sidvicious

Tout est question de sémiose, petit Arlequin.

Lundi 14 août 2006 à 12:00


Jeûne à Durée Indéterminée. Bouffer des fruits et des légumes pour dire qu'on mange, sans devoir se justifier,  ne pas dépasser le seuil de 200 calories. Ne plus s'attacher à d'autres chiffres. Poids le jour du RVD avec la gynéco. Un bon mois. Voir si l'on est capable finalement. Sûre de ne pas tenir mais que c'est bon quand même.
Arrangements avec France Télécom, dossier de réclamations, remboursement sur la prochaine facture et même celle d'après.  


Pas faim, pas faim, pas faim, pas faim.
Ne pas engrosser des vaches obèses.


Pas de nouvelle du lycée, rentrée quand ? Pré-rentrée ? Inconnues au bataillon. Classe de filles, torture de deux ans. Faire tâche mais pas que des poufs encore heureux, classe de filles, rester seule, bosser comme une tarée et toutes les dominer, passer peut-être pour l'intello du coin et l'associale en mal de B mais se foutre de leur regard de mijorée qui sont déjà parfaite. Rien à prouver à personne. Accro au taf, perfection physique, musicale et voilà. Plus d'excuses, pouvoir leur crier, le crier au monde entier. J'ai réussi et je vous emmerde !

14 jours encore, environ 90 heures à passer là-bas, puis fini jusqu'aux prochaines vacances. Aujourd'hui 7h. Tenir, ça devient chiant cette rengaine à la chiotte. Et avec le sourire ? SBAM+ de merde et tutti quanti. Putain de merde, peut-être même refuser leur fric de prostitution mentale. Voir après. Penser à son avenir propre pour l'instant. Futur proche motivant espérons. Parait que la vie est rose. Vive les poufs alors.

Vendredi 11 août 2006 à 11:37


Pas le droit de toucher à l'herbe, que pour nous, exclusivement pour nous, nous, NOUS ! Ok et bah va chier, j'y retouche plus. Soirée, défoncée. Gentilles, loin d'être bêtes, mais à la longue, Fatima vraiment incompréhensive, Marie plus comme moi, partie de cet engrenage. Ne supporte vraiment pas les filles, commençaient un peu à me saouler. Ne fais pas d'efforts, ne cherche pas à me faire aimée, ni connaître.  Mais vraiment, rhaaa ! S'arrêter aux cailloux pour les autres, après les gribouXX chéris et idolâtrés. Ne pas essayer de tisser des liens, mauvais vraiment.
Midi : tomates disparue au fond. 4 heures : deux chocolats chauds. Soir : quiche lorraine (trois huitièmes), tomates  (deux fois), tarte aux pommes (une demi), pain (150 grammes).  Ne gère plus rien dans la normalité. Ne pas céder sur les laitages, madeleines, barres chocolactées, mie de pain, saucisson sec. Entre autres.  
Basse trop passive, ne cherche plus, ne progresse plus. Deviens une grosse merde. Suis.

Un corps de rêve en 15 minutes par jour. Vais vous niquer. Je veux froler l'inaptitude. Malade dans une enveloppe pas fraîche. Pourrie et sale. La dénuder de toute impûreté, de tout pli graisseux. Se sentir mal dans cette chose si matérielle qui porte mon âme. Reflet de ce que je suis. Rien, vide, sèche, jaune, molle. Juste une personnication 3D de l'esprit, qui cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite cogite ... Pas une minutes de repos, penser penser penser penser penser penser penser ... A chaque instant. Chaque remise en question, chaque question, chaque réponse, existentielle. Abrite de nombreuses inutilités futiles. Se venger sur l'ingrate chaire charnelle qui doit te composer. Oui, c'est le corps qui prend tout. Tout. Le supprimer, devenir encore plus transparente, que l'on ne s'intéresse pas à moi. Qui le voudrait, arrêtez s'il vous plait. Choisir une vie sans complexité, ni complexe, sans adipeuse texture. Se forcer à croire que ce n'est pas compliqué. Voudrais vivre sans cela, vivre au jour le jour, si simplement,comme mes clameurs peuvent le crier. Facile à dire, d'être consciente. N'y arrive pas.  A cause d'un chromosome ? C'est si difficile d'y croire. Obnubilée juste par une chose, tout voir par rapport à cela, appréhensions certaines et constantes de manger. Ne pas nourrir cette organisme d'imbécilités vitales. Soutenue moralement et sans comprendre par Gribougnoute pour s'en sortir dans l'autre sens. Unie avec, aidée par Mimi-Cherry, soeur idéale. Etre deux, seul moyen trouvé, seul existant ici pour accéder à. Nos rêves soumis à et détruits par la réalité. Mais. Nous serons ce que nous voulons être. Nous le serons !

Putain Cherry,
reviens,
surmotivée  mais craquages.
Craquages.
Je suis perdue,
je n'arrive plus à rien.
Me manques.
Me fais tenir.
 

On est deux,
encore heureux.  


Mardi 8 août 2006 à 22:28

Anniversaire de Fanny. Marre du taf.

