'heures à faire pour arriver à une paye de telle somme, de calories dépensées, ingurgitées, de jours avant de voir mes cailloux. Puis des histoires, des nouvelles, des récits, des idées. De dessin, d'écriture. Puis des envies de chanter tout haut. ET QUE LE VACARME DES PLIEUSES CESSE S'IL VOUS PLAIT !! Que je puisse penser en paix. Vulgaire rythme lassant. Accadencé. Et que je serai plus rapide que celui ou celle qui bosse devant moi. Et qu'il faut que je bosse pour pas me faire chier, ne pas prendre de pause. Et Dieu que je me fais chier. Voilà à quoi je pense quand je bosse. Je pense à Simon qui ose, qui ose, QUI OSE user de la vie de bohème, sans contrainte, sans montre, sans obligation de moyen ou de résultat. Sans rien à prouver. Ouais, j'bosse pour gagner des tunes. Mais j'ai plus de vie. J'arrive, j'suis trop morte pour écrire, trop énervée d'avoir perdu du temps pour écouter des co-habitants, trop naze pour réfléchir, trop pas nette pour ne pas être maladroite et dire des conneries. Trop nul de taffer comme une conne pour perdre autant de temps. Alors qu'à gagner moins, j'en profiterais plus. En profitant juste du temps qui passe... Voilà pourquoi j'ai la rage. Parce que j'aimerais arrêter les études et je sais pas, être... Factrice. Guide touristique ? Jardinière ? Musicienne ? Artiste-peintre ? T'façon, rentrer en marchant, ça fait travailler les muscles et le coeur aussi. Alors... Dans la poche.

J'débloque sévère. J'me dis qu'elle s'est bien jouée de moi. Qu'on y a cru. Et que la fleur est trop fanée à mes yeux. Morte asphyxiée par ses propres rejets de C02. Tu t'étouffes ? A trop vouloir t'immiscer et faire la lèche-botte, t'étais devenue indispensable. Ce qu'on pouvait penser. Mais, pauvre caricature de toi-même. Que dalle. Tout le monde t'aura oublier ici. La vie se fait tout aussi légère.
Toutes les filles sont bi ? Tu rêves. Mais ptêt que. Ca t'dit un plan à trois CoinCoin ? En ce moment, j'ai envie d'essayer l'amour avec une nénette. Je fantasme. "Si tu me le dis, c'est pas tromper" Oui tu peux participer. Gni. T'façon, elle sera lesb. Na. J'me sens retombée. Dans l'trou. Pas sécuritaire. Dépenses supérieures à la recette caloréfique. Et plat gras, mais préparé avec amur. Amur, amur.

Bosser avec le patron. La côte qui. J'ai du mal à penser. Je cogite à tout ce que je devrais écrire. Tous ces bouts de livres. D'histoire. Réaliser qu'on est né en même temps que l'informatique. Je veux écrire un roman. Un roman. Il y aura ce personnage doux, au regard vif, un brin charmeur et malicieux. Fraternel et protecteur. Puis celui-ci. Intelligent comme pas deux, cartésien, compréhensif, terre-à-terre, réfléchi. Puis lui, philosophe, doué, dans son monde. Et celle-ci, la brise coeur. Qui s'émancipe de ton coeur sans que tu ne puisses rien faire. Connasse. Et d'autres, indispensable au bon déroulement. Pour te tenir les épaules petite héroïne. Tu ne t'endormiras pas cette fois. Tu te lèveras, et le majeur avec. (Margeur ?) Subversifs. Le monde, tu lui donneras une pichenette. Tu vivras ta vie, celle que je te façonnerai à l'atelier. MOuahahah. J'aime mes jeux de mots. Ca me rappelle Loute et "J'ai gardé tes jeux de mots débiles. Et ça les fait rire quand je les case..." Ou un truc du genre. J'ai toujours "fantasmé" sur les Simons. Beau prénom. Si, j'ai un mec, ça sera Simon. Le prénom bien-sûr. Enlevons la connotation ou pas. Quelle définition...

Ca fait du bien de lâcher ses doigts sur un clavier. Quel qu'il soit. Ce week-end, se lancer pour la nouvelle nouvelle. Y croire. Tenter de nouvelles expériences. Et acheter une cervelle. Je ne deale pas. Et parfois j'aimerai coker. Même pas vrai. Je suis stupide. Trop destructeur, pas d'occasion et pas envie. Juste un ptit pet quand j'pourrai. J'ai envie d'une fille. Expérimenté. Si t'es tentée... Samedi, à Pigalle pour les Alpine de Nathalie. Et Samedi d'après, anniversaire de Marj. Retour sur Tours. Contre le ToursBlue. Et voir Guizm. Et NikoToudou. Ce serait cool. Ouais, cooooool. Gnégné. Ta gueule Delphine. Ta gueule Delphine. Gnougnou. Pfiou.



Lundi 14 juillet 2008 à 17:36




Relan d'Eludril et de cône au chocolat. Le Quick qui passe mal. Frites Mac Do, frites maison et frites Quick, la totale. en trois jours. Soit environ 1200 calories par jour minimum. Sans sport. Ou une petite heure de marche cada dia. Mercury Messenger et j'adopte la liberté.

Elle aimait se trimballer sans soutif, comme si elle avait un brin féminisme, arborant sa poitrine, petite mais fière, et surtout légère. Ca semblait bizarre qu'elle l'assume si bien, mais l'essentiel n'était que chacun de seins tiennent dans une main. Jouets destressants.

Là où j'ai encore ri violemment de la conneire humaine, de ces gens qui profitent de chacune de moindres failles pour se faire de l'argent sur le dos de la population entière sans s'en rendre compte. Exemple d'aujourd'hui : une madame qui refuse de payer l'amende d'absence de tickets de parcmètre sous prétexte qu'aucune loi oblige à payer le parcmètre. Ou va t'on ? Deux solutions, soit cette dame n'a pas payé les frais de procédure de tribunaux parce qu'elle n'en a les moyens et qu'elle a eu un commis de justice (donc c'est les impots de tout le monde qui ont payé le dit-commis), soit elle s'es tfait remboursée des dommages et intérêts dûs à la procédure et là, c'est le Trésor Public qui lui rembourse (soit les impots de tout le monde) car le TP est la partie attaquée. Voilà. Et ça me révolte qu'on ait de tel comportement ! La meuf peut pas payer comme tout le monde. Mais flute de zut de crotte de bique, la législation est fondée sur des sources de droits qui peuvent être d'usage comme les moeurs et coutumes (qui souvent, nous arrangent pas mal), sur des textes de loi, genre directives, recommandations, propositions de loi, conventions, Constitution, et autres code civil ou code du travail... Bref, tous les gens qui ont payé le parking ce jour-là n'ont pas contribuer au réinvestissemnt dans la rénovation de voie ou dans l'implanatation d'un feu rouge mais bien dans le remboursemnet de frais de procédure de tribunal. Bravo bravo, clap clap, on applaudit tous ! OUI, ça fait chier les parcmètres, OUI, cet argent ne tombe pas dans les fouilles d'un politicien arnaqueur, OUI, c'est cool pour la fille, puisqu'elle s'est fait des tunes et a soulevé un problème de législation, OUI c'est cool pour l'avocat ou le commis, puisque sa réputation est faite maintenant et qu'il va devenir riche. OUI, bravo, on va se voir lire bientôt des nouvelles lois sur les parcmètres dans le bulletin officiel et tout le monde sera contente, OUI, comme ça, les députés devront se réveiller deux minutes pour voter pour ou contre la loi, OUI, il ne seront pas payé à rien faire pendant deux minutes, bravo clapclap.
L'argent est maître de ce monde, et ça me fait mal. Ca me fait mal de voir que les gens soient tellement dans le besoin, éternellement insatisfaits de ce qu'ils ont, qu'ils vont chercher des poux dans la Craz tête d'autrui pour pouvoir s'en faire et qu'ils balancent des procès à tout bout d'champ pour s'en faire encore et encore et que gnagnagnan, j'ai même plus les mots dans mon indignation, ma compréhsion, mon incompréhension, ma pitié et ma compassion. Mais ça m'brise le coeur de voir tout ça, ces comportements bizarres, compréhensibles, et incompréhensibles. J'oserais pas.
Parenthèse finie.

