Dimanche 27 septembre 2009 à 23:39
Comme une Mamy, elle se préparait sa soupe. Sa soupe, à l'oignon je veux dire. Parce que c'est tellement meilleur avec de l'oignon partout. Puis remettre sa dégustation à demain. Après tout, on a le temps de manger. Tout le temps. Puis le sommeil atteint sa cible. Rien ne sert de courir. Même pour aller au lit, quand le Bibou rougeoit, que le ciel bleuoit, et que Barb(i)e Brune égorgera, ou décapitera C. De la publicité mensongère, je vous l'assure. Mais elle avait quand même tout mis en place pour préparer son grand retour sur la scène capitonnée du théâtre de la vie. Vie morbide, je l'accorde. Mais ce n'est que la vie. Et nous le savons tous, la vie tue. Comme le tort. Mais des oignons, ça met quand même une demi-heure à cuire dans une soupe.
Le retour dans les canalisations. Taire le sujet et lutter contre. Enfin, du mieux que l'on peut, comme toujours. Ce ne sont pas des modèles, mais elle le sont quand même. Alors calcule bien ton coup. Pas d'échec, comme plus de maths. Tu les sens cuire, et parfumer ta casserole ? Uh huh her reste de la musique pop. De lesbiennes, mais alors ? Si on commence à classer la musique selon la sexualité alors on n'a pas fini. Rentrer dans une case, sans pouvoir un jour en sortir, et avoir l'image de. Non mais. Trop bavards. Ecoutez simplement ce qu'elles ont dans le froc, c'est tout. Faîtes preuve d'un peu de discernement. Pour une fois. Mais tu fumes trop, petite vermine ! Ca chauffe, ça cuit. Cui. Comme les oiseaux d'Einstein et de Hitchcock. C'est cela, oui, je boue.
Dimanche 27 septembre 2009 à 14:34
FNAC.
Dalbe.
Fleux.
Mona lisait.
Gibert Jeune.
Dimanche 27 septembre 2009 à 0:14
Je l'ai retrouvée. JESS.
Jessica était amoureuse de moi en première et terminale. Jessica a toujours été sublimement adorable. Aujourd'hui, elle est encore plus belle. Corps de femme à tomber par terre et frimousse aux cheveux courts qui ne peut laisser personne indifférent. En tout cas, pas moi. Jessica.
Beaucoup de choses en moi se réveillent en moi. Les changements. Et tout le reste. J'évolue, j'assume. Et pour tout dire, ce n'est pas que mauvais.
Samedi 26 septembre 2009 à 11:16
Mon plus grand flip, c'est de ne pas être à la hauteur dans ce BTS Com Vis. Mais quand on veut, qu'on se donne les moyens, on peut, n'est-ce pas ? La sous-confiance m'empêchera sûrement d'y aller jusqu'au bout. Alors dansez, crayons. Joue avec la souris et Toshop.Je ne peux pas, ne pas réussir. Et même si ça ne paye pas de mine, je vais mettre les bouchées doubles. Du travail. Et ne suffit pas de l'écrire.
Il faut que j'apprenne à dessiner. Melchor et Claire. Devenir le troisième mage, dessiner et développer le truc...
Samedi 26 septembre 2009 à 1:34
On joue les lesbiennes en chaleur ? Et bien oui. La fille du métro. Un ralenti de fou. Le genre de fille qui fait détourner les regards de toute une rame. Hétéro et homo. Alors matage en toute discrétion et se régaler les yeux. Se dire qu'un jour, peut-être. Brest le 9. Ca commençait à me rendre malade. Tout ça. Un grand vide. Et puis tout revient. On se retrouve. Resto burger ce soir. Nuit de 4 heures donc j'espère être opérationnelle demain. Il le faudra. Regain de motivation pour les cours après une très difficile mise en marche. Ce weekend se devra d'être efficace.
Que je mette au propre les travaux d'Edition et et de Graphisme.
Que je mette à jour et imprime mon CV.
Que je finisse le devoir de Graphisme.
Que je fasse les recherches des exposés de tech de réa.
Que je fasse une mise en page.
Puis celle d'AVA, et de graphisme.
Puis aussi que je fasse le carnet de recherche en EP et le story-board de Pubicité.
Puis la dissertation de tech de com.
Rien que ça.
Alors tenir le bon bout et s'investir. On y va. Section NIKTOU.
Uh huh her... Pfiou...