La zizanie dans mon esprit, ça ne suffit plus. Il faut aussi embrumer celui du voisin de lit. Amour bestial. Trop d'engueulades. Insupportable pour nous deux. Mésentente cordiale. Tensions et appréhensions quant aux conversations. Ne tiens, tenons, plus la barre de notre petit navire amoureux. Besoin de te parler Mimi-Gribou. Sabotage amoureux. Ne rougis pas, entends mon appel [...]  La suite nous la connaissons tous les deux, toujours d'actualité dis-tu. J'aurais aimé t'écrire le beau des poèmes, te dire que la vie est belle.
Du mal à me parler. Toujours. Maux sans mots. Tes peurs, notre futur, tes lourdes phobies. Suis le centre de. Tu es le mien. Je n'y croyais plus. Incompréhensions verbales, capacités à blesser de par les mots. Injustement. Non, la vie n'a jamais été juste Loute. C'est ainsi. Les utopies...
Vouloir cette maîtrise, s'y mettre à deux.  Ne plus hausser la voix, ni mettre un mot plus haut qu'un autre. Notre vie, rêve. Nous sommes grands, responsables, capables. Forts de tous les deux, efforts de tous les deux. Création artistiquement sublimissime qu'est notre union. Cependant...
Cependant ! Tu as peur et tu as raison. Ras le bol généralisé, à bout de forces, pullulement de mauvaises pensées. A pardonner si tu le sais.
Nous serons Nous face à Nous-Mêmes. La vie n'est qu'un éternel combat. Invincibles. Ressortirons intactes et plus forts encore. Te le jure comme je t'Aime. Sache-le. Tâche de ne jamais l'oublier. Ne veux ni te perdre, ni te faire de mal. Pardonne mes crises contre moi, mes frayeurs, nos divergences. Ca me regarde... Ensemble, nous serons forts. Le sais. Saurai. Savons, saurons.
Pas de déclaration d'amour, suis nulle pour cela. L'intention y sera toujours. T'aime dans la plus grande justesse. Pas douée pour l'écrire. De toute façon, il n'y a pas de preuves d'amour.  TOUT EST PERCEPTION ...


350g de pain bouffé, crise du soir en plus : 2 merguez, semoule, fromage-pain, 2 tranches de saucisson, des concombres, un grand bol de chocolat chaud. Bien, tu as compris mon manège, connard.

Mardi 1er août 2006 à 12:15


Des irritations, gratte, gratte. Aussi élégamment qu'un mâle. Basse, basse, basse. Nouveaux morceaux, du mal avec les tablatures, nulles, vive Guitar Pro. Tripper quand même. Reste stoïque, efforts sur soi-même progresser. Réfléchir avant de parler, ne plus être aussi maladroite. Puis physiquement aussi. La totale.
Voilà. Juste mot, PROGRESSER.

Dimanche 30 juillet 2006 à 11:07


Rustre, pendard, connard d'enculé. Tarte dans la tronche, tee-shirt du punk qui sert d'air-bag contre le marbre. Vexée, même pas mal. User de la provoc' ? Non, laisser l'atmosphère se tendre comme ta bite quand je la touche, en cherchant ton regard penaud. QUOI ? Dans les yeux ! C'est moi que tu regardes, pas l'assiette ! Et pas la peine de bredouiller comme un gosse. Retenir la leçon : ne pas faire le faire chier, même pour déconner. Merci. Sympa la mandale. Tu peux dire de ta mère, ça déteint. Je m'en souviendrai. Tu m'avais dit que jamais tu ne me frapperais. Je n'en tolérerai pas d'autres, pas d'autres pulsions, sinon réplique immédiate. Quite à mourir, mourir dignement. T'excuse, parce que je suis une bonne poire, que je ne crains pas la douleur et que je l'aime en fait. Mais pas là, pas comme ça, pas devant Simon. Humiliation. Quoiqu'il aura vu de quoi tu es capable maintenant. Va te faire foutre. Me taire, me complaire dans le silence. Rongé par les remords et esphyxié par ses relancs. Ne m'en parle plus. Fini ! Il suffit des humiliations, pas besoin de me le rappeler avec tes excuses à 2 balles. On n'en parle plus ! Sauf ma tête. Ne m'en parle plus, je ne veux plus de tes excuses. CLOS !

Hartke arrivé, gifle du repas qui casse tout mais bon... Bonne solution contre les blattes. Les cafards n'aiment pas les basses qui font trembler le sol on dirait. Et bien il vont en bouffer. Crevez, sales rats pourris crevés morts ! Pudeur, morceaux oubliés ? C'est ce que je dis. Excuse bidon, je m'en souviens vite. Pas envie de ton regards calculateur et trop critique. Pas envie de jouer si on me le demande. Vais tripper toute seule avec Ibaba. Je susi pas douée mais j'ai de l'oreille.

Goût de tabac dans la gueule, dents noires. Moche.
Voilà, encore obligée de bouffer le soir. 7 gateau apéro taillefine, une tomatosel, des frites, bcp trop, et un abricot. Juste ça et plus d'un litre d'eau et demi. Un jus d'orange.

Samedi 29 juillet 2006 à 8:04


Surmotivée. Thornythorynx de Camille de Peretti, enfin lu. A faire lire aux griboux, pour qu'ils voient l'enfer de cette malbouffe. Jeûne raté hier et avant-hier par les repas du soir. Hier, même pas vomi.Coeur qui bat fort, le sens se contracter. Jambes lourdes, insensible aux odeurs, vue des aliments, même pas envie de m'empiffrer. 1 femme sur 5 est ou a été anorexique-boulimique. Mal-être général d'une société complexée par beaucoup de choses. Pas étonnant non plus. La faute des chromosomes, fascination vouée aux os. Au os du dos, saillants, visibles l'été. Bois plus d' 1,5 litres d'eau par jour, des efforts de faits. Putain Noute, ne me force plus à manger le soir. Mal au ventre, pleine d'hier et d'avant-hier. Beurk. Reprise de la volonté sauf avec les griboux, putain- fais chier. Lutte contre la fatigue, Mon corps qui s'épuise la journée. Muscles contractés et cerveau à l'affût.

