sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Samedi 26 septembre 2009 à 11:16



Mon plus grand flip, c'est de ne pas être à la hauteur dans ce BTS Com Vis. Mais quand on veut, qu'on se donne les moyens, on peut, n'est-ce pas ? La sous-confiance m'empêchera sûrement d'y aller jusqu'au bout. Alors dansez, crayons. Joue avec la souris et Toshop.Je ne peux pas, ne pas réussir. Et même si ça ne paye pas de mine, je vais mettre les bouchées doubles. Du travail. Et ne suffit pas de l'écrire.
Il faut que j'apprenne à dessiner. Melchor et Claire. Devenir le troisième mage, dessiner et développer le truc...



Vendredi 18 septembre 2009 à 19:38



Alors, je lui ai fait un gâteau. Au chocolat bien-sûr. HAHA, je me gausse.
Aujourd'hui, on a fait des photos avec les deux petites soeurs. Partager le bonheur du quotidien avec ma famille. Voir que j'existe à leurs yeux et que je compte. Que je manque. Coco est même venu me retrouver, vieux singe de mon coeur. Alors photos. Je suis vraiment grosse.
Au moins 5 kilos à perdre. 9 pour que ce soit parfait. Je suis désespérée. Et je compte bien changer ça. Coute que coute. Il en est ainsi. Dès mon retour. Se reprendre et. Lignes. Lignes. Lignes.

Dimanche : footing.
Lundi : barre au sol.
Mardi : athlétisme.
Jeudi : athlétisme.
Samedi : barre au sol.

Reste à oser le roller pour aller en cours...



Mercredi 16 septembre 2009 à 23:33



Cinquante-six. Ou soixante. Ou cinquante-trois. Trop pour compter. Comme les kilos. Je suis presque à mon poids maximum atteint. Presque enceinte quoi. Gros cul, grosses jambes, gros bide, gros bras. Gras. Mais moins qu'avant. Alors quand même reprendre. Il parait que.

Réveil : Grand verre d'eau citronnée
Petit déjeuner : café + pain complet + beurre
10 heures : 1 babybel + 1 grand verre d'eau
Déjeuner : Protéine ou féculent + légumes verts + salade assaisonnée + yaourt 0%
Café + 1 carré de chocolat
Goûter : fruits + grand verre d'eau
Dîner : légumes cuits ou crus + yaourt 0%


J'ai comme envie de faire de la danse. Je sens que ça me réconcilierait avec GrosCorps. Du PoleDancing, de la danse classique, de la salsa ou du tango, ou je sais pas. Mais danser. Alors sûrement lâcher les séances cardio pour de la barre au sol. A voir absolument. Puis l'athlé. Of course. Lesemi-marathon de Boulbi est le 15 novembre, je DOIS être prête. Allons-y vraiment. Sans TROP chercher la performance. Il va falloir redessiner tout ça.
Je ne fume presque plus. Une par semaine, ce n'est pas la mer à boire non plus. Hein. Je ne fume plus. Et je suis grave à la bourre. Va falloir assurer ce week-end. Et demain soir. Je suis déjà mourute. Morue. C'est la goulue qu'a pas voulu.
Redessiner, c'est vraiment le maître mot. HAHA. Drôlesse !



Lundi 17 août 2009 à 0:11



Je pense à ces conversations avec Bibou. A ces mises au clair. M'apprendre comment. Alors on traine dans Chatelet, le Marais. Encore et encore. C'en est devenu une habitude cette année. Nos pauses clopes, nos felafel, la rue des Rosiers, notre cantine, nos Ginettes, le Marais Café. Il en découle une curiosité certaine, de ces discussions.

Et puis Chou que Bib m'a présentée. Je te connais maintenant. Même si on ne s'est vues que ces quelques fois-là. Je connais ton speech, ta détermination fébrile, tes énormes failles, tes impulsions. Je te cuisine. Parle peu. Pas de moi. Te fais parler, économise ma salive, relance les conversations. Te regarde dans les yeux alors que tu n'oses pas croiser mon regard. Savoure sadiquement ces instants où nos corps devront se frôler et où je sentirai tes envies. Suivies de remerciements pour t'avoir raccompagnée à une station de métro, de tes textos où tu me confiera avoir envie de moi, que je suis belle et que pourtant, tu serais difficile question nana. Non Chérie, tu sais que je ne suis pas belle. Tu passes du bon temps. Mais cette amitié à sens unique, elle me fait rire. Tu me fais rire. Que toi, chère lesbos adorée, tu tombes sous le charme de ton meilleur ami gay, tous ces problème que tu te crées toute seule. Et je suis loin de tout ça, m'en protège. Et que la confusion te joue des tours. Tu es perdue. Et tu voudrais qu'avec moi, on puisse te trouver un chemin où nous serions épanouies ensemble. Mais Poupée, c'est impossible. Je ne peux t'offrir que mon amitié. Mais je n'attends rien en retour. Même pas cette complicité ambigüe qui trône et sème le mal. Parce qu'avec toi, je ne me sens pas bien. Mélange de culpabilité, d'incompréhension, d'appréhension, de confiance, de compréhension, de simplicité et de complicité. Moi, je ne te trouve pas belle. Tu es jolie parce que je t'ai cernée. Mais ton mètre quatre-vingt, il ne colle pas avec mon mètre cinquante-trois. Ta silhouette, oui. Ton corps nu, non. Je m'en délecte. Je suis une salope. Mais tu as tellement de plan cul que je ne veux pas. Je sais que ton égo en a pris un coup. Mais peut-être que ça t'a fait du bien après coup. Alors ici nous sommes. Et inch'Allah.

