sidvicious
Tout est question de sémiose, petit Arlequin.
Samedi 18 septembre 2010 à 15:35
J'appelle, je débarque, 4 ans sans nouvelle. Avant, un anniversaire, 3 gr, un gâteau, ne pas finir beauX, probablement. Si longtemps. Une semaine sans fumer, une semaine sans retard, ni absence. Cette année, l'assurer. A l'heure, dans le temps, dans l'ère. A la page. Il ne suffit pas d'y croire, il faut s'y mettre. Je m'y mets, planifie, organise et ça fait du bien.
Vendredi 17 septembre 2010 à 23:00
Effet piano. Doucement, ne pas se laisser happer par les remous moralisateur de ta propre conscience. Pas tranquille parce que pas à jour en ces jours, dans nos nuits, rien foutu et temps perdu. Notre bon Lavoisier a tort sur ce point-là. Une sorte de tortue, une morte de tordue, une horde de morues, un corps de mordu. J'erre dans l'espectative, le je-ne-sais-quoi du que-dalle. Je roule, essaie de rentrer dans un moule de normalité, aspirant à la tranquilité, allitée. Touriste, toujours été, rixe d'avoir été. Changer la donne. Assurer, pour se la jouer à la L. J'irai caresser, les mains froides, comme toujours, les ondulations de tes muscles chauds. En choeur. La lumière qui clignote au dessus de ta couche, le projo au dessus des prolos, spectatrice de notre louche, douche. L'esprit déjà mort à la seule pensée de pouvoir se donner les moyens. Simplement du soutien. Apprendre. Les chèques. Encore oublié de prendre RDV pour le prêt. J'y vais, courant à la perte de mes cheveux.
Un logal. Allez, allez, allez ! So faisible. J'aimerai bien rouler sur un rail de jus d'orange. Un crayon cocaïné, parfois, juste pour tester les mouvements de la dérision atmosphérique. Mais je ne suis pas JLD et 150 gr par mois, moi. Et qu'on le laisse tranquille un peu, plus à plaindre qu'à blâmer et cloison nasale en inox. Somme nawak, no malak, no prozac, home attak. Je divague encore, l'esprit fatigué par mes rondelets abcès de tétraïte. Dormir, mais pas ce soir. Ce soir, j'ai piscine, et rencard avec mon papier, le carnet de recherche trop soucieux. Comprends moi juste : je ne suis qu'une terne façade qui s'effondre dans un romantique tsunami. Ce soir, il fait nuit chez nous, uniquement chez nous, car le soleil brille pour la Terre en tiers. La mise en friche de sa cervelle. J'arrête un peu la fumée, désosser les manies toximaniaques. Try et treilli pour le gala en chocolat blanc.
Un logal. Allez, allez, allez ! So faisible. J'aimerai bien rouler sur un rail de jus d'orange. Un crayon cocaïné, parfois, juste pour tester les mouvements de la dérision atmosphérique. Mais je ne suis pas JLD et 150 gr par mois, moi. Et qu'on le laisse tranquille un peu, plus à plaindre qu'à blâmer et cloison nasale en inox. Somme nawak, no malak, no prozac, home attak. Je divague encore, l'esprit fatigué par mes rondelets abcès de tétraïte. Dormir, mais pas ce soir. Ce soir, j'ai piscine, et rencard avec mon papier, le carnet de recherche trop soucieux. Comprends moi juste : je ne suis qu'une terne façade qui s'effondre dans un romantique tsunami. Ce soir, il fait nuit chez nous, uniquement chez nous, car le soleil brille pour la Terre en tiers. La mise en friche de sa cervelle. J'arrête un peu la fumée, désosser les manies toximaniaques. Try et treilli pour le gala en chocolat blanc.
