sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Vendredi 30 mars 2007 à 3:58


Le Rémy plus accor que je ne le pensais. Bouh, qu'il aille voir ailleurs. Plus rien à partager, monde trop parallèles pour se recroiser un jour. Désolé Cherry, ces trips en reteront. Pas de pratique, que de la théorie. Attends, attends,ton heure viendra. Avec une autre que moi. 

Comprends plus rien. Boulot fait, sorties achevées. Effort. Reste à gerber ou plutot ne plus gerber. Acheter des pommes à foison. Se demander si ça vaut le coup tout ca...Y retourner, se relaver. Impur madame.
N'importe quoi. Impression d'être menée en bâteau. Pas vraiment intéressé au final. Juste pour vider. Un peu dégoûtée. ON en est à plus de six. Cinq mois, c'est long à tenir. Pour toi. Juste pour toi. Pour moi. EGO. Dieu que j'aimerai avoir une caboche qui tourne rond, une cervelle qui jamais en s'emmèle. Parano, schizo, toquée, angoissée, insomniaque. Je les accumule. A quand la véritable fin de cet enfer ? Change Poufiasse. Je suis certes perdue. Mais loin de là. Je ne suis pas quelques part, je ne suis plus nulle part. Après tout, c'est une politique comme une autre. Spar. En bonne et due forme, sans repentir, repartir d'où on vient. Va voir un psy. Des tunes, du rien et du je-ne-sais-quoi. Auto-destruction. La solution ne sera pas dérangée de là-bas. Le monde des pinguoins, c'ets pas mal aussi.



Dimanche 18 mars 2007 à 23:00




Loute a un baffle de stars violettes. Sa voix. L'air content. Gribou attendri. Gneuh.
Soit j'ai oublié de répondre à son mail, soit ma best jumelle m'oublie. Seconde possibilité envisageable. Dernière crise jusqu'en 17, on y croit ? MOTIVATION. Lire un tas de bouquins pour y arriver. Le glas de la fin a bientôt sonné. Celui de la faim aussi. Avril approche et toujours pas de stage, rien fait encore, se bouger le fion. Une forme de suicide lent et douloureux a-t'il dit. Moui, peut-être. Ou pas. Camille, Justine, et les autres. Allez vous faire foutre, je vous déteste. Kaedrinn. Se sentir un peu nulle, inaudible, hésitations. Tout gâcher et rester impassible, impossible de faire machine arrière. Ne me rends pas compte que je joue chaque jour mon avenir et que cela ne peut plus durer ainsi. Il faut avancer à grands pas. PERFECTION, I'M COMINGNEUH. Reprendre confiance en soi, penser sain, sein, frein, fin, faim, restrictions. This is parti. Let's go to the death, I love to play with life. GNEUH. Chanter au clavier, seul pied. Penser cul et le reste du temps, parce qu'incapable de faire autre chose de bien. Et encore.
Eternelle insatisfaite, exigeante et capricieuse. Surtout, se soigner de ces défauts. Une fois dans le plus bas, chercher à trouver des solutions aux compulsions de tout ordre. Voir un psy, hôpital de jour envisageable. Pourquoi avec tant de lucidité, se laisser aller à de telles conneries ? Contradictions qui s'entassent avec mépris. Ne vouloir penser que musique, jouer musique. Je suis malade, certainement. Mais je ne veux de personne. M'aider ou le vouloir serait de la folie, rejet de tout l'extérieur, je me sens escargot.

Scargot-sticot. Je veux être normale, je veux être anormale, je veux rester normale et anormale. La voleuse d'images. Ptêt qu'on y arrivera, ptêt que non. Mourir sera une autre solution. Y penser presque tout le temps. Même avec lui. Pourquoi ne me satisfais pas d'un si grand bonheur ? Lourd corps. Flasque, jaune et éléphantesque. Je suis une lapine. Non non non. Toujours à la négative. Changer de corps et devenir rien. Stress.

J'ai besoin d'aide. Absolutly.
Merci au MimiAnge-Bébé'Ion-CoinCoin, ptêt que s'en rend compte ou pas. Mais là et ça fait du bien. Trop profiter de sa générosité me démollit. Je suis vraiment conne. Et là, sans déconner. Parce que je ne fais plus confiance à personne. Soupçon, intrigue et énigmatique. Pléonasme et questionnement. Je deviens de plus en plus folle. Comprends-moi. Besoin, toujours croissant. Au chocolat. Je me hais. Détestable énergumène, c'est exactement ça, pustule déambulante et misère mentale. Bouffe ton Mister Freeze et avale sans croquer. Mâchoires au travail, endurance réquise et à développer. Enter.

CRY AND DIE, parce que ça fait dark et que j'arrive plus à verser ma la(r)me.
GNEUH, le pouvoir du GNEUH.
Ne fais pas de bétise. [...] Pensage, ne rien faire pour montrer qu'on a noté le mot.

Dimanche 25 février 2007 à 14:27


Parce que rien ne change au final.
Toutes des putes, c'est le chromosomes qui change tout. XY et t'es une salope. Que tu baises bien ou pas. Parce qu'ils se disent tout ces malabars mous. Qu'ils vont tous voir ailleurs, se faire sucer ou se faire branler. Ils en rajoutent sur les performances afflkigeantes. Ils aiment ça. Même soi-disant amoureux. Les coups de fatigue à la con. Se préserver. Pour l'autre. Foutage de gueule. Ne pas s'attacher aux mots et pourtant. On se fait toujours baiser. Passer pour une putain de catin. Mais merde. Y'en n'a pas un pour ratrapper l'autre. Et c'est jamais la fille qui baise bien. Non, la fille, c'est juste un support, on s'en fout de laquelle c'est. Choses. Femmes objets, je vais devenir féministe. Bandes de connards. Parce que tu découvres the dark side de la chose, qu'en fait rien n'est simple et tous des enflures. Comment croire en quelque chose dans ces conditions ? Bader à jeûn, la cervelle retournée par les événements. Prénom de salope. Passer pour une conne devant eux, les yeux qui cachent quelque chose. Des potes de merde. C'est de la paranoïa tu crois ? Non, les feuilles tombent, l'arbre meurt. L'espoir s'envole. Les gens auxquels on tient le plus sont ceux qui ont le plus de pouvoir de tuer. Comme si je ne pensais qu'au cul... Belle image, salope. Image de marque, se faire tirer tous les soirs. Vide-toi les couilles ouais. Capable de m'en passer sans aller voir ailleurs si quelqu'un veut pas me troncher ? Bien-sûr. Certitude. Tout le monde pas. Mais impossible à dire, bloquée, se faire prendre pour une conne. Conne. Putain de salope. Déception infinie.

