sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Mardi 4 septembre 2007 à 12:52



 Comme envie d'un retour à "avant". Le "avant" du "qui gère sa vie, sa vraie et putain que Auchan me conditionne" :) C'est fini, fini, fini. Tu entends ? Fini ! C'est FINI ! AHAHA, aucun mot pour définir ma joie de ne plus mettre les pieds là-bas déguisée en hôtesse de caisse. Pouik pouik. C'était de la prostitution ancéphale, c'est fini, au revoir, merci. J'en suis sortie vivante et plein de crises, mais bon, moi ch'suis con. Sérieux, z'imaginent pas les gens ... Comment tu pêtes des plombs à l'intérieur...
Donc, les cours, les rapports de stage et le dernier semestre de l'année dernière à copier parce que "retard dans les dossiers". On va dire la même chose qu'à la caf et autre part.
En fait, j'avais l'impression d'être enfermée dans un cocon où la place est trop restreinte pour y être à plusieurs. Un peu comme si l'oxygène nous manquait sans qu'on le sache, où on suffoquait sans savoir pourquoi. Haleine démoniaque. Mais le pourquoi n'était pas loin. Cette assommante sécurité toujours présente, étouffante. Le plaisir devenait trop rituel. Un peu trop gamin.
Et puis, la vie a finalement repris. Ou enfin repris. Liberté assouvie, comme libérés d'un voyage en train sous un long tunnel dont tu ne vois pas la fin. Et la vie a repris. Avec ses angoisses et ce bonheur de ne savoir quoi faire. Se réveiller et se dire : je peux faire quoi ? P'tain je me fais chier. Mais non, ca c'est juste pour le plaisir de se plaindre modérément. Parce qu'il y a beaucoup de choses à faire, une fois la bulle éclatée. Ne cherchez pas si vous ne comprenez pas ce que je dis, ce n'est pas pour vous que j'écris, mais pour moi. Mettre des mots sur tout et rien est soulageant, apaisant. Oxydo-réduction de la rage.
 J'ai eu du mal et faut que je me soigne. C'est la fin qu'il faut voir. Ce moment où tu ne peux respirer que tranquillement, les poumons libérés, les membres détachés. La vie commune à [...] et à [...] Je me comprends, j'ai pas les mots et tant pis. Mais tout ceci ne viendra qu'avec le temps. Tout est programmé cette année... Rigueur, rigueur, rigueur. Le mot de l'année.


Babypuppe ici, partout, here. Motivation, retour aux sources et aux révationnalités bien méritées. On y croit, on y croit. Oui, je serai capable de l'embrasser, de la caresser. Parce que oui, peut-être bi, et oui. Et puis ? Homme, femme, c'est pas pareil. Oui, qu'on en pense ce qu'on veut. J'aime Coin. C'est tout, mon cerveau fait ce qu'il veut, s'il veut fantasmer, il fantasme et puis quoi encore ? Ca me tenterait bien. J'avoue. Pour voir. Non, soyons réaliste, le vrai du vrai, c'est juste le wock'nd woll. Mener sa vie là où on veut la mener. Pas d'attache sauf celles qu'on a. Simplement et faire ce travail sur soi. Et musicalement, dessinalement, avancer à grands ou petits pas. Tant qu'on avance. Devenir ce qu'on souhaite par 'nimporte quel chemin et s'absoudre à l'adversité. J'avais envie xD
Se prendre en main. Et suivre.
Soyons, rigoureux. RIGOUREUX. Ne se peser qu'une fois par semaine : lundi matin 8h, à jeûn.
Bon,  tout tourne autour de la bouffe. y'a plus rien dans le frigo et tant mieux. Pastas Rules et c'est reparti. Ne pas dépasser la dose indiqué. Nous la connaissons tous. Sinon ca sert à rien. Oui, les chiottes n'auront plus jamais faim. Ni de moi , ni de rien du tout. J'ai péché mon père, pardonnez moi. Je ne suis qu'une sale païenne. Oui, c'est quoi ce trip. Ahah.
Je suis de bonne humeur et je veux te revoir. Vous revoir parceque beaucoup de gens me manquent, et même si je ne donne pas beaucoup de nouvelles, je pense souvent à eux. Je citerai Babypuppe, Loute, Simon. P'tain comment le temps à 4 est regrettable. Je citerai Marquise-Dae, avec laquelle, je voudrai m'entendre comme deux [...]. Oui, voudrait la connaître cette marquise. Voir derrière. Facade musclée de caractère doux. Rha. Bien-sûr, cailloux, cafètériens. Adraniens, Kaedrinniens, Zizi en tout genre.
Argh ! Faut récupérer les empicerise. GROU

Et si je vous dit que je suis amoureuse, vous me croyez ?
Vous, c'est pas vous, c'est mes amis imaginaires, mon public adoré qui m'idolâtre inlassablement, dans ma plus haute gloire. Non. C'est juste pour le quelqu'un. Je me parle, tu me parle, nous nous parle. Je me parle. C'est tout, c'est pour moi. Et oui. Va voir un psy, t'es vraiment atteinte ma pauvre chose.
GLOUPS. Programme entamé dès la semaine prochaine quand ouverture de la piscine.
NIARK. 


Mercredi 22 août 2007 à 21:42


Rêve et permets toi le. Dessiner. AGAIN. La mode à la miam miam. L'appareil photo, ca fait renaître des envies. Comme ces connards d'impôts. P'tain mais j'ai rien demandé moi. Pas 'rave, pas 'rave, PAS 'RAVE. Difficile de s'en convaincre. Ils le disaient dans c't'horoscope de mes deux. 600 euros à payer, d'on ne sait où avec de l'argent virtuel. En tout cas, à payer même si on peut pas et que c'est pas justifié. 750 pour Sta Marg, la vie, la argh. 600 pour les Impôts de chambre. 365 pour le loyer. En soi donc impossible à moins que de faire un jeûne suffisamment conséquent. Un jeune de quelques mois. HAHA. Rions, tant que c'est encore gratuit. Donc avec 1600 euros avec la pension, on peut payer les deux premiers certainement mais le troisième, ca va être difficile. Faudrait demander à la CAF s'ils ont besoin de grabuge. A ste marg la vie la argh, s'ils peuvent attendre. Et pour la boufffe, on se limitera à nous du canard et finir les placards en bouffant des pâtes ou pas, ou pas.
Vais foutre la merde chez Les Feux de l'Amour. Toilokdo. slayer. Se créer un personnage et e faire se montrer. Séduire. Séduire par les mots. Puis aussi finir pour y foutre définitivement la chohut.
Niark.
Déteste ce caractère à la con qui décide de tout plomber quand l'ambiance ets a beau fixe. Et s'en prendre à la seule personne capable d'aimer un ouistiti. C'est un peu facile de s'en prendre à un innocent, connasse.
Rien à dire, un peu dégouttée. Mais des rêves, DES RÊVES... AHAHAH, trop cool, tip top moumoute ! J'AIME.

Vendredi 10 août 2007 à 21:50



Voilà. J'ai plaqué Loute, mec qui faisiat des efforts monstres pour me garder, mec qui m'aimait mlagré notre quotidien parfois macabre. Et un mec qui se fout de ma gueule, qui me mythonne, qui me trompe. Et je dois dire quoi ? C'est dans ta nature de 'ion peut-être ? C'est normal d'être attiré et de coucher comme ca avec une meuf. De me MENTIR !
"Euh j'pense à un truc la t'as récup la di et les câbles de doudou ? Moi j'y ai pas touché...Bonne nuit ma chérie la meilleur des chérie trop géniale j'veux passer toute ma vie avec toi et ne veux pas qu'on soit libertin je n'ai d'yeux que pour toi je t'aime à la folie  ne te fais un milliard de bisous douce nuit petite fée"
Laissez moi me gausser pitoyablement. Et bien tranquillement. Genre. Dis, est-ce que, encore une fois, je sers de corps à un connard ? Ou c'est une méprise et tu peux pas faire autrement dans ta vie que de tromper ta nana par amour du sexe ? C'est du foutage de gueule, et ces mythos dès le : "c'ets comme ma grande soeur" ... Et mon cul ? La puce à l'oreille dès le début. Nan, là je suis déçue. Très déçue. Je fais quoi, je pense quoi, je dis quoi ? J'ai comme envie d'être violente, de me péter les doigts surles murs de gueuler, gueuler gueuler et me défoncer la gueule. Ptête que c'est de ma faute. Ce genre de truc ca se sent et c'était pas la première fois, me dis pas le contraire. Ou sinon, te croirais pas. Le crois paaaaaaaaaaaaaaaaaas. Dîtes, là j'ai vraiment une raison ou faut attendre encore ?
Et oui, je suis bien conne, en effet.

