sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Lundi 21 décembre 2009 à 12:46

 

http://sidvicious.cowblog.fr/images/winonaryder007.jpgLa routine qui va finir par s'installer. Avec les filles, on a décidé de s'offrir des cadeaux, au cas où on n'aurait pas été assez sages pour nos chères familles. C'est un peu un Noël à l'eau, à larmes. Alarmes. Alors courir se ressourcer dans la famille. Tout en sachant que C. en fera toujours partie. La tentation est fatale. Retourner ensemble. Mais pour une fois, écouter la raison. Et qu'on ne me sorte pas ce foutu parallélisme à la mords-moi-le-noeud qui opppose Coeur et Raison, avec leurs majuscules. Bref, je m'en fiche. Même si ça va être dur, je sais que ce mal est nécessaire. Il faut s'en convaincre.



Et j'ai trouvé des cadeaux adéquats pour mes parents et ma soeur. Pour les filles aussi. Je suis contente.




Je lui ai demandé une coupe à la garçonne. Juste retour aux sources. Et puis, je me sens moi, comme ça. C'est vrai quoi, les cheveux longs, ça me va pas, ça me va pas, c'est tout. Je me sentirai plus dans mes baskets. Enfin... Dans mes docs. Tout va aller pour le mieux. Hein ?


 

Jeudi 17 décembre 2009 à 11:40




Et puis, c'est la fin.



Mercredi 16 décembre 2009 à 17:54




C'est dramatique d'aimer quelqu'un, de ne pas pouvoir vivre sans, mais de ne pas pouvoir vivre avec. Ici s'achève peut-être une belle histoire. Je crève. On crève. Amen.



Mardi 15 décembre 2009 à 0:44



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Des histoires de stress, de pression, d'expériences, de complexes, pas de généralités. Phase 1 enclenchée. A nous de voir. Si évolution. Voix calmes, et ironie. Tordus dans tous les sens, provocante. Quelques réponses. Si pas fun à 20, comment à 40 ?  Pas de pessimisme, pas d'optimisme, je ne suis plus à ça près. Mais ce n'est pas dramatique. Moins de bulles, je pétille moins. Ca sert à rien de se poser des question débiles, de se torturer les méninges pour des éléments pas maîtrisables. Certes. Problématique. Carte UGC Duo. Allons vers la culture. Sortir. Le mardi, tout est permis.

Même pas d'avertos pour les absences. Ils se sont dit plein d'espoir. Ils ont bien raison. Un phénix qui renait, et qui vole. Loin, loin, chère liberté. On avance, c'ets déjà  ça... Polly Pocket oui. Mais j'assume. En pyramide, comme J. Lopez. Trop drôle. Mais instructif. Au moins, je vais pouvoir lui refaire sa com...



Dimanche 13 décembre 2009 à 0:14



Pour tout le mal que j'ai fait, que je fais, et que je ferai. On sait jamais le mal qu'on répand, sans le vouloir. Et la retombée. C'est horrible, d'en avoir seulement conscience. Sans même savoir ce qu'on a pu déclencher, ni comment. C'est tellement fou. Alors autant sombrer. Folie et maxalt. C'est pas encore fini. Et dans ces moments-là, tu es seule face à toi-même... Forte, se trouver. Moi aussi, je sais pas comment arrêter tout ce cirque. Ni où aller. Ni quoi dire. Je suis littéralement paumée.



Samedi 12 décembre 2009 à 16:33



Où je dois aller, et ce que je dois faire. Et bien aucune idée. Je tiens la barre de mon fragile navire et c'est déjà pas mal. Mylène, elle est quand même bonne. Alors jouer avec sa tablette graphique en matant son vieux live de Bercy. Mais rien n'a de sens. Oui, je peux écouter du classique, Farmer, Tagada Jones, Pink FLoyd, Uh hu her et Sonata Arctica. Mais sérieusement.