Mimi-Verte, on est DEUX, unies par la volonté, le jeûne si il le faut. Comment j'aime te parler, juste ça, ça rassure. Tu m'as apporté tant en si peu de temps. N'arrive pas à aller sur ton blog, t'as rentré mon adresse mail dans tes amis ? Snif. J'espère qu'on pourra faire quelque chose fin août, ai demandé un lundi-mardi. Ca fait du bien d'avoir un double si douée que toi. Vraiment Cherry. Me sauves le moral, tu n'imagines pas. Je suis sûre qu'on va se sortir de ce mauvais pas. On est deux après tout et on a le droit de péter un câble. Ne gâche pas ce que tu as de plus beau. Sais que ça fait du bien de se faire du mal, mais ce serait suicidaire. La sincérité et la franchise, c'est deux belles qualités dont il est pourvu, une chance. Pas facile pour toi, je me doute que c'est plus simple pour nous. En attendant, pour gueuler, se vider, pleurer, hurler, crier, parler chuchoter ou que sais-je, je suis là. T'aime. Vaut mieux que toutes ces foutaises. Si, j'en suis sûre.
Putain, faîtes qu'on se voit vite.

On est deux, Gribou ...

Dimanche 23 juillet 2006 à 11:06


Panne d'internet. Enfin, déménagement passé, mes écrits au jour le jour te seront envoyés. Tu me manques. Tu as mal, tu perd pied, mais tu t'accroches. Mimi-Gribou, Gribou Pelouse, je pense à toi, pleine de grâce. Internet revient cette semaine si tout va bien. Normalement demain, mais ça fait deux semaines que je te le répête. J'espère que tu ne m'en veux pas. Je ne veux pas perdre cette complicité. The only friend I ever had. Ecrire... Je t'enverrai le document. Au jour le jour, j'ai écrit. Juste ce petit mot. Je perds pied dans ma graisse et je m'enlise dans des pensées pas catholiques. Je me rate et l'Objectif aussi. Le modèle que tu représentes. Tu ne te rends pas compte.
Aucune conversation. Rien et que dalle. Crever. Même sexuellement. En manque. Rien rien rien rien rien rien tiens plus. Ce qui nous rallie ? Juste le fait qu'on s'aime. Ce qu'on partage ? Les griboux sinon pas grand-chose, des goûts musicaux similaires. Ce qu'on fait ensenble, ce qu'on se dit ? FUCK.
Là, ne sert pas à grand-chose. Rien dan sles bras, inutile. Ne mettrai pas mon empreinte dans ces murs qui nous souleveront quand nous feront l'Union. Pff, reste juste à attendre. Inspectrice des boulots finis.

Jeudi 29 juin 2006 à 11:58



Taire sa rage, boursouFFlée. Avoir dépassé le seuil maximal, offensée. Casse, lasse, lasse, lasse, lasse, lassée, si passive. Esprit confus, en attente, période de transition. Ne plus savoir, ni maitriser, se demander si l'on peut encore. Racheter des futals, quitte à ce qu'ils moulent les cuissots. En solde, 10 balles, on s'en tape. Se voir plus tard, celle d'en face. Croiser son sourire, lui rendre derrière un masque de confusions. Mais sans les trous, avec la rouge attitude, un pococito rasé sur un morceau du derrière. A ma manière, devenir ce que je suis.  Niack, l'avoir, le savoir, la retrouver car perdue un instant.  Révolution en tête, apparences trompeuses. Poings levés, armes affutés, au combat, pas pour longtemps. Plus fort encore. Et vider le cendrier.
Le khôl, masque à rat, crême, massage. Peut-être essentiels à ne pas paraître trop junkie, lui faire plaisir avant tout et se sentir un brin calice, symbole symbolique. Fumer pour y croire un poil, trop chargé, ne rien sentir, trop usé peut-être, tout se joue dans la tête. Mollassone, bouge ton cul, tes mains et tes doigts, il a tout fait, fait tout. Aide-le putain. D'égo. Bouge ton cul. Insupportable impatience pas tenable.


                                                                
Et sur son horrible grimace se dessina un sourire hideux. Son visage se fendit littéralement dévoilant des dents jaunâtres ternies, usées et rapées par l'apport régulier de nicotine et tabacs aromatisés. La tendre mastication y joua aussi, si tendre fut-elle un jour. Morbide personnage, tout autant que sa proie, si belle, au sourire étincellant. Ne planaient finalement que méchamment dans la violence de leurs actes, la torpeur de son imagination. Un monstre à l'état brut, visqueux, dont la peau retombait ne plis distincts. Sans queue, femme sûrement, que ce nom commun en puisse lui être attribué. Blème jusqu'au fond ce qui lui servait d'utérus, qui avait serré en soi à maintes reprises, divers objets plus ou moins piquants, coupants et épais, pour soulager un dysfonctionnement interne à l'époque mal vécu - utérus pas tout à fait formé à cette époque justement. Avec une voix d'eunuque, criarde, trop aigüe, le regard maussade, une odeur de foutre sur les doigts, se baisant elle-même devant des sites sado-masochistes, sa sueur puissante et indélibile, un peau sèche et rêche, une présence rauque et austère  et une puisance charismatique charmante qui faisait qu'on l'aimait quand même. A ne rien y comprendre, mais impossible n'était pas. 

Reprendre les vieilles habitudes, ne plus se gerber, par amour ou je -ne-sais-quoi, par maîtrise même si le mot fait mal. Se gerber intérieurement, seule solution restant à son actif. Ne plus y arriver, se vomir soi-même est pourtant un droit. Peut-être un devoir, qui sait. Perception bien différente.
Entrer dans un monde presque inconnu, se forger une culture et des goûts bien particuliers. Se noyer l'ouïe. Apache, Maloka, APF, K-sauce, Bloko Automa, Dirty Punk, La Petroleuse, Do It Yoursel, entre autres, assos et des dizaines de groupes - déjà entendus finalement. Mieux les connaître. La soirée dessus. Des vertes et des pas mûres, des pourris, das marrantes, se culturer un peu, accéder à l'inacessible au fond, mais y être, écouter attentivement et télécharger un peu aussi. Beaucoup. Images. S'y sentir bien. Entrainant. Gargouillis de bulles d'Ozer. Penser trop, juste parler et parler juste. Ne pas de venir ce que l'on n'est pas. Musicalement   grasse mat'. Un monde aussi attirant que repoussant, où la femme à sa place et l'unisexe aussi. Une sorte de paradoxe révolutionnaire satisfaiant tout membre de la communauté. Devenir une bête, par choix, par envie, parce qu'on l'est. Sedemander si le machivélisme et le cynisme était là avant, est-ce la rage et la haine qui l'ont réveillé ? Voulait se faire détester par tout, parce que rien de plus mérité que cela, qu'un rejet fatal et irréversible, pour un sujet si triste et inintéressant. Se contredire dans ses propos. Esprit mélangé, pas encore métamorphosé, évolution lente, trop lente, trop lente, trop lente, trop lente. Basse idem, ne pas pouvoir, ne plus pouvoir, ne plus savoir, ne plus se sentir avec eux.
Seule et démotivée.