Je susi énervée. Elle lui manque... Elle lui manque. Que devrais-je dire ? Va la rejoindre, elle est toute à toi ? C'est ça que tu veux entendre ?  C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ?  C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ?  C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ?  C'est ça que tu veux entendre ? C'est ça que tu veux entendre ?  C'est ça que tu veux entendre ? Je me maudis. Faut pas pleurer, faut pas pleurer. M'a prise pour une conne. M'a prise pour une conne. M'a prise pour une conne. LUI ? TOI ? NON ? Mais ? Putain Coin ? Coin ?
J'ai l'impression d'avoir le coeur dans le cerveau et il bat a plus de 120 pulsations par minutes. Se la joue à un casseur de string. Quoi t'as la haine ? LA N. Oui j'ai la haine.
Bon, mise au point dès ce soir, je vais attendre quitte à être claquée demain. Et fumer. Beuh de Hollande me voici. Ca m'évitera des violences inutiles ... Dans ta gueule.


Vendredi 3 août 2007 à 23:48



Pas d'autres solutions. Pas d'autre solution. Revenir à la bonne idée. C'est le seul moyen. Accepter, s'accepter. Et n'attendre rien de chacun. Rien du tout, que dalle. Même pas quelques mots. Là, faudrait que je lui reparle. Juste histoire que je lui dise à que je comprends, avec pas mal de retard, ce reproche. Vidéo éffacée sur tout support, mais marquée à vie. Il suffisait juste d'avoir le modèle réduit et pouf paf pif. Faut que mon scoot re-fonctionne, démarre bien. M'en fous que ce soit un cercueil ambulant.
Bon, ça ne me donne aucune réponse. Arrête de te poser des questions ! Gniiiiiiii. Rha, si vraiment. J'vais consacrer mes vacances à gagner des tunes et racheter de quoi. J'ai compris cette chose ce soir. Que c'est ainsi qu'il faut qu'[...]. Enfin, j'arriverai à parler un jour. Je redeviens aussi taciturne que cet hiver. Colère, impatiente, mimi, pas mimi, patience, pas mimi, mimi, impatience. C'est rigolo, ou la chaire est cramée c'est encore marron. J'avais comme envie de voir Gwen. Parler des heures pour ne rien dire et repartir le coeur léger. Je cherche juste un moyen. On va dire 700.
Déjà, balayer internet de son utilisation quotidienne, outre le crachas et rejet de mauvaises pensées. Ca met de bonne humeur d'écrire des conneries pareilles. So dark. Caricature de soi-même, et j'assume pleinement. M'en fous. Déja folle de partout, parce que expression. Bon. Parois, j'préfèrerai être lesb. Pas histoire de leur donner raison, juste histoire de tout lacher. Oh elle n'a as supporté l'insecticide. 1980, 2004, 2007. Renaissance. I miss him so much. Hate me. VMM. Comme en primaire.
Ca fait tellement bizarre.
Au moins, dégagée. 180 gr de pain et 200 cal des autres. Remarque intelligente de la part de ma cervelle. Celle qui impose le respect. Il n'y a qu'en cas de crise de nerf. Et puis. Je déteste tant de choses. J'voudrais tant être haïe. J'veux qu'on baise sur ma tombe. Fumons, tant qu'il est possible. Soulageons. Soignons le mal par le mal. HAHAHA, souvenirs, souvenirs
Même si c'est pas drôle. Hihi. Le coup du turlapin. Gniark gniark. Bouerk. J'attends juste. Même plus. Même plus. Même plus. Dimanche.

Question à 100 000 euros : comment se fait-il qu'en [...], j'ai parfois [...] ? Cherchons lataupe et taupy n' en bourg. Ca me sidère !

Vendredi 3 août 2007 à 13:39


J'ai comme envie de dire : "bon arrête tes conneries, ça va courir à [une] perte"
Je dis ce que je veux, et pense ce que je veux aussi. Qu'on me fasse pas chier, j'ai pas la patience de sourire depuis une semaine comme une hypocrite folle, alors que j'ai tous autant envie de les buter que moi de disparaître dans les fins fonds d'un maraicage plein de sable mouvant. Ouais. Pourquoi, gnagnagna. Ce que je pense me regarde. ME regarde, ne regarde que MOI. Mon habituelle égoïsme et égocentrism(t)e prend le dessus. Franchement, la vie, qu'est ce qu'on en a a battre. On va tous crever, on va tous crever, c'est la fin du monde et nous on fait la fêteuh.... Ouaich. Ca sent le mytho à plein nez. Comme si ça ne se voyait pas. Je te connais très peu, mais suffisamment. Mais que dire à ça ? Sixième sens, un truc féminin ? Ne nous foutons pas de notre propre gueule. Parce queuh. Les larme montent aussi vite qu'une éjaculation précoce. Une pause baise. On y revient. Ma chère parano, à la ligne. Ne va pas croire que je te hais, mais j'en ai rahahahahaas le bol de te voir ici. Pourrez-tu, s'il te plait, filer avant que ce soit moi qui le fasse ? A la ligne. Merci d'avance, cordiale[ment]. A la ligne.Monster. A la ligne, signature. Le voir se faire chier d'une force incommensurable. Il y a bien des choses que je NE DOIS PAS savoir.  Demande à Chose MAchin. Aucune preuve. Allez, avoue, tu te fais chier et ca change pas grand chose. Il l'a dit le Zizi. Commence à regretter cette époque du vieux Tours, bourré, concert, trip basse batterie, basse guitare, pet, concert. Ponctué d'auchan, auchan, auchan. Mais pas trop. Avec le temps, je me dis, que j'ai ce putain de don. Instabilité. Bordeline. Ca me fait gerber. Je me fais gerber. Brassart s'effondre avec tout ce qu'on peut vouloir. Se dire qu'il vaut mieux que pas. Foutaises. Je me demande comment je fais. Arrête de jouer ton jeu. JE T'EN SUPPLIE. Lover. C'est la même chose, féminin, masculin. Comme envie de mettre un point final à ce putain de post.
Trop de choses à dire, ca veut Plus sortir. Putain de Marivaux. Come back, please. Nan, j'bad trop. Dis moi comment on fait. Dis moi. J'ai pas le droit ? J'crois que j'ai juste besoin d'aide. Vivement le 11, vivement la rentré, vivement juin, vivement septembre, vivement dans 50 ans. Qu'on en finisse joyeusement en collant ma bouche avec du sparadrap.
Papa !!!! Hey DAD !  Mais coment j'aimerai qu'il soit là lui. Se ressourcer auprès de quelqu'un dont l'amour est épaternel. Ils me manquent. Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa.
Le comment a laissé la place au pourquoi. J'ai pas envie de devenir un diplodocus femelle comme Sleich. Je suis. Tous ca va changer. J'en ai marre de me retenir de vomir, de hurler, de chialer, de rigoler bêtement, de fumer malproprement. Reinvestissons. T'facon, j'arrive plus à faire semblant. Etre heureux, ca dure jamais bien longtemps avec un cerveau comme le mien. GROUUUUUU.Heureusement qu'Il est là. Et Gwen aussi. Un bon jeudi, comme il faut, seule bonne journée. Ouais.
J'voudrai hurler à la mort. FUCK

Dimanche 15 juillet 2007 à 16:01


D'une, se reprendre en main. De deux, rester sur cette longueur d'onde et halte aux sinosoïdes. Affichage sur papier machine. Quitte à écrire de la merde ici chaque jour pour s'en tenir. Reste. Just for this moment. Et garder la forme. Pour un moi(s). Ne jouez pas sur les mots Odile.
Prochain RDV mensuel du mois chez Chachou le 11 août. Apporter liche, liche. Pour se bourrer la gueule à la bière. Manger liquide. Niark. J'avais oublié. Se contenir pour dire autant de conneries.
HAHA, soyons fous.