Je sais néanmoins une chose, c'est que la seule avec laquelle je pourrais ken-ken avec amour, c'est *Babypuppe*. Ca, c'est une certitude. Ce n'est, encore cette fois, pas l'envie qui manque. Mais je ne saurais gâcher notre merveilleuse histoire même pour tout au monde, alors tenons nos corps tranquilles ...
En fait Chou, c'est juste que je n'ai pas envie de toi. Même si tu es une fille super. Car ce n'est pas toi que j'aime, c'est *Elle*. I'm not that you think I am.



Mardi 14 juillet 2009 à 23:47



A côté. De tout, de toi, de la plaque. A côté. Trottoir. Putain. Le reflet me hait autant que je le déteste. Un combat entre moi et moi. Mais voyez-vous, je connais son pouvoir. Je me dis que quelques kilos. Juste quelques kilos. Je m'empiffre, bombonne. Pas une bonne bonnasse. Le short de pute. Celui qui joue au zèbre. Pour Voin, tomorrow. Je ne me demande pas où j'en suis. Je ne suis nulle part. Coincée entre deux entartreuses, encartage et décartage. Une machine pour moi. Alone. Bras droit, à défaut de la main. Ebranlée, branlante. Pouf par terre. Tu veux jouer ? Nous allons jouer. Je connais déjà le perdant, mais je connais la motivation. Le pouvoir et la volonté d'amener à. Fierté et ambivalence. Ambigüité. Tu ne comprends pas parce que tu as tout faux. Ok, tu as saisi le principe. A moitié DTC. Alors, renforcer ses défenses, renforcer l'image et vouloir être à la hauteur. Je suis seule dans la cour des grands. Elles font pâles figures. Sous mon commandement.

Pas de nouvelle, bonne nouvelle. J'aimerai savoir. Et je m'excuse pour le JA. Pas le temps, pas de vrais repas, grignotages, mangeage entre deux taf, entre deux dessins. Je sais qu'il faudra maîtriser le repas. Deux semaines que je remets à demain. Se remplir de vide, se remplir de sport, d'énergie euphorique et courir. S'inscrire à l'aviron, rouler avec Alexis aux pieds. Assurer. Il va falloir assurer. L'image est en jeu. De toute façon, j'ai grossi.
Je fume de plus en plus. Pitoyable habitude que je (re)prends. La fumée de l'entourage incitant. Mais se reprendre encore et ne pas se laisser dépasser. C'est vraiment inquiétant. Vacances chelous. Sociabilité mesurée. Incompréhension.  TLWS05E01. A bout de nerf. Epuisement, fatigue.
Je suis à coté. A côté de tout, de toi. A côté de la plaque. A côté.


Mercredi 17 juin 2009 à 20:27

 

Where am I ? Rage contenue. Le futur. Incertitudes frontales. Ne pas s'avancer, se projeter trop loin. Se dire qu'il arrivera ce qu'il arrivera. Ne plus y retourner, se retourner. On est toujours tout seul dans sa tête. Mais se rendre compte des réelles amitiés. Vous savez, je n'ai jamais eu de meilleures copines comme Elle. Je ne sais ce qu'il en est. Je me contiens. Contiens beaucoup, parfois même mon silence. Besoin de les revoir, de saigner, de jouer avec les lames. Y'a des périodes comme ça. Vides, translucides, trop claires, trop limpides. Vraiment très laid.
C'est pour ça que ce week-end me remettra sûrement sur pieds. Alors Babylove, permets-moi d'être on-ne-peut plus bourrée à ton anniversaire. Même si c'est un petit cadeau de merde. A ma hauteur.

