sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Mercredi 28 mars 2007 à 1:53

THEME N° 1 : LES PARADOXES DE LA PRESSE MAGAZINE


Problématique : Comment expliquer le développement de certaines formules alors que la presse magazine est en baisse ?

Bibliographie :

"Presse Professionnelle : Dossier", Delphine Le Goff, Marc Baudriller, Stratégies n° 1377, 07 juillet 2005

"Presse pro dossier", Delphine Le Goff, Caroline Talbot, Stratégies n° 1418, 15 juin 2006
"La presse médicale dans l'œil du cyclone", Olivier Robichon Communication CB News, n° 701, 29 avril 2002

"Dossier presse économique : une famille encore convalescente", Didier Si Ammour, Frédéric Roy, Communication CB News n° 865, 06 février 2006
"Le papier tisse sa toile. Dossier Presse informatique et high-tech", Stéphane Haïk, Communication CB News n° 869, 06 mars 2006
"Vmobile ou quand la presse roule pour le gratuit", Ava Eschwège, Marketing Magazine n° 106, juin 2006
"La presse financière sur le qui-vive. Dosser communication financière. ", Marc Baudriller, Delphine Masson, Catherine Gaudenz, Stratégies n° 1296, 02 octobre 2005
"Médias féminins : chacun cherche sa cible", Marketing Magazine n°78, 1er janvier 2003
"Dossier presse magazine : la femme est l'avenir du mag", Communication CB News n°789, 12 avril 2004

"Presse féminine : Dossier", Stratégies n°1336, 09 septembre 2004

"Comment Prisma bouscule le marché de la presse TV", Communication CB News n° 778, 16 février 2004

"Pub à la Télé : les éditeurs satisfaits mais …", Communication CB News n°780, 1er mars 2004

"La fin d'une presse TV à la petite semaine", Stratégies n°1314, 05 février 2002

"Presse télé, un marché en pleine reconstruction", Marketing Magazine n°88, 1erjuillet 2004


Thème n° 1 : les paradoxes de la presse magazine
Fiche n° 1 : Le potentiel d'élargissement de la presse informatique

Support : " Presse informatique, la belle échappée ", Stéphane Haïk, CB News n°821, 7 février 2005

Depuis le premier semestre 2004, on a vu une augmentation des ventes de PC de 23% et au semestre 2005, une hausse de 100% des ouvertures de lignes ADSL, soit 6,1 millions d'utilisateurs. Ce phénomène s'est avéré être un potentiel de l'élargissement de la presse informatique. Depuis, on a constaté sur le marché l'arrivée de nouveaux titres, dans un climat profiteur pour la presse grand public.

La presse informatique professionnelle, quant à elle, connaît quelques problèmes. Les professionnels savent trouver les informations qui leur sont nécessaires sur le net, à la différence des utilisateurs grand public. Le groupe Tests (l'Ordinateur individuel, Micro Hebdo) qui publie « 01 Informatique » a noté une érosion de la diffusion payée de 5% alors que le taux de circulation a augmenté de 37%. Cependant, ce groupe a su tirer profit de la toile avec son portail « 01 Net » et ses 20 millions de visiteurs par mois, ce qui les place au 14ème rang des sites français toutes catégories confondues.

D'après l'éditeur de ZNet.fr, la question n'est plus de savoir si Internet est un concurrent pour la presse papier mais de savoir ce que peut apporter cette dernière sur ce secteur. Il se vente d'ailleurs d'une hausse de 72% des revenus publicitaires et du doublement du nombre de leurs annonceurs entre 2003 et 2004.

On a constaté la naissance de nouveaux consommateurs férus de loisirs numériques (photos, vidéos) qui font une surconsommation de produits dans ce domaine. Cela touche aussi bien les hommes que les femmes, les adolescents que les retraités, les citadins que les ruraux. Cela a engendré l'apparition de nouveaux titres dans ce domaine, souvent moins chers pour toucher un public moyen. Ce développement a cependant ses limites, comme le montre la disparition de NetLive, magazine de chez Tests, trois mois après sa parution.

Les magazines informatiques déjà existants ont bénéficié de nouvelles maquettes correspondant plus à cette « convergence numérique », voire de formats plus petits qui ont conquis un public plus large, plus jeune. Leur ligne éditoriale a donc du s'adapter aux nouvelles cibles. La filiale française de VNU (SVM, SVM Mac, PC Direct, PC Expert) estime que l'attention portée à ces relais a fait de ses titres des leaders d'opinion dans le secteur de la presse informatique

Si ce n'est une course au lecteur, c'est surtout une course à l'annonceur. Le marché publicitaire de la presse informatique a connu une baisse de 18 % entre 2003 et 2004.

L'évolution du secteur informatif de l'informatique a entraîné des changements dans la stratégie de communication des annonceurs. En effet, les campagnes institutionnelles ont cédé leur place à des campagnes produit dont on surveille de très près le retour sur l'investissement. Les communications sont gérées mois après mois ou sur de courtes durées.

Les sites d'information informatiques, quant à eux, ne connaissent pas cette crise publicitaire. D'après le PDG de ZNet.fr, il a juste fallu lutter contre l'idée que la publicité sur le net correspondait à du marketing direct. Il est maintenant acquis que l'on peut faire passer un message sur la marque et ses valeurs, créer une émotion ou susciter un intérêt, c'est-à-dire influencer chaque étape du processus de vente sur ce support.


Thème n° 1 : les paradoxes de la presse magazine

Fiche n° 2 : Une nouvelle vague de féminins

Support : " La femme est l'avenir du mag ", Richard Sénéjoux, Yoanna Sultan, CB News n°786,
12 avril 2004

Une vague de magazines féminins apparaît dans les kiosques : au mois de mars 2004, pas moins de trois féminins sont apparus au rang de cette presse. Bayard a relancé Côté Femme dont il n'a gardé que le titre. La version française de Glamour, tiré à 600000 exemplaires, a explosé ses ventes et Esprit Femme plus généraliste a été lancé par Erasmus Media Group. Chacun des éditeurs prétend donner un nouveau souffle à la presse féminine.

Si dans les années 80-90, la création de titres pratiques et populaires, comme Femme Actuelle ou Prima, ainsi que les hauts de gamme tels que Elle ou Marie-Claire, ont connu un franc succès, il est maintenant plus difficile pour eux de garder leur place dans le marché actuel de la presse féminine. En effet, ce marché est en crise d'identité.

Une volonté de renouvellement s'est faite par le petit format, dès 1998, avec un mini Jalouse. Ce changement de format n'est pas seulement un désir de modernité, mais plutôt une nouvelle segmentation de la cible. Avant, il y avait les hauts de gamme et les populaires. Ce raisonnement est aujourd'hui dépassé : maintenant il faut cibler par tranches d'âge pour s'imposer sur le marché. Glamour vise plutôt les vingtenaires tandis que Côté Femme se positionne en tant que magazine pour les 40-55 ans. Esprit Femme vient se placer entre ces deux tranches d'age tout comme Girl qui vise plutôt les adolescentes.