Jeudi 16 septembre 2010 à 10:38
Start again. Nan, impossible de se motiver sans mur. Impossible de bosser quand j'ai quelqu'un à mater sous les yeux. Bref, trouver une solution. Contruire des murs plus proches ? Amochiser le quelqu'un ? Ne plus payer Orange ? Casser des écrans ? Une solution, y'en a des centaines et c'est tant mieux. Juste dormir fast et efficace, puis en cours dès 8h. Que je sois moins exigente, plus rapide, moins-trop-quoi-tu-vois. En fait, juste assurer les délais et l'avance. Quand le dos est emmuré, je cours plus vite, pas une raison. Juste que ce week-end, faut pas que je loupe le train en route et le soir non plus. Hier, je serai un warrior. HAHA, quelle con. Ne t'en fais pas, tout va bien. Ca roule, faut juste pas défaillir, et morder sévère dans la vie comme dans les cours, des choses. Un an et après, projet. Le panard, mon canard. 25 semaines à caféiner les nuits, les rendre créatives, cloper clopes éclopée. Ca se tente ? Pas le choix les copains, faut s'y remettre, à donf, à donf. La suivre et s'y coller en se la collant un peu. Glu.H.U, je suis un électron libre avec une petite mine, c'est juste que j'aime pas la pub, question juste de confiance. Mais demain, j'ai assuré, j'en étais certaine. 2h30 pour finir 3 pré-maquettes et le rapport. Gausse-toi, je suis pareille. Ca sera fait. Dans l'étang presque, sans couler glue.
Oui, de bonne humeur dès le matin. Je t'ai sorti des tartines. Sale fille chieuse = plaies aux nasmes. Je suis une fille, je vous l'avoue, désolée. Je surkiffe la Blatte. BAH.
Mercredi 25 août 2010 à 2:20
C'est important de le gérer.
Mercredi 25 août 2010 à 2:18
J'étais fortement niaise, tu m'as trompée, mais j'étais responsable et c'est révolu : tu m'as confirmé la déception et tu comprendras ma froideur.
As tu déjà vu quelqu'un sautiller aussi vite vers un morceau d'émail et de plastique pour soulager les restes de ce qu'il fut ? Rouler sur une encarteuse, un collage. Ma vie à rouler. Ma bosse, ta bosse. Un futal, celui qui me fait une grosse bite : en somme, le tien. Je retiens les mots, le sens, le ressens, pour, il semble, ne pas se faire avoir par un radar. L'enjeu est de taille, quelle échelle, des barreaux, psychédéliques. Tout se passe mieux que mieux. C'est cliché, c'est tellement bon. Mais pas de peau. J'y crois encore, des soirées presque orgicales quand tu penses à l'idéal.
Le futur s'entredessinant, l'insomnie se profilant, j'attends presque. Appréhension. Ne pas tomber, ne pas lâcher. Tenir, et pas pour moi. Elle a réagit au quart de tour. Drôle de corps. L'esprit au dessus. Ne rien donner à la destruction, rien, tu entends ? Ne pas refaire les mêmes erreurs : se détruire détruit les deux. Des mots, des mots. Il faudra lui en parler. Discuter. Aborder le sujet une seconde. Pas plus. Pas moins, l'aborder, affronter et puis fermer les yeux encore une dernière fois. Ca revient comme la peste bibonique, ça palpite, ça bouillonne, ça grouille en toi. En connexion avec la machine, c'est assez fou. Rapport clavier/être. Un engin assez fou finalement. Encore un tic de langage. J'apprendrai tout ça. Pour. Toi, nous, vous, il.
Un poncho recouvrant les pensées de fumée. Une allumette, dosage plus fort, proportions abusées, mais économie de matos. Simplifie le mode de réflexion, tu vois, je suis pire que cela : j'en ai besoin. C'est du moins mon impression. Si tu lis ça un jour, je.
Mardi 24 août 2010 à 0:19
C'était previsible. Sa réaction aussi. "Et je sentais battre son coeur, comme celui d'un oiseau qu'on vient de tirer à la carabine".
Le temps est décanté, alors j'en profite. Histoire de profiter, et se marier dans un bain d'herbe. En canard, en musique, en free style, en croqueurs du moment. Pour le faire perdurer. Couler, couleurs, les nuages qui sont blancs. Et mon carnet un peu collé : il aura vécu le festival C.F, qu'il en soit fier. C'est une personnification. Ca change une vie.
Le temps est décanté, alors j'en profite. Histoire de profiter, et se marier dans un bain d'herbe. En canard, en musique, en free style, en croqueurs du moment. Pour le faire perdurer. Couler, couleurs, les nuages qui sont blancs. Et mon carnet un peu collé : il aura vécu le festival C.F, qu'il en soit fier. C'est une personnification. Ca change une vie.