Les kentos qui souffrent, petites coupures dûes aux frottements contre le bois. La dame de nage rassurante, au beau milieu d'un lac, où la pensée s'effondre, où aucun mot n'est utile, où la sérénité t'enveloppe d'un coton réchauffant. Englobée dans une bulle d'eau, portée par le vent et le courant. Un jour, tu sais, j'aurai un radeau et je le laisserai aller au grè des marées. J'ai du mal à vivre avec le vide. Je grossis. De plus en plus. Suis proche de l'explosion. Et retiens ces pulsions. La destruction a toujours été salvatrice, tu sais... Je crois que j'ai besoin d'un bon joint au coin d'un feu avec la chaleur d'une épaule. Puis juste déverser la pression. Aucune attente, aucun dessein. J'ai l'impression de ne pas être à ma place, ni au bon endroit au bon moment. Je voudrais m'échapper, leur montrer, avancer le temps. Ridicules songes d'une gamine immature, je sais.

En plus, ne sais plus écrire. Toutes ces idées de nouvelles. Rien qui ne semble prendre forme. L'entrainement de la main disparu, dessin au chômage. C'est terrifiant de se dire qu'en 2 ans, je n'ai pu écrire une ligne.

Vous savez, j'ai besoin d'un coming out. Que les gens comprenne ce que je désire, mes réelles envies, même si ce ne sont que des lubies passagères. Mais, ce dont je suis sûre, c'est que sur le sujet, je n'ai plus aucun doute. Il m'est plus facile de. Que. Il faut juste ouvrir les yeux parce que ça les crêve. Parce que moins d'efforts, juste se laisser aller. Et puis. Faire ce que la société veut. L'apparence. Normalité. Tout ce que j'aime. Pf. C'est vraiment de la connerie. Pourquoi tenter de tout retenir ?
Mais les mots manquent, le vocabulaire s'assèche, tari. Comme l'eau tarie. Haha. Dieu que je suis comique. Oui, tu peux m'appeler Déesse. C'est le bordel dans ma tête. Tu peux pas sortir de là Connasse. J'ai besoin de toi, de TOI. Mais. Ouais, allez, cherche pas, tu te gourres. Arrête, tu peux te mettre un doigt dans l'oeil pour une explication plus fournie. Toute façon, pas de réponse, ni douce, ni acerbe.

Mais c'est bon. Comme toujours, le sourire. Tout va bien. Dans ce monde, on n'a pas le choix. Alors taisons ces voix, dissimulons, simulons. Le sourire. Le sourire. Il se peut que je ne parvienne à faire semblant. But try again. I follow you into the dark.




Mardi 9 juin 2009 à 13:10



4 fois en 2 jours, je ne me félicite pas.
La fin des cours est proche, approche, avec les tensions qui vont avec. Les langues se délient, les mots se libèrent. Je casse, je casse. Mais. Pas de casse de sucre sur le dos de tout le monde, mais réponse directe et franche : ça broie du noir. Mare de café. Moi je suis indifférente. J'affronte et ose formuler les pensées, brutes de coffre, et surtout, surtout, dans des excès d'impatience. Eternelle impatience. Sinon, avec, pas de moi-je. Ecouter, en prendre de la graine et surveiller les interventions. Modération. Et puis pas de stress, le verdict : je passerai parce que je passerai. Il n'y a pas ni d'autres alternatives, ni une autre alternative. Alors  je regarde, participe quand même aux débats houleux, assume mon avis, comprends quand même. Un peu dégoûtée de ma tête qui se sent toujours en décalage. De cette fuite du cerveau et je ne sais même pas où. Bref, j'attends.

J'attends je ne sais quoi.
- Le week-end en amoureuses avec BabyChou. Enfin rencontrer le gnou super cool.
- La véritable fin des cours, vendredi.
- Travailler et compte en banque.
- 'Ion installé à Paris, et sorties du week-end couplées au sport.

Et les indécisions.
- Dates
- Juillet chez les beaufs bofs de Saulx.
- Simon and his come-back.
- Gosses en juin, gosses en septembre.
- Vie sociale des vacancières.
- Week-end à Barcelone et lesbian week.

Toujours dans cette recherche stupide de l'épuisement du corps. Marcher, marcher. Ramer, faire gaffe. Ou pas. 210 euros la cotisation pour l'AVS. Soit 160 de moins que pour ACBB. L'aviron est un sport génial qui fait bosser tous les muscles. Qui permet de zener l'esprit enragé, de concentrer ses idées à la recherche du mouvement parfait. Et puis bordel, l'équipe, le calme, la nature, le son de l'eau, des pelles, des coulisses. Bronzette facile.
Sinon, rien de plus que les lesbroufitudes m'obnubilent. Ca commence sérieusement à me déranger l'esprit. Non pas que. Mais seulement. AH. J'aime les femmes, désolée les mecs. Et  VoinVoin. Mais une telle dévotion n'a pas de nom. Sinon l'amour. Mouhahaha. Niaise jusqu'au bout des mots. Alors s'enfuir et faire attention. Rencontrer, lier, amitiés et plus si affinité. Je suis une sale noob.

