Putain Chérie, je perds la tête, je remets tout en question et j'suis paumée. Ca fait juste du bien de le dire. Alors demain... Je retourne en cours ? Je me gâche en n'y allant pas ? Je suis folle ? Je pige que dalle. Et après-demain ? Un diplôme ? C'est quoi ce choix de merde ? Un choix de merde ? En fait Honey, t'as raison. Ce n'est pas raisonnable. Et y'a la famille aussi. I'm just a bloody bitch. Et ça meule grave là-haut. Une putain de girouette pendant la tempête, gaffe au décollage. La rétine qui part avec. Un putain de girouette.
sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Mardi 9 mars 2010 à 23:29
Putain Chérie, je perds la tête, je remets tout en question et j'suis paumée. Ca fait juste du bien de le dire. Alors demain... Je retourne en cours ? Je me gâche en n'y allant pas ? Je suis folle ? Je pige que dalle. Et après-demain ? Un diplôme ? C'est quoi ce choix de merde ? Un choix de merde ? En fait Honey, t'as raison. Ce n'est pas raisonnable. Et y'a la famille aussi. I'm just a bloody bitch. Et ça meule grave là-haut. Une putain de girouette pendant la tempête, gaffe au décollage. La rétine qui part avec. Un putain de girouette.
Lundi 8 février 2010 à 5:01
Folle. Folle. Quoi ? Projet viable ? Et puis ? Réalisation ? En attendant ? D'amour et d'eau fraîche ? La friche ? Incertitudes, doutes. Piétiner, trépigner. L'attente. L'attente ? When, what, where, why ? As-tu des réponses ? Serais-tu prêt ? Comment construire la forteresse ? On se lance comment ? Je vais où ? As-tu les réponses ?
Mercredi 30 décembre 2009 à 16:13
Tout est pèle-mèle. La soirée de lundi m'a laissée un gout amer. Il y avait du vent ce soir-là. Un gout amer. Pourquoi tu me poses autant de questions ? Tu disparais. Yamoutmout. Tu reviens. Bleu, ou multicolore ? Je suis là. Souvent bien lasse. Et parfois en colère. La haine. L'envie. Juste des caresses. Encore des caresses. Et surtout l'attente d'y voir plus clair. Tu le sais ? Tu le sais, ça, que j'attends ? Ce n'est pas le froid qui me rend ainsi. La vue de son balcon est abasourdissante. Le roi des songes.
J'aimerais avoir des nouvelles. Si ça va. Quand la prochaine ? Ca ne me fait pas vraiment rire. Contrairement à ce que j'ai dit à S. Leur petit jeu est assez stupide. Lui. Et elle. Sûrement pareil. Prenant tout ce qu'on lui offre, de ce qu'on peut ressentir à son égard. Garde ton extrême fascination Chérie. Sans cela, tu perdrais tout. Les avantages. Tiens, ce qui m'a plu, c'était le "c'est cool !". Parce que pas de prise de tête. Le naturel. J'ignorais que ça pouvait se passer comme ça. Mais oui. Alors peut-être. En attendant, le clin d'oeil était phénoménal. Puis aussi, le fait de balancer des trucs totalement idiots en si peu de temps. En attendant, faut que je me mette à bosser.
Mon mea culpa, donc, lire La Disparition. Je te le préterai. C'est dans l'air du temps. Prendre du temps. Passer de l'autre côté. Puis de l'autre côté. Un soufle nouveau. L'autre côté de la force. La lutte des sexes. Essayer sans y parvenir de retenir tout ceci. Ailleurs finalement. Son joint m'a mise à terre. Mais ça m'a soulagée. Puis après. Le don de mettre des limites là ou il est peut-être stupide d'en mettre. J'ai curieusement un souci d'identité. Tenir la distance, un peu. En profiter. Entrevoir un début de sortie. Un avenir. Oui, à voir ma gueule, on ne dirait pas. L'eau poisseuse dans laquelle j'ai la tête enfoncée. Mais comment ? Il m'a fait rire. Le genre, je m'en tape. Fille ou mec, je ne recherche rien. Tu crois que je vais souder tout ça avec du fil de fer ? Non, je ne pense pas. Ca ne sera toujours pas si savoureux que. Je t'assure. Alors ? Un monde derrière celui-ci ? Caché, illusions ? C'est qu'on y croit un peu, sinon on mourrait...
Mais ce n'est pas comment ça que ça se passe. C'est encore autrement.
Mercredi 2 décembre 2009 à 16:33
Qu'ils aillent tous se faire foutre. Je m'en bats les reins.
Lundi 30 novembre 2009 à 23:04
Retour en force. L'équilibre donc le déséquilibre. Un éternel recommencement, les doutes, les fantasmes, les troubles, le frigo pété. Le questionnement méthodique et mélancolique. Les délires abrutissant le monde, mais surtout soi-même. Quand vas-tu te calmer ? L'esprit en perdition, et la réaction bateau. Allez, rachetons un peu de quoi se fumer le cerveau, un bon plan en vue. Faire bonne figure. Et haïr le reflet au point de ne plus prendre son pied à la barre au sol. Pataude, lourde. Comme un pavé dans l'eau. Ca faisait longtemps. Sourire amer, paranoïa récurrente. Et ce n'est pas dommage, c'était prévisible.