Dimanche 1er juillet 2007 à 22:33



Reparti pour un tour. Un an. Même chose, contexte idéalement différent. Reprendre habitudes à la con, prostitution mentale pour un taf merdique. *Mais un taf quand même* Ouaip, j'aurais préféré un plan à la Loute. Au moins, tu travailles pour de la tunes. Intérim power, GSF Auriga. Envie de musique, de progrès aussi.
En fait, c'est la rage. Une sorte de paranoïa incontrôlable. Ce pouvoir stupide et égoïste. Miroir, miroir, dis-moi.  Soirée griboutale avec femmes et enfants, Maman Biloute qui se veut ma meilleure amie, fumer devant elle qui garde inlassablement son sourire dentifrice : "oui, moi je bosse avec les enfants, je vais à Clocheville en vélo et je suis une rebelle avec les condés et cette société de merde, gnagnagna". Mouais, se passent le mot, contagion virulente rapide. Marrant de voir, qu'on est encore quelque chose dans son estime "meilleure amie, j'te raconte ma vie et tutti quanti". Dans un sens. Réciprocité échouée. Mimi, mais point trop n'en faut, garder ce sourire bienveillant et ces hochement de tête silencieux devant tant de monologues. Joue bien son jeu de mère parfaite. Bourrelle. Mais bon, mimi quand même. "fun de voir avec qui on s'est retrouvés respectivement toi, Loute et moi. (Sauf, quà la différence de Loute, les nôtres sont moins coincés et pimbêches" Le Simon qui fait un constât. Et ouais. "elle fume pas et boit pas, mais elle me dit rien sur les rangeos" "j'ai le même à la maison" "yop"
Tard tard. Gabi, vraiment chiant bourré. Relou sous tous les bords et à fond dans le "geek". C'est ton mot hein ?  Toi même, si tu savais mon gars ! Ahah, même pas 20 en anglais , branleur.
Héhéh ! Pas envie d'aller au restau, gros gras, gr, grou. Restons sur GROU, c'est positif et tant pis pour le reste. Moment d'associabilité familiale. J'aime pas l'inconnu. paraître pour cette petite conne au sourire dentifrice. Bouirk. Ma famille est loin, famille réduite du Gribou toujours là pour moi. Sympathoche dérision. Et relation sister brother. Finalement c'est beaucoup plus drôle comme ça. Le fameux lit. En rire encore.
Liturgy of Decay et ses pitoyables membres. Proner la tolérance ainsi pour ça !
Anorchidéa qui commence à s'en sortir, grand GROU pour le courage et pour elle, parce qu'elle ke vaut. Babypuppe, qui revient ... Mimi quand même, mais encore. Finalement, les distances, c'est comme le bonheur. Ami, ami, ceci est un jeu. Les rêves ne sont plsu que vapeur, je préfère mes cauchemars que les retours à la réalité impossible. Au moins, quand tu cauchemardes, tu apprécies le réveil : tiens, je suis encore de ce monde ce matin ? Voilà Cherry. C'est ainsi, je fais pas trente fois les mêmes conneries. Sans que ce soit platonique, ne révons plus. Te manque, parfois, toi aussi. Viens si tu veux, ne trépignerai pas de jalousie. Chacun sa vie, la mienne est trop douce pour accepter tes tortures mentales d'attente. Modérer tous les sentiments extrèmes avec tout le monde. Ouais. Sinon j'en serai à écrire des chansons. Mouhahah, pitoyable romantisme. Me rappelle de cette larme à l'oeil. Héhé. Partie loin.

M'a foutu la haine. Trop de lunatisme. Non, je ne suis pas bizarre, je suis froide car de mauvaise humeur. Et se taire car injustifiable et conneries.


Vendredi 6 avril 2007 à 23:54



Georges est un metrosexuel.
Luce est pas au point F de sa forme.

Le nombre d'habitants de mon coeur s'est un peu agrandi. Dans mon monde parallèle, les oiseaux sont noirs, les cheveux colorés, décolorés, les jupes courtes et la musique forte. Le mal à la tête domine, migraine et crise d'angoisse. Et pour cause, nous ne citerons pas nos potesses de toujours Anamie. Juste histoire de dire.
Dans ce monde, la musique est reine, elle nous dirige et je suis dictatrice. Je m'aime. Je m'idolâtre. Je suis parfaitement douée, parfaitement belle, mince et jolie. Sale gueule de pute. Les griboux cohabitent, co-à-bites. Oui, tous en concert, tous à baiser sur cette zic d'enfer, (métaphorons), peut-être la seule chose qui nous unit avec nos soucis. Mais, les copains, les copines. Parce qu'un gribou est toujours là, même absent. Absynthe. T'as un problème, ils arrivent tous. ILS SAVENT. "Salut, ca va pas toi..."

Great day. Je ne suis pas paraskevidékatriaphobe. On va la remplir et tous les bourrer d'ondes aussi corrosives qu'un baiser bien offert. Se remplir. Automatic. Loin du 17. Se faire pitié à être tarée, à savoir qu'on le lassera bien un jour. Que la folie, c'est marrant deux minutes mais pas au quotidien. Fatigante à se plaindre aussi. Le masque de clown enfilé, il ne reste qu'à jouer son rôle. Les mélodies nous relèvent de ce mauvais pas. Saleté de nounours lubrique. &
Vouloir gérer. Trouver les points communs. Epatantes de défauts, de dangerosité. Va gerber. Oui, attitudes et faiblesses. Apparences trompeuses.

Savoir l'influence que l'on a sur les Suisses de la classe et toutes celles qui ont un sentiment d'infériorité. Parce que les notes, ca vaut mieux que tout. Et mon cul ? Croyez mes conneries, craignez mes réactions, ma destruction, ma violence et répartie haineuses et cyniques. Sans raison valable, mais la peste ne sommeille plus. C'est pas ma faute, c'est à cause des insomnies. Les anges d'épaules se relayent et les "Mais c'est pas grave" "Pas de souci" et autres "Pas de problème" reviennent avec aisance. Tu es bonne. Actrice.
Tiens, ça me rappelle ces 39-40 kilos de poids plume et d'IMC un peu jsute masi de moral à 100% joyeux. Essouflé. "Non seulement t'es belle mais t'es bonne." Ah ouais ? Pouf coup de rein. J'espère que la kiné baise comme tu veux.

Les mots se ramènent dès qu'on les réutilise, style ampoulé, pompeux certes. Allez sans rancune. Se prendre en main, no limite, foonod. Goofy. On y arrivera.



SID VICIOUS EST PLUS QUE LA, revenu sans complexe, il chassera la deep. Pas purple. Tu ne t'accrocheras plus, profites-en encore une bonne semaine. Ou on ira, je m'en contre-branle, mais on y sera ! A faire joujou dangeureusement peut-être mais allume ton ampli et gueule un coup. Les doigts s'emportent sur la clavier et l'inspiration revient, SID est de retour, casse la baraque. Casse les. Ne rêvons plus, agissons pour notre bien phénoménal. WARNER !




Mercredi 28 mars 2007 à 23:10



" Ou suis-je ? Qui suis-je ?
Cela criait dans la caboche de  la petite fée perdue dans un trou noir qu'elle connait pourtant si bien ... On ira cueillir des fraises ensemble et on les mangera avec du champagne et de quoi nous allumer l'esprit. Après s'est copieusement lavée à coups de langue, nous nous obseverons d'un oeil provocateur et d'un regard hautain mais attendri. Nous nous rendrons compte que nos progets ne sont véritables que dans les rêves et l'absolue réalité. Nous en profiterons.

Sois ma femme, c'est tout. Wife of my life. Et toute la niaiserie qui va avec.

Nous irons au bal de Bonesland et nous ondulerons nos squelettes opaques mais si tranlucides. Lucides, nous ne le serons plus, sacs d'os, siamoises, unies par notre Amour de putain de catins. Rayonnantes de transparence, têtes hochées d'un air de pitié, nous nous en foutrons. Besoin de personne, ni d'Harley Davidson. Réunies par la faucheuse qui nous suivra de près. Les os courent vite, c'est bien connu, et nous serons les plus rapides. Tout droit vers le précipice qui nous servira de cercueil apaisant. Parce que la faim est si bonne qu'on en redemanderait ... C'est au nom de cette loi que nous survivrons.
Bon appétit bien-sûr.



Mardi 13 mars 2007 à 0:33



Parce 6 à faire disparaître. Alors s'autoriser même l'interdit. Oui, pro-mia, pro-ana, c'est du pareil au même. Raté tarée. Bientôt parce que promis à la cerise à l'anis, et retrouver ce  40. 38 c'est pas demander la lune.
Restau de vendredi dans les chiottes, déjà prévu, ne pas se laisser aller à la connerie de tout garder pour faire plaisir. Jamais rien ne reste des rest-eau alors pourquoi ici ? Non, non, non, angoisse de bouffer devant des gens et son regard qui surveille. Anorexique, et mon cul ? Veux pas avoir de famille, la solitude est vraiment apréciable. Contradiction fatale. Ne rien attendre de personne pour ne plus dépendre de quelque chose ou de quelqu'un. Ne rêvons plus. Il est temps de se prendre en main, ce sera l'excès du jour, demain est un autre jour et le riz basmati est fuyant comme les lignes.
Gnougnou, tu l'as dis, comme tu me manques, que j'aimerai baiser une fille. Pour voir et pour savoir. Chienne ou pas, tu choisis. M'en fous, j'ai plus de dignité depuis longtemps, m'en branle d'être une salope, mon éducation m'a créee ainsi.
Amen.
Glurc. Deviens parano. Jalouse. En vain ? Raisonnable ? Me pose beaucoup de questions. Surtout ne pas profiter à fond des bonheurs qui nous tombent sous la main parce que la chute est souvent mauvaise. Ne croire en rien est un bon credo. Crescendo.