Mardi 17 août 2010 à 23:58
Puis y'a la vieille teubla. Alors là... Putain de bordel de merde. Déjà, que j'avais un doute, il s'est transformé en certitudes. De toute part. De toute part. Laissons s'accomplir, oui. Tu le ressens. Au plus profond du palpitant. Des basses, des bases. Laissons s'accomplir le firmament. L'infini. Tu sais ça, le souci principal, c'est que ça réveille des personnalités tonitruantes. Les bad, mauvaises, mauvaises. J'aurai aimé t'écrire. T'écrire. Si j'avais su. Un futur plus beau. Ce monde n'est pas le mien. Saez beugle sa soif et assèche le reste. C'est le côté destructeur. Une ambiance de deuil. Juste le passé, avant ta première vie. Tu sais, ce moment qu'on oublie, qu'une simple cuite relance, les douleurs, les peines, les haines, le corps, l'affine, le problème. Ne crois pas que c'est simple d'en sortir. Je voudrais lui dire. Prendre sa main, et jarter tout ça. Mais voilà. On s'accroche à une silhouette, une forme, un idéal, un regard faussé. Et on retombe. On compte, on s'affame, affable, s'affine, s'incline, au revoir mon frère. Au revoir pauvre monde. Je me perds vraiment ces derniers temps. Je me perds.
Ou je suis perdue. Le THC n'aide peut-être pas toujours. L'alcool, surtout pas. C'est sur, aussi, boire un verre et tout revient en mémoire. OUBLIE, OUBLIE, OUBLIE !! Déjà oublié, ne reste que les conséquences.
Et ce n'est que prometteur. Pince-moi. S'il te plait, prends ma main.
Vendredi 6 août 2010 à 1:27
Je l'ai réécouté. Ecris. Demain, tout commence. C'est parti.
Lundi 2 août 2010 à 0:55
Reste encore à comprendre. Blocage ? Maladresse ? Incapacité ? Insatisfaction ? Confort ? Situation ? Position ? Fatigue ? Concentration ?
Je ne suis plus humaine. Je ne répondrai à aucune question.
Lundi 2 août 2010 à 0:50
Ces enfoirés d'animateurs m'ont décontenancée. Dosage à zéro, graphique, naze, être. Faut se reprendre. Y croire. Ne pas lâcher maintenant. Oui, c'est assuré. Continuer, ne pas faillir. Ne pas faillir. POUM DAaaaa. Ta peau se décolle. J'ai toutes les cartes en main. Sans aucun doute, le train s'en va. On est dans le même wagon. Je ne l'ai pas loupé cette fois. Le coche caché, la cache cassé, la case cochée, cochet. Lascards cochant. Scotchant. En boucle.
Maintenant je comprends mieux. Je comprends beaucoup mieux. Que des batards de barbares. Don't ask any question, young padawann. Tout est simplement configuré. Pas de prise de tête. Tout vient à qui sait attendre. "C'est bien complexe". C'est tout vu. C'est tout vu. Easy. J'ignore si c'était la même pour vous avant. Mais se retrouver ainsi. Peut-être que la foudre va tomber, est tombée. Comme une chienne. Demain, j'ai hésité. Complexe, tu dis ? Des noeuds dans les cheveux et des papillons dans le bide. Je suis maladroite. Et pour une fois, c'est fou. Drôle de contexte.
Guitare, piano, voix. Des vieilles blattes. Tu assures veugra, Coloc. Et même plus : je n'aurais pas osé réver. Alors merci d'avance pour tout. Déblatère. Et tutti quanti. On n'est pas contrariant. Des palpitations jusque dans la gorge.
Mercredi 28 juillet 2010 à 0:46
Evaporée, évadée, éventrée, envolée, dévorée, dérobée. Les sens qui se perdent, se crèvent. Agir, réagir, réunir. Sans trop tomber, sans abuser. Ca va être tendu, vendu sans suspension. Il faut juste le vouloir, y croire. Et se laisser bercer, crever l'abcès. Renouer avec hier, louer ses pleurs et continuer sans leurre. Jauge de capacité au maximum, je recommence le jeu à son départ, assume ses conséquences, ses déviances, leurs regards. Risques encourus sans aveuglement, presque voulus par entêtement. Allons-y, petit bonhomme.
