Mercredi 25 juin 2008 à 13:57
"Nu", crayon blanc sur Canson noir
Détails troublants. Je suis toute et j'attends. Je suis en avance, je suis toute seule. Et je ne parle ni turc, ni arabe, ni créole. Perdus parmi les paires de baskets. Pas de doc ou de chaussures de mickey à l'horizon. Niet. Black, green, yellow, blue, white. Schtroumpféique. Visage pâle se sent seul, sale, et délavé. Bientôt l'orage grondera. Et je serai seule. Encore. 10 comme Zidane, capitaine du navire et envie de s'en sortir. Ne pas devenir comme euxanimaux domestiqués par les maîtres du monde. Leur fric pue l'excès. Et leurs costards troués d'injustice. Ne pas rester coincé sous les barreaux de l'échelle. La galère, c'est pas pour moi : mon voilier vole au vent. La pluie s'émancipe. A défaut de gouttes sèches. Dure, la culture des confitures. Déconfiture, des cons firent "Tud". Déception de la mission. Paris me fait un drôle d'effet, le Toursblue. Pas forcément si simple à vivre. Connais personne. Et je joue avec ses sourires jaunes, m'éclate à disserter virtuellement sur des conneries. Merlin, l'écureuil, l'écuyer, les cuillères. Pokemon, ensemble pour la victoire, Pokemon ! Toudou. La pièce de Baffie, c'est Toc-toc, comme le Ouistitruffe n'amoureux, n'il est toc-toc. La playlist de malade, sonata arctica fait bander mes oreilles. Miam, is mine. Adjectif mélioratif sans cheveux. J'laisse pousser les miens. Naine et fière de l'être. Mais si moche. C'est moche.
Ce sont des immigrés. Payés une misère. Et la confiance règne. Il y laissera des plumes. Le bateau, la baraque, l'autre, la SCI, les bagnoles, le jardin. Et oui Salopard, on coupe en deux. Ca vaut bien 15 ans de maltraitance d'esprit. Connard. Moi je me gausse devant tant de conneries. Finalement, j'auai pas porté plainte, mais il payera cher. Il va devoir céder ce qu'il aime le plus au monde. SON FRIC ! MOUAHAHAHAHAH. Nous qu'est ce qu'on s'en tape. L'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue. Ca facilite la vie de la tune en folie. Alors. Je me laisse dire que notre putain de malheur pendant toutes ces années auront bien mérité une punition. HAHA. Pauvre petit beau père. Pauvre petit violeur de mouche. Tu payes, tu payes, Tu payes. Ta folie n'avait de limites que ta mégalomanie. Ca va te faire faire mal et bien plus qu'à nous. Encore une fois, le plat servi est surgelé et ça va te faire mal aux dents. Je prends mes revanches sur tous ceux qui. Je suis le Comte de Monte-Cristo. Mais je laisse le temps faire sa mission. PUNIR. MOUAHAHAH. La psychopathe.
Tout comme l'autre qui est attaché et qui découvre ce que c'est. Tu souffriras toute ta vie bonhomme, t'as pas su tirer profit de la chance qui t'étais opportune.
Aussi, grande nouvelle. Je suis GUERIE !! Enfin presque. D'un coté, je rêve toujours d'atteindre les 39 kilos qui m'allaient à ravir. Mais la Raison me ramène à 42. Je ne vomis plus. Je ne jeûne plus. Je ne jeûene presque plus. Je ne compte plus. Je ne me pèse plus. Normal pas de balance et encore heureux. Bon, je ne mange pas énormément. Je mange normalement au moins une fois par jour. Je fais gaffe quand même. ET je marche, je marche, je marche je marche je marche je marche je marche. Au moins une heure par jour. Et le sport collectif, à deux. En clair, pas vraiment guérite la fille, mais pas obnubilée par son poids. J'me vois de plus en plus gross alors que j'ai perdu un kilos. Pas de balance masi je le sens, je le vois au toucher. Toujours cette ambition d'être bien. Mias je suis mieux dans mon corps.
Ceci dit, moins j'ai de miroir autour de moi, mieux je me porte. Et cette sale gueule de schtroupf. Bref. Je suis MOTIVEE pour les Arts Appliqués, et c'ets tout ce qui compte.
A bon entendeur, salut.
J'avais envie. NA !
Mercredi 28 mai 2008 à 18:52
On avait créé la NCM en troisième. Un parti politique de merde, communiste à outrance. On était con et on rigolait bien. J'étais K. S. Vous croyez pas que je vais vous le dire quand même ? Bref. Qu'est qu'on s'poile entre casseroles. HAHAHA !
Rhem. Passé ma journée sur des blog d'ano, myspace de Werber et sur mon pastel. D'ailleurs. Une des deux croûtes au bureau de ma mother. Séparées elles sont. Bizarre. Bref. On m'a fait une commande de quatre peintures. Et ma mère a fixé le prix à 50 euros l'unité. Ca en vaut même pas 10. Y'a des gens vraiment tarés. Enfin, ça me paye l'heure de coutelage de peinture au smic. C'est fou. J'pensais vraiment pas que ça pourrait plaire. Elles sont pas tip top. J'préfère et de loin, mon pastel avatarté aux spots bleu et rouge. Enfin, ça pourra me payer un bout de Condé. J'ai hâte.
La fille à Estienne a fait une dépression, 10 kilos perdu en moins de deux mois. Trop de boulot en MANAA. La pression, plus de vie sociale, des projets à rendre même si l'inspiration n'est pas là, des cours de croquis parfois chiant. Mais moi j'aime. Bosser à l'arrachée. Parce que l'inspiration vient au fur et à mesure et faut tout recommencer. Et puis que j'aime peinturlurer. Chercher les idées où personne n'irait les chercher : dans la poche droit de mon pantalon, à côté de la joie de vivre. Je sais que l'année prochaine sera difficile. Mais je ferai quelquechose que j'aime.La difficulté ne me fait pas peur. J'ai envie d'avoir l'esprit utilisé. pour ne pas penser aux crises. Pour ne pas penser au manque de O.O. Pour ne pas avoir le temps de manger. Pour pouvoir faire l'artistique. Et PROGRESSER en dessin. J'ai vraiment envie de cartonner en art
Tal ours, j'ai fait le cake à l'huile d'olive/amande/citron du blog de Lisanka. J'air emplacé l'huile d'olive en mi-huilolive, mi-huilenoix. On verra bien. Je sais déjà que je ne vais pas aimer. Mais ça sent bon. Il doit être ready :)
J'adore Cat Stevens et Bob Dylan. Les choristes et la zic classique. Je me fais une cure de vieilles zics. Woodstock et tout le tintouin. Surkiffe. Un de mes mots du moment, avec "cool" et "chouette" et l'inconditionnel "putain". D'ailleurs, je sens que cette quadri-colocation va pas être toute rose. Enfin c'est juste deux mois. Mais je me rends compte que j'aime vraiment la solitude. Qu'on me laisse peinarde dans mon monde. Loin de là. Où je fais n'imp. Mais où je prends mon pied.
Ce matin, j'ai mangé une mousse au chocolat. 10,2 cl. Et puis j'ai mangé un petit bout de reste de poulets/patates. Ma mère cuisine vraiment trop trop bien. Moi j'préfère préparer le sucré. Même si je préfère le salé. J'ai ensuite fini par une autre mousse au chocolat. Je sais pas combien de calories j'ai ingurgité. Je m'en fous. Ce soir, ma mère part taroter et voir le Cricri del amor. Vais pouvoir dire des conneries et manger léger. Déjà que je freine grave le pain. Remarque, toute seule, j'en bouffe jamais. Sinon c'est une drogue. Dur, oui d'arrêter. Et puis freiner la viande. N'autoriser que le fromage de chèvre. Et puis voilà. T'façon, c'est pas moi qui paye la bouffe, j'peux pas me permettre de faire des crises. Et puis j'peux pas vomir. Donc c'est tout bénéf.