Cependant, la presse a un retard sur les publicitaires qui avait saisi cette tendance depuis quelques années d&jà. L'événement publicitaire notable est celui de Glamour avec 105 pages de publicité pour leur premier numéro et des annonceurs considérés comme difficiles (Chanel par exemple). Il est plus difficile de s'imposer au niveau des annonceurs pour les éditeurs indépendants.

Une nouvelle formule de magazines féminins venu d'outre-Atlantique commencent à se faire une place sur le marché. Ces nouveaux périodiques arrive pour dire aux femmes où consommer. Le monopole de ce concept de magazine de consommation a été pris par Shopping à ses débuts pour s'ouvrir à d'autres éditeurs comme Mods ou Marie-Claire.

Coté annonceurs, l'idée séduit : une vingtaine de pages de publicité parsème le magazine Shopping. Cependant une question reste posée : pourquoi insérer de la publicité dans ce secteur de la presse féminine si les produits sont déjà à l'intérieur des journaux ? Pour que les marques se démarquent, elles investissent donc dans un emplacement publicitaire. Le souci qui apparaît pour ce genre de magazines appelé Magalogue est celui de la fidélisation, comment accrocher les cibles à un catalogue…

En terme de volume publicitaire, c'est à dire le nombre de pages de publicités pour la presse magazine, l'année 2003 n'a pas été bonne. Les magazines en général ont affiché une baisse de la pagination de 2% par rapport à 2002 qui avait déjà été un mauvais cru. Les féminins, marché assez dynamique si on en croit le nombre de titres lancés ne sont pas au mieux. Plus inquiétant, le secteur beauté, dont les investissements sont en hausse sur l'indice plurimédia a diminué son espace d'achats de 3%. Il est paradoxal d'assister au lancement de magazines féminins alors que ce secteur n'est pas dans une phase d'accroissement du gâteau publicitaire, certains titres risquent l'asphyxie.


Thème n° 1 : les paradoxes de la presse magazine
Fiche n° 3 : La presse télé se refait une place sur le marché de la presse

Support : " Presse télé, un marché en pleine reconstruction ", Lena Rose, Marketing Magazine n°88, septembre 2004

Depuis 2004, le plus gros poids de la presse magazine, la presse télévisée, semble retrouver son envergure. En effet, endormi depuis quelques années, ce marché ne connaissait plus d'évolution depuis le lancement de Télé Loisirs et des suppléments TV à la fin des années 80. Cependant, en 2004, l'arrivée de 6 nouveaux titres sur le marché de la presse télé a crée l'événement.

On a noté l'arrivée d'Allemagne de nouvelle périodicité baptisée quinzomadaire initié par Prisma Presse avec Télé 2 Semaines et TV Grandes Chaînes, et à des prix inférieurs à ceux pratiqués par la concurrence. Des titres comme 15 Jours de Télé de la société Ecos, TV Envie lancé par Auchan et GSRégie ou Télé Leader (lancé par Leader Price) ont adopté ce rythme de parution.

Avec sa diffusion de 2 millions d'exemplaires dès les 3 mois suivant son arrivée sur le marché, Télé 2 Semaines a été lauréat du Prix 2004 du meilleur lancement. TV 2 Semaines quant à lui se diffusait à 1,5 millions d'exemplaires un semestre suivant sa parution. Prisma Presse a donc causé le trouble dans ce marché qui n'évoluait plus. Télé Z est l'hebdomadaire le moins touché avec Télé 7 Jours. Par contre, Télé Loisirs a été le plus touché malgré sa progression depuis 1998. Pour pallier à cette dégression, le groupe Prisma Presse a inclus dans ses quinzomadaires les programmes des chaînes RTL9 et TMC. TV Grandes Chaînes est considéré comme un succès (après trois mois d'existence : 850 000 exemplaires) et ce grâce à son prix relativement faible puisque de 0,50 euros.

TV Magazine, le supplément presse de nombreux magazines de presse quotidienne édité par Socpresse présente 13 jours de programme. Télé 7 jours a choisi de ne pas changer sa grille de programme mais a renforcé sa partie magazine et a lancé une grosse opération marketing. De plus, 250000 exemplaires d'un supplément incluant un CD avec les chansons du top 50, réalisé avec Universal, sont diffusés, et l'opération a duré 2 ans. Cette formule a connu un franc succès dès sa parution avec 150000 vendus. De son coté, Télé Poche a inclus un DVD dans son édition.

D'autres suppléments comme celui de HFM ont été rendu plus attractifs avec des nouveaux codes couleurs sur leur couverture et des titres plus forts souvent axés sur la télé-réalité et une partie magazine renforcée. Cette proximité avec l'actualité de la télé permet de stabiliser les ventes.Télé Magazine, a cependant la plus grande progression de diffusion et d'audience et a lancé une nouvelle formule en juin. Sa stratégie a consisté à crée un nouveau logo et à rendre sa maquette plus aérée. Le contenu aussi a évolué : une partie du magazine est destiné à l'actualité people, une autre destinée aux films diffusés à la télé et à l'actualité des films et des DVD et une troisième qui inclue des jeux dotés de prix. De plus, la PLV et une campagne sur les écrans de TPS ont été organisés.

Il faut noter que la pagination publicitaire a augmenté de 25% tandis que la presse TV a augmenté son nombre de pages de 16%. La presse TV est le segment favori des opérateurs Internet, des sociétés de téléchargement de logos de téléphone, des sociétés de crédit et des opérateurs de téléphonies. Le secteur banque/assurance a désormais aussi sa place dans les pages publicitaires. Cependant, un effet yo-yo des ventes a eu des incidences sur les stratégies tarifaires des groupes.

Des couplages ont donc été fait entre périodiques et des secteurs comme le jardinage, les appareils ménagers ont été développés dans les nouvelles formules.

Toutes ces données rassemblées, il reste cependant difficile de savoir si cette progression va rester aussi bonne pour les périodiques de la presse TV.


Lundi 26 mars 2007 à 23:33



Elle ne m'oublie pas. Elle réussit sa vie. Je ne suis que vulgairement jalouse. Elle m'Aime, je l'Aime. On baisera comme des soeurs 'ionnes. Parce que des GNOU. BONES RULES !

Je hais les jupes. Je hais mes grosses jambes et ce corps de guenon.
Je ne sais plus ce que je peux éprouver. Rikku qui pose les bonnes questions, celles qui font chier en fait. L'impression de me faire prendre pour une conne. Chooks et Lumpy, pire que tout. Parce qu'ils me regardent avec ces yeux qui signifie bel et bien que je suis une salope, ou qu'on me prend pour une salope. Ou les deux. Vous savez quelque chose les mecs ? Et cette histoire de coke. A dormir debout mais même pas. Quoi croire ?
Ne pas se poser de question, recopier ses cours, bosser, parce que c'est pas quelqu'un d'autre qui bossera pour moi. Se poser l'esprit, ne prendre que le bon. Le sucer, se barrer, ne servir qu'à pas grand chose au final et le savoir. Vider les couilles. Le dédoublement de personnalité, c'est encore pire chez les autres. Se rendent pas compte. Fais ce qu'il te plait, abandonne-moi. Indépendance-dépendance. Maîtrise le tout comme le rien. Lever le poings. Parce qu'il y aura toujours une personne, même si elle est pas fiable.