Mercredi 28 juillet 2010 à 0:36
Elle a des seins parfaits, une peau douce. En fait, ça a dérapé, prévisible. Quand je l'ai touchée, mal à l'aise : mon gros corps pataud et disgracieux. Se détester, et parvenir à se concentrer. Difficile. La suite, futur proche ou lointain, imprévisible. Pas de questions, se poser sur l'instant. J'avais oublié : les mots sont dans le désordre : les questions mal posées. Alors faire fît, profiter du moment. Teubla crew en folie, l'amitié comble bien plus que la baise tous les manques affectifs. Génitrice, amourettes d'un mois, à la casse. Mais en fait non, ouvre les yeux petit cafard, tu aimerais qu'il voit qu'il a tort. Pas raison : LUI, IL S'EN FOUT, dans ce sens et intensité là.
Le voisin d'en face et sa télé plus grande que son appart, petit confort rassurant, la vie au travers d'un écran, semblant de vie illusoire. 2531,6 clopes taxées au cafard T. Week-end de fou, éthylique, idyllique, soleil réchauffant l'esprit déjà bien serein, un sens à l'existence : juste profiter d'instants-clef. Alors sortir encore, faire ce qu'on sait, grouiller, improviser, cliqueter. Rengaine chaleureuse de colocation prochaine. Il en faut bien peu. Les instestins détraqués. Faut que je ralentisse la cadence tabacologique.
J'ai bien peur de ne plus pouvoir me retrouver seule face à moi. Un néant. Jolie appréhension que d'avancer lentement. C'est encore plus simple que ça. La weed resserre les étaux d'angoisse, libère les ambiguités, simplifie tout, sauve la face tout de même, même si l'effet amenuisé, amusée. Trop à dire : la vie va vite, les afterdays se succèdent au rythme de l'apothéose, juste l'organisme qui ne suit plus. Et c'est un problème, car aussi encombrant, je le déteste.
Lundi 19 juillet 2010 à 2:46
Tout rentre dans les cases. Le système rodé. Les mots rossés. Finalement. Tu attends quoi ? Se faire remarquer, de l'attention ? Juste de l'attention. Acide ? Amère ? Difficile à digérer, mais qu'est-ce que je peux en rire ! Tu te retournes dans ta tombe et je me gausser de te voir ainsi. M'étouffer a tomber encore dans un piège à loup. Tes petits yeux amoureux n'y changeront rien. On n'use pas un os jusqu'à la moelle pour faire pousser des amandiers. Repars d'où tu viens, sous ton soleil, tes îles paradisiaques, tes fantasmes inassouvis, tes rêves impossibles. Tu l'as senti, baiser sec d'émotion, le tien complètement offrant. Le jeu. Vu que tout ne rime plus à rien, insensibilité qui me brise moi-même. Je ne suis plus humaine, la Raison prend le pas sur la passion. Les ressentis sont internes et la connerie externisée. Célibat pleinement vécu. Peut-être qu'il me suffit juste ça. Etre seule, trouver le réconfort de l'amitié tellement profond que rien ne pourrait l'entraver. Disponibilité, ciné, bière et dessin party. F., va au diable, et arrête de croire que le destin nous réunit : c'est trop simple de croire à un premier amour. Tu es beaucoup trop crédule.
Je sais ce que je veux. La simplicité. Pas d'engagement. J'aime cette liberté, ne pas avoir à penser pour deux, ne pas chercher à ne pas blesser. Non, je ne veux blesser personne dans toutes ces histoires. Vous êtes libres, ou engagés, mais en attendez beaucoup trop. Je n'ai rien à offrir : les batteries se rechargent vraiment tout doucement et mon coeur est saigné, vide. Rien à donner, beaucoup trop à reprendre pour m'en remettre. Finalement, y'a eu de la casse. On verra avec le temps, avec le reste. Et ma libido ? Rien à fuotre, boge ta croûte. La liberté, ne pas être enchaînée. A rien, ni personne. La solitude est mère de paix pour l'esprit. A l'instant où tous se délectent de leurs amours belles et stables, j'apprécie mon choix de n'être rien de concrêt dans un système à deux inconnues. A peine croyable, mais ainsi pourtant. Pourtant, je ne veux pas te briser. Restons amis. Simplement, et attendons. Attends. Ou n'attends pas, c'est le meilleur moyen de ne pas être décu d'obtenir, ou pas, ce que tu désires.
Une semaine encore chargée. Comme toutes les précédentes. Montlouis, Monnaie, Chateau, ailleursland, retrouver les anciens du lycée, des gens brillants, des lumières simples et ouvertes, capables d'échanger sans jugement, d'accepter sans appréhension, sans attentes pour vivre sur le moment. Pour tout ça, en ce moment, ma vie est un bonheur. Instant t qui vaut son pesant d'or. Le carpe diem sans précédent. Une exponentielle potentielle : respirer pleinement. Maintenant, j'ai compris. Je vous le crie.