Même pas amusante. Conclusion de merde.
On est toujours tout seul dans la vie. Rentre le toi dans ta ptite tête connasse.
Jeûne, même pas d'efforts pour toi, déjà trop fait.

Mercredi 21 février 2007 à 0:41

Chercher à comprendre serait de la connerie, dépression aussi. Et mon cul ? Ca a pas l'air ? Et bah oui, marre. Juste pour faire semblant, se la jouer un peu vandale, un peu trop hautaine. Connasse de merde, chauffeuse de portes. Oui, jeter sa haine sur quelque chose, quelqu'un parce que besoin. Besoin d'être méchant, de faire du mal, de se faire du mal. Se retenir. Ne pas se retenir. Vouloir crever à ce point que rien n'est plus beau, ni même la baise. Pour dire. Non, marre de tout, des bus, de bouger son cul. Grand besoin d'hiberner, de rester seule, de ne voir personne, de se tailler les veines en 4 morceaux distincts pour en faire des spaghettis. Besoin de respirer la mort, embaumer la puanteur, dévider ses entrailles dans une stratégie. La cervelle incapable de bien réfléchir. Toujours ces idées. Sauter. SAUTER. Parce que le monde en décide autrement, que tout le monde s'est peut-être trompé sauf Kilian. Parce que des conneries tout le monde en fait. Tu crois qu'un jour, ça tournera rond ? Dis Connasse de merde, tu te réveilles ? N'en vois pas le bout, même pas de mots pour dire le souci que c'est. Même pas de mots, trop futile, trop con, trop de détails à la con. Ingratitude, déception, plus rien à croire. C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court, ça me convient. La mort est la plus belle des choses de la vie. Cette chance. Mais putain, non ! Mais PUTAIN. Qu'ils croient que c'est de l'égoïsme, qu'ils croient ce qu'ils veulent, ceux qu'ils veulent aussi. Mais merde, n'a t'on pas le droit de crever en paix ? Trop lourd à supporter, trop pesant. Air irrespirable. Besoin de Lui, besoin d'Elle. Besoin d'overdose, besoin de boire, de partir loin, encéphale déconnecté. Je devrais me remettre à fumer. Comment faire comprendre ? Dégueulasse.
Le 24 février. Toujours ces nécessités. S'attacher à une date, une musique, relier le moment à l'action aux mots et homo. Lesbienne sûrement, bi. Ne vois rien, aveugle, pense à rien de ce qu'il faut. C'est dans ma tête que ça tourne pas rond. HP. Cellule psychiatrique, envie d'être enfermée pour pouvoir voir si je le suis. Putain Cherry.
J'abhorre la solitude autant que je l'adore. Au secours. Pourquoi ? Cette putain de question récurrente. Je ne me comprendrais donc jamais. Blesse au possible. Ne plus juste penser, panser juste. Ne plus rien faire,  ne plus tenter. Jeûne. JDI. Parce que j'ai besoin d ‘elle, que je perds les pédales, pête un câble. Voir un psy ? Se faire interner ? Délire total, ailleurs, crever. Pourquoi tant de transparence ? Pourquoi si visible ? Mais putain. N'arrive plus qu'a tripper bassiquement. J'ai besoin d'aide. Mon esprit se meurt. La bonne U Meurt aussi. Va te coucher.
J'aurai voulu ne pas exister. Ne pas oublier de ne JAMAIS donner la vie. Cadeau empoisonné, mortel. La vie est mortelle. Stressée. Pourquoi elle rigole tout le temps ? Pourquoi si fort ? Pour me montrer que j'en suis incapable ? A quand remonte mon dernier fou rire ? Ouais, sur un pont, j'aurai voulu être différente et voir les choses autrement. A quand ? Il ira se faire foutre avec sa tartiflette, c'est toi mon problème, connard. 12.12,25.13. 14,5.15.15.19. Tu crois vraiment qu'ils s'en foutent ? J'irai pas. Et c'est des mensonges, pas n'importe quoi pour moi, c'est pas vrai. Rien du tout, même pas bouger ses fesses. Alors se la fermer. Ne plus parler pour ne rien dire, rester taciturne. Fuck, parce que juste capable de dire ça. Moi je suis con moi. Marre d'être prise pour une conne. Déteste la fainéantise, ptêt même autant que moi.
Il aurait fallu assurer. Tout chambouler. Les mépriser. Tous autant qu'ils sont. En devenir méprisable. Decir las tonterias antes, y asimismo después. Todo el tiempo. En todas las palabras. Que pensar en estàs cosas ? No lo sé. Nunca. Nunca o siempre, del mismo al mismo. Sin embargo traer ideas de primer lugar. Ya no.
Non, non. Non. Voilà. Révolutionner. Ne plus avoir sa place, ne plus s'y sentir. Vouloir revenir. Se retrouver en avant peut-être ou pas. Comment juger ainsi ? Thé glacé le moins cher light. Vingt dans chaque litre. Pisser. Laisser pisser. Sophie la Girafe est un ange. Me dois de le reconnaître. Les voisins qui haïssent la basse. Depuis plus d'un an. Pas ma faute. Juste en rajouter. Ibabasse qui rencontre Bassounette. Ibabasse cherche mâle 6 cordes pour faire bébé à 5 cordes, manche pas trop fin de préférence, un bon mal bien large. Pas trop lourd. Bassounette qui a un pet au casque. N'importe quoi, ces filles. Complètement folles, Bass Rules. Al Ibabasse est ma meilleure copine en bois. Gueule de bois ? Ca fait si longtemps. MURGE, MURGE, DEFONCE. Dépravées pour un week-end Cherry. Faire un bilan. 6 mois c'est long. Pêtages de câbles, de plomb, ciboulot déboulonné. Perchée elle a dit Sophie. Moi aussi, le liquide cérébral dans les cieux. Bleuh !
Gniark, va falloir faire quelque chose quand même. … Apprendre à réécrire.