Je sais qu'il vient de me mentir. Je fais quoi ? Ca va être le même cirque que l'été dernier ? Rha. Mais rien que d'y penser, j'ai un noeud au bide. Comme une vieille envie d'extirper tous mes boyaux hors de mon corps. J'aime pas ça. Comment je peux avoir confiance dans ces cas-là. Faut que je prenne sur moi-même. Toute ma vie ? J'préfère pas y penser. L'année prochaine sera un calvaire. Je retourne à mon oil pastel, ça va m'détendre.
POUAH CACA BOUDIN. SALOPE !
Vendredi 25 avril 2008 à 1:09
Des pics le mardi. Qu'y a t-il à lire ? Va pas être content. Tant pis. Ca résoudra un souci de cohésion sociale. HAHA. Parlons-en, de cohésion sociale. Et voilà comment commence mon gros travail de prise en charge. POURRITURE ! Triple album. Et je me dis parfois que je chie dans la colle. Je chie dans la colle. Hum. Je sais pas ce que je vais faire. Y aller ou pas. Y aller. Ne pas y aller. Ma moto à pédale est chez Oin-Ouinou. Le don de refiler des surnoms bien stupides. Très très stupides. Et la classe dans un costar. Et le ouistiti à poil d'été tout moche, tout nu du bulbe. Si c'est pas triste ! Et puis, les cours. Supports de dessination. Nu et nu. Les scannerisations sont merdeuses. Et puis j'aime bien les courbes féminines. Sauf sur moi. HAHA. Je me pose pleins de questions. Et j'ai plus envie de boumboum. Gruik qu'il dit. Je suis d'accord, mon chou. Et j'ai eu plein plein de textos d'anniversaires. Trop d'amis. C'est fou. Genre, j'suis populaire. Merci les potes :) Et la bellisima familia. Et puis et puis. Et puis. Voilà. Je suis bien avec mon nouveau vélo. Et j'ai pris 4 kilos. Y'a deux ans, je pesais 9 kilos de moins. J'ai pris du muscle... "Oui mais t'étais anorexique" qu'il a répondu l'pétiot. Oui mais j'étais "mieux". Faut se reprendre. J'ai un mois. Au moins. Enfin j'veux retourner à un poids correct. Naine. Je suis naine en plus. Si je retourne à 43 et que j'y reste j'aurai un IMC égal à 18,5. Ca sera niquel. 39. Je déraille parfois. C'est où la sortie ? J'm'accepte mieux, mais encore 9. Genre c'est pas logique, j'veux la conne.Today, 40 minutes de marche, 30 minutes de vélo. Faut rester comme ça. Demain, lycée-maison x3 grâe au midi puis cherchage de bébé'ion au lycée pour pas qu'il se fasse emporter. Donc ça fera un bon 1h20. Et après récupération du vélocipède. Et 30 minutes de vélo pour aller manger un bout chez un gros caillou nommé BouchMan. C'ti pas cool tout ça ? Je me dis que j'ai plus de gueule, ni de corps. Trop la honte de sortir dans la rue. Donc ça me motive. Ca me motive. Et malgré un restau de ce soir. La bonne cause. Demain, ça sera 21+1/365, donc il faut il FAUT. NECESSAIRE. J'ai plus de piles dnas mon empicerise. Bouh. HAHA. Dododouche. Même pas fait le dossier. Je suis toujours malade. Hum.
Demain :
- Dossier CPAP
- Cours pour Clémence
- CV pour Sub et Nob
- Lettre de motiv
- Top Office.
- Chèque Asso Immédia !!!!
Ah ce Noute ! Ces caféterriens, ces gros cailloux, ces virtualités. Cette classe m'étonnera toujours :)
Pour la précision.
En haut : format raisin, papier recyclé et pastels secs.
En bas : 20x20, papier machine, crayon de papier. (Et mauvais scannage)
Lundi 14 avril 2008 à 13:54
Je ne sais pas si je suis contente ou pas d'aller à Paris. J'ai envie d'être seule. Terriblement. C'est pas général, c'est maintenant. Je remarque que je n'ai pas d'ami. Ca fait mal. Au plus profond. Ils partent. Je suis transparente. Je pourrais mourir demain, personne ne le remarquerait avant quelques semaines. J'y pense souvent. A ça. A une éventuelle fin. Parce que voir le bout est salvateur. J'ai l'impression de perdre. Du temps, lui, moi, nous, des cellules. Je voudrais perdre. Du sang. Y'a des jours comme ça où j'ai pas envie. Tout ce que je veux, c'est la fin. Un beau n'est pas laid. HA. Ris petite garce. Je meurs. Antigonesque. AHAHA. Je dis des stupidités stupides et que dire. Des stupidités stupides. Je perds pied. Non j'assume plus. Je prédis une fin lente et douloureuse. Cassée disait Nolwenn aux belges. Non, j'ai rien contre les belges. Je me sens d'humour gothique. Je sens. J'ai mal aux deux cartilages. Je la hais et je l'aime. Je les perds. Putain de Marivaux. Ce temps si précieux. Chambray m'a tout fait. Il m'a tout fait. Rayé d'une croix. Rayé tout court. J'ai plus le cran de le faire autre part. J'ai plus que dalle. En espérant se re-faire une peau. Genre. Jouer la p'tite bourgeoise dans une école d'art. Même pas cap. Et j'attends leur putain de recommandé. Fais chier la bite. Et restons. Cassé. J'ai pas envie de rester comme ça. J'étouffe. Bordel de merde. J'aimerai crier. Je n'ai plus aucune patience. Plus aucune truc. J'ai plus de vocabulaire. Et ouaich, la com-si, la com-la. Tu crois que ça me plait ? TU CROIS QUE CA ME PLAIT ? Ils sont si loins. Ils me manquent. J'ai quoi ici ? Allez, remiment, régiment. Plus ailleurs, plus froid, plus chaud. Plus conne. Tu comprends donc pas ? J'ai besoin d'être guidée et d'initiative. Ouais. Ces rêves sont de plus en plus choquants. Glauques et redondants. Eteins juste la lumière en partant.
Vendredi 4 avril 2008 à 3:01
Ca se voit dans ses yeux. Il ne reste que quelques jours : vendredi, puis lundi, puis mardi, mercredi, jeudi et re-vendredi. Et on finit par un dernier lunid-mardi-mercredi. Soumission. Et l'école est fini. Sainte Marguerite, the end of this band. J'écoute Sonata Arctica en boucle. Je bande rien qu'en entendant sa voix. Nouveau tee-shirt. Crade HAHA ! J'kiffe jouer avec la peinture sur le tissu. Faire du n'imp avec un tee-shirt tout droit descendu de Pétasseland. Mouarf. Je respire enfin, de savoir que c'est la fin. Accro est.
Aujourd'hui, j'ai fait un gateau au chocolat "vite teuf" : 200 gr de chocolat patissier fondu, 125 gr de beurre fondu (demi-sel), 250 gr de sucre, 80 gr de farine, 4 oeufs, un sachet de levure, 10 cl de lait. Le tout 8 minutes au micro-onde. Et miam. Une seule part. Même pas de boulimie. Une petite part. Un douzième. Le chocolat m'écoeure. Avec Pâques, les Kinder Bueno White. Beurk. Ca me dégoûte, j'avais envie de gerber. Et envie de faire un gâteau.