Vendredi 25 septembre 2009 à 0:34
J'en suis peut-être à 66. Il va sans dire que je suis une allumée. En pleine recherche. Bien-sûr que je l'aime. Mais que l'attirance et la curiosité m'attise. Quoi faire ?
Je ne peux pas aller à l'athlé. Trop de boulot le jeudi et pas possible de s'entrainer le mardi à cause de mon emploi du temps de merde. Blasée. Je voulais me mettre au marathon. Mais il faut reconnaître que c'est vraiment incompatible avec es cours d'arts appliqués. Alors, barre au sol pour s'assouplir, s'affiner comme les danseuses étoiles. Je suis un gros dindon. Je ne me supporte vraiment plus. Cette haine de me voir dans un miroir. Du visage au pieds. C'est vraiment l'horreur.
Il faudrait que je m'y mette. C'est pas la joie.
Vendredi 18 septembre 2009 à 21:43
Concentration. Objectif. Correction. Comptage. Maitrise. Assiduité. Ponctualité. Courir. Danser. Travailler. Rouler. Tenir la distance. Rattraper. Ne pas sauter du train. Choisir. Ne pas chercher. Chercher. Repecter. Planning. Corps. Devoir. Sport. Choix. Assurance. Grâce. Endurance. Distance. Souplesse. Entrainement. Vitesse. Dessin. Feutres. Culture générale. Artistiques. Projets professionnels. Cadeaux. Banquette. Rangement. Tri. Vêtement. Fruits. Légumes. Concombres. Tomates. Haricots verts. Gerlinéa. Pommes. Pas de monnaie. No viennois. No monaco. Reprise de soi. Choisir. Casser la pulsion. Et s'il le faut. Ne pas abuser de la connexion. Se tenir en place. Séduction de soi. Les filles. Coin. Sortir. Appeler. Prendre des nouvelles. Famille. Objectif. Danse. Travail. Rigueur. Emploi du temps. Concordance. Y croire et s'en donner les moyens.
Papiers impôts 2008. Bureau. Décathlon. Chéquier. Banque. Chèque 18 Aarco. Chèque 198 EDC. Chèque 6450 EDC. Livret de famille. 2 photos d'identité. Freebox. Bouquins. Tri. Travail. Rigueur. Danse. CAP. Assiduité. Ponctualité.
Assiduité. Ponctualité. Cuture. CAP. Barre au sol. A plein REGIME !
Vendredi 18 septembre 2009 à 19:38
Alors, je lui ai fait un gâteau. Au chocolat bien-sûr. HAHA, je me gausse.
Aujourd'hui, on a fait des photos avec les deux petites soeurs. Partager le bonheur du quotidien avec ma famille. Voir que j'existe à leurs yeux et que je compte. Que je manque. Coco est même venu me retrouver, vieux singe de mon coeur. Alors photos. Je suis vraiment grosse.
Au moins 5 kilos à perdre. 9 pour que ce soit parfait. Je suis désespérée. Et je compte bien changer ça. Coute que coute. Il en est ainsi. Dès mon retour. Se reprendre et. Lignes. Lignes. Lignes.
Dimanche : footing.
Lundi : barre au sol.
Mardi : athlétisme.
Jeudi : athlétisme.
Samedi : barre au sol.
Reste à oser le roller pour aller en cours...
Mercredi 16 septembre 2009 à 23:33
Cinquante-six. Ou soixante. Ou cinquante-trois. Trop pour compter. Comme les kilos. Je suis presque à mon poids maximum atteint. Presque enceinte quoi. Gros cul, grosses jambes, gros bide, gros bras. Gras. Mais moins qu'avant. Alors quand même reprendre. Il parait que.
Réveil : Grand verre d'eau citronnée
Petit déjeuner : café + pain complet + beurre
10 heures : 1 babybel + 1 grand verre d'eau
Déjeuner : Protéine ou féculent + légumes verts + salade assaisonnée + yaourt 0%
Café + 1 carré de chocolat
Goûter : fruits + grand verre d'eau
Dîner : légumes cuits ou crus + yaourt 0%
J'ai comme envie de faire de la danse. Je sens que ça me réconcilierait avec GrosCorps. Du PoleDancing, de la danse classique, de la salsa ou du tango, ou je sais pas. Mais danser. Alors sûrement lâcher les séances cardio pour de la barre au sol. A voir absolument. Puis l'athlé. Of course. Lesemi-marathon de Boulbi est le 15 novembre, je DOIS être prête. Allons-y vraiment. Sans TROP chercher la performance. Il va falloir redessiner tout ça.