Poppy G. à fond dans la pop music. Ca m'a fait rire. Je m'en vais aller draguer ma prof d'anglais, tiens donc. Avec son indescriptible sourire, et son âge insondable. Baby P. me manque. Me manque. Tout va de travers. Encore un non. De transverse. Et les lapsus de C, les ambrouilles de M, lassitude permanente subie par. Ils me lourdent. Distance. Sauf les cours, parce que le seul moyen de se raccrocher et Mickael-Michou-Michel B, qui me donne son adresse pour corriger mes travaux finalisés. On marche sur la tête avec ce traitement de favoritisme mais mes arguments pour la brochure concluants. Comme si j'avais fait mon boulot, comme si j'avais envie de lui envoyer ce que je n'ai donc pas fait ... Mais profiter de cette faveur, et de son implication. N'allons pas nous plaindre. De toute façon, je lui fais pour demain. Autoportrait typographique, ma sale face sortie d'une soirée, le trip du moment, RDV mensuels du mois. Encore de quoi nostalgier.
Poppy G. à fond dans la pop music. Ca m'a fait rire. Je m'en vais aller draguer ma prof d'anglais, tiens donc. Avec son indescriptible sourire, et son âge insondable. Baby P. me manque. Me manque. Tout va de travers. Encore un non. De transverse. Et les lapsus de C, les ambrouilles de M, lassitude permanente subie par. Ils me lourdent. Distance. Sauf les cours, parce que le seul moyen de se raccrocher et Mickael-Michou-Michel B, qui me donne son adresse pour corriger mes travaux finalisés. On marche sur la tête avec ce traitement de favoritisme mais mes arguments pour la brochure concluants. Comme si j'avais fait mon boulot, comme si j'avais envie de lui envoyer ce que je n'ai donc pas fait ... Mais profiter de cette faveur, et de son implication. N'allons pas nous plaindre. De toute façon, je lui fais pour demain. Autoportrait typographique, ma sale face sortie d'une soirée, le trip du moment, RDV mensuels du mois. Encore de quoi nostalgier.
Et pour le nouvel an, le "on n'a qu'à louer un endroit et toutes inviter nos potes et faire la fête ensemble en se cotisant" Alors là, la barre jaune. Pas de potes ici. Tous ailleurs. Et encore, les deux seuls qui sont là ne seront pas là ce soir-là. En clair, fade constat. J'ai pas d'amis. Pas ici, l'immigrée. Personne à câliner avec l'excès de vodka. Alone. J'en avais oublié ma rancoeur, ma rancune. J'avais oublié qu'on est toujours tout seul dans sa tête, toujours tout seul dans la vie, et comme une conne de grue dans un corps beaucoup trop gros. Je fais pourtant attention. Donc chercher sa guitare, seule femme fidèle amie qui restera encore et toujours. Si douce, si belle, criant sous mes mains. Je délire sec.
Oui, circonstances atténuantes : il me manque quelques cases. Pas de quoi en faire un drame, tout un programme. Je ne suis pas faite pour vivre en bande. Morue d'eau douce.
Oui, circonstances atténuantes : il me manque quelques cases. Pas de quoi en faire un drame, tout un programme. Je ne suis pas faite pour vivre en bande. Morue d'eau douce.
Samedi 28 novembre 2009 à 21:26
C'est simple. Je me suis réveillée sur la banquette. Un mot sauvagement écrit, la gueule en miette, les yeux dans le vague et la tête lourde. L'effet retardataire du bédo, en clair. J'avais joué de la guitare, le regard perdu, les yeux introspectifs. Sa larme qui coule. "Une déesse". Il leur en faut peu.Les sushis et makis de Bc. Un ange. Sa soeur, aussi morte que nous. Les clopes de Ba derrière le meuble. Et la fin de soirée enrte nous. Entre "ceux qui savent".
Ca doit être bien chiant de se cacher ainsi. Tout le temps. La petite communauté gay de la soirée. Ca m'a fait rire de le constater comme ça. Dieu qeje déteste ce mot. Les bonnes résolutions à garder, faire de sorte que. La musique qui ennivre, la vodka qui te noie. L'esprit loin, léger. La bouteille a fait la soirée. Sentir toute cette différence. Ce qui te fait regarder. Mater. Et tisser quelque chose avec N. et L..
Puis les cartons de C. catastrophée. Larmes, rage. On ne maitrise pas toujours tout dans la vie. L'après-midi avec Mummy, FNAC et bouquins. Du graphisme, de l'illus, maquette, art contemporain, conceptuel. Se faire une bibliothèque. De l'idée, de la culture. Curiosité.