Tous les DBZ téléchargés. MOUAHAHAH. Crazy factory, ça me plait. Et j'aime pas la télé. On lui manque à ce petit chou à la crême ? Pfff. Maïlys a eu son bac. Et Napo est dans le coma, notre pauvre petit cochon. La baignoire est crados et je suis un mimi ouistit-dragonounet parce que : "Arrête de piaffer" Sèchement. Je ne supporte pas les piaffements. D'un parce qu'on m'engueulait quand je piaffais quand j'étais petite : donc simple règle de politesse, fermer la bouche quand on mange et pas faire des bruits d'évier et de deux, parce que voilà, j'ai tout dit dans le un.  Enfin, ouistiti avec une truffe, alors hein. Et j'aime quand tu me le dis, Bébé'Ion. Papi'Ion s'est rangé du côté de la Force Obscure. Insupporté par le Oin, by me aussi. En ce moment. Même pas drôle.
Ouistitruffe, Ouistiti, Truffe, Dragonounet, Fée, agrémenté de petite, mimi ou pas.

C'est pas poilant mais bon. J'ai retrouvé mes bouquins, vais en mettre en vente sur Amazone. Au cas où. Pleins de choses à dire, écrire, sortir. Mais les ras-l'bol affaiblissent. Dessiner fait oublier, bulle, j'ai des bulles. Une bulle. Tintamarre, tintamarra, tintamarre mare mare. Marabout, marabout, marabout boutbout. Boutd'ficelle, selle de ch'val, ch'val de course, course à pied, pied à terre, terre de feu, feufolet, lait de vache, vache de ferme, ferme ta gueule, gueule de loup, loup des bois, boite à lettres, lettre de Troie, trois p'tits chats, chapeu d'paille, paillasson, somnanbule, bulletin, tintamarre. Marre, marre. Et autres variantes.

On joue à la marelle ? Ma soeur, petite asana guruff  trop bavarde ? Non, j'suis sûre. Je l'aime. je les aime. Toutes autant qu'elles sont.



Mardi 24 juin 2008 à 10:15





"Pouss-pouss" au pastel gras sur papier Canson.


Le flux galère trop. Ca pousse à la tête. Carte mère et barre de RAM. Marre de rèm' et barque rame. Barre de mère et carte RAM. Bord de mer et quatre trams. Mouais. Un peu glauque tout ça. Tout blanc. He said to me not to smoke too much. Pat'euz. Deuz, dos. Le duc est mal en point.Souffrances et choix. Paternité, stérilité, mariage et pas de regret. Pourquoi, pas ? Dans un carton le Pas. Doit rire comme un taré. Je décartonne. Parce que je vais m'installer. Chez Nous, chez ma mère, chez moi. M+M=N. Limite sédentaire. Ou pas. S'amuse comme une gamine. Et une tartine de nutelle. Et pas Nutella au pain, de gni. Donc géré, grave, sans de dégats. Une madeleine. Une pomme. MDP. Mangez Des Pommes. Une demi baguette de pain et une compote. Donner  à manger au Ion avec la cuillère. Vrais gosses, so grou ! Puis égoïsme primère. De rien. Gneuh. A ton service Ducon. Le "jeune homme" sans retenue quoi ! Connasse. Ca, ca fait bizarre. Même zarb. C'est dire. Virtuelles Tête lourde, cou plafi, flappy. Coup douloureux. Conversations virtuelles et palabrer. MaitreZen, LeDuc, Saïemon. Moi j'veux quelquechose de nucléaire. Pas de pollution, ey puis quoi encore ? Découvrir TheNiKoSoVo. Hum, réfléchir à l'envers. Balaud. La poule aux oeufs d'or. Croqueter. Nature morte, nature vivante, modèle vivant, criqueter. Et OinOin n'à la basse ! Tête dans le cirage. Se réveiller à 7h pour le dessin de remerciement et puis pour les cartons. Gnihihi. C'est ça qu'est bon !
Avec deux oranges pressées au réveil, un tite tartine grillée au pain et une madeleine. Pas la peine de rentrer Moman, j'saurai m'débrouiller. Inventaire du soir, espoir. Question con mais intéressante pour mes papattes : j'fais comment pour aller et venir. 5 km, pas le bout du momnde, mais un bout quand il est 3h du mat. S'en fous la fille, ce qu'elle veut des tunes. Des tunes pour Condé. On y arrivera. Sans me connaître, comme ça. Rho Moman.



Jeudi 12 juin 2008 à 19:57




 " Il ne faut pas écouter les bruits du monde, mais le silence de l'âme. "
HAHA. De tu sais qui ? Attaque miroir. Y'avait plus de scotch à Leader. Plein de trucs scabreux. Stalagtite chronophage. Magdalena, noir, les liégeoises et 250 gr d'addiction addictive. Il lui a dit merde. C'est tout. A la bourre mais ça ira. Humhum.



Jeudi 12 juin 2008 à 14:13



Revu Soeur Anne. Du bien. Parler de choses, de choses. Faire tomber un bout du voile de velour et découvrir. Plus que plaisant. Je parle trop. Restau sympa. J'me dis parfois que j'aurai dû me secouer un peu plus. Prendre une colloc à Tours serait revenu moins cher. Bref. J'aurais pû profiter des gens que j'aime. L'abus de conditionnel est mauvais pour le moral,alors c'est fini. Pas de regret puisque finalement malgré la passivité, Kaedrinn, soirées, RDV mensuels du mois et voir les cailloux. Donc voilà. En fait, malgré le temps de réaction.
J'essaie de parler mieux, de choisir mes mots. Arrêter de dire machins, trucs, putain, merde. Putain soudé à mon vocabulaire soudoyé. Mais pour le reste, faire de vraies phrases. Ce tient à peu. Je sais parler :) La meuf qui comment à piger le but d'une langue. Aussi réductrice soit-elle. J'aime OinOin. J'sais pas comment dire. Le coup de fil du dimanche qui réavigote l'ancéphale, le corps, le coeur et dans un autre désordre. Croire. Balauterie d'aimer mon indépendance. J'aime ma Maman. Complicité ressentie. Chiante I am, poor Mum.*
Et puis, elle veut re reprendre. Main. Pas maintenant. Attendre le départ des gars pour remanger normalement. C'est à dire peu. Quand "J'ai pris 4 kilos", "Tinquiète, quand on sera tles deux, on reprendra de bonnes habitudes" Sauf que ses/ces bonnes habitudes me conduiront ptêtà la connerie. Quoique je suis résonnable. Pas de vomissure-beurk depuis longtemps. Un vrai repas par jour. Enfin pas équilibré. Hate de prendre de bonnes habitudes. Amertume. Bref, les lithographie du Coin-truc dans le vieux Tours m'obnubilent. Je veux faire la même.Problèmes nourriturals résolus. Bouffer comme deux. Ou comme un normal. Je recompte les calories, je me repèse. Laisser la balance aux fontaines. En plus, soirées, alcool parfois, et restau. Kebab dimanche et mardi et lundi au bureau. Chouettes moments. Bref, je me surprends à me dire : allez, deux semaines de jeûne et le tour est réglé. Mouais. Folie ancrée dans la masse mal-pensante.