Je ne fume presque plus. Une par semaine, ce n'est pas la mer à boire non plus. Hein. Je ne fume plus. Et je suis grave à la bourre. Va falloir assurer ce week-end. Et demain soir. Je suis déjà mourute. Morue. C'est la goulue qu'a pas voulu.
Redessiner, c'est vraiment le maître mot. HAHA. Drôlesse !
Jeudi 3 septembre 2009 à 15:48
Aller au forum des associations dimanche.
Prendre une licence d'athlétisme de l'ACBB ou m'inscrire au club Moving.
Prendre RDV chez le médecin pour la pilule et l'autorisation de pratique d'athlé.
Faire les 150 croquis, le mémoire et la brochure de 60 pages que je dois rendre dans 2 semaines.
Arrêter mes conneries alimentaires et me prendre en main.
Acheter le CD à mon Popa et un bouquin sur la CAP.
Ranger l'appart et tout changer à l'intérieur.
Faire le ménage.
Changer les musiques de mon Ipod.
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, on retrouve les goudoux dès ce soir. Putain c'que ça va faire du bien. Les chéries, vous m'avez manquées.
Mercredi 2 septembre 2009 à 12:22
" Il va falloir apprendre à assumer tes choix. "
Okay.
Mardi 1er septembre 2009 à 11:29
Ce matin, quand j'ai passé la porte pour courir, il s'est mis à pleuvoir. Alors j'ai couru, j'ai couru. Le mental en compote, j'ai pensé au marathon de Paris édition 2011. Puis les larmes. Ca m'a fait les abdos. J'ai eu mal. Comment faire pour, sans ? Comment assumer le fait de briser deux coeurst ? J'ai sûrement un problème. Et peut-être que je devrais nous laisser une chance. J'ai envie qu'il me parle, qu'il me convainque. Il me manque avant d'être parti. Il me manque déjà. Alors peut-être que c'est un mal pour un bien. Que ces prochains temps seront difficiles pour nous. Pour lui, pour moi. Mais qu'il prendra son envol. Je suis peut-être une fille destructrice. Peut-être que je lui ai cramé les ailes. Comme Icare. Oui, aussi ma vie se pête en mille morceaux. Je n'ai plus faim, plus l'appétit de la vie. J'ai envie de le rassurer et ne suis pas dans la bonne position pour le faire. Pas dans al bonne position tout court. J'ai envie qu'il ne souffre pas. Et préfèrerais qu'il me déteste plutôt que de souffrir. Je sais ses sacrifices, Paris, le travail, les trajets. Je sais ses qualités, ô combien nombreuses. Je ne me veux plus aimer. Je ne me vois pas aimer. Et je ne me mets pas avec quelqu'un sans amour.
Je voudrais le retenir, le prendre par le bras. Lui dire que l'enfer est fini. Partir loin avec lui. Tous les deux. Expressif. Alors s'il te plait, fais quelque chose de fou. S'il te plait mon chéri. Agis, bouge, sauve-nous. Sois inventif. Je sais pas, trouve.
Je suis trop exigeante avec tout le monde. Lunatique.
Bordel, vous n'imainez pas la détresse mentale du moment. Que j'ai envie de faire plein de conneries, d'en dire tout autant. Je suis en dessous de tout, sans dessus-dessous, les yeux gonflés, l'esprit torturé par des questions de merde, du boulot à faire et pas qu'un peu, l'envie de le prendre dans mes bras, de lui dire que je l'aime et que j'ai envie de lui. Que je voudrais qu'on reste proche. Qu'on soit de véritables amis toujours fourrés ensemble, sans souffrance, et qu'on s'aime simplement, que l'eau ait coulé. Comme le lacrymal. Des frères. Mais, toujours des mais.
Je me tue à petit feu.