Sigur Ros. Uh uh her. La tête enfumée et la musique. La musique. La faim qui revient. Le contrôle. Peut-être que ce qu'il fallait dans ma vie, c'était ça. Juste ce truc qui fait que. L'équilibre. Le but. Et la volonté. Les starting-blocks ont intérêts à être bien fixés.
Jeudi 26 novembre 2009 à 16:47
J'ai deux semaines pour leur prouver. Deux semaines pour être au top. Les projets actuels sont à la hauteur du boulot fourni, et la confiance revient. L'échec du premier trimestre est quand même modéré, il est certain qu'il y aura pire. Mais je tiens. Cette sensation. Continuer la voie, tout droit. Tenir cadence et rythme. Soulager le sommeil. Respirer. Ce soir, et ça sera bon.
Elles oublient toujours de justifier. 5h d'EP perdues, pas du tout productives. Juste deux recherches dont l'une à droite. Nutation. Trop illustratif, je sais. Mais c'est ce dont j'avais envie. Direction carnet de bord. Se poursuivant en haut à gauche après la tête de sanglier.
N'aie pas peur, c'est inutile.
Lundi 23 novembre 2009 à 10:22
Si, voilà. Je sais pas où sont les yeux. Ravie de vous rencontrer. Le sujet sur l'autoportrait en graphisme. Faudrait juste que je m'y mette. Forcément. Fromanger, Monory, Apeloig. Piou. Je pensais à lui, à ce petit monde tranquille qui roule tout doucement. De ces postes stratégiques qui foutent le jetons. De ces toiles qui s'élargissent, qui se densifient. Puis plus tard, quand tout se clarifie, que le vide se fait. Les vrais, les vraies. Alors pour une fois,wesh.
Profite Chérie, c'est de la couleur. Goulag et soirée d'inté. Vous savez, ce genre de moments que vous kiffez, qui ne servent à rien d 'autres que de se créer des souvenirs, et surtout, de quoi rire. Parce que cette soirée-là encore, c'était vraiment fatal. Cocktails et fatalités, aventures spontanées. Les retrouvailles. Parce qu'il ne faut pas abuser, tous les gens ne sont pas absurdes. Rebellitudes à deux balles, s'auto-rejeter de multitudes de cercles de personnes qui pourraient être très utiles pour élargir ses connaissances. Et pour rigoler un peu. Y'a des gens vraiment marrant à l'école.
Bon, on sait pas encore, avec Bbs, partir au Canada, Toronto ou Québec, Ou les US. Le choix est de quand. Deux ans après le BTS. Ca, c'est une perspective. Avoir hâte. Vieille peau et se faire une place. Vous connaissez la galerie Autonome ? Boulotte. Le retrouver, et surtout LA retrouver. Reste à savoir quand. Bateau sur l'eau. La rivière. Ca bat à tout rompre et tangue. Langue. Alimente les idées. Si, je t'assure. Si on devait y aller à la rame, tu verrais comment ça se passe. Te montrer juste ce qu'il y a derrière l'écran. Image. Oui, Je est ouverte aussi. Les mots en suspension. Nervures nerveuses, et détachement. En attendant, tu assures.
Profite Chérie, c'est de la couleur. Goulag et soirée d'inté. Vous savez, ce genre de moments que vous kiffez, qui ne servent à rien d 'autres que de se créer des souvenirs, et surtout, de quoi rire. Parce que cette soirée-là encore, c'était vraiment fatal. Cocktails et fatalités, aventures spontanées. Les retrouvailles. Parce qu'il ne faut pas abuser, tous les gens ne sont pas absurdes. Rebellitudes à deux balles, s'auto-rejeter de multitudes de cercles de personnes qui pourraient être très utiles pour élargir ses connaissances. Et pour rigoler un peu. Y'a des gens vraiment marrant à l'école.
Bon, on sait pas encore, avec Bbs, partir au Canada, Toronto ou Québec, Ou les US. Le choix est de quand. Deux ans après le BTS. Ca, c'est une perspective. Avoir hâte. Vieille peau et se faire une place. Vous connaissez la galerie Autonome ? Boulotte. Le retrouver, et surtout LA retrouver. Reste à savoir quand. Bateau sur l'eau. La rivière. Ca bat à tout rompre et tangue. Langue. Alimente les idées. Si, je t'assure. Si on devait y aller à la rame, tu verrais comment ça se passe. Te montrer juste ce qu'il y a derrière l'écran. Image. Oui, Je est ouverte aussi. Les mots en suspension. Nervures nerveuses, et détachement. En attendant, tu assures.
Accroche l'ancre. Lente encre, et tu deviendras un crocodile avide.
Dimanche 22 novembre 2009 à 14:37
N. qui fait sa pute au crack, maquillage arrangé pour, image de salope rock and roll. Confinée dans son rôle de rebel à deux balles. En plus, ce n'est pas pour cracher sur elle, mais faut qu'elle fasse gaffe au contraste. Quand on se dit photographe, c'est mieux.