La nouvelle de l'année, c'est que j'aime la confiture et les bars caramélisées.
22 ans de déni pour ce résultat. Et surtout ne pas trop la sucrer la confiote.
Je vais m'y mettre, gardez moi les pots.




Lundi 18 mai 2009 à 13:41



Hier, la loi française a reconnu que les transgenres et transexuels ne sont pas atteints de maladie pschiatrique. 20 ans après l'homosexualité. Nous sommes les premiers.

Je ne suis pas morte. Je suis abonnée aux demi-baguettes. 2,5 kilos en deux semaines. Encore 5,5. Un mois sera suffisant. La faim disparait, la gourmandise vient, mais seulement ce qu'il faut. Les calories ne sont pas comptées, ça ne sert à rien. Juste que la satiété est de plus en plus rapide, et les envies maîtrisées. Nouvelles fringues, nouvelle gueule. Le corps et l'apparence, marre d'être une clocharde.
Au bout du voyage. Carnet. Moleskine. L'expression par excellence, sans. 
Je reprends ma vie en main. Ca commence par chez soi. Le taf. A jour. La fin. Se reprendre, confiance, revenir aux liens. Chérie et Jolie. Vie sociale. Sortir, boire. Manger liquide, fumer les chrysalides. Je t'envoie mes images. Remets à jour mon humeur, mes rêves et mes projets. Profite de chaque doux instants avec le 'ion. Vider les batteries. Dort paisiblement et envoie au diable ces années d'insomnies. Ailleurs le stress et les doutes. Parce que tout change quand on sait ce qu'on veut, ce qu'on est. Ces deux derniers mois difficiles. Mais une réponse et la sensation de comprendre.
Vous savez, notre vie ne tient qu'à un fil. On peut tous mourir demain. Si tu crois un jour que tu m'aimes, viens me retrouver.
Musique classique en fond, le dessein de s'épanouir, découvrir, apprendre, expos, expos, musées, musées, croquis. Je me sens vivante que je m'enrichis. Ma pauvreté intellectuelle me perdra. Lire les news par les journaux trouvés par terre. Actualiser mes informations. Prendre sa vie en main. Se dépenser. Aviron, marche.

Pense à moi. Juste ça. Que j'existe. Tout change, rien n'est immuable. Et l'évolution est frappante. Tout ne change pas. Il disait : "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme" Vous comprendrez que ça va. Que j'ai l'espoir, même si la certitude d'être à la hauteur n'est pas dans les moeurs. Mais vous savez, on verra. Carpe diem. Je joue mes délires. Et ris de tout. Aussi, ça ne sert à rien, je n'aime ni le black métal, ni le death, ni le metalcore. Mais si tu veux écouter VV, sans souci.

Tu te souviens, il y a 3 ans. La discussion avec Simon : les radiateurs, "t'a d s t p ?", les tombes, les amoureux transis en pleurs, les crises, les efforts vains, la perte, les solutions inexistantes. Leur patience, la folie, le punk, la bière, les cuites, la musique, les regards en coin, suicides latents, les études foireuses. Mais regarde où nous en sommes à présent. Malgrè la prise de poids. Fais le bilan.



Jeudi 7 mai 2009 à 23:25



Deux jours à tuer est un film magnifique. Simple et réaliste. Mui, c'est tout. Bien-sûr, il faut suivre les conseil suivant (je cite) : "Le regarde pas un soir où tu baddes". Cherbourg. De la marche, île Saint-Germain, des souvenirs. La vieille statue qui fait peur. 1h de marche. "C'est pas bon de courir en ville et en journée" Oui, en journée, plantes et CO2, Ok. Courir en ville, alimenter les muscles en gaz carbonique. Certes. Alors les amis,changeons ! Dormons le jour, vivons la nuit (dans un sens, ça m'arrangerait) On serait à Hiroshima, Nagazaki ou Tchernobyl, à la rigueur. Un jour de pic de pollution aussi. Mais bon, HS, hors contexte, inepties. Je suis sourde et incompréhensive. 

Pelouse. Je te veux . Il faut que je devienne belle. 8 kilos bordel. 2 mois ? 2 mois ? Suivre le conseil de Mummy. C'est presqu'un défi, pour le coup. Moman hier, instant essentiel. Echange, complicité. Oui, on est seul. Mais quand même. Dénégativisme ambiant face à la fin. Au chiotte le C-A-om. Ne pas prendre de risque et rester condéenne. Cogito ergo sum. Je ne sais où je vais. Mais j'y vais. L'avenir nous le dira. Ne soyons pas pressés. 
Taille-moi les hanches à la hâche.



Jeudi 7 mai 2009 à 19:05



Je suis une fille ringarde. Oui. Qui doit perdre des kilos.
Il est temps de se prendre en main. De compter.
Il est temps aussi de mettre les choses au clair. Même si c'est ringard : engaged et fidèle, oui, cherche même pas à renverser la vapeur. "On en parlera en tête-à-tête, tu veux ?".