Le 4 avril nous mène par le bout du nez.
Une troupe de fans à l'occasion.
Remarque, les potes, là.

Chaire explosée sur le crépis, j'avais oublié comment c'est bon. Encore ?
Allons gerber dans la prairiiiiiiieuh, le jour de gloire est arrivé !
GNEUH et elle mourut pendue à sa trousse de toilette.
Je suis con et j'aime. Gné !


:)


Le goût de la bile tevenu. Ne pas stabiliser la connerie, y'a six mois, les données étaient différentes, les chiffres meilleurs. S'accrocher à ces putains de chiffres... Basse vite fait, gratte vite fait et piano vite fait. Tout touhcer et mal. Juste effleurer, ni technique, ni logique, ni maîtrise.
Être translucide musicalement autant que dans la vraie vie. Invisibilité tant demandée, en profiter. Peur de vendredi. Peur, peur, peur. Zagrouhht !
Réécouter Sonata. Long time. Vouloir pouvoir écrire une merde solide. Genre obus. J'aime pas les plats qui finissent en -iflette. Ca tue les stoma. Mui. Mode bof activé. On avance on ne sait ou, mais on ne recule pas. C'est déjà ça. Vouloir y croire. Se métamorphoser en truc d'avant. Pour faire peur et envie, pitié et attirer.

DORMIR. ce rat. une bonne idée. Lubrique. NON
Bloupigoulba. Tu y crois Cherry, quand je te dis qu'il faut m'enfermer. Sans sonde. Juste des Ondes, Corrosives, ça aurait pû le faire. J'aimerai le voir encore, histoire de tripper et de ne pas conjuguer tous les verbes du plaisir de cette forme au passé de l'anté-.
A toi de voir, me diras-tu...

Mercredi 21 février 2007 à 0:36

Ok j'avoue c'est moi…
Mes lentilles qui s'expriment toutes seules. C'est bien bizarre me dirait-on. Mouais, c'est même las à méditer, même pas à m'éditer.

KAEDRINN.
SAUVEE. Moi j'aime. Mais pas quand c'est moi qui joue le bide plein de nut. Du n'importe quoi bien gras.

Tout a fait prêt à me faire chier. Peur de soi ou peur de reconnaître que tout est là, dans ces « peut-être » qui se chavirent autour de moi… Pas suivable. Parce que la notoriété et l'image de marque doivent bien apparaître. Alors je suis dans la merde. Communément dit, quoi…
Je ne vais encore rien comprendre : BASS RULES. Pouf, tout est confus. Aimer le canard. Trop bonne viande pour ce que je suis. Dommage. Damage. Brain Damage ? Yeah. A personne. Besoin de parler. Sans faire de vieilles associations d'idées. Parce que le CO2 aide les idées à ressortir parfois. Même si, hein…
Bourf, tant pis. Je ne m'en souviendrais plus….
Et en effet, tout pour remonter la cervelle hors de l'eau, tous. Non, on est tous pareil, tous violé ou tyrannisé par un parent, tous dépressif et même que c'est pas vrai. J'ai froid, oui j'ai froid. Comme si j'avais envie de faire une raclette. Je veux juste être avec lui. Concevoir un avenir. Sans but, c'est le mur. D'ailleurs, c'est le mur. Ou pas. Pas tout à fait. Ou peut-être. Jamais je ne serai ce que je veux être. Méthode de substitution. Oui, c'est de la merde. Je les niquerai tous. Et maintenant parait que j'ai pris du niveau, on aura tout vu, tout entendu sur cette putain de Terre, quelle bande de clown. Juste pour ça, et bien peut-être. Ca te fait mal, mais fallait pas ne pas y croire.  La première règle est de ne pas faire comme moi, ne pas faire comme moi. S'exprimer, y parvenir. Après c'est simple. Parce qu'on est tous dans le même bateau. Et pis c'est tout. La mimitude n'est qu'un prétexte. Si je m'écoutais, je n'aurais plus cette gueule, mais rien du tout. Qu'on arrête les conneries. 7, et ça serait bien. Le chiffre du diable encore ? Mais oui, on s'emmerde ici.
Tout balancer.

Mercredi 21 février 2007 à 0:18

Il y avait juste un problème dans sa tête. Personne ne savait vraiment ce que c'était. Ou sinon c'est qu'il n'y en avait pas pour les autres. Elle non plus. Elle ignorait. Elle aurait aimé savoir. Pourquoi ? Question récurrente, question de merde aussi. A trop chercher, elle en perdait l'intérêt de sa propre vie, elle passait à côté. Il ne faut pas trop réfléchir. Trop de questions, trop de réponses. C'était ça son problème. Un de ses problèmes. Elle trouvait toujours trop de réponses. Et elle détestait les choix. Quoique. En réalité, tout était fixé, un ange d'épaule lui soupirait juste de se faire l'avocat du diable. WHY WHY WHY WHY ?
A trop poser les questions dans le mauvais sens, à trop songer à des choses dont personne n'accorde d'importance, elle sombrait dans son coté sombre. Du trop, toujours du trop, toujours, trop de toujours, toujours trop...
Aucun regard de connivence, on est toujours trop seul dans la vie. Quoiqu'on en dise. Tout est éphémère, elle ne le savait qu'exagérément. Son existence lui avait prouvé. Tout reste en soi. Mais pas forcément autour. Tout vient, tout repart. Tout exalte, tout devient mat. La brillance n'existe que dans les rêves, ce sens lisse de la vie, de cette réalité. Le seul sens en réalité de ce qui existe : la fiction, le fantasme. Parce que tout se ternit, le temps tue. L'expérience n'en est que trop démonstrative. Et nous le savons tous. Rangeons nos optimismes au fond d'un puit et regardons le monde d'un regard neutre et objectif : pourri. Tout est pourri, moisi, mourrant grouillant de tristesse et de pathétique. Seul les véritables sado-masochistes sont heureux. Onanisme encéphalique, certitude indémontrable, juste véridique. Constaté.

Même pas désolée, c'est ainsi, j'y peux rien.
Et sinon allez vous faire foutre.
Je ne suis pas si sadique au final.

J'aime tout court, je m'en satisferai parce qu'il n'y a que ça qui puissent faire vivre avec la baise. Juste s'accrocher à un sourire, un bout de vie, un destin commun ou hors. Espérer y rester un  peu de temps encore. Remarquer une seule chose, et faire abstraction de tout le reste, passé, futur, autour interne externe. Ne plus penser qu'à son autre. Tant d'égoïsme sidérant. Partager simplicité. Juste une prise sur l'escalade de la vie. Celle qui est là quand il le faut, au bon moment, qui sauve sa propre vie sans qu'autre ne s'en rende compte. Ne pas mériter tant, ne pas pouvoir donner tant, frustration au paroxysme. Se demander ce que l'on a fait de bon pour obtenir tant. Prendre l'énormité que le destin peut parfois donner. Obtenir ce que l'échelle des sentiments peut offrir : malheur décuplé et bonheur en proportion. Manque et retrouvailles. Yin et yang, équilibre parfait et absolue. Absolute Vodka. Comme envie de boire et reboire, comme avant, beaucoup, beaucoup, et finir mal. Trip au maximum et devenir une de ces dépravées qui rient sans savoir pourquoi, qui mélangent avec aisance larme et bonheur, joie et tristesse, qui vivent et ressentent autre chose mieux que l'ordinaire, sensations extrêmes. Mais ne pas oser, ne pas vouloir décevoir. Pas besoin de ça. Et se rappeler : c'est beau et si triste, mérite tellement mieux, ne peser que trop dans cet esprit autre. On pèse toujours trop de toute façon. Trop. Toujours. Un cercle vicieux, nous tournons en rond finalement.