Positive, cure de gens. Gagné le poker, fait du bien. Toujours une partie pour reprendre les habitudes. La fille, trop lente à comprendre. Puis la partie observatrice. Comment jouent les autres. Techniques et logique. L'illogique pour semer. Rigoler avec Gabi-le-rebel. HAHA. Finalement.
Les pinceaux, c'est pas pour moi. Une tonne de matériel. Et puis le pastel gras. GRAS. GRAS. Pour rattraper la merdasse. ¨Pas douée du tout du pinceau. Rire sur du kraft avec du blanc et la mine de plombs. Croqueter, craqueter, craquer. Over-motivation. Envie de l'année prochaine. Malgré les risques et l'esprit dérailleur. Ailleurs, des railleurs, des railleries, dérailleur de mon vélo et des railleurs genre SNCF qui s'en mettent plein les chepo avec des amoureux en manque.
Parfois j'repense à Babypuppe. Envie de. Et puis l'hésitation est amèure et anéantit l'envie. L'attente est banale, baddante ou que-sais-je, mais un truc quoi. A Gwen. J'ai envie d'un industriel. Pouf barre de berwell dans l'hélix et l'anti-hélix. Un voisin qui fait du pain maison, ça se sent jusqu'ici. Vais me faire inviter tiens ! Elles en sont où ces histoires d'amour ? Envie d'écrire, d'écrire. De reprendre la plume. Et de faire de la poésie. Maladresses à éviter. Ranger.

Et puis flûte, j'déménage demain, pas un seul carton de fait xD Et si je me motivais ? (Conditionnel de merde) Je me motive. Présent à valeur de futur proche. Je vais me motiver. Je me motiverai. Je me motive. A croire que pas envie de partir. Fly away. Faut que j'aie une mention bien à un master recherche pour pouvoir se lancer dans un doctorat. Delph, Docteur en arts appliqués. OUAIS ! Bref, déjà un master. Seule chose restée dans les motivations. L'émotivation. L'émotion. La Nonman qui me fait penser. Très mature cette petite. Plaisant. Plaisanter. Pouik des ploplos, d'effets. Des petites fées. The ouistitruffe en action. J'aime me dire que je pars d'ici pour progresser. J'aime me dire qu'il y a sur Tours des gens que j'aime. Que Loute, ce Gribougnou, sera peut-être sur Padame et la grande dame métallique. Que je serai pas seule. EliseEliseGrosCaillou que je vois vendredi avec mes grosses pierres, Guiz, Loute, Mathieu, MaitreZenOliv,  puis Rikku, et d'autres.
Pas de groezrock l'année prochaine. Pas que j'aime pas le Belle Gique. Juste que du ponqueuhponque en masse, j'sais pas. Pas spécialiste des buveries. Chez Nathan, y'avait de la musique de mon Popa.

Mon Popa je l'aime. Relu toutes ces lettres. Celles de Saiemon, Popa, Fanny. Larmes aux yeux. Même pas de la nostalgie. La joie d'avoir ou d'avoir eu de telles personnes autour de moi. Une fierté certaine. to b ethat I am now because of them. YEAH. Ecrit une lettre d'amour à mon Popa. Failli écrire une lettre d'amour amicale à TheDessinatorIllustratordeSaiemon. RHaa, ces artistes. Loute au look de Papa. Vivifiant de voir nos évolutions. J'aime.
Le bonheur, c'est vraiment dans la tête. Et ce, malgré les bad éthylique. Vida es belle. Et travailler, façonner. Toucher à tout dans le milieu. AHHA. Je sais où je ferai mon stage ne technique de production en BTS. MOUAHAHAHA. J'm'aime mieux. Et même que hier, cinq heures de guitare avec l'accompagnement. Retrouver cette joie des doigts qui souffrent. Ibabasse me manque. J'pourrai jamais les vendre. Takaminemacopine me manque aussi. Bientôt hein. Et puis quand je serai riche. :)
Et puis quand je serai riche, atelier. Ou pas. Ou juste des expo à foison à coté d'un taf de prof ou d'autre chose. Le gros pied pour arrondir ses fins de mois en se faisant bien plaisir et en partageant. Si seulement. OUI !


Plus positif, tu meurs !

Lundi 26 mai 2008 à 16:34



Mon nom est Bon, Jean Bon. Version française du sex symbol spy. Sans sex, sans rien. Dénudé et à gerber. Genre gros beauf. On imagine.

Samedi, le centre Pompidou à Beaubourg avec OinOin et C. très chère belle-soeurette.
Deux expo. La première, un peu surréaliste, mélange de styles, d'époque. Ces artistes qui ont des soucis psychologiques. Louise Bourgeois, artiste du XXème siècle, et de quoi faire une psychanalyse ... Un bon complexe oedipien, une haine paternelle à cause de l'adultère avec Nounou, un enfermement  mal vécu. Du glauque, du glauque. Phallique et mamelaire. Du glauque, du glauque. L'angoisse personnalisée, du morbide féminisé. A nous mener ainsi dans son univers, on avait vraiment mal pour elle. Et secundo, les Traces du Sacré. Représentation du sacré, dénaturalisation, interprétations, expressions. Tout est relatif. Les démarches artistiques parfois géniales, parfois difficiles à saisir. L'art moderne.
Pol Abrahams, un doué en plan. Jolies architectures qui restent modernes même encore aujourd'hui. Les HLM, les grosses baraques communautaires, lycée et trucs. Les villas pour riches. Mais réalisation. Opinions positives à modérer, trop beau sur le papier pour être vrai.

Recherches par curiosité sur :
Gérard Garoust, Anselm Kiefer, Yan Pei Ming, Dado, Vasarelly, Alain Jacquet, Gérard Fromager, Martial Raisse, Zao Wou Ki, André Derain, Kupka, Kandinsky, Marcel DUchamp, Max Ernst, Francis Picabia, Fernand Léger, Marc Chagall, Valloton, Chaim Soutine, Henry Laurens, Juan Gris, Giacometti, De Stael , Jean Prouve, Degotex, Nitsche, Jay Defeo, Maurizio Catelan, Mary Wigman, Scurti, Otto Dix, Georges Braque, Paul Klee, Molohi Nagy, Josef Albers, Dubuffet, Delaunay, Pollock, Felix Del Arle, Bonnard, Matisse, Morellet, Jesus Rafael Solo, Bruno Perramant, VasLaV Nijinski, Rick griffin, Balthus, Georgio de Chirico.

Ouais, tout ça. J'ai adoré. Soif d'apprendre. Musique classique aussi. Ne plus être inculte. Et s'ouvrir, s'ouvrir. A toute forme d'art. Connaître un peu, beaucoup, à la folie. Sur tout. Surtout. A mi-chemin entre rêve et réalité. Parfois. Tantôt.