Sinon, A. et C. se sont faites repérées et Au. était complètement bourrée. Attendre son père le long des quais, plus d'une demi-heure sous la pluie et me les cailler en lui filant mon manteau, la prenant dans mes bras et lui priant d'arrêter de me remercier. On aurait dit deux déchets. Puis il est arrivé, il était 6h, devant l'Assemblée Nationale. Il a été cool, il m'a ramenée chez moi, faire la conversation pendant qu'elle cuvait sur le siège passager. J'ai pas du attendre le premier métro.
La péniche n'a pas tant tangué. c'était une première. Puis l'alcool aidant, on s'est sociabilisées. Enfin, je. aussi. Gros trip chez C. Son anniv vendredi risque d'être sensationnel. Surtout que sa soeur est vraiment une K. Il y a de ces week-end qui marquent le coup et qui vous rapprochent. Puis vous savez, même si c'est pas facile pour la mémoire, c'était bien cool. Du genre Maxime, Carole, Vincent, Truc, Bidule et Machin, MANAA 2 et 6. C'est Vincent qu'il faut que j'attrape. Que je le chope à la fin d'un cours. Que je gagne ce foutu pari à la con. Lundi, ce sera bien drôle.
"Mais au fait, c'est quoi ton nom ?"
Note à tous les amoureux transis. Aujourd'hui, je déserte mon rôle de rassurante des coeurs perdus. Les mecs, c'est des vraies filles. Ils me désespèrent. Après tout, à quoi ça sert de courser une nana qui ne sera jamais à toi ? Faudrait qu'un jour, je lui dise aussi.
J'ai le coeur léger cette semaine.
Je repars sur de nouvelles bases. Encore meilleures.
Sinon, A. et C. se sont faites repérées et Au. était complètement bourrée. Attendre son père le long des quais, plus d'une demi-heure sous la pluie et me les cailler en lui filant mon manteau, la prenant dans mes bras et lui priant d'arrêter de me remercier. On aurait dit deux déchets. Puis il est arrivé, il était 6h, devant l'Assemblée Nationale. Il a été cool, il m'a ramenée chez moi, faire la conversation pendant qu'elle cuvait sur le siège passager. J'ai pas du attendre le premier métro.
La péniche n'a pas tant tangué. c'était une première. Puis l'alcool aidant, on s'est sociabilisées. Enfin, je. aussi. Gros trip chez C. Son anniv vendredi risque d'être sensationnel. Surtout que sa soeur est vraiment une K. Il y a de ces week-end qui marquent le coup et qui vous rapprochent. Puis vous savez, même si c'est pas facile pour la mémoire, c'était bien cool. Du genre Maxime, Carole, Vincent, Truc, Bidule et Machin, MANAA 2 et 6. C'est Vincent qu'il faut que j'attrape. Que je le chope à la fin d'un cours. Que je gagne ce foutu pari à la con. Lundi, ce sera bien drôle.
"Mais au fait, c'est quoi ton nom ?"
Note à tous les amoureux transis. Aujourd'hui, je déserte mon rôle de rassurante des coeurs perdus. Les mecs, c'est des vraies filles. Ils me désespèrent. Après tout, à quoi ça sert de courser une nana qui ne sera jamais à toi ? Faudrait qu'un jour, je lui dise aussi.
J'ai le coeur léger cette semaine.
Je repars sur de nouvelles bases. Encore meilleures.
Mardi 10 novembre 2009 à 17:11
J'ai une migraine à défriser un ours. Migraine - again. Je te survivrai. C'est que ça commence à être relou. Cette semaine, le calvaire sera fini. Everything is right. Moving on. Mais Chéri, ne pense pas que je vais cultiver des ambigüités avec toi.
Mercredi 4 novembre 2009 à 10:36
Mammifère bipède au telé-encéphale hautement développé et au pouce préhenseur. "Ceux-ci n'ont pas de propriétaire et pire encore, ils sont pauvres." Rions les amis, jaune, de cette tristesse macabracadabrante. Surtout, je ne veux pas que. Oui, ça c'est positif et utile, ma grande.
Lundi 2 novembre 2009 à 1:35
"Liberté est un mot que le rêve alimente, il n'existe personne qui ne l'explique et personne qui ne le comprenne."
Ce soir, sur le conseil d'A, j'ai regardé "L'Île aux fleurs" de Jorge Furtado. Réalisé en 1989 si vous voulez tout savoir, et en libre matage sur Dailymotion. Pour ne pas faire de pub. Voilà. ca vaut le détour. Cynisme et aspérités humaines.
Je tiens le coup. Le réfrigérateur est aussi vide que mon porte-monnaie. C'est dire. Le hasard veut que ça se passe comme ça chez Mc Donald. Bref, je crève pas la dalle. Parce qu'une verre de lait, c'est frais, c'est bon et ça nourrit. Reste plus qu'un litre d'ailleurs...
