sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Mardi 5 septembre 2006 à 19:57


Décomptage ... Plus que ... Et que ... Journée de malchance. Déveine incontrôlée. Ennui impossible. Devoir tout gérer. 8 bonbons, 2 tranches de cake, 2 pains à l'emmental, une pomme. 800 calories. Faire du sport. Le sport.

Pas malheureux, blasé. Grisé par la vie et le monde qu'elle porte. A besoin de shit ou d'herbe pour éclater de rire et/ou laisser  se joie de gamin bien heureux et content.
Se sent à côté de ce monde. Rêve de musique, bulle hors galacticaire. Hors de là. Renie la vie. Ne s'amuse pas. Ne s'en amuse plus. Pas. Tributaire. Tout ça, c'est bien triste. J'aurai aimé t'illuminer ... Rendre plus fière, heureux, joyeux, satisfait de tous. Aurais-je tout foiré là ? Qu'est ce qui pourrait te faire changer hormis changer la face de la Terre, la base de nos existences et de nos caractères ? La conditionnement ?

Perdus quelque part.

Jeudi 31 août 2006 à 23:36

Toujours les mêmes réflexions. Dire à l'écrit ce qu'on pense.

"Je me dégoute."
Ptet que seuls les chromosomes XX sont capables de se dégouter pour de vrai. Des conneries de féministes à la con ? Oui, un peu, surtout du narcissisme, mais on aime après tout.

Voilà. Encore un commentaire inutile polluant ton blog.
HAHA.

Oui, je suis con.
Oui, je me dégoute.
Oui, je me gerbe.
Oui, je me taille.
Oui, je m'ennivre.
Oui, je ne comprends pas.
Oui, je n'ai pas à comprendre.
Oui, je dis beaucoup de conneries.
Oui, je suis tout à fait d'accord.
Oui, tu as raison.
Oui, je suis folle.
Oui, oui, oui. Rien d'autrre à dire.
Oui, tu peux m'appeler Narcisse.


Désolée pour le message. J'avais envie. Donc je. Ego, ego, ego. Tu m'en veux ?
A vrai dire, ma vie n'en dépend pas.
C'est juste con. Oui. J'avais envie de positiver. J'aime le OUI. Pour cette fois seulement.
                          ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
J'en suis une. Une gens[e]. Une gars[e]...
Mais "Je sais que je ne sais pas." Contrairement à beaucoup de "béciles" et de "normaux".

Cela amène à d'autres questions ...
Qu'est ce que la norme, si elle existe ? Existe t'elle ? Puis-je m'autoriser de me considérer "anormal" ? Est ce une prétention ? Est ce normal d'être anormal ?
Qu'est ce qu'un imbéciles ? Somme nous TOUS des béciles ? N'y a t'il qu'un bécile ? Suis un[e] bécile ?

N'est-ce point très relatif tout cela ? Au point que chacune de ces question mérite une thèse encyclopédique à elle seule ?

Je sais que je ne sais pas.
Les mots ne sont que vent. Les maux ne le sont peut-être pas.
Les maux ne sont que vent. Voire tempête. Les mots ne le sont pas.
Ou l'inverse ...
Tout est trop relatif.
Tout est faux, car tout est perception.

Voilà pour ce soir.
Le reste c'est dans ma tête. Peut-être même dans la tienne...
Je n'en douterai pas une seconde.
                            ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Etre ou ne pas être. Jugements de valeur après tout ...

On ne connait des autres que ce qu'ils montrent. Lorsque que l'on montre la Vérité de son soi : la spontanéité, la Chianlie (je sais de quoi je parle dans ce cas-là), la sale gueule de déprimé (quoi ?), le lunatisme, les réponses au tac-au-tac, une vexation quelconque, une tristesse, une mimique et que sais-je d'autres... Toutes ces choses qui ne sont pas jouées, qui sont impossible à maitriser, comme par exemple un regard...
Je me demande si je suis pas vraiment très con...
Là, à ce moment-là, si l'interlocuteur ou le voyeur qui se trouve en face de cette personne Vraie arrive à déceler ce qu'il y a entre les deux oreilles, il peut avoir plusieurs sentiments très compréhensibles : la peur devant tant de complexité (Quoiqu'on peut se demander si toutes les têtes sont compliquées à comprendre parfois), l'amour (du genre coup de foudre : personnalité trop attachante pour être de ... ), l'amitié (se reconnaîte en l'Autre plus ou moins,, ça crée des liens. En tout orgueil bien-sûr, car on se sent souvent moins que cex qu'on Aime; d'Amitié ou d'Amour ), la compréhension, ou l'incompréhension, la pitié, la peine pour la personne pour tel trait de son caractère ainsi trouvé ... Et que sais-je, encore.
Mais vraiment. Pourquoi ?
Les réactions peuvent être aussi variées : attachement direct réciproque ou non, amitié partagées ou non, amour dans un sens ou pas, haine audacieuse, pitié toujours là (qui est plus ou moins cachée, plus ou moins découverte aussi), ignorance ou non, intéressement ... La liste ets exhaustive.
D'où des conversation qui restent, d'autres non ; des liens qui se font, ou pas ; des rapports qui coexistent, ou disparaissent ; un intérêt qui s'amenuise, ou qui s'accroit ... J'en passe.
MOUAHAHAH !
Le mieux dans tout cela, que ce soit haine ou amour, amitié ou pitié, quelle que soit l'impression, le sentiment, ou la sensation laissée ; l'important, j'en reste persuadée, c'est la réciprocité. Quand chacun éprouve pour l'Un, l'exacte ressenti de l'Autre. Là, c'est magique. Et ce, dans la haine ou l'amour. Car c'est par là que tout existe, persiste et excite. Que ce soit l'envie de faire du mal ou de faire du bien.