Elle seule existe au fond. Rien d'autre.

Gribougnoute, le mammouth sauvage attendri. Marrant de voir ça. J'accède à ce dont il rêve. Bah ouais Chéri, désolée. Un peu blasé d'être rangé, le Loute. Ouais, la vie entre Griboux était fin mouvementée, mais tellement savoureuse. Même Ondes Co rayonnait un minimum.
Ne pas rentrer dans des rengaines répétitives. Ne pas refaire les mêmes conneries. J'espère que Kilian était loin mais si proche de la Vérité. Ne plus se tromper, ne pas faire semblant. Profiter, carpe diem.

Non. Que dis-je ...
TOUTE SEULE, sous mes airs pas toujours innocent. Et leur foutre dans la gueule. Parce que 37 ! MERDE à la fin ! Cherry, on crévera sur scène. BASS POWER !!

Mercredi 21 mars 2007 à 23:52




BOOOOOUUUUUUUHHH, return to me salvation, comme elle dirait l'autre conne.
Comprends plus rien à rien, me sens conne, grosse, mincit, lâche et suicidaire. Des vieilles crises d'angoisse et des interrogations à chaque intervention. Marre de ce cadeau pourri. 5 mois, c'est la durée de jeûne maximale acceptée par l'organisme. 5 mois pour vivre. Ne plus me prendre la gueule pendant 5 mois et vivre. Moui. J'aime pas la vie. Mais non, ne pas faire de leçons aux autres pour ne pas appliquer ces conseils a la con qu'on donne pour faire genre : ouais moi je suis psychologue, j'te vois bien psy, ca fait du bien de parler avec toi, tu comprends. Gneuh bande de cons, toute douleur est universelle.

Pas de nouvelle, bonne nouvelle, crêve. Qu'on ne me fasse pas croire des conneries. Soliste. Solo de merde, part en vrille, sucette, avale connasse. Me sens mourir du plus profond de moi. Plus de graisse est le but final. Plus rien a bouffer dans les lacard hormis riz, maïs et soupe et court bouillon. Crever la dalle, rien de mieux pour sentir chaque articulation craquer et ses muscles fondre comme de la neige au soleil. Tout faire pour devenir os et transparente, jaune. Disparaître visuellement du paysage féminin pour pouvoir laisser le loisir aux autres minettes de mater ce torse. Allez-y. Je ne vous le prête pas, il se prêtra s'il veut, m'en branle (PAS). On s'en fout de ton avis Salope. Je susi beau et je ne m'accepte pas, mais ou tu vas chercher tout ca ???? Incrédule, marre de toutes ces balivernes, le pouvoir du cul et de l'apparence on trompe bien son monde avec un corps. Me contrebranle de vous plaire, je vous plais ? Veux me plaire à moi. C'ets pourtant simple. Et peut-être impossible. Tu as sous-entendu qu'il fallait que je me fasse suivre ? Folle, folle , folle de toi, folle de lui, folle tout court. Je m'insupporte, rhaaaaaaaaa ! Ah my God, kill her and let's go to stop all this mess !! Fourty-three, it's better !

Ras le bol de ces putains de pensées. Lunatique, lune à tiques, encore et toujours, répétitions a rallonges. Le ciel est couvert, sortez les para-tonerres, pétages de câbles en live, faire peur à ses petites camarades, sentir qu'on est remontée et faire comprendre sa propre haine envers l'entourage qui se désiste peu à peu. Vous avez peur ? Moi aussi. SCHIZO.

TA GUUEEEEEEEEEEEUUUUULLLLEEE !

Mouais, le mot de la journée avec pioncer. Au moins, il co-existe un gribou, quelque part sur cette Terre assombrie, ca fait du bien. Pourquoi ne crois-je plus en ESTO ? Rikku qui use de l'auto-mutilation... Et bien vas-y gars, je ne dirai jamais d'arrêter ce genre de plaisir. C'estpas ce que tu voulais entendre ? Tu voulais que j t'empêche de faire joujou avec des lames ? Raté, moi aussi, j'aimerai, je cache tout pour éviter le pire. Ne pas manger, ne pas couper, ne pas gerber, ne rien faire. Juste vider ses trip(pe)s et son ennui dans la musique et PIAF !!

HAHA, je me poile. A (f)rire !

Dimanche 11 mars 2007 à 23:05



Ah ouais ? D'accord. Bon, je remets en cause des conditions qui ne devraient pas l'être.
Ma mère qui suit ma vie internetienne. Maman si tu lis ça, je t'aime mais voilà, ça me regarde. Ces blogs ne sont que des dépotoirs de pensées violentes retranscrites ou brutes. Non mais oh !. Que je sois dépressive.
Voir Gwen à poil. Presque. C'est ça qui m'aura le plus "dérangée", complexe d'infériorité. Encore, encore, encore. Strip UNO Extrème. Mouais, pas mal, mais bon, complexe, comme chacun.
Déçue par le poupon. Abandonnée dans la jungle humaine et urbaine, dans les soubresaut d'une société aussi malade que moi. Et jouer encore au psy. Encore ? Se voir déçu et lui comme d'hab. Nihilisme reprenant toujours le dessus, accepter l'inacceptable et la connerie à l'état pur. Par contre, rester dans le pro. Pro-ana, pro-mia. (J'"aie" le doigts qui me lance, trop mal) Vomir si besoin. Studio. Encouragements et compréhension, ne rien demander de plus. Pas pro-destructeur, pro-soulagement.
Il a trouvé le truc. J'adore autant que j'abhorre. Puissant, destabilisant. L'impression d'être sale. Pute.  Programme mis a jour, en place. Plus les tunes pour ce genre de conneries de toute façon.  A partir de demain. Bien tout faire, travailler, voir Coin, bosser, ranger, s'occuper, progresser. En tout. Exceller parce que notre société ne permet plus rien d'autre.  Plus le choix. Tenir pendant un mois. Juste le week-end et encore. C'est cela. Mais encore ? Faire les croix et les bonhommes et se remettre à gribouiller pour être comme elle. Jalousie excessive, pas confiance. Sûre de ce qu'il se passe. Douteux et ambigüe. Nouée. Sûrement juste par la baise. Sécurité. Encore paumée peut-être, choisir est difficile. C'est déjà fait me dira t-on. Rat Lubrique. Suis-je vraiment lu ? Non, c'est une illusion. Dîtes moi que non. Que oui. Horreur que de tenir quelqu'un par son plaisir, n'espère pas que ça puisse l'être. Aller ailleurs, vaudrait mieux pas que je l'apprenne. Plan bi en vue sinon. Parce qu'un cul, ça fait toujours de l'effet, se rattacher à ça. Menue ? Et mon cul. Bande de rats (lubriques), se foutre de ma gueule comme ça. Les bas qui font leur effet. Et fée. Je voudrais voir quelqu'un avec mon corps. Histoire de voir sans savoir. Marre de l'hypocrisie. Disparaître. Idée bizarre et pêt qui fait son effet, en passer au batteur parce qu'en manque. Puis plus rien à fumer. Je suis sérieuse... Sceptique, estomaquée et perplexe. C'est juste pour toi. Et même possessive.