Pourtant, elle avait son futur sous les yeux, deux mois à jouer avec sa face, à changer les masques au gré du temps, du vent. Retrouver les actions perdues, pour confirmer ses dires, même bourrée.  Puis elle aurait une heure et quart le midi pour avancer ses cours du matin, faire ses devoirs pour mieux progresser sur la 4 cordes le soir, gagner du temps. Même pas un repas : externe, et le soir, feindre toujours ou un peu, pas selon la motivation et l'envie d'être désirée ou de plaire. Puis elle sait que sa double vie de junkie et fille modèle battera son comble. Fondre comme chocolat au micro-onde, la semaine en plein labeur, un coeur enfoui sous les couches de graisse et la faire disparaître. Obtenir le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière aussi moche soit-il. Etre la crémière parce tout faire pour devenir ce qu'elle veut être, parce qu'elle l'est. Fréquences ondulantes de ferveur magnanime, sinusoïdes chaudes et gracieuses. Avoir les notes, l'affront, le regard, le courage devant eux, se cacher, tacher, gacher, double vie devant les autres mais montrer sa différence trop apparente pour la dissimuler et la vanter parce que justement trop flagrante pour être loupée. Elle l'assumerait de son mieux, aurait la vie qu'elle veut. Diriger sa vie, surmonter ses angoisses, défi au quotidien qu'elle réussirait. Seul rêve à présent dans sa tête, que tout se passe comme prévu.


Penser à elle, plus que nécessaire. Vitale. 
Adoration.
Seule supportable.

Extraordinaire brin de.
Confidente, en sais plus que tous, comme une vraie.

Dimanche 25 juin 2006 à 13:24




Papotage du soir, espoir. Compris le problème, effort à faire. Juste les mots qui ont fait mal, injustifié. La fatigue, cause de ça, mais incompréhension de my. Puis, le punk lui faisant ouvrir les yeux sur des choses essentielles et l'effort fait immédiatement. Bravo. Savoir sa peur, me voir mourir ou faire de l'hypoglycémie, me retrouver allongé, immobile en rentrant, hosto si proche. Lui se sentant trahi jusqu'au fond de ses entrailles, cacher le problème, mais comprendre la honte. Colère dans la voix, douceur quand même. Mérite plus. Peut-être que oui, malade. Comme une drogue surtout, pas malade. Follitude, drogue. Même pas capable d'expliquer ce qu'il se passe dans le for intérieur mais savoir qu'au moins tout est clair, lui heureux de voir les efforts, les pseud-efforts en apparence. Le minimum pour les respecter. Manger un peu, pour pas qu'ils ne désespèrent "J'avais envie de taper partout et lui aussi, vous vous rendez pas compte le mal que vous nous faîtes, sans le faire exprès certes, mais quand même"
Tout redémarre du bon pied. Plus qu'une semaine pour le Centre et ses bars. Avant-goût de nouvelle vie. Savourer chaque instant. Complicité plus grande que tout. Perfection. Partage. Recette des meilleures, bouffage d'amour et de proximité. Miam !
CDD renouvellé.

Dimanche 25 juin 2006 à 12:00


Comme à chaque conversation, la fatigue aidant, esprit chahuté à mort. Comme à chaque fois, cervelle effarée qui s'exprime, soucis à l'état brut. Comme à chaque conversation, exposer des arguments égoïstes, faire voir un autre côté. Comme à chaque fois, sans penser, lâcher naturellement la réflexion minuscule préalable, si il y a - et la colère accumulée.  Neutre, avocat du diable. Dialogue paisible, pas dans la tête, bousculée. Le pire, savoir un peu déjà, vouloir changer de façon de voir. Bad total, disparaître, trop de fatigue entassée. Plus envie. Changement d'appart guidant les priorités. Attendre de franchir le pas. En attendant, le vouloir lui, comme au premier jour. Juste lui. Dormir sous ses bras, épuisée. Arrêter de cogiter. Anéantie.
"Il faudra qu'on parle, j'ai entendu des choses que j'ai trouvé injustifiée" Ako, y'en avait. Ne demande que ça de parler. Dommage de faire autant de remue-ménage pour cela. Pas bourée au début, hyper nerveuse. Peut-être trop de violences à exprimer, exprimer au jour le jour les hics sans attendre que l'esprit n'en puisse plus. Tête qui tourne dès le début, gravité du cas à la fin. Ne pas imaginer, affligeante. Plus qu'honteuse, mais après tout assumer. Juste entendre d'une autre bouche, pour confirmer, infirmer, expliquer. Problèmes d'imagination, hypocondriaque de la vie. Obtenir finalement ce qu'on veut, une discussion sans qu'Il ne prenne la mouche. A suivre, "Ce soir, on éclairera les choses, tu veux". Akodac.
Devenir celle d'avant et celle de maintenant. Exceller. Basser, basser. Comme une OC en puissance si ce n'est peine perdue, sentiment qui fait mal, se sentir en trop. Fatalisme à battre à coups de médiator, je SERAI une vraie onde un jour aussi. Un jour... Résister, exténuée du mal à comprendre, cervelet ralenti. Résister, devenir tranchante, en trans, oui. Le modèle de réussite, scolaire et tout. Etre soi. Parfaite, au moins pour lui, avec lui. NOUTE ! Complexes machiavéliques à faire dégager. Seule contre moi, avec Mimi-Pelouse. Seules contre tous. Contre personne. Battantes, seules pas tout à fait du tout. Contre juste parce que pour prouver, ou au moins, SE prouver ou LEUR prouver. Ne plus se laisser animer par des pensées destructrices et l'appel des lames. Aller de l'avant en s'affirmant encore. Capacités à exploiter.