Car la réprocité implique forcément complicité : Lachez deux ennemis sur une île déserte, ils deviendront forcément amis. Nous ne prenons pas en compte les diverses autressentiments mélés à tout ce grabuge humain.
Nous n'existons de toute façon que de par le regard des Autres. Ce qui peut gacher une vie, ou la rendre heureuse. Il faut savoir prendre en compte sa propre vision des choses et parfois l'oublier, l'atténuer.

Cela dit, ce propos est tout à fait inutile. Des questions sur l'utilité des commentaires, des blogs, des relations humaines et nous pourrions nous écarter très loin du sujet. Comme je l'ai sûrement fait à travers ces quelques paragraphes... Allons donc à l'essentiel (parfois, un de mes travers) :
" Bravo pour cette complicité, cet attachement. Et cette réprocité, si elle existe. Et si non, qu'elle se forme comme une forteresse, impénétrable et indestructible (comme les Voies du Seigneur parait-il).
Bonne continuation, bonne route sur vos propres voies (même si ce ne sont pas celles du Seigneur). "
J'ai des problème à la cervelle.
Ce n'ets pas grave, hein ?

PS : si quelqu'un a tout lu, bravo, et merci pour l'attention utilisée et la compréhension, peut-être. Aussi, tout ce blabla est à nuancer, à compléter, je ne prétends pas avoir science et conscience. Bonne réflexion si telle est déclenchée par cette petite lecture. (Et dans ce dernier cas, MERCI !)
Qu'est ce qu'on peut en penser ? Hien je me demande ?
Faire le tri entre l'important et l'urgent, c'est le minimum pour y arriver.
TU Y CROIS TOI ?
TU Y ARRIVES ?

Mercredi 30 août 2006 à 22:34


Nous devons nous sortir de cette angoisse.
Cette angoisse finira par nous tuer.

Fumier de bouc ! Des phrases bouffies de réalisme à longueur de maux, c'est ça qu'on veut entendre ?
"- On se sent mieux hein ?
- Très mieux"

Sentiment d'infériorité. 12. Impressionnant hein ? Des muscles tendus par l'effort. Et les voir prendre forme. Prodigieuses inventions. Bleus, verts ou vilets. Ne pas copier.
Jour des connards. Bad happy face. Moi j'ai pas raté ma vie, j'ai quelque chose entre les deux oreilles. Pas que conne.Concert ou alternatif dans la rue les mercredis paraitrait-il. Vive les bars des Trois.

Bonheur ivre, y plonger comme dans une piscine de champagne. Nager dans les bulles. Notre. Sauf le Calvaire, y survivre, y PARVENIR. Ne pas. Sentir la faim t'assaillir et te manger. Attendre ce soir. Ne pas personnifier ces choses-là. Aucune voix ne me guide. Sauf la mienne. La seule voix qui me guide est Mienne. Qu'elle soit double ou non, consciente ou inconsciente. Les préjudices mentaux sont là. Rien, ni personne, ne sera maitre de mon destin. Je tracerai mon chemin ua rouleau compresseur s'il le faut. Coupant hautes herbes et branches, saccageant peut-être tout sur mon passage avec un taille-haie et une scie circulaire ou autre tondeuse coupante. Personne, à part moi, ne PEUT me montrer ma propre route. Excepté les griboux. Je suis maître de moi, de mon futur. Dans mes mains. Malgré les failles et les détours, les faiblesses et les enquiquineurs. Connard de putes et autres enculés s'abstenir. Les foutre dehors. Faire le tri dans sa vie. On est toujours seul, même si on est deux.

XX. XX. XX .. XX .. XX ... XX ...
Ce n'est pas une tare, ni un handicap.
C'est pire. Motivation à deux.
Deux, deux. Quatre, quatre.
Au quotidien, juste dur, difficile à tenir.
Chromosomes RULES.

Des fées. Fées et fées. Effets. Positifs.

Lundi 28 août 2006 à 12:08


 
Abdos, abdos. Se sentir inférieure et humiliée. Loute, coach qui en veut, qui force son élève à faire des abdos pour son bien et toutes ces choses qu'elle n'arrive pas à faire parce qu'au fond elle est quand même bien nulle et qu'elle se braque devant l'échec. Sans volonté elle. Tu es têtue, toi ...