En attendant, Kaedrinn.
Reprendre espoir et son souffle.
Bosser.


Mercredi 21 février 2007 à 0:33

Comme envie de l'insulter. Qu'Ondes Co ne respire pas ses dernières notes nauséabondes sur un bout de fille, Sandrine est un prénom de  merde, surtout à Cherbourg ou à Caen. Fuck. Ne se rendent pas compte, remuer le couteau dans la plaie. Lui laisser du temps, retrouver sa Cherry Geurl. Voir comment elle n'est plus la caricature d'elle-même. Norme, rentrer dedans par désespoir. Tu y arriveras. Y croire. De nouveaux espoirs. Envie d'y croire pour soi, être affectée par les feux de l'amour. Se sentir de côté alors que non. La bonne copine. C'est déjà ça. Laxator qui remarque, comme si j'étais aveugle. Le sixième sens des filles, la faiblesse masculine. Même pas gênée. Fait du bien. Parce que je peux me contenter de cette position là. Que j'ai des potes, même dans les feux de l'amour. Que AlterEgo-GreenWitch est celle que je n'aurais jamais osé demander.
Être contente de se satisfaire. Opérer dans les changements. Comme toi.
Yeap.

Bouffer tout. Jusqu'aux doigts. Rien à faire sauf ça. Ils trouveraient ça marrant. La douleur qui fait du bien. Ne plus comprendre. N'avoir jamais rien compris, tout cela ne sert à rien. Chose positive au final. Quand ton plus grand rêve est de mourir, tu sais qu'un jour tu l'atteindras. La patience est seule reine. Tirer la bonne fève, ne pas en être malade. Que dire. Ne plus combler le vide, ne plus jouer à la nymphe. Ne plus jouer, grandir c'est ça. C'est faire semblant de ne plus être un enfant. Montrer une juste façade de merde. Envahissant mais plus meublable. Il suffit. Ne rien demander, juste prendre le nécessaire et se contenter du minimum, ne rien attendre mais trop en fait. Est-ce que c'est juste ou pas ? Là n'est pas la question et ça ne le sera jamais. Pourquoi ce mot. Pas de point d'interrogation, c'est peut-être plus facile sans se poser de question. Attendre ce don qui ne viendra pas. Je le sais. Je ne le sais pas. Tout est oui, tout est non. Ne cherche pas. Ne cherche pas. Ne cherche pas. Garder son calme, keep calm, calm calm calm, zenitude absolue réduite à ce néant ambiant. Du positif, du négatif. Ne plus être capable de savoir. Ecrire est impossible, écrire ne rime à rien. Faire une intro de merde parce que difficile autrement. Le regard face au bleu. Trop prévisible, trop ahuris, trop trop. L'originalité se tue elle-même. Comment ne pas être une caricature.
Se taire et analyser. ANALYSER sans POSER de question. Pas d'interrogation. Envier le reste du monde pour des choses qui ne le sont pas. Se lâcher l'esprit. Vouloir fumer. Ne pas fumer. Ce con, ne pas, ne pas. Qui est ce con qui a inventé le verbe falloir ? Point d'interrogation parce que con dans la phrase. Moi je suis con. Schtroumpf Connope. On aura tout vu. L'ennui tue l'avis. Que parce que j'aime les calembours, que je crèverai sûrement d'une crise cardiaque et que ce jour là, tout ce quoi m'aime ou tous ceux qui m'aiment au choix, en fin ils se retrouveront ensemble pour faire la fête. Ca c'est hyper positif, une grande chouille. Pas pour fêter ma mort, juste pour fêter le fait que tous mes potes se soient tous rencontré un jour. Posthume. Mais tellement bon. Seul les vrais encore présents. C'est si beau la destruction d'un être si petit. J'adhère totalement et en tout égoïsme. L'essentiel est d'être en accord avec soi-même. Si bémol-ré-fa. La plus beau de tous avec un fa majeur, un ré mineur et un do. Bb-Dm-F-C c'est pas le panard ? 

Mouirf. Cha qui affirme n'être que sympathisante punk. Et moi je suis la vierge pendant le tour de France ? La Kanter c'est la meilleure. Avec des gros pétard, aquarium et soirée de fou. J'aurai aimé que tu sois là pour partager tout ça. Difficile probabilité, peut-être qu'on est fait pour être ensemble. Plus de théorie à développer là-dessus.

Faire du riz au lait pour le plaisir des narines. Le gâteau au Chocolat qui transformait les garçons en crème anglaise, titre d'une prochaine nouvelle. Ouais. Steven et Luce qui ont tout vu.
Lourdeur des palabres. Anatomie verbale, on s'en fout a présent, fichtre.
Je dirai même fichtrement bon. Héhé, la violence est excitante, tu crois quoi ? Sodome et Gomorrhe ?

The end of this day is blue and green, because we are and we'll be.
I am what I am, doggy. Right ?

Mercredi 21 février 2007 à 0:27

Parce que c'est des conneries. Parce que j'assume. Ou pas. Parce que tu ne veux pas comprendre, toi, là bas. Parce que je parle toute seule. Parce que les figures de style, c'est vraiment la merde et que les chocolats et les pains au chocolat aussi. A ne rien y croire, on finit par arriver quelque part où tout est à découvrir. Qu'on arrête tout cela avant même que cela commence à prendre l'ampleur que cela a déjà. Et merde…

Loute qui devine, qui sait, qui comprend, qui en veut, qui se donne contenance, qui s'auto convainc. Que je ne sais pas comment on conjugue ce verbe même si on l'a vu en cours. Qui ne m'en veut même pas, qui l'aurait su sans que je lui dise. Qu'il me « connaît comme personne ne me connaîtra jamais même si je lui racontais ma vie à longueur de temps ». C'est juste ici l'erreur, peut-être que non. Que je suis transparente et prévisible. Malgré l'affiche. Mais non, tu ne sais pas tout, petit.
L'histoire qui se finit comme dans un film avec la plus belle preuve d'amour qu'il n'est jamais été permis d'inventer. Une étreinte sans ambiguïté, sans sexe, sans violence, sans trop de douceur. Juste une tendresse trop souvent oubliée et laissée de coté, lésée.
Juste se dire quelques mots, parce que les adieux les plus longs sont les plus douloureux, que belle vie à toi, que tu resteras un Gribou et une P'tite Puce à jamais, que les amis les plus forts sont ceux qui souffrent ensemble, que nous ne serons jamais trop loin, que si ça ne va pas, à propos de n'importe quel sujet qu'il soit, je suis là, tu es là, nous sommes là. Parce que l'entité que nous étions a changé, parce cette entité est devenue plus forte que tout et que l'amitié est parfois nécessaire pour guérir d'anciennes blessures.
Que je suis sûre que la destruction t'est inconnue, car esprit trop rationnel et prise de recul, que je suis sûre que ça a joué, que je n'ai pas toujours su entendre ni écouter. Que mon propre mal-être a contaminé une partie du bonheur partagé. Que je ne sais pas écouter, que tu le sais, que le pardon n'a pas de nom, n'a pas de non, non plus. Que nous est détruit, qu'on est en vie. Que ce qui a été loupé le méritait. Que tu me dis de foncer, que la vie est devant moi, paternaliste, les larmes montent trop vite. Que le présent est à vivre et que le passé doit être bon et souvenir. Puis, juste un regard de celui qui sait, qui devine, qui est plus proche qu'un ami parce que le passé l'a fait ainsi. Mais qui a foi en toi, qui y croit et qui veut ton bonheur. Toi qui a été capable de trancher tes propres sentiments en petits lambeaux pour me laisser bâtir un bonheur ailleurs. Carpe Diem.