Mon rapport de stage sera vraiment des plus complets. Et Ch, cette connasse de première se retrouvera dans une situation un peu inenviable lorsque les profs compareront mon rapport avec le sien. Ou l'inverse. "Et bien oui, Madame, je lui dirai, va te faire foutre avec tes échanges à deux balles. Parce que dans la casse argumentée, j'ai de quoi te briser les nibards." Nos joutes verbales étaient des plus guerrières et affolantes. A ne pas manquer. Dixit Cé. A vrai dire, c'est tout ce qu'elle mérite. D'ailleurs, si j'ai sauvé Cé de ses problèmes de corazon, je sais qu'elle m'a beaucoup aidée pour le stage, avec toutes ces informations. Je sais pas comment elle s'en sortira, l'autre grognasse, et je m'en tape les ovaires. Mais ils verront tous ma renaissance. A partir de jeudi, tu peux m'appeler "le phoenix".
Ah, et puis après avoir trainassé un peu à Beaubourg chez Elles, j'ai pu découvrir de véritables bijoux artistiques. Voyez l'oeuvre de Delphine Reist qui s'appelle "Averse", et qui est particlièrement énorme. Et à l'occas', vous pourrez méditer sur cette phrase de Valérie Solanas. Un peu de sexisme gratuit, ça défoule. Dans ta gueule MachoMan. Ca, c'est envoyé. Parfois, elles sont quand même un peu tarées.
La dite citation :
"Le mâle est un accident biologique : le gène Y (mâle) n'est qu'un gène X (femelle) incomplet, une série incomplète de chromosomes. En d'autres termes, l'homme est une femme manquée, une fausse couche ambulante, un avorton congénital. Être homme, c'est avoir quelquechose en moins, c'est avoir une sensibilité limitée. La virilité est une déficience organique, et les hommes sont des êtres affectivement infirmes"
Dimanche 1er novembre 2009 à 13:13
Avec tous les mecs qu'elle s'est tapée, rien qu'en effleurant sa peau, tu risques de choper une MST. Robert fait encore des siennes.
Et comme toujours, le placement de produits. Tropicana, dans une des dernières scènes de Incassable, le petit se sert dans un plan d'ensemble. Impossible de ne pas y être sensible. On les a compté les 35 dans The Island. Et parfois, sept vies qui ne tiennent qu'à. Il y a des films qu'il ne faut pas regarder toute seule le dimanche matin. A part si tu te mets un album des Stones juste après. Live, bien-sûr. Là, c'est faisable. A la rigueur.
La première fois que j'ai vu une méduse, j'étais terrassée. Oui, c'est beau. L'épilation du pinceau, le rapport de stage, le pass Beaubourg. Elles, Soulages et la subevserion des images. Tu sais. B. et C. mignons. Pas très discrets. Mais bon. Que jeunesse se fasse. Et j'ai appris que A. me draguait l'année dernière. C'était donc ça. Pauvre Bi. De toute façon, elles sont si mignonnes toutes les deux. C'est reparti pour un tour. Double vie, existence mégère.
Je compte. Ne dépasserai pas.
Chérie, donne moi de tes nouvelles. J'aime tellement ta bouche, ton corps et ton sourire. Ces moments-là. Si on pouvait se marier. Viens ici. A Paris, nous ne serons pas vues comme là-bas. Même si j'aime être avec toi à Rennes. Alors, je te jure que je viendrai. Un jour, on aura notre maison, notre chat et notre salon. Et on sera sexuellement compatibles. Parce que les tests de Biba et compagnie ont toujours raison. Haha. Et puis, on ne posera plus la question des mecs. On en invitera parfois. Juste pour rire un peu. Ou on fera ménage à trois. En attendant, puisque le doute est toujours là, n'hésite pas.
Jeudi 29 octobre 2009 à 0:24
Mais Joseph. Merci. Miss Cawet. Lithographie et problème de coeur. Se faire payer le restau par le maitre de stage-patron. Lignes de typo à gogo. Redistribution. Les cases. Typographiques. La casse, les cadrats. Remontage de moral et psychologue des coeurs brisés. Pige, pige. Tout est encré. Ca se résume à peu en fin de compte. Mais j'avance. Reste à trouver le carton. Je lui ferai son dobeul iou. C'est le coup de motiv. Dessiner les plans, la trame. Tout consolider pour résister au poids. Puis faire la chose la plus fashion et décalée. Elle ira finalement dans mon salon. Comment résister à l'appel des feutres. Ahhh. Et ces trois roses en double. Ca ne va plus. Mais il a ri. C'est l'essentiel après tout. Et faire preuve de. Le monde professionnel me réussit toujours plus que le monde scolaire. Question d'investissement et de devoir. ZOU. Il faudra quand même s'y mettre. J'y suis, de toute façon.
Le thème de la soirée de My², c'est la préhistoire... Z'auriez pas une idée ? Jésus Marie.