Besoin de son gros calin du matin ? ...
Tu es une petite chose fragile finalement ... Mon p'tit morceau de sucre qui fond sous la pluie, mon p'tit bonhomme en chocolat qui fond au soleil.
GROS BéBé !!!! Les vieux sont à tuer à la naissance, je dois en faire partie.
Immature et en crise constante avec soi même. Une espèce de chose, oui.
Besoin d'attention en permanence, d'affection à la pelle. Pfff !! Tu parles d'une force ! Rien au final, c'est tout ce que je vois.

Eloïse, il y a bien 7 ans :
T'es une p'tite chose qui sait pas voler, laisse tes ailes pousser. Et le temps au temps...
Ptite chose qui sait pas voler ...

Ethymologiquement parlant c'est vrai aussi. Ptêt que je suis vouée à être impotente. Sale gueule et gros du corps. Là aussi, ça doit venir dubeluga. Mimitude ? A voir, moi je suis bigleuse. (Apterus : du latin sans aile)

Vendredi 18 août 2006 à 13:50


Non, ils ne peuvent pas savoir. Et il ne sauront pas, ça me regarde !
Ils ne pourront plus. Et puis quoi encore ? C'est ma vie !
AHHAHAHA. Je me gausse, cache mon jeu.
Et bien non. Je ne leur dirai plus rien à ce niveau-là, laisse couler, cons sont cons.
Ne pas s'y fier, ne rien écouter, ma vie continue.
J'en reste là. Espérons que je tienne... Volonté RULES ...
Pourquoi tout leur dire ? Ne pas leur dire.
Ne pas réfléchir intensément.
Bercée par tout ce qu'il y a entre les deux oreilles. Si quelque chose, il y a.
Tout. (Vomi indigeste et laxa)

Vendredi 18 août 2006 à 11:38


Vraiment pathologique, pas trop logique non plus. Savoir, vouloir, ne pas vouloir, ne plus pouvpoir. Légère, virevoltant comme un papillon qui découvre une liberté nouvelle, assumer les formes. Androgynes, robots. Troncs. 15 minutes. Dès le réveil. Prendre les mensurations toutes les deux semAines. Ce soir, re-programme du mardi, re-insister sur les cuisses, la marche les fait diminuer. Des seins qui se veulent plus respectables, soutifs plus remplis.

"Ni trop grosse, ni trop maigre. Tu es normal c'est bien"
Va te faire foutre, ne veux pas de ta normalité, connasse. Garde tes faux compliments et arrête de bouffer des conneries pour te plaindre de ta graisse encombrante. M'en tape de ta vie de beauf'.

S'envoler. Jusqu'au bout des os. Epaules décharnées. Squelette ambulant. Quête invisible. Même pas pour l'admiration, il n'y en a pas. Ni pour leur pitié, infinie. Pour la transparence, qu'on ne me regarde même pas, qu'on évite mon regard, qu'on soit dégouté de me voir. Sorte  de pitié moche quand même. Inatteignable, inaccessible. Vous verrez peu(h) !

Dictature de l'image et de l'obsession. Si courant finalement. Le fléau d ece siècle, le renvoi. La froisse, c'est con mais c'est comme ça. On y peut quoi, pas d eretour ne arrière. Même les vieilles ! Des coups de pelle, des coups d emorts. Ca pue la mort. Résultats à long terme ? Des tunes pour les psy. Ne peut pas guérir si on 'est pas malade au fond.
Non pas du tout, je me porte à merveille. Merci beaucoup, mais ca va !
"Ne pas soulager ses pensées" Grosse vache
Plus le soir, ne veux plus de ça.

Pain avec la Puce. Dormage. RDV place du gros bonhomme. Espère ne pas voir le connard de merde. Salopard !

Samedi 29 juillet 2006 à 7:45


- Mariée de force, Léila
- Le silence des agneaux, Thomas Harris
- Cosmétique de l'ennemi, Amélie Nothomb
- Les catilinaires, Amélie Nothomb
- Nouvelles sous extasy, Frédéric Beigbeder
- 99 Francs, Frédéric Beigbeder
- Bye-bye Blondie, Virginie Despentes
- Thornythorynx, Camille de Peretti
- Vox, Dominique Sylvain
- Lettre à l'absente, Patrick Poivre d'Arvor
- Une année de neige, Christan Signol
- Le corps exquis, Poppy Z. Brite
- La mort s'exporte bien, Les amis de la terre

Vendredi 28 juillet 2006 à 1:10

Un cercle vicieux, ça c'était une certitude. L'effet d'une drogue dure que je désirais. Je savais comment mettre en place le processus. Il fallait juste tenir face aux manques des premiers jours. Après motivation et observation des résultats obtenus et un peu de réussite permettraient de jouir d'une certaine euphorie, une joie légère grandissante avec la perte. Ca, je le savais, le plus difficile était ces premiers jours de jeûne. Luttant contre l'appétit.