Lundi 31 août 2009 à 0:43
Samedi, j'ai bu. J'ai couru aussi. Vendredi, j'ai dit ce que j'avais à dire, gonflée de courage, prête à souffrir pour qu'on puisse mieux rebondir tous les deux. A priori, message d'erreur, mal passé. Alors laisser la situation telle qu'elle. Attendre un peu pour voir, un tout petit peu. Mais il faut bien ouvrir les yeux un jour. Être conscient. Même si je sais parfaitement l'état dans lequel je serai après ça. Parce que je sais que je ne pourrai plus jamais aimer. Je suis sûre que dans quelques années, nous serons faits l'un pour l'autre. Quand, dans sa liberté, ses ailes lui auront fait découvrir la jungle qui co-existe autour de nous. Notre bulle DOIT être percée. S'ouvrir, partager. Je ne suis pas faite pour aimer. Tout devient amer avec moi. Tout fond. Je gâche tout, je détruis, d'un geste, d'un point, d'une parole. Et je sais que je mettrais du temps à pouvoir réutiliser ce vocabulaire, trouver un Jules ou une Juliette, et lui offrir ma dévotion. Il n'y a pas d'amour. Parce que l'amour rend aeue, tu es aveugle. Il ne FAUT pas être la vie de l'autre. Je suis fière de toi, de tes talents, ta réussite. Ta beauté, ta sportivité, ton intelligence, ta culture, ton état d'esprit, ton humour. J'aime ce que tu es. J'aurai peut-petre aimé être toi en femme. Mais. Je suis trop. Ce n'est pas possible. Je n'en peux plus. Je ne sais plus. Je suis perdue. Si nous sommes réellement faits l'un pour l'autre, alors nous nous retrouverons. Certitude. Nous devons prendre du recul. En attendant.
Mardi, c'est parti pour l'entrainement. Running on the road.
Mardi 25 août 2009 à 22:43
Once again. Face à un mur. Farce ridicule où le jeu ne fait rire plus personne. La distance tue. L'absence aussi. Intolérance, lassitude, silences. Point d'interrogation parti à la poubelle : flic d'un jour, flic jamais. Plus jamais. On joue à cache-cache, on se perd, et on devent fou. Aussi, Beigbeder avait tort. Encore. Reste à trouver les mots les plus justes possibles. Honnête, sincère et arrangeante. Ne pas tuer. Mais il faut ouvrir les yeux. Emasculinisation, étouffemement et renfermement, alors ne me remercie pas. Remercie moi juste pour les parties. Parce que l'avenir fait quand même peur, rien de rassurant. Et puis les ptits. Les riens. Rien, rien, rien. Envie, pas envie. Différents, trop différents. Il ne sert à rien d'y croire. Il ne sert à rien d'espérer. Usé. Je ne sais pas comment te dire. Je ne trouve plus les mots.
Dimanche 23 août 2009 à 22:54
Je me suis réconciliée avec la bouffe. Enfin, avec modération surtout. Puis les 450-500 calories des 1h30 de cardio, ça aide à supporter. Alors non, en un moins, pas d'amaigrissement. Pas de perte de poids non plus. Du raffermissement, de la cellulite en moins. Et tant mieux parce que dixit la mère : "Ah ouais, t'en as plus que moi !" Bref. Je prends soin de mon corps. De mon coeur, de mes poumons. Et retrouve les sensation de la course à pied et les ambitions d'il y a 8 ans.
Alors noter les entrainements : parcours, temps, kilométrage, séance, observations. Je rêve à reprendre une licence pour m'entrainer pour le marathon de Paris 2011 et la Parisienne 2010. Et voir pour d'autres courses cette année. Je veux être au top. Alors se renseigner sur les clubs ACVV, ACBB, et autres du coin.
Sur l'île Saint Germain, le week-end vers 11h, plein de coureurs. Plein de lièvres. Pleins de corps à mater. Ces femmes pleines de volonté, qui s'accrochent, toute en sueur. Et en faire partie. Avec fierté, arriver et tenir. Donc courbatures, mais avec joie.
Alors je m'y tiendrai. L'aviron fera le gainage, l'athlé les entrainements, les défis, les progressions. Et le roller fera la vitesse pour gagner du temps pour aller en cours. Et les fesses et les cuisses n'auront qu'à bien se tenir. Les courbatures marquent le fait qu'un travail est fait.
Pesée du jour, première depuis des mois et des moins. Ce dont je me doutais, so habituel. Bref, je me muscle et le poids est raisonnable. Cest le poids maximum toléré, mais toléré. En plus, plus de muscle donc positif. Ne nous plaignons pas. Mais ne montons pas au dessus. Il faut sécher, courir, cardio, courir, cardio.