Toujours trop, c'était juste ça…

Je déteste la boulimie et les 21 novembre.
Un jour, je serai. Et peut-être pas. A force, on en oublie l'essentiel.
Un jour, non, jamais.
Je ne saurai pas. C'est ainsi elle l'avait dit…

Merci

Mercredi 21 février 2007 à 0:16

Abandonnée, comme d'habitude. Ne se rend pas compte. Besoin d'Eux. Besoin d'eux-mêmes. Les autres peuvent crever parce que sinon c'est eux qui crèvent. Voudrais sentir mon coeur s'écraser sur des silex empoisonnés. Ils croyaient quoi ?
Ce lycée, ces gens, tous ces gens... Ces cours, toutes ces données. Dominer était le but premier de la manoeuvre. Maintenant que le but est l'échec, dominer reste là. Las. Lasse. Ne plus comprendre que la haine est une partie intégrante de soi. Qu'au fond on n'est qu'un cul maté et re-maté pour le plaisir de la critique et du point critique. Branlez vous et finissons-en...
Laisser seulement la basse s'exprimer pour le reste, parce qu'aucun interlocuteur en peut comprendre au fond. Qu'on est toujours tout seul même quand on veut sauver les autres. Que rien ne sert de courir, il faut partir à point. Point final, que j'aimerai te voir. Un jour, un pas de plus vers. Les textes qui meurent, les mots qui s'envolent alors que les autres restent ancrés dans le cerveau, fidèles à eux-mêmes. Problèmes mentaux, pourquoi toujours trouver le coté noir de chaque chose ? Aurais préféré crever. Ne pas les revoir, mutisme grandissant. S'ouvrir à ces rares à comprendre, voir la différence si ressemblante. Tous les maux sont les mêmes. Compréhension attachante. Ne sais plus que faire. Et sa manière d'ignorer en douceur. Douceur feinte, montrer sa blessure au monde. Et rester là, encore comme une conne, à voir défiler sa vie comme un film. Spectatrice dans son propre rôle. J'aimerai sortir de moi-même et rayonner. Rayonner un peu, beaucoup, à la folie. Parce que les mots ne servent plus à rien, que je ne ferai pas un pas de plus sans qu'on en fasse. Juste attendre deux moments. Vivre pour cette heure et demi de sérénité pour l'esprit puis retourner dans le vrai monde, le monde du cinéma, jouons avec les mots, jouons avec les situations. Oui Guizmo, je suis tordue, ça se voit, ça s'entend. Que veux-tu ? Et ça t'attire. Raté, insensible. Même si c'est des conneries. Se rendre compte de l'ampleur du désastre.

Se sentir morte, jaune et affreuse. Un peu comme saoulée de ces odeurs ennivrantes, entêtantes qui usent nos sens. Abusé, déçue, lâchée sur un trottoir, comme une pieuvre dans le jardin. Et paf, coup de bêche. Pêche, nutella, pain azyme et compagnie. C'est tout. Je ne suis pas une no-life, je n'ai pas de vie, ni virtuelle.
The Lion, only life. Just reason to live. To breathe from himself. Juste se sentir exister à ce moment-ci. 1h30 à ne pas savoir comment dire la puissance. Je dois être trop cinglée parce que même à cet instant, souci perso, confiance qui bad et vouloir ne plus avoir toutes ces failles. Un jour. Peur de moi autant que de Lui. Parce que complexe d'infériorité devant tant de prestige. Ne se rend pas compte.
Tous pareils...

Les sombres dans "Ca se discute". Witko en vie puisqu'elle mate la TV. Média de masse et peu sélectif.
Rien le 24. Se lêcher les côtes pendant leur baise. Je ne vous aurais pas fait chier. La solitude à Rennes, ça m'aurait pourtant plus. Dans les bars. Pas de Brigitte Bop, rien de tout cela, encore raté. Encore de trop. Parce qu'impossible que tous les gens que j'aime se voient. Révons, je vais me faire foutre une balle. Parce que toujours seuls dans la vie, ne compter sur rien, pas même sur les rêves, ne pas se faire d'illusions, ça évite les déceptions. Justine qui s'en sort, tant mieux pour elle. Froide et distante, je suis conne et inutile. C'est ainsi, je ne peux rien y changer.
Voilà.

J'ai pitié, j'ai pitié. Par pitié.
C'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est c'est pas pas pas pas pas pas pas pas pas pas suis suis suis suis suis suis suis suis suis suis suis bien bien bien bien bien bien bien bien bien

Mercredi 1er novembre 2006 à 10:34


Ouais, comme ça. 43. A ne plus y croire. Détester. TOUT.
Et l'attente. Mais putain (de Marivaux, no comprendo, moi ch'uis con moi), fais chier la bite. Fais chier. A côté de mes docs, à côté de ma cervelle, à côté de tout. Deuxième nuit blanche, bien tripper avec Laxator même s'il dormait à 11h. Sympathoche. Comprends que dalle à leurs trips, comprends plus que dalle.
"Au moins, j'aurai gardé tes jeux de mots débiles et ça les fait rire"
Connard. Va te faire foutre avec mon humour pourri. Ouais, c'est exactement ça. Et ça les fait rire, mes blagues de merde dans sa bouche à travers sa voix à la con. Réveil fracassant.
Et ce con de Rémy, gnagnagna, te fais pas de films, je couche qu'avec amour quoique tout le monde en pense et meme si ça peut porter préjudice. Je m'en fous de cette réputation à la con, m'en branle de l'entretenir. Ouais, les jupes, ça les met en rute. Même Mike, diputée comme un morceau de viande, comme une pute, au plus offrant.
"On peut se revoir si t'en as envie..."
Tes points de suspension, tu te les fous où je pense. Cest à dire nulle part, je pense pas ou plutôt pas à toi. Oui, que LUI, et MERDE ! M'ont grave saoulée.
"Tu vois, je sais que Rémy... gneuh ! Donc je te le laisse... "
Mais putain, en un regard t'es redevenu fou ? Tu te fous de ma gueule ? Oui, t te fosu de ma gueule. L'effet jupe salope, ça marche vraiment sur toutes les bites ambulantes Cherry. Je dois être comment dire... SEX ? Et mon cul ? Ouais. Et même quand t'es une grosse vache.Trop géré l'alcool, et aujourd'hui le pet, finalement j'aime les psychotropes, c'est trop psychologique. Ouais, j'aime. Puis comme si j'étais une salope.
Faut pas abuser.

Ai pris 5 kilos avec l'arrêt des vomissements. Jeuner, jeuner, jeuner. Non y' aplus moyen. Et Ouchach qui me demande si je mange. Alors que crise sur crise, nutella, pizza sauces et j'en passe. Des vraies crises, même pas vomies. Presqu'en manque. Et eux qui croient que je bouffe pas ! Mais putain ouvrez les yeux. L'alcool fait grossir, je vias fumer plus. Dégoutée du tabac, mais pas en public. Psychologie de merde, ptet que j'ai pas envie d'aimer.
J'en ai marre du tout ou rien, j'en ai marre de bosser. Et j'ai perdu 750 euros à acheter un portable que ma mère va encore oublier de me rembourser. On n'est plus à queluqes centaines d'euros...
Marre de copier sur l'ordi même si la célérité cresse. Ca veut rien dire cresse mais je m'en tape. C'est pas fait pour être lui, juste pour être sorti, après ca va mieux. Comme un coup de gueule injustifié mais là t'as même pas à regretter.
Titine a un putain de niveau, ça m'a fait pensé à Natha dans un autre genre. Penser à. Finalement ça cancanne de partout dans ma tête. Plus qu'insupportable manque, pas de survie sans. Non mais trgaochmqsnldcv nv:w m,sz<:n!m<?LV §MZ. Voila. Ca explique un peu. manque manque manque manque mansue ùz,sie manque manque amenaus deq merde. Fais chier la Belgique. Pas envie de bouffer. Comment perdre 5 kilos en 2 jours ? Quoi c'ets pas possible ? Vergetures qui reviennent, cellulite à la con, flasque, on se croirait en avril, ne te découvre pas d'un fil.

Cherry. Trop de choses à te dire. Je ne t'oublie pas même si je ne te transmets pas. Là, on est deux, on l'a toujours été depuis qu'on est. Voilà. Faut surtout pas l'oublier, je le rappelle. On sait jamais, m'inquiète beaucoup à ton sujet.

Dévidage de haine pas fini, mais lutte contre soi pour pas se faire du mal quand même. Envies de gerber presque constante, même et surtout pour la douche. Là ca soulage, gerber les mots, ca gène personne, et je m'en fous de l'interprétation puisque c'est un chiotte à mots. Et vu comment c'est sorti, on s'en branle, asticage. Asticot, Phinou. Ouais. Eloignée. Ne pa sprêter attention à ce lieu concentré de pathétique. Même pas tragos. Le bouc. Ouais je connais mes cours. Je les emmerde et j'aime me détester, faut s'accepter comme tel parait-il alors j'accepte le détestage et ma mauvaise foi en écrivant toutes ces conneries. Ouais faut bien l'avouer, c'est des conneries, masi ca fait du bien de les dire, malgré toute la mauvaise foi. J'aime les répétitions et les justification inutiles.

Rien à rajouter, je suis sage, c'est tout. Et j'ai pas envie de faire le ménage. Pioncent tous.
Merde, ca résume tous. Surmotivation de jeune, honte de me montrer ainsi jeudi, plus aucune assurance. FUCK.