Dimanche 25 octobre 2009 à 1:32
Antépénultième. Regain de motivation parce que. Juste leur montrer. Jouer avec les feutres ô Touch adorés. Yes, I can. Réveiller les skills et working overtime. Noter tout le vocabulaire et ses traductions avant de vendre le bouquin. Penser à aller à Gibert Jeune, un de ces quatre. Des vacances de 10 jours qui n'en seront pas.
Stage d'une semaine et devoirs associés.
EP : Carnets de recherches sur la molesse. Sur Nu-tation. Final sur la commune.
Pub : Carnet d'affiches avec visuel : 2 par jour. Carnet de recherche sur les mots-valises.
AVA : cours recopiés. J'aime/je n'aime pas. Frise chronologique de 1850 jusqu'à nos jours.
Anglais : Exposé oral sur Magritte ou Monory avec C. Carnet de vocabulaire.
Francais : Lecture d'un livre. Compte rendu par mail. Exposé oral de Pierre Paulin avec C. Ecriture personnelle sur un des quatre sujets proposés.
Edition : Lire le nouveau sujet et faire ce qu'il faut.
Tech de Réa : rapport de stage.
Graphisme : Cheminement + carnet de recherche du W + Dépliant sur W. Lettre en 3D + carnet de recherche. Carnet de recherche packaging.
Carnet de bord à remplir. Croquis.
Alors trouver la motivation. Montrer encore et encore. Et se faire violence. Puis franchement, j'ai quoi d'autre à faire ? Ce soir, on dort une heure de plus. Demain, je me fais l'expo sur Soulages à Beaubourg. Et celle des Femmes samedi d'après. Faudrait que je pense à me faire faire un pass. Parfois, je m'autofélicite. J'attendais juste le bon moment. Et l'autre jour, c'est l'heure. Sinon j'ai plein de formes de pinceaux sur Toshop, et c'est grave la belle vie. Cesar est un sociopathe, mais je l'adore. HAHA. Quel canard lui aussi, qu'est ce qu'on se marre. Finalement, j'avais bien raison sur ce point : ils sont géniaux. Et Photoshop, quand tu commences à gérer, c'est vraiment jouissif du plumeau.
Aussi, assouvir ses fantasmes associés au passé, ça les tue complètement. Je dis ça par rapport à la discussion d 'hier. Qu'on est tous con devant des rêves inassouvis. Certainement burlesques une fois réalisés. La foi, le risque. Mais y croire. Alors qu'en vérité, un fois tout ça effectué, la déception du siècle et tant de temps perdu sur un telle personne, si incompatible finalement. Comment avez vous pu y songer une seule fois, que ça fonctionnerait ? M., F., S. et F. en sont les preuves les plus belles. Donc A. devrait se taper P.E. et le tour serait joué. Il ne serait plus un grain de sable dans l'enrouage. Puis D. et F. aussi. Mais qui sait ? Les love stories, c'est ptêt pas pipeau... Hein, c'est toujours comme ça, le vieil espoir saugrenu qui s'immisce dans la triste réalité. Cependant, moi j'aime. J'aime quand rien ne marche et que la surprise arrive en pleine face. Avec ses petits petons.
C'était une danse macabre au possible. Pas du tout cocoon. Mais aujourd'hui, ça a été. Je vais bien. Bien mieux. Mais il va falloir agir pour changer : impatience et tonalité de la voix. Je ne sais comment je ferai, mais ça devient grave. Irascibilité et intolérance. Que fais-tu encore avec moi ? Tu devrais partir avant de ne trop souffrir. Le jour où j'irai mieux avec moi, j'irai mieux avec le monde. En attendant, je me délecte de le détester. Mépris, quand tu nous tiens. Je vais essayer. Juré.
Aussi, assouvir ses fantasmes associés au passé, ça les tue complètement. Je dis ça par rapport à la discussion d 'hier. Qu'on est tous con devant des rêves inassouvis. Certainement burlesques une fois réalisés. La foi, le risque. Mais y croire. Alors qu'en vérité, un fois tout ça effectué, la déception du siècle et tant de temps perdu sur un telle personne, si incompatible finalement. Comment avez vous pu y songer une seule fois, que ça fonctionnerait ? M., F., S. et F. en sont les preuves les plus belles. Donc A. devrait se taper P.E. et le tour serait joué. Il ne serait plus un grain de sable dans l'enrouage. Puis D. et F. aussi. Mais qui sait ? Les love stories, c'est ptêt pas pipeau... Hein, c'est toujours comme ça, le vieil espoir saugrenu qui s'immisce dans la triste réalité. Cependant, moi j'aime. J'aime quand rien ne marche et que la surprise arrive en pleine face. Avec ses petits petons.
C'était une danse macabre au possible. Pas du tout cocoon. Mais aujourd'hui, ça a été. Je vais bien. Bien mieux. Mais il va falloir agir pour changer : impatience et tonalité de la voix. Je ne sais comment je ferai, mais ça devient grave. Irascibilité et intolérance. Que fais-tu encore avec moi ? Tu devrais partir avant de ne trop souffrir. Le jour où j'irai mieux avec moi, j'irai mieux avec le monde. En attendant, je me délecte de le détester. Mépris, quand tu nous tiens. Je vais essayer. Juré.