Mercredi 21 février 2007 à 0:24

3 minutes 22.
Ces chiffres dans les annales, même pas fait exprès. C'est comme ça, relié. Un coup l'un, un coup l'autre, tu comprends pas forcément pourquoi. Après, est-ce que le hasard… Sais plus vraiment où l'être est. Ou lettré. Sais plus. Juste proche.
Rêve bizarre, prémonition, lit en mon esprit. Déstabilisée. Salope.

Là où il faut, quand il faut. Trop. Sais pas si mes phrases sont correctes. C'est une ambiguïté. Mais ce qu'il faut. Beaucoup peut-être mais très illisible. Comparaison infaisable, des différences à la pelle. Le vrai et l'intérieur, le vrai est l'intérieur ? Le vrai hait l'intérieur ? Le jeu est-il réel ou c'est une feinte ? « You don't know me. » Peut-être aussi, sûrement. Obligé même. Pas assez de mots, pas d'utilisation verbale. Vouloir combler un vide qui n'en serait pas un sans tous ces mots inutiles. Du blabla en vérité. Meubler, mais pourquoi ? Une belle voix pourtant. Certainement jalouse de sa réussite. Comme celle de chacun. Ne pas se satisfaire de la merde produite de façon merdique. Avoir honte. Honte honte honte honte honte. Ne se rende pas compte. Richesse de la rime, pas fait exprès pas envie de jouer avec les mots. Pas envie. Veux juste le sentir.

Le cerveau en purée. Se décevoir même soi-même. Jamais tu ne seras musicienne. Jamais. Pas douée de tes mains. Pas douée tout court, virtuose du rien et même pas. Parce que ne pas savoir jeûner et bouffer comme 4 éléphantes enceintes. Grossir, se sentir de plus en plus laide, de plus en plus imméritable tant détestable. Il mérite beaucoup mieux, ce lion.
Être accro. The end of this chapter, Gravenimage, Torn, Liberty, Hourglass. In ear. Tous les jours, la musique, substitut meilleur que le néant mais irremplaçable. En manque de sa présence.
Loute ami, juste comme il faut. Pas de débordement. Pas son envie qui manque et ses yeux vides de désir. Avide plutôt. Turmescence indolore. Savoir lire en lui encore. Voir qu'il ne souffre pas, pas tout le temps. S'est fait une raison. Certainement mieux ainsi. Ou pas, égoïstement. Savoir que le contre-coup est là. Laisser du temps. Garder un peu de possessivité. Juste de quoi voir qu'on existe et que notre amitié est la meilleure de toute. Nous ne sommes plus « nous », nous sommes amis, « on ». Non, pas si simple, les « on » et « nous » , c'est plus que ça et ce  n'est une question de sentiment, non mais oh. Seule une chose est sûre. Aime The Frosties Lion. Avec l'accent s'il vous plait. Avouable, et même plutôt hurlable. Vouloir faire des jolies phrases, avoir parfois les mots. Face à un tel ange, décontenance souvent difficilement maîtrisable. Et pourtant ne pas se retenir, rester conne et immature, à sauter comme une gamine. Se détester au possible dans ces moments là

Vouloir parler à le dessinateur. En manque de conversations qui ne servent à rien. Vouloir avoir quelqu'un comme soi proche de soi. Quelqu'un d'insupportable mais tellement. Même pas un reflet, bien trop sage, pas assez de recul.  

J'aime les canards, canarder avec Lui. Cancannons, cancannons…
« We are waiting, we have not forgotten… »

Encore cramée. Deux reprises. Vouloir en parler à Coin, ne pas pouvoir, perdre les pédales, perdre pieds, désirer l'annoncer à Sophie. Trop difficile. Que des échecs. Se dégoûter soi-même. P'tite conne. Même les parents qui s'en aperçoivent. Merci la distance. Tout de suite repérable. Tu le verrais. Envie de redevenir comme avant. Sans déprimatisation chronique aiguë, sans tant de complexes. Vouloir pouvoir me voir comme ils sont aveugles. Voudrais être bien. Se foutent de ma gueule en disant des conneries ces cons. Ca m'énerve, comment juger ainsi. Ils ont pourtant des yeux. J'en ai marre de mon non sérieux et de cette tare. Pourquoi, Cherry, devons-nous subir nos propres dépendances ? … J'aimerai être normale dans ma tête. J'aimerai ne pas avoir envie de gerber à chaque vision d'un miroir. J'aimerai, quitte à ne pas être belle, ne pas être moche et pouvoir me voir en tant que normale, ni moche, ni belle. Si j'étais belle, avec Coin, ça serait mieux. Se rend pas compte du décalage. Veux pas qu'il s'ennuie. Je sais pas comment faire. Tu fais comment ? Marre aussi de passer pour une folle. Veux juste qu'il soit bien, confiant, heureux, qu'il se sente à l'aise. J'aimerai pouvoir lui donner tout ça, trop loin de tout. Egoïste que je suis.