Découverte de l'électro par SMD et Yuksek. Passer le pas du du torrent et télécharger veugra. 10 Go de musique classique. Ringarde, je suis, je sais, j'assume. Puis de l'électro, du rock. De ces trucs qu'on dit qu'on téléchargera un jour, faut que j'y pense. Et voilà.  2 Go de musique de films. Et les comédies musicales : Hair et Grease. Ainsi que bien-sûr : 2 jours à tuer et Slumdog Millionnaire. Bref, plaisir égoïste.
Il est temps de se prendre en main j'ai dit, alors. Le faire. Let's go.
On courra à Cherbourg, puis piscine, histoire de visiter.

" And you're my obsession, I love you to the bones. And Ana wrecks your life, Like an anorexia life " BabySidPuppe. Good name.



Mardi 5 mai 2009 à 1:19




Ce soir était la réunion de MANAA 7. Des smacks d'hétéro inter-hombres. Des langues baladeuses. Des rappels du temps du squat. Stone sour. Ca ne sert à rien de nier, je ne suis pas une putain d'associable. Si y'a des gens que je déteste, c'est juste Coprs et Esprit. Mouahaha. Mais un jour, je serai. Promis, juré, chérie. Promis, je serai une fille bien. Qui nettoye les chiottes après y avoir gerbé les quelques gateaux de la journée. Ang I got to go. Mais tu sais, je sais bien que ce n'est pas une gerbe qui nous arrêtera. J'ai parfois envie d'y penser si fort. Que. Mais. Comment ? C'est une double vie qu'il nous faudrait. Alors je me dis que plus tard. Quand tout cela sera fini. Qu'on saura profiter de chaque instant, pour un apéro, une soirée, une défonce, un suicide latent, juste pour profiter. Hain. Il ne faut pas être intransigeant. Pas autant. Et ne pas rejetter sur aurui le dégout qu'on porte pour soi-même. Alors abtinence.
I'm still afraid. Parce que je sais ce qu'il se passe dans ma tête. Et qu'heureusement que j'en ai conscience. Parce que. Parce que. Parce que. Les soufflettes de Cam et Sylvain sont particulièrement attirantes vers les nébuleuses assoiffées. Alors "Sylvain, t'es un beau gosse" devient un gage. Et complimenons nous tant qu'on. "Des qualités à dire sur toi, j'en ai des tas" C'est merveilleux d'avoir une classe comme celle-ci. What am I suppose to do ? Cette vie me plait. Et parfois, oui parfois, j'ai l'impression d'avoir plus d'une raison d'être sur cette putain de Terre agonisante. L'agonie, non, pas pour moi. Il n'est rien. Et c'est bizarre de voir l'acceptation de l'alcool par le corps. Et de voir la vie so rose after drinking. Excuse me Baby'lion.

Hin. Je ne sais que faire de ce week-end. Mais refuser serait malpoli. Et dommage. Et y aller, pas raisonnable. Alors jeudi, gueule de bois mais travail, vendredi idem et dimanche, bouchées doubles. Juste une semaine à s'y mettre. Puis faire acte de présence. Exister.
J'abolierai les impôts, l'argent. Communistes, rouge. Nous serons. Idéalistes. Réveurs. I have a dream. Today. Restons ainsi. A mi me gusta. Si tu savais comme je t'aime 'Ion et que les mots, hin. Et Chérie-Chérie-Lys. Un jour. Vous verrez bien. J'assume mon amour pour les bêtes à poils. Félins amoureux et ouistiti à poils gris. Thanks à toi, marin d'eau douce dans ton bateau en carbone.

"J'ai déjà vu les Twin Towers en vrai, vous buvez tous. Et oui..."



Dimanche 3 mai 2009 à 13:08



Ainsi la tête tournait. Et l'effet du lendemain. Quand la fumée laisse la cervelle un peu abasourdie. Le JA qui déménage de Facebook. Zizi était complètement fait, son extrem blast bossé pendant deux heures, bu sans mangé, volonté absurde de se la mettre. Au moins, hein. Il est mimi, Zizi.  Il m'étonneront toujours, ces batteurs de merde.
Tours. Marcher plus vite que les tourangeaux, ça a toujours été ainsi. Pas besoin d'attendre d'être à Paris. Revu Gabi. C'est fou de ne se voir qu'à Tours alors qu'on est à côté depuis 7 mois et qu'on s'est vu une seule fois. Jouons, avec Mike, ses énigmes. Et match perdu contre Gabi, pas la tête à ça. Le fameux monaco en terrasse de La Cabane, avec le chanteur de Médecine qui vient nous servir. Alors aller au match de handbAll. Voir mike, castelrenaudais, se prendre une taulée par les Chambraisiens. Oh ma patrie. Nico content de voir que je viens à son match, sa copine is. Et supporter, donc, les deux équipes. Je devais être sacrément "rébou" (comme ils disent) à l'anniv de Nico l'année dernière, parce que je n'avais aucun souvenir de sa tête, à "Anne-sophie" (? Ni de son nom d'ailleurs) Bref, c'était bien marrant et le 23, anniv du Nico. Revu Marco et d'autre handballeurs chambraisiens, ceux du soir de Martin Solveig et les Frantz Ferdinand. Ou non, je n'étais pas vraiment belle non plus. Hinhin. No comment.
Et puis le footing de la mort qui te dit que oui, tu n'es qu'une grosse merde et que c'est normal que tu sois si grosse puisque t'as tant de mal à bouger ton gros cul. Salope. Bref, une jolie ampoule et le coté abimé par ce putain de flip qui ressurgit. Genre, et ouais, j'ai fait du skate.