Mercredi 14 octobre 2009 à 1:12
La conclusion est simple. Chercher le malheur des autres sur leur territoire pour se rassurer soi-même. Face à la solitude. Et agir comme on aimerait qu'on agisse pour soi. Comportement ridicule. Ou peut-être altruiste. S'il reste déjà ça... Les mots me manquent. Les dialogues aussi. Je suis fermée. Des pots cassés, je n'ai que ce que je mérite. Faire le clown, ça va un instant. Je suis pitoyable, ça vous amuse. Me réchauffe un moment. Voile de fumée, aveugle et cécité. Mettre une barrière. Vous n'en saurez rien.
PS : M et C, ils seront ensemble avant la fin de l'année.
Mercredi 14 octobre 2009 à 1:05
Richter, ça ne peut être bu qu'avec un sachet de thé à la menthe, 4 sucres et 2 cuillères à café d'arôme de fleur d'oranger. A voir les effets. Quel dégout. Il ne sert à rien de se forcer, rien ne fonctionne. Je ne suis rien. A la dérive. A coté. Rien qui n'avance, tout semble bien illusoire.
Je suis amoureuse d'Elle. A real model. Je deviens folle, complètement. Je ne suis plus rien. Il me manque et je perds pied. J'ai des problème d'identité, de volonté. De bouffe, de thunes et tout. j'espère que ça ne sera pas la solution. Ca bug dans ma tête et je ne sais plus où mettre les mains et les oreilles, ni comment retrouver le moyen de. A croire que tout est impossible, s'enfuit sous mes doigts. S'envole. Et que je reste à terre, comme un sumo qui s'enterre, un oiseau qui a loupé le virage, pris la vitre. Bec cassé. Alors la procrastination, l'espoir, les projets juste personnels qui tournent autour de rien.
Parfois, j'aimerai que ce soit plus simple. Faire des études plus simples, avec moins de travail, plus de possibilités, se voir, sortir, ne pas se poser de questions. Que tout soit moins compliqué. Avoir du temps pour moi, pour penser, pour faire du sport à outrance.
J'ai du mal à m'y mettre, à trouver pourquoi je fais tout ça. Parce que je n'ai pas de talent et je le sais. Il faut prendre conscience de ce que l'on est. Je voudrais pouvoir y croire, être come ces gens qui réussissent tout ce qu'ils entreprennent. Je ne suis qu'une fille normale. Et c'est le pire adjectif qu'il soit.
Je me sens seule loin d'eux. Seule quand je fais le constat. Que je ne suis rien. Et que les conséquences sont souvent fatales. Je tâtonne, rêvasse, m'égare, recule. Je n'avance pas : une loque morcelée. Deviens le néant et tu apprendras. Les leçons que je m'inflige sont mauvaises, sans morale. Je pense à lui, fantasme sans lendemain. Toutes ces choses fantasques, ces rêves à accomplir, ces moments à partager, cette infinité d'idées à mettre en place, créer.
Je suis prisonnière de mes défauts, ne parviens pas à les convertir. Je suis inconsciente, mais consciente de l'être. Pas responsable, pas féminine. Mais je ne sais pas comment m'en sortir. Je voudrais changer, cherche. Mais ce maudit reflet qui me descend p^lus bas que terre. Que je me débats, que j'essaie de voir autrement. Et parfois, oui parfois, j'aime. Mais c'est tellement rarissime. Un jour, je m'envolerai, je créerai. Mon corps et mes idées seront unis, avec l'esprit. C'est si con, de se foutre des objectifs si hauts quand on est si petits. Je ne suis que rien. Je sais qu'avoir trop d'ambition peut tuer. Et j'ai trop l'esprit de compétition. Alors quand il s'agit de se battre contre soi... Je suis en échec. En échec scolaire, en échec social, en échec financier.
Je suis amoureuse d'Elle. A real model. Je deviens folle, complètement. Je ne suis plus rien. Il me manque et je perds pied. J'ai des problème d'identité, de volonté. De bouffe, de thunes et tout. j'espère que ça ne sera pas la solution. Ca bug dans ma tête et je ne sais plus où mettre les mains et les oreilles, ni comment retrouver le moyen de. A croire que tout est impossible, s'enfuit sous mes doigts. S'envole. Et que je reste à terre, comme un sumo qui s'enterre, un oiseau qui a loupé le virage, pris la vitre. Bec cassé. Alors la procrastination, l'espoir, les projets juste personnels qui tournent autour de rien.
Parfois, j'aimerai que ce soit plus simple. Faire des études plus simples, avec moins de travail, plus de possibilités, se voir, sortir, ne pas se poser de questions. Que tout soit moins compliqué. Avoir du temps pour moi, pour penser, pour faire du sport à outrance.