J'ai beau être matinal, j'ai mal. Un jour, on sera plus dépravée de l'esprit mais vraiment derrière un son. Une vraie fréquence et pas de la merde comme au piano. Merde je suis. Banalisation du vocabulaire argotique, j'emmerde les gens, la vulgarisation de termes est à la mode. Même pas permis dans une seule de vos normes, bandes de cons ?

Je dois vraiment dérailler… Voudrais être à la hauteur.

Mercredi 18 octobre 2006 à 22:50


Cherry, j'en ai marre de chialer.
Je bouffe, bouffe, bouffe, bouffe. GARDE TOUT. J'en peux plus. ENORME. Joe Dassin c'est un connard.

Qu'est ce que j'ai fait ? Je suis une faible. "Il t'avait pas écrit une chanson ?" Mise en musiqueuh. "On aura passé deux ans vraiment formidables. On n'était pas fait pour vivre ensemble mais c'était vraiment fort, je n'ai que des bons souvenirs" Tu m'as réveillée. Ca fait du bien. Les larmes chaudes. "Gribou..." J'ai peur que tu ne veuilles plus me parler, de te saouler." Mais prends pas mes mots. Deviens pas comme moi. "Dans quelques mois, ca sera vraiment l'idéal" J'avais dit que j'y laisserais des plumes. D'un coté des ailes pour voler. De l'autre, la corde. Complétement folle. Difficile et triste. C'est triste comme un au-revoir. Ouais, toute facon, on sera toujours plus qu'amis "quand je vois tes parents, j'ai bon espoir" Merci. J'ai des parents en or. Sourire bigophonique difficile a offrir désolée.  Rien que la voix. C'est ton texto de samedi qui m'a fait badée. Amitié hardamment acceptable. Trop. "Tu fais pas de bétises. Si ca va pas, tu m'appelles." Ils nous voyaient tous comme l'entité immuable. Nos doutes. Un pas en avant. Même pas mérité tout ça. Comment. Comment. La musique tue. Fous-rires sur des conneries. Faible charogne. Que dalle. "Loute... t'es trop." Seul mot avec le quotidien. Comme avant. Bien sur que je vois de laquelle tu parles. C'est la 13 du best of. Deux seuls cons a écouter variété francaise, pop, trash, 60's et punk en même temps.
Deux cons. Deux cons qui rêvent trop, qui se défoncent trop. Finalement.
Finalement on aura bien grandi en deux ans.  Pas de regret. C'est juste triste à en bader. Le début de la vie. Les bases ensemble pour une vie séparée. C'est plutot positif. J'ai grandi quand même. Tenir à lui, nouveau meilleur ami, trio de gribou, plus un seul gribou célibataire, 3 gribous, meilleurs potes, meilleurs tout, a franchise à l'état pur, l'amour sans contact, putain d 'amitié de fous, nous. Nous Trois. Tout savoir.
Ondes Co, c'est tout et ça résume bien...

Seule devant la glace, tu te vois triste mais tu sais pas pourquoi.
Après y'a "Et si tu n'existais pas" Celle que Simon m'avait demandé pour toi. J'avais trouvé ça chou à l'époque, qu'un keupon me demande de la variété pour son amoureuse. Et maintenant Noute... L'est encore amoureux. Il se contente. Il est conscient. Trop. S'en veut. Je le sais. Pas juste. L'a trop raison. Sera toujours les amoureux du gaz, a se faire payer des coups par tout le monde. Pas ma jupe, certitude, complicité flagrante, mais pas vivable. Comme ça. Tirons profit d'une grande AMITIE

J'ai toujours le feu au rouge maintenant. Puis juste après je loupe le bus. Mais je ne cours pas après. J'attends. Le 6 arrive toujours avant le 5. Je prends le 6. Je mets la musique. Et je rêvasse un peu. Sans réfléchir. Juste un peu de plus. L'appart froid. Des pates à foison. De la gerbe potentielle mais même pas. Ca c'est pas juste, sens comme pleine, éléphante morte. Pas de motiv'. Je les emmerde tous. C'est des cons. Rien à prouver. Leur BTS je l'aurai.  Pas de compte à rendre. 15,5 e espagnol sans rien foutre. Meilleure note de la classe. C'est pas du foutage de gueule, sont naze ou quoi ? Comprends que dalle. Flicaille de merde.

"Ca te fait mal quand tu te fais "ça" ?"
De quoi "ca", connasse ? Regard insistant, t'oses pas le dire ce mot, hein ? Bah non, t'as pas de couilles, t'as peur de faire mal avec des mots de merde. Bah non,a lors tu le sors ton mot...
"Bah..." Toujours a mater mes bras, je comprends. Bah non, connasse. "quand tu te chatouilles, ca te chatouille ?" Non le mal ca me touche pas quand c'ets moi qui le dirige. Mais vais pas tout te dire, connasse, que ca c'est une putain de drogue et que je pête un câble comme maintenant quand j'arrête. Vais pas non plus te dire que ton regard pusillanime sur mes stigmates, ça m'excite plus qu'autre chose et que ca donne envie de continuer encore plus fort. Ouais, je te fais peur... Vous savez pas quoi penser de moi, bande de cons ... MOUAHAHAHAH ! Du rire, du rire, de l'ironie, de la réponse à toutes vos conneries. Bah ouasi, je suis un paradoxe ambulant, salopes. Vous aussi. Vous savez rien. Peur, vous auriez peur encore plus.
Et j'assume mes soucis alimentaires si vous voulez savoir. Au point de les entretenir. Vive la boulimie. MOUAHHAHAH. Ayez pitié de mon âme. 

Leur montrerai. HAHAHA, cocasse tout cela. Verront bien. MOI.