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Samedi 21 octobre 2006 à 13:39


Je vais la tuer. "T'as qu'à faire du théâtre ... Ou du porno" Mais tu la sors d'où Connard ? Non Cherry, je la plomberai pas sur le net. Adoption du silence en société à l'unanimité par mon cerveau et ses connexions. Y'a plus rien qui fonctionne. On prend son pied où on peut. Ce sera dans le roulage. Ne plus être ici, ne plus rien calculer. Faire semblant d'être un minimum bien. Et se terre. Se taire, se taire. Taire les mots, les souveniiiiiirs, c'est Dolly qui l'a dit. Riz au lait de merde. Envie de tout casser. Mais putain. Mais putain, mais ......
Faut que je refasse du sport. Ouais t'as bien lu. Du sport. Se déchirer un peu plus les poumons. M'attendront un peu ces cons. Déjà que je suis énorme, ca me fera pas de mal. Et puis sion je risque de faire des conneries. Si on peut plus baiser, ça va pas le faire. Hé Cherry, tu l'as déjà fait avec une fille ? Tu seras ma première. J'ai envie de tuer, tuer tuer.
J'ai re-découvert, par mégarde en plus, la brûlure ... C'est jouissif, ca fait des jolies marques. Rien que le côté esthétique. Vraiment. Tu me dessines un mouton ? On ets tous des moutons, dessine le premier merdeux que tu veux, du moche sur du moche ca change rien.
Place Plumereau ces connards. Je les hais. J'a envie de tout arrêter. Ondes Co en tête. J'aime me faire du mal. Rienq ue d'y peser. FUCK. Dire à tout le monde que je les déteste tous autant qu'ils sont. Cons. Et venir te voir, se refaire cette peau. Partir dans un monde ort. C'est chouette. Mais moi je l'ai pas. Orgasme simultanné, c'est possible, c'ets toi qui le dit, c'est normal, depuis que t'es née tu vis la même chose. T'as pas de chances Poupée. Même pas là, juste premier degrès du vrai plaisir. J'ai envie vraiment de partir vraiment. De les tuer. DE LES TUER. Jeter leur amitié et leur semblant d'amitié aux chiottes, benne à pensées. Même pas au courant.
Je vais FAIRE SEMBLANT.
Mais oui ça va très bien, j'ai la pêche je suis en forme, j'ai le moral. Méthode de ? Merde j'ai oublié son nom a ce psychologue de merde. Coué. Ouais, Méthode Coué. Je me force à me die que je vais bien donc je vais bien. Très bien. Perception.

Un jour, on arrêtera de se mentir à nous-même.
On se pendra.

J'arrive plus à m'exprimer. Amorphe, déformée. énorme, ma cervelle coule, tu veux vraiment pas. J'arrive même plus à chialer.
. Gun, tuer. TUER
. 40 grammes.
. C'est par où la sortie ?
. Définitive définition

Jeudi 19 octobre 2006 à 20:27


Ils font leur vie à côté. C'était une certitude. Que je ne comprenais plus rien à leur discussion, que eux ils trippent toute la journée avec des potes et que je suis associal, que j'arrête pas de me plaindre. Que leur tendresse de merde, ils se la foutent au cul. J'en veux pas de leur amitié de merde. La vie c'est de la merde. J'ai vécu tout e que je voulais vivre moi aussi. Sauf qu'on n'a pas baisé ensemble. Pas encore. Ouais je suis une ado en crise. Eternellement. Et mêe que je vaias me rouler un bon pet. Que je suis une rebelle de la société.

Ouais moi je suis jalouse. Et ouais. Moi je suis une merdeuse.

Il me manque pas, je lui en veux. J'inverse les rôles. Voyait rien de toute facon. Être en sang que rien n'aurait. Putain ! Mais je deviens sacrément folle. SAGUINAIRE. J'ai envie. Envie. Tu comprends pas que c'est pire ? Putain ?
Et ton  texto de merde. Putain mais bordel.
Attends Cherry, je te cite :
" Coucou ben ici c'est TP chimie c'est sympa. T'as le bonjour d'Alex qui me trouve chanceux d'être avec toi. Biz bon courage pour les cours. "
Tu veux que je te plaigne ? Alex, c'est le tétraplégique de Physique Chimie qu'il y avait dans ma classe. Ouais, avec ses yeux de chien battu prêt à faire tout ce que tu lui demandes, sa tronche d'arraché, sa touffe de cheveux. Enfin, un baisé de la vie qui l'a baisé. Mais putain. PUTAIN. J'ai failli dre non quand il m'a demandé si c'ets mon copain que je venais voir. Lundi, rien ne montrait qu'on vivait ensemble.

Puis j'en a marre de toujours inverser les roles. Mais non, je lui en veux pas. Faut bien que je m'en prenne. La proie la plus facile. Mais. Cherry, t'as choisi les armes. Je pête un câble. Chialer devant les conversations MSN. Pas 36000, deux. Envie de se faire les ongles. On se fait les ongles ?

Putain, je me fais pitié. Je suis con. Jenme déteste, mentalité de con, corps de baleine.
Rien. FUCK THEM ALL.




Cette connasse, je la tue si ... Putain ! TA GUEULE

Mercredi 11 octobre 2006 à 20:02


Je crois que je comprends tout. TOUT. TOUT. TOUT. TOUT. TOUT.
Et ça fait mal.

En fait, j'ai pas de coeur, Cherry. Sûrement encore plus égoïste. Melting pot de merde interne. Internée, c'est sûr. Besoin de parler, de parler, de faire du mal, de se faire du mal. Peut-être tout simplement que. Besoin de réfléchir, de tout mettre en pause, de vivre seule et faire le point, une auto-thérapie.
Pro-ana, il faut l'avouer, ouais, c'est comme ça, c'est dommage, dégueulasse, mais comme ça. Sommes. Bizarre, vraiment des soeurs. Vraiment épatant ce fait d'âtre parallèle.
Non, j'y avais déjà pensé. Lacher les deux, partir  seule sur Chambray, seule. Et faire le vide dans sa consciente, se refaire une nouvelle, nouvelle, nouvelle peau. Voir si fumer change la vision. Que dalle, va te faire foutre Connasse. Ca change que dalle ! Même vision, même pas de baume au coeur, pas de fou-rire, juste envie de chialer. Rien n'évolue, le pet n'éclaire rien et j'ai l'impression que tout lâcher pour se consacrer à MOI, MOI, MOI. EGOEGOEGOGEOEGOEGOGEOEGOEGOEGOGEOEGO. Prendre le temps de revenir sur des mauvaises décisions. S'occuper de soi. SOI. Tu te rends compte.

Réveil, 5 minutes après, cours, bossage de cours à midi, ou piscine, cours, bossage de cours, bossage de musique, lecture, psychotage, fumage, dormage ou concert avec buvage de coup. Voir les cailloux. Tripper avec ses nouveaux potes déjantés, ne plus se connecter, téléphoner, ne plus manger, bosser, exceller, rester devant ce but.

Retourner un tantinet dans le passé en voyant les gens du squat qui ne m'oublieront donc jamais ! Mais putain  les mecs, on se voit qu'une fois par an, vous pouvez pas me laisser ? J'ai des ex hors paire, putain de bordel de pute. Et dire que... Putain, je les emmerde. Ca fera ce jour-là 3 ans. Trois ans ! Mais putain, Dieu que c'ets bon l'auto-destruction. Peux plus vomir. Pacte de merde. Mais, mais, mais... Putain, pas pour moi ce truc. Ca n'arrange pas. Rien. Baby, j'ai grossi comme une vache. Même les mains sur le clavier. Dégouttée. Pro. Nous sommes, nous serons. Me sens renfermer dans moi. Peux plus rien dire, plus rien dire. Plus rien ne sort. Crever de haine. Haine, hargne. Me rabat sur le shit. Bonne solution.
Quoi ? Fais pa chier, je le sais. C'est pas une solution. Parce que ca empêche juste de penser. Anesthésie local. Lobotomie. Paroxysme du vide. Bouh, peux plus vomir, pas préparée psycho à ce sevrage de merde. Juste pour lui, moi j'men fous. Juste par défi. Je suis encore plsu conne. Sais même plus comment faire. Vais faire le bracelet de la mort qui tue. Ca m'aidera à l'intérieur un peu.
Rhaaa , verte, dégrisée.
Même la musique, je suis paumée. Je comprends rien et je comprends tout. Dans 3 ans, on va en Angleterre.  Des connectées.