Enfermée en soi. Prisonnière de son propre corps et de son esprit malade. Insatisfaite de par son corps et ce, par des détails insignifiants aux yeux des autres. Les détails pourrissant un vie et l'estime de soi. Une quête de la douleur mise en place pour un unique but : se trouver mieux foutue, ou au moins se détester un peu moins. Même si je ne l'ignorais pas, plus ça irait, plus mon exigence grandirait. L'après, aussi difficile que l'avant, voire plus. Reste que, pour l'instant tout se résume à un beau, large et grand : bien dans ma vie, mal dans ma tête. Croyant que chacun de mes geste est raté et fait mal à autrui. S'auto-dégoûter de soi par comparaison et sans raison. Se haïr pour se détruire, se nourrir de haine de soi-même. Ce qui me nourrit me détruit. Rester à ce stade d'empiffrement, bouffage, aliments avalés sans être mâchés puis les vomir avec délectation. Se vomir l'âme, vomir sa rage et sa souffrance. Sale habitude mais si quotidienne qu'elle en devient banale. Une attitude normale entrée dans les mœurs de mon cerveau. C'est comme si l'on ne pourrait plus être choquée par quelque chose. Tout entre dans la norme. Et les vomissements ne sont plus des aberrations, mais un geste de la vie courante, plus sale du tout, mais nécessaire. Se créer des besoins. Passer au dessus du paraître, si paradoxal que cela puisse être, et se soulager. Ce geste n'est là que pour ça. Sentir sortir un mal-être. Le provoquer encore plus. De pire en pire. Devenir déchet, ou devenir cadavre, faire son choix et ne pas l'avoir… Seules alternatives à un pseudo-bonheur précaire et imaginaire. Suivi bien sûr, pour la boulimie, d'une culpabilité sans nom et d'un dégoût plus violent encore. Un malaise, ne pas trouver la sortie. S'enfoncer un peu plus. Le reflet du miroir faussé par un esprit intransigeant, brouillé et embrouillé avec sa propre vue. Se sentir énorme éternellement alors que des regards, pas indifférents, se braquent sur ton corps, se demander si ces regards sont moquerie ou admiration, neutralité peut-être, qui sait Ne voir que les railleries, fruit de l'imagination, et s'en vouloir, se sentir encore plus mal. Pour certaines, c‘est seulement vouloir devenir comme ces mannequins issus de pétrochimie rendus à présent dans une vitrine de fringues.

Rechercher toute information sur la  nutrition. Tout connaître sur la diététique et savoir les méfaits et conséquences de mes actes destructeurs. Ressentir un complexe d'infériorité devant la réussite des autres. Tout compter, calories, poids, masse, IMC, pourcentage de masse graisseuse, heures entre chaque repas, temps passé depuis le repas, nombre de dépenses de la journée, métabolisme de base, métabolisme tout court … Des tas de données ingurgitées par le cerveau attentif Du temps perdu à chaque crise, du temps perdu à lire toutes ces conneries et j'en ai conscience. La culpabilité ronge la Raison.

S'enfermer sur soi-même et ne laisser personne entrer dans ma bulle. Ne pas partager la souffrance par honte et par compassion. Sauf l'Une, la gribougnette. Se garder ce poids, cette masse qu'est de ne supporter son propre corps qui devient flasque, pour son esprit. Et faire moisir des pensées sombres là-dessus, ce qui n'arrange rien et ne donne pas plus de solution pour sortir de ce mauvais pas.  Fermenter du n'importe quoi en soi pour en rajouter en plus du cercle vicieux.

La solution serait d'ignorer son propre regard sur soi et celui des autres par la même occasion, ne pas penser à soi. En attendant, garder ce protocole du tout ou rien, ne pas savoir se raisonner. Agir comme un gosse, trouble du comportement alimentaire. Maladie mentale. Qu'est ce que cela signifie ? Problème psychosomatique, barrières psychologique. Guérir, chose hors de question si on s'écoute, car signifiant entrer dans une norme. Sauf que guérir totalement est hors norme, séquelles à tout jamais dans les entrailles et le comportement alimentaire qui en découle. Cela dit, c'est un grand pas pour le dit « malade ». Mal être suivant la guérison conséquent et proportionnel au niveau de détraquement des habitudes. De toute façon, les relations avec la nourriture restent ambiguës, après un tel point de vue sur la chose. Le scepticisme est ancré dans un inconscient et les aliments associés à un mal-être qui existait pendant l'anorexie ou la boulimie. Aussi peut-être que la seule façon de s'en sortir est de ne pas chercher à savoir ce que l'on ressent, d'avoir des proches en permanence, des gens qui vous aiment, vous le montrent et vous rassurent à longueur de journée. Certes c'est un peu caricatural mais presque pas. Nous sauver d'un noyade en nous-même, implosion souvent fatale. Explosion de l'esprit et corps qui s'hermétise au monde extérieur et même aux plus proches. Un « malade », même guéri, est toujours comme un fil-de-fériste au dessus d'un ravin, il peut à tout moment chuter et se fracasser.

J'en suis loin dit-on quelquepart.