Cherry. Je vais essayer de venir pendant les vacances, prépare la vodka, un bouteille par journée, ça le fera, de quoi se blinder l'esprit. Jeûne, on reprend la barre. C'est parti. Nos destisn dans nos mains, liberté totale de choisir. Hein...

Lundi 16 octobre 2006 à 7:25


Y'a des matins comme ça où on a vraiment l'impression d'être à côté de ses pompes. Juste la sensation qu'un monde s'écroule à nos pieds, et nous, comme des cons impuissants face au désastre. Ca fera pas des milliers de morts, on s'en fout un peu donc, par définition. Puis c'est juste un monde qui s'écroule avec deux cons trop gelés dans leur inaptitude a s'exprimer.   
Ce silence est vraiment amer.

Le silence est un amouricide.
Fallait parler avant.

Je suis une pourriture.
Crevés morts comme deux abrutis.
On en rigolera dans dix ans, c'est toujours ça.

Samedi 14 octobre 2006 à 17:39


Je lui montrerai. Tout gacher sauf. Toujours tout casser. Ignoble petit hobbit.

"- Hey, je t'appelle pour savoir si je viens te chercher
- Non, merci. Mais je vais pas venir.
- Bah ok, parce euh... Sinon ca va ?
- Tu pars vers quelle heure ?
- 4h et demi.
- Ok
- Et sinon, vous allez bien ?
- Non.
- Ah !
- Je crois qu'un plan de restructuration va être mis en place
- Ce sont des choses qui arrivent. 
- Ouais ... (voix éteinte plein d'explosion)
- Ca doit être la saison. Bah bon courage alors, hein...
- Ouais Merci Simon, bon concert.
- Tcho "
Durée 48 secondes.

Faut pas se mettre dans des état comme ca, t'y es pour rien ...
Y'a trop d'trucs qui influent sur les sentiments ...
Toute facon, si tu m'aimes plus c'est pas la peine de rester et de te forcer...
Si tu m'aimes plus, ca te fera rien que je souffre...
Faudrait que tu partes une semaine pdt les vacances, et tu réfléchis, tu vois si je te manque...
Ca fait deux semaines que ca va plus du tout...
C'est comme ça et puis c'est tout...
Je peux attendre des années...
Par contre, tu te mets qd à la basse ? Parce que mon groupe c'est la seul chose qui me reste si tu pars. Je veux pas que tu pourrisse mon groupe...
Je serai suffisamment assez con pour te reprendre si tu revenais...

Delphine, c'est une tartine à l'huile. Crises.
Rien dire, rien qui sort. Peur, peur, peur. Vide. Simon qui est toujours d'accord, pas habituel, sent les choses venir. Marre. Juste larmeux.
Même le piano.
Seras quand même fier. Je ne te pourrirai pas toute ta vie...

On est tous dans la merde. La même.
Cherryyyyyyyy. J'ai BESOIN de toi.

Lundi 2 octobre 2006 à 23:17


Juste que je vais m'en rouler un. Trop parler, trop dit. Trop de trop dans cette histoire. Trop bouffer. J'avais pleins de choses à écrire. Vidée. Ivre-Vivre, ça ne tient qu'a un "V". T'as raison. Depuis toujours.
Un jour, je serai observatrice, pas trop bavarde et bien comme il faut. Demain j'écrirai. Dossiers de merde. Rien foutu encore.

Espoir de paix dans le proche ou-rien.
Juste un grand merci. Se cacher à tout jamais en soi. Abysses délicates. M'en veux. Suis con. Aurais pas dû. Je suis vraiment con. Désolée. Tiens à. Vraiment. Pas de quoi. Morte une autre fois. Une autre fois. Pas, pas, pas, pas, pas ...

Dimanche 1er octobre 2006 à 12:57


Faut être conne pour commencer une journée par Stairway in the Heaven aussi. Voilà, non mais aussi... Comme des envies de ne plus lutter contre n'importe laquelle des impulsivités. Les yeux qui coulent, se noyent. Stupid girl...

Jeudi 28 septembre 2006 à 23:21



Pfff... Ne plus jamais rien précipiter... Ne plus jamais rien précipiter. Mouais, je sais pas. Plus. La Boite Noire, fin comme un cheveux sur la soupe, incongrue et saugrenue. Fin simple et claire, tellement logique au final... Surprise. Faut lire...
Complétement ailleurs. Envie de voir la mort sur un joli pet. De rien du tout. Plouf. Le danger, quel danger ? Hahah, je me ris du danger. Rien qu'un clown dont les ficelles ne peuvent que casser. Jolie figuration, sac d'os. Abats les masque. Abats-là. T'expliquerai. Voufrais être une autre.
Taille-moi les hanches à la hâches, je suis la femme-chocolat. Mange, croque ma taille.Déhanche-toi autour de moi. Yes, you can cry, "It's easy of you try" (Lennon, je t'aime). Rain of tears all this years. Forget and fly away. We have our game to play... We'll go. UK. Don't forget this aim. Forever united. Two. XX.
Style scriptorial.
Menteuse, croqueuse, et plein de mots en [-euse]
Juste se con-centrer. Se défoncer la gueule. Oublier tout ce qui ressort. Qui ressort encore. Comme la graisse. Ne plus rien penser, aller se faire foutre. Ne plus savoir. Ne plus vouloir utiliser les expressions normales. Tout qui va mieux, tout qui va pire. Du pareil au même. Ne plus vouloir savoir. C'est peut-être une overdose d'overdose.
Pas bavarde ? Je sais plus. Voilà, tout est dit.

Sauter une ligne, flèche en dessous du verrouillage des majuscules et entrer en même temps. Tuyau. Arrosage de mauvaises pensées.
Va te faire foutre, Fat Man. Ugly.