Aujourd'hui, j'ai mangé 220 gr de haricots verts avec une vinaigrette moutarde-sel-poivre-huile-vinaigre-persil très vinaigrée. Et quatre tranches de jambon xD deux ou trois. Un menthe-thé avec deux sucres, trois verres mégavitaminés en C, une barre céréalière et une part de gateau au chocolat. Grave. Gravissimo. C'est en fait très simple de retomber dans la merde. L'estomac suit le rythme. Il digère, évacue. Dans la plus grande normalité, pour mon plus grand bonheur. Le bonheur de chier. C'est ptêt cru, certes. Mais ne pas se sentir ballonnée, une sensation neuve de quelques mois. Le genre de truc qui met du temps à revenir. Beaucoup de temps. Ou au moins suffisamment pour que ce soit appréciable de faire des sudoku sur la place de la reine. En se disant que non, les doigts ne participeront plus à la simulation. Ou presque. Mais Dieu que c'est bon. L'euphorie du mal de bide. L'euphorie d'être une conne. Même pas un seul petit gramme de perdu. Mais ça, j'm'en fous. La balance peut dire ce qu'elle veut. C'est juste la pelle. Le trou, le creux. L'amertume.
J'ai plus de tabac à force de dépanner des clopes à tout le monde. Non, je ne taxe pas. Avant je ne fumais que les clopes qu'on m'offrait. Maintenant, je ne fume que les miennes. Je ne fume que ce que j'ai ou rien du tout. A moins d'une belle proposition.
Je dis de la merde. J'ai pas bu, trop fumé ce soir. J'apprécie de créer même si c'est moche. J'apprécie d'être auprès de mon OO. Il me donne faim. Le voir, c'est guérir de beaucoup de mal. Je me sens bien avec lui. Comme si j'étais belle. Comme si j'avais un peu de valeur, ne serait-ce que pour lui dire qu'il y a quelqu'un. Même si je suis chiante. N'empêche, on rigole bien. Rien de romantique dit comme ça. Ouais, j'm'en fous aussi. C'est de la tendresse dont j'avais besoin. Sa générosité. Et je deviens tellement mièvre. J'me rends compte à ses côtés que j'ai rien dans le crâne. J'aimerais être lui. Lui offrir plus. L'impression d'être une conne, clocharde, mauvaise, chieuse. Mais d'être aimée. Parce que nuancer tout ça. Rha. C'ets chouette l'amour. C'est cool. C'est fun fun fun. Et cet article est pourrave. Mal écrit. Les mots sont bloqués. Faire gaffe au vocabulaire, non. Pas ici. Nulle part et c'est bien dommage. Grosse conne que je suis. Mais bon. Je m'aime. Quand je. Parce que. Et puis merde, brut de coffre. Et j'les latte tous dans les épreuves que j'aime. J'les latte tous quand je veux. Et ils verront. ILS VERRONT. AHAHAH. Je me gausse d'avance. On devient ce que l'on est ? Je serai. Mouarf. Les impressionner avec de la poudre de perlinpinpin. De la poudre aux yeux. Dans les narines, je ne les sens pas. Cette impression de les impressionner. Cette sensation de les sensationner ? Pouah ! Tu rigoles derrière ton écran ? Ouais Delphine, tu es vraiment. Vraiment. Qui suis-je ? Ou vais-je ? Je ne suis plus sure de rien dans mes choix de vie. Mais je tiendrais pour l'amour de l'art. Ca fait genre, ce genre de phrase. Je suis vraiment de bonne humeur ce soir. J'deviens. Je viens. MIEVRERIE quand tu me tiens. Toujours.
Je l'aime, je t'aime. J'aime. So grou. Gruik. And autre grouikitude. Ouistiti mangeur de banane. Ion qui se fait les dents. Mimi. Ne pas se perdre, ni partir avec les inconnus. Qui aime bien, chatie bien. Tu te [...] et tu te mets [...] sur le lit. Sur le dos. Et plein de N. Parce que des vrais gosses. Comme on les aime. Comme on s'aime. C'est beau d'avoir TOTALEMENT confiance. Même si hein, fallait le temps aussi. Esprit de merde qu'est le mien. Beaucoup de blabla, pour ne rien dire, comme d'hab. Travailler le style, ils disent. Depuis la 5ème. Mais moi. EGO.
Oui, je suis fleur bleue, ridicule. N'y faut pas 'rier. Ui. Je suis définitivement de bonne humeur. Malgré lundi et les 2,54. De très bonne humeur messieurs-dame. Enjoy yourself. De plus, pour finir, breakultime-kitkat.fr
YEAH BABY ! L'effet Sonata. Ondes Co, c'était vraiment géniallissime. Les gars, on recommencera un jour tous les trois ou quatre ? Hein ? Woooooooww ! En avant la zicmu !
Dimanche 30 mars 2008 à 23:16
16 heures de garde à vue. 2 bitures. Clope sur clope. En quête d'évasion de l'esprit. Se complaire dans l'inconscience. Psychédélie salvatrice. La bouffe fraudeuse. Tant mieux. Sentir le vide remplir le corps. La fonde des glaces dégraisse. Dégoûtée des Kinder Bueno White. Le lapinou au chocolat noir dans la garrigue. Chouille cafètérienne vincienne. Se souvenir des belles choses. L'époque où chaque jour était un nouveau, où l'avenir ne nous préoccupait pas.
J'aime l'avoir tout près de moi. J'ai besoin. Besoin de souffler, d'en finir de tout ça. De redevenir celle qu'on était avant. Il faut se battre et se remotiver. Voir du monde, s'occuper les mains et l'esprit. Dessiner. C'est pas si compliqué. Il suffit de ne pas flipper. J'ai désespéremment peur de l'avenir. Reprendre confiance et vivre au jour le jour. Meurs un autre jour, demain en sera un autre.
Et j'écoute Renaud.
It's hard to believe. Hard to live. J'assume. Mal certes. Je prends mes responsabilités. J'ai l'impression d'avoir pris 10 ans en une nuit. J'ai 30 ans. J'aurais espérer mieux de ça. Le mur est bétonneux. Le regard méprisant, l'esprit cloisonné. Toute cette histoire enjolivée et l'image à jamais dégradée, salie, noire. Vraie mais si erronnée. Si vous saviez cher collègue... Mais je m'en fiche. Je m'assume. Faudra juste ne pas. Je suis une autre. Trop. Perdue. Vraiment à l'Ouest, à l'Est. Et cette déception si visible. Achève-moi Baby. C'est pas ma semaine. Révélatrice mais le cap est difficile à passer. Seul point positif pour l'esprit : l'estomac qui fait le rebelle. Pas pour l'organisme. J'aime cette destruction. Retourner 4 ans en arrière, état d'esprit si mort. J'commençais à m'en sortir. Ouais, comme ils disent : "J'suis dég' ! ... "
Faut avoir de 'imagination pour trouver une chute rigolote. J'en rirai dans quelques temps. Dans 6 mois. Et encore. Être forts. FORTE ! Pfiouuuuu.