Allez va chier. C'est tout.
Juste que ses monumentals efforts, sa patience. Et mes abus. Pitié qui tend vers l'infini. Voilà, tu veux quoi de plus ? Je vais te le dire, fumer, fumer, jusqu'a l'overdose psychique.
FUCK LOVE.


Puisque c'est ça. C'est ca.
Y'a que toi Cherry.
Certitude absolue, qui mieux qu'une femme peut donner du plaisir a une autre.  Je te baiserai. Suis pas une femme, jamais. Veux me venger de moi. Des étoiles à la place des points. Se piquer à défaut d'héro, à défaut de lame. Même effet. Plus tard, qd on sera grande, on se scrarifiera et on mettra de l'encre dans les plaies. Marquées à vie par nos conneries.  Ouais, ca c'est fun.

VENGEANCE Poupée.
Dis, tu me limeras les poignets à la lime à ongle ? Veux jouer avec un briquet. Veux pas mourir, juste sentir ce pouvoir sur le corps. Plus aucun pouvoir. Juste celui de ne plus penser. C'est bien con hein ?

Dimanche 8 octobre 2006 à 16:43


Voilà. Faut bosser. Pas envie.
3 repas entre vendredi et samedi. Même pas partis, tout lune. Ne plus être soi. J'aime pas. Qu'est ce que je suis ? Hein ?
Vendredi, rencontre d'une folle. Loute au lit. C'est ça, reste dans a mauvaise humeur. Sim's et moi éberlués. Imaginée une cravache à la main avant qu'elle n'ait pu sortir un mot, rien que les fringues. Fétiche, cultivée, pin up et tête sur les épaules. Juste un peu trop, trop... Ouais, une putain de personnalisté. Assumée. Le Smoun qui plaint son mec. Tu m'étonnes. Une fille pour personne. Violente au pieu, c'est une certitude. Enfin, certitude relative. Aime trop avoir raison et commander. Juge selon le look. Aime pas les skin, vraiment chelou comme fille. Mais plutot trippante. Vraiment amusante et intéressante. Féministe pas paradoxale. Différente bien bourrée. Pauvre garçon...

Même pas défoncée, ai pianoté, bu un sirop de banane et un monaco. Pensé à lui. Trahison que de ne pas le boire avec. Mais penser. M'en fous en fait. Obligée de boire ca. Pauvre présence mais un rappel minuscule dont j'ai besoin. Faire jouer l'imagination. Je veux du choc 24/24.

Papotage rapide avec le batteur pendant le démontage de la batterie avant la répét. Biloute qui cherche son son à la cave.
" - Ah, y'a une alim' sur les table de mix ? Je savais pô !
- Ouaip ! Et ca fait gueuler Noute quand y'a l'Asticot qui l'oublie dans la bagnole ...
- Bah ouais, d'ailleurs il commence sérieusement à me saouler à jamais être content.
- Je comprends, ca sert à rien de gueuler toute facon.
- Ui, puis j'ai fait des efforts
- Hum, et puis qd t'es tête en l'air tu peux pas changer du jour au lendemain. C'est un travail d'attention ... Moi, je dis rien mais bon... C'est chiant.
- Ouais, puis ca change rien d'hurler ... Je l'ai prévenu, on en a parlé... Je lui ai dit qu'il valait mieux qu'il prenne sur lui. Parce que j'en ai vraiment marre. Juste le temps qu'il se remette de sa bronchite... Je comrpends qu'il soit stressé par la fac, mais bon, je suis pas un défouloir.
- Je comprends que c'est pas une vie non plus. Surtout que c'est inutile de crier. Enfin je ne sais pas mais ce n'est aps une solution. Je sais pas.
- Tu vois, j'en ai plus de sentiments. Même si ca se travaille... Mais j'ai plus envie. Il a une toute petite chance, ca fait des mois que j'essaie de prendre sur moi et l'énervement se décline sous pleins de formes...
- J'ai cru remarqué...  En plus, ca fait deux ans que vous êtes ensemble, c'est pas simple, c'est deja beaucoup. La vie en couple, ca se travaille, faut être patient quoi.
- Oui, et ça me génera pas de partir s'il le faut. Même s'il a fait des efforts. Même si c'ets ptêt une connerie...
- Ptêt ou ptêt pas.
- Ouais, toute facon, j'ai plus envie. J'en deviens indifférente... J'hésiterai pas. Enfin...
On descend ton PC tout de suite pour faire des essais ou on attend ?
- Tout à l'heure quand tout sera installé.
- Ako, danke.
Simon qui voit plus que je le pensais. Et qui voit bien que c'est pas parce que je rigole quand il est là que c'est toujours ma réaction.

Gros trip avec Natha. Les gosses ! Les Dalton. Trip avec la mère du batteur. Se faire les muscles ensemble en descendant tous les samedis les 5 cymbales, la GC, les 4 toms, la DW7000, les 2 over-head et le micro de GC.
"- Pourquoi mon fils n'a til pas joué de la flûte ?
- Pour qu'on fasse de la gym gratuitement :D
- Pas bête ! "
Natha qui a une disto stridente. Les essais peu fructueux. Moi qui gache tout et épuise la patience de Noute. Je t'emmerde mec.
"- Mais concentre-toi...
- En même temps ca fait deux mois qu'elle s'est mise à la basse...
- Ouais enfin..."
Merci Simon. Bah ouais mec, t'as pas d'argument, je débute et c'est ma troisième répét. Trop exigeant ave moi. Pas faute de bosser, connais pas la structure des morceaux et pas assez mes lignes. Oui, mais c'est comme ca. Loute, lama-apprenti-cracheur, ne pas dire de conneries lorsqu'il boit. Natha soliste de ouf. Comme une conne et Loute comme un merdeux a coté. Quoique parfois... Enfin, développement d'une haine envers lui, ne pas m'écouter, suis en partie responsable, m'en veux plus qu'a lui.
Répét un peu trainante a cause des enregistrements et de l'équal un peu plate. Pas du matos de pro non plus. Se démerder avec ce qu'on a et balancer de l'aller-retour jusqu'aux crampes. Dès le premier morceau crampes. CRAMPE CRAMPE CRAMPE. Balancer la douleur dans la basse et s'en foutre. Trop lourde, repas a perdre. Même pas offert a mon pote en céramique. De l'énergie à revendre, de la passion dans le mouvement. La musique, ca sera ma vie. Je ne sais pas comment, mais ca le sera. Défoulement fatal, panard de furieux. Oui, j'aime, je veux, j'exige. Après chaque enregistrement plsu ou moins bien car juste support de travail pour bosser (pour moi :d). Trip final. Tout rejouer. Tempo de fou, musique qui bouge et loute qu'assure pas le solo sur l'instru. Et tu dis que j'ai pas d'oreille ! T'es ouf, tu joues faux. Non pas capable de te montrer ce qui est faux, car je ne joue pas de gratte. Juste donner son avis. Ne pas éclater, juste bien abimer son médiator jaune, mon préféré... Et devoir en racheter un. Médiator magique dont les bouts tombent... Trop rapide.

Puis rangage de la batterie toute seule sauf GC, assure pas mal au niveau de l'investissement perso. Veux que ce groupe soit mondialement connu. Veux que des pseudo ponque se remue les cotes sur du Bouge, Lycée Merdier, Intello ou Un Peu de Sérieux voire même Noname. Ce morceau s'appelle à tarte. C'est le punk qui l'a dit.
Après rangeage, esquive du repas, Loute trop balade. Bouffer devant la télé en regardant un thriller qui fait même pas peur. Moi qui flippe ma race et qui cauchemarde. Toujours, toujours, toujours. Pourtant pas grand chose de gore, juste des paupières découpées. La fille de Matrix. Matin, réécoute des morceau et rajouter de la compression. Plus de présence et encore. Mais pas top compressé. Pas les versions finales sur ma clé. Pas grave. De photos prise par moi pendant un boeuf de Metallica. Les aurais tous. Je t'aurai Loute. MOUHAHAHAHA.

Ou comment devenir hargneuse, perdre tout désir malgré les excellentes capacités sexuelles de son mec. Savoir ou ca fait du bien, ne plus vouloir en faire pendant que l'autre se fait a moitié repousser. Non de rien. Nom de rien. Voila. C'est tout. On joue et on perd. Tous les deux. On s'est bien connu, savait ce que l'autre pouvait aimer, atteindre l'extase en 2 secondes ou en 2 heures selon le jeu joué. Perdu. On ne joue plus. Tout est perdu. Mais moi je gagne autre part. Pas mieux, pas pire, différent. Juste différent. Pareil. Ne plus chercher. Tout sera bientot fini. Tout recommencera. Ici ou ailleurs, je m'en fous, je veux juste être libre. N'appartenir à personne. Ne plus avoir de comptes a rendre. Vivre une jeunesse à courir dans les rues la nuit.