Samedi 1er juillet 2006 à 2:32


senneR by night.
Pas besoin de coupe-ongles je te dis ! Y'a déjà pleins de choses sales qui sont passées dans ma bouche avant ce doigt de pied crados. Alors un orteil, c'est pas la mer à boire, juste un bout de peau qui gène à couper en fait. J'aime pas la corne.
* Excuse conne et véridique. 
* Toujours ces regards hagards et hilards quand je fais ça. 
* Si vous saviez mes amis.
* Envie de tout se couper. 
* Simulâcre de bénéfices.
* Crédulité. 
* Incomprise. 
* Ma bouche n'a pas d'yeux. 
* Association d'idées malencontreusement faussées et transformées. 
 * Lambeaux d'excuses invalides. 
* Tissus mensongers à soi-même. 
* Face voilée, extrémisme dictatural.
Elle serait morte d'horreur sinon. Suicidée pour avoir fleurter avec l'infleurtable, toute cette malsainité. Pas de conscience non plus, sinon noire.

Il joue avec ses mais quand il parle. Ne mange pas non plus, trop occupée à sculpter ses paroles, rendre les choses plus explicites, quoique...
Où sont les pièces manquantes de l'agenda ? La peur qu'elle se consume trop vite, y tenir et faire durer chaque taff. Petite, elle aimait voir son argent s'amasser sur un compte bancaire. Entassait chaque centime de francs pour les tendre à la personne du guichet souriant si faussement que ca vous auriez amener à vous en faire dégueuler spontannément.

Mais où et donc Or-ni-car ? Quelque part dans les conjonctions de coordination. Seul endroit où le trouver en vérité. Quels parents un minimum humains pourraient appeler leur enfant "Ornicar" ?

Jeudi 29 juin 2006 à 12:14


Joyeux Anniversaire Biloute de la Part de Ton Punk d'Amour et de Mimi-Pelouse. De moi aussi, étaler à pas d'heure les quelques feuillets marqueurisés dans les pièces du matin. Etre touché, te passer le message à 6h du mat en te disant d'une voix trop flaiblarde qu'il fallait le crier. Sentir ta main sur la colonne et la douceur si violente de la passion sur ma peau et ta voix rassurante. T'aimer des cheveux aux orteils jusqu'aux doigts et parties flasqueuses, tout l'être en trans, réveiller de bons démons. Aimer, aimer aimer aimer aimer aimer aimer aimer aimer aimer, que ça qui fait tenir. Mais justement y tenir. Comme au soleil noir et aux étoiles filantes, rester à mater.
Aime

Sortir voir les rugissements avec le ptit, le ramener chez lui, merci l'altruiste. Lilo.Tripper, sentir une redondance dans les mots, retrouver, foi d'animal, intérêt et principal. Noyeux n'anniv Noute.

Passer sous les coups de chapardage, crier au monde qu'il n'est que bavure d'encre sur une copie mal gribouillée. Lacher des palabres mal choisies mais spontannées, courir derrière la machine à enfoncer les clous dans les mains, idolâtrer le Dr Lecter, et vouloir bouffer de l'homme. Bouffer de la femme, de l'homme, car tout aussi repoussant. Humains abjects, juste bon à faire souffrir. Ne pas céder comme cela car mimitouplein et encore le même cauchemar, oreiller plein de larmes. N'aimer qu'eux finalement, elle, son autre moitié et la mienne. Puis les générateurs. Bouarg, c'est tout ce qu'il en résulta.

Lundi 19 juin 2006 à 20:32


Comme quoi, que des conneries dans les journaux des peoples. Et j'en connais pas la moitié...  C'est qui ces filles ? Pour le peu que je connais, je suis certaine que les données sont faussées. Ces "stars" pour une partie du commun des mortel ne sont qu'os et chair. Elles sont plus légères. Tissus de mensonges et toutes ces petites y croient ! Comment nous prendre pour des connes ! Hallucinant. Ne pas y se laisser berner, chérie, on vaut mieux que ça ! Que des poufs !
Et Sid Vicious, il pesait combien ? Et Nancy Spungen ? Ca, tout le monde s'en fout, et le poids de Courtney ? Et celui de Yoko Ono ? Des 54 Nude Honeys ? Pfff, misérables callypiges conditionnées que nous sommes, obligées de lire de telles absurdités puisqu'il n'y a que cela ...

Lundi 19 juin 2006 à 18:22


Ils se sont passés ton corps. Leurs mains !
Ils ont écrasé ton corps. Leurs yeux !
Ils ont mutilé ton corps. Leurs bites !
Ils t'ont déchirée, éventrée, fracassée, ravagée... Annulée !

Tout à coup y'a plus personne, plus que des cris qui résonnent ! Tout ce sang !
Sous la douche tout oublier, l'eau ne peut tout effacer. J'vais crever, j'veux crever !
Tu frottes le sang sur tes cuisses sans jamais que ça finisse. J'ai mal !
Tes pensées se font nausées, ton existence... ARRETEE !