Lundi 3 mars 2008 à 22:53
Je me déconnecte peu à peu. Je meurs et tue le protagoniste. Sid was here. Revirement de situation pour viser plus haut. Penser à ne plus se méfier et jouer la prune qui compte pour une brune. Un brin. Animé. J'aurais aimé. Je me demande. J'hésite, zig-zag et cherche, errant quelque part. Satured mind. Grind, destruction. Tu veux pas t'exprimer un peu plus ? Tu veux pas m'expliquer un peu plus ? J'aimerai savoir si c'est moi qui ait tout [.]. Recommencer à zéro. Assumer, partir. S'en foutre. Egoïste, ta gueule. J'en peux plus. Les larmes me réchauffent. Le vide me remplit. L'acide me consume. L'égoïste solitude me réconforte. Je ne trouve plus [.]. Mes mots. Qui que quoi dont où ? N'essaie même pas. N'essaie même pas. N'ESSAIE MÊME PAS !! Mais putain de merde ! Je fais quoi dans tout ça ? Poisson poisseux. Ca fait mal. Le désir de [.] qui s'enfuit. Plus rien à foutre. Même plus la peine. Même plus la peine...
Dimanche 2 mars 2008 à 23:44
Les effets. Innocent. In o sans T. Cette voix. Elles me séduisent. Fascination mélée à l'incompréhension. Noircies à la rage. Crie ta haine, crie ton amour. Crie ton amour. Encore. Exprime -toi... Que j'aime. En boucle !
Lundi 25 février 2008 à 2:53
J'ai peur de me retrouver seule. J'ai peur d'abandonner. J'ai peur de le perdre. J'ai peur de les perdre. J'ai peur de la solitude. J'ai peur de vomir, j'ai peur de grossir. J'ai peur. J'ai peur de ne plus m'entendre avec ma mère. J'ai peur de perdre mon père sans lui avoir dit. J'ai peur de ne pas être à la hauteur. J'ai peur de ne pas avoir mon BTS. J'ai peur de grossir. J'ai peur qu'il aime quelqu'un d'autre. J'ai peur de le saouler. J'ai peur de penser. J'ai peur d'être trop accro. J'ai peur d'écrire sur ce petit bout de toile. J'ai peur de ne plus jamais pouvoir dire avec ces mots ce qu'il se passe. J'ai peur de pêter un câbler. J'ai peur de les décevoir. J'ai peur de les laisser choir. J'ai peur. J'ai peur de ses silences. J'ai peur de mes projets. J'ai peur de m'engager. J'ai peur de grossir. GROSSIR. J'ai peur d'avoir faim. J'ai peur de ne plus avoir envie d'avoir faim. J'ai peur de tomber. J'ai peur d'avancer. J'ai peur de moi.
A marcher dans un couloir sombre, j'en oubliais les couleurs. A ma droite, à ma gauche, d'insaisissables portraits. Lugubres, sournois, tantôt mystérieux, tristes ou insondables. J'oscillais d'un regard à un autre sans parvenir à éclaircir tout cette trame si dense. Où l'incompréhension laissait parfois place à un soupir, je me détachais dans ma solitude sans raison particulière. En vérité, j'essayais juste sans y arriver, de me faire une place dans ce monde merveilleux que me construisait cet imaginaire sans limite. La ligne droite est beaucoup trop longue. Le pas est régulier. Il ne me semble pas que j'avance. Et pourtant. Ils me regardent. Insensiblement. Ils s'en foutent. Que voient-ils ? Les questions s'amoncellent, toutes aussi absurdes les unes que les autres. L'image en enjeu. On attend ce fatidique moment, où, dans un court instant, l'espoir renaîtra, ambitieux et fort. Pour quelques heures. J'ai peur. Parfois, les larmes coulent sans raison. La pression est là. Trop lourde. L'exigence est amère. La déception encore plus. Le remords semble t'avaler. Que faire ? La comparaison te tue. Rien à justifier. On voudrait y croire, on voudrait pouvoir fît de. Passer outre. Juste être ce personnage qui nous colle à la peau. Ce personnage qu'on déteste tant. Qu'on aime tant. Chasser le naturel et assurer le ravalement de façade. Leçon numéro un : être soi-même. Un jour, on a beaucoup ri.
Je m'en veux. Je lutte. Je lutte, je le jure. Je le blesse. A moins qu'il s'en foute. Les nerfs à vifs, le coeur en zeste. Les mots et la haine. Pousser à la fin. Je me demande pourquoi.
Parfois, j'ai envie d'abdiquer. De tout lâcher, et partir. Comme ça, à l'aventure. Tout recommencer à zéro. Tout ré-inventer. Être autre. Autrement. Comme un matin de printemps, où le soleil bourgeonne après un hiver glaciable. Parfois j'ai mal d'être. Souvent, j'ai mal d'être. Je voudrais être. Tu comprends que je l'aimes ? Fallait que ça sorte, quel qu'en soit le degrés de connerie.
Dimanche 9 décembre 2007 à 22:49
Bon faut se remotiver. SE REMOTIVER. Gérer pour un TH ou N. Et puis, remettre les choses en place.
Ca fait du bien de parler avec lui. Qu'il s'ouvre un peu, cet inconnu. J'ai espoir. Je ne sais pas. Je me dis que je pourrais prendre sur moi. Le laisser vivre. Sans l'emprisonner. Cependant, c'est la loi de la vie à deux. Ne plus se donner la simple limite de la fidélité, c'est aussi laisser la porte ouverte à toutes les fenêtres. Ce n'est pas se respecter. Faut-il respecter un corps mort et gros ? Si jamais ce "système" est instauré, peut-il s'arrêter ? Quand après ça, peut-on se dire : bon bah c'ets fini de jouer, on est des grands on en a profité, on arrête. Est-ce concevable ? Non et puis, ptêt que je serai capable. Au pire, mes deux plus grands fantasmes sont pris et fidèles. Et inintéressés, ou plus. Parce que ca me retenterait bien. Toute facon, je serais pas capable d'assumer. Je conçois et je ne conçois pas. Je me demande. Est-ce pour te prouver que tu es capable ? Je ne comprends juste pas la démarche.
Abuser de la crédulité ? Jouer le grand jeu et en profiter ? Prendre les gens (pour des cons) ? Manipulation sentimentale ? Parvenir à ses fins et se rassurer ou simple excuse pour infirmer l'attachement ? Le reste à la dérive. Liaisons dangereuses. Conséquences prévisibles et/ou inévitables. Ou pas. Esprit tortueux, va ! Respect des lois si cartésiennes, honorables par ailleurs. Si simple. Ennui et/ou manque de confiance ? Et sur le long terme ? Ennui et/ou manque de confiance sur le long terme ? Continuer ou laisser mûrir les idées et les esprits, voir si plus tard, plus tard, une relation sérieuse, et sans hésitation quelqu'une est possible ? Faire une pause réflexion avec un thé chaud bouillant et une clope à la main. LOBOMIE. Poser, peser le pour et le contre, ça balance. Ne pas laisser l'emprisonnement envahir les coeurs ? Choix réel ? On revient aux mêmes. Tourne en rond, comme la cuillère.
Je ne me rends compte de rien. Je suis paumée. Rassurée en partie, sur un truc. Et puis y'a ma mère. Et puis. Je sais pas. J'aime pas être seule. Tu comprends ? Et puis il me faut 450 euros pour dans deux semaines. Je me (prosti)tue ?
Faut se fixer un but. Soyons fou... Un jour, je serai belle et intelligente. Je serai réfléchie et calme. Et je serai forte. Aussi forte que maigre. Très. Un jour, je serai cultivée. Et je saurais créer. Je saurais faire. Etre fière. Un jour, je fermerai ma gueule. Un jour, j'arrêterai de faire semblant que je gère alors que je patauge dans la semoule. Un jour, je serai fixée. Et puis, hein ? Il arrivera quand ce jour ? J'veux être une rockstar. J'veux être une artiste. A défaut. J'veux y arriver. L'artisanant, c'est le premier secteur. Que ferai-je ? TH, allons-y ! Perfectionnement ! Et puis dès que je mets un mot de passe, ça bug, de toute façon.