Fin très drôle. Je ne fais de cauchemars que lorsque je suis à Tours, cauchemars qui se finissent bizarrement bien. Ce qui est paradoxale pour un cauchemars. Mais toujours la même, mort ou suicide, et la sensation que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Quand je serai grande, j'essaierai.

Le 180 recette fromagère est, oui, une tuerie pour les papilles. (Et pour les hanches)
Après tant d'amusements et de auto-foutage de gueule, je vais passer aux choses sérieuses. Ca ne peut plus continuer ainsi. Mater la rebellion, le trop plein. C'est faisable. Passer en mode extrème. Comme le blast. Ouais, nous on est con. C'est un affront. Not yet possible. Donc, commencer dès maintenant. Va y avoir du sport ! Hinhin. Comme dirait-il. Avancer, baisser, tenir les comptes, tenir la distance, le programme. Et tout. J'ai trop souvent l'impression d'être là sans y être. Juste voir ma vie défiler sans faire le moindre geste pour la rendre vivante. Enfin, pour la rendre vivante pour moi. Rester spectatrice et ne rien faire, en ce moment, ça pèse. Toujours la même sensation lorsque je n'ai pas travaillé depuis un bout de temps. Pourtant, j'ai les idées. Trop. Et ma cerveau veut pas, je sais pas assez bien maitriser les traits pour réaliser ce que je veux. Ca devrait être une motivation. Mais je suis trop. A abattre, je suis. Kill me and I'll love you.

Zizi qui fiat chier avec Gwen. Si je savais ce qu'il s'est passé ce soir-là, ça m'arrangerait. HAHA. Et pour le reste, qu'ils croient tous ce qu'il veulent. A croire que je sens la bi à 30 bornes. Pouah, m'en fous, j'assume ma sexualité, et la fidélité que je voue à celui que j'aime et ceux que j'ai aimé. Alors, que chacun pense ce qu'ils veulent, si ils veulent, les frasques fantasques, ou fantasmagoriques, se dérouleront demain soir à 7h06 (6h66). Tu me scarifieras une étoile dans le dos. Non, pas de pentacle. Ah, ce qui est fou, c'est d'y croire. Malgrè l'incompatibilité avec ma tête et ma vie. Enfin, rêvons Chérie : oui, nous aurons notre groupe de métalleuse-grungeuse, en vinyl sur scène, jupe plus courte que courte. Complètement sur pile. Blague de cul entre deux chansons. Et nos corps. Décharnés, arnachés, attachés l'un lautre. Les fanstasmes, beaux et recroquevillés par le vin, aussi glauques soient-ils, aussi implulsifs que. Haha. "I'm ugly and I don't know why" Love. Si, je t'assure. Nous sommes so dark. Et nous finirons par nous détruire. Dans les films, ca se passe comme ça. Un jour, quand je saurais dessiner, je t'en ferai un BD. Ou je scènariserai Marthou. Oui, pour toi BabyBabyLove. On fera une BD. Et on sera bonne. T'as perdu un os. Et j'ai toujours la chanson que tu m'avais écrite. Si. Stand by me.



Mardi 7 avril 2009 à 22:43



Finalement, c'est un cancer. Avec l'ablation et tout. En parler à pour avoir des infos. Savoir ce qu'il faut, les assos et tout. Aller à LR pour aider pendant les vacances.
Ma soeur veut absolument me parler. Moral à zéro. Conflits avec le connard. J'espère qu'il ne lui fait aucun mal. Que le schéma n'est pas reproduit dans sa totalité. Tombée ? Tell me. Te rappelles-tu de ces mots que je te soufflais quand tu étais plus jeune ? Te souviens-tu de cette question fatidique que tu ne comprenais pas ? Serait-ce une réponse positive et malheureuse que tu m'apportes ? Dis moi que non. Dis moi que tu ne comprends toujours pas ce que je voulais dire.
Ma mère a lâché son mec. Encore une fois. Dis tout ce que tu veux, je sais que tu es en miettes, Maman. Derrière ton blindage, la dernière chance. Et Cricri ?