Ugly. Insomnie, pseudo jeune, pseudo dégueulage. Des crampes et des carences, le cerveau pas assez irrigué pour réfléchir bien comme il faut. Il leur en faut peu. Au lycée, Lui, Eux, tous autant qu'ils sont. Prenne comme je suis, c'est n'importe quoi. Trop de défauts, s'intéressent qu'au bien. Auront vite fait le tour, lycée génialissime, mais lycée de merde.
Catin qui veut disparaitre sous ses os. Des progrès a  faire, bibendum. Difficile d'assmer un corps de bonhomme, se sentir toute exposée aux dangers. Inapte. Nue, a tuer. Trop laide. Bah ouais, j'ai maigri, j'en ai besoin. Trop grosse encore. Un jour, bientot. J'y crois. Toute façon, ça donne la gerbe. Perte de temps, ironie et paroxysme du plaisir que la douleur du jeûne. Se donner des ailes. Mouahaha, même pas tout dégueuler, se haïr. Sans se donner des ailes. Et oui, " génération d'auto-destruction"...
Tu l'as dit, Snoopy !

Mardi 26 septembre 2006 à 23:39


Conclusion. Faire quelque chose. Sentir le vent venir. "C'est sympa mon Gribou Gnagnganaganagan" T'emmerde. Vexée. Toutes des salopes, c'est bien connu. Alors, j'en serai une. Suis. Pourquoi tout rejeter ainsi ? (Hé, putain de connasse de merde, arrête de violenter verbalement pour rien, parle normalement. Calme.)  Comment annoncer. A ptêt remarqué que je ne lui dis plus "Je t'aime" 10 fois par heure, 50 h par jour dans le creux de l'oreille ou en me tordant de rire. Mais peut-être pas. Un "je t'aime" de moins ou de plus.. Et plus du tout, tu le remarques ? Même pas. Pose toi un peu de questions, juste un peu. La vie n'est pas un long fleuve tranquille. (Et toi, impulsion de merde, ta gueule, un peu de respectenvers les gens qui en ont à ton égard -et qui t'aiment)
Un entrainement. Juste une piste d'essais. Pour tester mon potentiel. Mais bientôt je m'envolerai. Peut-être. Comment tout gâcher en faisant un minimum de dégâts, pour que tout aille bien ? Ou presque, mais on ne s'attarde pas à ce genre de détails. Juste naturellement. Arrête de devenir patient. Remets-toi en colère, stoppe  les efforts, tu vois pas que j'en fiche maintenant ? Contrebranle. Peut-être qu'on ne lit bien à travers les gens que lorsqu'on ne les connait que peu ou très peu. En tout cas, plus la peine. On a pris le train d'avant, trop excités par le lendemain, tant pis pour nous. NE PLUS JAMAIS RIEN PRECIPITER !
D'autres centres d'intérêts. Un autre centre d'intérêt. Envie de voir du monde. Envie de voir un monde. Un. C'est con. Non ? Si, et même se taire et se terrer. Se terrer, s'enterrer. "La teuhon quoi !" Mouhahah ! Tu m'étonnes ! Agressivité à ne pas renier, finalement. Laisser sortir ce qui peut s'échapper même si la fumée est nauséabonde. Ne pas étouffer. Réapprendre. Mieux vaut faire pitié que envie. Ou les deux. Non ? Non, pas d'envie. Pas envie d'avoir envie. Voulais pas en fait. J'ai l'air de quoi ? Merde déambulante. Pff. Même pas vrai en plus... C'est que je fais vraiment euh... pitié ? Trop de compréhension est déroutant. Pas les mains.  Mouais, c'est le monde à l'envers toute cette histoire. Une lenteur libérative. Soulageante, se sentir. Juste. Vivre. Ne savais plus. Compréhension. Bizarre. Je comprends plus et c'est tant mieux. Aime.
Finalement, j''ai plein d'envies et j'en veux encore plus.
 
"Tu serai pas un peu givrée comme fille ?"
Comme ça qu'on m'aime Connard. Va chercher ta norme chez les putes.

Et puis ... Hein ? Avec des principes comme ça, on n'est pas prêts d'avancer...
MOUAHAHAHA. Je progresse, c'est moins pire. HIhIHihIhIHihIhiIHihIi !
Bon dégueulage Poupée. Et arrête tes conneries, parce que ca serait pas un déclic ? Non ? A voir. Cherry. Je veux pas crever, moi.  
Pas sans toi.
Ventre qui gémit. HA ! Sagem !

Dimanche 24 septembre 2006 à 16:46


40

Un jour, je créverai d'une crise cardiaque et on fera la chouille.
Envie de faire du mal et d'être détestée par tout le monde.
Pour se donner une raison de mourir.  

Chialer, fumer, dégueuler...
Plus rien ne me soulage.
Même plus la musique.
Toujours mincir.
Eléphante qui enfante.
Incapacités à s'exprimer.

Seul désir, crever.


GROS BAD.

Mardi 19 septembre 2006 à 19:38


Saisie. D'emblée. Aucune maitrise. Estomaquée. Chamboulée. Moui. Se mettre à penser, en pensées. Indéchiffrable abstraction, figurative. Oui retrouvée, retournée, statufiée. Ca te le fait ? NooooooooooooooN. Juste un peu ébranlée. Coté affectif de merde. Prendre. Bras. Dans. Belle. Voilà. Sad music badante. Prends les mots, laisse les maux, dans une incompréhension magistrale. Chaotique chahut intérieur. Le B.A-BA du mélange. Encyclopédie de l'iconicité.  Représentation figurative mais trop dans l'exactitude, tu vois ce que je veux dire ? Expérientation. Trop sensible. Tu ressens ? La musique est.
Saigner. Un coup de blanco passé sur la mémoire. Transparent ? Chimiquement impossible à transformer. Beaucoup trop de ressemblances, partage, ca amène à réfléchir. Se réfléchir. Bizarre, bizarre. Comme. Moui. Complice. Ca. Je ne sais pas, me trompe. Flagrante. Raisonnement con peut-être. Se sentir bien. Logique mathématique, un Truc. Un Timidée. Trop, trop. Plarler de rien, mais est-ce qu'un jour, j'aurai des choses intéressantes à dire ? Ouais, épatant cette façade de merde. Quelque chose d'étonnant, quelqu'un de détonant. Oui.