Samedi 8 décembre 2007 à 21:58
Après, tu peux plus faire semblant. Essaie et tu verras. Tu dis le haïr. Pouffiasse ! La fille, elle refait surface comme ça. Comme si j'avais envie. Comme si je savais. Et puis quoi ? T'es malade, t'as la haine, t'arrives plus à maigrir comme un clou pour crever d'anorexie, comme une pro-ana qu'en peut plus ? Désolée Connasse, je suis dans le même cas que toi. Dans un corps qui ne veut plus de sa raison et qui se fout de tout ce qu'on peut faire pour parvenir à notre but. [Crever lentement comme des rats morts]. Quand la haine surgit, sans forcément provoquer de surprise, elle dévaste tout sur son passage. Tout est bouffé. Nan, c'est pas la haine de te revoir salope. C'est juste la haine d'être un sal cabot qu'on prend et qu'on rejette. C'est fini et je sais être hypocrite ou mettre des distances. Je n'attends pas une réponse du jour au lendemain. Seulement pas un mail tous les 3 mois. Va te faire foutre. Ouais, j'ai envie.
Même pas la peine de faire semblant. Même plus. Changement des passe. Changement de vie en perspective. Reste ce que tu es. Je deviendrai ce que je suis. Faut s'y faire. Accepter. Etre prise pour une conne. Rien foutre. Se faire chier. Se démerder. Je n'attends plus rien. Je voudrais ne plus rien attendre de personne. J'ai trop d'espoir. J'ai envie de crever. T'y crois ?
Qu'est-ce que je dis, hein ? La solitude, c'est juste humain. T'as l'impression d'être soutenu. Béquilles en bois, papier maché. Raté, caramba, ancore raté. Un jour, j'y arriverai. Hein ? Jm'en fous de mes poignets. Si ça ne tenait qu'à moi.
Ca ne tient qu'à moi.
Mercredi 28 novembre 2007 à 8:00
A quoi ça sert ? Est ce que j'en suis satisfaite ? Est-ce qu'on peut vivre avec tant de doutes ? Est ce que ça peut continuer à suivre son cours aussi tranquillement en apparence alors qu'à l'intérieur tout crie à stopper net ? Je me demande si on en prend conscience comme ça.
Ce qui tue, c'est se sentir. Un peu écartelée entre chaque personnalité, entre chaque moment. Un peu ici et là-bas en même temps. Un peu inutile, la plante verte. D'ailleurs, elles crêvent dans la nuit. Qu'on arrête de me faire marrer. Faut que je les revoie. Gnouk.
Il est clair que j'irai pas chercher ces solutions sur google. A quoi ça servivirait ? C'est assez marrant de voir qu'en laissant murir, ça vient tout seul. A part, la logique pure. éternel tableau, 30 données à classer pour finalement voir qu'il n'y a aucun ambiguité. Trois quart d'heure de résolutions. Moi je trouve ça drôle.
La médiocrité, ça affaiblit. Faut juste respirer.
J'ai envie de fumer. Pourquoi pas ? De bon matin. Puis ça m'empêche même pas de courir. Ahah, c'est ça qui est poilant. Tous ces efforts n'auront pas servi à rien. Et si j'allais en cours, 30 minutes en avance ?
Moi j'suis con et rester chez soi, ça fait qu'on se couche tôt. J'aime. BloupBloup et Taga.
Laissons le temps s'exprimer. En général, ça passe ou ça casse. Jouons avec notre ami Proxy. Et gaussons nous ! AHAHA !
Dimanche 11 novembre 2007 à 22:57
Je t'aime. Idem. Bis repetitia. Ter. Aboutissement et chrysanthèmes. Parce que certains jours, il vaudrait mieux crever. Crédulité, incompréhension, monologue. Un jour, je serai muette. Muette face au silence. Ca évitera de dire des conneries. Mus spongieux. Avale. Cesser de faire exister la transparence. Toute façon, qu'est-ce que je sais ? J'ai plus rien ici. Mes potes se barrent tous. Et j'ai filé. Je l'ai laissé. Y'a des jours où c'est plus le regret que la réjouissance qui te survient au coin de l'oeil. Je les aligne. Sinhead O'Connor. But nothing, I say nothing. La suite, on la connait, on y croyait presque. Amas de connerie. J'ai envie de m'insurger.
Lundi 5 novembre 2007 à 12:18
Affirmer ses convictions. Intègre mais en permanence. Mon clavier est crados, j'avoue.
Que dalle, hormis les Convers'. Page, se mettre à la page. SooOOOoo fashion, we must be. Besoin d'auto-expression, terriblement humain. Juste un peu risible. La rigidité de la connerie humaine. Et ce je-m'en-foutisme exacerbé. Même pas amer. Se taire et rentrer dans le moule.
Les filles se prélassent sur la place embrumée. Modèle vivant, tout nu, tout nu. Eduquons l'oeil. Tentatives stupides du Dulcolax. T'as cru quoi toi ? Le potassium est en hausse au 4-40. Choisissons.
Devenir ce que l'on aspire. Atteindre le. Mais dans un tel bordel....
Je perds pied, j'aimerai être. Je sais que je ne suis pas. Ca m'afflige. Je ne sais même pas comment y remédier. Il y a forcément une solution. Ou plusieurs même. Les farfadets seraient capables de nous induire en erreur. Mais nous ne sommes pas comme ça nous. Qu'il comprenne. Je voudrais vous revoir. Revoir ensemble. Juste faire le point et savoir ce qu'il se passe. Tout serait si simple ? C'est impossible, et ça je le sais. On ne peut me faire croire une telle chose. Qu'ils disparaissent tous de ma vie ?!
Que dis-je ? Je ne serai jmais plus. Qu'on y croit ou pas. C'est tout. Restons de marbre et contentons nous de croire que tout peut arriver.
Non, je me demande si j'y tiens réellement. Bonne question. A ce point ? Peut-être que non, en fait. Que c'est passé trop vite. Que les charme s'est enfuie. Je ne sais que penser. C'est peut-être vain. Peut-être pas. Le temps nous le dira, peut-on penser. Mais j'aurai espérer mieux. Je suis un peu trop lunatique en ce moment. Je ne sais plus quoi dire, ni quoi faire. Esprit rationnel et cartésien. Ce serait trop bon, trop simple et trop complexe. Des efforts.
Il faudra songer à changer.
Mardi 9 octobre 2007 à 23:37
Je pête les plombs. Il n'y a pas d'autres mots, c'est littéralement le bordel dans ma tête. Chaotique. Qu'on dise "mentale" ou non, je n'en ai pas grand-chose à faire a fortiori. Je me fixe des objectifs. Se reprendre en mains. Psychologiquement, mentalement et physiquement. D'un, bosser BOSSER. Et bien et efficacement. Aller jusqu'à sept. Parce que vide et vie n'ont qu'une lettre de différence, je peux. Ca tient tout. Déforme et déforme les tissus. Cette euphorie et vision atteinte, on avancera mieux, ne serait-ce que dans la motivation générale. Reprendre le dessus. Re-prendre le contrôle, et si ce n'est par soit-même, par les moyens. Parce que rien implique rien. Donc. Aussi bien qualitativement que quantitativement mais seulement exceptions faites. Ricain du mardi, plaisir. Tiens, me suis forcée à le terminer, même pas vomi. Commandé alors que même pas faim tellement ahurie. Clap clap, petite auto-félicitation nerveuse du jour pinçant gravement le combat.