Faut que j'arrête de dégouter Mel en lui disant que si on va dans la pub-pub, on sera condamnés à faire des affiches Easy Cash ou Bouygyes. Ahah. Désillusion pour le petit coeur, je suis horrible. Mais faut pas sevoiler la face, la moitié de la promo fera des détourages pour les catalogues La redoute et Lidle pendant dix ans. M'en fous. Je ne compte pas faire de la pub. Vous savez, y'a des crénaux à prendre sur le net encore. Faut juste savoir à qui s'adresser. Y'a aussi les assos. Les trucs qui payent pas, mais beaucoup plus passionnant. J'ai cru qu'il allait se barrer de cours.  Je fais des études qui m'intéressent. Et qui vivre verra.

D'ailleurs hier, j'ai bougé mes fesses jusqu'à une soirée Graphic Battle. Au dune. C'était Izi contre Wisi. Avec Advanaced Creation qui organisait tout ça. Je crois que le dune va être mon QG. Ca bouge là dedans. Puis les gens sont cools. Tous unis avec la Creative Suite. Finalement hier, c'est les filles qui ont gagnées malgrè un compo ma foi, pas meilleure que celle des mecs. Mais c'était cool quand même. Puis le DeeJay assurait pas mal. Haha. Ca pourrait vraiment être génial.

Penser à se bouger pour créer un collectif. Qui veut en faire partie ? Si tu dessines, touches à CS, la photo, au street art ou à d'autres trucs, ça m'intéresse. Fais moi juste un signe et on se sortira les doigts du cul, ensemble, pour se faire un nom. Ou pas, mais on pourra trouver de quoi tripper. Enfin bon. Faut s'y mettre au bout d'un moment. Puis c'est pas comme si ça ne passionnait pas. Je sais pas si on peut dire que c'est cadeau, mais wesh ma gueule ! Paye ta gueule et ton décolleté en basse qualité Chérie. Ouais, je suis une bombe, pas la peine d'insister...
 

 

Vendredi 11 décembre 2009 à 12:10



http://balkon.c3.hu/balkon03_10/images/voss4.jpg


On a tous nos problèmes. Ne prends pas le risque de me mettre en colère. Ne joue pas avec moi, ni avec ma patience. Parce qu'en ce moment, elle est plutôt limitée. Alors ignore moi si tu veux. Et toi aussi. C'est juste que je sais où me la mettre, cette amitié foutue. C'est juste que tu sais où te la mettre, cette foutue amitié. Enfin, ça dépend de ta définition et du sens que tu donnes au mot "amie". J'ai maintenant compris que tu as éternellement besoin d'un bouc émissaire. Et bien soit. Mais ne crois pas que ça va changer ma vie. En soi, je m'en fous un peu trop quand même. Ca me fait rire parce que tu reviendras. Sûrement sans t'excuser, mais tu es comme ça. Alors c'est ainsi, mais on le sait tous. Mouchoirs, puis pouf, en l'air. Désormais, je m'en tape royalement. Tu dégages si tu veux. Ca n'entravera ni ma liberté, ni ma bonne humeur.

Le ciné, c'était avec M, devant Le concert après une rue Mouffetard avec Lou. et Cé. Alors après la claque qu'on s'est prise par le film, puis la décision d'aller voir un concert de classique un de ces quatre, on a pris le métro. Tout retournés. Mais on a rencontré Milou et Tibou. Que j'ai invités à la maison. Ils ont acheté deux bouteilles de vin qu'on s'est sifflées. Puis on s'est fait un boeuf pendant 3 heures. Pour finir Mel et moi sur un fauteuil, à parler jusqu'à 7h du mat. A 8h30, en info, on a dormi un peu. Mais c'était sur InDesign, bien lourd, bien chiant.