Même si je suis désormais un gros dindon qui pèse 10 kilos de plus qu'avant. Une cancéreuse en phase terminale. Allons y gaiement, arrête de dire ce que je voulais dire, et installons-nous dans cet idéal. C'est trop feune, vraiment. Alors ton texto à 1h du mat, c'était parce que t'étais en rad' de shit ? Parce que t'étais bourré ? En manque de cul, d'attention ? Les deux ? Epater la galerie, m'exposant ? Mal de tenir la chandelle ? C'était pas si terrible ? J'ai mal pour toi, pas de pitié, mais quand même mal. Et pour le coup, vraiment pas pour moi. Pense à ton égo, retiens-toi un peu, et surtout laisse-moi rire, Gamin.
Dimanche 4 juillet 2010 à 4:57
"C'est Paris". Les petits tertres cachés dans un coin de rue, cours éclairées à la lumières des néons, les devantures brillantes de gaspillage énergétique, la lumière du temps, le soleil couchant, quelques étoiles qui s'endorment dans la noirceur orange, space invaders des quatre coins du monde. A Paris, parfois, la pluie crépite sous tes pieds. Le PimentCafé, et de jolis dessins doux et pipou aux traits légers.
Alors Paris, encore. Largage d'amarre, d'amour, d'humour, à mort. La fin des conneries illusoires, les pages tournées, le haricot poilu. M qui revient en force pour un espoir pas permis vu que vain : pour moi, c'est fini, et depuis plus d'une demi-douzaine d'années. Ca allume l'esprit, remet en cause, mais surtout rassure, entre les deux S, un 3ème. Balade et feeling simonesque. Monsieur Patunk orange teinté de roi, des crèpes au lieu de cette gaypride 2010. Dommage, mais nécessaire financièrement. Puis assurée d'avoir d'autres extras, à 10 euros de l'heure, on accepte de les faire et de voir la vie d'un autre oeil : ailleurs.
Soirée fières! Morte, encore par le manque de sommeil. Les L qui reviennent, WGO, Barbieturix, Foleffet, les D5, le régime Dukan, les regards. J'aime pouvoir improviser, mais aussi prévoir. Asphyxiée par ces blondes, je reviens rouler. Je réduis l'herbe bleue et assoiffée de vie. Envie, idée. Almaric. Ant. a les yeux étonnamment rouges dans ces cas-là, coloc improbable, intéressante musicalement et humainement. Tu sais, je n'ai pas tant de mal à m'attacher. Je suis trop fleur bleue et pleure devant un monstre vert. Le bar opportun, le coming-out pour DieuPapa, la soirée chaude, très chaude avec V. de T. A voir, a revoir aussi. Distance, ô connasse affollée tueuse d'espoir. Retrouvaille humaine, réflexe totalement naturel, L Mc C en force, electronique rythmant systèmes nerveux et sanguin avec bières fraîches en guise d'éléments nutritifs. Pâté, rillette, emmenthal, beurre, des sandwich qui n'ont plus la côte, les boulangeries se fermant au traditionnalisme pour adorer brands and trends.
Millenium, Tournée, Twilight (!!), L'illusioniste, DOg Pound, A trop vouloir vivre, je m'étouffe de fatigue. Mon piano me bouge, comme certains membres de la trousse. Seule Yam et le stylet enchanté s'en sortent bien. La tablette est séductrice, fidèle et encourageante. Je bois beaucoup, remet les pendules à l'heure. Ne me pose pas plus de questions, j'ai trop de certitudes. A 3000 km, le recul est certain : je suis sur la Lune. Mais ne t'inquiète pas, rien ne va : tout va. Des échanges humains, de la compréhensions, des nouvelles culottes. De la détermination et assumer. Assumer. Je t'assure que oui, je t'assure que oui. Demain sous le signe de Willy Ronis, un petit ciné pour la route, le fun, la culture.