Donc bosser, et retrouver la motivation perdue. Apprendre l'oral et à garder sa confiance. Bannir : "bah", "euh", "ben" et "en fait" de toute conversation, virtuelle ou réaliste. Et s'exprimer bien, normalement, couramment. Juste qu'on peut. JE peuX. Oui, TU PEUx le FAIre xD Hahah, cette bonne vieille méthode Couet. Faire que la nuit soit suffisamment bonne pour que tout reste en place.
Motivation, confiance, travail, rigueur. Tout se tient ?
Choisir entre le voir, rencontre essentielle pour ne pas pêter un câble et ne pas bosser. Et finalement pêter une durite par les efforts non fournis. Culpabilité et impotence. Ou bosser bosser bosser bosser bosser et se casser les nerfs parce que manque de mimi sourire de 'Ion.
Tout sera réglé quand nous serons dans notre chaumière, tous deux, au coin du feu. Ou au feu du coin; Hâte.
Soit, on s'en branle, fallait juste le dire. Et que cette classe est dépressive avec les ulcères au stomaco, les crises de takicardies, de larmes, les pêtables de comble, les conflits de hiérarchie profs/étudiants... Bref, ça ne vient pas de moi, jouons l'originalité avec une pêche incroyable, un moral d'acier, un mental en diamant, des résultats conséquents et le tour sera joué. Reste juste physiquement : 30 minutes de marche et assurer la suite. Tchuuuu !!
L'expression du soir ! Que d'énergies négatives à dilater. Appliquons les conseils que l'on donne à ceux qui n'en peuvent plus - Sainte-Marg,la_vie,la'arg! - et faisons sortir de bonnes augures de par tous ces motsbranle-bancales.
L'anniv de Fat le 10, ne pas oublier, to-day-morrow. Ca nous rajeunit pas tout ça !
Plannifions le 7. Un mois, c'est faisible. Il faut garder la volonté, la VOLONTé ! Puis mieux, nous excellerons toutes ensemble. Oui, à mes différentes personnalités, un peu d'ironie que diable ! J'aime mes dialogues internes finalement. Repartons gaiement !
7
Dimanche 7 octobre 2007 à 23:42
J'arrive, tout va. J'y suis. Infériorité, énervement. On perd du temps, du temps. Déjà, se retrouver face à soi-même. Ennui profond, comme mise à l'écart. Auto-mise à l'écart par sa propre médiocrité. La jalousie qui parle. Associale et pourtant si intègre. Peut-être que non au fond. Repères perdus, perdue tout simplement.
Dans le "qui suis-je ?".
Plus la motivation. Les cours en suspens, ne plus penser qu'à perdre ce "précieux" temps. Je ne me rends pas compte. Je perds pied. Cette im-pression m'angoisse. Je panique, panique, panique. Me raccroche à l'avenir. Et voyant toutes ces réactions adolescentes, mais putain, réagissez !! Je cache mon jeu avec un peu de mal. Je ne crois plus en grand chose. Mais le vie me fait sourire. Je ne sais pas ce qu'il se passe. De plus en plus lunatique. Mal en dedans, comme rongée. Comme si tout ceux-là s'étaient éloignés. Ne plus se reconnaître, et se accrocher ses espoirs dans l'arrière. J'espère un instant qui ne viendra pas. Et tout en vient à s'obscurcir. Ils sont loin, comme si j'étais partie, mais la vie continue. J'espère juste que. Impressions nauséabondes. Ca pue à l'intérieur de ma tête.
Ne me reconnais plus. Etrangère. Capricieuse dans le rôle de l'enfant. Nul ! Ca te dégoute pas ? Ce petit jeu médiocre. Où oui,
faut tendre toutes les perches. Se laisser piéger. Je ne sais pas.
J'ai
envie de dire MERDE à chacun. Ouais. Plus la patience. Qu'on me fasse
pas chier/ Certes en position de cancre. Mais m'en fous. Plus rien à
foutre de ce lycée. Plus rien à foutre de ce putain de BTS. Je
l'aurai. Rabourd le soporifique, 2 mots à la
minutes et de la motivation bien dissimulée. Des incompétents comme
Bolyos ou Brillant. C'est fou. Fou. Puis, à croire qu'ils s'en foutent.
Ils veulent juste du chiffre. D'affaires, de réussite. Bande de connards. Que
des chiffres sur du papier machine.
Colère contenue, rage. J'ai cherché et cherche encore. Les réponses ne viennent. Ca se voit pas sur ma gueule. Certes. Etre celle que. Les ai observés. Je n'y arrive pas. A côté, en vrac. Je ne sais pas si déjà, la tension. Je ne sais plus comment. Je sais plus rien et j'en ai marre. Putain... Cette frousse dans le dos, la pression qui monte. Mais finir, finir ! A croire que ce monde est bien loin du mien. Et se prendre en main. Je rêve. Cauchemard. J'en peux plus. Est-ce illusions ? Lié ? Cherche pas plus loin, s'en fout ? Besoin de parler. Coquillage. Je voudrais sortir de là. Juste dessiner. Ouvrir la porte pour s'exprimer. Vous verrez. Crêve. Crevée.
She hangs her head and cries in my shirt,
She must be hurt very badly,
Tell me what's making you sadly.
Open your door, don't hide in the dark,
You're lost in the dark,
You can trust me,
'Cause you know that's how it must be...
J'arrive pas à être suffisamment fun, ouais. J'arrive pas à partir. J'arrive à rien et j'veux tout balancer. J'm'en branle du BTS, de Kaedrinn, et de tous les autres gens. Ou pas. J'en branle quand même, parce que ça me fout les boules. J'veux plus faire semblant de tout. Parce que personne veut croire que j'en ai rien à battre. Mais voyons. AHAHA, Si j'avais les tunes, je serai déjà à Rennes. Ouais. On s'en fout me dira t'on. Monologue à la con. FUCK... Je dois rien ou l'inverse. Même pas de point d'interrogation, j'ai ma réponse finalement. Faut faire semblant. Sourire à la con sur ta sale gueule : ça va tranquille. Oui.
Je hais ces putains de personnalités. Je hais mes extrèmes, ce truc là.
Tu te la fermes, petit hobbit joufflu ?
Ouais, j'arrête, ça va mal se mettre.
Ca fait du bien de dire tout ça. Sans rancune. J'dis et fais ce que je veux, exutoire.
Sad Moon. J'aime la vie.
Lundi 13 août 2007 à 19:13
Moi je rigolo, quel dingorigoloterie, j'te dis. Ecouter trop attentivement et se garder tout sa rage. Mais ca fait mal putain. J'aurai aimé et j'aimerai pouvoir hurler. Hurler et dire toutes ces méchancetés, ici hors contexte :
"[...]"
Et puis merde, ca me regarde, j'ai même pas envie de dire. A quel point je voudrais être méchante et pas une bonne poire, un truc qui se fait avoir. J'aimerai dire : "tu te tires et on en reparle plus" *Mias je me fais pas avoir hein ? J'aurai pas à regretter non ?*
Mais non. Moi chui con moi, et ouais, moi ch'suis con. Ouais, un p'tit peu trop sado maso pour arrêter de le voir, un peu trop accro. Et ptêt malheureusement parce qu'il recommencera forcément. Ou pas. OU PAS ! OK ? AHHHHHHHHHHHHHHH. J'ai envie de hurler. Le voir m'apaise et m'enlève tous ces mots haineux que je devrais peut-être dire. C'est ça, basse.