Je ne veux plus la fermer. Jamais ! Plutôt crever !
Combien de femmes se font violer ? Partout, tout le temps !
Mes désirs contre ta volonté ! Crime sexiste.
Mes soeurs nous allons nous venger !!! J'existe !

Ils se sont passés mon corps.
Ils ont écrasé mon corps.
Ils ont mutilé mon corps.

La honte est ta pire ennemie ! Laisse exploser ta colère !
Isolées nous sommes bloquées, l'union fera la liberté !
Donne-moi des balles pour ces machos qui nous ont mal !
Donne-moi des balles, la vengeance sera radicale !
DONNE-MOI UN FLINGUE !!!!


Jeudi 15 juin 2006 à 21:33


Pervertie et castration !

S - Ca vous fera 81,71 euros, s'il vous plait Mr. Vous règlerez comment ?
C - On peut payer en nature ?
S - Je vaux plus que 81,71 Mr. Et vous n'auriez jamais assez d'argent, même avec tout l'or du monde pour vous payer ce luxe. Votre irrespect me met sur le cul. Si je peux me permettre... Enfin vu votre respect, je peux, je pense.
C - Non mais...
S - Ca vous fera 81,71 euros, s'il vous plait Mr.
C - (Marmonnage) Vous savez pas ce que vous perdez...
S - De quoi ?
C - Non, rien, je me parlais à moi-même.
S - Et bien au revoir Mr. Bonne soirée.
C - ...
S - Quel con ! Excusez-moi Messieurs-dames, mais je n'ai pas d'autres mots pour qualifier ce genre de personnages. Bonsoir, Messieurs-dames, vous avez une carte de fidélité ?

Lundi 12 juin 2006 à 18:27


And One,
x - Mission Impossible - Theme of film
x - Mano Negra - Mano Negra


One, Two, 
xx - Citizen Erased - Muse
xx - Death Comes Ripping - Misfits

Three, Four !
xxx - Welcome Home (Sanitarium) - Metallica
xxx - Nothing Else Matters - Metallica


Lundi 12 juin 2006 à 12:38


Minuit.
Corps en manque, signaux nerveux : "lève-toi, va dans la cuisine et mange".
Non, et puis quoi encore ? 
Réplique de l'organisme : insomnie.

Chaleur étouffante. Se tourner d'un côté puis de l'autre, position foetale. Aucune confortable. Sentir ses os, et la sueur qui s'enfuit des pores, qui souffrent. Ne pas mettre de drap. Ouvrir la fenêtre. Voir défiler les chiffres sur le voyeur à quartz. (Arrête de mater!) Dormir toute la matinée.
Mettre un peu d'ordre : cuisine, chambre, salon à peu près bien. Vers la perfection. Etendre lessive, ranger linge-aspiro-seau-serpillère qui traînent. Une demi-heure de rangement puis répit-basse. Download Les Jolies Choses. Huuuu !


- Dis, tu seras fier de moi quand je saurai jouer de la basse ?
- Je suis déjà fier, tu vas plus vite que moi. Quand j'ai commencé, je ne pouvais pas jouer ce que tu joues déjà...


Je l'avais dit... Et j'ai gagné. Rage, faire ses preuves. Gné !
Exos, acenseur, escalier. Aller aussi vite que lui.
Réitérer. Même si ça passe même bien.
Puis commencer une des deux.
Welcome Home ou Nothing Else. Dilemme ...


Avancer aussi vite que possible, prête en septembre.
     Fixer un but bien haut.

          Bass Frequency.

               Communion avec l'instrument.
                    Comprends encore mieux.
                         Deux amours.
                              J'aime ...
                                   Musique ...

                                        Aller toujours plus loin.
                                            
Vise toujours la lune, car si tu échoues, tu atteindras les étoiles (proverbe arabe)

 
 
(Contente d'avoir le bac)
2 galettes à midi.
Jardinière de légumes ce soir.


Vendredi 9 juin 2006 à 13:48


BERNADINE : 17 juin à La Bouexière dès 20h30. Pressée de te voir jouer Ma Chérie. La bouffer des yeux, d'envie, dans son trip, son moi valorisé. De papoter et se murger. Jeûne Filles Rock Sex Music...

Basse : Doubles-croches et allers-retours. Mots composé et tiret. Tiré-tapé pour un jour.
Baillements : Fatigue bien présente.
Baiser : En manque. Racheter pilules roses. Marre d'être une fille.
Balance : 40,5. En progrès.
Bisous : Besoin de petites attentions. Noute vraiment parfait, tout compris...
Betteraves : 280 gr donc 110 cal. Plus rien niveau ...
Bouffe : Pour aujourd'hui, plus rien.
Boîte aux lettre : Vide, pas de réponse pour le ...
BTS : Surveille le facteur. Marre d'attendre aussi.
Butch : Prendre des adresses-mails pour rester en contact. Concert pour la finale du tremplin 101 le 17 juin à la MJC de Joué-Lès-Tours. Faire de la pub parce que l'entraide est nécessaire et qu'ils le méritent.