Sympathoches teintures, envie de rouge tout rouge, de raser, attendre cheveux longs.

Jeudi 22 juin 2006 à 20:04


Résumé de l'épisode précédant. [21 juin]
Graisseuse, bouffie grossit. Piqûres d'araignées à huit pattes, bouton deux pattes. Fête de la musique, Noïtall devant les frères Berthom. Voir du monde. Kiki, No'm toute seule, va te faire foutre. Ingrid absente au secouage de neurones, coctail molotov au Shaker, joues rouges chaudes qui monte au cervelet. Loute mort, revient ptêt pas ce soir. Pisser des litres de gringo. Constipée, gros bide de femme enceinte, honteuse. Loute insatisfait, amour décadent, qui sait peut-être pas. Rien dans les yeux. Plus assez attiranten grosse vache. Merde envahissante, inutile qui parle trop pour rien. Inintéressante, a fait le tour. Grosse truie à éventrer. Des coups de randjo qui se perdent, m'en fous. Vivre avec la maussadité répugnée. Viscères de feu. Se les arracher. Remplie. Quatre en une semaine. Même pas faisable. Passe trop vite le bon temps. A Saute-Moutons. Croiser Natha au café des Ours. Les 3 OC au complet. Tâche rouge au milieu, menstrue de merde. Joe Dalton, teigneux à tuer. Moi pourtant Averel Bouffeur. Du n'imp, en trop dans cette unité désunifiée. Même pas tendue. Blâmée.
Crever de jalousie. Etat des lieux. Ménage, Monaco.

Crême fraïche x 1
Comcombre x 3
Gruyère x 1
Oeufs x 1
Lait x 2
Limonade x 1


[22 juin]
Envie, bien dans cet élément musical. Belle à en crever. Volonté rien qu'en te voyant.
Fait chier les crèpes. Envie de faire, pas de manger. Catastrophe pas catastrophique mais ne pas remettre à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui.
Enfin survivre quand même, comme toujours. Pas le choix. Murge pour rassurer, se sentir bien même pas bien, se sentir deux pour ne pas mourir de solitude. Ca fait du bien de lacher les langues. De la compréhension j'te dis. Bad trip, peut-être. Mais à deux.

Re-commencer. Futilités débiles, ostentation trop grande, aiguille qui penche à droite. Trop d'ailleurs. 41. Balance qui fait chier.
Boire, boire, boire et encore. Ne plus penser, panser. 120 calorie toutes les 5 minutes à 18 degrès. 200 calories dans la journée pour 20 clopes environ. Poumons qui en redemandent. Pink elephant. Vite, très vite, pour se la pêter. Parce que j'aime. Goût miamesque.
Envie.

Jeudi 15 juin 2006 à 9:37


Anniversaire d'une fleur. Mimi Pelouse.
Ai des soucis pour remettre les choses d'aplomb. Croisage de doigts. To be strong, to be strong. Trust in you, trust in you. You're better that tou think, you're better that you think. Méthode Couet à utiliser continuellement. "Tu es mon modèle". Merci Puce, c'est vraiment trop pour moi, et ce n'est pas si simple que ça. Tu y arriveras toi aussi. Croire en soi. Caramba, encore raté ! Echec de mi-journée. Pas grave, pas plus de la dizaine d'au-dessus. Ne pas se dévaloriser pour peu. MOTIVATION GENERALE des troupes !

Phil Spector, Ramones, Paul Ramon, Paul Mc Cartney, Les Beatles, Lennon ... Tout est lié. Vraiment. Précurseurs de toute musique rock, fan à 5 ans, originale petite bestiole qui n'écoute pas de boysband, parce qu'elle n'est pas "in".
Profil et qualités correspondantes pour le BTS. Même pas trop de questions, parcours en zigzag, défi scientifique, réussite. Bac général, atout avant tout. Seul souci de garder le taf, souci intempestif évincé. Contrat déterminé presque signé. Tutoiement et à l'aise. Perfection. Mac Intosh. Infographiste. Presse écrite, visuelle. Contacts. Vive la cafèt' !

Pas de le  temps de basser, verte comme la pelouse. Un peu, beaucoup, à la folie. Ce n'est pas comme ça que tu progresseras. Dégage, sale ange d'épaule de mes couilles, la culpabilité pour si peu, ce n'est plus pour moi. Je ne suis plus ce que j'étais. Et non ! Fragile petite larve sans aile (comme une "arve", sans "L"). Je me rattrapperai demain ! Pas besoin de leçon de mon inconscient qui s'agite. Je vaux mieux que ce que je pense. Na, va te faire foutre, rabaisseuse à la con ! Toute façon, je crois pas aux anges, et encore moins sur les épaules. Alors autant me croire et me faire confiance. Assurance ! Non mais ! Vais pas me laisser bouffer par moi-même en plus ! Me rattraperai demain et vlan, comme ça, porque yo lo valgo ! Petite SRX... A croc-accro.