Les trips de merde à longueur de temps, quadri-collocation ma foi agréable. Une partie de Wormux avec ma mother. Si, si. En ligne, quatre cons. Et voilà que ça recommence. Je me demande ce qu'il adviendra de nous. Tout le monde participe aux tâches ménagères. Je me permets de rêver. Mangeuse de pain. Manger diététique parce qu'en meute. Perdre tout doucement pour éviter de tout reprendre très vite et yoyo à gogo. Je suis stupide et ridicule. Enfin voilà. On s'comprend.
J'aime savoir ce que je veux. Je suis prise à Subway et en proie à un CHOIX. Je n'aime pas les choix. Je dois voir. CCAS ou Subway ? Là est la question. Mais d'abord le second et dernier (redondance, je sais) entretien pour CCAS.J'ai rien foutu pour les oraux et je suis dans la merde. Pas grave. Si j'ai la chance d'avoir mon BTS, je ne l'aurai pas mérité. La détermination. Et j'me fous du beuteusseuh comme de ma première p'tite culotte. Donc bon. Je l'aurai pour ma Môman et mon Pôpa.
Tour de myspace. Me manque. Il y a des personnes qu'on connait fort peu mais dont l'aura laisse des traces très profondes. Je pense à elle. Soeur Anne. Surnom pas assez ou trop je-ne-sais-quoi. Mais j'aime. Bizarre, ce mystère qui la recouvre et m'enivre. Il y en a peu, des inconnus si proches que même la distance et le silence n'éloignent pas. Relation ambigüe, presque pudique. Et presque pas. Parfois, les mots sont trop réducteurs, aucune phrase n'est utile pour décrire ceci ou cela. Le non-dits qui ne changent rien. Comme s'il n'était pas nécessaire d'utiliser le langage. Retenu. Et parfois je me demande ce que je ferai sans musique. Alors j'écoute Adrana et ça fait vraiment du bien. Repenser aux concerts. Envie de les voir. Le 7 et le 13. A croire que je suis accro. Sûrement d'ailleurs. Et puis même qu'une soirée mondaine. HAHAH. Et sévir peut-être moins ce soir-là.
Ma mère est une déglingos, taré, toc-toc, timbrée... Elle veut que je lui prépare un spice-cake. Complètement folle à ses heures. Expressions à la mord-moi-le-noeud.  Et puis la pomme tombe au pied du pommier. Et parfois très loin. J'aime ma vie. J'aime. La situation me fait rire. Complètement folle. Comme si j'étais sa béquille finalement. HAAAAAAAAAAaaaaaaa. Hâte d'être en MANAAAAAAAaaaaaaa et faire pleins de trucs avec les couleurs. Paris aussi. Je me sens chez moi. Totalement chez moi. Avec la télé en plus. Beurk. Mais chez moi. Et pas avec la malbouffe. C'est fou ce sentiment de découverte : j'aime MA vie, je M'aime (un peu). Se supporter, c'est plus qu'agréable. Malgré mes nombreux défauts. Non. La musique et la couleur, les traits, je crois que ça me suffit à être heureuse, si je sais que j'aime ces gens...



Lundi 12 mai 2008 à 23:13




Oh my God ! Et re !  Non je suis une thon à l'huile.  Je suis confiante pour les examens. Et je suis impatiente de passer l'entretien du tube. Il faut que je le décroche. Avoir des tunes. Des tunes ! Tout cet été. Et puis même si c'est pas assez.
Je dois 450 euros à Tony. 450 pour un ordi pour ma Moman. Enfin non. Je lui dois 230 euros. 230. Il va falloir bosser. Doublement. Mais si je fais 35 heures à Noblet et 12 heures à Subway, ça pourra être cool. Certes, je vais vite être morte. Mais c'est juste un mois. Juste un petit mois. C'est rien après tout. Et puis, tout ce que je veux, c'est des tunes. J'espère juste qu'il n'y a pas de contrat minimum trop élevés. Genre faut pas que je foire mon année. Puis si Coin peut bosser à Orange, ça me déculpabilisera. Ca fera le couple d'étudiants moderne : tous les deux au taf comme des prolos avec les cours à gérer. Non l'année prochain j'aurai plsu du tout de vie sociale. Ni de tunes d'ailleurs. Je sais que je fume mes dernières clopes. Partent en fumée. Je mets face, je mets pile.Jeu de mots Ramucho. HAHA. Le nain au balcon détecteur de potes qui leur refilent les clefs, les sourires du bébé'Ion. On n'a rien loupé, elle a dit. On rigole comme des petits fous tous les deux. J'ai laissé le stress s'envoler. Je suis confiante. Pour tout. Je sais que ça ira pour les exam, j'ai pas le choix. Y'a deux ans, je commençais ce blog. Je suis fan de Hans Zimmer. Je veux tout déchirer. Ce n'est pas la veille des examens qu'il faut se dire de réviser pour y parvenir. Mais je sais que réviser à fond ne m'aurait servi à rien. Sauf en éco droit.
Calculatrice, média-poche et cervelle. Trousse. Effaceur. Régle. Montre.
Tout se joue. Genre, tout mon avenir dans ce bout de papier. Non. Non, c'est pas vrai. Oui, je tourne tout de travers. Il a raison, je le sais. Je l'aurai pour lui et pour mes parents. Puis pour ma p'tites soeurs. Pour assurer mon rôle de grande soeur parfaite même pas boulimique.
S. me rend folle parfois. Rha,mais j'ai envie de le secouer. Oui, la vie de bohème. Un jour,  nous serons trop vieux pour jouer à ce jeu. S. part. Loin. Trop loin. Sur MSN, trois griboux qui ont pris une route. J'ai envie de fumer. Et nous serons comme qui dirait, éclaté. Il est soumis. Ils seront tous loin. Je serai à Paris. Pas seule. Je pense ne pas avoir le temps de faire la foire. C'est pour ça que j'en profite en ces jours de soleil. Parce que si j'en profite pas avant de partir, ça sera fini. Fini. Et ces cailloux. Et si je bosse à Sub, je ne pourrai venir que pour les vacances. Orgie totale. Et puis non, puisque taf et puisque projets à mettre en place. Donc je n'aurai pas de vie sociale pendant un an. Ca ne me désespère pas. Ca m'intrigue.
J'ai 10 kilos à perdre. 8.Oui, 8 c'est dejà bien. Mon plus grand poids a été de 49 kilos il y a 5 ans. Le plus petit de 38 kilos, il y a 2 ans. Je ne suis pas loin du plus grand. J'arrive pas à dépasser le cap. Mais je vais me prendre en main avec ma Maman. Moarf. Je suis heureuse de passer l'épreuve de stratégie de com demain. Parce que ça veut dire que c'est bientôt fini.
Et parfois j'ai envie de leur en mettre plein la gueule. J'en pense quoi de cette famille autrichienne, de la fille et de l'inceste ? Et toi, t'en penses quoi de taper sur tes gosses ? Tu me demandes ça à moi ? Il ne faut pas insulter ses beaux-parents (mère), même si c'est que dans sa tête. Nan j'avais intérieurement la haine.Elle m'a saoulé tout le repas. C'est pour ça que je réplique comme je peux. Je me détache et parle avec le plus d'objectivité. Le cerveau parle. Et puis fais chier merde. Elle me prend pour une gamine ou quoi ? T'arrives plus à exercer ton pouvoir parental alors tu te prends pour ma mère ? Ouais, j'suis ptêt pas très très responsable. Mais je sais m'assumer. Je sais qu'on doit se lever pour aller à un examen. Je sais qu'il faut mettre son réveil poru aller à un examen. Je sais qu'il faut travailler et ne pas être fatigué pour passer un examen. Et puis merde, c'est ce foutu tapotage de crâne de son tube de crême qui m'a saoulé plus qu'autre chose. Elle est en manque de pouvoir. Voilà. Fallait que je le dise. Parfois, j'ai envie de lui en mettre plein la gueule aussi. S'il y a bien des choses que je ne tolère pas, c'est bien ça. PouaH. Ca fait du bien de l'écrire. Ca m'en ferait bien aimé mon connard de beau-père. C'est dire. Re-POUAH. Je dis vraiment de la merde. Non j'y viens parce que je préfère qu'elle me parle qu'elle lui parle. Moi j'ai juste à gerber les mots. J'ai pas envie qu'il en encaisse. Même si c'est le plus fort du monde. Agrooaaa !