L'amour ne dure pas 3 ans. L'amour dure même pas deux ans. L'amour c'est de la connerie. J'y ai cru. 3 fois. Jamais 2 sans 3. Le scepticisme est le meilleur des remèdes. Y croire, mais pas au point de dire de jolies choses. Ne dirais plus rien. Même si je le pense. N'ai plus à penser, n'ai plus qu'a panser.

Comme des grosses envies de dessiner la chaire au couteau. Lames de rasoir. Même plus le courage de vomir. Même plus le courage de taillader. Juste des pensées folles. Libérer ames et corps. Ouais moi je suis une dark. Au moins ca.
My God, my tourniquet, return to me salvation. Sortir et se blinder la gueule a la vodka tous les soirs. Insupportable cafard simiesque. Grosse truie. Reflet mal-aimable avec moi, atteinde le poids de ma ptite soeur.

Aujourd'hui, Paris-Tours. La ville qui se réveille. C'est bien. Bien. De moyens. Ecran de 12 m2, jalouse, veux faire de l'événementiel. Des moyens de fou, des caravanes partout, de la pub, du lobbying, du sponsoring, pleins de notions de culture-pub. Se dire que des marchands de rêves gèrent tout ca. Sauf que le rêve ca ne se marchande pas, ca ne se vendra jamais. Nous prennent pour des cons. Et il y en a qui y croient. On crévera tous. Les médias.

JE LES AURAI TOUS, AU PéRIL DE MA PROPRE VIE.
Crever sous leurs yeux, en silence et en jouissance extrème. Tu comprendras même pas. J'aime l'égoïsme imbu de lui-même que je suis. Pauvre conne.
Salope.

Pas la peine de t'enfuir, il ne se passera rien entre eux.

Besoin de toi. Plus qu'une envie. Partage. Pas juste. Règle mes histoires d'abord. Les jeux sont faits. Amen. Plus de choix a faire, décisions prises. Ne ris pas trop non plus, je ne suis pas la plus staisfaite, et il faut un bon mois pour que tout soit calir net et précis. Sadisme. Voila

Perdue dans ma haine. Il le sent. Il me voit perdue. A bout de mains, il ne me rattrapera pas. Tu ne me rattraperas pas. Je suis conne ma parole. Ptêt que c'était l'homme de ma vie. Si ca existe... Donc non. Dommage. Beau gosse, beau cul. En phase. Mais juste un instant. J'avais vu juste, me suis aveuglé. Tant pis pour moi. Ne crois plus.

Oui Cherry, je suis aussi schizo... C'est le but du blog. Et je ne justifierai pas. On sera des vraies amoureuses. Roulage de pelle et plus si affinités. Mourir de nos conneries et en rire au paradis.

Besoin de toi, te parler. Tu veux de moi ?
MARRE
FUCK LOVE sur ma veste ? Grande question.

Dimanche 24 septembre 2006 à 11:39


J'ai bouffé devant eux. Me suis remplie la gueule comme une boulimique. Et j'ai gerbé dans les chiottes du lycée. Tout, tout. Sans possibilité de fuir son destin. Ou si... Mais. Se rejetter des fautes qui n'en sont pas. Se rejetter tout court. Auto-auto. Matique. Comme les mathé. Vaux pas, veux pas. Impossible, impossible. Non non, non non non, non. Putain de psychotie. Je dois faire quoi dans tout ça. Peux pas laisser tomber. Peux pas. Veux pas. Ou je passe à coté d'une vie.

Pas manger. S'emplir le corps de merde. Dégueuler deux fois vendredi, dégueuler deux fois samedi. Mais c'est quoi mes conneries ? Pas juste. Nulle que je suis. Que dalle aujourd'hui. Un pomme. Inquiétude de la gynéco.
"Ah non Delphine (voix de désespérée)... Vous pesiez 48 kilos il y a un peu plus de deux ans, je l'ai vu en vous apercevant dans la salle d'attente ... Faut que vous mangiez plus ... C'est des soucis d'argent ? "
Eh non ! Juste que maintenant, plus une seule crise sans flirter avec le chiotte Poupée. Juste que c'est un moyen d'être moins mal. De pouvoir gerber une rage interne. Un court-circuit trop long. Mais ça, m'dame, ca me regarde. J te le dirais pas. Juste bonne à aller voir un psy. C'est p'tet finalement une solution. Arriver sur un fauteuil et payer 30 euros pour s'endormir dessus. Ne rien dire, car auto-analyses.

Puis la déveine... Non mais ooooooooooooooh ! Nettoyer le congélo après avoir jeter pas mal de bouffe, évier bouché. Tout ça a cause d'EDF ! Je décline toute responsabilité pour une fois. C'est bon, y'en a ras-la-bol. Déjà que je suis pas très doué si ils en rajoutent. Putain de merde.
Il me sauve, lui. Plein d 'envies.Renaître. Echappatoire, penser qu'une vie de rêve peut exister. Illusion ? Ne pas trop rêver, mettre du noir dans tout ce qui peut m'éclairer. Mais non. Bien réel. Pince-moi, mords-moi. Oui, mords-vivante ? Juste que je sais ce qu'il se passe. Que j'aimerai que ça continue. Que je sais plus pourquoi je sais plus. Que tout allait bien. Que tout va bien. Que je gâche tout peut-être. Que j'aime ça. Être avec. Juste l'impression d'exister pour quelque chose. Pas rien. Pas vide, pas creuse. Vide et creuse. Pas assez bien, pas assez tout. Mérite mieux, mérite mieux. Pas juste. Tu veux me tuer ? Tue-moi à la hache. Bouffe moi avec du sel. Oui, je le veux.

Trip basse. Faire celle qu'est pas douée. Savoir qu'on a des capacités. Ne pas en faitre plus. S'auto-démotiver. Pourquoi ? Ptet pour le décourager. Pourtant tiens bon face à ma gueule défaite, ma volonté inexistante. Juste que pas envie de leur faire plaisir. Jouer pour eux. Ne pas être une Ondes Corrosives. Petite fréquence de merde. Ils verront cependant. MOUHAHAH. Et ouais Chéri, j'ai sûrement des putains de capacités. En tout cas, j'apprends vite.

Je sais plus. Rien à dire, juste écrire. Ces mots qui m'égorge, qui ne veulent pas sortir. There's a Duck in myself. He makes me fly. Make me real. Dreams of lullaby. Juste quelques lettres. Même si j'explose ... C'est comme ça. Peut-être que c'est même. J'ose ? Always not enouhts, not enought strong. Love. No, too. Too. Is it wrong ? Nous, hamac, mains, effleurement. Transparent. Délire à la con. J'y crois. 
 Pas toi ?

Dimanche 24 septembre 2006 à 10:50


Blablablablablabla ...  ...   ...    ...    Blablablablabla ...
Silence, silence, silence. Arrivée en silence. Pas un mot. Music. Sad music, sad messages. Sad, bad, sad. Sad thoughts, sad bad mind. Fumage en musique. Montée des marches en silence. Installation en musique. Pas une paroles, pas un regard. In my world. Rassur même pas. Impression de semer le trouble et le malheur un peu partout. Que j'aille me faire foutre, avec mes idées saugrenues. In a big mess, big mist, grind.

Blablablabla, bandes de cons. Hurle en silence. En veux à la Terre entière. Tout foutre en l'air, finir crucifiée. Tout qui s'effondre et partir loin. Comme ça. C'est pourtant si simple. Si complexe... Incapable de savoir dire quelque chose. Les mots qui restent bloquées au fond de la gorge, pas de médiator pour gratter un de mes deux cordes vocales. Mots bloqués, bloquée. Tout briser. Tout lâcher. Good solution Baby ? Lâcher tout le monde et se barrer. Loin. United Kingdom, I 'm here. Ne rien dire à personne. Cheffield, Chelsea, Londres, Liverpool. Le ville des Scarabées. Beatles-aéroport, retourner à sa pauvre jeunesse de merde. Ouais, dégager de là. Se faire une nouvelle peau, une nouvelle vie. Toute neuve, sans questionnement. TO FORGET. Improvisation totale et immédiate. Pouvoir, ne pas pouvoir. Cervelle de merde.

Envie de violence, passer sous un bus. Refaire la peinture. ROUGE, rouge nerveux, rouge sang.Ballonée entre deux extrèmes. Deux poids, deux mesures. Incomparable. Envie de beaucoup de choses incompréhensibles. Nie tout en bloc. Accepter quand un bonheur me saute dessus ? Amertume ... Je sais ce que je ressens, ça me suffit. Ca me suffit ? Pas.
Fuck myself.

Une chanson belle, qui claque.

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