J'y crois, je ne tatonnerai pas, chaque jour est une victoire, parce qu'un morceau de vie disparaît pour nous laisser nous approcher de la mort. Parce que la vie avec Lui c'est autre chose. Que la routine ne nous tuera pas parce qu'elle mourra avant ou je nous suiciderai. Qu'il ne soit pas permis qu'il soit malheureux avec moi ou sinon sa liberté. Ne veux pas enfermer les esprits. Voudrais qu'il me voie comme je suis. Ne voit pas.
Que j'ai toujours ces pulsions, que j'aimerai guérir si je suis malade, que c'est infernal. Que j'aimerai en dialoguer un bout. Ne plus parler, marre de combler les vides en disant des conneries, le silence est  si souvent tellement beau. Mais non, toujours tout gâcher. Inintéressante.

Seule fierté, qui sauve tout, pour ne plus être autant qu'avant, les cours. Seule réussite avec ce couplage. Deux raisons de vivre. COIN COIN COIN COIN COIN COIN. Fait le Canard. On accentue où on veut, y'a d'la poésie. Les cours, pour se prouver à soi-même qu'on a toujours un peu de chance dans la vie. Qu'au moins les profs ne sont pas déçus, que même si il y a sûrement du favoritisme partout, dans les matières, je suis là. Que la participation n'est pas vaine et que j'existe. Que j'aime Coin. Que je pourrais le crier que ça n'y changerait rien mais que je le crierai. Logique implacable. Que Simon existe toujours, qu'il ne m'oublie pas, que les conversations MSN ont toujours été utiles à rassembler les bouts d'amitié, que les mots sortent plus facilement et qu'on se comprend peut-être mieux ainsi. Que l'impulsivité reste de l'autre coté du nerf optique, qu'heureusement.

Voilà. Pour résumer, juste un Ange nommé Coin, comme un tramway nommé Désir. Juste monter dans le bon wagon, prendre les commandes de l'engin et partir au pays des rêves ensemble. Nous y sommes. Voilà, rien d'autre à demander, finalement, se satisfaire de sa vie à défaut de son existence, c'est déjà un bon progrès. S'accepter viendra un jour. Inch'Allah, moi je m'en contrebranle. Juste pour Coin. Efforts à faire. Beau. Bel ange.

Pense, pense. Gneuh.
« Sache, Petit, que seul le romantisme est absolu »
« Un seul être vous manque et toute la Terre est dépeuplé »
Mouais, il manque des mots, l'essentiel est. Putain de Marivaux ! Il n'a jamais tort ce P'tiot… Sauf moi.

Oui…
Aimerais te peser, angoisse du chiffre… Saloperie de connasse.

Bluffée. Il m'a bluffée. Comme quoi.

Mercredi 20 décembre 2006 à 15:33


Voilà, la balance déconne.
Confusion. En manque de toi. Tout court. Tu comprends ?

En manque de gerbe, gerbe de mots. Non, ne plus baiser avec son chiotte. Pro-ana attitude, c'est certainement stupide. Même pas pro-ana. Non,  je t'assure, mieux vaut jeûner que se dégoûter et avoir de ces pensées après la bouffe. Ceux qui me repèrent, je les emmerde. Ceux qui ne sont pas content aussi. Humeur massacrante, fatigue écrasante. Envie de rebellion, ado en crise existentielle. En manque. 500 max sauf week-end, car efforts a faire pour satisfaire.

Seule la musique est salvatrice, je te l'assure. Seul moyen d'exister.
Le mail du jour qui sauve aussi. Parce que sinon pourquoi vivre ?
Les projets existent toujours. Jamais eu besoin d'homme pour cela. On s'est connue avant.

L'intérêt disparaît. J'avais dit que je les dominerai. Ne fous rien, ne les domine pas. Mais pas celle d'Alexandre le Connard, et Vincent le Grand, sans rien foutre en fait, bosser au dernier moment quand on n'a plus le choix. Donc avoir pas mal de taf, en retard, mais à l'heure. En fait seul intérêt hors musique. Hors n'Ange Lion frosties. Dis t'as bouffé du lion ? Ca fait un bail que j'ai pas bouffé de céréales, les dernières devant la téloche, avec Loute devant Sex and the City, ouais. ca fait plsu d'un an, c'est trop cher les frosties quand on crise.
Mépris total, pas d'ami, pas de vie sociale, juste ceux qui ont toujours été là, les vrais amis, ceux qui se foutent du spacio-temporel. Ingrid choquée par une séparation qui ne la concerne même pas, the fountain of endless love is broken, we can't change everything. "Et pour toi, y'avait qui ?" et ses "Tu m'impressioneras toujours".GNEUH !  On continue dans la gnangnantitude ? Non. Y'en a qui pigent pas grand chose, normal quand on tient aux gens, mais plus. Juste que c'est bien mimi, mais j'écoute pas Sean Paul. Mimi, mais pas là, trop d'ami tue l'amitié. L'éloignement alors qu'on est à  côté. Voilà, alors qu'avec Smoun y'avait 250km et qu'on s'est rapproché. Puis toi aussi BabyGreen. Sais pas comment, mais là on the 9th of february.

Et puis l'amour c'est éphémère, autant le vivre au jour le jour, je referai pas de telles conneries.
C'est ainsi, plus de promesses en l'air, ne dire que ce qui est vrai, donner ce que l'on ressent, si c'est possible de donner tant. Ne pas savoir l'exprimer, pesant. Espérer la durée. Ne pas se faire d'espoir, ne pas espérer, ne rien espérer, ne rien attendre, juste se satisfaire de ce qui tombe, ce qui nous est donné soit beaucoup trop . Mérite  pas tout ça, c'est une perte de temps, j'aime pas faire perdre du temps aux gens que j'aime.
OFF.



Ce blog ne disparaitra pas tout de suite, messieurs dames.
Malgré tout ce pathétique, mais tac !