Dimanche 11 juin 2006 à 11:06


Hier, finalement dîner chez Vieille Motte. Repas normal. Salade thon-pommes de terre-tomates-oeufs + saucisse + côte de porc + chou à la crême fraîche + pain. Tout est assimilé et utilisé par le corps dans ce qui restait après mon passage et mon flirt avec Wouawoua. 39,5 au matin. Je peux maintenant sentir mes os, les voir même. Colonne vertébrale, clavicules, côtes. Squelette apparaisant progressivement. Même les cuisses maigrissent. Un tout petit peu. Ne pas rentrer dans ce jeu de l'anorexie donc voir l'amaigrissement et, à défaut de s'en contenter, être cependant heureuse de voir une bonne différence avec avant. Today, beet and brown rice wafers.
Doodle travaillé en rentrant pendant une heure. Dernier riff travaillé. Plus qu'une transition et le tempo... Et jouer debout... Effort sur le poignet, grand écart plus facile pour les ptits doigts. Doodle qui passe bien même. Avis de gratteux. Basse vibrations all day... Trouver un nouveau morceau à jouer, peut-être Welcome Home (Sanitarium) ...
Mouahahaha.

Et même pas vrai. Rien du tout. Pas de nouveau, juste demain, un des deux. Difficile et accessible. Que du travail de doigts. Je trompe P-80 avec SRX-500. Pas qu'un peu. Salope de pute, et j'aime ça ! Bi-partenaires. Blog secret et papotage. Et les autres, hein ? Calimero, coin-coin. Juste une menthol, paquet comme la pelouse, bientôt. Herbe verte trop foncée dans les champs de blés décolorés. Bisou, bisounours, kissounours.
Caméra action. Blagadonf teuf teuf. Poilage and gaussage.
39. Raté. Bien raté. La jointure m'a fait cédé. Les veines visibles sur les mains. Douche-shampooing. Crème. Somnifère dévidant pour l'Homme habitant le lit. Caresser le squelette, côtes toutes visibles. Muscles tous dessinés. Descendre. Sentir son désir. Ne pas céder. Patienter. le cuire à feu doux. S'entraîner pour l'aller-retour. Ramasser le foutre sur son ventre. L'embrasser plus tendrement. Sans dents, sans doigts. Bises douces et pleines d'amour. Puis fermer la porte.
Chut, il dort...

Dimanche 11 juin 2006 à 10:53


Casser le poignet. Ecartélement des doigts. A travailler, tout est lié. Métacarpes en feu et corne naissante pour éviter de se déchirer l'épiderme. Bouts de doigts brûlants écarlates. Exercice. "Pff, on est mal barré avec toi..." Je t'emmerde. La pute que je suis peut se trouver un groupe si elle te fait chier. Les mots qui font mal. Guerre ouverte de dix minutes "Tu le regretterais plus que moi." Keep calm and motivation. Reprendre même si les doigts n'en peuvent plus. Gratter encore, coups de médiator. Secs, cassants, frappants, énervés, mettre sa rage en musique. L'impressionner et le faire mentir. Passer son temps libre à apprendre et développer doigté, agilité, rapidité, coordination des membres... Lui montrer qu'il a tort. Que je serai à la hauteur. Toujours progresser. Ne faire que cela. Ne pas prendre le temps de manger pour jouer. Bonne excuse. Pour atteindre le but, les buts.
Changement de dizaine imminent. Sûrement pour dimanche. S'accepter de mieux en mieux malgré la douleur paralysante intermittente de l'organisme en manque. Juste le temps qu'il épuise ses ressources et commence à s'habituer à ce tarif.
Yeux en soucoupe, mecs. En rond de flan. Epatés. Toute la discographie ? Non ... Doucement mais sûrement. Suffisamment pour en prendre plein la vue. Ebêtés, comme des cons. Tant... Content, l'est content Mickey !

3 galettes de riz complet

Mardi 6 juin 2006 à 12:27


Veille fatale. Même pas tout dégueulifier. Sentir l'estomac travailler. Se dire qu'il est presque trop tard. Devoir insister. Devoir insister. Voir que tout ne retourne pas à l'envoyeur. Enfin presque tout quand même. 41,5. Echec brûlant. Plus de pesée. Plus de craquage le soir, plus rien dans le froid tentateur. Accumulation des tics. Linéarité du temps. J'ai dix jours et quatre kilos. Faisable. Mais la volonté est faiblarde. Agrouuu !
Appart brillant de propreté. Continuer les efforts. L'espagnol compris par les autres. Faire le solo pour le 17. Mettre la barre très haut. Appeler pour le BTS, surveiller la boîte au lettre. Vouloir savoir. Continuité ambigüe. Prendre des nouvelles car incapables d'en donner. Ca se disait amis tout ça. Enculés, vendeurs de rêves. Déception même si on voyait le coup se faire. Organisa-tueurs de soirs. Trop occupés. Fictive réalité de la vie. Bouirg. S'improviser jardinière. Planter la pelouse pour respirer la nature.
J'aime les glaces au chocolat, le chocolat des chocos et les glaces à la fraise.


D - Bonjour !
D - Regarde Loute : un étui rigide à 69 euros !
V - Bonjour. Ah ! bah je viens de receoir votre basse. Il y a deux minutes. J'allais vous appeler.
Sourire décontenu !
D - Je vais prendre l'étui pour basse. Le stagg.
V - Je vous le fais à 60 euros.
D - Merci.

Puis après, 3h de basse, Sweet Dreams et Zombie en entier dans les doigts.   "Ca te va bien la basse"    Merki Noute. Ne t'aime. Pelouse achetée. On essayera même sur moi. Qu'on se marre comme des canards... Ahhh ! J'ai peur pour eux ! Qu'on extermine les cons. Piscine avec pirhanas. Vol en parachute sans parachute dans l'Atlantique à 200 km des côtes. Virus qui assassine la mort qui tue. Stage de plongée sans bouteille d'oxygène. Mièvrerie et niais. Désopilant ! Je me poile. Le soeur qui imprime mon mail. Déifiée sur le pan d'un mur. Faire plaisir avec des mots. Ironie du sort. Dangeurosité. Basse. Déjà accro...