Samedi 17 juin 2006 dès 20h30
¤_¤   Concert de Bernadine à La Bouexière !!! (30 km de Rennes)     
          Finale du tremplin 101 avec Butch à la MJC de Joué-lès-Tours. (Tours)

Jeudi 8 juin 2006 à 17:34


S'arracher la peau de nos ongles excités comme des mammifères en chaleur sentir la violence de l'acte pris de court tous les deux humides en sueur jusqu'à la moëlle osseuse lubrifiants naturels. Faire du bien en faisant user nos corps dans la douleur, faire pleuvoir la chaleur des coups sur la nudité affamés de nous-mêmes devenir chien devenir chienne devenir chatte en chaleur s'encastrer comme des legos jeu sexuel et ne plus pouvoir se détacher des liens trop serrés bondages en folie bandage et bandage occulaire s'aimer à feu à sang le faire remonter sur la pâleur des nos épidermes déjà à vif ressentir jusqu'au bout des entrailles la vibration vitale du vit et ses vas-et-viens dans une nuit sombre.
Contracter muscles, ne plus faire qu'un emboités dans une danse macabre et rauque dominé dominant rapport sado-masochiste douleur physique avantageux plaisir sournois et fantasmes réalisables.
Aimer le mal dans la profondeur exigüe de la complicité saigner les chairs faire grincer les os mordre d'envie tirer les cheveux pour relever la tête mordre redresser le bassin tendre l'intimité coups secs et frappants sucions déterminés un instants tâchés. Sublimation de tous les sens dans tous les sens. Mettre en valeur nos côtés caché dévoiler sa pudeur noyée dans les liquides corporels besoins naturels assouvis désirs machistes de chacun de nous dominer. Brûler les codes brûler les corps et la graisse l'agresser verbalement chaudes insultes aimer par-dessus tout l'ardeur des acteurs du soir ou du matin dans leur propre rôle. Fantasmagorique. Autre Soi.

Bouffie, gonflée. Adipeuse charpente, enflée. Hier premier passage dont décompte totalement anglophone, que ce soit locuteur ou interlocuteur. Chiffres révisés. A la baisse. Betteraves seulement ou jeûne total. Plutôt deux fois qu'une.
Le mariage n'est au final que l'ouverture d'un carte de fidélité dont le principal avantage est une réduction fiscale.

Lundi 5 juin 2006 à 13:07


Anniversaire de la soeur. Ne pas céder aux demandes externes. Mon exutoire. Rester telle que. Certes un pococito amphigourique. Mystère et boule de gomme. Ouais. Je ne changerai pas. Invisible et motivée. Asticot grouillant. Assumer ses conneries. Toujours cacher le rejet. Traîtrise. Warkkk !

Marre de ces connards qui n'assument pas leurs propres conneries. De des connards qui stressent pour un rien. De ces connasses qui se sentent supérieures. Que nenni. S'écraser un peu. "Repasser ta chemise à la cabine" Connasse. Eurk ! Allez vous faire foutre. Acheter de la teinture pour planter la pelouse. Sa faire chier au taf. Les haïr. Tenir trois mois si possible. Motivation Basse ! Juste pour me faire tenir. Bandes de connards. Ne pas avoir suffisamment de cran et de patience pour rester stable humeurement. Lunatisme. Ras le bol. Hypocritement gagnée cette tune. Vivement le 17. Qu'il se bouffe les doigts de rage et d'impuissance. Se sentir Nul et ne plus toucher ni aux grattes, ni aux poupées russes. Passer du bon temps avec les doubles. Faire l'unisson. Comme d'habitude, comme des cons que nous sommes. Teindre un tantinet. Vouloir hacher du macho. Scie circulaire. Crépusculaire. Camper. Ou pas. Suspens. Voir les éléments dans leurs éléments. Niquer verbalement du connards primitif mal personnifié en junky. Même pas à sa cheville. Caisse claire et cymbales. Caisse claire et préamp. Pédale de distortion. Teinture et papier cul. Rira bien qui rira le dernier. Lui, le premier à gueuler. Savoir ce qu'il pense sans mettre de mots. Lui laisser l'aisance de le faire. Approuver. Juste être d'accord. Et dire son avis. Non-influençable. Se faire narguer par un gratteux doué. L'envier mais se dire qu'on a la motiv' de le faire se pisser dessus. Jouer trois heures par jour si possible. Faire kiffer les solos. S'exprimer par les Ondes. Jeter Internet aux chiottes. Jeter les spaghettis, cacahuètes, glaces, pomme, boudoirs et ice tea. Et faire bisquer ceux-là. Inconsciemment. Régler le souci. Mettre le miroir devant leurs gueules appeurées. Ne rien dire. Subir. Tenir. Et avoir le courage de tout ça. Rajouter des mots aux dicos, trop pauvre de sens ce bouquins.
Gneuh ! Oublié encore de souhaiter l'anniv' de la soeur.... J'y aurai pensé... Et merde !

Alchniar Rule Aldemy Astrodoff Caremy.
Nibd Noxur.