En attendant, toute cette improvisation du mardi, ça nous donne envie d'avancer. Juste pour atteindre le mardi suivant. Et les aventures qui nous y attendent. M. est véritablement un ami, un taré, un fou. Mais il comprend. Il en est capable. Tant qu'il oublie C., c'est tout ce qui compte, travail de fond. Puis ça servirait à rien, puisqu'elle est maquée maintenant. Pauvre. Les filles. Alors on se raconte ce qu'il se passe dans nos têtes. Véritables psychotiques. A interner. On se calme et se motive. Explications et compréhension. Partage et confiance. Délires aussi. Forcément. Le mot du mardi, et sa définition. Entre cancre et condescendance. Les phrases choc. Les séries B. Bref, j'ai quand même du bonheur plein la tête. Par ces petits instants. Et les délires avec Lo. Même si ça chute, même si j'ai du retard dans quelques matières. Même si les mercredi, jeudi et vendredi de la semaine prochaine risquent d'être un peu difficiles niveau taf. Car tout ça, ce n'est rien. Lundi et mardi seront simples, donc essayer de répartir. Pour une fois.

Et en infographie, j'ai eu 15. Comme quoi, ça ne suffit pas de montrer qu'on sait. Il faut le faire. Au, tu te vanteras moins la prochaine fois. 12 en édition, 14,75 et 13 en graphisme. Je commence à cartonner en cours, c'est tout simplement plaisant. Ils comprennent enfin. Surtout que je vais refaire le packaging, plus propre, mieux fini. Enfin, l'espoir est là, la motivation. Et bien-sûr la bonne humeur. Puis bientôt, je réinvestis dans 25g de chichon. Que demande le peuple ? Je reviens ce que je voulais être. Ce n'était même plus espéré. C'est juste jouissif.


 

Samedi 5 décembre 2009 à 20:49




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Non, je n'existe plus. L'esprit transbahuté, presque métaphysique. J'ai sûrement loupé quelque chose d'inédit. De géant. Le mot clé, coincidence cynique, absurde, en sept lettres. Trouble is back again. Parce que je te regarde en liberté. Volant, envolée. La batterie qui rythme le système sanguin. Ralenti. Comment veux-tu en sortir ? Elle est peut-être à Paris ce week-end. Légèreté perdue. Le retour aux sources qui s'opère. Lentement. Très. Se shooter à la musique, beaucoup plus sain. Besoin de cet état. Léthargie. Le token de mon esprit. Bonjour. 

Mais si tout est vrac, non, ne cherche plus. Le piano me sauvera. Et la guitare, si douce avec ses jolies formes. Fidèles. Il n'est pas question de réconfort, mais de survie. On est loin du compte. Les miroirs fondent, l'espoir tombe. Enterrée.  Je ne sens plus le menthol dans cette dilettante habitude. Au revoir.







Planche extraite du carnet de recherche sur "La Nu-ta-tion". EP, quand tu nous tient.


Vendredi 4 décembre 2009 à 11:31



Crache ta rage. Exécute. Fuis. Cours. Musique salvatrice. Jouer le rôle. Cacher. Déchirer. Se concentrer sur ses projets. Associale, certes. Mais surtout nihiliste. Pas parce que c'est un mot à la mode. Qu'on ne se méprenne pas. C'est un masque de réglage. Les nanas qui font les nanas, ça devient bien lourd. Un peu de recul, tellement relatif. Je n'irai pas chercher midi à quatorze heures. Rester dans la case. Sourire, niaisement. Rester assise. Ne pas se poser de questions. Rester calme en dehors, lacérations en dedans. Parce que tout va bien. Je me fais trop d'illusions. La vie est merdique, opaque, cynique et hypocrite. Je trouverai. Me crée un chemin silencieux. Ne bavarde pas. Reste dans le coin. Et surtout, continuer de leur parler qu'au passé.  Je m'en servirai comme d'un arme. Crispations de la machoire, contenir tout ça en dedans. Facebook aux chiottes, je dIsparais. Exit, dégage. Mal. Entrez votre message perso. J'ai rien à vous dire. Paris m'excède. Dieu que les grib' me manquent. La Touraine, les relations vraies. Paris, c'est vraiment du vent. Je suis incapable de conserver ce genre de relations. Ce ne m'intéresse pas. Et au bout du compte, j'assume. C'est sûrement le pire.