Vieilles chansons de merde retrouvées. Et bosser ses cours pendant l'heure du repas, ou s'occuper. Avancer dans son taff et être actif à l'oral. Les materai.
Propos tangible extensibles. Vouloir revoir. Cool, coulée à pic. Dans sa propre flaque. L'éclater. Pas beau corps, bas laid, balais. Moche, gros bras. Trop flasque. J'te jure.

Jeudi 7 septembre 2006 à 23:10



Crise de boulimie dès rentrage alors que jeûne depuis le matin. Gâteau chocolat et pain. Un peu de betterave. Semoule pour que tout coule. Finissage de la portion de pâtes. Repas normal ou un peu plus. Rien de méchant pour tout le monde. Je suis anormale.
Et j'aime ça !
Au chiotte.

Sens mieux. Vaisselle à faire, et sport, gros thon que je suis. Vraiment. Moche, me supporte pas. La p'tite ouverte et sociable. C'est tout moi. Je sens le vomi.
Carte d'identité visuelle à conceptualiser et créer:  squelette, vide, noir, jaune, molle et transparente. Moche et remoche. Me supporte plus.
Piercing qui devient comme avait dit. Comme la 2TS CE.
Demain, concert, boire un pot avec Natasha, j'espère. Yeah.
Et rencontrer Tony-Coin-Coin, le bassiste de The New Rep. Re-yeah.


En attendant, j'écoute les Doors en gymnastiquant. La meilleure chose à faire pour se forger son propre corps de rêve en 15 minutes par jour. Pff, pitié intense.
Mimi, elle, elle est belle. Toi.


Lundi 4 septembre 2006 à 21:52


Dis ... Dis, une fée, si tu lui coupes les ailes, c'est toujours une fée ?
Dis, si vraiment je voulais faire ce que je veux faire, est-ce que tu me pardonnerais ?
Dis, tu crois que je vaux tout ça, que je n'ai pas droit à d'autres choses ?
Dis, ça va s'arrêter quand ? Tu peux me le dire, s'il te plait ?
Dis, tu peux arrêter de me regarder avec pitié ?
Dis, j'en ai marre. Tout court.
Dis ... Non, laisse-moi. Ne dis rien, c'est mieux ainsi.

Je me tairais. 38h de merdasse avec les connasses.
Va te faire foutre. Si je ne compte que pour cela... Déception. Pas comme ... Si tu ne veux plus, je me barre. Pas besoin de vous. Parce que Mossieur ! Mais putain ! Je t'emmerde. Tu me comprendras donc jamais, tu chercheras donc pas... SEULE.

Lundi 4 septembre 2006 à 21:19


Appréhension extingue
. Veux y arriver. Ne pas se louper, être à leur hauteur. Les suivre avec distinction et aplication, les accompagner avec classe et violence. Ces Ondes ... Etre Onde. Falsifier ses connaissances. Quelques rythmiques seulement et dire qu'on ne sait pas encore. Un peu vrai, un peu faux. Essayer peut-être quand même de les jouer, pour se bluffer soi-même. Collatéral. T'inquiète, sale punk, je serai prête. Simon, c'est un cochon. Simon, c'est un tricératon. (Animal issu de l'imaginaire d'une cervelle nihiliste) AHAHAH ! Tu m'en fais un beau, Tricératon.

Dimanche 27 août 2006 à 17:33


Pomme de Mamie Biloute en compote.
Rencontrage de Mr le Basiste de The New Rep. Trop de ressemblances. Gentil joli bassiste. Trips en vue, bass trips.

Putain de soi-disant punk opportuniste à la con. Va pas t'incruster, on t'aime pas. C'est pas ta crête qui fait qu'on peut apprécier les gens. C'est plus poussé ! T'es pas un pote, t'es un extrémiste, un red. Pourquoi je lui ai dit qu'on répétait ? Rhhaaa !! Toute facon, on t'entendra pas, on ouvrir a pas la porte. Beuleuh !

 
BabyPuppe. Je veux, je veux te voir. Je veux !
Me manques. J'ai vraiment besoin de toi. Toujours là. Toujours deux. Toujours. ENSEMBLE. Malgré la distance. Phénoménal drogue que d'avoir quelqu'un qu'on peut appeler AMIE. Que ce soit vraiment vrai, véridique, de la sensation, de la sincérité.
Parce qu'il n'y a que Toi
. Que Toi finalement.
Nous ne sommes que quatre au monde à être ainsi entre nous-même. Non ? Si, j'en suis persuadée. Me sens bien avec pleins de gens. Me sens rassurée et en phase que avec VOUS. Gribou. Vert-Punk-Nouh. Oui, je n'aime que.

Ceci est une déclaration d'amour



85/61/(72)/82/(48) Veux maigrir. Me sens grosse. Me sens vache.
Grosse vache. Eléphante enceinte sur le point d'accoucher.
Flasque, pas fait de sport hier. Se rattraper aujourd'hui. Lundi : rentrée, nouvelle vie, nouvelle facon de se nourrir. HAHA ! J'en ai marre d'être une grosse vache. Sale gueule.
Puis ré-ré-ouverture des plaies. Sales bras. Blessures plasmastiques qui brûlent. Pas agréable mais au moins je sens mes muscles et mes poignets à chaque mouvement. Sales coupures. Noute qui tolère pas. Comprends mais trop tard, fait. Moche, mais sur mocheté, change pas. Désinfection. Marques trop symétriques. Aime pô. Ca pique, ca tire sur les chaire. J'aime.


Serai maigre. Seront comme nous le voulons.
Perdre juste le reste.