Mercredi 18 octobre 2006 à 21:50

Les matins se suivent et se ressemblent
Quand l'amour fait place au quotidien
On n'était pas fait pour vivre ensemble
Ça n'suffit pas de toujours s'aimer bien
C'est drôle, hier, on s'ennuyait
Et c'est à peine si l'on trouvait
Des mots pour se parler du mauvais temps
Et maintenant qu'il faut partir
On a cent mille choses à dire
Qui tiennent trop à cœur pour si peu de temps On fait c'qu'il faut, on tient nos rôles
On se regarde, on rit, on crâne un peu
On a toujours oublié quelque chose
C'est pas facile de se dire adieu
Et l'on sait trop bien que tôt ou tard
Demain peut-être ou même ce soir
On va se dire que tout n'est pas perdu
De ce roman inachevé, on va se faire un conte de fées
Mais on a passé l'âge, on n'y croirait plus
Roméo, Juliette et tous les autres
Au fond de vos bouquins dormez en paix
Une simple histoire comme la nôtre
Est de celles qu'on écrira jamais
Allons petite il faut partir
Laisser ici nos souvenirs
On va descendre ensemble si tu veux
Et quand elle va nous voir passer
La patronne du café
Va encore nous dire "Salut les amoureux"


On s'est aimé comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
A demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelque fois se passent un peu trop bien

Mardi 3 octobre 2006 à 20:04

246 euros par l'Etat, les impôts m'envoient des tunes. Mouahah. Merci. Cherry, mon week-end, c'était un vrai. Un vrai et bon qui résonne dans le coeur, tu vois.

Oui, vendredi, magique, planant, fumage, il m'en faut peu, et c'est tant mieux. Des idées et des suggestions pleins la tête. Toujours me taire pour les choses intelligentes ou pas trop bête, je suis pas logique. Envie de lacher ses doigts sur un clavier et partir loin, pieds sur terre, tête en l'air. Taire ses envies. Fantasme réalisable. Proposition acceptée. Sentiment toujours d'incruste, mais là l'envie la détruit. Faudrait que ca marche pour tout...
Tu te connectes toujours au bon moment...
Samedi, répét'. Baise et partouze avec nos instruments. Partie à Trois, mais partie pour de bon dans une violence qui fait du bien. Celle que je veux. La musique est ma vie, c'est décidé. Un jour, on le verra. (doigts gelé, galère) La basse qui me prend, moi qui la tient, bien comme il faut. Nous nous prenons à nous entrelacer.
Dimanche, un dimanche sous le signe de l'. Chateau Ambulant, pas tout vu. Trop obnubilée. Parvenir à de belles fins. Avoir confiance, j'ai. Idéologie parfaite. Ne pas bloquer. Ne pas bloquer. C'est pas facile de se laisser aller. Voilà.
Le smots sont traîtres. Ils ne disent rien de vrai. Du bonheur palpabe à l'état pur. De la beauté calmoniale de la vie et de ses addictions. Et s'y sentir bien. Croire en des rêves tantôt oubliés. Revivre un enfance génial dans son imagination. Pourtant s'être détestée nue, ne pas lui montrer mon horreur, lui épargner. Et même pas. S'en contente bien. Comprendrais jamais rien. Boule de graisse. Avoir honte d'être aussi laide pour autant de beauté. Mouais.
Puis TOUT trop dire. Être comme re-morte rienq ue de le dire, sado-masochisme qui fait du bien comme du mal. Puis cacher le tout sous des sourires et des gamineries. Pour unique protection que cette dérision et ce cynisme auto-mesuré.
Voilà, juste envie de disparaître ou de partir. Loin et s'enfuir.

Et puis si toutes les femmes deviennent ce genre de choses, je ne veux pas en devenir une. Je ne veux JAMAIS d'enfants. Others reasons to become skeleton.
Moi je suis déconnectée de la réalité. Je prends un de ces panards ! Ah, j'aime aussi ce côté. Putain ! Quel positivisme finale, ca tient de l'annale ca ! On note ? Malgré une journée de merde. Haaa, j'aime.
Couscous ce soir. Mouhahah. Comme ce samedi de merde à ce niveau. Mouahahha. Bien, bien, voir emême très bien.

Dimanche 1er octobre 2006 à 4:44


Devrais dormir a cette heure-ci. Même pas vomi, ca va être mort. Bouhhhhhhhh. Pas juste. PAS JUSTE. Gamine en crise. Gerber.

4h de répét, du sparadrap pleins les doigts parce qu'épluchage donc bouffage de merde. Marrant. Des coupures un peu partout sur les doigts. Loute gémit dans son sommeil. Mouhah, claque, petite mais voilà mecs, ce soir c'est la guerre, émeute, rendez-vous en enfer, émeute, ce soir c'est la guerre, émeute rendez-vous en enfer... 86crew, j'aime. Montrer qu'on a une place dans le groupe finalement. Et plus que ça même.
Voilà, tout ce que j'aime, la musique. Le musique, la musique. Juste oublier qui tu es et créer l'existence. Celle d'un son, d'un bruit, d'un son, d'une chose sensationnelle lorsqu'elle est accouplé à d'autres énergumènes de son espèce... Voilà. Complicité batteur-bassiste, ca n'a pas de prix. Natha en retrait, pas là. Absent, toujours tort. Mais pas toujours.

Benissage du téléphone, entendre sa voix, se soulager... Avoir des rêves à foison. Sourire. Savoir qu'on est soeur. Halte, air et go. London, musique. Ne pas laisser d'adresse. Je t'aime toi.
Dieu que c'est niais ce mot. Comme trop banalisé. Ce genre de mot qu'on ne devrait utiliser qu'une fois... C'est vraiment con la sémiologie...

Là veux juste plein de choses. Tout envoyer en l'air.
Ma ptite soeur est une dur à cuire qui mord ses copains... Et oui, bizarre... Une future délinquante que ma soeur, Mr Sarko...
Veux arrêter ces crises.
C'est quoi ces conneries. Penser à éclaircir les choses demain. Faire des choix. Faire un choix, le bon. Ah... Comme eu une envie de soigner ces maux cette aprèm'. Mais pff, jeuner, seule préoccupation. Masse informe et difforme.
Dis, on change le monde ?

Marre de moi

Dimanche 1er octobre 2006 à 4:26


J'aime pas sa gueule de lover, j'aime pas sa voix sourde, j'aime pas ses chansons, mais j'ai eu un putain de craquage... Un putain de pensée. Cherry, c'est ça, toi, l'effet que tu fais. Sans déc', l'ont écrit pour toi. Je t'épargne deux refrains. Mouahaha.

Pour la culture perso, à noter... Hey Joe, composed by Billy Roberts from The leaves in 1962. Reprise par Jimy Hendrix, Bob Dylan, Joe Cocker, Johnny Hallyday et tant d'autres ...
Voilà, so let's go to the dancefloor... YEAH... MUSIC ! 


Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Elle se dessine sous des jupes fendues
Et je devine des histoires défendues
C'est comme ça
Tell'ment si belle quand elle sort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutu
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu

Un peu larguée, un peu seule sur la terre
Les mains tendues, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
A faire l'amour sur des malentendus
On vit toujours des moments défendus
C'est comme ça
Tell'ment si femme quand elle mord
Tell'ment si femme, je l'aime tell'ment si fort

Son corps s'achève sous des draps inconnus
Et moi je rêve de gestes défendus
C'est comme ça
Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Tell'ment si femme quand elle dort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Jeudi 28 septembre 2006 à 23:49


Finalement, elle aimait vraiment bien ça, tirer sur un pet, dans son jean et son marcel, sans sous-vétement. Puis l'ecrire sur un dépotoir de  conneries, les doigts chevrolants se baladant avec peine sur le clavier. Frigorifiés et trop nerveux, mais libérés d'eux-mêmes. Comme une sensation de pouvoir sur son inconscient, et garder tout son crachat vénimeux pour son ancéphale embrumé.
Le goût du vieux shit sur la langue. Demande qu'à embrasser. Ce goût de âpre et amer, douceureux et écoeurant. Juste ce qu'il faut pour être bien et mal penser, tout ce qu'il faut pour être mal et bien penser. Une complétude.
Elle l'avait obtenue, aussi, cette compréhension. Au bout de ses doigts. Doigts de "fée" qui ne demande qu'un piano électronique ou un corps d'homme.

P-80, libére-moi de mes mots. Si perspecace, si efficace sur un son de piano.
Toucher dur, si doux. Baiser avec l'instrument. Osmose totale, ne faire plus qu'un et laisser son cerveau gérer son organisme. Métacarpes joueurs, en manque permanent. Tout est si simple dans la musique. Tout est si compliqué...

Lundi 25 septembre 2006 à 22:49


Pourquoi ?
Pourquoi le mois de septembre est toujours un mois de merde ?
Pourquoi je change rien à rien ? Pourquoi ?
Faille, coûte que coûte. Ne pas s'en sortir.
Ne pas  saisir les mains au passage.
Envie de se raper les poignets avec une lime à ongles.
Oui ...
Ptet trop vite.
Se poser et réfléchir encore et toujours.

Encore et toujours, c'est bien ça le problème.
Tu le vois ?

Vendredi 22 septembre 2006 à 18:40






http://perso.orange.fr/ondes.corrosives/cariboost1/


Mardi 19 septembre 2006 à 20:14


Poudre de perlinpinpin. Je me sens biennnnnn. BIEN. Envie d'écrire. Toi, lui, nous, vous, ils. Hihihi. Asana guruff. Petits papiers de non-dits qui s'amoncèlent. Exemples :

Il était une fois, un ptit garcon qui aimait bien se promener dans la prairie. Un jour, il alla voir les marécages. Là où le sol pleure sur les branches, l'air est tout mouillé. Et la mousse qui descend des cyprès ressemble à un monstre à l'oeil maussade.
Juste un endroit où vivent des grenouilles. Alors le ptit garcon, il s'assoit sur le tronc d'arbre, et il écoute les grenouilles. D'abord, elle ne parle que le langage des grenouilles. Puis il ferme les yeux pour mieux entendre, [...] et il découvre que ... Les grenouilles ne parlent plus le langage des grenouilles, non pas du tout ... Elles parlent le langage  DES GENS ! (Steve Warning)

Blop, humeur mitigée. Plus mieux à rien. Mais là vivante. Thre is a game we used to play. Doit-on résister à sa propre volonté ou doit-on la satisfaire ?

Samedi 16 septembre 2006 à 15:06


" Révulsion réveillée, à l'instinct et depuis toujours elle faisait ça comme ça, tout son extérieur  était souriant, amoureux et paisible . Ca restait dedans son envie de vomir, et cet étonnement  à chaque fois : comment peut-on croire des visages quand ils masquent si maladroitement ? "
Seulement tout allait bien entre eux. Alors elle ne voulait rien savoir. Rien devoir changer. "
Lun comme l'autre, se lançant en pleine tête des choses qui auraient dû rester secrêtes. "
Et il aime se lover tout contre leur bizarrerie. "


J'aime tous ces mots qu'elle écrit.
J'aime tes lettres Cherry. TRop moi, trop double. Injuste, ne mérites pas ce que tu subis ... Ta lettre ... Tu es vraiment double. Soeur. Finalement oui, la soeur que je n'aurais jamais eu. Un soeur dont l'amour est réciproque et de même amplitude.

Mais putain, il y a de ces mots en ce moment, que j'en fondrais. Les Siens, les lis, en perds les miens. Jamais assez. Toujours Trop. Morte d'appréhension, prête.

Hum, verrai. Cherry, je suis là, toujours, TOUJOURS. A toi. Bientot nous serons réunis. Nous aurons notre propre moule. Le notre.

Mardi 12 septembre 2006 à 21:17


Juste confuse, honteuse et mélangée. Ne sais plus où se mettre partout. Où se situer, good question. Difficile. Même longueur d'onde. 
[Sigma] = [V. T ]
Mouais, ça devait être quelque chose comme ça.  Même pas besoin de parler, ça passerait. Pitié autonome. Les grands esprits se rencontrent. Feu-mes-parents-feu-mes-parents. Feu, le mot du jour. Commencé les Jolies Choses, amoureuse de l'écriture de Despentes, vraiment dedans, se reconnaître dans chacun des perso, c'est fou, fou fou. Accroc quoi.
Proportionnalité. Un trou. Vouloir tout dire mais se taire et parler du vent. Ouais. C'est ça. Ca l'a toujours été. Que ce soit les griboux ou les cailloux, impossible d'aligner ces mots-là. Un jour. Peut-être. Me demande si ce que je veux est possible.

Arrête de dégueuler ton coeur, dégueuler n'arrange rien. Exprimer en silence. Moui. Se retenir. Se restreintre. Ne plus penser, clopiot au bec.
Complexe d'Oeudipe ?

Lundi 11 septembre 2006 à 21:14



jpourrais te dessiner comme napoléeon :D oui ou Loius 14
ou staline
le regard vers l'est
porteur de sauvergarde
la petite mère des peuples :)
Tu te fosu encore de ma gueule ?
non
Parce que "mère" c'est pas...
Enfin si tu vois ca comme ca.
ba tu a une stature, un impérialisme profond
malgré le fait que tu possède aussi un coté faible
faut quand meme mettre le point sur
je c pas
ta prestence
?
je c pas si c le terme

ccharisme ?
oui c sa :)
merci
sa fait de toi une dirigeante a la main de fer
comme notre staline
Main de fer je sais pas
une dictatrice
c mon souvenir de toi a la cafet' :D

A la cafèt'
ouep

Et ailleurs
?
hum je me souviens aussi de toi chez ton beau pere
le seule endroit ou tu récupérai un peu de ta personnalité cafétienne c t dans ta chambre
et encore
on te sentait plus "soumise" moins vivante

t'es allé dans ma chabre ?
oui
ah me rappelle plus !
:) on a balancer par la fenêtre un lecteur cd 
c'est vrai !!
 jl'avais oublié lui !
:D
:D
pas moi
et jme souviens aussi d'une delphine en soirée super simpa super pas pareil pas aggressive pas vexante ne cherchant pas a prouver quoi que se soit :)
alors c difficile de te dessiner

en soirée ?
j'ai définitivement pas de mémoire

la derniere des cailloux
on a fait un after

ah !!
on était ché noemie
ouais
mais j'étis défoncée...

lol c une de t facettes
voila comment on pourait te dessiner

en fait une page blanche irait très bien
suggestion
moi je me suis basée sur quelques adjectif que j'associe à ma petite personne :
jaune, molle, pleine, vide, transparent
avec une base sur ce dessin
un calque jaunie au crayon de couleur
lol pate a modeler
tu te vois jaune?
jte vois pas jaune

ui jaune
sa te vas pas le jaune
je trouve qu ca me va bien
je suis jaune
non ?