A Montreuil, on est comme en vacances, alors y squatter. Pleins de soirées prévues en septembre. Pas de nouvelles de, bonnes nouvelles de. Je suis ce que je suis et j'assume. Malgré les doutes. Alors dans 8 ans, oui. Ou avant. Et on verra. Moi, je me demande ce que tu en penses, puisque ça semble te tarauder un peu. Tu sais, je joue bien la comédie. Et je connais un peu tes limites. Et ton jeu. Je ne rentre qu'à moitié. Me trahis moi-même. Mais en tout bien, tout honneur, je me respecte. Et les autres aussi. Alors, je n'espère rien, j'en ai la certitude moi aussi. Juste que de le dire, ce serait de trahir. Stupide bête. Sale gosse, sale môme, rebelle de canapé. Couarde, veule, pleutre, poltronne, chiffe, demi-sel, embusquée, froussarde, lavette, lopette. Et je n'ose assumer. On verra.
Il ou elle, elle ou il. Who am I ? Suis-je ou pas ? De quel côté de la force ? Même si je me doute. Laissons les barrières ouvertes, le meilleur moyen de ne pas se perdre, c'est de laisser toutes les portes de sorties à disposition, au cas où. Allons mon enfant.
Lundi 17 août 2009 à 0:11
Je pense à ces conversations avec Bibou. A ces mises au clair. M'apprendre comment. Alors on traine dans Chatelet, le Marais. Encore et encore. C'en est devenu une habitude cette année. Nos pauses clopes, nos felafel, la rue des Rosiers, notre cantine, nos Ginettes, le Marais Café. Il en découle une curiosité certaine, de ces discussions.
Et puis Chou que Bib m'a présentée. Je te connais maintenant. Même si on ne s'est vues que ces quelques fois-là. Je connais ton speech, ta détermination fébrile, tes énormes failles, tes impulsions. Je te cuisine. Parle peu. Pas de moi. Te fais parler, économise ma salive, relance les conversations. Te regarde dans les yeux alors que tu n'oses pas croiser mon regard. Savoure sadiquement ces instants où nos corps devront se frôler et où je sentirai tes envies. Suivies de remerciements pour t'avoir raccompagnée à une station de métro, de tes textos où tu me confiera avoir envie de moi, que je suis belle et que pourtant, tu serais difficile question nana. Non Chérie, tu sais que je ne suis pas belle. Tu passes du bon temps. Mais cette amitié à sens unique, elle me fait rire. Tu me fais rire. Que toi, chère lesbos adorée, tu tombes sous le charme de ton meilleur ami gay, tous ces problème que tu te crées toute seule. Et je suis loin de tout ça, m'en protège. Et que la confusion te joue des tours. Tu es perdue. Et tu voudrais qu'avec moi, on puisse te trouver un chemin où nous serions épanouies ensemble. Mais Poupée, c'est impossible. Je ne peux t'offrir que mon amitié. Mais je n'attends rien en retour. Même pas cette complicité ambigüe qui trône et sème le mal. Parce qu'avec toi, je ne me sens pas bien. Mélange de culpabilité, d'incompréhension, d'appréhension, de confiance, de compréhension, de simplicité et de complicité. Moi, je ne te trouve pas belle. Tu es jolie parce que je t'ai cernée. Mais ton mètre quatre-vingt, il ne colle pas avec mon mètre cinquante-trois. Ta silhouette, oui. Ton corps nu, non. Je m'en délecte. Je suis une salope. Mais tu as tellement de plan cul que je ne veux pas. Je sais que ton égo en a pris un coup. Mais peut-être que ça t'a fait du bien après coup. Alors ici nous sommes. Et inch'Allah.
Je sais néanmoins une chose, c'est que la seule avec laquelle je pourrais ken-ken avec amour, c'est *Babypuppe*. Ca, c'est une certitude. Ce n'est, encore cette fois, pas l'envie qui manque. Mais je ne saurais gâcher notre merveilleuse histoire même pour tout au monde, alors tenons nos corps tranquilles ...
En fait Chou, c'est juste que je n'ai pas envie de toi. Même si tu es une fille super. Car ce n'est pas toi que j'aime, c'est *Elle*. I'm not that you think I am.
Dimanche 16 août 2009 à 14:15
Stratégies d’évitement. Préoccupation obsédante. Recherche idéale. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents. Estime de soi influencée par la forme corporelle. Grignotage. Peur de grossir.
It sucks. It isn't ? Disons que c'est passager. A la recherche du bonheur.