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Impuissante face à tout ça. Juste essayer rassurer les gens. Réconfort maladroit et ne rien pouvoir faire. Leur assurance de façade. Mais. Demain, soirée collage, récompense : bédave. Ca me sauvera. Y'a des soirs où les larmes devraient. Déconnexion totale, sinon encore de mauvaises nouvelles. Pour tout ce qu'il se dit. Façade.
Le plus du jour sera quand même le regain de motivation scolaire des troupes. Le fait que cette reformation est pour le moins des plus agréables. On se rassure comme on peut.



Mercredi 1er avril 2009 à 0:27




Bon. Aujourd'hui n'était pas une journée.
Après tout, on est un. Donc demain, et surtout aujourd'hui 1er avril, is a come-back. Ok ? Ouiiiiiiiiii !



Lundi 16 mars 2009 à 21:20



Et ça, j'le vis mal. Le sucre au yahourt. Tu m'manques bébé'ion, ouais, tu m'manques. Patti Smith et son You belong to me. Si tu savais Chérie. Alors, désolée, j'arrive plus à rester zen. C'est le brouillard. Les rides qui s'enchainent. Je masque. Je ne masque plus. Plus envie de rire, plus d'espoir. Quoi, bah ouais, j'ai plus rien. Rien à dire, rien à exprimer, juste taper, se vider, passer sous un métro. Arrache moi le coeur avec une corde.
Mais j'ai BESOIN de toi, tu comprends pas. Crier, juste crier hurler, dire de la merde. Partir, se casser loin de là. Loin de ce putain de zoo ambulant. Marre de faire semblant, de sourire comme une conne, de dire des conneries. Vous y avez cru, ne serait-ce qu'une seconde ? Mais bordel, enfermez moi dans un hôpital psy ! Je comprends que dalle. Et je n'ai plus envie de rien. Ecouter cette merde ambiante, ces chamailleries simiesques. Ces oeillades incompréhensibles.
Oui, on est toujours tout seul dans la vie. Tout seul dans sa tête, dans son putain de corps. La seule chose qui me rassure, c'est que chaque jour nous rapproche de la fin. C'est une chose positive non-négligeable. Par contre, si y'a un volontaire, tu peux utiliser ton sniper. J'habite pas loin.
T'as pas une clope ? Du bédo ? Une cuite toute seule, ce serait pathétique. Mais vous savez, je suis pathétique. Et j'ai encore ouffer comme une vache aujourd'hui. Destroy me. I miss you. Si vous avez un remède contre les larmes., je suis preneuse. Si vous avez du temps, je vous embauche à titre gratuit pour faire tous mes projets en retard. Moi aussi. C'est cela.



Mercredi 11 mars 2009 à 22:27




I failed. Mon paquet de clopes n'aura duré que jusqu'à demain. L'une sur l'autre. Alors je fume. J'ai 10h pour faire 30 planches et 5 collages.
L'allumette électronique décapite une oreille sulfurisée.
Encouragements. Et saloperie en prévision. Ca t'étonne ? Entends mon appel. A tarte. Grosse vache en mini-jupe. Jamais, si je ne dissolue pas, la crasse ambiante, elle ne m'aimera plus, dans de beaux rêves idylliques et foireux. Pronto.