J'avoue que je suis bien dans ma tête. Et j'aime bien manger du canard. Les temps sont chouettes. Et la côte de Grandmont grimpée à vélo sans s'arrêter, encore. Je me suis musclée un peu. J'ai de grosses jambes, mais musclées. Ca me fait plaisir :) Rest eplus que mon imbécilité à épargner. Et des tunes. Bien que très matérialiste comme pensée, j'aime pouvoir me dire que je n'aurai pas de dette. Les rembourser très vite. Et je vais aller dormir. A partir de demain, tout change. TOUT CHANGE.
Ok mad'moiselle.
Putain, ça ressource de revoir les cailloux. Ca ressource. Comme une symphonie. Je vais me mettre à Linux. J'ai envie. Décalage. Et je suis amoureuse du plus beau bébé'ion de la faune urbaine. Ouistitruffe en plein love. So grou, so gruik, so grouik. Et plein de "ne". Mais pas dans le bide.

Merci la vie. Merci. Je respire malgré la peur et les questions. Je saurai. Je jouirai de chaque moment. Malgré les difficultés. Juste une année. On se verra sur de sur de sur de sur pendant les vacances. Tours [Les cailloux. Les caféterriens. Soeur Anne. Les zouzous. Emeric. Les jumelles. Les Fattydicks.  Carole. Luce.] Paris [EliseElise. Matthieu. Chloé. Maitre Zen. Gabi. Pipionnilles. Et la famille]
Je ne louperai pas la fête de l'Huma cette année. Le festoche de la BD semble fortement compromis en cas de job studientes, mais c'est pas grave. Parce que j'aime la musique du Roi Lion.



Samedi 3 mai 2008 à 11:03




Jamais vomi autant de sang. Senti. La peur de s'étouffer, morte pathétiquement sur des chiottes, dans sa propre gerbe. Terriblement excitant, petite conne. Recommencer, comme si ça ne suffisait pas. Comme de la sauce tomate ou du vin, un gezer écarlate. Même avec le dentifrice, l'acide ronge le souffle, coincé avant tes poumons. Un noeud papillon. Ca fait mal, hein ? Tout le corps crie, ô douleur, mais la folie n'entend rien : elle savoure le plaisir. L'esprit court avec légèreté dans les méandres de la mort. Psychosomatique. En pleine jouissance destructive. Encore une fois, pour qu'il ne reste plus rien. Jusqu'où ça ira ? Le 10 novembre, c'était férié, tu te souviens ? Un mois après. Genre, je gère. L'assonance ? Irresponsable et inconsciente. Il est ridicule de se croire maître de soi alors qu'on en est dépendant. C'est du sado-masochisme, une façade noire : tu as peur de toi. Deux toi, à l'intérieur. La pourriture d'intellect qui suppure de conneries,à foison. Petite naine, tu es bien maladanorimique. Jusqu'à réutiliser le contenant initial pour justifier d'une comparaison, fallait le faire. C'est fait. Triste nuageuse. Ou quand l'esprit déraille et le corps aussi. Ou comment saboter des efforts réalisés au cours de plusieurs mois en une catastrophe surnaturelle . Ou ne plus savoir ce qu'il faut faire. Je pèse ce qu'elle voulait peser du haut de son mètre 70. Ce n'est pas triste ça ? Donc ? Une obligation de résultat. Rapide. Les moyens pff ... Une semaine, ça sera juste. Try all the same.


On fonce dans le tas. Associable associale. Même plus capable de rire, de faire rire. Blasage et pression pré-BTS. Et ça. Je sais qu'on ne tiendra pas longtemps éloigné. Que JE ne tiendrai pas longtemps. Quoique je dise, quoique je montre, mon esprit sera torturé. Je ne sais pas si j'ai confiance. Et je ne sais pas si je m'en fous pas. Je crois que je m'en branle parce que j'ai décidé de ne pas être déçue. Ne pas s'en faire, ni souffrir. La confiance se perd en 10 minutes, se regagne en 10 ans. Je ne sais pas si je m'en fous, si je ne m'en fous pas. De savoir que. AHAH. Ailleurs. HAHA. Il irait. Je me demande si notre relation se poursuivait si ça recommençait. Je ne sais pas si je le tolèrerais. Je sais que oui. Mais j'en doute. J'ai peur, je ne savoure plus. Je suis paranoïaque. Je ne sais pas si il irait ailleurs. Se faire bien. Faire bien. Dux2. AJNSQ. Je ne sais pas. Je ne préfère pas savoir. Et je voudrais que tout soit simple. Il ne me dirait rien si quelquechose se passait.  Ca, c'est tout ce que je sais. On n'est pas plus avancée.
Et je devrais pensé à d'autres trucs en ce moment. Je n'aurai pas mon BTS et je pête intérieurement un câble. C'est mauvais. J'ai peur de tout et je veux partir de Tours. Je veux partir.J'en ai marre. Zéro pointé sur une clef d'ut 3ème. Deux fois ce week-end. Et plus même. Je doute de tout. Où sont fourrées ces putains de certitudes ? Dans ma poche arrière gauche ? Je n'ai pas de poche. Se foutre de moi, OUAIS. HAHA. x_X 
Tue-moi. Pendue par les orteils, une lime à ongle par poignet et une rape à fromage frottée à la couenne. Emiettiée. Ce te plait ça ? Hein ? Tous des égoïstes.  L'Homme est définitivement moche. Définitivement MOCHE. J'aurais dû être la femme de Chuck Norris, j'aurais pas eu tant de soucis et d'hésitations, il m'aurait sauver de chaque situation d'un vaillant coup de chapeau de cow-boy dans le champ de vision de l'ennemi. Et paf ! Plus rien, seulement le silence accompagné de son petit air à l'harmonica. Merci mon Gnougnou de Chuckou ! Un pas après l'autre. Merci de me rassurer H-24, 7 jours sur 7. Encourager. Il est tout pour moi ce petit Ion. Vous comprenez ? VOUS COMPRENEZ ? Je sais pas comment le dire, ni comment le faire comprendre. Je sais juste que je suis absurde. Et méprisable. Grou. GROU. <3 Si je le perds, c'est la fin. La fin ? Ou y suis-je préparée ? Pourquoi je suis si négative tout le temps ? Pourquoi ? Si je mourrai, il serait peut-être la seule personne à voir la différence avec le monde de mon vivant. Avec mes parents. C'est époustapant. No comment. J'ai plus de tabac, je suis un pompier avec le monde. Associale, se donner contenance, contenance nicotinée.