:D
non

plus rouge
et noir

une couleur ?
marron aussi
t plus automne qu'été

Ouais c'ets possible
C'est pas con$
enfin moi jvois sa parce que tu maurrais de tecrire je taurais ecris en automne
Ako
o fait
pk ako ?
d'akord
ako
ok
:D
j'avais l'intention de faire sortit des montrescoulantes de dali toute sali de mon cerveau
okay=ako

dali te va bien jsui daccord
ako :)

avec un calque dessus
jaune
cela di marron noir crado c'ets pas mal avec des traces de doigts
ba tu vois moi si j'avai a te dessiner je dessinerai ton corps flou nori marron crade et ton visage a l'encre de chine bien dessiné bourré de détail et tou
pour souligner ta personnalité ingénieuse
mais pour caractériser tes complexes un corps flou
avec le regard franc
a la staline
voila
sa yest
je t en visu

en quoi ?
en quoi quoi
visu
moi chuis con
bah ui en visu enfin jte vois dans ma tete comment jte dessinerais 
Ah ui !
lol
pfiou
:D
alors ma déscription te convient?

EUH OUAIS
c'est pas du tout comme ca que je le vois par contre
lol on ne peut se juger soi meme
c'est une grande question
ou une grande réponse
Je ne sais ^pas laquelle ets la lu gde
la plus grande question ?
hum
n'est ce pas celle-ci ?

Hum...
mouahahahah je me sens philosophe se soir
:D


Mercredi 6 septembre 2006 à 22:06


Beaucoup de choses importantes à vider. A dire à Mimi.
Beaucoup beaucoup, comme le travail à faire et la culture générale à avoir et se forger. Une bande d'une dizaine de filles, stylées, originales, toutes différentes d'elles-mêmes, des personnalités à part entière. Des volontés et des entraides, des potesses et des cuites. Connaissances, chacun ses amis, mais réunions favorables car bonne entente. Un tier de la classe pas classe quoi. Le reste, en grande partie sympathique, mais classe, admiratives de la différence et de leur propre classe. Culturée, sûrement pour la plupart, c'est certain.

Une conférence de presse sur l'Opération de Nettoyage des Espaces Verts de Tours et ses Environs. Du beau monde, même pas osé parler aux journalistes de TV Tours, France Info, La Nouvelle République. Nulle, je suis. Occasion de demander des stages, bouh, raté ! Opération bien sympa, ces demoiselles pourront mettre leurs talons hauts dans l'herbe mouillée et les déchets à ramasser. 

150 euros de bouquins, 150 euros de voyage à Bruxelles, trips en perspective. Se dévouer pour la classe, être une future déléguée. Faire ma propre campagne de pub. 714,30 euros, derniers frais de scolarité, réglé. Des affaires grâce à Biloute pour les livres nécessaires, 50 euros d'économisés, au moins. J'aime, c'est tout. Mission de l'après-midi, avec les 9 autres marginalisés de la classe, courir après les bouquins : boîte à livres, maxi-livres, FNAC, re-boîte à livres. Se charger de commander le livre écrit par nos profs pour tous et prendre des initiatives, car tout le monde veut mais personne ne fait rien. Montrer qu'on est capable de prendre des responsabilités, en étant ferme. Sens bien. Malgré l'apprehension des "actions". Verrai, des idées en tête. Pistonnage pour le stage, 5 semaines à Paris, merci Tata if possible. Agence de pub, la classe. Etre ouverte !

Pris la 2nde langue. Espagnol toujours utile, facultatif, donc boulot en prime mais 5% des points en bonus, rien de perdu, bien sur un CV et pour la culture, encore. Même si plus de vocabulaire, participation énorme. Vais tripper toute seule avec la prof si personne n'est pas plus bavard que ça ! Ha, je vais les niquer. Que 4 dans ma classe à prendre l'option.

Prof d'expression visuelle un peu fou, artistique, philosophique, cultivé. Impossible de citer tous les musées que j'ai fait, trop à dire. Impossible de dire tout ce que j'aime, trop à dire. Impossible de préciser un bouquin, une pub, une affiche, une date, un morceau de musique  marquant, un film, trop à dire. Et surtout, pas assez de temps. Bon choix, très intéressant, BTS le plus difficile, beaucoup de culture gé à acquérir mais bon choix. Merci Mossieur !

Donner la recette du "gateau-chocolat-micro-onde" à Marie. Se faire des couettes, trois, comme le tricorne. Piercing "inaperçu car naturel sur ton visage". Hi. Voilà. C'est tout ce que je voulais. S'affirmer. Etre soi, confiance en soi. Ne pas montrer ce qu'on est vraiment. Un seul repas. Penser à Mimi. Dessiner. Adélia, fille rose avec des fraises et les supers-nanas. hihi, copine parce ose. Hi, organisatrice de concert dans un asso dans la classe. Ahhh ... Puis basse ce soir. Rah ! Exercices à faire. 30 minutes, puis une douche, et lire. Teen spirit et Les jolies choses achetés. Lexicom commandé. Abonnement à la FNAC ! ^_^ 



Bon, j'appelle Mimi ce week-end. Texto ce soir. Y'a pas moyen. Faut que je déballe.
Tout à dix balles ou je remballe !



100 grammes de betteraves, 80 gr de semoule, un tiers de gateau au chocolat léger (si chocolat peut être associer à léger).

Mardi 5 septembre 2006 à 20:06


Voilà. Un trou dans le menton. Obligé de reconnaître que ça me va bien. "Tu m'énerve. C'est joli, ça te va bien." MOUAHAHAH, j'avais raison. Pas mal mais bizarre d'avoir ça là. Hihi, je suis contente.

Bons profs. Beaucoup de taf à ce BTS. Beaucoup, beaucoup ... Intéressant, difficile mais faisable. Faire ses preuves ! J'ai peur. Se sont sorti leur balai du cul au lycée. Parce j'ai osé, ils osent. Faire bien le jour de la rentrée, faire comme tout le monde... Bouh ! Mais bon, sympatoche. Finalement, fallait. Suis repérée, classée, rangée dans une case par tous. Cheveux rouges obligent. Et maintenant : hihi !

Chic et choc, culture gé.

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