Samedi 26 août 2006 à 1:40


Il s'inquiète, ils croient n'importe quoi. Ils ne comprennent rien ? En tout cas, il ne comprend pas et ils mélangent tout. Pourquoi ? Passer pour une folle. Crier de rage dans un silence passif. Rien de plus, rien de moins, juste pour cela. Juste triturer la chaire. Pour le fun. Qu'est ce que tu vas penser ? Panser ? Non plus. Trompes, trompes, comme un eléphant. Suffisamment pour mes conneries et mes maladresses. Remarquer, c'est des conneries. Vraiment suffisamment débile pour qu'on me remarque. Que j'aille me faire foutre.
 
Ca me va très bien, ouais. Arrêter la basse le temps d'une soirée, marre d'entendre gueuler à ce propos avant même de l'avoir sortie de son étui magique. 2 minutes pas plus. Ras le bol. Reprendre ce soir avec Lui ou/et toute seule si le concert annulé pour ma gueule. Un minimum prête pour la Première. Ne pas être sufisamment investie ? Mais que dit-on ? Quand "On" verra mes progrès et ma vitesse de progression, on la bouclera. Verra bien qui gardera une vue saine. Mais tu veux quoi ? Vous (?) voulez  (?) quoi ? Que je devienne encore plus barge ? Peux que péter un cable ou plomber. Peux plus pour le moment, saturation maximale (haha, me gausse), les deux canaux, j'en peux plus de tout côté. Désolée, je lutte contre moi-même et contre Auchan, ça me suffit ... Juste un peu de temps que je reprenne mon souffle.
To breathe.

Grind, grind, larme à l'oeil, Dark photo merdique dans tous les blogs, pantin décoloré. Chialer, ça fait du bien. 4 pains à l'emmental (750) + une pomme (75)
*Blop, pas glop* Manque de quelque chose. Plus que 40 heures maximum. Putréfaction !
Cycas. Retenir le nom de jolie plante de Monman. Mal de dos, tiens plus que par les nerfs. Pas fait le sport aujourd'hui, tout à l'heure si Loute veut. Mars est repartie au loin. Se rassurer un peu au pieux. Parce qu'il y fait chaud et sombre. Rassurants :  des bras protecteurs de ses propres doigts. (qu'est-ce qu'ils peuvent avoir les idées mal placées)
Les entrailles cadavériques d'ambiance.
Et bah ouais, j'ai besoin d'être constamment rassurée, c'est comme ça, moi chuis con et XX.

Ce n'est ni de la satifaction, ni de la fierté. Pas envie de pleurer pour des cicatrices moches. (Mais symétriques) Ce n'est ni de la narquoisie, ni du défi. Ni pour blesser. Toi ou autre personne. Juste une pulsion, plaisir masochiste de sentir l'empreinte d'un ongle dans la peau, puis le plasma se rependre dans la blessure. Puis le sang si une aiguille de pin est là pour m'aider à la tâche. Pas désinfectées les premières, tant pis. Juste P-U-L-S-I-O-N-N-E-L !
S-E-N-S-A-T-I-O-N-N-E-L, et pûrement relatif. J'aime cette sensation ! Rien à rajouter, on comprend ou non, j'assume. Ou presque. Bandage pour le taf, bandage tout court pour éviter les questions. "Me suis battue avec un lion" Réponse donnée courante pour éviter les précisions et marquer un peu d'humour (jaune). Ta gueule ! Ma gueule ! N'ayez pas pitié, je vais très bien. Juste comme ça, par ennui. Ne pas chercher plus loin.

Pas envie d'expliquer, très bizarre. Choyée au maximum. Trop de distances avec tout le monde. Ou presque encore, et encore. Plus rien, que du vent, n'espère plus rien maintenant. Rien que pour le fredonnement incessant de la romane, jalousie. Devant tant de Vérités, autant de déceptions, désolée les amis. C'est moi contre moi et tout le monde. Peut-être que c'est le pire. Méfiance totale. C'est vraiment du délire, comme si tout le monde voulait savoir des choses. Comme si j'étais épiée et observée avec des jumelles. Que ce soient les chefs, les collègues, les potes ou pire, et sans aucune raison en plus, les A-M-I-S. Oui, je nage en plein trip, même pas besoin de Drugs pour être parano.

Trop perso par là. Chacun son cul.
De quand date mon dernier fou rire anerveux ?



- Un Peu de Sérieux
- Boulot/ No Name
- La Complainte de Mon Amie La Loque
- Intello
- Lycée Merdier

Et t'en foutre plein la vue, mec ! Allers-retours, bien bluffé. Et ouais, je sais. Fierté immense bien profonde (dans mon cul) et modestie extérieure. Je connais mes capacités et mes Motivations ! Et ce n'est pas fini,  je ne fais que débuter ... Tu disais qu'il en faudrait beaucoup pour t'impressionner. Tu te contentes finalement de peu ... T'ai même épuisée... HAHAHAHA !
Niark-Niark!

Jeudi 17 août 2006 à 18:58


Ne pas culpabiliser. Se poser les bonnes questions. Plus que le nécessaire pour le métabolisme de base. Craquages encore. Orgie de pain. 2 chocolats chauds. Tomates à midi. 15 minutes de travail musculaire. Se dire qu'on est normale. Norme... Quelle norme ? Les miennes ? Avec tout ce que cela engendre. Juste se rassurer, masi savoir. Echec cuisant.
Demain, journée à coupure, 4h25 le matin, 4h l'après-midi. Fumer vanille et chocolat pendant une heure, lire en solo. Se retenir et parvenir à ses faims. Mouhaha !
5 en un mois, garder le même. Etre une pro-ana sans le vouloir réellement. Première nature. Vouloir rester maigre. Bête en soi. Fléau moderne. oui, complétement ladame. J'assume.
Je les aurai.

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