Rien que d'y penser je suis malade. MALADE. Excès de noeuds dans le bide. Que cherches-tu ? De la concentration. Déconcentration, recentrage, centralisation, décentralisation, diversification, exclusif, intensif, push, pull, spécialisation, délocalisation, excédentaire, héréditaire, valeurs marchantes, meubles, immeubles, épargne-moi. I'm alone in the dark. Don't you think ? Honesty, honesty, what are the behaviourism ?
Ceci dit. Je ne suis pas jalouse. Je suis possessive. Non, c'est même pas ça. Et ne confondons pas avec l'eau bénite. Tout est clair ? Parce que finalement, la tourista, c'est pas si pire que ça. Tu le savais déjà, que dis-je ! Je réponds à mes propres questions. Un :) dans ta gueule :( Tignasse trop écourtée, je suis vraiment laide. Chacun voit Coin de sa fenêtre dans une caisse cabossée. Et moi défenestrée.



Mardi 15 avril 2008 à 12:53



Le rendez-vous mensuel du mois décalé. Arrangement pour tout le monde, sauf les deux mêmes. Comme toujours. A croire que. J'ai pris 2 kilos en une semaine. Je me pose trop de questions. Pinpin. Chère inconnue. A la ligne. Je ris de cet amour. Parce qu'avec lui, je me sens vraiment bien. Tout tout tout. Je sens la peau se tendre. Ou se détendre, je ne sais plus. Je réponds à des pulsions alimentaires stupides et pas forcément nécessaires. Non pas d tout nécessaires. Pulsionnelle relation. Je gonfle. Ca ne se voit pas, je sais. Seul le connaisseur peut voir. Je le sens. Quand j'enfile le jean. A cultiver la pré. Peut-être du taf en imprimerie. Merci Séverine. Le coup du. Moteur plein gaz. Reprendre le scoot en main. Faire pouet pouet. Hum, ça me plait.
Je me rends compte que cet exutoire est assez euh. Oui, aussi incompréhensible. J'ai besoin d'une bonne douche et d'un. Aie aie aie. Pifpafpouf. Il faudrait que j'apprenne à finir mes phrases, mes idées. A trouver des mots.



Mercredi 19 mars 2008 à 12:15




Effluves salées. Par cette violence, coeur à coeur peu à peu essouflés. Peau à peau dans ce corps à corps. La respirante qui régule la chaleur interne. Exploitation de ces parcelles de membres, lambeaux de soi. A feu et fous, loin où l'union Est. L'esprit ailleurs. Epiderme séducteur, toucher en folie. En s'adonner comme on offre. Odorat sublimé. Toi sur moi, moi sur toi, le mélange de nos parfums naturels, savoureux. Gouter, admirer en silence. Savourer l'instant comme le corps, égoïstes de puissance par ce désir de jeu, tellement généreux. Et en profiter, frissonnant, ensauvagés, jusqu'au final. Paroxysme. Libérateur. L'après. J'aime sa voix, ce partage.
Autre réalité. La vie, la arg, putain d'lycée ! Se reprendre. Il ne faut pas se laisser aller à l'échec. Calvaire bientôt fini.
Et l'autre, qui attend. Qui va souffrir. Ou pas. Les choses sont claires, il ne comprends juste rien. Attends-moi. Longtemps ! Faut pas rêver. Ni même être blasé Connard. T'auras rien, nada, nothing. Et c'est bien parce que je suis pas multilingue. HAHA. Je joue avec lui. Pas très sympa. Mais voilà. Il est en couple merde ! On n'a pas le droit de faire souffrir quelqu'un comme ça. Le jour où il se rendra compte de l'absurdité de son comportement avec celle qui l'aime, alors oui. Seulement là, il comprendra. En attendant, qu'il se fasse des films à cause mes phrases à double sens. Tes textos, ça me fout la gerbe. Il est maintenant à ma place. Echange des rôles. C'est ça quand on y croit, on interprête tout à son avantage et on y croit, on espère. Du feu ! Y'a rien à croire, pas pour toi. Je suis certaine de ce que je ressens. Pas un seul doute sur ce point. Et le futur le diras. Et j'préfère, de très très loin, les canards aux connards.
Rien à rajouter.



Lundi 18 février 2008 à 1:38






Sleeping Sun. C'est difficile de se remotiver. Quand on sait. Envie de footing quotidiens, de travail sur soi et d'art. Avancer. Ne pas lo[c]quer. 08 High hopes. Number One. Purging or not. Le désastre. D'autres solutions ? Que sais-je ? L'inspiration n'est pas de mise. Elle doit. Mes pensées confuses, les mots en désordre. Sans en démordre. La routine. Changer ces sales habitudes. I need. Retrouver. Cristal. La forme. Les habitudes. Les bonnes. Ne pas se dissoudre dans l'absolu. Fade. Univers. To black. Encadrer les oeuvres. China ink. Inlassablement. Courir après le temps perdu. A sa recherche. Le moi. En vrac. 6 kilos. Maitriser. Body building. Self-coach. Courir. I need. Forger. Forget. Ne pas se perdre. Les petits riens. Les grandes. Nainisme. Le vernis à ongle rouge. Noirâtre. La paix. Interne et intérieur. Egayer l'environnement. Sauver les cachalots et courir on the playa. Rouler la clope. Se demander. Compter les sous et les dessous. Compter. Les torts. Les travers. Porc. La porsch rit. L'amas. Désillionable. Nightwish et Mass Hysteria. Rockstar, Zizi, Oinbis. Mélange. Où serai-je ? Là-bas ? Ici. Stepper ? Crayons aquarellables. Solutions aqueuses salées. La nouvelle vie. Et l'ancienne. Se refaire. Le caractère. Trop. La monde. A portée. De doigts. Trop. Populasse. A découvrir. Images mentales. Débiles. Evanescent dans la nuit. La flamme vascille. Je ne comprends pas tout. L'avenir est vaste. Sans questionnement. Peu de certitude, avancer parce que. Je sais ce que je v/e/a/ux. Accent. Espagnol. Les briques en vrac. A brac. La rubrique des chiens écrasés. Doux enchainements.
Mais où va le monde ? Il ne faut pas pousser le bouchon. Remettre. Demain. Immédiatement. Réaction. Agir devant la passivité ré-incarnée. Se faire violence. Laisser entrer le soleil du vide. Se laisser tenter par. La folie m'habite ? Je ne cherche plus. Je sais. Alors j'avance. Les petits pas sont inutiles. Bouger. Bouge toi le cul connasse. Putain de merde. Allez. Allez ! Allez... Empieza. Si.
Qu'est ce que la confiance ? Par où commencer ? Ever dream. End of Era.


Mardi 5 février 2008 à 14:44



Do you know my name if I saw you in heaven ? Would you be the same if I saw you in heaven.

Il succombe, perdu dans une nostalgie tortionnaire. Frêle vengeance, pitié sans nom, le temps a raison de nos erreurs. En déduire des leçons. Chemins parallèles qui s'unissent, rien n'est écrit. Le mal d'avoir espéré autant quelque chose qui ne survient que quand on ne l'atten
dait plus. Et peut-être, un peu, se poser ces questions destructrices, emplie de culpabilité. Et si ? Fatal Error. En vain. L'avenir parlera pour nous, ne jamais jurer de rien. Qui vivra verra, carpe diem. Soyons sophiste ou épicurien, un poil d'ours blanc, pas plus. Je profite
La même situation qu'avec le rebel post-adolescent. Que s'imaginent t-ils ?