Petits pois-glace-pomme-pizza (1/8) --> 500 cal max

Lundi 29 mai 2006 à 10:54


With so much chocolate, you don't need love.
Je m'enfuis de ce monde, la mort est la seule solution à mon insignification profonde.

Da Vinci Code. Pas mal. Prise en compte de la fiction et que c'est tiré du livre. Générique pas lu entièrement, taraudée.
Quartier libre, toute sa confiance. Je suis une grande après tout. Atteindre un but fixé. Pas comme aujourd'hui. Pas comme au café et en redonner gratos, comme ça. Suffisamment pour oublier un moment, parce qu'une autre te le rappelera. Malaise supprimé un instant.
Laxa. Je me rends compte de beaucoup de choses. Le dégoût fait exister. J'aime. Je m'en félicite.

Réflexions du soir :
- Une image vaut mieux que tout long discours. Je me fous de mon image. Je suis ce que je suis. Alors pourquoi ? Pour moi ?
- Noir est le prix de l'homme. No comment.
- Lapinou Papa. Inspiration certaine.

Vendredi 26 mai 2006 à 15:40


Un joint en guise de Lexomil. Ton corps bat au rythme du sang qui vient et revient dans tes veines. Ebullition. L'eau rafraîchit l'oesophage, l'estomac, puis ton intestion. Tu le sens aussi ? Nuits difficiles. Cogite trop. Insomnie donc psychédélie. Tourne et retourne. Il a compris. Electro-Shocked. Oui mec, c'est comme ça. Quand je te disais que tu ne me méritais pas... Tu as la preuve maintenant. J'ai triché. Merci quand même. Ne pas me forcer. Générosité. Tu n'as pas encore tout compris, je crois. Face à moi, face à la vérité. Evolution... Whaaa ! Plus. Plus stressé. Déconfiture. Mal-être encore plus puissant. Je peux l'aider ? T'inquiète la glinguette. y'a pas de risque pour moi. Pour lui, beaucoup plus. Tourne et tourner. Dans le pieux. Aussi brûlant que je suis gelée. De marbre. Que je tremble de froid. Réserve épuisante. Battements cardiaques endiablés. Hausse de la fréquence. Je me sens. (Trèsforte) Dépendante de sensations. Muscles paralysés. Exister par la souffrance interne du corps. Exister par la faim. Par ce qu'elle engendre. Parce qu'on se sent maîtriser. Et non maîtrisée. Quoiqu'en vérité ... Self control.

Marre de tout, marre surtout d'Auchan. Célèbre lunatisme.Eternels insatisfaits que sont les clients. Epuisants. Vraiment.Vitamine C. Pas de guarana. Tenir sans crise. Crise... Vomitive. Conjugale. De nerf. Se maîtriser disais-je... Buffet offert les jours fériés. Economie du moindre effort, du moindre geste. Tu connais ça toi aussi... 5 en un mois... Sur les nerfs, à fleur de peau. A fleur de nerf, à bout de peau. Impitoyablement. De mauvaise foi aussi. Je suis de mauvaise foi. Dialogue impossible. Monologue impossible. Saleté de moi, va !

N'empêche que ce soir... Tagada ! Non pas de fraisoo !!!! Tagada Jones ! Et oui messieurs-dames. Me défouler un peu. Sortir du coma pensif et réflexionnel. Mouahahahaha ! Contente. Et c'est tout. Parce que je vois la différence. REVOLUTION !!
Bilan de la semaine... Lundi-chocolatchaud-100. Mardi-catastrophiquerendu-500. Mercredi-unpeudepâtes-200. Jeudi-morceaudepain-chocolatchaud-soupe-300. Vendredi-tomates-morceaudepain-pomme-500. Total-1600. Engros, chiffres arrondis à 200 près. C'est bon de ne plus se forcer. Jouissif. Me sens revivre. Malgré toutes ces interrogations. Plus habituée au jeûne. Finalement dégueuler, c'était plus facile. Mais je fais ce que j'ai dit. Grand pas. Et ouais !

On est des terribles Ma Chérie. Vraiment. A bouffer. A nous mettre des claques. Désespérantes. Mais nous avons notre but. Agrou-agrou-agrou. J'ai suivi le lapin blanc. Au fond du trou. Prisonnière. Rhahaah !
Je suis si sotte. Miss Touille en puissance !

Vendredi 26 mai 2006 à 13:12


Cassure physiologique. Cerveau non relié au corps. Planant. Shootant. Dislocage. Blocage. Le corps à côté des pompes. Débranché de l'ancéphale. Phalle ? Ancéphale pompé. Réflexion omnubilante : vouloir, pouvoir. Vouloir ? Pouvoir ? Que fais-je ? Que veux-je ? Cogitation extrème. SRX. Quand on veut, on peut. Certitude. Reste à savoir quoi... Estomac acryliquaire. Ne plus vomir. Déjà ? Oui, car ne plus manger. Essayer de remanger, but atteint. No Looser. Dans trois semaines-un mois. But atteint. Ce n'est pas que je ne peux pas. Quoique. Se voiler la face. Atténuer une réalité affligeante. Oppressante même. Etre autre devant les autres. Se mentir à soi-même. Jeune fille sans complexe. Jeunes filles déglinguées, oui... Ca va pô l'tétiôt, j'te dis ! Contourner le problème. Ca cogite dur, je te l'assure. En avoir là où il faut pour ne rien avoir. Sauf le diable dans le corps. Coquines. Belles et rebelles. Rebellion corporelle. Lutter encore te toujours. Flasqueuse.