Et ya ces embrouilles avec ce putain de corps que je me trimballe. Des vomissements à la bile tous les jours. Même quand je bouffe pas. Fait chier. Et maintenant du sang dans les urines. HA. Genre, c'est pas drôle. Non, c'est pas que je t'aime pas que j'en ai rien à foutre de crever. C'est juste purement égoïste. Genre, c'est cool si t'es là, mais si je crêve, ca me fera que dalle que tu sois seul parce que je sentirai plus rien. Et dans ta tête de minable conne jalouse et possessive : "et tu pourras t'en trouver d'autres à baiser sans culpabilité". Oui, je pense méchant. Je me tais parce que je pense gentil aussi. Mais au fond de moi, ça rame. Tu réponds oui à : "ça va ?" et on te dit que tu mens. Et bah ouais, j'ai pas envie de dire que ca va pas parce que, de toute facon, bande de cons, vous vous en foutez.
J'assume ce putain de choix, cette putain de rage que je tais, et cette putain de vie.
"Tu es en coupure mardi ?"Oui, la question fait peur. Comme envie de répondre : "ouaip, tu pourras la revoir ta copine" Mais ça fait mal d'être parano. Et ça lui ferait mal aussi. J'entends déjà les "il le mérite" à la pelle. Et ouais. Je suis d'accord. Mais pas du tout aussi. Je sais bien ce putain de ressenti à la con de l'infidélité. Miséricorde. Misère, y corde. Ouais, je me la joue à Yahan et j'emmerde tout le monde.
Mon humeur est constante, la lune est partie, même si dans ma tête, je me laisse encore de l'espace. Oui, j'avoue que l'alcool rend con et que j'ai surement été engageante. Comme d'hab : ouiiiinnnn, c'était bien avant. Tu te souviens ?
Désolée Fat, mais t'es un connard infidèle *[...]* et le passé appartient au passé. Range tes rêves et tes désolés à la con, moi j'en veux pas, et j'en ai jamais voulu. On est vraiment con quand on est amoureux. Trop aveugle. *Comme là* J'avoue que pour me suivre, faut du courage. J'espère juste qu'il mesure. Qu'ilS mesureNT. Remarque les vrais potes tu les vois : Chachou No'm Aude Kiki et LOUTE. Putain de Gribou. En tout cas je suis à 44. Deux en une semaine, c'est peu, mais c'est mieux que rien.
Keeping smile. Ouais, m^me si c'tes pour sauver l'apparence et le "je m'en foutage d'être humiliée" Genre... L'apparence suit alors tout ets bon. Juste dansla tête que ca va pas et l'organisme qui se fout de tout.
Finalement calme; sereine et parano. Mais bon hein, over-aimante, c'est tout ce qu'il faut *T'as d'la chance ouais...* J'y crois ? J'y crois. J'y crois... Mouais, allons y sur les doigts de pieds. J'aime. LAM. Continuons. THOMANN RULES !
Mercredi 8 août 2007 à 0:09
Avouons.
Jouer, jouer et jouer. Sur les mots, les notes, les idées et les nerfs. Jouer. Jouer du regards, des souvenirs et des futurs plans. Se balader le coeur ouvert à l'inconnu. Faire des concours de merde avec des potes. Aller à des concerts, se prendre des murges, être défoncée, délirer sur des conneries, se moquer de soi et des autres. Des autres. Dérider le pessimisme des situations quand rien ne va plus, ironiser la bétise humaines. Sasseoir à l'ombre d'un arbre avec un paquet de bonbons, aller à la piscine et faire des plongeons et des plats. jouer au loup avec Xavier et crier quand il me rattrape.
Il y a tant de choses amusantes.
Entamer une conversation avec les gens de la table d'a coté au bar, ou avec le/a serveur/se. Aller à une expo plus ou moins bonne. Se retrouver dans une situation de merde à cause d'un détail de merde. Parler anglais comme une vache espagnol et leur dire fièrement que mon anglais est "terrible" (Better than my french !) Faire rire ma petite soeur et avoir 3 ans. Ca c'est drole. Jouer aux cartes en écoutant de la zic, se foutre de la gueule d'une série bidon et user des lames en rigolant trop fort. Rencontrer des MSNiens, en se disat que leur voix est différente de celle que l'on ldeur imaginait. Voir Les Voleurs de Swing. Et les amis. D'une marquise à un gribou, d'une riot à une Robert. D'un caillou à un caféterrien. D'un squatteur à un musicos. Qu'importe, j'aime les gens,autant que je peux détester d'autres aspects de la vie.
Bon, liste pas vraiment très complète.
Voilà, taisons ces voix. J'aurai juste aimer savoir. Parce que ca contnuera pas comme ça. Bastos m'a laissé un peu de beuh de Hollande. Juste de quoi. J'y pensais. Mon testament, si un jour je crêve. Revu le Gribougnoute et le Gribouponke. Le trio à Saumur. Et là, ca cartonne. Parce que ca fait du bien ce trio et que c'est un trio de fou, a l'aise comme avec Gwen. Pas de qoi se taire, toujours à mater parler, remarquer, déconner. Je me demandais si ca manquait pas. Je crois que si. Les réunions mensuelles devraient être moins espacées. J'entends déjà Chachou : fait le timide ? Tu veux que je réponde quoi ? : "Pourquoi bois tu ?
Pour oublier ?
Pour oublier quoi ?
Qu'jai honte ?
Honte de quoi ?
Honte de boire...
Quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir. "
Merci Little Prince. Donc ce sera murge. Histoire de pro-fi-ter. Non, mais. Pas envie de passer ma vie à galérer et m'inventer une vie que je désire. Je ferai ce qu eje peux, masi je le ferai. M'en branle. Ils verront. 46 dimanche. On rêve ou c'est interdit ? Les répétitions m'épuisent, ces mots, ces mots, ces mots. Toujours le même quotidien. L'année prochaine, Bike Road Trip around East Europ. Yeap. On en rigolera. Motiver les deux autre gribous et leurs moitiés et partir. Comme avant, sur les routes de nos improvisations. Nostalgie, antalgie ? Hahaha. Ca fait du bien d'y repenser en fait. Et de voir qu'on est les mêmes, au fond, et qu'ensemble, ensemble. Les mots n'ont pas de poids. Nous. On s'y tient. Come back. COME BACK !! HAHAHA, j'ai vraiment peur du futur. Et tellement peur de ce que je pense, ces vieilles décisions. On s'en sortira a t'on dit... Mouais, je reste perplexe... Sceptique.
Que je n'aime pas remettre en question ces choses si simples. Rebrouer la Terre pour le plaisir de se torturer les neurones. C'est bien con, me dirait vous. Jeudi, aération : Paris, maitre Zen/Olivier, et Ben de Brassart. Haha, rencontrage et allage à l'expo rock. Héhéh, j'aime Paris. Et ! Et surtout... J'ai besoin de voir du monde. Et les gens que j'aime d'abord. Cités plus haut... D'une marquise à un gribou, d'une riot à une Robert. D'un caillou à un caféterrien. D'un squatteur à un musicos.
Gniiii, soufflons...
Gerbe-ligne et A. A deux balles, Yahan.
Mercredi 27 juin 2007 à 23:47
Tout faire pour que rien à y comprendre. Changer tout, l'interprétation on
s'en branle, quelle que personnalité que ce soit. Voilà. Ou va te faire foutre.
C'tout simple après tout. C'est ma place, pas à trouver, squattée par des
voyeurs. GNI, pauvre conne que je suis. :) A croire que j'y prends mon pied.