Et son paradis blanc, à elle, qui la détruit autant qu'il la fait vivre. Sans ça, respirer la poussière, s'asphyxier avec l'oxygène brulant ses poumons, le coeur en manque de baume. Cet onguent poudreux qui la saigne, lui vole ce qu'elle avait de plus précieux : l'âme vendue au Diable pour une bouchée de pain. Et tant de conséquences. Cette absence, manque si palpable. Le corps qui se mue. Elle qui ne croit plus en rien. Rien ne la touche, plus les lendemains, plus d'espoirs. Le futur écrasé en paillettes et sniffé à la paille. Sa faim de pouvoir. Recommencer. La vie à zhéro. Sa fin, fatalisme et désillusion. Et si le phoenix pouvait renaître des cendres blanches ? Brulée vive, certes. Mais l'oiseau a toujours maitrisé la peur. Guerre déclarée, le corps et l'esprit unis contre la vie. Sournois combat au sein des veines. Endorphines trompeuses, hypocrites. Rien n'est perdu. La donne peut changer après signature du pacte, implicite suicide. Il faut remettre les choses en ordre, le monde réel. Gagner en nerfs et en volonté. Faire fît du poison qui alimentait le corps. La paix. Se reconcilier avec une autre perception. AVANT.



Mardi 8 janvier 2008 à 21:19


En un tiempo normal, seria humoristica de leer este comentario. En un tiempo normal, haria verificado todo. Fecha, hora, escribidura. Todo que podrie explicar de quien viene estas frases. Toto fue verificado, hecho. Pero para decir la verdad, soy loca. Loca de El y loco todo corto. Si la quiera, la le deja . No mas simple, mueres. Pero... Yo se. La sinceridad de sus decires. Le quiero. Punto final de la discusion.
Hoy fue un gran dia. El dia de resconecer les progresos que ha hecho. A parte la tonteria de esto noche. Porque no puede. No quiero comer porque no tiego hambre. No esta complicado. Come cuando siento la necesidad. No antes, no despues. Y soy bien...


Jeudi 20 décembre 2007 à 1:03



Doucement. Des pas dans la nuit, le silence. Une flamme dans la nuit. Douceur d'enfance. Senteur apaisante. Comme ce bonheur qu'on n'a pas eu. Rêve puérils d'un monde parfait. Idylle de la vie illusoires, naïveté evanescente. Et puis vient le mal. Le mal de n'être pas ce que l'on a toujours désiré. Le bonheur vaporeux. Insupporter ce corps gras, vergétureux et celluliteux. Une entité flasque dont les membres semblent vouloir s'échapper. Regret. Où sont passé ces faible  et petits quarante kilos. L'euphorie agonisante, enterrée au boulevard des allongés. Sans demander son reste. Un an que j'ai repris cette maudite masse. Plus d'os qui saillissent. La graisse maîtresse, gérante d'un corps. Locatrice invivable. Fatiguée. Physiquement. Aucune résistance. Aucune résistance. Boire un grand verre d'eau à chaque repas. On en est loin, chamelle. J'ai pitié. Il fait froid. Mon corps est froid. Exquise corpse. Je veux. Volonté fragile. Volonté. Y croire malgré tout. Force.
Reprendre confiance. Pas en échec. Ce dédoublement. Caractère trop souvent lunatique. Hâte. Incertitude dans l'échéance. Motivation. Parce que pas le choix. Pas d'alternatives. Réussir. Deviens ce que tu es. Deviens ce que tu es. Qui suis-je ? Suis-je vraiment ce que je veux être. J'espère. C'est à bout de doigts. Tactile. Tracé. Design. Tout dans l'ergonomie visuelle. Séduction par la vision. Créer l'illusion. Oui. Soyons fous. Créatifs.
Confiance rassurante au possible. Aimée. Aimer. Comme si. Faire disparaître les disparités. Juste pour préserver les restes d'un futur trop ou pas assez proche. Une année. Une année. Le reste... Le reste ? Concentration poussée à son paroxysme. Pas le droit à l'échec. Ni scolaire, ni sentimental. Parce que la confiance. Confiance. La peur n'évite pas le danger. Savoir être aveugle au cas où. Mur de béton armé. Coquille hermétique. Insensible ? Menteuse ! Non, bien dans la tête. Le moral aussi fixe que le mercure est en bas. Coup de cisailles. Y'a des fois où ça démange l'épiderme. Sales.


Mardi 20 novembre 2007 à 20:27


J'aime écrire des conneries.
Pourquoi pas.

Lundi 24 septembre 2007 à 0:42



Juste que je veux y croire. La guérison est impossible, certes mais il faut apprednre à vivre avec ce mal. Quoi faire d'autre ? On est toujours tout seul dans la vie. Je m'entends en l'écoutant. Voudrais parler plus, dire ces choses à taire à tout jamais et aussi me taire à tout jamais. Apprendre à ne rien dire. NE RIEN DIRE.  Le ridicule ne tue pas, certitude absolue, sinon je serai morte. Je SUIS morte. AU moins plein de fois. Tu te rappelles connard ? Oui, il y avait de la rivalité. Forcément.
LA chouchoute, la préférée, le sujet parfait. Pas la méchante Cosette que j'étais, la mauvaise soeur, celle qui fait tout de travers, mais tellement bien que tout le monde l'admire. Oui, petite soeur, tu m'en as voulu. Voulu d'être la première. Voulu d'être parfois défendue. Voulu que ton père me donne un peu d'attention même si celle-ci s'exprimait par la colère, le mépris et la violence. Entre autre, parce que tu ne sauras jamais tout toi non plus. Tu m'en voulais, en voulais à ma réussite. Toi la petite soeur qui remuait trop, qui faisait sa crise d'ado avant l'heure pour tenter d'obtenir un peu d'existence. Moi la jeune fille calme sereine et qui affichait profil bas, intelligence mais modeste. Parce que tu ignores ce qu'ils pensaient de tes capacités, de ta intelligence. Un truc de notre Maman. Un truc que hais ton père, qu'il a toujours détesté en moi. Parce que ton père t'aimait. Qu'il n'a jamais su te le dire et a toujours préféré me montrer sa haine sans te montrer son amour. Il ne sait pas. Trop matérialiste, trop inconscient. J'espère que tu neseras pas la plus touchée, je le suis déjà de trop. L'anorexie, la boulimie, petite soeur, ne tombe jamais dedans.... Si tu n'y es pas déjà...

Il faut s'accrocher à ses rêves, elle s'en sortira, tu t'en sortiras. J'espère qu'il ne te fait pas de mal. Que ses mains répugnantes n'approchent pas ton corps d'enfant. Accroche-toi juste.
Je susi désolée de n'être plus là. Je n'existe plus ici bas. Tu le sais. Mon souvenir est nauséabond, puant. J'étais celle qui foutait la merde. Par sa faute. Pas SA faute putain de merde. TU crois sérieusement que j'ai demandé ça moi ? Mais putain !! Il y a ces moments où je me dis que j'aurais dû te laisser dans cette bulle d'amour que te donnait ton père te notre mère. J'étais l'intrue. C'est quoi mon souci ?