Alors avancer sur le chemin et appeler CaE pour voir ce qu'elle veut. Voir si je peux faire du télétravail pour eux, 10h par semaine ou voir, et progresser. Une expérience graphique à inscrire sur mon CV. Alors va falloir être convaincante, cette fille a du pouvoir. Le détail, c'est que ça me fera des thunes, et une raison de plus pour ne plus. HAHA, si ça marchait, ça serait ouf : pas encore diplômée et déjà une boîte embaucheuse. Qui paye bien. Je suis une nantie. Alors pour cela, je ferai des sacrifices. Je suis vraiment un humain. Et ca me désespère. Mais c'est tellement nul tout cette complexité. Tout pourrait être plus simple si vous ne preniez pas autant la tête. Alors oui, distance en attendant. Parce qu'il est clair que si je crevais demain, on se s'en apercevrait même pas. Et tant mieux.

Et tiens, en interro d'infographie, on devait jarter les lunettes de Mr Windows ou de notre Saint-Père-des-Geeks, Steve Jobs. Entre autres consignes. C'était marrant. Avant/après. Oui, c'est loin d'être parfait, mais contente quand même.


Mercredi 2 décembre 2009 à 16:33




Qu'ils aillent tous se faire foutre. Je m'en bats les reins.



Lundi 30 novembre 2009 à 23:04



Retour en force. L'équilibre donc le déséquilibre. Un éternel recommencement, les doutes, les fantasmes, les troubles, le frigo pété. Le questionnement méthodique et mélancolique. Les délires abrutissant le monde, mais surtout soi-même. Quand vas-tu te calmer ? L'esprit en perdition, et la réaction bateau. Allez, rachetons un peu de quoi se fumer le cerveau, un bon plan en vue. Faire bonne figure. Et haïr le reflet au point de ne plus prendre son pied à la barre au sol. Pataude, lourde. Comme un pavé dans l'eau. Ca faisait longtemps. Sourire amer, paranoïa récurrente. Et ce n'est pas dommage, c'était prévisible.

Poppy G. à fond dans la pop music. Ca m'a fait rire. Je m'en vais aller draguer ma prof d'anglais, tiens donc. Avec son indescriptible sourire, et son âge insondable. Baby P. me manque. Me manque. Tout va de travers. Encore un non. De transverse. Et les lapsus de C, les ambrouilles de M, lassitude permanente subie par. Ils me lourdent. Distance. Sauf les cours, parce que le seul moyen de se raccrocher et Mickael-Michou-Michel B, qui me donne son adresse pour corriger mes travaux finalisés. On marche sur la tête avec ce traitement de favoritisme mais mes arguments pour la brochure concluants. Comme si j'avais fait mon boulot, comme si j'avais envie de lui envoyer ce que je n'ai donc pas fait ... Mais profiter de cette faveur, et de son implication. N'allons pas nous plaindre. De toute façon, je lui fais pour demain. Autoportrait typographique, ma sale face sortie d'une soirée, le trip du moment, RDV mensuels du mois. Encore de quoi nostalgier.
 
Et pour le nouvel an, le "on n'a qu'à louer un endroit et toutes inviter nos potes et faire la fête ensemble en se cotisant" Alors là, la barre jaune. Pas de potes ici. Tous ailleurs. Et encore, les deux seuls qui sont là ne seront pas là ce soir-là. En clair, fade constat. J'ai pas d'amis. Pas ici, l'immigrée.  Personne à câliner avec l'excès de vodka. Alone. J'en avais oublié ma rancoeur, ma rancune. J'avais oublié qu'on est toujours tout seul dans sa tête, toujours tout seul dans la vie, et comme une conne de grue dans un corps beaucoup trop gros. Je fais pourtant attention. Donc chercher sa guitare, seule femme fidèle amie qui restera encore et toujours. Si douce, si belle, criant sous mes mains. Je délire sec.

Oui, circonstances atténuantes : il me manque quelques cases. Pas de quoi en faire un drame, tout un programme. Je ne suis pas faite pour vivre en bande. Morue d'eau douce.