Lundi 9 mars 2009 à 23:03



Don't leave me now en fond musical. En vrai, c'est fou. Peut-être le sein. Plo 1. Or not. I'll see. Vide, creuse, grosse, chiante, impatiente, insatisfaite. Je vous encule comme de gros rats. J'ai pas envie d'aller à l'école, j'ai pas envie de devoir bosser, et ec n'est pas en me branlant la nouille devant des photos de Victoria Beckam et son tatouage sympathique que j'avancerai. Je suis définitivement ujne petite conne qui vous emmerde. Qui mate des ano en pensant qu'un jour, elle sera une rock star.
Pourquoi tant de haine ? Parce que, bande de moules. J'en ai marre de jouer, marre de casser, marre de faire semblanet d'être gentille, marre d'être méchante, marre de leur parler à tous autant qu'ils sont. Marre de faire dans la compassion, marre de rester à regarder tout ça. A quand la révolution bordel. J'en ai MARRE, MARRE MARRE. Do you understand. Putain d'injustice de mes deux. Si j'étais un bouquin, je serai vierge, juste pour vous faire chier. Ou mal imprimé. Marre de toutes ces différences. L'humain est à exterminer.
Ouais, la gamine vous tape sa petite crise d'ado. J'ai pas envie de faire la chouille demain. J'ai juste envie de me foutre une grosse défonce, toute seule, ou loin de là. Aller en Chine tiens. Ou en Somalie, c'est hipe, non ? Ouais, j'dis d'la merde. Et puis ? Ca va vous empêcher de dormir ? Faites pas chier plus que ça, s'il vous plait. Je ne demande qu'une peu de répit. Me tirer de là, être transparenet et me foutre une balle entre les deux yeux, l'espace d'un moment. Histoire de ne pas penser, de ne pas réfléchir.
Genre je suis lunatique. OUI. NON NON NON NON WIZZ WIZZ WIZZ. Ca ne sert à RIEN. Jouons aux cons, j'excelle dans cet art-là. Enfin un endroit où. M'appelle plus jamais comme ça Connard, c'est tes couilles qui sont en jeu. Allez, fucking bubble, parce que les cons vainqueront  et que j'ai plus DU TOUT envie de lutter contre quoi que soi. Bernard, c'est moi. BV, je t'aime. Je kiffe mes chiottes, parce que ca te rape. Dis, tu m'éffrittes les bras avec un économe ? Ca me manque, vivement la rame. Ouais, vivement la rame. Chéri, come back, ca va plus sans toi. Tu l'entendrais ? Y'a pas de solutions aux équations paranormales ce soir. Alors, reste plus qu'à enterrer le chien et sortir la puce électronique. Branlez vous la cervelle tant que vous le pouvez. Moi je jette les ponges. Le jour, où, alors oui, je.
C'était pourtant simple. Pas la peine d'aller plus loin, demain, ils me feront chier, je devrais leur répeter de la merde, supporter le Moij et faire bonne figure. Je me disais bien que c'était louche. J'ai des soucis au cervelet, respectez le silence approprié. MOUAHAHAH, ouais je me gausse. Suicidons nous TOUS, c'est la meilleure solution. Exterminons nous. Au moins, l'homme aura fait quelque chose de bien dans son évolution. FUCK.

Mardi 3 mars 2009 à 0:21



Je reviens. Attends une minute. Les cours me rendent lunatique. Je suis lunatique. Impatiente et possessive. Je susi heureuse de lire ses messages. Même par Facebook. Comme envie de lui dire : CherryGirl, ma si-Rennes, marions-nous ! Faisons le tour du monde avec nos guitares à jouer du Guns, du Crucufied Barbara et du Téléphone sur le même set. Avec un peu de Sonata Arctica si on a les doigts. Au pire, on s'entraine. Je l'ai retrouvée. e t'avoue Poupée, je suis une putain de fan et ça me fait grave plaisir, notre dépendance. Parce qu'au final, même avec le temps, rien ne changera. Magie, tiens.
Je suis niaise de penser à Elle et d'y penser si fort. Ca me ferait plaisir de te revoir, juste histoire de se prendr une cuite et délirer en mini-jupe à comparer nos bourrelets imaginaires. Imaginaires. Disparutes. Nous serons des reines. Parce sur scène. Parce que tout ça. Ca se passe de mots au final.

Je me remotive. J'ai perdu ma perspective dans un coin de l'infiniment petit. C'est con, hein la globule ? Mais 20 croquis et une maquette, c'est faisable d'ici 8h. Et les 19 autres... Oui, c'est faisable aussi. Il suffit d'y croire non ? 
Je m'y remets, faut que j'assure. Surtout que je les aurai en face de moi. Don't be afraid Poupée, we'll be.



Mardi 24 février 2009 à 14:53



La règle de ces vacances était simple : taffer. A tort et à travers. Donc Beaubourg, le Palais de Tokyo, le Mussée d'Art Moderne. Il reste Orsay, le Louvre, et l'expostion de David Lachapelle. Programme planifié surchargé. Bref. Je n'ai plus la rage de m'exprimer ici. Tout va bien. Sauf des questions ambivalentes et récurrentes. Je ne me pose plus de questions sur mon poids ou quoi. Tout vient à qui sait attendre. Vie équilibrée, mesurée. C'est peut-être moins drôle que d'être toujours trop ou pas assez. Mais ça me convient. De la paisibilité, des questions saines, raisonnées. Au moins, je ne stagne pas à faire des conneries. Voin est un ange. Des soirée vin blanc et taff à déconner pour ne commencer à bosser qu'à 1h du mat jusqu'à 6h. Mater L word en se posant la question fatidique. Voir son corps devenir lentement ce qu'il doit redevenir. J'ai acheté une carte wifi pour la tour que m'a offerte Voin. Mais ça ne fonctionne pas. Le wifi du voisin n'est pas assez fort. Et la carte grahique aussi. Peut-être. Bref. Je taffe et j'aime. Katherine Moenning, c'est une bonnasse. Hum. Lets go to work. See you.
Advanced Photoshop devient Advanced Creation. Ok ?



Lundi 2 février 2009 à 22:14



Sixième fois. Plouf !



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