Conversation réduisant à néant des semaines de reconstruction. Faire fît de ça. Comme si. Reconstruction, confiance, assurance. M'en fous, j'ai confiance, je sais ce que je suis. Tout ce que je suis. Bande de rats crevés morts ! J ene sais si je peux lutter contre moi. Faire un grand pas. Pour ou contre le vide. En attendant, se vider l'esprit, meilleure chose à faire. BASSE ! L'union. Dématérialisation. Imminence des confusions. Muchas, muchas. Gestion des pulsions. Approche destructrice. J'aime ça. je ne m'en rends même pas compte. Masochiste, peut-être. Certainement. Certitudes ? Certes. Sur un piédestal je suis. L'acide tient au corps. L'au remplit. Mais à boire. La digestion est bonne, ce n'est plus un problème. Acide dans la norme, vers le bas.
Impression de fatigue. Insomnies fatidiques. Lipo-sucion d'énergie. Absorption de vie. Aspiration. Ephémère. Reprise du dessus. Au dessus de tout. Rage-niack

Le travail a déjà commencé... Soi...

I'm a big big girl in a big big world, it's not a big big thing, if you leave me ...

Lundi 22 mai 2006 à 12:52


Haricoté. Pris pour ma pause. (Oubliés à ma pause.) Esquive : "On va se coucher plus tôt si tu n'as pas faim quand on se lève à 11h et que tu bosses toute la journée" Contre-esquive : Pausetuperwaremicro-ondemangeaget'inquiètepasNoute. Amour aveugle. Amincissant. Tu ne me forceras pas. Pas tout de suite. Jeûne jusqu'à obtention. Samedi et dimanche trop consistant. Effort. Ne pas abuser cependant. Manger le minimum nécessaire à cacher le reste. J'aurai mal au ventre. Belle justification.
Rien que d'y penser, j'ai déjà faim. Ca sent la purée. Dégueulasse. Enculé !

Le foutre qui coule au réveil. Nuit complète. Repos efficace. Guarana nécessaire. Excitant. Produit miracle. Thermogénèse. Out tire ! Tu resteras en pleine forme, ptite salope bien baisée. Le long des jambes. Putain, pas pendant mon sommeil, connard ! Non-respect !
Fumer au lit. Se rouler les psychotropes sur le lit. Se coucher la tête dans les étoiles. Refaire le monde et parler comme aux premiers jours. No tabou.

Pas d'article si plus de 100. Rien, se taire. Se terrer. S'enterrer. Honteuse. Incapable. Endurance. Ne pas lâcher. Ne rien lâcher. Grognasse, va ! Piscine demain.
Plus que 8 jours pour que Sulfure se lâche, viens à moi. Eloïse sera à 500 mètres. Je verrai des cailloux. Proches de moi. Plus esseulés. Faire les demeurés comme avant. Se lâcher. Honte inconnue. Regards effarés des passants. Trip. Intégralité. Papotage. Plus qu'un mois. Relâcher toute tension. Libérée.
Forte.


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Faut pas qu'elle parte. Risque trop gros pour elle et pour lui. Les flics au cul, ça fait mal. Je veux pas de pâtes carbo. Pas de crême fraîche. Seulement un chocolat chaud à 17h. J'aime cette sensation de vide. Creux. J'en serai dépendante sans les odeurs. Ces odeurs... Choix acquis. Ne cède pas. Fait chier. Putain, j'aime pas les parents qui sont si fermés, si obtus ! Ca m'énerve déjà. Comme une momie dans un sarcophage. Pas de conneries, pas tout envenimer plus que ça ne l'est. S'il te plait. Se raisonner. Même si ça fait mal. Même si ça fait mal. Même si ça fait très mal...

Impôts. Piscine. Mutuelle. Pff, tout ça...
Lèche-cul. Mais efficace. Rien à se reprocher. Travail parfait. Exibition des capacités.
Trait pour trait. Ressembler. Rester libre. Indépendance naturelle. Dépossession. Cracher sur les cons. Raison, garder la raison.
Aimer la différence a défaut de l'accepter...
Je les hais. Je les hais tous. Tous autant qu'ils sont. Oui, tous autant qu'ils sont. Inacceptable.

[Crèche d'un soir. Amour. Pou(r)voir.]

Dimanche 21 mai 2006 à 20:26


Un paquet de fraisoo. Je suis piégée. Il sait. Enfin pas tout. Il m'a cerné. Il sait beaucoup. Trop. " Tu veux que j'en parle à S " Menace... J'ai pas envie. Fraisoo avalés par la chasse. Comme le lavage de dents. Un geste si naturel, quotidien. Si répugnant. Avis extérieur bien-sûr. Incompréhension. Boire, boire. Ne plus céder. Se poser la question à chaque fois. Ne plus accepter. Du vomi dans le nez. Se moucher. Clavicules apparente. Début de côtes. Pourquoi pas le bas ? 18. Je veux du 15.  Couleur des fraisoo ailleurs. Un peu gore.

BTS ? Fac ? Tunes ? Année prochaine planifiée. Semaine scolaire. Week-end détendu. Profit du temps. Réussite totale. Admiration.
Tout mon soûl dans la basse. On va bien voir. Péchu. Le soleil dans le corps. Rayonner. Glisser sur le clavier. Psy d'un soir. Rejetter le système mais y être pris. Savoir que c'est impossible sans se mettre en danger. Vouloir la silhouette. Le sque. Offrez vous des instant de plaisirs. Pour toujours. 

Les Stones à Paris, complet... Zen. Mes cailloux, je les aime. Même les psychopathes. Et toi, tu en es un. Il y en a peu. Ma confiance en eux. Je suis eux, ils sont moi. Nous sommes. Les cailloux, c'est primordial. Primor Dieux. 


"La batterie est un instrument qui fait du bruit"
Charlie Watts (Moissonneur-Batteur des Pierres qui Roulent) 

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