J'essaie, je fais des efforts. Je m'investis, je veux me le prouver. Je ne suis pas rien non ? Non ? Dîtes-moi... Je suis paumée. Je me fixe des objectifs inatteignables. Je veux faire une grande école de communication visuelle, de graphisme. Je veux faire une ENSBA. Je veux, je peux ? Et je me donne les moyens. C'est donc que j'existe ? Je peux vivre moi aussi ? Me laisser une chance d'avancer. D'utiliser mes doigts autrement que pour tout redonner. Je veux pouvoir m'exprimer. Prouver à tous que je suis capable. Je suis capable. Je suis capable ? OUI ! Oui ? Putain, je veux. J'ai peur de moi, de mon avenir et de mes réactions. Je me sens souvent seule. Comme la pièce d'un puzzle qui n'a rien à faire dans cette boîte. La carte d'un jeu qui a été rajouté après la perte d'une autre. Qui suis-je ? Où vais-je ? J'ai du mal. Je saigne de ce passé, ces cicatrices qui me blessent encore. Je rame, je suis inconsciente et peureuse. Non mais je suis tellement ... Autre chose. Je ne suis pas rien. J'ai des qualités (?) Je suis perdu dans mon imaginaire et dans mes rêves. Perdue dans mes pensées et mes interrogations. Dans mes certitudes et dans mes doutes. Je suis méfiante, et risible. Tellement risible. J'ai besoin d'aide. J'affiche sourire et motivations. Tout semble si vrai. J'ai vraiment peur de moi.


J'ai eu grand plaisir à revoir Soeur Anne. Passer un instant avec Roger.
Pas moi-même. Je ne sais plus. J'ai besoin de mes amis. J'ai besoin de tant de choses. Je veux maigrir. Je veux être belle. M'accepter. Me trouver belle ou au moins ne pas me trouver si ... répugnante. J'ai besoin d'aide.
Bouh, je voualis être positive. Je le suis pourtant. Toute cette abnégation devidée sur ce blog. Ca fait du bien en fait. Oui, je suis une personne souriante dans la vie. Si noire en elle-même. Je suis noire et jaune. Je suis petite et transparente. Je suis un pantin, marionnette dont j'ai le contrôle. Jeu de rôle, agent double. Je suis si grande parfois.
Je veux tout donner pour l'art. Pour apprendre, pouvoir et savoir m'exprimer à travers une toile. Réussir l'adéquation entre la penséae et la représentation. JE VEUX, tout simplement, EXISTER... JE PEUX. Je ne suis pas intrue. Je suis moi et c'est ainsi. 3 kilos  maîtreS du monde. xD J'aime dire des conneries, histoire de me sentir plus humaine. Qu'on me pardonne un jour d'être ainsi. Ou pas. Justifications ? Aucune, parce que. Voilà.


Samedi 15 septembre 2007 à 15:24



Oui, on peut rire. Qu'on ne lui parle pas de regret ou de remords, de quoi que ce soit dans le genre. Elle en a et les tait. Ils sont là, ancrés en elle. Au plus profond de ce qu'il peut exister dans sa tête. Au sein même de la prise de décision de son cerveau, dans la partie reC'estptilienne, celle qui a choisit.
N'avait d'ailleurs t'elle pas utilisé le cervelet, trop sensible à toutes ces émotions... Puis ensuite, pesant pour et contre, le néo-cortex avait voulu. Il avait voulu. Le message était simple. Mais l'égoïsme de la partie bestiale avait été bouleversé. Très court,  très direct, On lui avait montré le côté le meilleur, qui la mettait dans une situation inenviable.
Le somnanbulisme était revenu, les crises d'angoisse et autre aussi. La guérison semblait rapprochée. Comme triomphant sur les "non-dits" et "non-à-dire" du passé. Rapprochée oui. Parce que des efforts avaient été faits. Parce qu'elle se contenait, gerbant ses mots comme elle avalait le reste. Cependant, cependant. Rien n'avait évolué et tout semblait arrété. Entre parenthèses. Je crois qu'on ne guérit jamais d'anorexie-boulimie. Ce n'est pas du fatalisme. C'est juste une drogue, des habitudes, des réflexes qui se collent à ta vie et t'emprisonnent. Quoi faire ? Manger à sa faim, et non à ses pulsions, quand on n'a plus de sensation de satiété, c'est un peu comme remplir un pot percé. L'échec est là, omniprésent, et chaque effort est couronné d'un pas en arrière. Stagnation du comportement. Rien ne peut empêcher ces réactions. Non. Et ça me rend malade. Ca me rend malade.

Combien de cuites ont démarré avec pour seul objectif de tout rendre, même si on n'a aucun souvenir des soirées en question ? Et même, rendu, juste pour les deux gateaux avalés ? Combien d'excès alimentaires ont été absorbés dans l'unique but de pouvoir se vider les trippes une dizaine de minutes après ? Combien de fois, bouffer à s'en écoeurer, à donner le même résultats après des kilos de bouffe avalés ?   Allons dans le gore. Oui, à chaque fois, un objectif : remplir de bouffe cette hauteur de chiotte. Sous-peser de ses propres mains ce rendu ignoble, horrible. S'habituer à ses odeurs.   Et à chaque fois, même rituel. Un verre d'eau, deux doigts. Rendu. Sous. Lavage de main, verre d'eau, rendu. Lavage de main, de visage, de l'eau, s'essuyer, pisser. Et faire comme si tout allait bien.
En 3 minutes, chrono en main.
C'est une perte de temps. C'est une perte de crédibilité. Excès de lâcheté, pulsion incontrôlables, non combattues. La voie de la facilité. Parce que. Et gnagnagna. C'est tout simplement dégueulasse, quoi que le dégoût ait disparu. Revenir à l'état de bête. Ignare, hilare. Pfff. Et tu sais pas le pire ? C'est que ça fait du BIEN !!! Oui, on frôle la débilité messieurs-dames. Oui, y'a un souci là haut. Et le pire. Le pire ?

Non j'avoue que j'ai peut-être un grain. Surtout quand toutes mes personnalités se confondent en cas d'excès alcoolique. Delphine, la folle qui devient schizophrène. Oui, enchainement naturel me direz vous. Mais vous imaginez pas la libération. D'être soi. Ne plus faire semblant d'être à peu près normale pour ne pas géner. Si vous saviez à quel point toutes les conneries ne sont que façades. Raconter la vie qu'on a, tout en sachant que je ne suis pas.
Je ne suis pas en manque. J'ai la haine. Haine de penser à ces pies. Le profit, le profit. J'en ai les larmes aux yeux. Oui, sado-masochiste de l'esprit. Comment croire en quelque chose après ? Contrat de confiance sous-entendu. Comment je peux continuer ainsi ? Prendre sur soi, se dire que tout va bien. Et après tout, c'est vrai, tout va bien. Mais savoir. Tant d'injustice. Tant d'inhumanité. Béante, envahissante, omniprésente. Egoïsme profond. Se demander si tout cela vaut le coup ? Question existentielle.
Pas le look qui va avec. Pas l'état des sprit. Le temps de la valse s'est affaissé sur lui-même. Pourtant, tournant rond. A quoi c'est utile ? Je n'ai pas les mots. Me sens comme à côté, dans une bulle qui s'est restreinte. Renfermée. J'ai du mal à respirer ici. Vous me manquez. Vous me manquez.

Je n'évoquerai pas les guèpes et autre bébêtes. Men fous des turmescences. Qu'est ce que ça peut foutre. Je me dis qu'au fond. On ne me connait pas, on s'en contre-branle totalement. Jouer le jeu. Garder ce rôle qui nous va si bien. Un peu tragi-comic, comme Superman. On ne réagit vraiment que comme des hypocrites. Moi je n'y crois plus.
Méfiance.


Tout ça ne sert strictement à rien.


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