Dimanche 29 novembre 2009 à 11:58



 
= Recherches sur le vocabulaire de l'humour, ironie, humour noir, gnagna, en français.
= Recherches sur le dépliant de l'expo Starck à Beaubourg en édition.
= Rendu des recherches sur le pliage et un pliage à blanc en tech de réa.
= Rendu du packaging, de son carnet de recherches et recherches sur l'autoportrait typographique en graphisme.
 
= Recherches sur la Nu-tation en EP.
= Rendus du carnet de recherche et du final sur la façade, et carnet de recherches sur Michoko. 
 



Samedi 28 novembre 2009 à 21:26



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C'est simple. Je me suis réveillée sur la banquette. Un mot sauvagement écrit, la gueule en miette, les yeux dans le vague et la tête lourde. L'effet retardataire du bédo, en clair. J'avais joué de la guitare, le regard perdu, les yeux introspectifs. Sa larme qui coule. "Une déesse". Il leur en faut peu.Les sushis et makis de Bc. Un ange. Sa soeur, aussi morte que nous. Les clopes de Ba derrière le meuble. Et la fin de soirée enrte nous. Entre "ceux qui savent".

Ca doit être bien chiant de se cacher ainsi. Tout le temps. La petite communauté gay de la soirée. Ca m'a fait rire de le constater comme ça.  Dieu qeje déteste ce mot. Les bonnes résolutions à garder, faire de sorte que. La musique qui ennivre, la vodka qui te noie. L'esprit loin, léger. La bouteille a fait la soirée. Sentir toute cette différence. Ce qui te fait regarder. Mater. Et tisser quelque chose avec N. et L..

Puis les cartons de C. catastrophée. Larmes, rage. On ne maitrise pas toujours tout dans la vie. L'après-midi avec Mummy, FNAC et bouquins. Du graphisme, de l'illus, maquette, art contemporain, conceptuel. Se faire une bibliothèque. De l'idée, de la culture. Curiosité.

Sigur Ros. Uh uh her. La tête enfumée et la musique. La musique. La faim qui revient. Le contrôle. Peut-être que ce qu'il fallait dans ma vie, c'était ça. Juste ce truc qui fait que. L'équilibre. Le but. Et la volonté. Les starting-blocks ont intérêts à être bien fixés.

Jeudi 26 novembre 2009 à 16:47



http://sidvicious.cowblog.fr/images/Nana2-copie-1.jpg



J'ai deux semaines pour leur prouver. Deux semaines pour être au top. Les projets actuels sont à la hauteur du boulot fourni, et la confiance revient. L'échec du premier trimestre est quand même modéré, il est certain qu'il y aura pire. Mais je tiens. Cette sensation. Continuer la voie, tout droit. Tenir cadence et rythme. Soulager le sommeil. Respirer. Ce soir, et ça sera bon.

Elles oublient toujours de justifier. 5h d'EP perdues, pas du tout productives. Juste deux recherches dont l'une à droite. Nutation. Trop illustratif, je sais. Mais c'est ce dont j'avais envie. Direction carnet de bord. Se poursuivant en haut à gauche après la tête de sanglier.
N'aie pas peur, c'est inutile.
 
La pizza-kebab. Les gateaux. Bizzareries internes et horlogerie en émoi. Kuzco nous sauvera peut-être de cette étrangeté. Ou le sommeil qu t'effondre.

Mercredi 25 novembre 2009 à 12:11




http://sidvicious.cowblog.fr/images/arcparis02.jpgMon chez-moi est un calvaire. La raison de cette négligence, encore le taf. Mais ne nous leurrons plus. Nous sommes au point 0. Celui qui fait que le négatif est derrière, que tu n'as plus à patauger dans la boue vaseuse du doute. Faire front, avancer et continuer. Parce qu'au fond, je sais ce que ça aurait été. Donc la barre est en main, on navigue et roule dans la neige étincelante. Le rangement remet les pendules à l'heure.