Lundi 10 août 2009 à 22:31
Entre le pincement fatal. Et le biscuit. Ma mère. Elle est mesquine, en use et abuse. Jalouse. Remarques provocatrices. Raison et déraison. Abus. Crise. C'est franchement lourd et pesant. Le gros cul d'une grosse mémère. Je ne sais plus et doute. Mais leurs confrontations... Car demain, tout s'arrête. Ma mère regarde Joséphine, ange gardien. Impossible d'assumer. Le ras le bol. Insuffisant. J'irai faire l'extrémiste dans les bougies. Et jouer la tigresse dans son lit à baldaquin. Alors, je reste stoïque, ne comprends pas et va faire le zouave avec ma culotte à deux sous. Stop grignoting. Le façonnage, c'est la vie. C'est la fin des haricots.
Dimanche 9 août 2009 à 23:13
C'est la déchéance biscuitale. Il faut que ce soit ma priorité. Me retenir et comprendre qu'on ne mange qu'aux heures de repas. Je suis déboussolée et il faut que je me reprenne en main. Mes petites chaussures à talon me font une jolie cheville et il faut que j'arrête de m'empiffrer. Sinon j'aimerai être en vacances parce que j'aime beaucoup nos week-end. Même si je préfère le samedi au dimanche. En fait, j'aime pas trop glandouiller, ça me fait culpabiliser. La salle de sport est fermée cette semaine, je vais mourir. Alors j'irai au taf à vélo, ça me fera toujours un peu de cardio. Un petit peu. Mais bon, c'est déjà ça. Et puis je peux toujours vadrouiller et rouler à 8 roues.
Il existe un bon moyen.
Finalement, la petite conne ne m'a pas rendu mon portable. Tant pis. Ca s'appelle décroitre dans mon estime. Mais je vais faire l'hypocrite avec celle qui reste. Pour une semaine. Tant pis pour elle. Jeudi et vendredi, les tensions étaient palpables et pas à moi. HAHAH. Sinon, je suis aggressive et il va falloir que ça change. Que je me fasse au manque de dynamisme. Et que j'apprenne à être patiente et ne pas me prendre la tête. Je suis définitivement une GROSSE CONNE. Mais je l'aime, soyez-en sûrs.
Allez, on reprend tout à zéro. On est déjà demain.
Ma mère est partie. Heureusement, la charcuterie avec. Et puis recommencer. On m'a volé mon portable au taf. Je les hais ces petites salopes. Et sinon, sinon. Une séance de 3x20' et 350 calories. Plus les 800. Bref, sûrement. Avec les histoires de ce soir. Je suis toujours aussi pitoyable.
Aujourd'hui, j'ai fait des trous. Parait que j'avance pas mal. Et puis Dédé-chef a dit que ça allait. Il ne me sert plus la main. Il ne m'ignore plus. Il se marre avec ses 67 ans. Et ça me fait rire que les deux grognasses nombrilistes se retrouvent à ce rang de feignasses finies. Ca me donne l'air courageux, alors que, que nenni. Laissons-les penser. Alors on a parlé ce matin. Et puis, je me rends compte de ce statut. Des échanges. Une sieste de 20' pour combler chaque midi. Demain, je n'aurai plus que les pommes et les salades. Il ne faut pas craquer. De toute façon, pas de monnaie pour se boire un choc'. Ce que j'aime entre nous, c'est cette complicité, cette franchise et cette certitude que toutes nos conneries ne sont que des mots, des amusements. Piètres pitreries pour passer le temps, mais cette amitié, ça vaut bien un travail de merde.
Le week-end du 10-12 septembre, c'est la fête de l'Huma. Mais c'est aussi une putain d'invitation à Rennes. Je crois que Manu Chao et Deep Purple se dévoileront sans moi. Et le week-end du 5, c'est la pendaison de crémaillère chez les filles. Humhum. Un mois de septembre bien rempli. Va falloir trouver du temps pour bosser sinon ça va être perdu définitivement. Tchu.
Et puis aussi, des projets pour plus tard. Un visa Vacances-Travail. Australie, Argentine, Corée du Sud, Canada, Nouvelle-Zélande. Qui est tenté pour partir avec moi ? Ou sinon PSE, mission humanitaire au Cambodge pendant un an. Hinhin. Se tâter. Où et quand ? Et toutes les questions subsidiaires trop importantes.