Economie de mots, de tout. Bouffer tout ce qui est perimé dans le frigo alors
que. Pfiou, principe à la con. Rien à foutre de cette bouffe, j'en voulais pas,
on me l'a imposée. Vais demander une location. Puis voilà, prendre deux tonnes
à cause de ça. S'est bon, moi ossi je vais écrir comme sa, puis que tous le
monde c'en foud de la grammaire française.
C'ets bien égoïste d'être malheureux en ce monde, mais qu'est ce que c'est
égoïste d'être heureux moi j'dis. Petit mannequin superficiel. On se demande
vraiment, sous cette tonne de gel. Dégoulinant de connerie infantile. J'entends
d'ici les interprétations à la con. Putain !
L'avoir retrouvée, en fait vouloir la revoir. Ne plus se faire de films et
attendre rien du tout. De toute façon, j'attends rien de personne, au moins,
pas de déception. On est toujours tout seul dans la vie, c'est une certitude,
donc pas besoin de béquille. Finalement. Survie bien anticipée, la rage
maintient en vie, et maintient l'envie. Pulsions déraisonnables, ok bon, et
puis. Mais se dire que quelqu'un attend peut-être quelque part.
Courir après tout et n'importe quoi. Et voir qu'on ne vaut rien. Tout faire
pour ne pas. Essayer.
Demain, cours de dessin.
Ne pas se poser de question. The Kaedrinn Show qui s'améliore, même si. Et rien à dire sur ces mimi Kaedrinniens sauf Gwen qui fait parler les sous-douées pas prêtes psychologiquement à ouvrir la bouche. Ne pas s'en faire, prendre des résolutions et voir se fonguer réactions adverses du camps ennemis dieu que j'aime les répétitions, le fait de se sentir vide et trop pleine, seule et pas du tout.
Finalement, être seul avec soi, ça apprend. Faire le point et se dire. Encore ces balivernes controversées. Bien amphigourique. La solitude a du bon. Sur que ce jeu est mauvais, les rôles mal disribué. ET ME FAIRE KLAXONNEE PAR CE CONNARD !!! Rien que de la merde.
Et l'autre aussi, à croire que c'est la journée. Fanny, Lola, soeur Chose. Ptêt qu'avec ces artistes, j'aurai de l'inspiration. Ca, c'est vriament chouette
Finalement, être morose, ça conserve. Ce rêve était vraiment bizarre, décalé, sournois et lent. Histoire de te dire que le bonheur n'est qu'une idée et que ce n'est rien de concrêt. Perception hypocrite et intermittente voire seulement passagère pour ce qui croient qu'il y a de l'espoir quelque part. Haha, c'est beau. Les fleurs brillent dans le ciel étoilé et le soleil s'ouvre peu à peu sous les feux ardents des nuages ensevelis sous la neige. Ch'suis pouet moi. Ouais !! De la couleur partout (bleu, merci l'UMP et noir pour les croque-mo(r)ts, et liberté d'expression), de la tolérance (zéro), de la sécurité (belliqueuse). On y croit sous ces belles paroles ! Vive la France ! Youki Hippie !
J'arrive pas à penser, piano glup glup. Vraiment chouette. Glips. Love song, because for me, for me, only for me. Pas dalbe, parce que le matos de dessin y coûte trop cher. Pas formidable. Sias plus rien.
Je sais que je ne sias pas. Atriste hotte. Envie de douille.
La même en pire. Et merde, en avance de 2 jours pour l'anniv de Loute, comme quoi, reset delete, fuckete. Yo.
Objectif à atteindre, time two. Et ouais, ça veut rien dire, faut pas chercher ici. NA, dans vos gueules. (pas envie d'être mignonne et gnagnagna, les blagues les plus courtes sont les meilleures donc stop it. Ok ? Ok :) Faut apprendre à voir) (Comme envie de repeindre cette chambre à Arles en carmin !)
Et si ça, ça n'était pas une perte de temps ? Hein ?
Se concentrer sur cette partie-là, bosser bosser et ne plus rêver. L'athlé, c'est du passé, ils verront un jour si j'ai du temps. Ou pas. Le dessin apaise comme les travaux manuels. J'aime me dire que l'"oeuvre" n'est pas finie, qu'il faut rajouter un petit quelque chose ; jusqu'à ce que ça fasse tout foirer. :) Mais le plaisir d'avoir fait quelque chose de ses propres mains. Un truc anodin. Même pas la fierté et les compliments qui intéressent, ça c'est l'option chiante. Ouais, j'ai fait un truc, jeveux ton avis masi pas de compliments. Grrr. Mais bon, mieux vaut se taire. Accepter ou simplement le feindre et sourire. Modestie totale puisuq'en généra, c'ets tout con, faut juste prendre son courage à 3 mains.Visiter des écoles d'arts. S'être trouver un but réel. Parce que le rêve est encore permis et gratuit. Même si on peut en douter en voyant les prix des inscriptions à ces dites écoles. FUCK. Puis se laisser aller à penser qu'on peut. C'est une certitude, quand on veut, on peut. Tout le travail est à accomplir. Se motiver. Juste HORS LIGNE et se poser la tête, hors de ces merdes virtuelles qui nous engouffrent dans un cercle vicieux. Même si ça peut ouvrir parfois. Vouloir faire de l'illustration ou du graphisme, un quotidien pas chiant, mais créatif, coloré et sympathique malgré la peine à y arriver. S'il faut saigner, partir et payer, je le ferai. La déchirure sera énorme, donc le courage et la réussite forcés. Pour qu'un jour, il soit fier pour une raison viable.
Le reste ? Cartonner en CE, leur montrer encore et toujours que l'on peut. Peut peut peut ! Bosser la CP et les CPAP. Tout bien préparer et cours sur le net, PDF et compagnie. Histoire de toucher un peu à tout et comprendre. Campagne de com, convaincre les chefs de Chambray de bosser pour eux, gratos juste pour le fun, l'expérience et l'apprentissage. De quoi prendre l'habitude. Donc CDI, dessin, word, net, dans l'ordre où il faut le prendre. Tenter le JDD pour deux semaines et ses absences. S'interdire, imaginer. Faire fonctionner son imagination, personnages mis en scène puis visiter le sécoles, visiter les écoles.
Être prise à BRASSART. Année préparatoire, licence pro, première année, seconde, troisième et quatrième, spéialisation.
2006/2008 : BTS Communication des Entreprises (stratégie de com)
2008/2009 : Licence pro Activités et techniques de Com option Com Visuelle
2010/2011 : année préparatoire Brassart
2011/20015 : spécialisation a Brassart (on verra laquelle)
28 ans ?
Pas glop !
Ou reprendre en Lettres Modernes. Pour juste pouvoir faire la prof de français qui veut donner l'amour des mots et des jolis textes. Mouais. Fantasmons. Hélène.
2006/2008 : BTS Communication des Entreprises (stratégie de com)
2009/2010 : année préparatoire Brassart
2010/2011 : Licence pro Activités et techniques de Com option Com Visuelle
2011/2014 : Licence de Lettres Modernes
2015/2018 : Capes
Prof à 31 ans.
Ne plus se poser des questions cons et avancer tout simplement vers un futur idéalisé. Ne pas envier le bonheur des autres et porfiter du sien. Indépendance totale, sale gueule mais rattrapable. Et être là-bas, donc c'est bon. Au pire, la route est longue et fort peuplée.
Quel gachis quand même.
Ne pas idolâtrer. De mieux en mieux. En chasse. TE