Retrouver Ba au grès de conversation téléphonique. Cette verve qui nous menait l'année dernière. Non, c'est sûr. Parce qu'avec B, on s'est marrées quand la prof de graphisme a déclaré en souriant : "L'année dernière, on n'était pas ce qu'on est cette année". Et les deux connes idiotes qui pouffent. C'est clair Chérie, qu'assumer un gène homo, ça change un homme. D'un homme, même. Ca change une femme. Alors, l'incompréhension de la prof, mais le truc qui faisait que. En attendant, S. est vraiment super jolie, très rigolote. Et quelle classe avec ses docs montantes ! Rha !

Donc dans les starting-block. Pour certains, aucun doute, c'était la mise en route. Pour d'autres, les matières générales, tout va. Reste que ça va pas être brillant pour le reste. Elle a dit qu'elle monterait un peu la note, qu'elle avait été dure par rapport au contenu qu'on peut trouver sur Jacno. Donc on souffle. Et c'est reparti. Enfin, ça continue... Ce qu'il faut, ne pas se prendre la tête. Parce que le master qui s'en suivra. Et bien-sûr, une bonne place à la clé. Ce n'est pas espérer, c'est se créer un futur. Et construire pas à pas, jour après jour, quelque chose qui tienne de mieux en mieux la route. Here I am. Le changement est ressentie, je le tiens dans mes veines.

Et au fond, ce sujet d'introspection en graphisme, ça va roxer sa grand-mère en paquet de 13, parce que je vous l'assure, y'a de la ressource et de l'inspiration graphique qui se trament au niveau du ciboulot. C'est mieux en positif, la vie. Puis avec Mel, on va se faire des soirées coaching : soirée à taffer, brainstorming en fond. Et aide à l'inspiration. Alors, fonçons. Et vous remarquerez qu'il ne s'agit plus de "tous les niquer". Mais bien d'émerger soi-même. Ca change tout. Et c'est encore plus positif.


 

Lundi 23 novembre 2009 à 10:22


 

http://sidvicious.cowblog.fr/images/TypominMbycooldesignvn.jpg
Si, voilà. Je sais pas où sont les yeux. Ravie de vous rencontrer. Le sujet sur l'autoportrait en graphisme. Faudrait juste que je m'y mette. Forcément. Fromanger, Monory, Apeloig. Piou. Je pensais à lui, à ce petit monde tranquille qui roule tout doucement. De ces postes stratégiques qui foutent le jetons.  De ces toiles qui s'élargissent, qui se densifient. Puis plus tard, quand tout se clarifie, que le vide se fait. Les vrais, les vraies. Alors pour une fois,wesh.

Profite Chérie, c'est de la couleur. Goulag et soirée d'inté. Vous savez, ce genre de moments que vous kiffez, qui ne servent à rien d 'autres que de se créer des souvenirs, et surtout, de quoi rire. Parce que cette soirée-là encore, c'était vraiment fatal. Cocktails et fatalités, aventures spontanées. Les retrouvailles. Parce qu'il ne faut pas abuser, tous les gens ne sont pas absurdes. Rebellitudes à deux balles, s'auto-rejeter de multitudes de cercles de personnes qui pourraient être très utiles pour élargir ses connaissances. Et pour rigoler un peu. Y'a des gens vraiment marrant à l'école.

Bon, on sait pas encore, avec Bbs, partir au Canada, Toronto ou Québec, Ou les US. Le choix est de quand. Deux ans après le BTS. Ca, c'est une perspective. Avoir hâte. Vieille peau et se faire une place. Vous connaissez la galerie Autonome ? Boulotte. Le retrouver, et surtout LA retrouver. Reste à savoir quand. Bateau sur l'eau. La rivière. Ca bat à tout rompre et tangue. Langue. Alimente les idées. Si, je t'assure. Si on devait y aller à la rame, tu verrais comment ça se passe. Te montrer juste ce qu'il y a derrière l'écran. Image. Oui, Je est ouverte aussi. Les mots en suspension. Nervures nerveuses, et détachement. En attendant, tu assures.
 