J'ai du mal à m'y mettre, à trouver pourquoi je fais tout ça. Parce que je n'ai pas de talent et je le sais. Il faut prendre conscience de ce que l'on est. Je voudrais pouvoir y croire, être come ces gens qui réussissent tout ce qu'ils entreprennent. Je ne suis qu'une fille normale. Et c'est le pire adjectif qu'il soit.
Je me sens seule loin d'eux. Seule quand je fais le constat. Que je ne suis rien. Et que les conséquences sont souvent fatales. Je tâtonne, rêvasse, m'égare, recule. Je n'avance pas : une loque morcelée. Deviens le néant et tu apprendras. Les leçons que je m'inflige sont mauvaises, sans morale. Je pense à lui, fantasme sans lendemain. Toutes ces choses fantasques, ces rêves à accomplir, ces moments à partager, cette infinité d'idées à mettre en place, créer.
Je suis prisonnière de mes défauts, ne parviens pas à les convertir. Je suis inconsciente, mais consciente de l'être. Pas responsable, pas féminine. Mais je ne sais pas comment m'en sortir. Je voudrais changer, cherche. Mais ce maudit reflet qui me descend p^lus bas que terre. Que je me débats, que j'essaie de voir autrement. Et parfois, oui parfois, j'aime. Mais c'est tellement rarissime. Un jour, je m'envolerai, je créerai. Mon corps et mes idées seront unis, avec l'esprit. C'est si con, de se foutre des objectifs si hauts quand on est si petits. Je ne suis que rien. Je sais qu'avoir trop d'ambition peut tuer. Et j'ai trop l'esprit de compétition. Alors quand il s'agit de se battre contre soi... Je suis en échec. En échec scolaire, en échec social, en échec financier.
En fait, c'est si simple : je suis disloquée.
Mardi 6 octobre 2009 à 0:38
Si vous saviez. Le gâchis que c'est. La ballon gonfle. Myrtille étouffante. C'est presque comme si je le faisais exprès Impossible de résister. Impossible de dire non. C'est compulsif. Encore et encore. MANGER. Se remplir. Et j'aimerai pouvoir en finir avec tout ça. Mais je vois ne vois pas comment. Je suis surement trop radicale et ce n'est pas bon. Alors je m'empiffre. Culpabilise. Me vois élargie. Et puis le reste.
Alors fuck. L'impression d'être vraiment à côté. Clocharde. Pas à l'aise dans mon froc. Et l'envie de tout balancer s'allumer un bon bédo et respirer. Pas que je sois en manque. Juste que je perds pied. La pression, l'attente. Les devoirs le perfectionnisme à la con. Le retard sur les deux sujets. Et pas envie d'avancer. Envie de m'enterrer vivante et de partir. Le corps loin dans la terre, léger. Léger ! Tu peux rêver, jeune padawann. Je crois que je vais avoir sérieusement besoin d'aide. Je suis un danger pour moi-même. Et en manque de ces cradosseries qui soulagent. Si vous saviez.
Et ce n'est ni Crosby, ni Still, ni Nash, ni Young qui ne me sauveront. Je le sais. Mais peut-être que... J'y vais ?
SALE TRUIE. Personne ne peut imaginer ce qu'il se passe ici. Robotisée. Stupide.
Dimanche 4 octobre 2009 à 14:31
Je suis absente parce que ça va presque super bien. Que je m'accroche aux cours et que le train est parti. Je suis dedans, à fond dedans. Je taffe. AVec perfectionnisme, volonté et créativité. J'y crois. Je veux y arriver et j'y arriverai. Parce que finalement, je dois être accro au travail. Accro à la réussite dans mon taf. Ou plutôt à la sensation d'avoir tout donné pour. Donc je donne beaucoup de mon temps pour et j'en suis fière. Parce que je sais que ça paiera. Voilà. D'où mon impossibilité de m'exprimer ici.
Sinon, je bouffe comme une vache. Mais ça va aller. Et la barre au sol permet à mon corps de rejoindre mon esprit. Je m'y sens mieux. E je sui vraiment fauchée, si bien que je ne sais pas comment je vais faire poru résorber ce souci. D'ici novembre, ça ira mieux normalement. J'espère. Et non, je ne demanderai pas d'aide à ma mère, tant que ça ne sera pas plus critique. Hem. Quoique, d'ici trois jours, ça va être difficile. Bref. En tout cas, ça va. C'est l'essentiel. Vivre "travail", ça a du bon.
Et le week-end prochain. :)
Dimanche 27 septembre 2009 à 0:14
Je l'ai retrouvée. JESS.
Jessica était amoureuse de moi en première et terminale. Jessica a toujours été sublimement adorable. Aujourd'hui, elle est encore plus belle. Corps de femme à tomber par terre et frimousse aux cheveux courts qui ne peut laisser personne indifférent. En tout cas, pas moi. Jessica.
Beaucoup de choses en moi se réveillent en moi. Les changements. Et tout le reste. J'évolue, j'assume. Et pour tout dire, ce n'est pas que mauvais.