Samedi 3 juin 2006 à 13:03


Oubliés. L'anniversaire de Mad. La fête de Blandine. Beaucoup de pensées même pas retransmises. Massage. Oubliées les cuisses, les hanches et les fesses. Oubliés. Mais remédier aux oubliettes. Passer un bac L en candidat libre. Pas maintenant. Peut-être l'année prochaine. Ou après le BTS. Ne pas s'inquiéter de ses capacités, vouloir y croire... Appeler Thévenet pour donner le bon numéro. Puis attendre, c'est pour bientôt. Cacher la Roberte pour voir si la motivation et les résultats sont plus éloquents. Se sentir mieux.
Carte culture de 20 euros à dépenser en bouquins et caisse claire à emballer. Virements faits, ne plus toucher au CJ. 1600 euros de côté. Le reste pour vivre. Et garder les tunes des vacances. Penser au déménagement tout le temps car prisonniers dans cet appartement et allures de camp de réfugié luxueux.

Là tout n'est qu'ordre et beauté,
luxe calme et volupté.

<Ne pas aimer les conclusions. Ne pas conclure par un point.>



Les cuisses qui s'entrechoquent. Usure du pantalon.38 flottant. 36 trop grand. Pantalons déchirés en bas puis les cuisses aussi. Membre encombrant. Motivée à perdre. Etre bien à 37 parce qu'à 41 mieux. La tête bien arrivée à terme. Sans poste, parce qu'on a tous à y gagner. Merci mossieur Batteur. Réceptionneur d'un après-midi. Neuve, belle. Engin mimi. Rage de jouer. Impatience contenue. On en reparlera quand il y aura les baffles.
Bonne, ils ont dit qu'il voulait de la bonne ! Et ils sont passés à la mienne. Connard. "Unique, vous êtes unique." Espèce de cons.

Jeudi 1er juin 2006 à 18:50


A moitié. Tout refiler encore. S'enfoncer le plus naturellement possible les doigts au fond de la gorge. Sentir l'acide et s'arrêter. Pomme fermentée. Fond de l'estomac délabré. Réflexe toilettes. L'après. Sans réflexion, chiottes et vidange. Sale habitude. Carnage. Ignominie du personnage.  Penaud. Toujours penaud. Je ne Peux pas. Non. Pas le soir. Le midi pour ne pas te décevoir davantage. Pour l'instant, un gros fuck au soir. Quand je serai prête. Selon mes forces.
Récompense méritée. Tous les haïr, ces connards. Connards de merde. Irrespect. Trois mois à tirer dans ce creux. Puis juste les vacances. Blinder le livret. Remplir l'autre. Boulimie. Un peu de côté. S'assurer un avenir financier. Un temps ou deux. Compter sur les autres. Vivre sur leur dos. Profiter du système. Mal foutu, je te le répète ! Abusivement. Profit écoeurant.
Asticot jovial. Soulagé. Rassuré. Relâchement. Tensions artérielle normalisé. Stress amenuisé. Humeur stabilisée. Sauf impatience avec ces fils de Satan. Tout à 1 euro. Cinq briquets. Manger un peu ce midi. Chocolat chaud. Liquéfier. Harry Potter en chemise de nuit. Noir, la classe. Faire bosser les parties de grenouilles. Fatiguée de l'allergie. Ne pas se jeter d'une falaise. Quoi qu'il arrive.
L'asticot. Ouais et avec une basse ? Non ? Tu vibreras. Bouge tes doigts, muscle-les, agite-les sur le manche. Agilité forcée. J'aurai du niveau. je ne vais pas vous le baisser en plus. Tu rêves, mec ! Une heure par jour ? Minimum assuré. Entends-tu ? Dans huit mois... Compte le nombre d'heures... Compte le temps, compte les temps. Tous à fond dedans. T'imagines même pas. De la motivation, de la rage, de la hargne... Même pas. C'est à tuer le temps ! Pas de maux, tu comprends déjà.


Et toi, ma Sucette à l'Anis... Tu crois en nous ? Je crois en toi. Je crois en nous. Je crois en vous. Je suis confiante. Pas de falaise, pas de fadaise. Tu es forte psychologiquement, et libre. Tu le sais. Tu fais et feras tes preuves devant nos yeux toujours si incrédules.
Sur le front encore et toujours. A combattre sa propre normalité. La normalité qui t'observe ébahie. Tu assures. Assumes. Provoques. Aimes ça. Deux ans... Pour être plus qu'une forteresse. Capable de bien des choses. Personne n'a jamais dit le contraire. Ne pas nous faire mentir. Facile à dire... Penses-tu ! La solitude physique renforce. Solitude seulement physique. Pas seule sur Terre. On est déjà deux contre nous-mêmes. Et beaucoup plus si tu le comptes, Lui. Survivre, ne serait-ce que pour ça. Même si la vie n'est pas rose. Ni violette. On y croit. Négation interdite. Affirmation. Je crois. Point. Tout court
.



<< Page précédente | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | Page suivante >>

Créer un podcast