 
Accroche l'ancre. Lente encre, et tu deviendras un crocodile avide.

 
 

Dimanche 22 novembre 2009 à 14:37





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N. qui fait sa pute au crack, maquillage arrangé pour, image de salope rock and roll. Confinée dans son rôle de rebel à deux balles. En plus, ce n'est pas pour cracher sur elle, mais faut qu'elle fasse gaffe au contraste. Quand on se dit photographe, c'est mieux.

Sinon, A. et C. se sont faites repérées et Au. était complètement bourrée. Attendre son père le long des quais, plus d'une demi-heure sous la pluie et me les cailler en lui filant mon manteau, la prenant dans mes bras et lui priant d'arrêter de me remercier. On aurait dit deux déchets. Puis il est arrivé, il était 6h, devant l'Assemblée Nationale. Il a été cool, il m'a ramenée chez moi, faire la conversation pendant qu'elle cuvait sur le siège passager. J'ai pas  du attendre le premier métro.
La péniche n'a pas tant tangué. c'était une première. Puis l'alcool aidant, on s'est sociabilisées. Enfin, je. aussi. Gros trip chez C. Son anniv vendredi risque d'être sensationnel. Surtout que sa soeur est vraiment une K. Il y a de ces week-end qui marquent le coup et qui vous rapprochent. Puis vous savez, même si c'est pas facile pour la mémoire, c'était bien cool. Du genre Maxime, Carole, Vincent, Truc, Bidule et Machin, MANAA 2 et 6. C'est Vincent qu'il faut que j'attrape. Que je le chope à la fin d'un cours. Que je gagne ce foutu pari à la con. Lundi, ce sera bien drôle.
"Mais au fait, c'est quoi ton nom ?" 

Note à tous les amoureux transis. Aujourd'hui, je déserte mon rôle de rassurante des coeurs perdus. Les mecs, c'est des vraies filles. Ils me désespèrent. Après tout, à quoi ça sert de courser une nana qui ne sera jamais à toi ? Faudrait qu'un jour, je lui dise aussi.

J'ai le coeur léger cette semaine.
Je repars sur de nouvelles bases. Encore meilleures.



Mardi 17 novembre 2009 à 12:37




Au fond, je suis dans une belle merde. Un vrai naufrage. Et la goutte d'eau, c'est les amoureux transis. Inconsciemment mielleux, ça m'énerve. Comme V. ou M. Ca commence sérieusement à me donner envie d'être injustement méchante. Alors j'y retourne quand même, parce que sinon je n'aurai jamais fini à temps. De toute façon, je n'aurai jamais fini à temps.



Lundi 16 novembre 2009 à 6:42



Encore une nuit de taf et je pourrai peut-être dormir. 55h debout à bosser dont 10h de cours demain, 2 exposés, une présentation orale et une interro dont je viens d'apprendre l'existence. Je ne sais plus comment je m'appelle et mon paquet de clopes n'aura pas tenu 48h. Si je ne meurs pas cette année sous la tonne de devoirs, c'est que je suis une warrior. Deux projets différents par matiière, oui, c'est suicicdaire. Quand on aime, on ne compte pas. Il parait.
Sinon, si vous voulez savoir : le multivitaminé, ça aide pasà tenir. Demain j'essaye caféine et guarana. Je vous dirais si ça marche. Je suis un cafard ambulant.



Jeudi 12 novembre 2009 à 15:51



Et nous aussi. Donc c'est un peu comme si on avait joué avec Shane. C'était l'aventure du Sid Fest. Le lendemain de quand nous, on avait joué, ils étaient là : le soir de Phoenix A. Le  gratteux avec sa bonne gueule, ses docs et sa tenue toute noirâtre. Sexy boy bien sympa. Tu devrais te recouper les cheveux.  Y'avait les Adranouilles aussi. Le festoche en retard, le micro so dark de DC et aussi, les bières en attendant l'ouverture des portes. HAHA. En fait, c'était pas en 2008, c'était en 2007. Bah oui, forcément. N'empêche qu'on s'est bien marré.



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