Junebug, notre chanson. Au japonais, j'ai souri de l'avoir près de moi, l'ange a désormais des ailes. Demande à Tintin. "Rencontrer deux moitiés d'un joyau rongé par l'amertume de gens pas très honnêtes. Envie de les réunir." La poésie, comme les instants de bonheur, ça me fait pleurer. C'est une musique envoutante, chaude, et triste. Savourer ce mélange. Ta tête sur les écrans, les mouvements de foule, retrouvailles insensées, complicité intacte et points communs de fous furieux. Les cheveux courts te vont à merveille. Une planche de skate et un siège à peinturlurer, merci Garbage, et des fringues pour respecter le dress code. Des soirées, des sets, encore et encore. Le meilleur moyen de trouver : ne pas chercher. Un cadeau pour les filles. Les horaires de la séance de mercredi. Encore une semaine chargée. Dès le samedi jusqu'à celui d'après. Alors quand dormir ? Une tête chaude et remplie sur l'épaule. Au moins ça. Une Marsupi, l'amie des rues du marais.
Mardi 29 juin 2010 à 23:38
Je ne savais pas quoi faire. Alors je l'ai mangée. Liquide, livide. Obsessionnelle.
Mardi 22 juin 2010 à 19:50
Je perds mon temps. J'ai faim, j'ai froid. C'est l'été et je nage dans une pâquerette en sucre. J'espérais mieux qu'une poignée. Une pauvre poignée.
Mardi 22 juin 2010 à 1:14
L'osmose platonique. Comme dans une bulle chacun de notre coté. L'impression que l'on s'. Peut-être qu'un simple moment. Pas besoin de tous ces compliments. Peut-être la timidité. Pudeur. "Je ne rêve pas quand je suis avec toi. Tout est blanc." Le néant entre nous, mec. Parce que tu pourrais être un autre que ce serait la même. Il faut imaginer Sisyphe heureux. Juste baiser et fumer, pas d'attachement à d'autres détails. C'est si simple, que parfois on ne comprend plus l'équation. La quintessence du graphiste. Et rager. Juste un instant. C'est bon de ne pas se prendre la tête. Et d'accepter le temps. Si bon. Le jeu de l'ignorance mutuelle. Ne nous le cachons plus.
J'aimerai te revoir. Plus souvent. Beaucoup plus souvent. Le travail. Juste le travail.
J'aimerai te revoir. Plus souvent. Beaucoup plus souvent. Le travail. Juste le travail.
Dimanche 20 juin 2010 à 5:07
C'est juste que j'ai compris ce qu'était l'électro, le vent dans la rue du Chat que Pêche, les taxis d'appoint, la ligne H et des flics tous les 50 mètres. Donc les bédos difficiles à rouler et le "bon pissou". Parce que ça valait son pesant de simplicité. Des week-end comme j'aimerais en avoir à chaque fin de semaine. Et ça ne tient qu'à moi. Avec Le Dune. C'est si simple quand on y pense. Pourquoi ne l'avais-je pas compris plus tôt. ? Je dis une bêtise, c'était compris. Mais une parisienne qui vit à Paris. Aussi, réaliser : j'assume mieux la carcasse, collants opaques, jupes courtes, débardeurs et chemises noires. Avec des docs pour garder mes vrais pieds. Un peu rock and roll, mais pas rebelle à deux balles. C'est simplement bon de respirer. De respirer. Tu ne t'en rends pas assez compte et je voudrais te montrer comme ça se passe. Que l'imprévu et le zen resteront les meilleures armes de la soirée. Caisse du samedi. Pas grosse, pas claire, avec des basses comme il en faut, du son. Des idées pour le sujets d'EP. Et une nouvelle illustration, bien-sûr. C'est tellement bon de reprendre le crayon. Tellement bon.
Tout a été numérisé, scanné, sauvegardé, prêt à être modifié.
Alors souris.
Tout a été numérisé, scanné, sauvegardé, prêt à être modifié.
Alors souris.
Samedi 19 juin 2010 à 19:44
Lazouave. Ahlala. ce fut une soirée comme je les aime. La caisse du vendredi. Et M. que j'ai retournée par des retouches de malades. Il fallait pas me provoquer. Au moins, ils auront compris. Je ne suis pas qu'une naze, mon petit.
Jeudi 17 juin 2010 à 0:52
"Comme une petite fille qui se serait négligée". HAHA, ça, c'était drôle. Le reste, ça l'est moins. Je veux dire, je sais pas si tu te crois drôle, mais ça me fait pas rire. A dire vrai, c'est sûrement plus drôle si ça ne l'est pas. Va tant comprendre... Je ne demande rien d'autre. Moi j'suis con, moi. L'heure tourne, tu as raison. Et toi aussi.